Orphelin et inconnu, ça fait beaucoup - AFPSSU · (chiffres ined, 2003.) 3 Depuis près de...

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Orphelin et inconnu, ça fait beaucoup... La Fondation d’entreprise OCIRP a trouvé que ça faisait trop !

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Orphelin et inconnu, ça fait beaucoup...

La Fondation d’entreprise OCIRP a trouvé que ça faisait trop !

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SommaireLe mot des présidents 3

3 QUestions À La directrice de La fondation 4

envisager L’orpheLinage comme Une réaLité de vie 5

s’inscrire pLeinement dans La vie 9

sensibiLiser et échanger 13

aujourd’hui en france,500 000 jeunes

de moins de 21 ans,

800 000 jeunesde moins de 25 ans,

sont orphelinsd’un ou de leurs deux parents,

soit, en moyenne,1 enfant par classe.

(chiffres ined, 2003.)

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Depuis près de cinquante ans, l’Organisme commun des institutions de rente et de prévoyance (OCIRP) regroupe des organismes de prévoyance à gestion paritaire, qui protègent la famille face au décès et à la perte d’autonomie.

Les garanties de prévoyance proposées par l’OCIRP assurent les salariés dans le cadre d’un contrat collectif d’entreprise ou d’une branche professionnelle. Elles se traduisent par le versement de rentes dédiées et une action sociale complémentaire.

Dans le prolongement de sa mission, l’OCIRP a choisi de s’inscrire dans une démarche de responsabilité sociale et de s’engager dans des missions d’intérêt général.

Dans cet objectif, l’OCIRP s’est engagé à travers l’association Dialogue & Solidarité, fondée en 2004, pour offrir un accompagnement spécifique aux veuves et veufs, dans la continuité de la garantie veuvage qu’il propose.

Puis, en créant la Fondation d’entreprise « Au cœur de la famille », en 2009, l’OCIRP a souhaité élargir son action pour soutenir les familles face aux risques de la vie. La Fondation se préoccupe plus particulièrement d’une population méconnue et invisible en France : les orphelins.

Ces enfants et jeunes en deuil d’un ou de leurs deux parents sont englobés dans le groupe des familles monoparentales et délaissés par la recherche.

L’orphelinage est une situation qui nous concerne tous de manière directe ou indirecte. Pour autant, c’est une situation qui reste taboue dans notre société. Or, l’enfant orphelin, s’il reste un enfant comme les autres, a un destin particulier : il doit faire face à l’absence et ses conséquences, qui sont d’ordre psychologique, affectif, relationnel, financier ou matériel.

Le défi de la Fondation d’entreprise oCirP : faire connaître et reconnaître la situation de l’état d’orphelin en France.

Le mot des présidents Bernard devy et miCheL KeLLer

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La Fondation a cinq ans. Quel bilan tirez-vous de ces premières années ? Ce sont cinq années de soutien, de sensibilisa-tion, de réflexion et de mobilisation pour aider les enfants orphelins à trouver des repères qui leur permettront de s’ouvrir au monde et de s’inscrire pleinement dans la vie. C’est ainsi

que près de soixante-dix projets menés en faveur des orphelins et de leur famille ont été soutenus. L’ensemble de ces actions est détaillé sur notre site Internet.

La Fondation est prorogée pour un nouveau cycle de cinq ans, comment abordez-vous cette nouvelle étape ?Depuis sa création, la Fondation d’entreprise OCIRP a effectué un véri-table travail de repérage sur le sujet de l’orphelinage en France. Forte du chemin parcouru, la Fondation s’est fixé de nouvelles ambitions en créant des pôles d’expertise pour renforcer les connaissances sur ce sujet et devenir un centre ressources utile à tous.

en quoi la création de ces nouveaux pôles d’expertise est-elle si importante pour la Fondation ?Le constat est clair : il existe peu de matière pour une compréhension réelle de l’orphelin et de sa situation. Une évaluation approfondie de cette population, l’analyse de ses besoins et les réflexions qui peuvent en résulter feront émerger cette question sociétale. Toutes les informations collectées seront partagées avec le plus grand nombre et seront diffusées sur l’ensemble de nos supports de com-munication, sur le Web et sur les réseaux sociaux.

3 QUestions À Ladirectrice de La fondationSYLVIE PINQUIER-BAHDA

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envisager l’orphelinage comme une réalité

de vie

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exprimer l’indicible : dépasser le choc émotionnelChaque enfant vit la perte d’un parent de façon différente : en fonction de sa personnalité, bien sûr, mais aussi de l’attitude de son entourage, et de la relation qu’il avait avec le parent décédé.À l’annonce de la disparition, mais aussi dans les mois et les années qui suivent, l’enfant connaît un certain déséquilibre affectif. II peut expri-mer sa tristesse ou cacher ses émotions derrière une insensibilité apparente, de l’insouciance,

un manque d’appétit ou encore une agressi-vité latente. Un accompagnement fait d’attention, d’écoute et d’échanges va l’aider à exprimer ses senti-ments, à dénouer ses difficultés et à restaurer sa confiance. Évoquer l’absent, les souvenirs heureux et les périodes difficiles, regarder des photos du défunt… sont autant de manières d’encourager le dialogue.

accepter l’inacceptable : à chaque âge sa conception de la mortTristesse, pleurs, colère, sentiment d’injustice, mutisme... les sentiments liés à la perte d’un parent sont complexes. Et pour cause : l’enfant n’est pas un adulte en miniature, et il a sa propre conception de la disparition. Il va donc réagir différemment selon son caractère et son âge au moment du décès. Dans la petite enfance, il s’imagine souvent la mort comme une situa-tion temporaire, et la perçoit d’un point de vue sensoriel : il ressent la situation tragique qui

l’environne et l’associe au chagrin ou à la tris-tesse. Ce n’est qu’à partir de 8 ou 9 ans que le concept de mort est bien intégré. Il com-prend, alors, qu’elle est irréversible, universelle et naturelle. Aux abords de l’adolescence et durant celle-ci, la problématique change : en cette période de transition, ce sont les questions identitaires, qui risquent d’être accentuées par le bouleversement psychique engendré par la perte du parent.

Quelques repères

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appréhender les circonstances du deuil : où, quand, commentMaladie, accident, crise cardiaque, suicide… si le choc se produit toujours, lors du décès d’un parent, les circonstances n’en ont pas moins une influence sur la manière dont l’en-fant va vivre son deuil. Dans le cas d’un décès à la suite d’une maladie, l’enfant est peut-être mieux préparé à ce qui l’attend. Bien entendu, cela n’évite nullement les souffrances liées au deuil, mais la perception de la maladie et la prise en charge de celle-ci par la famille vont jouer un rôle dans la relation qu’il gardera avec le défunt.

En revanche, lorsque la mort est provoquée par un accident ou une crise cardiaque, le choc est bien plus brutal : la disparition d’un repère essentiel fait tout changer en un instant. Dès lors, le décès peut engendrer des sentiments violents de culpabilité ou de regret.Les cas de suicide sont souvent les plus dif-ficiles à vivre. La culpabilité, sentiment de ne pas avoir suffisamment aimé le parent pour le « retenir », peut être présente, de même que la honte. Il est, alors, important de déculpabi-liser l’enfant, de lui dire qu’il n’y est pour rien.

Partager sa peine : la famille, les amis, les professionnelsParler, s’exprimer, communiquer… des actes simples qui peuvent devenir complexes.Si l’enfant trouve une écoute bienveillante, la parole devient libératoire et les moments d’échange, des temps de reconstruction.Le parent restant, lui-même en grande souf-france, n’est pas toujours disponible. De même, au sein de la fratrie, le décès du parent peut générer des relations tendues, en particulier lorsque l’un des enfants prend des responsa-bilités vis-à-vis des autres. Dès lors, les grands-

parents, les oncles et tantes, les cousins et, de manière générale, la famille proche peuvent prendre le relais et offrir une écoute attention-née dans laquelle l’enfant trouvera des points d’appui et d’autres modalités d’expression. L’en-fant peut également trouver écoute et aide du côté de ses amis.Si le deuil reste difficile, le recours à un profes-sionnel peut, néanmoins, se révéler nécessaire à condition, toutefois, que l’enfant y adhère pleinement, tout comme son parent survivant.

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Créer de nouveaux liens familiaux : entre frustration et responsabilisationUn parent décède, et ce sont les repères de toute une famille qui volent en éclats. Dans cette structure familiale bouleversée, où le conjoint survivant a parfois du mal à continuer à assurer sa place, l’enfant va être amené à se construire de nouveaux repères.Bien souvent, le parent restant devient le repère essentiel de l’enfant : les conflits du passé s’at-ténuent, l’attachement se renforce, les respon-sabilités nécessaires au quotidien se partagent.L’enfant comme le parent souhaitent, à ce moment, les mêmes choses : amoindrir la peine, parler de celui qui n’est plus, rétablir un équi-libre. Ces désirs partagés peuvent parfois ins-

taller un contexte dans lequel il sera difficile, pour l’enfant, de conserver sa place face à un parent qui demande à combler une perte.Il peut être difficile, aussi, pour le parent de renoncer à cette complicité et de faire com-prendre à l’enfant qu’il n’est pas là pour rem-placer l’autre, au risque de voir disparaître les limites des rôles de chacun.Cette confusion des rôles, que l’on constate par-fois, peut engendrer des situations complexes dans lesquelles les interrogations de l’enfant vont s’exprimer sous de multiples formes : agressivité, dépendance, crainte qu’un nou-veau drame ne se produise.

Faire face à l’école : entre découragement et surinvestissementAlors que la vie familiale intègre les change-ments liés à la disparition, la vie scolaire conti-nue et reste l’un des repères de l’enfant. Selon sa personnalité, les répercussions de la perte du parent peuvent influer sur la scolarité. Dans certains cas, et surtout dans les premiers temps, le découragement, l’inattention ou des difficultés de concentration peuvent perturber l’enfant, qui aura du mal à suivre le rythme. Il arrive, également, que l’enfant se plonge dans

ses études pour atténuer ses souffrances : il mobilise, ainsi, son esprit vers un domaine qu’il peut maîtriser.Mais un surinvestissement scolaire peut être le signe de la culpabilité, ou du désir de satis-faire le parent décédé lorsque celui-ci attendait beaucoup de lui sur ce plan. Dans ce cas, il est utile de prendre en compte cette attitude pour mieux comprendre les exigences que l’enfant s’impose et qui peuvent révéler sa souffrance.

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S’inscrire pleinement dans la vie

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Soutenir des projets variésLa Fondation d’entreprise OCIRP finance des projets de structures à but non lucratif, qui aident les enfants et les jeunes orphelins à être pleinement dans la vie et à construire leur avenir.Les projets soutenus concernent l’enfant orphe-lin et sa famille, comme, par exemple, des ate-liers d’art-thérapie, des groupes d’entraide et de parole, des actions de soutien à la parentalité. Ils peuvent également avoir pour objectif de faciliter l’accès à la formation, à l’emploi, aux vacances, aux loisirs, à la culture…Ils s’inscrivent aussi dans le champ profession-nel de l’enfance et de l’éducation, et la sensi-bilisation du grand public. Il s’agit de forma-tions, colloques, séminaires, journées d’étude et d’analyse de pratiques.

Les projets culturels (réalisation de films, docu-mentaires, livres, pièces de théâtre ou œuvres musicales) destinés à sensibiliser un public large sont également incités. Tous les projets appartenant au domaine de la recherche en sciences humaines et sociales pour améliorer les connaissances sont encouragés : publication d’ouvrages, recherches-actions ou thèses doc-torales en démographie, sociologie, psychopa-thologie, anthropologie, droit…Ces soutiens peuvent financer des masters 2, des thèses de doctorat et des recherches post-doctorales. Des publications et recherches-actions menées à titre individuel ou par une équipe de chercheurs sont également subventionnées.

mieux comprendre la situation des orphelinsIl n’existe, en France, qu’une seule étude quan-titative exhaustive sur la situation des orphelins et de leur famille (Ined (1), 1999).Elle apporte des informations inédites sur les orphelins et souligne que cette population est peu explorée, aussi bien dans les statistiques que dans les études sur la sociologie de la famille et des politiques sociales.Dans le cadre de son projet de fondation, l’OCIRP a réalisé, en 2007, une étude (2) dont l’objectif était d’évaluer les besoins des orphe-

lins et de déterminer la nature des actions à soutenir pour répondre à leurs attentes.Et parce que la Fondation d’entreprise OCIRP entend poursuivre son objectif initial de sou-tien aux projets dédiés aux orphelins, mais souhaite également renforcer la visibilité de ces orphelins, elle entreprend de devenir un centre ressources sur l’orphelinage.Les instances de l’OCIRP ont donc décidé d’al-louer un budget complémentaire, pour les cinq prochaines années, à la Fondation.

2014-2019Une nouvelle étape

1. Ined : Institut national d’études démographiques.2. Étude « La situation et les besoins des orphelins ; quelles spécificités ? » par Esin Gezer, chargée de mission OCIRP en

2007. Mémoire de master recherche « Dynamiques de populations » – IDUP (Institut de démographie université Paris I), sous la direction de Marlène Lamy.

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L’appel à projets La constitution du dossierLa demande de soutien et le détail de l’appel à projets sont téléchargeables sur fondation-ocirp.fr ou à demander au 01 44 56 22 56.

La procédure de sélectionLes dossiers sont instruits par l’équipe de la Fondation deux fois par an. Un comité de lecture composé de salariés de l’OCIRP émet un avis. Le comité d’experts donne ensuite ses préconisations. Il regroupe :• des professionnels spécialistes du sujet ;• des représentants d’institutions intervenant dans le champ de la protection

de l’enfance (Unaf, Oned, Cnape (1)...) ;• des personnalités représentant les organismes de prévoyance membres de l’OCIRP ;• des salariés de l’OCIRP.Enfin, les dossiers sont soumis au Conseil d’administration de la Fondation pour décision définitive.

Le centre ressources s’articulera autour de trois pôles d’expertise. Un comité scientifique pluri-disciplinaire accompagnera leur mise en œuvre.Le pôle « recherche », qui s’articule autour de plusieurs axes de recherche : démographie, sociologie, psychopathologie, juridique.

Le pôle « communication et sensibilisa-tion », qui a pour ambition d’être un centre d’information et d’échange.Le pôle « actions de terrain », qui a pour objectif de mener des enquêtes sur le terrain et d’évaluer les pratiques.

1. Unaf : Union nationale des associations familiales. Oned : Observatoire national de l’enfance en danger. Cnape : Convention nationale des associations de protection de l’enfant.

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La fondation en chiffres(depuis sa création)

près de70 projets

soutenus.

plus de400 enfants et jeunes

accompagnés.

175 professionnels de l’enfance et de l’éducation formés.

plus de 5 000 personnessensibilisées par les spectacles vivants

et les colloques organisés.

20 salariésde l’ocirp se sont proposés

comme marraines et parrains pour assurer le lien entre la fondation

et les porteurs de projet.

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Sensibiliser et échanger

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Pour enrichir le débat en réunissant des experts et des témoins en neuropsychiatrie, psychologie, sociologie, philosophie, démographie et recherche, et pour porter leur parole dans les médias.

Colloque – 1er octobre 2009« Regards croisés : être orphelin de père et/ou de mère aujourd’hui » au CESE.Table ronde avec le Dr Patrick Ben Soussan, Jeannine Deunff, Dr Catherine Dolto, François Fondard, Corinne Goldberger et Alain Monnier.

Rencontre – 10 mai 2010« Projets soutenus par la Fondation » à l’UNAF.Présentation des porteurs de projets soutenus en 2010.

Colloque – 11 octobre 2011« Être jeune orphelin : se construire sans père ou sans mère » à l’Assemblée nationale.Table ronde sous la présidence de Georges Colombier, avec le Pr Marcel Rufo, Serge Moati, Fabienne Quiriau et Magali Molinié.

Colloque – 14 décembre 2012« L’invisibilité sociale des jeunes orphelins en France » au CESE.Sous le haut patronage de Jean-Paul Delevoye, avec Jérôme Clerc, Boris Cyrulnik, Marine Lambert et Hélène Romano.

Spectacle – 5 décembre 2013La maison du bout du mondeSpectacle musical sur la vie d’un orphelinat, mise en scène par la compagnie théâtrale pro-fessionnelle « Les enfants de la comédie ».

Serge Moati, réalisateur, producteur

et écrivain français. Boris Cyrulnik, neuropsychiatre.

Hélène Romano, docteur en

psychopathologie clinique au CHU Henri Mondor de Créteil et chercheur à l’Inserm.

Marcel Rufo, pédopsychiatre et directeur médical de l’Espace méditerranéen de l’adolescence, Hôpital Salvator, à Marseille, spécialiste de l’enfance et de l’adolescence.

Fabienne Quiriau, directrice générale de la Cnape (Convention nationale des associations de protection de l’enfant).

Jérôme Clerc, maître de conférences en

psychologie cognitive à l’université Charles de

Gaulle – Lille 3.

Jeannine Deunff, inspectrice générale honoraire de l’Éducation nationale.

Corinne Goldberger, journaliste.

François Fondard, président de l’Unaf

(Union nationale des associations familiales).

Magali Molinié, psychologue

clinicienne.

Catherine Dolto, haptothérapeute,

présidente des archives Dolto.

Patrick Ben Soussan, pédopsychiatre, responsable du département de psychologie clinique à l’Institut Paoli-Calmettes.

des évènements qui rassemblent et fédèrent

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des partenariats éditoriaUx Invisibles orphelins

Ouvrage dirigé par Magali Molinié, psychologue clinicienne, en collaboration avec de nombreux spécialistes, et consacré à faire la lumière sur la situation des orphelins en France. Y sont ainsi abordés l’histoire, la psychologie, la sociologie, le droit. Paru en 2011 aux éditions Autrement.

EnvoléeUn très joli album élaboré comme une histoire sans paroles, où chacun peut construire le récit qui lui convient, et qui prend son temps pour aborder la mort du père ou de la mère. Auteur-illustrateur : Corinne Dreyfuss. Paru en 2012 aux éditions Frimousse.

L’enfant confronté à la mort d’un parentLes mots et les réactions des enfants en deuil sont souvent surprenants, vifs, intenses, parfois absents et silencieux. Ce livre, réalisé sous la direction du docteur Patrick Ben Soussan, pédopsychiatre, responsable du département de psychologie clinique à l’Institut Paoli-Calmettes – Centre de lutte contre le cancer à Marseille –, s’adresse à tous ceux

qui accompagnent des enfants confrontés à la mort de l’un de leurs parents. Paru en 2013 aux éditions Érès.

Comment parler avec l’enfant de la maladie grave et de la mort ?Sous l’égide de la Maison médicale Notre Dame du Lac – Fondation Diaconesses de Reuilly, ce livret aborde les principales questions que se posent les parents lors de la fin de vie d’un proche. Cet outil aide à amorcer le dialogue entre les parents et les enfants, ainsi que les professionnels. Paru en 2013.Téléchargeable gratuitement sur fondation-ocirp.fr

Rapport sur la situation des pupilles de l’État.Paru en 2014.

Le magazine o’CœurPour dynamiser le contact avec les professionnels et les porteurs de projets, et aborder ou développer des sujets communs à travers des témoignages, des articles et des interviews d’experts ou de témoins.

AGIR POUR LA FAMILLE AVEC LA FONDATION D’ENTREPRISEOCIRP

MAI 2014#10

LES ENFANTS DE LA COMÉDIE

Quand l’orphelinage se met en scène

ZOOM SUR LES ORPHELINS

PUPILLES DE L’ÉTATAVEC L’ONED

TÉMOIGNAGE « La vie doit reprendre ses droits, au plus vite »

ContaCtSSylvie [email protected]

emmanuelle [email protected]

Christine CombeauAssistante [email protected]

au cœur de la famille – Fondation d’entreprise oCirP17 rue de Marignan – CS 50 003 75008 PARIS

téléphone : 01 44 56 22 56internet : fondation-ocirp.frtwitter : twitter.com/OCIRPScoop.it ! : scoop.it/u/ocirp

OCIR

P 20

14 -

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