PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE Des enfants innocents n’ont rien … · 2018. 2. 27. · PROJET...

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Bulletin miva Nº 1, mars 2013 niques de culture et l’exploitation des produits de leurs cultures. Le projet assure l’autosuffisance du village d’enfants et apprend aux enfants l’approche de l’auto-assistance « autosuffisance par la culture maraîchère durable » pour leur vie future. L’un des objectifs du village d’enfants est de renforcer les enfants laissés seuls. Les enfants sont accueillis pour la durée de l’incarcération et bénéficient d’un encadrement intensif afin de surmonter la charge psychique ou des expériences traumatisantes. Un autre objectif est le regroupement familial accompagné. Grâce à des journées de visites organisées dans les prisons, les enfants peu- vent garder le contact avec leurs parents biologiques. Ces visites sous forme de fêtes communes, de représentations des enfants pour leurs parents ou d’après-midi de jeux assurent et stabilisent le lien familial. Pour permettre aux 220 enfants d’y participer, il faut organiser chaque mois 65 voyages en groupes de 20 enfants et accompagnants chacun. Ce n’est possible qu’avec un bus de taille moyenne. La mobilité acquise permet en même temps d’effectuer plus de trajets dans le cadre de la prévention de la santé, des manifestations sportives ou du pro- jet d’horticulture. Minibus pour le village d’enfants Cristo Rey et en faveur d’enfants de parents détenus Projekt 120045 Mittelbedarf: CHF 24 800.– Il est important pour les enfants d’avoir des relations avec leurs parents même s’ils sont en prison. Un minibus est donc indispensable pour assurer les visites en prison, ac- compagnées par le village d’enfants. Depuis 1989, le village d’enfants Aldea de Niños Cristo Rey créé par le Pater haut-valaisan Erik Williner offre un domicile pro- visoire à des enfants de parents délinquants, appelés « enfants des prisons ». Aujourd’hui, l’institution est dirigée par les sœurs de la Congrégation Sainte Marie Madeleine POSTEL (SMMP) et offre un logement aux jeunes filles et garçons jusqu’à 18 ans. Le matin, les enfants vont à l’école du village d’enfants qui les prépare à tous les diplômes. L’après-midi, les enfants aident au ménage ou au projet d’horticulture. Ce sont avant tout les « enfants des prisons » plus âgés qui participent à ce projet. Ils suivent des cours d’histoire naturelle, apprennent diverses tech- Des enfants innocents n’ont rien à faire dans une prison bolivienne! Des enfants s’occupent du projet d’horticulture. Repas de midi au village d’enfants. PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE

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Bulletin miva Nº 1, mars 2013

niques de culture et l’exploitation des produits de leurs cultures. Le projet assure l’autosuffisance du village d’enfants et apprend aux enfants l’approche de l’auto-assistance « autosuffisance par la culture maraîchère durable » pour leur vie future. L’un des objectifs du village d’enfants est de renforcer les enfants laissés seuls. Les enfants sont accueillis pour la durée de l’incarcération et bénéficient d’un encadrement intensif afin de surmonter la charge psychique ou des expériences traumatisantes. Un autre objectif est le regroupement familial accompagné. Grâce à des journées de visites organisées dans les prisons, les enfants peu-vent garder le contact avec leurs parents biologiques.

Ces visites sous forme de fêtes communes, de représentations des enfants pour leurs parents ou d’après-midi de jeux assurent et stabilisent le lien familial. Pour permettre aux 220 enfants d’y participer, il faut organiser chaque mois 65 voyages en groupes de 20 enfants et accompagnants chacun. Ce n’est possible qu’avec un bus de taille moyenne. La mobilité acquise permet en même temps d’effectuer plus de trajets dans le cadre de la prévention de la santé, des manifestations sportives ou du pro-jet d’horticulture.

Minibus pour le village d’enfants Cristo Rey et en faveur d’enfants de parents détenusProjekt 120045Mittelbedarf: CHF 24 800.–

Il est important pour les enfants d’avoir des relations avec leurs parents même s’ils sont en prison. Un minibus est donc indispensable pour assurer les visites en prison, ac-compagnées par le village d’enfants.

Depuis 1989, le village d’enfants Aldea de Niños Cristo Rey créé par le Pater haut-valaisan Erik Williner offre un domicile pro-visoire à des enfants de parents délinquants, appelés « enfants des prisons ». Aujourd’hui, l’institution est dirigée par les sœurs de la Congrégation Sainte Marie Madeleine POSTEL (SMMP) et offre un logement aux jeunes filles et garçons jusqu’à 18 ans. Le matin, les enfants vont à l’école du village d’enfants qui les prépare à tous les diplômes. L’après-midi, les enfants aident au ménage ou au projet d’horticulture. Ce sont avant tout les « enfants des prisons » plus âgés qui participent à ce projet. Ils suivent des cours d’histoire naturelle, apprennent diverses tech-

Des enfants innocents n’ont rien à faire dans une prison bolivienne!

Des enfants s’occupent du projet d’horticulture.

Repas de midi au village d’enfants.

PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE

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Nouvelles possibilités pour les enfants défavorisés des fa- milles de cueilleurs de thé grâce à un véhicule tout-terrainProjet 120041Moyens financiers nécessaires: CHF 10 600.–

Les autochtones indiens hors-caste sont appelés les Adivasi. Leurs familles sont fortement défavorisées. Leurs enfants sur-tout souffrent du manque de formation et d’une assistance médicale insuffisante. Les Adivasi de l’Assam (nord-est de l’Inde) en particulier sont exploités dans les plantations de thé. Ils travaillent pour un salaire de misère et habitent dans des conditions déplorables. Les logements temporaires mis à leur disposition par leurs employeurs sont rudimentaires. L’organi-sation Fransalian Agency for Social Care and Education in India (FAsCE) s’est par conséquent fixé pour objectif de soute-nir les Adivasi afin qu’ils puissent se libérer des structures so-ciales injustes. L’équipe de la FAsCE forme des groupes d’entraide avec les personnes concernées, leur dispense ses conseils sur les droits de l’homme et de l’enfant et assure aux enfants et adolescents l’accès à la formation. Il s’agit notamment d’offrir de nouvelles perspectives de vie aux enfants qui tra-vaillent dans les plantations de thé de l’Assam. Afin de pouvoir concrétiser son engagement dans les villages isolés, la FAsCE a besoin d’un véhicule tout-terrain pour transporter non seule-ment le matériel d’enseignement, mais également le personnel de formation.

Enfants et adolescents de familles Adivasi durant les cours.

NOUVEAU PROJET EN INDEEDITORIAL

Pour nous, c’est clair: nous avons un toit pour nous mettre à l’abri, nos enfants vont chaque jour à l’école, à pied ou à l’aide d’un moyen de transport. Et en cas de coup du sort, nos besoins élémentaires sont cou-verts par des prestations d’assurance et la solidarité sociétale. « miva transporte l’aide » pour les personnes qui ne connaissent pas cette sécurité. Parfois, le moyen de transport adéquat permet à l’aide et aux profession-nels de parvenir à ces personnes dans des régions dif-ficilement accessibles, comme dans le cadre des projets miva à Haïti, en Inde ou au Kenya. Parfois, il achemine des personnes qui ont besoin d’aide, com-me les « enfants des prisons » en Bolivie. Aussi diffé-rents soient-ils, les véhicules nécessaires permettent tous une aide qui va bien au-delà du transport de per-sonnes, de médicaments, de livres scolaires ou de produits alimentaires. Sans formation scolaire ni protection, les « enfants des prisons » de Bolivie risquent de subir le même sort que leurs parents. Sans médicaments ni éduca-tion, les enfants nomades du nord du Kenya devien-nent des orphelins du sida sans aucune chance. Sans moyen de transport sûr, l’accès à l’école ni l’aide aux nécessiteux ne sont possibles dans les régions isolées. Tous ces projets miva ont un point commun: l’aide à l’entraide. Pour y parvenir, il faut un véhicule.

Vous en faites don. Nos chaleureux remerciements!

Dr méd. Yvonne GilliConseillère nationale, Comité de direction miva

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Véhicule pour l’aide en cas de catastrophe et la prévention en faveur de la population vulnérable d’Haïti Projet 120032Moyens financiers nécessaires: CHF 19 400.–

Haïti connaît les pires catastrophes naturelles. Tremblements de terre ou cyclones tropicaux, presque rien n’est épargné au petit état insulaire. Conscient du fait que cela peut aussi toucher plus souvent le nord du pays épargné par le tremblement de terre, l’archevêché du Cap-Haïtien a fondé en 2011 sa propre organisation baptisée ASAP, pour Action & Solidarity Against Poverty, qui s’occupe de l’aide humanitaire et de la prévention des catastrophes au nord d’Haïti. Partenaire de la « Food for the Poor » qui a son siège en Floride, l’ASAP peut fournir réguliè-rement des médicaments, des produits alimentaires et du ma-tériel de survie aux nécessiteux. Afin d’assurer un soutien à

grande échelle, l’ASAP collabore avec 350 partenaires locaux à la base. Ils effectuent un travail de santé, de formation et huma-nitaire ou représentent des petits producteurs. Pour assurer la logistique nécessaire à cet effet, l’accompagnement des activités par des professionnels ou le transport des malades et accidentés en cas d’urgence, l’ASAP a besoin d’un robuste véhicule tout-terrain. Toute la population serait ainsi mieux prémunie contre les prochaines catastrophes.

La formation et le développement local ouvrent de nou-velles perspectives à de pauvres bergers nomades du KenyaProjet 120040Moyens financiers nécessaires: CHF 24 500.–

Les régions du district kenyan de Samburu sont très sèches. La vie des autochtones est marquée par les sécheresses, l’érosion du sol et le manque d’eau potable. Ils mènent donc une exis-tence de nomades et se déplacent d’un point d’eau à l’autre avec leur bétail à la recherche de nourriture. Dans leur lutte pour la survie, les bergers nomades négligent leur formation, faute d’in-frastructure. Il n’existe quasiment pas d’écoles ni d’enseignants adaptés à leurs besoins. Il n’est donc pas étonnant que 87,5 % de la population locale soit analphabète. La moitié des enfants ne terminent pas l’école primaire. L’organisation Samburu Empowerment through Education and Development (SEED) qui est ancrée localement, s’engage pour remédier à ce pro-blème. Au moyen d’activités dans les domaines de la formation, du développement économique et de l’infrastructure, elle offre de nouvelles perspectives à la population nomade. L’engage-ment des collaboratrices de la SEED Samburu renforce les ber-gers nomades et leurs familles et garantit ainsi un développement durable ancré localement. L’organisation se déplace sur un ré-seau de 1400 km de routes rarement asphaltées. Pour atteindre régulièrement les villages isolés et les nomades, la SEED a un urgent besoin d’un robuste véhicule tout-terrain.

Elèves de l’école pour les nomades.

Des autochtones font patiemment la file pour recevoir les dons humanitaires de l’ASAP.

NOUVEAU PROJET EN HAÏTI NOUVEAU PROJET AU KENYA

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L’entreprise PRONATUR à Chiclayo est associée à plus de 70 groupes de producteurs réunis dans APROECO, une association faîtière, et exporte vers l’Europe et les Etats-Unis du café certifié bio et issu de commerce équitable ainsi que des fruits tropicaux. A la suite des continuelles périodes de sécheresse et des pluies diluviennes, les paysannes et les paysans de Tongorrape et des districts de Salas et de Cañaris voient sans cesse leurs récoltes perdues, leurs champs détruits et les routes impraticables. Faute d’aide de l’Etat, les groupes de producteurs et les comités villa-geois construisent bénévolement des ponts et des canaux et répa-rent les routes, les écoles, l’approvisionnement en eau et les postes de santé. Le nouveau camion robuste facilite considéra-blement ces importants travaux ainsi que le transport des récol-tes dans des conditions difficiles. Une quantité beaucoup plus importante de café peut être maintenant mise à disposition pour l’exportation, et l’argent ainsi gagné ne disparaît pas dans des ta-xes qui devraient être versées à des transporteurs externes. Au final, grâce à leur moyen de transport, il reste plus d’argent aux groupes de producteurs et aux familles de paysans associées. Ils peuvent ainsi développer leur infrastructure, assurer leur alimen-tation et financer des formations. Dans ce cas, l’aide à l’entraide classique porte ses fruits surtout grâce au camion.

Jan Bernhard, directeur de projet de PRONATUR, a exprimé sa gratitude au nom de toute la population locale lors d’une visite chez miva Suisse. Le camion sert en effet non seulement à trans-porter des personnes et des marchandises, mais fait aussi office de « petite épicerie du coin ». Tous les jours, les villages isolés sont approvisionnés en légumes et en fruits frais directement depuis les champs. Selon la devise « think global, act local », l’agriculture

péruvienne doit bénéficier non seulement aux autres nations, mais également aux habitants du pays. Le principe de l’organisation PRONATUR est une chance sur tous les plans. Il s’agit d’un « projet productif » nettement axé sur la rentabilité, dont des mil-liers de personnes profitent directement. Parallèlement, il illustre de façon exemplaire les avantages du commerce équitable: con-formément au contrat avec les acheteurs, la prime du commerce équitable alimente un fonds social qui finance le développement de l’infrastructure publique ou la réalisation de projets commu-nautaires. Comme l’ensemble de la population en profite, et pas seulement les productrices et des producteurs organisés, c’est une plus-value pour la collectivité! miva Suisse est heureuse d’avoir fournirsa contribution à cette plus-value grâce aux dons récoltés.

Grâce au camion multiusage, des communautés paysannes au Pérou profitent directement de leur agriculture!

VOTRE DON FAIT LA DIFFERENCE

mivamoyens de transport pour l’entraidesur 3 continents

Vous trouvez d’autres projets sur www.miva.ch

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Interview avec Mgr. Joseph Roduit, membre du patronage

1. Comment et depuis quand vous êtes en contact avec miva?

Rentré à l’Abbaye de St-Maurice comme prieur, après 18 ans de ministère en paroisse, j’ai pris connaissance du travail de notre confrère le Chanoine Joseph Henry, économe de notre mo-nastère qui a toujours eu le souci de l’entraide missionnaire. miva Suisse faisait partie de ses préoccupations

2. Pourqoui vous vous engagez dans le patronage de miva?

Responsable du dicastère Missio à la Conférence des Evêques suisses depuis 1999, je me dois de connaître les activités des di-vers groupements missionnaires suisses. Le Conseil missionnaire catholique suisse qui comprend la Missionskonferenz pour la Suisse allemande, la Conferenza missionaria della Svizzera itali-ana et le Groupe de coopération missionnaire pour la Suisse ro-mande, veille sur l’ensemble de ces institutions. En plus, il y a des activités liées directement à l’Eglise universelle, Missio-OPM et des organismes comme Fidei Donum, miva et tant d’autres or-ganismes missionnaires reconnus par la Conférence des Evêques.

3. Votre voeu pour l’avenir de miva Suisse?

Tout d’abord je remercie les animateurs et animatrices de miva suisse. En Suisse alémanique c’est une institution bien connue qui assure un très bon soutien pour transporter l’aide dans les pays moins favorisés. Je ne peux pas en dire autant pour la Suis-se romande où miva est peu connue et peu dynamique. Je me réjouis cependant d’un nouvel élan qui pourrait être donné à partir d’actions concrètes à partir de rencontres avec des mar-chands de voitures ou la suggestion de faire des legs en faveur de miva. Pour ma part je donne tout mon soutien pour que miva soit mieux connue en Suisse romande.

Aide axée sur les besoins 2012

L’année dernière, miva Suisse a pu profiter de l’élan de l’année d’anniversaire et améliorer ses résultats de manière réjouissante. Avec Fr. 2 120 644.–, les recettes de l’œuvre de bienfaisance ont été 15,71 % supérieures à l’année précédente. Grâce à ces moyens financiers, miva Suisse a pu fournir des prestations globales avec 74 projets dans 20 pays, et a cofinancé 4 camions, 12 motos, 41 véhicules tout-terrain, 6 minibus, 1 moteur de bateau, 261 bicyclettes et tricycles (fauteuils roulants), 173 animaux et une voiture. Parmi les moyens de communication qu’elle a contribué à financer se trouvent 80 ordinateurs au profit d’écoles. miva a en outre contribué à la réparation d’une station radio. Tous ces moyens ont été mis au service de la lutte contre la pauvreté, du travail de santé, social et pastoral par nos partenaires dans le Sud.

Grâce à votre généreux soutien, chers donateurs, miva Suisse a une fois encore pu rendre possible de multiples solutions adéqua-tes adaptées aux conditions locales. Vous pouvez télécharger le rapport annuel complet sur notre site Web (http://www.miva.ch/fr/documents) ou le commander auprès de notre secrétariat.

ACTUALITES

miva transporte l’aide … … dans 13 pays prioritaires.

Financement par types de projets 2012

Projets par types de projets % Projets par types de projets en Fr.

Agriculture

Formation

Santé

Pastoral

EnfantsDroits de l’Homme

Femmes

Indigènes

Communication

Art et métiers

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Hubstrasse 32, case postale, 9501 WilTéléphone 071 912 15 [email protected], www.miva.ch

miva est synonyme de qualité et de confianceLa miva porte le label de qualité ZEWO et est certifiée selon ISO 9001:2008. En sa qualité d’organisation d’utilité publique, elle est exonérée d’impôts. Les dons avec justificatifs peuvent être déduits des impôts.

miva exerce ses activitésdepuis 1932 en qualité d’œuvre de bienfaisance suisse s’engageant pour les personnes défavorisées dans les pays du Sud. Elle soutient le financement et l’acquisition professionnelle de moyens de transport et de communication adéquats pour l’entraide. Elle collabore avec des partenaires à la base, qui s’investissent pour le développement local et dans le cadre de projets sociaux et pastoraux.

Comité de directionDr Christoph Juen, CEO hotellerie-suisse, Egg b. Zürich, président; Victor Meyer, lic. en droit HSG, Associé de PricewaterhouseCoo-pers, Uitikon Waldegg, vice-prési-dent; Dr méd. Yvonne Gilli, Conseillère nationale et médecin, Wil SG; Josef A. Jäger, président du conseil d’administration Camion Transport AG, Wil SG; Dr Theo Maissen, ancien Conseiller des Etats, Sevgein; Père Josef Rosenast, vicaire général de l’évêché de St-Gall, St-Gall; Max Wipf, directeur Max Wipf AG, Zurich, représentant du comité des projets.

ImpressumLe bulletin miva paraît quatre fois par année et peut être abonnépour CHF 5.–.

Impression :Cavelti AG, 9201 GossauImprimé sur papier certifié FSC

Traduction :Apostroph AG, 6000 Lucerne

Rédaction / Conception:Gabriella Wiss et Sophie Fürst

Editeur :miva SuisseCase postale, 9501 WilTéléphone 071 912 15 55Fax 071 912 15 57E-mail [email protected]

DirectriceGabriella Wiss, Wattwil

Le comité de direction s’engage à titre bénévole pour miva suisse.

AU SUJET DE MIVA

Concours d’idées « Une vive mémoire »

L’association MyHappyEnd, dont miva Suisse est membre, a lancé dans le cadre de la Journée internationale du testament du 13 septembre 2012 un concours national d’idées intitulé « Une vive mémoire ». Elle recherchait des idées de projets créatives pour marquer publiquement la mémoire de toutes les personnes qui pensent aux œuvres d’utilité publique dans leur testament. Les cinq meilleures idées sont maintenant connues, et un jury professionnel désignera la meil-leure d’entre elles jusqu’au 13 septembre 2013 et la primera lors de la Journée du testament. Pour de plus amples informations: http://www.myhappyend.org/ideenwettbewerb-fr-FR/

Assemblée de l’association 2013

Chères donatrices, chers donateurs, chers amis de miva, nous avons le plaisir de vous inviter à notre assemblée générale de l’année 2013. Elle aura lieu l’après-midi du samedi 4 mai 2013 à Wil SG. Veuillez télécharger le programme et le coupon d’inscription dès le début avril sur not-re site Web ou le commander par la poste ou par fax auprès de notre secrétariat.

Nouveau bulletin miva de 6 pages

En tant qu’organisation à but non lucratif, miva Suisse profite de l’aide indirecte à la presse et a ainsi droit à des frais d’acheminement réduits. Afin de répondre aux nouveaux critères en vigueur de l’OFCOM et de vous offrir en même temps une plus-value rédactionnelle, le nombre de pa-ges du bulletin miva a été augmenté à 6.

20 ans de fidélité

Helen Giagonia, responsable du service intérieur chez miva Suisse jusqu’à fin décembre, a pris sa retraite bien méritée au début de l’année 2013. Elle est restée fidèle à notre œuvre d’entraide pendant 20 ans et a fait preuve d’un engagementinfatigable pour miva Suisse. Nous désirons l’en remercier de tout cœur. Dans sa position, elle était le pivot du secrétariat et était fort appréciée de tous – les donatrices et les donateurs privés, l’équipe et les nombreux vo-lontaires. Nous lui présentons tous nos vœux pour son avenir!

Compte CP 19-6129-8