Sortir en Artois

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L’AVENIR DE L’ARTOIS OCTOBRE 2010 NUMERO 1 Sortir en Artois Les Blaireaux en tournée chez nous Zoom Le nouvel album d’Atlantly rock et pop Béthune : Devenez Ennemi public avec Thierry Roisin Abdelazziz, danseur hip hop de Bully à Turin

description

Théâtre. Danse. Chant. Poésie. Arts plastiques. Des marionnettes. Du rock’n’roll. De la poésie contemporaine. Des résidences d’artistes. Des bals musette et de la chanson orientale. Du théâtre de boulevard et de l’art dans la rue… L’Artois est riche de tout cela. Toutes les cultures s’y épanouissent, devant un public toujours plus curieux, qui pousse les portes des théâtres, des musées, qui n’a pas peur de se confronter à la nouveauté, à la surprise. Parce que notre territoire est riche de talents, il fallait les mettre en avant. Alors que Béthune se prépare, avec le territoire d’Artois Comm et sous le parrainage du conseil régional Nord/Pas-de-Calais, à devenir capitale régionale de la culture 2011, nous vous proposons, chaque mois, de découvrir ces artistes qui font de l’Artois un pays d’art et de culture(s).

Transcript of Sortir en Artois

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L’Avenir de L’Artois oCtoBre 2010 nUMero 1

Sortiren Artois

Les Blaireauxen tournée chez nous

Zoom

Le nouvel albumd’Atlantlyrock et pop

Béthune :devenez ennemi

public avec

thierry roisin

Abdelazziz,danseur hip hopde Bully à turin

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Une fois le pas de porte franchit, on se trouve plongé dans un conte des Mille et une nuit… Des chaises venus d’Egypte, des lanternes de Turquie, des tissus de Syrie, ou même de la vaisselle venue tout droit de Jordanie. Fathia Djemaa n’aime pas faire les choses à moitié. Et cela fait 27 ans que ça dure. Certes, la réputa-tion de La Médina n’est plus à faire, mais Fathia continue sans relâche. Histoire de toujours garder son restaurant en haut de l’affiche. « Vers la fin juin, je vais rechanger une partie du mobilier, explique-t-elle ; C’est beaucoup plus agréable pour les clients et pour le person-nel de renouveler la décoration. Il faut faire voyager les gens. Tout le monde doit se sentir à l’aise ». Mais la qualité de la Médina va bien au-delà de son décor soigné et de son accueil chaleureux.

Si je vous parle de la Médina, je suis obligé de vous parler couscous. Ici, le couscous est roi et il fait la fierté de ce restaurant. C’est Mamie Fatouma qui a tout appris à Fathia. Qui elle-même l’apprend à sa fille. Chez les Djemaa, le couscous est une véritable tradition. « Chez nous, on ne rigole pas avec ça, plaisante Fa-thia. Bien sûr, chacun à sa recette du cous-cous et on peut le faire de mille façons. Le tout est de trouver la bonne». Et Fathia sait de quoi elle parle. L’ingrédient numéro 1 pour le couscous de la Médina : des produits frais. Des légumes à la semoule en passant par la viande, tout est fait sur place. Rien de tel pour un vrai couscous de tradition. D’ailleurs, Fa-thia n’hésite pas à beurrer sa semoule, histoire d’avoir un peu plus de légèreté en bouche. Autre astuce : cuire son bouillon avec un

oignon rouge. « Le couscous, c’est plein de petits détails à ne pas négliger. La base reste la même : une semoule légère, des carottes, courgettes ou des navets pour le jus. Après ce sont les viandes qui changent, explique Fathia. Mais si déjà vous ratez la base, c’est difficile ». Une fois la base préparée, il ne reste plus qu’à ajouter ces petits plus qui vont rendre la viande plus tendre, et le jus plus goûtu. Agneau, poulet, merguez, boulette à la coriandre, autant de viande qui se marie parfaitement avec les épices orientales. Reste ensuite l’ingrédient secret que Fathia refuse de nous dévoiler. « Si je vous le dis, ce n’est plus un secret », raconte-t-elle.

Mais que les amateurs de tajine ou de chorba se rassurent. Même si le couscous est « La » spécialité de Fathia, elle n’est pas en reste sur les spécialités orientales. Et elles existent à toutes les sauces. On peut par exemple goûter la tchoutchouka. Un plat à base de poivrons, piments verts ou rouges, oignons et tomate. « Une sorte de salade niçoise rele-vée », souligne la cuisinière en chef. Il existe aussi le tajine au coeur d’artichauts, mélangé aux pruneaux, amandes, raisin et épaule d’agneau. Un subtil mélange entre le sucré et le salé. Et quand ce n’est pas Fathia qui est derrière les fourneaux, c’est la fille Bélinda qui reprend la recette de grand-mère en main. Une véritable histoire de famille qui risque durer longtemps.

Une chose est sûre, le plus dur à la Médina, c’est de rentrer. Car une fois le pas de porte franchit, on n’a plus envie d’en sortir !

La Médinaà Bruay-la-Buissière

442, rue Alfred-Leroy 62700 Bruay-La-Buissière

Tél. 03.21.62.29.98Ouvert du mardi au dimanche, de 12h à 15h

et de 19h30 à 23h30.

Réservation conseillée le week-end

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Edito

Somm

aire

Théâtre. Danse. Chant. Poésie. Arts plastiques. Des marionnettes. Du rock’n’roll. De la poésie contem-poraine. Des résidences d’artistes.Des bals musette et de la chanson orientale. Du théâtre de boulevard et de l’art dans la rue… L’Artois est riche de tout cela.Toutes les cultures s’y épanouis-sent, devant un public toujours plus curieux, qui pousse les portes des théâtres, des musées, qui n’a pas peur de se confronter à la nou-veauté, à la surprise.Parce que notre territoire est ri-che de talents, il fallait les mettre en avant. Alors que Béthune se prépare, avec le territoire d’Artois Comm et sous le parrainage du conseil régional Nord/Pas-de-Ca-lais, à devenir capitale régionale de la culture 2011, nous vous pro-posons, chaque mois, de découvrir ces artistes qui font de l’Artois un pays d’art et de culture(s).Dorothée Caratini

Supplément gratuit*des éditions de Lens, Béthune,

Bruay-la-Buissière et Arrasde L’Avenir de l’Artois

17, place Clemenceau, 62400 BéthuneDirecteur de publication : Pascal DejeanDirectrice commerciale : Evelyne Dubaele

Rédaction : Dorothée [email protected]

Publicités : Dominique Parisi 0321016606Odile Koszucki, Virginie Verhaeghe

Création et réalisation : Dominique BouvierOnt collaboré à ce numéro Christian Nowicki,

Laetitia Martin, Marie-Paule Van Staen,Christine Delpierre, Benoît Mancuso,Kévin Domergue, Cédric Marquant,Jean-Luc Hamez, Sébastien Théry.

Photo de une : Sébastien JarryImprimerie : Presse Flamande - Hazebrouck

* Ne pas jeter sur la voie publique,

tous droits de reproduction réservés

Pages 4/5Rencontre avec les Blaireaux,en résidence à Bully-les-Mines

Pages 6/7Thierry Roisin nous parle

de sa nouvelle mise en scènePage 8

Zoom sur le festival du film d’ArrasPage 9

Abdelaziz El Youssoufi,danseur hip hop de Bully

Page 10Un nouvel album rock et pop pour les

Arrageois d’AtlantysPage 11

A Lillers, le festival Frog’g’rollmixe chansons et rock

Pages 12/13 Exposition L’Or du Japon

à découvrir à ArrasPages 14 à 19

Tout l’agenda culturel de l’Artois

Sortiren Artois 3

Sortiren Artois

4/5

912/13

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Les Blaireaux en résidenceDeux semaines

d’hibernation à BullyToujours en quête de nouveautés, recherchant le décalage, les musiciens des Blaireaux ont préparé leur nouveau spectacle à Bully-les-Mines. Ils seront en décembre à l’espace François-Mitterrand pour présenter les chansons

de leur dernier album, Bouquet d’orties. Des chansons piquantes, qui démangent...C’est Alexis qui prend la parole, alors que le groupe, sur le plateau de l’espace François-Mitterrand,

règle des détails de lumière et de scénographie avec la metteur en scène Marie et le régisseur lumière, Vincent.Ce jour-là, une classe de lycéens doit venir découvrir quelques chansons et les premiers essais de mise en scène.

D’où vient cette envie de mettre en scène vos concerts ?A la base de notre envie... c’est lorsque j’ai vu des gens faire de la chanson en les mettant en scène de manière plus ou moins pointue, comme Jo Butagaz et ses brûleurs ou encore Juliette... Cela m’a marqué. Pendant longtemps, on a improvisé. Sur l’avant-dernier spectacle, on a commencé à le faire mieux, Vincent nous a rejoints aux lumières, Marie est venue nous voir. Elle vient du théâtre d’improvisation, de la Comedia dell’arte. Notre univers humoristique et burlesque lui convenait bien.

Comment ce travail a-t-il évolué ?On va plus loin sur cette tournée. Avant, nous n’avions pas de scénographie, de décors. Quand on passé ce cap, ça a très bien marché. Le public attend ça.

Vous ne jouez plus que vos nouvelles chansons ?On essaie de jouer des anciennes, et de les marier aux nouvelles. On a beau-coup de fidèles, dans notre public, des gens qui nous découvrent depuis trois ou quatre ans...

C’est un choix qui surprend le public, la mise en scène ?Avant, nous n’avions pas l’occasion de jouer dans des endroits qui nous corres-pondaient. On souffrait de notre image, de notre indépendance, de ce truc de groupe du Nord/Pas-de-Calais, mais on a su imposer notre patte. Petit à petit, on refuse même certains lieux qui ne nous correspondent pas !Mais il ne faut pas que la mise en scène prenne le pas sur le concert, la musi-que.

Pourquoi venir travailler ici, à Bully ?On cherchait une salle qu’on connaissait bien pour répéter. On est allé voir Lionel, le responsable. On a de la palce, du temps, c’est dur aujourd’hui de trouver tout ça.

Vous avez imaginé un fil rouge à ce spectacle ?Il se déroule petit à petit, ce sont plein de petites histoires qui s’enchaînent. On décline le thème de la pochette sur la scène, sur trois laies pendues sur le plateau : l’idée de base c’est de que les laies ressemblent à un livre.

Qui sont-ils ?Les Blaireaux, c’est : Alexandre Lenoir au chant et à la guitare ; Anatole «Banat» Zéphir au piano, clavier, chœurs ; Stanislas Velliet à la batterie, Pierre Marescaux (depuis 2005) dit « le Baron » au trombone, clavier ; Fabrice L’Homme à la basse, aux choeurs, Cyrille Crépel au saxophone, à l’accordéon au banjo, chœurs et chant.

Le nom : Ah, le nom ! Ils l’ont choisi à l’époqueà laquelle ils ne faisaient que des reprises. Petit à petit, de compositions en concerts,le succès a grandi, le nom est resté. Il leur cause parfois du tort, mais c’est aussi leur mar-que de fabrique : l’humour, le second degré...bref, l’autodérision.Ils seront sur la scène de l’espace François-Mitterrand le 10 décembre et le 5 février 2011 à Béthune au théâtre municipal avec Pat Bol.

http://les.blaireaux.free.frhttp://www.myspace.com/lesblaireaux

Sortiren Artois 5Sortiren Artois4

Bully-les-Mines

muSique

Dans le restaurant SUBWAY®

de Béthune Place St Eloi

les prix sont cools !

Place St Eloi - BETHUNE03 21 56 46 45

Offre valable jusqu’au 31/10/2010, dans les restau-rants du 59-62-80-02. Une offre par jour et par foyer.Offre non cumulable avec toute autre promotion en cours. ©2010 Doctor’s Associates Inc. SUBWAY® est une marque déposée de Doctor’s Associates Inc. Les restaurants SUBWAY® sont des unités franchisées exploitées par des entrepreneurs indépendants. Pho-tos non contractuelles. La marque Evian est utilisée avec son autorisation. Hors extras.

2 SUB 30 cm+ 2 boissons au choix

(soda 40 cl ou Evian 50 cl)+ 2 cookies

2 Menus SUB 30® 2 SUB 30®

Offre valable jusqu’au 31/10/2010, dansles restaurants du 59-62-80-02. Une offre par jour et par foyer. Offre non cumulable avec toute autre promotion en cours.©2010 Doctor’s Associates Inc. SUBWAY® est une marque déposée de Doctor’s Associates In-cLes restaurants SUBWAY® sont des unités franchisées exploitées par des entrepreneurs indépendants. Photos non contractuelles. Hors extras.

2 SUB 30 cm au choix

8E

Le Mac Ewan’s IIIde Béthune

107 Place Marmottan Béthune 03.21.52.57.88

Nombreuses animations toute l’année

et changement régulier de bières avec

nos incontournables bières Belges comme :

la Troll - la Karmeliet ou encore la Kwak...

* L’abu

s d’alcool est d

angereu

x p

our la san

té, à consom

mer avec m

odération

. Evelyne et Jacques sont heureux devous accueillir chaque jour dans leur caféVenez fêter avec eux le jeudi 18 novembre

le Beaujolais Nouveauet déguster un buffet campagnard !

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Les Blaireaux en résidenceDeux semaines

d’hibernation à BullyToujours en quête de nouveautés, recherchant le décalage, les musiciens des Blaireaux ont préparé leur nouveau spectacle à Bully-les-Mines. Ils seront en décembre à l’espace François-Mitterrand pour présenter les chansons

de leur dernier album, Bouquet d’orties. Des chansons piquantes, qui démangent...C’est Alexis qui prend la parole, alors que le groupe, sur le plateau de l’espace François-Mitterrand,

règle des détails de lumière et de scénographie avec la metteur en scène Marie et le régisseur lumière, Vincent.Ce jour-là, une classe de lycéens doit venir découvrir quelques chansons et les premiers essais de mise en scène.

D’où vient cette envie de mettre en scène vos concerts ?A la base de notre envie... c’est lorsque j’ai vu des gens faire de la chanson en les mettant en scène de manière plus ou moins pointue, comme Jo Butagaz et ses brûleurs ou encore Juliette... Cela m’a marqué. Pendant longtemps, on a improvisé. Sur l’avant-dernier spectacle, on a commencé à le faire mieux, Vincent nous a rejoints aux lumières, Marie est venue nous voir. Elle vient du théâtre d’improvisation, de la Comedia dell’arte. Notre univers humoristique et burlesque lui convenait bien.

Comment ce travail a-t-il évolué ?On va plus loin sur cette tournée. Avant, nous n’avions pas de scénographie, de décors. Quand on passé ce cap, ça a très bien marché. Le public attend ça.

Vous ne jouez plus que vos nouvelles chansons ?On essaie de jouer des anciennes, et de les marier aux nouvelles. On a beau-coup de fidèles, dans notre public, des gens qui nous découvrent depuis trois ou quatre ans...

C’est un choix qui surprend le public, la mise en scène ?Avant, nous n’avions pas l’occasion de jouer dans des endroits qui nous corres-pondaient. On souffrait de notre image, de notre indépendance, de ce truc de groupe du Nord/Pas-de-Calais, mais on a su imposer notre patte. Petit à petit, on refuse même certains lieux qui ne nous correspondent pas !Mais il ne faut pas que la mise en scène prenne le pas sur le concert, la musi-que.

Pourquoi venir travailler ici, à Bully ?On cherchait une salle qu’on connaissait bien pour répéter. On est allé voir Lionel, le responsable. On a de la palce, du temps, c’est dur aujourd’hui de trouver tout ça.

Vous avez imaginé un fil rouge à ce spectacle ?Il se déroule petit à petit, ce sont plein de petites histoires qui s’enchaînent. On décline le thème de la pochette sur la scène, sur trois laies pendues sur le plateau : l’idée de base c’est de que les laies ressemblent à un livre.

Qui sont-ils ?Les Blaireaux, c’est : Alexandre Lenoir au chant et à la guitare ; Anatole «Banat» Zéphir au piano, clavier, chœurs ; Stanislas Velliet à la batterie, Pierre Marescaux (depuis 2005) dit « le Baron » au trombone, clavier ; Fabrice L’Homme à la basse, aux choeurs, Cyrille Crépel au saxophone, à l’accordéon au banjo, chœurs et chant.

Le nom : Ah, le nom ! Ils l’ont choisi à l’époqueà laquelle ils ne faisaient que des reprises. Petit à petit, de compositions en concerts,le succès a grandi, le nom est resté. Il leur cause parfois du tort, mais c’est aussi leur mar-que de fabrique : l’humour, le second degré...bref, l’autodérision.Ils seront sur la scène de l’espace François-Mitterrand le 10 décembre et le 5 février 2011 à Béthune au théâtre municipal avec Pat Bol.

http://les.blaireaux.free.frhttp://www.myspace.com/lesblaireaux

Sortiren Artois 5Sortiren Artois4

Bully-les-Mines

muSique

Dans le restaurant SUBWAY®

de Béthune Place St Eloi

les prix sont cools !

Place St Eloi - BETHUNE03 21 56 46 45

Offre valable jusqu’au 31/10/2010, dans les restau-rants du 59-62-80-02. Une offre par jour et par foyer.Offre non cumulable avec toute autre promotion en cours. ©2010 Doctor’s Associates Inc. SUBWAY® est une marque déposée de Doctor’s Associates Inc. Les restaurants SUBWAY® sont des unités franchisées exploitées par des entrepreneurs indépendants. Pho-tos non contractuelles. La marque Evian est utilisée avec son autorisation. Hors extras.

2 SUB 30 cm+ 2 boissons au choix

(soda 40 cl ou Evian 50 cl)+ 2 cookies

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Offre valable jusqu’au 31/10/2010, dansles restaurants du 59-62-80-02. Une offre par jour et par foyer. Offre non cumulable avec toute autre promotion en cours.©2010 Doctor’s Associates Inc. SUBWAY® est une marque déposée de Doctor’s Associates In-cLes restaurants SUBWAY® sont des unités franchisées exploitées par des entrepreneurs indépendants. Photos non contractuelles. Hors extras.

2 SUB 30 cm au choix

8E

Le Mac Ewan’s III

de Béthune

107 Place Marmottan Béthune 03.21.52.57.88

Nombreuses animations toute l’année

et changement régulier de bières avec

nos incontournables bières Belges comme :

la Troll - la Karmeliet ou encore la Kwak...

* L’abu

s d’alcool est d

angereu

x p

our la san

té, à consom

mer avec m

odération

. Evelyne et Jacques sont heureux devous accueillir chaque jour dans leur caféVenez fêter avec eux le jeudi 18 novembre

le Beaujolais Nouveauet déguster un buffet campagnard !

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Thierry Roisin,directeur de la Comédie de Béthune

Ennemi public, histoirede héros et de tyrans

Sortiren Artois 7Sortiren Artois6

theAtre

Comment est née l’enviede monter ce texte ?Je l’ai relu en montant La Grenouille et l’Architecte. Parmi les thèmes abor-dées, il y avait celui de la démocratie, plus précisément celui du principe de la démocratie. C’était dans un coin de ma tête. Et puis c’était l’aberration du monde, le rapport au politique en gé-néral qui m’interpellaient. Il y a tou-jours une complexité entre l’idéal et la real politique, le sujet de cette pièce, qui date du XIXe siècle. On trouve déjà la prédominance de l’intérêt sur tout autre intérêt.

Ce n’est pas nouveau...C’est vrai, avec tout ce que cela entraî-ne, quand la valeur argent prend le pas sur la valeur humaine.

En quelques mots,racontez-nous l’histoired’Ennemi public...Un médecin découvre que l’eau des bains publics est polluée. Les bains font vivre la ville. Et le maire est son frère. Chez Ibsen, on voit ça souvent, comment les fantômes du passé refont surface dans les relations du présent. Bref, il y a des risques de conséquen-ces sur les économies de la ville, qui se développe. Le maire va tout faire pour étouffer son frère. C’est à la fois une ré-flexion sur la fratrie, en plus d’un pro-pos strictement politique.

C’est l’histoire d’un hérosqui se dresse seulcontre le reste du monde...Un thème que le cinéma américain a déjà beaucoup exploité. Là où la pièce est intéressante, c’est quand elle ana-lyse le mécanisme d’une société cen-sée, dans un monde qui s’épanouit, qui peut se refermer. Ceux qui ont des idées, qui innovent, inventent un autre mode relationnel, sont ceux qui ont été voir ailleurs. Dans la pièce, il y a le personnage du capitaine, le seul à défendre le médecin, est quelqu’un de mobile. La mobilité, c’est extrêmement formateur...Pour revenir au héros, c’est un défen-seur de la vérité, mais ce n’est pas que l’apologie du héros justicier, mais l’ana-lyse du mécanisme qui laisse la place de la raison à l’intolérance et à la ty-rannie.

Est-ce un drameou une comédie ?On est entre les deux. Peu de textes démontrent cette machine avec autant de précision et de finesse, de précision. Il y a des scènes d’anthologie...

Une loupe pointéesur la réalité

Travaillez-vous avecune nouvelle traduction ?On répète à Paris depuis le 27 sep-tembre. Des traductions existaient, très fidèles, elles rendaient compte d’un langage du XIXe siècle, très «théâ-tre», tourné vers la bourgeoisie, le pu-blic d’alors. Comme c’est l’actualité de cette pièce qui me parle, le premier travail a été de réadapter le texte, sans le trivialiser. Il faut que le public d’aujourd’hui se l’approprie. Nous de-vons garder une certaine universalité, on ne saura sans doute pas que cela se passe en Norvège...C’est une autre question passionnante de mise en scène : chez Ibsen, tout se passe dans des intérieurs. Le théâ-tre, c’est une mise en relief, une loupe pointée sur la réalité. Pour échapper à un théâtre de «conversation», qui pour-rait porteur d’une certaine banalité, on garde scénographiquement ce qui est

nécessaire : la concentration de l’es-pace, c’est un pari intéressant.

Avez-vous trouvé des solutions dans votre mise en scène ?Tout se déroulera sur la bordure, pas en profondeur, plutôt proche du pu-blic. On doit créer un autre rapport au public. Il doit se sentir témoin de cette histoire.

Ibsen n’est pas considéré comme un auteur facile,craignez-vous que le publicde Béthune en ait peur ?Il est souvent considéré comme un aus-tère. Mais pas là... Il est né en Norvège, mais il écrit cette pièce en Italie, en se moquant des mécanismes dont il a mé-moire. Quand on a de la distance, on peut rire... Les personnages sont por-teurs d’éléments comiques.

Comment la démocratieest-elle abordéedans ce texte ?C’est un phénomène de revirement de la société, qui, au début, soutient le médecin, et passe à la tyrannie.Le héros aussi n’est pas très positif, il tombe aussi dans l’extrémisme. La question, c’est comment l’isolement créé l’extrémisme.Au départ, c’est une position théori-que, mais on peut y être poussé.

Vous sentez-vous engagé ?L’idée de l’artiste engagé, c’est tou-jours lié à l’image sartrienne sur son tonneau... Etre engagé, pourtant, aujourd’hui, ce n’est pas forcément «être de gauche».On est engagé par plaisir, par néces-sité, il faut aussi qu’il y ait du specta-culaire.Chaque choix de pièce, chaque scé-nographie, c’est une représentation du monde au moment où on monte la pièce. S’engager, c’est témoigner de notre vision de la réalité. Le théâtre est un miroir : on renvoie notre perception du monde.L’idée n’est pas d’être dans le vrai mais dans la cohérence d’une vision de ses propos.Il y a toujours une idée d’engagement, le propos engagé, c’est comment on prend le texte.

Comment voussentez-vous pendantla période de création ?Plein de doutes et excité. C’est un pro-jet ample. On fait remonter un texte passé à notre époque... j’avais envie de travailler avec de nouveaux acteurs et avec Yannick (Choirat, déjà présent dans le Montaigne de Thierry Roisin, ndlr). C’est un enjeu pour lui, le héros est complexe, à la fois on l’aime et il nous fait peur. Il est proche de nous. Vous découvrirez dans la pièce des per-sonnes que j’ai vues sur scène et pour lesquelles j’ai une certaine admiration.

Propos recueillis par Dorothée Caratini

Thierry Roisin continue de réfléchir à la question de la démocratie.Après Montaigne, La Grenouille et l’Architecte, il s’attaque à Ibsen,

et son Ennemi public. Une nouvelle façon d’interpeller le public,de l’amener à s’interroger sur notre monde

Dates du spectacle :Du 30 novembreau 10 décembre à laComédie de Béthune.

«Devenez ennemi public» :Un jusqu’au mois de décembre vouspermettra de rencontrer les artistes qui ont participé à l’élaboration de cespectacle et d’assister à une répétition publique. Cette proposition tout son sens si vous vous engagez à suivrel’ensemble du parcours.L’occasion pour vous de découvrir les in-terrogations, cheminements et partis pris qui construisent un spectacle. AvecLaure Pichat, scénographie, dîneret répétition avec l’équipe du spectacle, mercredi 10 novembre à 18h30, au Palace,réservation indispensable.

L’écolede

conduite

Joëlle Mantel

Voir conditions en agence.

www.auto-ecole-lariane.sitew.com

Agr.n° 1516

375, rue de l’Université62400 BETHUNE

03 21 56 37 8343, Avenue de Morinie

62230 ANNEziN 03 21 01 53 5385, Route Nationale

62113 SAiLLY LABOURSE 06 08 53 15 63

Page 7: Sortir en Artois

Thierry Roisin,directeur de la Comédie de Béthune

Ennemi public, histoirede héros et de tyrans

Sortiren Artois 7Sortiren Artois6

theAtre

Comment est née l’enviede monter ce texte ?Je l’ai relu en montant La Grenouille et l’Architecte. Parmi les thèmes abor-dées, il y avait celui de la démocratie, plus précisément celui du principe de la démocratie. C’était dans un coin de ma tête. Et puis c’était l’aberration du monde, le rapport au politique en gé-néral qui m’interpellaient. Il y a tou-jours une complexité entre l’idéal et la real politique, le sujet de cette pièce, qui date du XIXe siècle. On trouve déjà la prédominance de l’intérêt sur tout autre intérêt.

Ce n’est pas nouveau...C’est vrai, avec tout ce que cela entraî-ne, quand la valeur argent prend le pas sur la valeur humaine.

En quelques mots,racontez-nous l’histoired’Ennemi public...Un médecin découvre que l’eau des bains publics est polluée. Les bains font vivre la ville. Et le maire est son frère. Chez Ibsen, on voit ça souvent, comment les fantômes du passé refont surface dans les relations du présent. Bref, il y a des risques de conséquen-ces sur les économies de la ville, qui se développe. Le maire va tout faire pour étouffer son frère. C’est à la fois une ré-flexion sur la fratrie, en plus d’un pro-pos strictement politique.

C’est l’histoire d’un hérosqui se dresse seulcontre le reste du monde...Un thème que le cinéma américain a déjà beaucoup exploité. Là où la pièce est intéressante, c’est quand elle ana-lyse le mécanisme d’une société cen-sée, dans un monde qui s’épanouit, qui peut se refermer. Ceux qui ont des idées, qui innovent, inventent un autre mode relationnel, sont ceux qui ont été voir ailleurs. Dans la pièce, il y a le personnage du capitaine, le seul à défendre le médecin, est quelqu’un de mobile. La mobilité, c’est extrêmement formateur...Pour revenir au héros, c’est un défen-seur de la vérité, mais ce n’est pas que l’apologie du héros justicier, mais l’ana-lyse du mécanisme qui laisse la place de la raison à l’intolérance et à la ty-rannie.

Est-ce un drameou une comédie ?On est entre les deux. Peu de textes démontrent cette machine avec autant de précision et de finesse, de précision. Il y a des scènes d’anthologie...

Une loupe pointéesur la réalité

Travaillez-vous avecune nouvelle traduction ?On répète à Paris depuis le 27 sep-tembre. Des traductions existaient, très fidèles, elles rendaient compte d’un langage du XIXe siècle, très «théâ-tre», tourné vers la bourgeoisie, le pu-blic d’alors. Comme c’est l’actualité de cette pièce qui me parle, le premier travail a été de réadapter le texte, sans le trivialiser. Il faut que le public d’aujourd’hui se l’approprie. Nous de-vons garder une certaine universalité, on ne saura sans doute pas que cela se passe en Norvège...C’est une autre question passionnante de mise en scène : chez Ibsen, tout se passe dans des intérieurs. Le théâ-tre, c’est une mise en relief, une loupe pointée sur la réalité. Pour échapper à un théâtre de «conversation», qui pour-rait porteur d’une certaine banalité, on garde scénographiquement ce qui est

nécessaire : la concentration de l’es-pace, c’est un pari intéressant.

Avez-vous trouvé des solutions dans votre mise en scène ?Tout se déroulera sur la bordure, pas en profondeur, plutôt proche du pu-blic. On doit créer un autre rapport au public. Il doit se sentir témoin de cette histoire.

Ibsen n’est pas considéré comme un auteur facile,craignez-vous que le publicde Béthune en ait peur ?Il est souvent considéré comme un aus-tère. Mais pas là... Il est né en Norvège, mais il écrit cette pièce en Italie, en se moquant des mécanismes dont il a mé-moire. Quand on a de la distance, on peut rire... Les personnages sont por-teurs d’éléments comiques.

Comment la démocratieest-elle abordéedans ce texte ?C’est un phénomène de revirement de la société, qui, au début, soutient le médecin, et passe à la tyrannie.Le héros aussi n’est pas très positif, il tombe aussi dans l’extrémisme. La question, c’est comment l’isolement créé l’extrémisme.Au départ, c’est une position théori-que, mais on peut y être poussé.

Vous sentez-vous engagé ?L’idée de l’artiste engagé, c’est tou-jours lié à l’image sartrienne sur son tonneau... Etre engagé, pourtant, aujourd’hui, ce n’est pas forcément «être de gauche».On est engagé par plaisir, par néces-sité, il faut aussi qu’il y ait du specta-culaire.Chaque choix de pièce, chaque scé-nographie, c’est une représentation du monde au moment où on monte la pièce. S’engager, c’est témoigner de notre vision de la réalité. Le théâtre est un miroir : on renvoie notre perception du monde.L’idée n’est pas d’être dans le vrai mais dans la cohérence d’une vision de ses propos.Il y a toujours une idée d’engagement, le propos engagé, c’est comment on prend le texte.

Comment voussentez-vous pendantla période de création ?Plein de doutes et excité. C’est un pro-jet ample. On fait remonter un texte passé à notre époque... j’avais envie de travailler avec de nouveaux acteurs et avec Yannick (Choirat, déjà présent dans le Montaigne de Thierry Roisin, ndlr). C’est un enjeu pour lui, le héros est complexe, à la fois on l’aime et il nous fait peur. Il est proche de nous. Vous découvrirez dans la pièce des per-sonnes que j’ai vues sur scène et pour lesquelles j’ai une certaine admiration.

Propos recueillis par Dorothée Caratini

Thierry Roisin continue de réfléchir à la question de la démocratie.Après Montaigne, La Grenouille et l’Architecte, il s’attaque à Ibsen,

et son Ennemi public. Une nouvelle façon d’interpeller le public,de l’amener à s’interroger sur notre monde

Dates du spectacle :Du 30 novembreau 10 décembre à laComédie de Béthune.

«Devenez ennemi public» :Un jusqu’au mois de décembre vouspermettra de rencontrer les artistes qui ont participé à l’élaboration de cespectacle et d’assister à une répétition publique. Cette proposition tout son sens si vous vous engagez à suivrel’ensemble du parcours.L’occasion pour vous de découvrir les in-terrogations, cheminements et partis pris qui construisent un spectacle. AvecLaure Pichat, scénographie, dîneret répétition avec l’équipe du spectacle, mercredi 10 novembre à 18h30, au Palace,réservation indispensable.

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Page 8: Sortir en Artois

Pourquoi un Festivalinternational de cinémaen région et particulièrement à Arras ?Il y a quatre millions d’habitants dans le Nord-Pas-de-Calais : pour-quoi ne pas faire venir pour eux des grands noms du cinéma, dans cette région qui est justement déjà une terre de productions cinémato-graphiques ?... Le choix d’Arras est venu d’une rencontre, comme pour tout festival : celle d’une ville et d’un opérateur. Bien sûr, s’il n’y avait pas

eu le désir de la ville d’Arras pour ac-cueillir le cinéma sous cette forme, jamais nous n’aurions réussi ; puis il y a eu aussi le désir de la Région, du Département, de l’Etat qui nous sou-tiennent… Cela tombait bien aussi à l’époque (premier Festival en 2000) car il s’agissait d’équilibrer alors les événements culturels entre Nord et Pas-de-Calais, éviter que seule la mé-tropole lilloise en profite. Et puis Ar-ras avait ce que nous recherchions : un nœud ferroviaire et autoroutier, suffisamment d’hôtels et de restau-rants et la beauté des lieux. Arras est une belle ville, la grand’place ex-traordinaire par son architecture et ses lumières ; c’est là un vrai décor de cinéma qu’affectionnent les villes de grands festivals !

Pourquoi un festivaldavantage axésur le cinéma européen ?Parce que l’Europe a une production cinématographique énorme, capa-ble de concurrencer celle de l’Amé-rique mais désavantagée par ses difficultés de diffusion. Il existe un esprit de création européen dans les films, une culture particulière faite de diversités. C’est ce que le Festival défend : l’accessibilité à cette diver-sité qui parle de notre actualité (par exemple les sans-papiers, un thème récurrent dans les films de la sélec-tion 2010). Il faut montrer la richesse des films européens qui n’ont pas la chance de sortir de leurs propres

frontières. Et aujourd’hui, notre tra-vail est soutenu par la Communauté Européenne et le Festival d’Arras bien connu en Tchéquie, en Rouma-nie, en Allemagne…

Qui sont les membres de Plan-Séquence, l’association organisatrice du Festival ?Elle a vingt d’existence. Au départ, un groupe d’amis qui œuvraient dans le cinéma comme bénévoles… Nous avons d’abord eu un projet lillois… On se disait pourquoi regarder des films et ne pas les partager, à quoi cela sert-il même de les regarder seul ?... Nous avions aussi la volon-té de créer un véritable événement professionnel, il ne s’agissait pas simplement de militantisme amateur pour le cinéma. Et Plan Séquence est ainsi devenu une véritable struc-ture professionnelle avec trois per-manents, tout en gardant une dyna-mique associative (230 adhérents) pour défendre l’idée d’un certain ci-néma, d’un autre cinéma. Pendant le Festival, Plan-Séquence compte 25 salariés et 35 bénévoles. C’est bien là la preuve de la réussite de notre projet : la fusion entre le profession-nel et l’associatif. Propos recueillis par Christian Nowicki

Trois questionsà… Eric Miot

Défendreun certain cinéma

cinema

Délégué Général du Festival international du film d’Arras,

qui se dérouleradu 5 au 14 novembre

Sortiren artois8

Abdelaziz El Youssoufi,de Bully-les-Mines

Danseaux quatre vents

Page 9: Sortir en Artois

Qui est-ce ?Abdelaziz est né au Maroc le 1er avril 1982. Il est arrivé en France petit garçon et a grandi à Bully-les-Mines.

Que fait-il ?C’est un danseur professionnel de hip-hop, un professeur de danse et un animateur d’ateliers et de sta-ges.

Quel est son parcours ?«J’ai commencé la danse il y a 13 ans, par hasard, en essayant plein de trucs, comme du théâtre... J’avais pas mal d’énergie et un besoin de m’exprimer dans un art. On a com-mencé le hip hop à plusieurs, avec des amis, dans la rue, des jardins. La mairie de Bully, nous voyant mo-tivés, a décidé de nous mettre un professeur à disposition, une fois par semaine.Dès le début j’ai eu une envie de de-venir professionnel.»

Comment cela est-il arrivé ?«A 14 ans, on a monté une associa-tion, une compagnie. J’étais le plus motivé, parce que je voulais en faire une profession. Même si c’est diffi-cile de devenir, pro... On s’est beau-coup entraîné. Au bout de cinq-six ans, j’ai intégré la compagnie Dans

la rue la danse, à Roubaix, la troi-sième plus ancienne compagnie de hip hop en France. J’avais déjà commencé à donner des cours, j’ai continué, je participais à des specta-cles, mais il y avait un fort travail de transmission. J’y suis resté pendant quatre ans.»

Et ensuite ?«Je suis parti dans d’autres projets avec d’autres compagnies. J’ai fait des battles, en Norvège, Italie, Suis-se... J’avais envie de voyager, par rapport à ma carrière de danseur c’est important.»

Et aujourd’hui ? «Je suis souvent en Italie. En ce mo-ment, je travaille à Turin et Genova, j’anime des stages, je fais répéter également des comédiens, des ar-tistes. Je leur intégrer des gestuelles de danse? En décembre, je parts en Grèce, après, ça sera le Japon.»

Pourquoi autant de voyages ?«Pour rencontrer d’autres artistes, pour échanger.»

Votre famille a-t-elle bienaccepté ce choix de carrière ?«Au début, de n’était pas facile, mais quand ils vont vu que je travaillais, ils étaient un peu rassurés.»

Sortiren Artois 9

dAnSe

Des vies multiples«Depuis un an, je travaille avec la compagnie l’Embardée, d’Hesdin, avec deux comédiennes. Je ne fais pas que de la danse, mais également du théâtre.»Abdelaziz a également créé la compagnie Amalgame, à Bully, qui donne des courset présente des spectacles qu’il chorégraphieet où danse son frère.Il a également intégrer le projet de lacompagnie dans la rue la danse, HHSI, pour Hip hop solidarité internationale : «C’est une association qui développe la danse urbai-nedans les pays en voie de développement.Je vais au Maroc depuis six ans. On récoltede l’argent et on développe des projets. J’interviens aussi dans les IME, auprès des jeunes en difficultés physiques et comporte-mentales, dans des centres fermés.» Abdelaziz recherche des lieux où développer ce projet, déjà monté à l’IME de Liévin, «où ça a très bien marché». Aujourd’hui, il souhaite passer une validation des acquis de l’expériencepour devenir éducateur spécialiséen technique de danse.

Un modèle ?«Pas vraiment, je m’inspire des la culturede la danse hip hop et de ses valeurs, lerejet des discriminations, des violences,de la drogue, le respect des autres.La danse est personnelle, chaque personnea sa personnalité, sa gestuelle. J’essaie de trouver mon chemin dans la danse.»

Un coup de cœur culture ?«La compagnie Amalgame ! On a lprojet de faire venir des Italiens pour créerdes échanges.»

Retrouvez Abdelaziz dans Zip, de lacompagnie l’Embardée, le 5 novembreà l’espace François-Mitterrandde Bully-les-Mines. www.asiz-amalgam.com

Abdelaziz El Youssoufi,de Bully-les-Mines

Danseaux quatre vents

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muSique

Le groupe d’Arrassort un nouvel album

Atlantys, les profondeurset la légèreté

Quand et autour de qui est né le groupe ? Quelles étaient vos influences au départ ?Le projet est né autour de Mélanie, Romain et Thomas (ingé son) qui étaient dans un groupe à reprises. Ils ont voulu monter un projet plus personnel. Jacky était un voisin, qui a été invité à «boeuffer» un jour. Atlantys était né. Nos influences du départ, c’était K’s choice, Muse (surtout le premier album)), Pink Floyd, Radiohead…

Vous avez connu un succèstrès rapide auprès du public, qu’est-ce quia votre avis a fait «monter la sauce» ?Un succès rapide, c’est subjectif. On a quand-même mis six ans entre la formation du groupe et la sortie natio-nale du premier album Eden/apocalypsia. Néanmoins, la sortie du 5 titres Eden en 2004 nous a ouvert beaucoup

de portes (Le Mouv’, Europe 2 Campus Tour, RTL2 pop/rock tour, signature avec un label...). Je pense que cela nous a beaucoup aidé, mais aussi le fait d’avoir beau-coup, beaucoup tourné, partout en France.

Comment décririez-vous votre univers ?Atlantys base son univers sur l’imaginaire, l’onirique. Des chansons à double sens : un sens narratif et un sens ca-ché.

Votre nouvel album sort le 5 novembre,qu’a-t-il de différent par-rapport au premier ?Possède-t-il une ambiance particulière ?Musicalement, les guitares sont moins présentes. Le rock reste notre crédo, mais nous avons puisé dans la pop et la chanson, en fonction de chaque titre.Nous avons également essayé d’aller plus loin dans les arrangements, avons cherché de nouvelles sonorités, notamment en faisant appel à des musiciens d’autres horizons. L’action prend place dans un cirque des années 30 avec des monstres de foire (siamoises, femme à barbe, voyan-te, homme fort, femme araignée,...), passant de la joie à la tristesse, de la révolte à l’enthousiasme.

Quels sont vos grands souvenirs sur scène ?Celui qui vous a le plus marqué ?Difficile à dire… On a fait de très belles rencontres sur la route, de superbes scènes. Question affluence : Bel-fort, 4 000 personnes ! Question accueil et ambiance : le Splendid de Lille avec No one is innocent et Prohom. Pour la nouvelle tournée : Concarneau cet été. Celui qui nous a le plus marqué ?Le concert à Lomme, en première e partie de Richard Borhinger…Ce n’était pas du tout notre public, beaucoup de sexagé-nères, mais très bon accueil, et quelle rencontre !!!

Enfin, si vous aviez un coup de coeur musical, un groupe «ami» à conseiller, que pourriez-vous conseiller à nos lecteurs ?Karavage et Royal Spleen de Dijon.

Le 5 novembre, les Arrageois d’Atlantys sortent leur nouvel album. L’occasion de revenir sur le parcours du groupe, qui a connu un succès national en 2004 avec leur cinq titres Eden.

www.myspace.com/atlantys

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muSique

Le groupe d’Arrassort un nouvel album

Atlantys, les profondeurset la légèreté

Une soirée chansons. Une soirée rock. Avec des variations, des écarts, des exceptions à la règle. Parce que l’équipe de l’Abattoir aime la liberté et le mélange des genres !Les 12 et 13 novembre, elle inves-tit la scène du Palace de Lillers avec une belle programmation destinée aux curieux de musiques, de toutes les musiques. Et ça dure depuis plus de vingt ans !Vendredi, découvrez Allain Leprest, «trop méconnu et pourtant considé-ré comme l’un des meilleurs auteurs contemporains de chansons nous dit l’Abattoir. Cela faisait longtemps que le patron de l’Abattoir, Christian, l’at-tendait. «Un très très bon chanteur», c’est l’argument qui doit suffire pour les amateurs du genre. Ils pourront aussi découvrir le trio Hadouk, plus jazz et musiques du monde. De-puis plus de dix ans, Hadouk mène sa barque, «une véritable rose des vents qui se dessine sur le portulan

des musiques du monde».Derniers invités de cette soirée, Miss White and the Drunken Piano, un peu de folk, un peu de jazz, un peu de chansons, une ambiance décalée, éclectique : ce groupe groove, ou n’est pas.Samedi, place au rock’n’roll dans toutes ses composantes. Venus de Caen, Guns of Brixton est un des groupes les plus prometteurs de la scène française et s’est fait sa place sur la scène dub. Venus d’univers dif-férents, reggae et hardcore, les mu-siciens des Guns utilisent leurs gui-tares comme des armes de guerilla urbaine.Très attendus, Punish yourself est un groupe rare dans notre région et sans doute que le public viendra de loin pour découvrir le show de ces Tou-lousains qui oeuvrent dans un genre rock metal-punk-grand guignol.Et Messer Chup’s alors ? Ils arrivent tout droit de Saint-Petersbourg, rien

que pour ça, ils méritent d’être vus et écoutés avec attention ! «Entre Ti-psy et Esquivel, leur musique au de-sign chic post 50’s est un étonnant cocktail saturé de sons atypiques, empruntés à la lounge music et à l’exotica : les percussions, les sam-ples de musiques de films et surtout la présence de Oleg Tarassov au theremin. Kitsch et pop à souhait !», nous dit l’Abattoir.Dorothée Caratini

Le 5 novembre, s Arrageois d’Atlantys sortent leur nouvel album. L’occasion de revenir sur le parcours du groupe, qui a connu un succès national en 2004 avec leur cinq titres Eden.

Festival Frog’n’rollLillers – 12 et 13 novembre 2010

Deux soirées,deux ambiances

Pâtisserie Rémyrue d’Arras à Béthune

Venez déguster nos spécialités de Macarons

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Les grandes datesdu Frog’n’roll festival :Grand souvenir pour l’équipe de l’Abattoir,la venue des Béruriers noirs, en 2005, lors de leur reformation éclair. Un concert qui a mar-qué bien de jeunes rockers et petits punks de la région, pour qui le nom des Béruriers noirs était quasi-mythique. Le public avait réponduà l’appel de ces agités qui ont manqué à la scène punk française pendant bien longtemps.

Le 12 novembre, 20h : de 12 à 20 eurosLe 13 novembre, 18h : 12 à 15 euros.www.abattoirlillers.fr

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expoSition

Au musée des beaux-Arts d’ArrasTout l’or du Japon...

Attention, exposition exception-nelle en cours au Musée des Beaux-Arts d’Arras. Un voyage au Japon, d’abord, dans le temps, en-suite : ces laques, créés du XVIe au XIX siècles, sont visibles jusqu’au 21 novembre. Cette exposition reconnue d’intérêt national présente près de 170 ob-jets en laque japonais (antérieurs à l’époque Meiji – 1868) conser-vés dans les collections publiques françaises. «L’Or du Japon» est une occasion exceptionnelle de dé-couvrir ces objets dont les trois-quart inédits témoignent de la rencontre entre l’Occident et l’Extrê-me-Orient.

Pour la découvrir, de multiplesrendez-vous ont été organisés : Kangei ! (bienvenue)Visite d’ouverture de l’expositionavec le conservateur du musée. Tous les dimanches ma-tin à 10h 30.Visites guidées pour le public adulte individuel.Tickets pour la visite guidée en pré-vente à l’Office de tourisme d’Arras au 03 21 51 26 95.

Stage et ateliers- Mercredi 20 octobre et 3 novembre à 15h, Initiation à la calligraphie japonaise, à partir de 8 ans - Entrée libre et gratuite.Bibliothèque de quartier Ronville : mercredi 20 octobreMédiathèque Verlaine : mercredi 3 novembre- Du 27 au 29 octobre de 14h à 16h30, D’encre et d’or, pour les 6/14 ans.Sur inscription préalable au musée.Stage vacances autour de la découvertede l’exposition et la réalisation d’un kakemono.Musée des Beaux-Arts- Mercredi 17 novembre : Initiation à l’Origami, à par-tir de 5 ans - Entrée libre et gratuite.Médiathèque Verlaine : 14h30Bibliothèque de quartier Ronville : 16h30

- Samedi 13 et 20 novembre à 14h30, Initiation au jeu de go, tout public - Entrée libre et gratuite.

Bibliothèque de quartier Ronville :samedi 13 novembreMédiathèque Verlaine : samedi 20 no-vembreProgramme des activités :

Pour vous accompagner dans la dé-couverte de l’exposition, le musée vous propose un document d’aide à la visite pour les adultes et un li-vret-jeu pour les enfants remis gra-

tuitement à l’accueil. En début de parcours, une vidéo vous expliquera la

technique de la laque et en fin d’exposition vous pourrez vous asseoir dans le salon de

médiation pour feuilleter quelques ouvrages sur le Ja-pon. Enfin, pendant toute la durée de l’exposition, le musée des Beaux-Arts d’Arras présentera des objets ja-ponais de son fonds permanent dans trois lieux culturels de la ville: médiathèque , conservatoire et théâtre.

Événement- Samedi 6 novembre à partir de 14hAprès-midi portes ouvertesà la médiathèque• Pour les enfants, à partir de 8 ans :ateliers confection d’un kimono, confectionde kokeshi, initiation à la calligraphie japonaise.• Pour les adultes : initiation au jeu de go,défilé de cosplay, exposition de bonsaïatelier shiatsu, initiation à l’art de l’ikebana.• Tout public : audition de musique de jeuxvidéo japonais par les élèves du conservatoireà rayonnement départemental de musique,danse et art dramatique.Gratuit - Accès dans la limite des placesdisponibles pour l’ensemble des activités.Médiathèque du Palais Saint-Vaast

Spectacles - Jeudi 21 octobre à partir de 18h 30Le Japon d’hier et d’aujourd’huiEn partenariat avec le théâtre d’Arras,une soirée qui débute avec une découverte

Sortiren Artois 13

FUNKY LOOKPlace Jules Guesde

AUCHEL

BOOSTER17, rue du Commerce

LILLERS

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de l’exposition puis de l’installation sonoreVilles d’Asie de Cécile Le Pradoet se termine avec le DJ Shouhei Matsushita.Pass en vente au théâtre.Billetterie au 03 21 71 66 16.Musée des Beaux-Arts et théâtre d’Arras - Samedi 13 novembre à 15hAprès la lunePar Nobuko Matsumiya, koto et chant,maître de thé et Philippe Costa, comédien.Concert lecture de haïku et musique japonaise.Tout public, à partir de 10 ans.Entrée libre et gratuite.Médiathèque du Palais Saint-Vaast - Vendredi 19 novembre à 20h 30Mundus ImaginalisCycle chorégraphique conçu par Carolyn Carlson pour les musées, galeries et lieux de patrimoine.Tout public - Billets en vente au musée

Rencontres autour du JaponDu 12 au 26 novembreÀ la rencontre de l’AsiePrésentation de l’histoire, de la civilisationet de l’artisanat d’art du Japon,de la Chine, du Vietnam,du Cambodge et de la Thaïlande.Tout public - Entrée libre et gratuite.Bibliothèque de quartier RonvilleBoîte à pique-nique (détail), XVIIIe-XIXe siècles,Nancy, musée des Beaux-Arts © Christian Schryve

Entrée dans la cour d’honneur de l’abbaye.Ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 9h30 à 12h et de 14h à 17h30. Fermé les 1er-8 mai, 14 juillet, 1er-11 novembre, 25 décembre et 1er janvier.Tarif plein : 4 euros ; tarif réduit : 2 euros.Visites thématiques : tous les dimanches, à 15h30(d’octobre à mai, hors vacances).

Moshi - MoshiRestaurant Japonais et Chinois

14 Grand Place Béthune 03 21 56 97 49

Nous vous proposons une excellente cuisine Japonaise et Chinoise

de qualité !

Venez dégusternos délicieuses

brochettes grilléesau charbon de bois !

Ouvert 7j/7 de 11h à 22h30

Page 13: Sortir en Artois

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expoSition

Au musée des beaux-Arts d’ArrasTout l’or du Japon...

Attention, exposition exception-nelle en cours au Musée des Beaux-Arts d’Arras. Un voyage au Japon, d’abord, dans le temps, en-suite : ces laques, créés du XVIe au XIX siècles, sont visibles jusqu’au 21 novembre. Cette exposition reconnue d’intérêt national présente près de 170 ob-jets en laque japonais (antérieurs à l’époque Meiji – 1868) conser-vés dans les collections publiques françaises. «L’Or du Japon» est une occasion exceptionnelle de dé-couvrir ces objets dont les trois-quart inédits témoignent de la rencontre entre l’Occident et l’Extrê-me-Orient.

Pour la découvrir, de multiplesrendez-vous ont été organisés : Kangei ! (bienvenue)Visite d’ouverture de l’expositionavec le conservateur du musée. Tous les dimanches ma-tin à 10h 30.Visites guidées pour le public adulte individuel.Tickets pour la visite guidée en pré-vente à l’Office de tourisme d’Arras au 03 21 51 26 95.

Stage et ateliers- Mercredi 20 octobre et 3 novembre à 15h, Initiation à la calligraphie japonaise, à partir de 8 ans - Entrée libre et gratuite.Bibliothèque de quartier Ronville : mercredi 20 octobreMédiathèque Verlaine : mercredi 3 novembre- Du 27 au 29 octobre de 14h à 16h30, D’encre et d’or, pour les 6/14 ans.Sur inscription préalable au musée.Stage vacances autour de la découvertede l’exposition et la réalisation d’un kakemono.Musée des Beaux-Arts- Mercredi 17 novembre : Initiation à l’Origami, à par-tir de 5 ans - Entrée libre et gratuite.Médiathèque Verlaine : 14h30Bibliothèque de quartier Ronville : 16h30

- Samedi 13 et 20 novembre à 14h30, Initiation au jeu de go, tout public - Entrée libre et gratuite.

Bibliothèque de quartier Ronville :samedi 13 novembreMédiathèque Verlaine : samedi 20 no-vembreProgramme des activités :

Pour vous accompagner dans la dé-couverte de l’exposition, le musée vous propose un document d’aide à la visite pour les adultes et un li-vret-jeu pour les enfants remis gra-

tuitement à l’accueil. En début de parcours, une vidéo vous expliquera la

technique de la laque et en fin d’exposition vous pourrez vous asseoir dans le salon de

médiation pour feuilleter quelques ouvrages sur le Ja-pon. Enfin, pendant toute la durée de l’exposition, le musée des Beaux-Arts d’Arras présentera des objets ja-ponais de son fonds permanent dans trois lieux culturels de la ville: médiathèque , conservatoire et théâtre.

Événement- Samedi 6 novembre à partir de 14hAprès-midi portes ouvertesà la médiathèque• Pour les enfants, à partir de 8 ans :ateliers confection d’un kimono, confectionde kokeshi, initiation à la calligraphie japonaise.• Pour les adultes : initiation au jeu de go,défilé de cosplay, exposition de bonsaïatelier shiatsu, initiation à l’art de l’ikebana.• Tout public : audition de musique de jeuxvidéo japonais par les élèves du conservatoireà rayonnement départemental de musique,danse et art dramatique.Gratuit - Accès dans la limite des placesdisponibles pour l’ensemble des activités.Médiathèque du Palais Saint-Vaast

Spectacles - Jeudi 21 octobre à partir de 18h 30Le Japon d’hier et d’aujourd’huiEn partenariat avec le théâtre d’Arras,une soirée qui débute avec une découverte

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de l’exposition puis de l’installation sonoreVilles d’Asie de Cécile Le Pradoet se termine avec le DJ Shouhei Matsushita.Pass en vente au théâtre.Billetterie au 03 21 71 66 16.Musée des Beaux-Arts et théâtre d’Arras - Samedi 13 novembre à 15hAprès la lunePar Nobuko Matsumiya, koto et chant,maître de thé et Philippe Costa, comédien.Concert lecture de haïku et musique japonaise.Tout public, à partir de 10 ans.Entrée libre et gratuite.Médiathèque du Palais Saint-Vaast - Vendredi 19 novembre à 20h 30Mundus ImaginalisCycle chorégraphique conçu par Carolyn Carlson pour les musées, galeries et lieux de patrimoine.Tout public - Billets en vente au musée

Rencontres autour du JaponDu 12 au 26 novembreÀ la rencontre de l’AsiePrésentation de l’histoire, de la civilisationet de l’artisanat d’art du Japon,de la Chine, du Vietnam,du Cambodge et de la Thaïlande.Tout public - Entrée libre et gratuite.Bibliothèque de quartier RonvilleBoîte à pique-nique (détail), XVIIIe-XIXe siècles,Nancy, musée des Beaux-Arts © Christian Schryve

Entrée dans la cour d’honneur de l’abbaye.Ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 9h30 à 12h et de 14h à 17h30. Fermé les 1er-8 mai, 14 juillet, 1er-11 novembre, 25 décembre et 1er janvier.Tarif plein : 4 euros ; tarif réduit : 2 euros.Visites thématiques : tous les dimanches, à 15h30(d’octobre à mai, hors vacances).

Moshi - MoshiRestaurant Japonais et Chinois

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Ouvert 7j/7 de 11h à 22h30

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CINEMA Notre sélection des prochaines sorties- Sorties le 27 octobre : The American (Anton Corbijn, avec Geogres Clooney, sus-pens), Il reste du jambon ? (Anne de Pétrini, avec Ramzy Bédia, Marie-France Pisier, comédie), Le Royaume de Ga’Hoole (Znack Snyder, fantastique, jeune public)- Sorties le 3 novembre : Morning Glory (de Roger Michell, avec Harrison Ford,Diane Keaton, comédie) , Buried (Rodrigo Cortes, avec Ryan Rey-nolds, José Luis Garcia Perez, thriller)- Sorties le 10 novembre : Potiche (François Ozon, avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini, comédie), Harry Potter et les reliques de la Mort I (David Yates, avec Daniel Radcliffe, Emma Watson, Rupert Grint, fantastique), The Company Men (john Wells, avec Ben Affleck, Kevin Costner, Tommy Lee Jones, drame)- Sorties le 17 novembre : Machete (Ethan Maniquis, Robert Rodriguez, avec Danny Trejo, Michelle Rodriguez, Jessica Alba, Robert De Niro, Lindsay Lohan, action), Red (Robert Schwentke, avec Bru-ce Willis, comédie, action), Le Village des ombres (Fouad Benhammou, avec Christa Theret, Bárbara Goenaga, Or-nella Boulé, thriller)

DANSE

Espace François-Mitterrand, Bully-les-Mines Vendredi 5 novembre, 20h30Sylvie Moreaux, Zip

C’est l’énergie, le rythme, la danse hip hop : trois person-nages modernes burlesques, absurdes, emportés par les flots, les mots, les sons.Tarifs : 5 euros / 4 eurosAbo : 4 euros / 3 euros

Musée des Beaux-Arts, ArrasVendredi 19 novembre, 20h30Carolyn Carlson, Mundus ImaginalisLe musée des beaux-arts d’Arras prolonge sa rencontre avec la danse contemporaine en accueillant le cycle cho-régraphique que Carolyn Carlson a conçu pour les musées, galeries et lieux de patrimoine. Tarifs : 8 euros place assise, 4 euros place debout. Achat des places à l’accueil du musée à partir du 15 octobre.

Théâtre municipal de Béthune Samedi 20 novembre 20h30Compagnie Blanca Li, Le Jardin des délicesUn spectacle chorégraphique de Blanca Li pour neuf dan-

seurs et un pianisteInspiré du tableau de Jérôme BoschUne esthétique pop haute en couleur distillée dans une succession de vastes et ambitieux tableaux. En toile de fond, un film d’animation, véritable bijou réalisé par Eve Ramboz.Au rythme du piano, dans de formidables scènes de caba-ret, Blanca Li raconte l’excès maladif de notre monde.Tarif C

EXPOSITIONMusée des Beaux-Arts, ArrasJusqu’au 21 novembreL’or du Japon170 objets en laque conservés dans les musées français, pour la plupart inédist et restaurés pour cette exposition exceptionnelle, sont présentés au public. Ces objets, an-térieurs à la l’époque Meiji, soit du XVIe siècle à la fin de l’époque Edo (1867) témoignent de la rencontre entre l’Occident et l’extrême-Orient.

Centre Arc-en-Ciel, LiévinJusqu’au 27 novembreExposition Christl Lidl, L’entre-imageLa production artisitque de Christ Lidl interroge la représen-tation de l’espace et du temps, au travers de l’image enre-gistrée. L’expérience sensible dans laquelle le spectateur est engagé fait partie de l’œuvre. Entrée libre aux heures d’ouverture de l’accueil et les lundis de 14h à 19h.

JEUNE PUBLIC

Espace Colucci, Divion, Festival Tiot LoupiotLectures d’albums de Malika Doray, compagnie du DagorDe 2 à 6 ans, durée : 35 minDimanche 24 octobre à 11h, 16h et 17h

Espace Ronny-Coutteure, GrenayCiné-Ludik (de 6 à 10 ans)Mercredi 3 novembre, 14h30Thème : « Citoyens du monde ». Gratuit pour les Grenaysiens, 3 euros pour les extérieurs

Musée des Beaux-arts, ArrasDu 27 au 29 octobre, stage vacances, « d’encre et d’or »Une immersion dans l’exposition L’Or du Japon, suivie d’un atelier de pratique artistique au cours duquel les participants réaliseront un kakemono (panneau décoratif japonais)

Espace Ronny-Coutteure, GrenayFestival Tiot Loupiot, LouJeudi 21 octobre, 9h30 et 10h30

Vendredi 22 octobre, 9h30 et 10h30Dès 2 ans (durée : 30 minutes)Lou est un vieux loup… Il passe son temps à lire, à chanter et à cuisiner. Aujourd’hui il prépare une fabuleuse recette, mais suffisamment tôt, il s’aperçoit qu’il doit sortir pour acheter du beurre.Il lui faut alors s’habiller et il commence par mettre son Nez ! Pendant ce temps là…. La famille « Chocon » se pro-mène dans les bois pensant que le « lou » n’y est pas…

Restaurant scolaire, LoconFestival Conteurs en campagneMardi 26 octobre, 18h30Les Contes du Kou’ndou, Keyba Natar

Espace Mandela, VermellesFestival Tiot Loupiot, Contes à la queue leu leu, Anne Leviel et Marie PeyronnetMercredi 3 novembre, 14h30Pour les 4-6 ans, histoires et comptines par deux conteu-ses et quelques objets apprivoisés. 50 min. Réservé au centre Maternel lors des sports vacan-ces. Le spectacle sera suivi d’un goûter à l’Espace Man-dela.Contes en sac, Marie PeyronnetEspace Mandela. Vendredi 5 novembre à 9h30 Les contes et les comptines se cachent dans un grand sac rouge, au son de la petite musique, ils sortent et se parta-gent avec le public. Quand le grand sac est vide c’est que les petites oreilles sont pleines

Salle Bella-Mandel, HarnesLecture aux tout petits et aux bébésVendredi 5 novembreIntervention de Giovanna Postuma, lectrice-formatrice, et échanges de 9h15 à 12h

Festival Tiot LoupiotCentre culturel le Prévert, HarnesNomade, compagnie la Vache BleueMercredi 10 novembre, 10h30Sur le même espace, il y a les enfants et les parents et il y a une conteuse. Elle se promène, elle raconte un voyage. Elle raconte avec sa robe, avec ses mains, pour offrir un spectacle tout en mouvement… Sa robe cache des acces-soires, fait office de scène et de chemin…Une ouverture au monde, une invitation au voyage, au no-madisme… « Nomade » c’est un spectacle sur le chemine-ment, une promenade, un voyage…

Les Pas Perdus, par la compagnie la Vache bleueMercredi 10 novembre, 15h30Dès 4 ansChacun trace sa route, passe son chemin et laisse des tra-ces de pas… Tantôt éphémères, tantôt perpétuels. Spec-

tacle sur des histoires de vie en transit… Maison de la jeunesse et de la vie associative, Houdain Festival Tiot Loupiot, Cape à raconte et Chats pitres et rats conteurs Mercredi 17 Novembre à 16h30 et 15h3 à 6 ans

Salle des œuvres sociales, Billy-MontignyFestival Tiot Loupiot, Bain calme et très agité,les TrigonellesSamedi 20 novembre, à 10h, 10h30, 11h, 11h30, 14h, 14h30, 15h, 16h, 16h30 Quand Arthur prend un bain, c’est toute une histoire sur trame de météo marine. L’histoire d’une tempête qui se lève, de pluies diluviennes, d’océans qui débordent, de bateaux qui coulent en lançant des SOS...Le son donne à découvrir l’histoire, l’écoute est la clé de l’imaginaire...

Ets s. LUPARt225, rue Roger salengro

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- Freins AV : Double disque hydraulique

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- Porte-bagages AV : 45 kg AR : 80 kg

- Pont arrière- Blocage différenciel au guidon- Suspension indépendante- Freins à disques ventilés- Transmission Automatique à Variateur CVT- 2 vitesse avant - 1 marche arrière

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homologué 2 places.Dès 14 ans avec BSR.

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finAncEmEnt

Sortiren Artois14 Sortiren Artois 15

AGENDA

Page 15: Sortir en Artois

CINEMA Notre sélection des prochaines sorties- Sorties le 27 octobre : The American (Anton Corbijn, avec Geogres Clooney, sus-pens), Il reste du jambon ? (Anne de Pétrini, avec Ramzy Bédia, Marie-France Pisier, comédie), Le Royaume de Ga’Hoole (Znack Snyder, fantastique, jeune public)- Sorties le 3 novembre : Morning Glory (de Roger Michell, avec Harrison Ford,Diane Keaton, comédie) , Buried (Rodrigo Cortes, avec Ryan Rey-nolds, José Luis Garcia Perez, thriller)- Sorties le 10 novembre : Potiche (François Ozon, avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini, comédie), Harry Potter et les reliques de la Mort I (David Yates, avec Daniel Radcliffe, Emma Watson, Rupert Grint, fantastique), The Company Men (john Wells, avec Ben Affleck, Kevin Costner, Tommy Lee Jones, drame)- Sorties le 17 novembre : Machete (Ethan Maniquis, Robert Rodriguez, avec Danny Trejo, Michelle Rodriguez, Jessica Alba, Robert De Niro, Lindsay Lohan, action), Red (Robert Schwentke, avec Bru-ce Willis, comédie, action), Le Village des ombres (Fouad Benhammou, avec Christa Theret, Bárbara Goenaga, Or-nella Boulé, thriller)

DANSE

Espace François-Mitterrand, Bully-les-Mines Vendredi 5 novembre, 20h30Sylvie Moreaux, Zip

C’est l’énergie, le rythme, la danse hip hop : trois person-nages modernes burlesques, absurdes, emportés par les flots, les mots, les sons.Tarifs : 5 euros / 4 eurosAbo : 4 euros / 3 euros

Musée des Beaux-Arts, ArrasVendredi 19 novembre, 20h30Carolyn Carlson, Mundus ImaginalisLe musée des beaux-arts d’Arras prolonge sa rencontre avec la danse contemporaine en accueillant le cycle cho-régraphique que Carolyn Carlson a conçu pour les musées, galeries et lieux de patrimoine. Tarifs : 8 euros place assise, 4 euros place debout. Achat des places à l’accueil du musée à partir du 15 octobre.

Théâtre municipal de Béthune Samedi 20 novembre 20h30Compagnie Blanca Li, Le Jardin des délicesUn spectacle chorégraphique de Blanca Li pour neuf dan-

seurs et un pianisteInspiré du tableau de Jérôme BoschUne esthétique pop haute en couleur distillée dans une succession de vastes et ambitieux tableaux. En toile de fond, un film d’animation, véritable bijou réalisé par Eve Ramboz.Au rythme du piano, dans de formidables scènes de caba-ret, Blanca Li raconte l’excès maladif de notre monde.Tarif C

EXPOSITIONMusée des Beaux-Arts, ArrasJusqu’au 21 novembreL’or du Japon170 objets en laque conservés dans les musées français, pour la plupart inédist et restaurés pour cette exposition exceptionnelle, sont présentés au public. Ces objets, an-térieurs à la l’époque Meiji, soit du XVIe siècle à la fin de l’époque Edo (1867) témoignent de la rencontre entre l’Occident et l’extrême-Orient.

Centre Arc-en-Ciel, LiévinJusqu’au 27 novembreExposition Christl Lidl, L’entre-imageLa production artisitque de Christ Lidl interroge la représen-tation de l’espace et du temps, au travers de l’image enre-gistrée. L’expérience sensible dans laquelle le spectateur est engagé fait partie de l’œuvre. Entrée libre aux heures d’ouverture de l’accueil et les lundis de 14h à 19h.

JEUNE PUBLIC

Espace Colucci, Divion, Festival Tiot LoupiotLectures d’albums de Malika Doray, compagnie du DagorDe 2 à 6 ans, durée : 35 minDimanche 24 octobre à 11h, 16h et 17h

Espace Ronny-Coutteure, GrenayCiné-Ludik (de 6 à 10 ans)Mercredi 3 novembre, 14h30Thème : « Citoyens du monde ». Gratuit pour les Grenaysiens, 3 euros pour les extérieurs

Musée des Beaux-arts, ArrasDu 27 au 29 octobre, stage vacances, « d’encre et d’or »Une immersion dans l’exposition L’Or du Japon, suivie d’un atelier de pratique artistique au cours duquel les participants réaliseront un kakemono (panneau décoratif japonais)

Espace Ronny-Coutteure, GrenayFestival Tiot Loupiot, LouJeudi 21 octobre, 9h30 et 10h30

Vendredi 22 octobre, 9h30 et 10h30Dès 2 ans (durée : 30 minutes)Lou est un vieux loup… Il passe son temps à lire, à chanter et à cuisiner. Aujourd’hui il prépare une fabuleuse recette, mais suffisamment tôt, il s’aperçoit qu’il doit sortir pour acheter du beurre.Il lui faut alors s’habiller et il commence par mettre son Nez ! Pendant ce temps là…. La famille « Chocon » se pro-mène dans les bois pensant que le « lou » n’y est pas…

Restaurant scolaire, LoconFestival Conteurs en campagneMardi 26 octobre, 18h30Les Contes du Kou’ndou, Keyba Natar

Espace Mandela, VermellesFestival Tiot Loupiot, Contes à la queue leu leu, Anne Leviel et Marie PeyronnetMercredi 3 novembre, 14h30Pour les 4-6 ans, histoires et comptines par deux conteu-ses et quelques objets apprivoisés. 50 min. Réservé au centre Maternel lors des sports vacan-ces. Le spectacle sera suivi d’un goûter à l’Espace Man-dela.Contes en sac, Marie PeyronnetEspace Mandela. Vendredi 5 novembre à 9h30 Les contes et les comptines se cachent dans un grand sac rouge, au son de la petite musique, ils sortent et se parta-gent avec le public. Quand le grand sac est vide c’est que les petites oreilles sont pleines

Salle Bella-Mandel, HarnesLecture aux tout petits et aux bébésVendredi 5 novembreIntervention de Giovanna Postuma, lectrice-formatrice, et échanges de 9h15 à 12h

Festival Tiot LoupiotCentre culturel le Prévert, HarnesNomade, compagnie la Vache BleueMercredi 10 novembre, 10h30Sur le même espace, il y a les enfants et les parents et il y a une conteuse. Elle se promène, elle raconte un voyage. Elle raconte avec sa robe, avec ses mains, pour offrir un spectacle tout en mouvement… Sa robe cache des acces-soires, fait office de scène et de chemin…Une ouverture au monde, une invitation au voyage, au no-madisme… « Nomade » c’est un spectacle sur le chemine-ment, une promenade, un voyage…

Les Pas Perdus, par la compagnie la Vache bleueMercredi 10 novembre, 15h30Dès 4 ansChacun trace sa route, passe son chemin et laisse des tra-ces de pas… Tantôt éphémères, tantôt perpétuels. Spec-

tacle sur des histoires de vie en transit… Maison de la jeunesse et de la vie associative, Houdain Festival Tiot Loupiot, Cape à raconte et Chats pitres et rats conteurs Mercredi 17 Novembre à 16h30 et 15h3 à 6 ans

Salle des œuvres sociales, Billy-MontignyFestival Tiot Loupiot, Bain calme et très agité,les TrigonellesSamedi 20 novembre, à 10h, 10h30, 11h, 11h30, 14h, 14h30, 15h, 16h, 16h30 Quand Arthur prend un bain, c’est toute une histoire sur trame de météo marine. L’histoire d’une tempête qui se lève, de pluies diluviennes, d’océans qui débordent, de bateaux qui coulent en lançant des SOS...Le son donne à découvrir l’histoire, l’écoute est la clé de l’imaginaire...

Ets s. LUPARt225, rue Roger salengro

ISBERGUES 03.21.02.16.94

nombREUx AUtREs modèLEs

disPos

www.mcs-LUPARt.fRconcEssionnAiRE

NOUVEAU TGB 550 LTchassis long

prix :

5790€

- Suspension indépendante

- Freins AV : Double disque hydraulique

OVERSIZED avec durite aviation

- Porte-bagages AV : 45 kg AR : 80 kg

- Pont arrière- Blocage différenciel au guidon- Suspension indépendante- Freins à disques ventilés- Transmission Automatique à Variateur CVT- 2 vitesse avant - 1 marche arrière

Sym 50 ORBIT 4 temps

homologué 2 places.Dès 14 ans avec BSR.

Garantie 2 ans

NOUVEAU400 tritton 4x4

Gamme TGB disponibleScooter 50cc

à partir de 1099€

Quad Adultehomologué 50cc

à partir de 2690€

prix :

999€

prix de lancement

7990€

finAncEmEnt

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AGENDA

Page 16: Sortir en Artois

Arc-en-Ciel, LiévinDimanche 21 novembre, 16h séance tout publicLa Manivelle Théâtre, Emile et Angèle, correspondance Deux collégiens, Emile le Québécois et Angèle la Françai-se, se retrouvent correspondants suite à un tirage au sort dans leur classe. Ils se lancent dans une série de messages écrits, alternants réflexions et espiègleries. Tous deux, en se confiant, découvrent l’univers de l’autre. Tarifs : 11 euros / 9 euros, Abo 7 euros, moins de 12 ans 6 euros, groupe 7 euros.

MUSIQUEL’Abattoir, LillersMardi 26 octobre, 20h30Gaëtan LeclercGaétan est le fils de Jean-Marie Leclerc, l’un des frères du «grand-père au regard bleu». C’est en 1998 qu’il décide de reprendre le répertoire de son oncle et il sera l’un des premiers à chanter à l’Espace Félix Leclerc de l’Île d’Or-léans en 2002.Depuis plus de six ans, Gaétan se produit sur scène de 60 à 70 fois par année et redonne un second souffle aux chansons de Félix. Tarifs : 8 euros / 10 euros

L’Abattoir, LillersSamedi 30 octobre, 20h Jef KinoCette voix du nord explore la musique et les mots au fil de chansons qui s’inspirent de Brel, Brassens ou Mano Solo. L’accompagnement est rehaussé par de belles inter-prétations à l’accordéon ou au kazou, et ses textes servis avec humour. De ses descriptions du quotidien, de vague à l’âme en chanson d’amour, on retiendra quelques paro-les comme : «les voisins, c’est tous des cons ; le problème, c’est qu’on est toujours le voisin de quelqu’un». Le courant passe entre le public et Jef Kino obéit qu’à la musique. Gratuit

Arc-en-Ciel, LiévinJeudi 4 novembre, 20h30Les jeudis de FrançoiseFrancesca Solleville, une grande dame de la chanson, ac-compagnée de Nathalie Fortin au piano, proposera un répertoire composé d’Anne Sylvestre, Allain leprest, Rémo Gary, bernard Joyet…Duaux, chansons à peste ! Un tour de chant en guise de dialogue, une boîte à musique où l’on peut croiser Alice ou Cendrillon pour des duos vocaux qui se ouent des mots !Tarifs : 13 euros / 11 euros, abo 8 euros, groupe 8 euros

Théâtre municipal de BéthuneVendredi 5 novembre, 20h30Frédéric Chopin, Mes Correspondances

François-René Duchâble : pianoAlain Carré : texte et adaptationDans une formule musicale loin des parcours obligés, Fran-çois-René Duchâble et Alain Carré mettent en scène la vie de Frédéric Chopin au travers de ses correspondances et de ses oeuvres. Virtuoses et passionnés, l’un est au verbe ce que l’autre est à la musique, et du poète au clavier, c’est ainsi qu’ils aiment dialoguer, c’est ainsi qu’ils aiment partager.Tarif B

Salle des Cheminots, Avion, Mardi 9 novembre, 20h30Espace culturel avionnais, salle Aragon, mercredi 10 no-vembre, 20h30Le Théâtre de l’Aventure, Le Cabaret des InvisiblesUne partition chorale en contrepoint de tous les discours savamment orchestrés. A l’heure où tout se dit, tout se voit, jean-Maurice Boudeulle, animateur du Théâtre de l’Aventure, choisist de donner la parole aux « invisibles ».

Théâtre de Poche, BéthuneVendredi 12 novembre, 20h45Soirée Pop rockMLCD (My little cheap dictaphone), The tragic tale of a genius, un opéra pop-rock moderneRomain LefevreTarifs : 7 euros/5 euros, Pass 3 euros

Théâtre municipal de BéthuneSamedi 13, 20h 30, et dimanche 14 novembre 18hMarc LavoineQuota de places à l’unité atteintUniquement disponible en abonnement

Après une tournée triomphale de plus de 80 dates, Marc Lavoine est de retour sur les routes de France - accom-pagné d’un pianiste et d’un guitariste - et propose une version inédite et acoustique de son « StereoShow ». Marc Lavoine interprète en « trio » ses plus grands succès, ainsi que les chansons qui ont fait le succès de son dernier al-bum « Volume.10 » : « La semaine prochaine », « Reviens mon amour », « Rue des Acacias », « Demande-moi »…

Théâtre de Poche, BéthuneVendredi 19 novembre, 20h45Twin Twin et By.K Twin Twin, ce sont des jumeaux bombastics : Lorent Idir et François Djemel et leur beat boxer allumé Patrick Biyik. Chacun de leur concert est un happening scénique, sonore et festif.Les morceaux de By.K naviguent entre rock électro et post rock. Timbres soignés, mélodies délicates, le mode mineur est omniprésent mais ne force jamais le trait du sombre.Tarifs : 7 euros / 5 euros, Pass 3 euros

Espace François-Mitterrand, Bully-les-MinesVendredi 26 novembre, 20h30Alexis HKIl a marqué les esprits lors des victoires de la musique 2010, en reprenant à sa manière, subtile et décalée, el fameux tuve d’Aznavour Emmenez-moi… Il promène en scène un répertoire « rétrochic », pleuplé de personnages tantôt attendrissants, souvent farfelus. Tarifs : 12 euros / 10 euros, abo 10 euros / 8 euros

THEATREEspace culturel Ronny-Coutteure, GrenayMardi 2 novembre, 18h30Théâtre de l’Aventure et compagnie du Tapis noir , Cent voix pour le direSpectacle cabaret, en chansons et danse. Retrouvez l’équipe du Vabaret des Invisbles dtu Théâtre de l’Aven-ture, le choeur des Cent voix de Grenay et la complicité de la compagnie du Tapis Noir. Chaque premier mardi du mois, les voix des amateurs et des professionnels se mêle-ront pour vous divertir.Entrée libre, sur réservation.

Espace culturel Ronny-Coutteure, GrenayMardi 9 et mercredi 10 novembre, 20h30Maxime Midière, L’éveil au monde de Pierre DupontPierre Dupont c’est nous ! Sa vie ? Son époque ? Son pays ? Plongé dans un monde cloisonné, restrictif, liberticide, où personne, jamais, ne lève la tête, ne tente de changer les choses, où personne, jamais ne s’éveille aux autres... Et un soir, l’homme se couche, s’endort. Il raconte, à travers son rêve, comment et pourquoi, au réveil, le lendemain matin, il s’éveillera au monde et fera tout pour le chan-ger ! Taris : 6 euros/ 4 et 2 euros (abonnement)

Espace culturel Ronny-Coutteure, GrenaySamedi 13 (20h30) et dimanche 14 novembre (15h)Alain Lempens, A m’mote !Auteur de nombreux sketches, comédien de la Ch’ti co-médie et de Parler Parlache, Alain Lempens nous propose aujourd’hui une nouvelle recette, une fresque patoisante qui narre avec humour, tendresse, nostalgie et dérision les moments forts d’une vie qui passe si vite.Tarifs 6 euros/ 3 euros, abonnement 4 euros et 2 euros

Espace François-Mitterrand, Bully-les-MinesDimanche 14 novembre, 16hJean Roucas, Une pizza pour troisQuand un sous-secrétaire d’état à la sauvegarde du pa-trimoine, aristocrate pédant, se fait souffler sa frivole et ravissante épouse par un petit livreur de pizzas à la mora-lité douteuse, il n’a qu’une envie : zigouiller le bonhomme ! Une comédie gourmande !Tarifs : 12 euros / 10 euros, abo : 10 euros / 8 euros

Comédie de BéthuneDu 15 au 19 novembre, 20hJean Boillot, Armando Llamas, No way, Veronica, ou nos gars ont la pêcheRemake théâtral du film fantastique The Thing, avec trois comédiens qui relèvent un défi théâtral. Une déclaration d’amour au cinéma qui célèbre aussi la jubilation et les effets spéciaux qu seuls des interprètes vivants peuvent fabriquer sur scène.

Escape culturel avionnais, AvionMercredi 17 novembre, 19hCompagnie Viesàvies, Les Enfants d’Eward BondBruno Lajara continue son travail avec les habitants du Chemin vert de Boulogne-sur-Mer, commencé il y a trois ans : comment transcender le mal de vivre, la violence, le moins que rien, le désoeuvrement en mettant justement les enfants au coeur du théâtre et du projet de création… La force du texte est aujourd’hui de confronter les enfants au théâtre, la vie et l’art, l’habitant et l’artiste.

Espace culturel Ronny-Coutteure, GrenayJeudi 18 novembre, 20h30Théâtre de l’Opprimé, Sans-papiers !Dans un théâtre forum, le spectateur devient «spectac-teur». le «Joker» interroge la salle : connaissons-nous ces situations ? De qui partageons-nous la volonté ? Les co-médiens jouent une seconde fois la scène, et le spec-ac-teur peut alors intervenir. Tarifs : chapeau à la sortie au profit du comité des sans-papiers 59/62

Fabrique théâtrale, Loos-en-GohelleMercredi 24 novembre, 19hJeudi 25 novembre, 19hVendredi 26 novembre, 20h30Compagnie (Ta Zoa), Eva PeronL’auteur argentin Copi ose tout, quand, en 1970 à Paris, il s’empare, pour sa première pièce, de la fin tragique d’Eva Peron, épouse du dictateur Juan Peron, en Argentine, dans les années 40. C’est tout à la fois une farce macabre, un cabaret burlesque, un conte cruel.

Arc-en-Ciel, LiévinDimanche 28 novembre, 16hL’harmonie – batterie fanfare municicpale fait son cinémaDe Chaplin à Jarre, en passant par Nino Rota, venez re-découvrir les grandes muiques de films qui ont marqué l’histoire du cinéma.L’harmonie – batterie fanfare vous propose un voyage musical dans le monde du 7e art au travers de des plus grands compositeurs de musique de films.Réservations indispensables auprès de l’école de musique au 03 21 44 06 56 ou 03 21 44 27 51

Sortiren Artois16 Sortiren Artois 17

AGENDA

Page 17: Sortir en Artois

Arc-en-Ciel, LiévinDimanche 21 novembre, 16h séance tout publicLa Manivelle Théâtre, Emile et Angèle, correspondance Deux collégiens, Emile le Québécois et Angèle la Françai-se, se retrouvent correspondants suite à un tirage au sort dans leur classe. Ils se lancent dans une série de messages écrits, alternants réflexions et espiègleries. Tous deux, en se confiant, découvrent l’univers de l’autre. Tarifs : 11 euros / 9 euros, Abo 7 euros, moins de 12 ans 6 euros, groupe 7 euros.

MUSIQUEL’Abattoir, LillersMardi 26 octobre, 20h30Gaëtan LeclercGaétan est le fils de Jean-Marie Leclerc, l’un des frères du «grand-père au regard bleu». C’est en 1998 qu’il décide de reprendre le répertoire de son oncle et il sera l’un des premiers à chanter à l’Espace Félix Leclerc de l’Île d’Or-léans en 2002.Depuis plus de six ans, Gaétan se produit sur scène de 60 à 70 fois par année et redonne un second souffle aux chansons de Félix. Tarifs : 8 euros / 10 euros

L’Abattoir, LillersSamedi 30 octobre, 20h Jef KinoCette voix du nord explore la musique et les mots au fil de chansons qui s’inspirent de Brel, Brassens ou Mano Solo. L’accompagnement est rehaussé par de belles inter-prétations à l’accordéon ou au kazou, et ses textes servis avec humour. De ses descriptions du quotidien, de vague à l’âme en chanson d’amour, on retiendra quelques paro-les comme : «les voisins, c’est tous des cons ; le problème, c’est qu’on est toujours le voisin de quelqu’un». Le courant passe entre le public et Jef Kino obéit qu’à la musique. Gratuit

Arc-en-Ciel, LiévinJeudi 4 novembre, 20h30Les jeudis de FrançoiseFrancesca Solleville, une grande dame de la chanson, ac-compagnée de Nathalie Fortin au piano, proposera un répertoire composé d’Anne Sylvestre, Allain leprest, Rémo Gary, bernard Joyet…Duaux, chansons à peste ! Un tour de chant en guise de dialogue, une boîte à musique où l’on peut croiser Alice ou Cendrillon pour des duos vocaux qui se ouent des mots !Tarifs : 13 euros / 11 euros, abo 8 euros, groupe 8 euros

Théâtre municipal de BéthuneVendredi 5 novembre, 20h30Frédéric Chopin, Mes Correspondances

François-René Duchâble : pianoAlain Carré : texte et adaptationDans une formule musicale loin des parcours obligés, Fran-çois-René Duchâble et Alain Carré mettent en scène la vie de Frédéric Chopin au travers de ses correspondances et de ses oeuvres. Virtuoses et passionnés, l’un est au verbe ce que l’autre est à la musique, et du poète au clavier, c’est ainsi qu’ils aiment dialoguer, c’est ainsi qu’ils aiment partager.Tarif B

Salle des Cheminots, Avion, Mardi 9 novembre, 20h30Espace culturel avionnais, salle Aragon, mercredi 10 no-vembre, 20h30Le Théâtre de l’Aventure, Le Cabaret des InvisiblesUne partition chorale en contrepoint de tous les discours savamment orchestrés. A l’heure où tout se dit, tout se voit, jean-Maurice Boudeulle, animateur du Théâtre de l’Aventure, choisist de donner la parole aux « invisibles ».

Théâtre de Poche, BéthuneVendredi 12 novembre, 20h45Soirée Pop rockMLCD (My little cheap dictaphone), The tragic tale of a genius, un opéra pop-rock moderneRomain LefevreTarifs : 7 euros/5 euros, Pass 3 euros

Théâtre municipal de BéthuneSamedi 13, 20h 30, et dimanche 14 novembre 18hMarc LavoineQuota de places à l’unité atteintUniquement disponible en abonnement

Après une tournée triomphale de plus de 80 dates, Marc Lavoine est de retour sur les routes de France - accom-pagné d’un pianiste et d’un guitariste - et propose une version inédite et acoustique de son « StereoShow ». Marc Lavoine interprète en « trio » ses plus grands succès, ainsi que les chansons qui ont fait le succès de son dernier al-bum « Volume.10 » : « La semaine prochaine », « Reviens mon amour », « Rue des Acacias », « Demande-moi »…

Théâtre de Poche, BéthuneVendredi 19 novembre, 20h45Twin Twin et By.K Twin Twin, ce sont des jumeaux bombastics : Lorent Idir et François Djemel et leur beat boxer allumé Patrick Biyik. Chacun de leur concert est un happening scénique, sonore et festif.Les morceaux de By.K naviguent entre rock électro et post rock. Timbres soignés, mélodies délicates, le mode mineur est omniprésent mais ne force jamais le trait du sombre.Tarifs : 7 euros / 5 euros, Pass 3 euros

Espace François-Mitterrand, Bully-les-MinesVendredi 26 novembre, 20h30Alexis HKIl a marqué les esprits lors des victoires de la musique 2010, en reprenant à sa manière, subtile et décalée, el fameux tuve d’Aznavour Emmenez-moi… Il promène en scène un répertoire « rétrochic », pleuplé de personnages tantôt attendrissants, souvent farfelus. Tarifs : 12 euros / 10 euros, abo 10 euros / 8 euros

THEATREEspace culturel Ronny-Coutteure, GrenayMardi 2 novembre, 18h30Théâtre de l’Aventure et compagnie du Tapis noir , Cent voix pour le direSpectacle cabaret, en chansons et danse. Retrouvez l’équipe du Vabaret des Invisbles dtu Théâtre de l’Aven-ture, le choeur des Cent voix de Grenay et la complicité de la compagnie du Tapis Noir. Chaque premier mardi du mois, les voix des amateurs et des professionnels se mêle-ront pour vous divertir.Entrée libre, sur réservation.

Espace culturel Ronny-Coutteure, GrenayMardi 9 et mercredi 10 novembre, 20h30Maxime Midière, L’éveil au monde de Pierre DupontPierre Dupont c’est nous ! Sa vie ? Son époque ? Son pays ? Plongé dans un monde cloisonné, restrictif, liberticide, où personne, jamais, ne lève la tête, ne tente de changer les choses, où personne, jamais ne s’éveille aux autres... Et un soir, l’homme se couche, s’endort. Il raconte, à travers son rêve, comment et pourquoi, au réveil, le lendemain matin, il s’éveillera au monde et fera tout pour le chan-ger ! Taris : 6 euros/ 4 et 2 euros (abonnement)

Espace culturel Ronny-Coutteure, GrenaySamedi 13 (20h30) et dimanche 14 novembre (15h)Alain Lempens, A m’mote !Auteur de nombreux sketches, comédien de la Ch’ti co-médie et de Parler Parlache, Alain Lempens nous propose aujourd’hui une nouvelle recette, une fresque patoisante qui narre avec humour, tendresse, nostalgie et dérision les moments forts d’une vie qui passe si vite.Tarifs 6 euros/ 3 euros, abonnement 4 euros et 2 euros

Espace François-Mitterrand, Bully-les-MinesDimanche 14 novembre, 16hJean Roucas, Une pizza pour troisQuand un sous-secrétaire d’état à la sauvegarde du pa-trimoine, aristocrate pédant, se fait souffler sa frivole et ravissante épouse par un petit livreur de pizzas à la mora-lité douteuse, il n’a qu’une envie : zigouiller le bonhomme ! Une comédie gourmande !Tarifs : 12 euros / 10 euros, abo : 10 euros / 8 euros

Comédie de BéthuneDu 15 au 19 novembre, 20hJean Boillot, Armando Llamas, No way, Veronica, ou nos gars ont la pêcheRemake théâtral du film fantastique The Thing, avec trois comédiens qui relèvent un défi théâtral. Une déclaration d’amour au cinéma qui célèbre aussi la jubilation et les effets spéciaux qu seuls des interprètes vivants peuvent fabriquer sur scène.

Escape culturel avionnais, AvionMercredi 17 novembre, 19hCompagnie Viesàvies, Les Enfants d’Eward BondBruno Lajara continue son travail avec les habitants du Chemin vert de Boulogne-sur-Mer, commencé il y a trois ans : comment transcender le mal de vivre, la violence, le moins que rien, le désoeuvrement en mettant justement les enfants au coeur du théâtre et du projet de création… La force du texte est aujourd’hui de confronter les enfants au théâtre, la vie et l’art, l’habitant et l’artiste.

Espace culturel Ronny-Coutteure, GrenayJeudi 18 novembre, 20h30Théâtre de l’Opprimé, Sans-papiers !Dans un théâtre forum, le spectateur devient «spectac-teur». le «Joker» interroge la salle : connaissons-nous ces situations ? De qui partageons-nous la volonté ? Les co-médiens jouent une seconde fois la scène, et le spec-ac-teur peut alors intervenir. Tarifs : chapeau à la sortie au profit du comité des sans-papiers 59/62

Fabrique théâtrale, Loos-en-GohelleMercredi 24 novembre, 19hJeudi 25 novembre, 19hVendredi 26 novembre, 20h30Compagnie (Ta Zoa), Eva PeronL’auteur argentin Copi ose tout, quand, en 1970 à Paris, il s’empare, pour sa première pièce, de la fin tragique d’Eva Peron, épouse du dictateur Juan Peron, en Argentine, dans les années 40. C’est tout à la fois une farce macabre, un cabaret burlesque, un conte cruel.

Arc-en-Ciel, LiévinDimanche 28 novembre, 16hL’harmonie – batterie fanfare municicpale fait son cinémaDe Chaplin à Jarre, en passant par Nino Rota, venez re-découvrir les grandes muiques de films qui ont marqué l’histoire du cinéma.L’harmonie – batterie fanfare vous propose un voyage musical dans le monde du 7e art au travers de des plus grands compositeurs de musique de films.Réservations indispensables auprès de l’école de musique au 03 21 44 06 56 ou 03 21 44 27 51

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PATRIMOINE

HUMOUR de Béthune

Théâtre municipalSamedi 27 novembre, 20h30Elisabeth Buffet, One woman showÉlisabeth Buffet pourrait devenir l’héroïne des célibataires urbaines !

Cette touchante foldingue incarne un personnage drôle, attachant et tellement réel, celui d’une quadragénaire cé-libataire en mal d’amour. Elle ne cache rien de sa libido et de ses rencontres foireuses avec le récit de ses aventures ! Abrasive et corrosive, elle effleure la vulgarité par des métaphores cocasses et nous emmène dans un univers délirant, moderne et décalé ! Impétueuse, elle trouve un habile dosage entre naïveté et autodérision, ne manquant ni de culot ni d’audace.Tout entière, la voilà désormais donnant à l’humour d’aujourd’hui un sang véritablement nouveau.Tarif C

AuTREsEspace Ronny-CoutteureCinésandwichsMercredi 3 novembre, 19h«Le plafond de verre», de Yamina BenguiguiEntrée libre.

Hesdin, Festival les FestivesDu 9 au 20 Novembre 2010L’Art et la PlanèteSalle du Manège

Mardi 9 novembre 18h30Un grand moment de plaisir, d’émotion et de partage pour cette 10ème édition des Festives qui s’associe à la Semaine de la Solidarité Internationale, pour ouvrir en-core davantage les portes de la connaissance dans le rire, l’émotion et la fête. Théâtre, danse, concert, projection, débat … Nous allons rire, nous allons danser et en plus nous serons solidaires.Suivi à 20h30 de Décidément, I’m So glad, danse.Spectacle de danse organisé en partenariat avec le conseil général du Pas-de-Calais, dans le cadre de « 2010, année de la musique et de la danse en Pas-de-Calais ».Réjouissance chorégraphique

Salle du ManègeMercredi 10 novembre, 20h30De et avec Claude Semal et Ivan Fox, mise en scène Lau-rence Warin, Ubu à l’ElyséeThéâtre comique, Pièce en cinq actes pour nain, marion-nettes et vers de mirliton.

Salle du manègeJeudi 11 novembre 20h30 Théâtre du Rollmops, Mystero Buffo Théâtre musical de Dario Fo

Espace François-Mitterrand, Bully-les-MinesJeudi 18 novembre, 19hConférence de Thierry Magniez, Kamchatka.Au travers les paysages les plus sauvages, Thierry Magniez vous invite à l’autre bout du monde pour vous raconter son aventure au pays de l’ours brun.Tarif unique : deux euros

Artistes, compagnies, espaces culturels, si vous souhaitez que votre programmation du mois du

novembre figure dans le prochain numéro dusupplément culturel de l’Avenir de l’Artois, vous

pouvez faire parvenir vos informations avantle 8 novembre à [email protected]

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