Fiersd’Optymo Phase II

Non, le projet Optymo phase II n’est pas un projet ruineux ! Non, le débat public n’a pas été occulté, ni confisqué !

Oui, Optymo phase II est un grand projet, porteur d’avenir !

Nous attendons de l’opposition une attitude politiqueresponsable et digne

répondreDepuis quelques semaines,

Damien Meslot énonce des contre-vérités qui

portent de graves préjudices à Opymo phase II et ternissent l’image de notre réseau de transports.

Après avoir soutenu lapolitique du Syndicat Mixte des Transports en Commun auprès du Ministre desTransports, après que ses partisans aient votél’ensemble des délibérations concernant Optymo phase II, il veut maintenant profiter des inquiétudes liées auxtravaux pour critiquer unprojet pourtant reconnu d’utilité publique par lePréfet.

En tant que Président duSyndicat Mixte des Transports en Commun, je veux dans ce document répondre aux faux arguments dont le projet est victime et faire entendre la voix de ceux qui noussoutiennent et quicomprennent tout ce qu’Optymo phase II apporte à Belfort et à son territoire.

Il s’agit ainsi de défendre nos clients et tous nos futurs clients, qui eux saventcombien il est utile depouvoir bénéficier d’un réseau de transports efficace.Non, le projet Optymo phase II n’est pas un projet ruineux !

Non, le débat public n’a pas été occulté, ni confisqué !Oui, Optymo phase II est un grand projet, porteur d’avenir pour les habitants duTerritoire de Belfort ! Oui, Optymo phase II, c’est un projet de société, un choix économique et social !

Le Syndicat Mixte desTransports en Commun défend avec fermeté Optymo phase II parce que nous sommes persuadés qu’il nous permettra d’atteindre un objectif ambitieux : faire de l’agglomération belfortaine la capitale du Nord Franche-Comté.

CHRISTIAN PROUST, PRÉSIDENT DU SMTCLORS DU LANCEMENT DE CHANTIER RUE DU PONT NEUF

Comment peut-on soutenir un projet auprès du ministre en charge des Transports et, localement, auprès de la po-pulation, prendre une posture d’opposant ?À quelques mois d’une échéance électorale, par calcul politique sans aucun doute !

Cette stratégie n’est pas digne des enjeux politiques qui ont fait de l’agglomération belfortaine depuis 30 ans, un territoire d’innovation et de progrès social reconnu dans la France entière.

Une ambitionpour notre territoirePour la qualité de son cadre de vieet son attractivité économique.

NOUS vOUlONS fAIREDE BElfORT UNE vIllEExEMPlAIRE EN MATIèREDE TRANSPORTS EN COMMUN.Avec comme objectif 22 millions de voyages en 2020, nous atteindrons 20% de part modale pour le transport en commun dans le Pôle urbain (Belfort et les communes limitrophes). Belfort sera ainsi la première agglomération française de moins de 100 000 habitants à porter la part modale de l’automobile sous les 50%. Cette progression de la fréquenta-tion n’est pas démesurée : avec 20% de part modale, nous sommes encore très loin des résultats des agglomérations suisses de taille équivalente.

NOUS vOUlONS AUgMENTER lE POUvOIR D’ACHAT DES MÉNAgES DU TERRITOIRE DE BElfORT.Le premier des objectifs recherchés par le SMTC avec le lancement d’Optymo, c’est l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages grâce à la diminution des dépenses transport. En 2020, c’est 7 000 ménages qui diviseront par deux leur budget mobilité. Avec une économie de 5945 € par an selon les chiffres de l’Auto-mobile Club Association, cela représente, au total, près de 42 millions d’euros dis-ponibles pour d’autres usages qui servi-ront au développement de notre écono-mie locale.

NOUS vOUlONS AMPlIfIERl’ATTRACTIvITÉDE l’AgglOMÉRATIONBElfORTAINE.Optymo phase II, c’est un enjeu territo-rial. En transformant profondément le coeur de l’agglomération belfortaine et en améliorant les flux de circulation entre le Pôle urbain et l’Aire urbaine, Optymo phase II a pour objectif d’accentuer l’at-tractivité de Belfort tant par la qualité de son projet urbain que par la qualité des mobilités urbaines. Améliorer le cadre de vie des habitants, faciliter les déplace-ments dans une ville apaisée, dynamique parce qu’ouverte sur l’Aire urbaine, c’est donner à Belfort les moyens de s’imposer comme la capitale économique du Nord Franche-Comté. Faire de l’agglomération belfortaine un pôle urbain attractif, c’est faire gagner le Territoire de Belfort dans la compétition entre les territoires.

NOUS vOUlONS fAIREDU TERRITOIRE DE BElfORTUN lEADER DANS lE DOMAINE DE lA MOBIlITÉ.Grâce à la construction des tramways, les grandes agglomérations françaises ont obtenu des résultats remarquables en termes de transport collec-tif. Mais, aujourd’hui la crise des fi-nances publiques ne permet plus de recourir à de tels investissements.

Reçu par le ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement en mars 2012, écouté pour ses prises de positions sur un finan-cement de l’Etat fondé sur les résultats obtenus plutôt que par la dépense enga-gée, consulté sur le succès exceptionnel d’Optymo, le SMTC fait depuis quelques mois l’objet d’un intérêt accru de la part de la presse nationale. Cette visibilité mé-diatique est nécessaire pour faire du Ter-ritoire de Belfort un pôle d’excellence en matière de mobilité territoriale.

La réussite pleine et entière du projet Optymo, l’application d’une politique innovante et volontaire menée par le SMTC et la définition d’un modèle inno-vant imposeront Belfort comme une ville pionnière dans l’élaboration de nouvelles solutions de mobilités.

Des solutions transférables à toutes les agglomérations et notamment les petites et moyennes agglomérations qui repré-sentent à elles seules plus de 10 millions d’habitants en France.

Christian Proustaux côtés de Jean-Pierre Chevènement lors de la table ronde « Halte au tout tramway » à Paris le 15 mars 2012.

lU DANS lA PRESSE

20 avril 2012. La mode du tramway urbain a-t-elle fait son temps ? Le 15 mars, les responsables des transports de l’agglomération de Belfort (environ 100 000 habitants )ont jeté un pavé dans la mare : « Halte au touttramway ,économisons 50 milliards d’euros ! » , proclament-ils en prônant « la révolution douce des transports publics ».

11 avril 2012. En matière de transport collectif, en Franche-Comté, deux des ag-glomérations principales ont opté pour des solutions optimisées mais radicalement différentes. [...]. « Le tram est structurellement déficitaire », estime pour sa part Christian Proust, président du Syndicat mixte des transports du Territoire de Belfort (SMTC).

28 septembre 2012 - ZOOM Bus-vélo-auto : l’offre « triple play » novatricede Belfort. Trente personnes ont été recrutées pour aller présenter l’offre aux 30 000 habitants en privé, « car c’est sur l’absence d’information que peinent souvent les meilleurs sys-tèmes », précise Christian Proust. Selon lui, l’essentiel est de traiter l’offre par rapport à la demande et non l’inverse, qui le plus souvent se réduit à ne s’occuper que des flux. D’où sa proposition politique dans laquelle il offre à l’État de financer non pas les dépenses mais les résultats.

1er mai 2012« Nous voulons aller contre les idées reçues et contre la mode des tramways qui coûtent chers. » lançait Christian Proust, pré-sident du SMTC. « On ne résout pas les problèmes de mobilité avec des infrastructures mais avec des services »

2 octobre 2012 La révolution doucepréconisée par Christian proust.C’est par une tribune dans Le Monde du 19 septembre, titrée « Mobilité, on peut faire 48 milliards d’économie », que le président (MRC) du syndicat mixte des transports en commun du Ter-ritoire de Belfort a lancé un pavé dans la mare : pour passer à la nouvelle mobilité à coût réduit, arrêtons la course aux infrastruc-tures ! Il faut améliorer les ser-vices de transports et repenser la relation Etat/collectivités locales.

Mauvaise foi et double-jeu

ChristianPrOust

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Un projet discuté et concerté.Une population qui soutient le projet !

Combien ça coûte à Nice ?

Un projetéconomique et social.Une politique juste.

Une population informée, consultée et qui approuve Optymo phase II.

A ucune autre agglomération en France n’a fait autant d’effort pour informer ses habitants. Entre juin 2011 et avril 2012, 16 168 foyers

belfortains ont été visités par les correspondants Optymo. 10 370 foyers ont reçu une information dé-taillée sur le projet. 65% d’entre eux ont estimé qu’il s’agissait d’un projet très favorable pour l’agglomé-ration belfortaine. Dans les communes limitrophes, c’est 2 700 foyers qui ont également reçu cette in-formation. Le taux de commentaires positifs atteint 50%. Ces chiffres sont incontestables : la fiabilité de notre enquête a été attestée par un procès verbal d’huissier (Maître J. Antoine à Belfort).

DES COMMERçANTS fAvORABlESà OPTyMO PHASE II.1150 commerces du Pôle Urbain ont reçu une infor-mation Optymo phase II. Seuls 237 commerçants n’ont pas voulu être renseignés. 75% des commer-çants ayant été informés ont émis un avis favorable sur le projet. A cette information directe, s’ajoutent les réunions publiques d’information conduites par les élus auprès des commerçants et les réunions de travail du Club Optymo II en partenariat avec la CCI.

UN DÉBAT DE PROxIMITÉ.Depuis l’Assemblée plénière des Conseils de quar-tiers, le 20 juin 2011, ce sont des centaines d’heures de débat qui ont eu lieu avec les citoyens lors des Conseils de quartiers : ces temps de concertation avec la population, comme ceux avec les services de la ville, nous ont permis de procéder à des ajus-tements pour améliorer le projet. C’est également la mise en place de plusieurs Réunions de riverains en octobre 2011 pour expliquer, dans le détail, le pro-jet aux habitants des rues impactées par les travaux. Enfin, à chaque ouverture de chantiers, élus et tech-niciens du SMTC sont allés à la rencontre des habi-tants pour répondre à leurs interrogations concer-nant le déroulement pratique des travaux.

UN PROjET fORTEMENT MÉDIATISÉ.La presse locale a largement présenté le projet et informé les citoyens sur Optymo phase II. Relayant les informations présentées dans les réunions pu-bliques, la presse écrite et radio a également ouvert ses tribunes aux avis contraires : au total, entre le 6 octobre 2010 et le 23 avril 2012, c’est plus de 150 articles de presse et de reportages diffusés sur Optymo phase II.

POUR jUgER,Il fAUT COMPARER .Pourquoi ne pas comparer les choix des élus du SMTC avec ceux des métropoles moyennes ? Un tableau comparatif montre clai-rement que le choix belfortain est économe, raisonnable et effi-cace. Les opposants au projet ne veulent pas comparer la dépense publique engagée par des grandes métropoles arguant le fait que ce n’est pas le même contexte. Pourtant, un euro niçois ou un euro belfortain, c’est toujours un euro de dépense publique !

À Belfort, nous avons fait le choix de mesurer l’efficacité écono-mique et sociale des solutions proposées. Les agglomérations françaises ne peuvent plus inves-tir des centaines de millions d’eu-ros pour augmenter la fréquenta-tion du transport en commun. Les solutions que met en oeuvre le SMTC serviront à inventer une nouvelle politique des trans-ports en France pour atteindre les objectifs du Grenelle de l’En-vironnement. Moins chères, moins lourdes, les solutions que développe le SMTC démontrent que les agglomérations de taille

moyenne peuvent augmenter de façon importante la fréquence et donc la fréquentation de leur réseau de transports.

NOUS vOUlONS CRÉER UN CONTRAT D’OBjECTIfAvEC l’ETAT.Alors que les grands projets d’in-frastructure, coûteux pour les collectivités locales (réseau ferré : métro, tramway ; BHNS et Trans-port en commun sur site propre) reçoivent des subventions de l’Etat, Optymo phase II, du fait de son originalité, n’est pas éligible aux appels à projet du Grenelle de l’Environnement. Le SMTC a donc construit un budget sans aide de l’État. Prenant à sa charge 18 M€, le SMTC a la capacité de financer 13 M€ supplémen-taire grâce à l’augmentation du Versement transport. Pour ré-duire la pression fiscale sur les entreprises soumises à cette taxe, le SMTC a proposé à l’Etat de financer non plus la dépense d’investissement mais les résul-tats de fréquentation obtenus. Cette nouvelle forme de contrat avec l’Etat permettrait de ne pas augmenter la part du Versement transport.

UN PROjET POUR lES HABITANTS DU TERRITOIRE DE BElfORTLes polémiques ne doivent pas faire oublier l’objectif principal d’Optymo Phase II  : garantir un droit fondamental, celui de la mobilité, à l’ensemble de nos concitoyens.

Ce droit à la mobilité est essentiel pour tous les habitants, en-fants, adultes et séniors, pour accéder à tous les services, tous les équipements et toutes les infrastructures que leur offre notre ville.

La mobilité, c’est aussi la condition nécessaire pour qu’une ville reste vivante, avec ses activités de loisirs, ses commerces de proximité, son animation commerciale. Mais, en cette période de crise économique, les coûts de la voiture deviennent exagérés pour un grand nombre de nos concitoyens.

En créant une offre de mobilité qui répond à l’ensemble des besoins de déplacement, que ce soit par le vélo, le bus ou l’utili-sation d’une voiture en libre-service, Optymo a pour objectif de réduire très fortement le coût du déplacement pour les familles.

À titre d’exemple, la possibilité d’abandonner la seconde voiture pour un ménage, c’est au minimum un gain de pouvoir d’achat de 5000 € par an !

(selon un rapport de l’Automobile Club Association paru en juin 2012, le budget annuel pour l’acquisition et l’entretien d’une Clio III est de 5976 € TTC, source : http://www.automobile-club.fr/budget/ebook/index.html)

Les collectivités locales (Ville de Belfort, Communauté d’Agglomération Belfortaine, Conseil général, Conseil régional) participent au financement du projet à hauteur de 11,8 M€. C’est en définitif le montant des travaux de voieries : coût de 12 M€ pour une surface totale de 78 000 m² de voies automobiles et de parkings. Les travaux d’aménagements ur-bains sont donc pris en charge par le reste du budget Optymo phase II financé par le SMTC.

Christian EstrOsi, Maire UMP de Nice, espère 140,8 M€ de subventions pour financer son projet de tramway ligne Ouest-Est dont le coût atteint 771 M€. Quatre ans de travaux sont pré-vus pour une mise en service de la ligne en 2017.

En plus des 771 M€ de la ligne Ouest-Est, Nice projette déjà l’extension de son réseau par de nouveaux aménagements tram-way ou BHNS pour un montant qui sera supérieur à 270 M€.

L’UMP programme à Nice une dépense publique mini-mum d’un milliard d’euros, soit une dépense de 1955 € par habitant !

IlS REPRODUISENTl’ERREUR DE 2008En 2007, l’UMP a voulu utiliser la refon-dation du réseau de bus pour attaquer les élus en charge du dossier « transport ». Présentant la modernisation du réseau comme un fiasco, annonçant une pétition de 10 000 signatures qui n’a jamais été adressée au SMTC, Damien Meslot avait fait le choix de la démagogie. Aujourd’hui, le succès d’Optymo présente un bilan exceptionnel en termes de fréquentation (plus de 8 000 000 de voyages en 2011 contre 4 000 000 en 2007) et montre que les choix stratégiques des élus du SMTC étaient essentiels pour l’attractivité du réseau et la réussite d’un projet profon-dément économique et social.

IlS jOUENT UN « DOUBlE-jEU » La leçon de 2007 a porté ses fruits : à part les opposants obsessionnels d’Optymo, les élus d’opposition ont eu une attitude plus circonspecte. Cédric Perrin et Florent Bouquet ont voté les délibérations du SMTC les unes après les autres. Grâce à leur sens des responsabilités, les chan-tiers Optymo phase II ont pu commencer. Damien Meslot, quant à lui, a attendu les débuts des travaux pour attaquer le projet. Pendant l’enquête publique conduite par des commissaires enquêteurs indépen-dants, Damien Meslot n’a pas jugé utile d’exprimer son opposition alors que c’était bien le moment de s’opposer au projet.

IlS SONT DÉMAgOgUESAttendre les difficultés liées aux travaux pour alimenter les polémiques, aviver les craintes des riverains en usant de formules catastrophistes, jouant des fantasmes d’une circulation labyrinthique, de travaux pharaoniques et inutiles, prédire la fin des commerces en centre ville, est une stratégie qui s’est brisée contre la réalité quotidienne. Réalité confirmée par les conclusions d’un journaliste de l’Est Républicain qui a fait un test grandeur nature et à l’heure de pointe : « Circulation en voiture de Bavilliers à Belfort : fluide, finalement ». à la démagogie s’oppose le sens de la responsabilité de ceux qui mènent des projets concrets pour Belfort.

UNE INfORMATIONClAIRE ET PRÉCISE.Le 8 février 2012, les services de l’Etat par l’intermédiaire de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement Franche-Comté rendaient l’avis suivant concernant le dossier public présenté par le SMTC : « Le dossier est clair, bien illustré et permet une appréhension aisée par le public du contexte local des transports en commun sur l’agglomération belfortaine. […]. Le dossier présente en outre, de façon proportionnée aux enjeux, les différentes thématiques de l’environ-nement concernées par ce projet. Les synthèses en fin de chaque chapitre sont éclairantes. »

Chiffres

CLés

+ 75 %de fréquentation avec Optymo 1.

10 370foyers ont reçuune information détaillée du projet.

65 %des foyers belfor-tains informés ont trouvé le projet très favorable pour l’agglomération.

75 %des commerçants informés ont émis un avis favorable.

40 000 000c’est le coût du projet Optymo Phase II.

22 000 000de voyages en 2020, c’est l’objectif fixé.

14 moisde travaux pour le chantier Optymo Phase II.

5 à 10 min.la fréquence des bus Optymo à la fin des travaux.

Nombre d’habitants du PTU (Périmètres du Transport Urbain)

EN MOISDépense par habitant du PTU (Périmètres du Transport Urbain)

source : Gart,L’année 2010 des transports urbains hors Ile-de-France.

En minutes aux heures de pointe

Présentationaux riverainset aux commer-çants des projets d’aménagement pour Belfort par les correspon-dants Optymo.

L’avenue Foch.

Lancement de chantier secteur Foch-Carnot, le 16 juillet 2012

COÛT DES TRAVAUX NOMBRE D’HABITANTS DURÉE DES TRAVAUX fRÉqUENCE DE PASSAGECOÛT PAR HABITANT

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Une oppositionirresponsableentre démagogieet double-jeu

gASPIllAgE

Une très belleopération financière pour les Belfortains

VILLE DE BELFORT 4,5 M€

C.A.B 2,8 M€

CONSEIL GéNéRAL 2 M€

CONSEIL RéGIONAL 2 M€

AUTRES COMMUNES 0,5 M€

TOTAl 11,8 M€

BElfORT BElfORT BElfORT

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