Original Francais-Italien Sem I.

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Mlle Flavia Crisanti [email protected] Thème italien - L1ITF110 Tradurre le seguenti frasi 1. Dans cette vie, tout est important. Plutôt que de dire d'un homme qu'il est cultivé, je voudrais qu'on me dise: c'est un homme. Et je suis tenté de demander: combien de femmes a-t-il aimées? Préfère-t-il les femmes rousses ou le femmes brunes? Que mange-t-il au repas de midi? Quelles maladies a-t-il eues? Est-il sujet aux grippes, à l'asthme, aux furoncles, à la constipation? Quelle est la couleur de ses cheveux? De sa peau? Comment marche-t-il? Se baigne-t-il, ou prend-il des douches? Quels journaux lit-il? Dort-il facilement? Est-ce qu'il rêve? J.M.G. Le Clézio). In questa vita tutto è importante. Piuttosto che dire a un uomo è cresciuto lui, sarei detto: è un uomo. E sono tentato di chiedere: quante donne ha amato? Lui preferisce le donne rosse o brune? Cosa mangia a pranzo? Quali malattie è che aveva? E 'soggetta a raffreddori, asma, di foruncoli, stitichezza? Qual è il colore dei suoi capelli? Della sua pelle? Come lo fa? Fare il bagno lì, o vuol fare la doccia? Quello che i giornali che legge? Sta dormendo facilmente? Sta sognando? 2. Il faut parler de la mode avec enthousiasme, mais sans démence; et surtout sans poésie, sans littérature. Une robe n'est ni une tragédie, ni un tableau; c'est une charmante et éphémère création, non pas un oeuvre d'art éternelle. La mode doit mourir et mourir vite, afin que le commerce puisse vivre. La création est un don artistique, une collaboration de la couturière et de son temps. Ce n'est pas en apprenant à faire des robes qu'on les réussit (faire la mode et créer la mode, c'est diffèrent); la mode n'existe pas seulement dans les robes; la mode est dans l'air, c'est le vent qui l'apporte, on la pressent, on la respire, elle est au ciel et sur le macadam, elle est partout, elle tient aux idées, aux moeurs, aux événements (P. Morand). Dobbiamo parlare di moda con entusiasmo, ma senza demenza, e soprattutto senza poesia, senza letteratura. Un vestito non è né una tragedia né una pittura, è una creazione bella ed effimera, non un opera d'arte mai. Moda deve morire e morire rapidamente, in modo che il commercio può vivere. Creare arte è un dono, una collaborazione della sarta e il suo tempo. Non si tratta di imparare a fare i vestiti che siano in grado (per creare la moda e la moda è diversa), la modalità non si limita a vestiti, la moda è nell'aria è il vento che porta sulla spinta, si respira, è in cielo e sull'asfalto, è ovunque, è idee, i costumi, gli eventi. 3. Caligula! Toi aussi, toi aussi, tu es coupable. Alors, n'est-ce pas, un peu plus, un peu moins! Mais qui oserait me condamner dans ce monde sans juge, où personne n'est innocent! Tu les vois bien, Hélicon, n'est pas venu. Je n'aurai pas la lune. Mais qu'il est amer d'avoir raison et de devoir aller jusqu'à la consommation. Car j'ai peur de la consommation. Des bruits d'armes! C'est l'innocence qui prépare son triomphe. Que ne suis-je à leur place! J'ai peur. (A. Camus) Caligola! Anche voi, anche voi siete colpevoli. Quindi non è un po 'più o un po' meno! Ma chi oserebbe condannare me in questo mondo senza giustizia, dove nessuno è innocente! Vedrete, Helicon, non è venuto. Non avrò la luna. Ma lui è amareggiato per essere nel giusto e di dover andare al consumo. Perché ho paura di consumo. Lo scontro delle armi! E 'l'innocenza che prepara il suo trionfo. Quello che sto al loro posto! Ho paura. 4. Quand vous l'avez vue pour la première fois, vous étiez déjà assis à la table près de la fenêtre pour le second service. Dijon était passé depuis longtemps, Beaume, Maçon, Chalon et même Bourg; ce n'était plus les vignobles mais le montagnes. Elle avait une robe rouge orange, décolletée sur sa poitrine brunie, ses cheveux noirs tressées, roulés, autour de sa tête, fixés par des épingles à boule d'or, ses lèvres peintres presque en violet. Les wagons se remplissaient peu à peu, mais par chance vous êtes restés seuls tous les deux à votre table, et, comme il faisait chaud, votre première parole a été pour lui demander si vous pouviez ouvrir la série de petites lamelles de verre en haut de la fenêtre (M. Butor).

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Mlle Flavia Crisanti [email protected]ème italien - L1ITF110

Tradurre le seguenti frasi

1. Dans cette vie, tout est important. Plutôt que de dire d'un homme qu'il est cultivé, je voudrais qu'on me dise: c'est un homme. Et je suis tenté de demander: combien de femmes a-t-il aimées? Préfère-t-il les femmes rousses ou le femmes brunes? Que mange-t-il au repas de midi? Quelles maladies a-t-il eues? Est-il sujet aux grippes, à l'asthme, aux furoncles, à la constipation? Quelle est la couleur de ses cheveux? De sa peau? Comment marche-t-il? Se baigne-t-il, ou prend-il des douches? Quels journaux lit-il? Dort-il facilement? Est-ce qu'il rêve? J.M.G. Le Clézio).

In questa vita tutto è importante. Piuttosto che dire a un uomo è cresciuto lui, sarei detto: è un uomo. E sono tentato di chiedere: quante donne ha amato? Lui preferisce le donne rosse o brune? Cosa mangia a pranzo? Quali malattie è che aveva? E 'soggetta a raffreddori, asma, di foruncoli, stitichezza? Qual è il colore dei suoi capelli? Della sua pelle? Come lo fa? Fare il bagno lì, o vuol fare la doccia? Quello che i giornali che legge? Sta dormendo facilmente? Sta sognando?

2. Il faut parler de la mode avec enthousiasme, mais sans démence; et surtout sans poésie, sans littérature. Une robe n'est ni une tragédie, ni un tableau; c'est une charmante et éphémère création, non pas un oeuvre d'art éternelle. La mode doit mourir et mourir vite, afin que le commerce puisse vivre. La création est un don artistique, une collaboration de la couturière et de son temps. Ce n'est pas en apprenant à faire des robes qu'on les réussit (faire la mode et créer la mode, c'est diffèrent); la mode n'existe pas seulement dans les robes; la mode est dans l'air, c'est le vent qui l'apporte, on la pressent, on la respire, elle est au ciel et sur le macadam, elle est partout, elle tient aux idées, aux moeurs, aux événements (P. Morand).

Dobbiamo parlare di moda con entusiasmo, ma senza demenza, e soprattutto senza poesia, senza letteratura. Un vestito non è né una tragedia né una pittura, è una creazione bella ed effimera, non un opera d'arte mai. Moda deve morire e morire rapidamente, in modo che il commercio può vivere. Creare arte è un dono, una collaborazione della sarta e il suo tempo. Non si tratta di imparare a fare i vestiti che siano in grado (per creare la moda e la moda è diversa), la modalità non si limita a vestiti, la moda è nell'aria è il vento che porta sulla spinta, si respira, è in cielo e sull'asfalto, è ovunque, è idee, i costumi, gli eventi.

3. Caligula! Toi aussi, toi aussi, tu es coupable. Alors, n'est-ce pas, un peu plus, un peu moins! Mais qui oserait me condamner dans ce monde sans juge, où personne n'est innocent! Tu les vois bien, Hélicon, n'est pas venu. Je n'aurai pas la lune. Mais qu'il est amer d'avoir raison et de devoir aller jusqu'à la consommation. Car j'ai peur de la consommation. Des bruits d'armes! C'est l'innocence qui prépare son triomphe. Que ne suis-je à leur place! J'ai peur. (A. Camus)

Caligola! Anche voi, anche voi siete colpevoli. Quindi non è un po 'più o un po' meno! Ma chi oserebbe condannare me in questo mondo senza giustizia, dove nessuno è innocente! Vedrete, Helicon, non è venuto. Non avrò la luna. Ma lui è amareggiato per essere nel giusto e di dover andare al consumo. Perché ho paura di consumo. Lo scontro delle armi! E 'l'innocenza che prepara il suo trionfo. Quello che sto al loro posto! Ho paura.

4. Quand vous l'avez vue pour la première fois, vous étiez déjà assis à la table près de la fenêtre pour le second service. Dijon était passé depuis longtemps, Beaume, Maçon, Chalon et même Bourg; ce n'était plus les vignobles mais le montagnes. Elle avait une robe rouge orange, décolletée sur sa poitrine brunie, ses cheveux noirs tressées, roulés, autour de sa tête, fixés par des épingles à boule d'or, ses lèvres peintres presque en violet. Les wagons se remplissaient peu à peu, mais par chance vous êtes restés seuls tous les deux à votre table, et, comme il faisait chaud, votre première parole a été pour lui demander si vous pouviez ouvrir la série de petites lamelles de verre en haut de la fenêtre (M. Butor).

Quando avete visto per la prima volta, si erano già seduti al tavolo vicino alla finestra per il secondo servizio. Digione è stato lungo passato, Beaume, Macon, Chalon Bourg e anche non era più i vigneti, ma le montagne. Aveva un vestito rosso arancione, marrone taglio basso sul petto, i suoi capelli neri intrecciati, arrotolata intorno alla testa, fissate con spille di sicurezza oro palla, la pittura le labbra quasi viola. Le auto erano pieni gradualmente, ma per fortuna è rimasto solo insieme al tavolo, e come è stato caldo, la tua prima parola è stato quello di chiedere se si poteva aprire la serie di diapositive di vetro in cima della finestra.

5. Peigner la girafe. La girafe est un animaux exotiques de première grandeur, si j'ose dire, qui est demeuré le plus longtemps mystérieux, voire carrément fabuleux pour les Français. À la fin du XVIIe siècle, Furentière n'hésite pas à écrire: « Girafe: animal farouche, dont plusieurs auteurs font mention mais que personne n'a vu … mais la plupart des curieux croient c'est un animal chimérique ». On imagine donc l'enthousiasme des foules lorsque la première girafe, en chair, en os et en cou, posa pour la première fois le pied sur notre sol au XIXe siècle. (C. Duneton).

Pettinare la giraffa. La giraffa è un animale esotico di prima grandezza, per così dire, che rimase più a lungo misterioso o anche addirittura incredibile per il francese. Alla fine del XVII secolo, Furentière non esitate a scrivere: "Giraffa: animali selvatici, alcuni autori parlare ma nessuno ha visto ... ma la maggior parte credo che sia un animale curioso chimera". Quindi possiamo immaginare l'entusiasmo della folla quando la giraffa prima nella carne ossa, e il collo, mettere il primo

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piede sul nostro suolo nel XIX secolo.

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L'homme élégant est descendu de la limousine, il fume une cigarette anglaise. Il regarde la jeune fille au feutre d'homme et aux chaussures d'or. Il vient vers elle lentement. C'est visible, il est intimidé. Il ne sourit pas tout d'abord. Tout d'abord il lui offre une cigarette. Sa main tremble. Il y a cette différence de race, il n'est pas blanc, il doit la surmonter, c'est pourquoi il tremble. Elle lui dit qu'elle ne fume pas, non merci. Elle ne dit rien d'autre, elle ne lui dit pas laissez-moi tranquille.

Alors il a moins peur. Alors il lui dit qu'il croit rêver. Elle ne répond pas. Ce n'est pas la peine qu'elle réponde, que répondrait-elle. Elle attend. Alors il le lui demande: mais d'où venez-vous? Elle dit qu'elle est la fille de l'institutrice de l'école de filles de Sadec. Il réfléchit et puis il dit qu'il a entendu parler de cette dame, sa mère, de son manque de chance avec cette concession qu'elle aurait au Cambodge, c'est bien ça n'est-ce pas? Oui c'est ça.

Il répète que c'est tout à fait extraordinaire de la voir sur ce bac. Si tôt le matin, une jeune fille belle comme elle l'est, vous ne vous rendez pas compte, c'est très inattendu, une jeune fille blanche dans un car indigène.

Il lui dit que le chapeau lui va bien, très bien même, que c'est … original … un chapeau d'homme, pourquoi pas? Elle est si jolie, elle peut tout se permettre.

Elle le regarde. Elle lui demande qui il est. Il dit qu'il revient de paris où il a fait ses études, qu'il habite Sadec lui aussi, justement sur le fleuve, la grande maison avec les grandes terrasses aux balustrades de céramiques bleue. Elle lui demande ce qu'il est. Il dit qu'il est chinois, que sa famille vient de la Chine du Nord de Fou-Chouen. Voulez-vous me permettre de vous ramener chez vous à Sagon? Elle est d'accord. Il dit au chauffeur de prendre les bagages de la jeune fille dans le car et de les mettre dans l'auto noir.

Marguerite Duras, L'Amant

L'uomo elegante sceso dalla limousine, fumando una sigaretta inglese. Lui guarda la ragazza sentì le scarpe dell'uomo e oro. Egli viene da lei lentamente. E 'visibile, è intimidatorio. Non sorride in un primo momento. In primo luogo egli offre una sigaretta. La sua mano trema. C'è questa differenza di razza, non è bianco, deve superare, in modo che scuote. Lei gli dice che non fuma, no grazie. Ha detto niente, non dirgli lasciarmi in pace.

Così egli ha meno paura. Poi ha detto che crede sogno. Lei non risponde. Non vale la pena risponde che lei avrebbe risposto. Aspetta. Poi si chiede: ma dove sei? Dice che è la figlia del Sadec scuola dell'insegnante ragazze. Ha pensato e poi ha detto che ha sentito parlare di questa donna, sua madre, la sua mancanza di fortuna con questa concessione, sarebbe in Cambogia, è che non lo fa? Sì è vero.

Ha ribadito che è abbastanza straordinario vedere questa casella. Se la mattina presto, una ragazza bella come è, non vi rendete conto che è molto inaspettato, una ragazza bianca su un bus nativo.

Ha detto che il cappello gli si adatta bene, anche molto, è originale ... ... un cappello da uomo, perché no? Lei è così carina, lei può farla franca con qualsiasi cosa.

Lei lo guarda. Lei gli chiede chi è. Dice che è tornato da Parigi dove ha studiato, vive Sadec troppo, proprio sul fiume, la grande casa con ampie terrazze con balaustre in ceramica blu. Lei gli chiede quello che è. Dice che è cinese, la sua famiglia proviene dalla Cina settentrionale a Fushun. Vi lasciate che vi portare a casa per Sagon? Lei accettò. Ha detto all'autista di prendere i bagagli della ragazza sul bus e li mise in macchina nera.

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« Je voudrais que vous m'appreniez à lire et à écrire, s'il vous plaît », dit Mondo. Le vieil homme restait immobile, mais il n'avait pas l''air étonné. « Tu ne vas pas à l'école? »« Non, Monsieur » dit Mondo. Le vieil homme s'asseyait sur la plage, les dos contre le mur, le visage tourné vers le soleil. Il regardait devant lui, et son expression était très clame et douce, malgré son nez busqué et les rides qui coupaient ses joues. Quand il regardait Mondo, c'était comme s'il voyait à travers lui, parce que ses iris étaient si clairs. Puis il y avait une lueur d'amusement dans son regard, et il dit: « Je veux bien t'apprendre à lire et à écrire, si c'est ça que tu veux ». Sa voix était comme ses yeux, très clame et lointaine, comme s'il avait peur de faire trop de bruit en parlant. «Tu ne sais vraiment rien du tout? »« Non, Monsieur » dit Mondo. L'homme avait pris dans son sac de plage un vieux canif à manche rouge et il avait commencé à graver les signer des lettres sur des galets bien plats. En même temps, il parlait à Mondo de tout ce qu'il y a dans les lettres, de tout ce qu'on peut y voir quand on les regarde, et quand on les écoute. Il parlait de A qui est comme une grande mouche avec ses ailes repliées en arrière; de B qui est drôle, avec ses deux ventres, de C et de D qui sont comme la lune, en croissant et à moitié pleine, et O qui est la lune tout entière dans le ciel noir. Le H est haut, c'est une échelle pour monter aux arbres et sur le toit des maisons.; E et F, qui ressemblent à un râteau et à la pelle, et G, un gros homme assis dans un fauteuil; I danse sur la pointe de ses pieds, avec sa petite tête qui se détache à chaque bond, pendant que J se balance; mais K est cassé comme un vieillard, R marche à grandes enjambées comme un soldat, et Y est debout, les bras en l'air et crie: au secours! L est un arbre au bord de la rivière, M est une montagne; N est pour les noms, et les gens saluent de la main, P dort sur une patte et Q est assis sur la queue; S c'est toujours un serpent, Z toujours un éclair; T est beau, c'est comme le mât d'un bateau, U est comme un vase, V, W, ce sont des oiseaux, des vols d'oiseaux; X est un croix pour se souvenir. Avec la pointe de son canif, le vieil homme traçait les signes sur les galets et les disposait devant Mondo.

J.M.G. Le Clézio, Mondo

"Voglio che tu mi insegni a leggere e scrivere, per favore," ha dichiarato Mondo.Il vecchio rimase immobile, ma non era sorpreso di scarico dell'aria."Non sei di andare a scuola? ""No, signore", ha dichiarato Mondo.Il vecchio sedeva sulla spiaggia, schiena contro il muro, il viso rivolto verso il sole. Fissò dritto, e la sua espressione era molto tranquilla e gentile, nonostante il suo naso adunco e le rughe che tagliano il viso. Quando guardò Mondo, era come se vedesse attraverso di lui, perché le sue iridi erano così chiare. Poi c'è stato un barlume di divertimento nei suoi occhi e disse:"Ti insegnerò a leggere e scrivere, se è questo quello che vuoi." La sua voce era come i suoi occhi, molto tranquilla e distante, come se avesse paura di fare troppo rumore durante la conversazione."Davvero non si sa nulla?"No, signore", ha dichiarato Mondo.

L'uomo aveva preso come una borsa da spiaggia un vecchio coltello dal manico rosso aveva cominciato a bruciare le lettere segno su rulli e piatti. Allo stesso tempo, ha parlato a tutto Mondo nelle lettere, tutto ciò che può vedere quando si guarda, e quando uno li ascolta. Ha parlato di A che è come una mosca di grandi dimensioni con le sue ali ripiegate; B è divertente, con i suoi due pance, C e D che sono come la luna, mezzaluna, mezzo pieno, e O è la luna nel cielo completamente buio. La H è alto, è una scala per arrampicarsi sugli alberi e sui tetti., E ed F, che sembrano un rastrello e pala, e G, un grande uomo seduto su una sedia, io ballo le punte dei piedi con la testa piccola che sta a ogni salto, mentre J è oscillante, ma K è rotto come un vecchio, camminando R come un soldato, e Y è in piedi con le braccia in aria e gridò aiuto! L è un albero sulle rive del fiume è una montagna M, N è per i nomi, e la gente agitando, dormendo su una gamba sola P e Q è seduto sulla coda, S è sempre un serpente, Z è sempre un lampo; T è bella, è come l'albero di una barca è come un vaso W U, V,, sono gli uccelli, stormi di uccelli, X è una croce per ricordare.Con la punta del coltello, il vecchio ha i segni sui rulli e doveva Mondo.

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En octobre, la Sorbonne fermée, je passai mes journées à la Bibliothèque Nationale. J'avais obtenu de ne pas rentrer déjeuner à la maison: j'achetais du pain, des rillettes, et je les mangeais dans les jardins du Palais-Royal, en regardant mourir les dernières roses: assis sur des bancs, des terrassiers mordaient des gros sandwiches et buvaient du vin rouge. S'il bruinait, je m'abritais dans un café Biard, parmi des maçons qui puisaient dans des gamelles; je me réjouissais l'échapper au cérémonial des repas de famille: en réduisant la nourriture à sa vérité, il me semblait faire un pas vers la liberté. Je regagnais la Bibliothèque; j'étudiais la théorie de la relativité, et je me passionnais. De temps en temps, je regardais les autres lecteurs, et je me carrais avec satisfaction dans mon fauteuil: parmi ces érudits, ces savants, ces chercheurs, ces penseurs, j'étais à ma place. Je ne me sentais plus du tout rejetée par mon milieu: c'était moi qui l'avais quitté pour entrer dans cette société dont je voyais ici une réduction, où communiaient à travers l'espace et les siècles tout les esprits qu'intéresse la vérité. Moi aussi, je participais à l'effort que fait l'humanité pour savoir, comprendre, s'exprimer: j'étais engagée dans une grande entreprise collective et j'échappais à jamais à la solitude. Quelle victoire! Je revenais à mon travail. À six heures moins un quart, la voix du gardien annonçait avec solennité: « Messieurs-on-va-bientôt- fermer ». C'était chaque fois une surprise, au sortir des livres, de retrouver les magasins, les lumières, les passants, et le nain qui vendait des violettes à coté du Théâtre – Français. Je marchais lentement, m'abandonnant à la mélancolie des soirs et des retours.

Stépha rentra à Paris peu jours après moi et vint souvent à la Nationale , lire Goethe et Nietzche. Les yeux et le sourire aux aguets, elle plaisait trop aux hommes et ils l'intéressaient trop pour qu'elle travaillât très assidument. À peine installée, elle jetait son manteau sur ses épaules et s'en allait rejoindre dehors un de des flirts: l'agrégatif d'allemand, l'étudiant prussien, le docteur roumain. Nous déjeunions ensemble et quoiqu'elle ne fût pas bien riche, elle m'offrait des gâteux dans une boulangerie ou un bon café au bar Poccardi. À six heures nous promenions sur les boulevards, ou, les plus souvent, nous prenions le thé chez elle. Elle habitait, dans un hôtel de la rue de Saint-Sulpice, une petite chambre très bleue; elle avait accroché aux murs des reproductions de Cézanne, de Renoir, du Greco, et le dessins d'un ami espagnol qui voulait peindre. Je me plaisais avec elle. J'aimais la tendresse de son col de fourrure, ses petites toques, ses robes, son parfum, ses roucoulements, ses gestes caressants. Mes rapports avec mes amis – Zaza, Jacques, Drapelle – avaient toujours été d'une extreme sévérité. Stépha me prenait les bras dans la rue; au cinéma elle glissait sa main dans la mienne; elle m'embrassait pour un oui pour un non. Elle me racontait des tas d'histoire, s'enthousiasmait pour Nietzsche, s'indignait contre Mme Mabille, se moquait de ses amoureux: elle réussissait très bien les imitations et entrecoupait ses récits de petites comédies qui m'amusaient beaucoup.

S. de Beauvoir, Memoire d'une jeune fille rangée

Nel mese di ottobre, chiuso Sorbona, ho trascorso i miei giorni presso la Biblioteca Nazionale. Ho avuto di non tornare a casa per il pranzo: ho comprato il pane, rillettes, e ho mangiato nei giardini del Palais Royal, guardando le ultime rose morenti seduti sulle panchine, mordere dei cercatori panini grandi e bere vino rosso. Se piovigginava, mi rifugio in un Biard caffè, che ha disegnato uno dei muratori in ciotole, e mi ha fatto piacere per sfuggire al rito dei pasti della famiglia: la riduzione degli alimenti alla sua verità, sembrava di fare un passo alla libertà. Sono tornato in biblioteca, ho studiato la teoria della relatività, e mi sono emozionato. Di tanto in tanto, ho visto gli altri giocatori, e sono quadrati con soddisfazione sulla mia sedia: tra questi studiosi, questi scienziati, questi ricercatori, questi pensatori, ero a casa mia. Non mi sentivo affatto accolte dal mio ambiente: ero io che aveva lasciato entrare in questa società che ho potuto vedere una riduzione qui, dove la comunione attraverso lo spazio e tutte le età interessati nella mente verità. Anch'io ero coinvolto nello sforzo dell'umanità per imparare, capire, parlare: sono stato coinvolto in un gruppo di imprese di grandi dimensioni e sono fuggito alla solitudine per sempre. Che vittoria! Sono tornato al mio lavoro. Almeno sei ore un quarto, la voce della guardia solennemente annunciato: "Signori, ci sarà presto da vicino". E 'stata una sorpresa ogni volta, alla fine dei libri, per trovare negozi, luci, pedoni, e il nano che ha venduto viola accanto al Teatro - francese. Ho camminato lentamente, lasciandomi con la malinconia della sera e ritorna.

Stepha torna a Parigi pochi giorni dopo di me e veniva spesso a Nazionale, leggere Goethe e Nietzsche. Gli occhi e il sorriso in allerta, le piacevano anche gli uomini e anche loro interessati a questo travaillât molto assiduamente. Appena installato, gettò il cappotto sulle spalle e se ne andò a far parte di uno dei flirta: l'aggregazione del tedesco, prussiano studente, il Dott. rumeno. Abbiamo pranzato insieme e anche se non era molto ricco, lei mi ha offerto la senile in un panificio o un caffè bar Poccardi. Alle 06:00 abbiamo camminato lungo i viali o, più spesso, si prende il tè con lei. Viveva in una casa di rue Saint-Sulpice, un blu stanza molto piccola, aveva appese alle pareti le riproduzioni di Cézanne, Renoir, El Greco, e disegni di un amico spagnolo che voleva dipingere. Mi piaceva. Ho amato la tenerezza del suo collo di pelliccia, small cap, i suoi vestiti, il suo profumo, il suo tubare, accarezzando gesto. Il mio rapporto con i miei amici - Zaza, Jacques, Drapell - era sempre stato di gravità estrema. Stepha prese il mio braccio per la strada, il film fece scivolare la sua mano nella mia e mi ha baciato per un sì un no. Mi ha detto un sacco di storia, entusiasta a Nietzsche, s'indignò contro la signora Mabille, preso in giro il suo amore: era imitazioni molto buona e intervallati le sue storie di commedie poco che mi divertiva molto.

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Non. Les livres sont d'un commerce plus doux. Ils n'exigent rien. Ils sont à ta disposition. Tu ouvres quand tu veux celui que tu veux. Il y a aussi le plaisir de l'objet. Tu l'interromps à ton gré, tu le reprends, il te répond. Les auteurs ne meurent pas, ils t'attendent pour parler avec toi […]. Considère ma bibliothèque comme une construction, jeune savant en herbe. Tu passes ta vie à la bâtir au gré de tes envies, tu la nourris avec curiosité, tu l'enrichis pour t'enrichir, elle grossit, elle t'envahit. Une bibliothèque, vois-tu, c'est l'histoire des hommes à portée de main. Rangés sur leurs rayons de bois, souvent en triple épaisseur pour gagner un peu de place, ces livres que tu regroupes par affinité ou par genre ou par époque ou par auteurs, ils débordent grimpent en piles instables, lesquelles parfois s'effondrent, ils montent à l'assaut des meubles, occupent les recoins, le dessus et le dessous des tables, ils vivent, ils poussent comme une jungle d'appartement … […] Les six volumes de Grandeur et décadence Rome, de Guglielmo Ferrero, je les devine dans la zone «Antiquité », près de la fenêtre au fond, cachés derrière les sept gros volumes reliés de l'Histoire des origines du christianisme de Renan en édition originale. Après la grosse lampe dont des livres calent le pied de porcelaine sur le guéridon chinois, c'est le XVIIIe siècle, et sur le mur à gauche tout ce qui concerne Paris. Ensuite les romans populaires, que j'aime. Arsène Lupin entre Rouletabille et Fantômas, que surplombe un Hugo en trente volumes rouges, tout Evelyn Waugh … plus loin Orwell, Marcel Aymé, Jules Renard … Vialatte campe près de la porte, escorté par Nietzsche et Kafka qu'il a traduits … Giono prolonge la «Série noire », juste avant les premières éditions de Hergé, Franquin et Jacobs. Dans le couloir qui mène à la cuisine, voici la Chine et l'Indice … […] La semaine dernière, comme je flânais près du Palais-Royal, je m'arrête devant l'ardoise d'une brasserie pour lire le menu. Je vois Veau maringo, 13 euros. Il y avait deux fautes dans l'énoncé du plat. Qu'est-ce dons qu'un maringo? Pourquoi de veau? Comment le cuisinier peut-il réussir un plat dont il ignore l'origine et la composition? Je n'irais jamais déjeuner chez lui. Maringo c'est en réalité Marengo, petit village du Piémont où Napoléon l'emporta sur les Autrichiens en juin 1800. Après cette victoire Napoléon a faim. Il fait appeler Dunant, son cuisinier, et lui réclame un fricot mémorable. Avec quoi? Il n'y a pas de vivres. Dunant envois aussitôt des soldats dans le village et dans les fermes: qu'ils ramènent ce qu'ils trouvent. Peu après ils rapportent trois oeufs, quatre tomates, de l'ail, une bouteille d'huile d'olive, six écrevisses et une jeune poule […]. Au lieu de veau marinco, il aurait fallu écrire poulet Marengo. La prochaine fois, je te raconterai la cuisine. Savoir parler et savoir manger, savoir écrire et savoir cuisiner vont de pair.

P. Rambaud, La grammaire en s'amusant

No. I libri sono un commercio più discreta. Chiedono nulla. Sono a vostra disposizione. Apri quando desideri e quello che desideri. C'è anche il piacere dell'oggetto. Interrompi spontaneamente, la riprendi, ti lo risponde. Gli autori non muoiono, sono in attesa di parlare con te [...]. Considera la mia biblioteca come un edificio, giovane scienziato in erba. Passi la tua vita edificandola secondo tuoi desideri, tu la nutrisci con tua curiosità, tu l’arrichisci per arrichirti, essa cresce, t’invade. Una biblioteca, vedi, è la storia di uomini a portata di mano. Ordinate sui loro scaffali di legno, spesso in tre strati per guadagnare un pò di spazio, questi libri che tu raggruppi secondo l’affinità o genere o periodo o autori, oltrepassano arrampicarono in pile instabile, che a volte si crollono, vanno per invadare i mobili, occupano gli angoli, le sopra e le sotto delle tavole, vivono, crescono come una giungla di appartamento ... [...] I sei volumi di Grandiosita e decadenza di Roma, di Guglielmo Ferrero, le indovino nell’angolo dell’«Antichità», vicino alla finestra in fondo, nascosti dietro le sette grandi volumi rilegati di Storia delle origini cristiane nell’edizione originale di Renan. Dopo la grande lampada sul tavolino rotondo cinese di cui il piede in porcellana viene appogiato di libri, il Settecento, e sulla parete di sinistra tutto su Parigi. Poi il romanzo popolare, che amo. Arsene Lupin tra Rouletabille e Fantômas, che strapiomba uno Hugo rosso in trenta volumi, mentre Evelyn Waugh ... al di là Orwell, Marcel Aymé, Jules Renard ... Vialatte accampato vicino la porta, scortato da Nietzsche e Kafka chi l’ha tradotto ... Giono si estende nella "serie nera", poco prima delle prime edizioni di Hergé, Franquin e Jacobs. Nel corridoio che conduce alla cucina, qui ci sono la Cina e l'Indice ... [...] La settimana scorsa, come passeggiavo vicino del Palazzo Reale, mi fermo davanti alla lavagna di una birreria per leggere il menu. Vedo Vitello Maringo, 13 euro. C’èrano due errori nella dichiarazione del piatto. Che Maringo regalo? Perché è carne di vitello? Come può avere successo cucinare un piatto di origine sconosciuta e la composizione? Non avrei mai andare a pranzo con lui. Maringo è in realtà Marengo, un piccolo paese del Piemonte dove Napoleone trionfò sugli austriaci nel giugno del 1800. Dopo questa vittoria di Napoleone fame. Mandò Dunant, il suo cuoco, ed è alla ricerca di uno stufato memorabile. Con che cosa? Non c'è cibo. Dunant immediatamente l'invio di truppe nel paese e in azienda: portano quello che trovano. Poco dopo riportano tre uova, quattro pomodori, aglio, una bottiglia di olio d'oliva, sei un pollo e gamberi giovani [...]. Marinco invece di carne di vitello, pollo avrebbe dovuto scrivere Marengo. La prossima volta vi dirò la cucina. In grado di parlare e come mangiare, cucinare e saper scrivere andare insieme. Stepha torna a Parigi pochi giorni dopo di me e veniva spesso a Nazionale, leggere Goethe e Nietzsche. Gli occhi e il sorriso in allerta, le piacevano anche gli uomini e anche loro interessati a questo travaillât molto assiduamente. Appena installato, gettò il cappotto sulle spalle e se ne andò a far parte di uno dei flirta: l'aggregazione del tedesco, prussiano studente, il Dott. rumeno. Abbiamo pranzato insieme e anche se non era molto ricco, lei mi ha offerto la senile in un panificio o un caffè bar Poccardi. Alle 06:00 abbiamo camminato lungo i viali o, più spesso, si prende il tè con lei. Viveva in una casa di rue Saint-Sulpice, un blu stanza molto piccola, aveva appese alle pareti le riproduzioni di Cézanne, Renoir, El Greco, e disegni di un amico spagnolo che voleva dipingere. Mi piaceva. Ho amato la tenerezza del suo collo di pelliccia, small cap, i suoi vestiti, il suo profumo, il suo tubare, accarezzando gesto. Il mio rapporto con i miei amici - Zaza, Jacques, Drapell - era sempre stato di gravità estrema. Stepha prese il mio braccio per la strada, il film fece scivolare la sua mano nella mia e mi ha baciato per un sì un no. Mi ha detto un sacco di storia, entusiasta a Nietzsche, s'indignò contro la signora Mabille, preso in giro il suo amore: era imitazioni molto buona e intervallati le sue storie di commedie poco che mi divertiva molto.

Page 7: Original Francais-Italien Sem I.

Mlle Flavia Crisanti Thème [email protected]

M. et Mme Leurtillois s'étaient fort mal entendus sans jamais se séparer. Les mêmes causes ont ou semblent avoir des effets opposés. Les disputes familiales avaient précipité Armandine dans le mariage, pour y échapper. Aurélien, lui, prétendait que s'il n'avait pas de liaison sérieuse ou s'il ne se mariait pas, cela devait être à cause de cette expérience du ménage qu'il avait eue sous les yeux. Le mot ménage dans sa bouche prenait un goût amer. Comme beaucoup de mots du reste. Après tout, prétendait. Pour être sincère avec lui-même, il s'avouait que c'était là un argument commode, un beau jour inventé, et répété pour se débarrasser des questionneurs, des importuns. On est habitué qu'à trente ans un homme se soit déjà déclaré, que sa vie ait pris la tournure de celle des autres. Plus ou moins. Ceux qui ne se plient pas à cette règle sont irritants, ils inquiètent. C'est-à-dire, s'ils n'ont pas quelque infirmité apparente, une insuffisance qui se devine. Puis il y a les maris qui la trouvent mauvaise. Un célibataire sans liaison est un diable. Il n'y avait d'ailleurs qu'à voir Aurélien appuyer son regard sur une femme pour comprendre le danger. Il n'était pas un Don Juan sans doute, mais les autres n'en savaient rien. Et une certaine disponibilité permanente, chez un homme, se fait sensible à la fois et presque intolérable pour ceux qui ne sont pas comme lui, surtout s'il a sept ou huit centimètres de plus qu'eux, les épaules assez larges et l'air de ne tenir à rien.

Il faut toujours se rappeler que, pour fixer cette destinée, il n'y avait eu que trois ans de libres. Trois ans où d'abord Aurélien avait aimé faire l'expérience du temps perdu, non plus dans l'engrenage militaire, mais pour son compte propre. Sa sœur avait tout de suite voulu le marier. Sa sœur en général adorait marier les gens. La vie en dehors du mariage lui paraissait inimaginable, elle s'était jetée à Jacques Debrest dès sa majorité, résolument, et s'en trouvait bien. Elle avait un goût solide de l'amour, un besoin de l'homme qui était le fondement de son univers. Aussi cette honnête femme ne comprenait-elle point qu'on ne se mariât point, si ce n'était par détestable esprit de libertinage. Elle n'avait, il faut le dire, aucune influence sur son jeune frère, et toutes ses entreprises échouèrent, et même écartèrent si possible, encore, Aurélien Leurtillois du mariage. Ils étaient trop dissemblables, lui et Armandine, il suffisait qu'elle pensât d'une façon pour qu'il se portât à une décision inverse.

Louis ARAGON, Aurélien

Mr. e Mrs. Leurtillois non avevano mai sentito male split. Le stesse cause sono o sembrano avere effetti opposti. Controversie familiari avevano precipitato Armandine in matrimonio a scappare. Aureliane Egli ha affermato che non aveva relazione seria o non sposarsi, sarebbe a causa di questa esperienza che aveva avuto sotto gli occhi delle famiglie. Parola di famiglia in bocca, ha un sapore amaro. Come molte parole dal resto. Dopo tutto, ha sostenuto. Per essere onesto con se stesso, ha confessato che questo era un argomento di comodo, un giorno ha inventato e ripetuto per sbarazzarsi degli interroganti, la sgradita. Siamo abituati a 30 anni un uomo è già stato detto, che la sua vita ha preso la svolta dagli altri. Più o meno. Coloro che non ottemperano a questa regola sono irritanti, si preoccupano. Vale a dire, non hanno alcun apparente debolezza, una carenza che può essere indovinato. Poi ci sono i mariti che sono poveri. Senza un legame unico è un diavolo. C'era anche solo vedere Aurélien sostenere la sua visione di una donna per capire il pericolo. Non era un dongiovanni, naturalmente, ma gli altri non lo sapevo. E alcuni sono sempre disponibili, in un uomo è sensibile ad entrambi e quasi insopportabile per coloro che non sono come lui, specialmente se ha sette o otto centimetri più alto di loro, spalle larghe a sufficienza e la fingeva di non prendere niente.

Ricordate sempre che per risolvere questo destino, c'erano solo tre anni gratis. Primi tre anni in cui Aureliano aveva amato sperimentare il tempo perduto, non in tenuta militare, ma per proprio conto. Sua sorella aveva subito voluto sposare. Sua sorella amata generalmente sposare persone. Vita al di fuori del matrimonio sembrava inimmaginabile, si gettò a Jacques Debrest raggiungimento della maggiore età, con fermezza, ed è stato bello. Aveva un sapore forte amore, una necessità per l'uomo che era il fondamento del suo mondo. Quindi questa buona donna non ha capito il punto che lei non sposarsi, se non fosse odioso spirito di libertinaggio. Aveva, va detto, non influenza il suo fratello minore, e tutti i suoi affari fallito e anche messi da parte, se possibile, ancora, il matrimonio Aurelien Aurelien. Erano troppo dissimili, lui e Armandine, lei pensava che fosse sufficiente un modo che indossava una decisione opposta.

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Mlle Flavia Crisanti [email protected]ème italien - L1ITF110

Pendant cinq mois, je me suis rendue plusieurs fois par jour sur le site de P., Iron and Gold – du nom des soirées qu'il organisait à Lausanne, sa ville -, cherchant sur ce photographies, dans les messages de son forum et le chronique qu'il écrivait quelque chose de sa vie qui aurait révélé une partie encore inconnue de la mienne. J'occupais son existene, cachée invisible, ce qui me donnait un sentiment de honte (j'avais peur d'être trahie par l'empreinte de mon ordinateur). Plus j'utilisais les éléments de son histoire plus je craignais de m'éloigner de la vrai vie. Je nageais dans l'illusion d'une image que j'avais construite à partir d'image recueillies, images fausse ou falsifiées par mes rêveries.

Le soir de notre rencontre, dans une librairie de Lausanne, P. m'avait donné un disque DV sur lequel était gravé le petit film qu'il avait réalisé pour l'ECAL pendant ses études d'art plastiques, inspiré de cinq passages de mon journal, qu'il avait intitulé Je cherche un monde qui parlerai de moi, phrase extraite du même journal que je ne reconnaisas, ainsi qu'un disque audio qui portait un tire étrange et poétique – On the Reef – dont j'imaginais plus tard les chansons puisqu'une erreur de saisie l'avait rendu illisible. P. m'avait également donné une lettre que je n'ouvrais qu'une fois rendue dans ma chambre d'hôtel. En découvrant son écriture j'avais pensé découvrir la part de son histoire qui le reliait à moi. Je la relisais plusieurs fois, y cherchant un double sens. Il me connaissait depuis novembre 2000. Mes livres l'avaient aidé à traverser des jours de peine. Il voulait m'en remercier. Il avait joint à sa lettre l'adresse de son site. Je pris son geste pour une invitation. De retour à Paris, mes heures à le regarder furent sans limites. P. devint une forme d'obsession, composées de mon désir des autres, à partir de sa beauté et de ce qu'elle devait engendrer: le succès ou le rejet. J'apprenait en le lisant qu'il n'avait que vingt-trois ans. J'avais deux idées à son sujet, la première nourrie des photographies de son site, la seconde, du souvenir de notre rencontre. Quand je les mélangeais, elles formaient un portrait-robot, inspiré du vrai visage qui m'avait souri: les yeux bleus, les cheveux bruns très courts, parfois rasés, un mètre soixante-quinze environ, une fossette au menton, la peau fine comme aurait pu l'être la peau d'un fille.

J'ignorais si j'étais en train de fabriquer une intimité, si les mots et les images pouvaient se substituer au corps, à ce que l'on peut étreindre. Je le fixais à ma vie comme une légende qui n'existait pas et que je pouvais déconstruire à chaque instant. Il avait forcé mon sang, agissant sur moi comme une invasion […]. à l'Opéra un soir, les corps dansants d'un ballet me firent penser à la mort, c'est-à-dire au vide physique de ma nouvelle relation. J'avais l'idée d'écrire sur lui. Je dressais des listes, prenais des notes, mais la vérité finissait par manquer. Mes mots ne tenaient pas, mon histoire m'accablait, le silence achevant de tout défaire.

N. Bouraoui, Appellez-moi par mon prénom

Per cinque mesi sono andato più volte al giorno sul sito di P., ferro e oro - i nomi delle parti ha organizzato a Losanna, città - alla ricerca delle fotografie, messaggi nel forum e la sua la colonna ha scritto qualcosa nella sua vita che avrebbe rivelato alcuni miei sconosciuto. Ho tenuto la sua esistenziale, nascosto invisibile, che mi ha dato un senso di vergogna (avevo paura di essere tradito da l'impronta del mio computer). Inoltre ho utilizzato gli elementi della sua storia, più avevo paura di allontanarsi dalla vita reale. Ho nuotato nella illusione di una immagine che avevo costruito con immagini raccolte, immagini falsi o falsificati dai miei sogni ad occhi aperti.

La notte ci siamo incontrati in una libreria a Losanna, P. DV mi ha dato un duro su cui era inciso il cortometraggio ha fatto per l'ECAL mentre studiava l'arte visiva, ispirata da cinque brani dal mio giornale, che egli chiamò sto cercando un mondo che parla me, frase dal giornale stesso che mi riconoscibile, così come disco audio che era una strana attira e poetica - Sul Reef - che ho immaginato le ultime canzoni da quando l'errore di ingresso è stato reso illeggibile . P. Mi è stata data anche una lettera che ho aperto una volta fatto nella mia camera di albergo. Con la scoperta della scrittura ho pensato di scoprire la sua storia che lo legava a me. L'ho riletto più volte, alla ricerca di un doppio senso. Lui mi conosceva dal novembre 2000. I miei libri aveva aiutato a superare i giorni di guai. Voleva ringraziarmi. Egli attribuiva alla sua lettera l'indirizzo del suo sito. Ho preso il gesto di un invito. Di ritorno a Parigi, le mie ore a guardarlo erano infinite. P. divenne una forma di ossessione, composto da mio desiderio degli altri, dalla sua bellezza e cosa produrre: il successo o il rifiuto. Ho imparato leggendo lo aveva solo 23 anni. Ho avuto due idee su di esso, alimentato le prime fotografie del sito, il secondo, il ricordo del nostro incontro. Quando li miscela, hanno formato un identikit, basato sul vero volto che mi ha sorriso: occhi azzurri, capelli castani corti, a volte rasate, uno di circa sei metri di altezza, una fossetta sul mento, la pelle sottile come avrebbe potuto essere la pelle di una ragazza.

Non sapevo se stavo facendo un ambiente intimo, se le parole e le immagini potrebbero sostituire il corpo che può abbracciare. Fissai la mia vita come una leggenda che non c'era e potevo decostruire tutto il tempo. Ha forzato il mio sangue, che colpisce me come un'invasione [...]. l'opera una sera, i corpi in un balletto mi ha fatto pensare alla morte, vale a dire il vuoto fisico della mia nuova relazione. Ho avuto l'idea di scrivere su di lui. Faccio liste, prendere appunti, ma la verità finalmente perdere. Le mie parole non ha fatto, la mia storia mi ha travolto, il silenzio di completare annullare tutto.

Page 9: Original Francais-Italien Sem I.

Mlle Flavia Crisanti Thème [email protected]

Nous mettions un indéniable point d’honneur à nous ranger du côté de la mort, l’impossibilité même de vivre nous paraissant (comme il s’en faut de peu qu’elle ne me paraisse encore) le grand critère de moralité. En ce qui concerne l’Homme-à-la-tête-d’épingle, il était tacitement entendu qu’il mourrait poitrinaire, et quant à l’étudiante elle avait à son actif deux tentatives de suicide. Une première fois, selon du moins ce qu’elle nous avait raconté, elle avait absorbé au cours d’un bal chez sa mère le contenu entier d’un flacon de laudanum, sans parvenir à autre chose qu’à se donner un violent mal de cœur. Une autre fois, étant allés, l’Homme-à-la-tête-d’épingle et moi, la chercher chez elle, nous avions appris par la femme de chambre qu’elle s’était enfuie en courant, disant qu’elle allait vers la Seine ; prenant cette déclaration tout à fait au sérieux, et du reste affamés de tragique, nous nous étions immédiatement lancés à sa poursuite, mais n’avions pas même eu besoin de la rejoindre pour éviter qu’elle mît à exécution son sinistre dessein.

Bien que le plus clair de notre temps se fondît dans une entière frivolité, que nous fussions des piliers de dancing et qu’on eût pu nous accoler n’importe quelle épithète plutôt que celle de « littéraires », une certaine poésie n’allait pas sans nous toucher ; mais il s’agissait naturellement de la plus sentimentale, la plus facile, la plus niaise. Nous nous emballâmes ainsi pour de pitoyables bohèmes qui tenaient boutique dans un vague cabaret au nom moyenâgeux. Toute une soirée, nous nous gargarisâmes de leurs chansons ; puis nous nous abîmâmes dans la tristesse, rêvant à la « vraie vie » que nous semblaient mener ces misérables cabots indignes même du nom d’esthètes. Sans pouvoir l’affirmer, je ne serais pas étonné que ma fallacieuse tentative de suicide remonte à cette phase de l’histoire de notre association.

Sortant à peu près nuit et jour, buvant assez volontiers (surtout en ce qui concerne l’Homme-à-la-tête-d’épingle et moi), nous énervant beaucoup par nos conversations, nos intrigues, nos secrets et le caractère trouble de nos rapports, nous parvînmes rapidement à un était de fatigue extrême qui ne faisait qu’accentuer notre hypersensibilité.

Un soir que nous étions allés danser chez une cousine de l’étudiante, mon camarade se trouva mal entre deux fox-trot ou tangos et il dut se faire reconduire. Un autre jour, rentrant chez moi à pied après une nuit de vagabondage, je fus la proie de sortes d’hallucinations (silhouettes imaginaires tournant brusquement les coins de rues au moment où j’y arrivais, grand singe franchissant d’un bond une grille) qui me prouvaient que je dormais debout ; cependant, ayant le goût de ce marasme, je ne voulais rien savoir pour me reposer. De tels incidents, d’ailleurs, nous faisaient plutôt rire et je me rappelle que l’étudiante et moi échangeâmes une fois, en ricanant à moitié, nos impressions sur l’évanouissement de l’Homme-à-la-tête-d’épingle, si exténué que nous nous disions qu’il allait bientôt en mourir.

Il était convenu implicitement entre nous que si l’un des garçons venait à avoir une maîtresse (excepté le Faune, qui avait tous les droits, étant situé – de par sa qualité de « faune » – sur un tout autre plan) il ne pourrait plus être question d’amitié avec lui et que cela équivaudrait, en somme, à une rupture. Il n’y avait rien là de si conventionnel et sans doute ne faisions-nous que pressentir ce qu’il m’a été loisible de vérifier plus tard, à savoir que l’amour est l’ennemi de l’amitié, que toute liaison durable implique un changement total de perspective, bref que l’amitié n’est réellement entière que pendant la jeunesse alors que les paires d’hommes et de femmes ne se sont pas encore formées, attaquant dans ses bases mêmes cet esprit de société secrète par lequel les rapports amicaux, s’ils sont tout à fait profonds, ne manquent pas d’être dominés.

Michel Leiris, L’âge d’homme

Per cinque mesi sono andato più volte al giorno sul sito di P., ferro e oro - i nomi delle parti ha organizzato a Losanna, città - alla ricerca delle fotografie, messaggi nel forum e la sua la colonna ha scritto qualcosa nella sua vita che avrebbe rivelato alcuni miei sconosciuto. Ho tenuto la sua esistenziale, nascosto invisibile, che mi ha dato un senso di vergogna (avevo paura di essere tradito da l'impronta del mio computer). Inoltre ho utilizzato gli elementi della sua storia, più avevo paura di allontanarsi dalla vita reale. Ho nuotato nella illusione di una immagine che avevo costruito con immagini raccolte, immagini falsi o falsificati dai miei sogni ad occhi aperti.

La notte ci siamo incontrati in una libreria a Losanna, P. DV mi ha dato un duro su cui era inciso il cortometraggio ha fatto per l'ECAL mentre studiava l'arte visiva, ispirata da cinque brani dal mio giornale, che egli chiamò sto cercando un mondo che parla me, frase dal giornale stesso che mi riconoscibile, così come disco audio che era una strana attira e poetica - Sul Reef - che ho immaginato le ultime canzoni da quando l'errore di ingresso è stato reso illeggibile . P. Mi è stata data anche una lettera che ho aperto una volta fatto nella mia camera di albergo. Con la scoperta della scrittura ho pensato di scoprire la sua storia che lo legava a me. L'ho riletto più volte, alla ricerca di un doppio senso. Lui mi conosceva dal novembre 2000. I miei libri aveva aiutato a superare i giorni di guai. Voleva ringraziarmi. Egli attribuiva alla sua lettera l'indirizzo del suo sito. Ho preso il gesto di un invito. Di ritorno a Parigi, le mie ore a guardarlo erano infinite. P. divenne una forma di ossessione, composto da mio desiderio degli altri, dalla sua bellezza e cosa produrre: il successo o il rifiuto. Ho imparato leggendo lo aveva solo 23 anni. Ho avuto due idee su di esso, alimentato le prime fotografie del sito, il secondo, il ricordo del nostro incontro. Quando li miscela, hanno formato un identikit, basato sul vero volto che mi ha sorriso: occhi azzurri, capelli castani corti, a volte rasate, uno di circa sei metri di altezza, una fossetta sul mento, la pelle sottile come avrebbe potuto essere la pelle di una ragazza.

Non sapevo se stavo facendo un ambiente intimo, se le parole e le immagini potrebbero sostituire il corpo che può abbracciare. Fissai la mia vita come una leggenda che non c'era e potevo decostruire tutto il tempo. Ha forzato il mio sangue, che colpisce me come un'invasione [...]. l'opera una sera, i corpi in un balletto mi ha fatto pensare alla morte, vale a dire il vuoto fisico della mia nuova relazione. Ho avuto l'idea di scrivere su di lui. Faccio liste, prendere appunti, ma la verità finalmente perdere. Le mie parole non ha fatto, la mia storia mi ha travolto, il silenzio di completare annullare tutto.

Abbiamo messo un punto innegabile d'onore per noi a fianco con la morte, l'impossibilità di vivere che sembrava

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(come non ci vuole molto di più che mi sembra) i criteri generali della moralità. Per quanto riguarda il Man-in-the-testa-d'épingle, è stato tacitamente inteso che sarebbe morto tubercolotico, e come per lo studente al suo attivo aveva due tentativi di suicidio. La prima volta, almeno secondo quello che lei ci aveva detto che aveva assorbito durante un ballo sua madre l'intero contenuto di una bottiglia di laudano, ma non è riuscito a dare se stessi qualcosa di diverso da un dolore violento cuore. Un'altra volta, essendo andato, l'uomo-per-la-testa-e d'epinglé me, la guardo, abbiamo imparato dalla cameriera che era scappato, si dice andato alla Senna, prendendo molto sul serio questa dichiarazione, e fame il resto della tragedia, siamo stati immediatamente inviati alla ricerca, ma non ha nemmeno avuto bisogno di unirsi a lei per evitare di mettere in atto la sua progettazione sinistro.

Anche se la maggior parte del nostro tempo volge al frivolezza completa, che siamo stati i pilastri della danza e che avremmo potuto virato qualsiasi epiteto piuttosto che poesia "letterario" non era certo senza toccare, ma era naturalmente il più sentimentale, il più facile, più sciocco. Noi emballâmes per pietoso e bohémien che teneva un negozio di vago taverna medievale nel nome. Intera serata, abbiamo gargarisâmes delle loro canzoni e poi ci abîmâmes nella tristezza, sognando di "vita reale" che ci sembrava di guidare il botoli miserabile perfino indegne del nome di esteti. Senza essere in grado di dire, io non sarei sorpreso che il mio tentativo di suicidio era falsa in questa fase della storia della nostra associazione.

Conoscere giorno e notte, bere abbastanza soddisfatto (soprattutto per quanto riguarda l'Uomo-con-la-testa-d'épingle e me), abbiamo molti snervante delle nostre conversazioni, i nostri intrighi, i nostri segreti e disturbi di carattere dei nostri rapporti, siamo giunti rapidamente ad un affaticamento estremo che era solo accentuato questa ipersensibilità.Una sera siamo andati a ballare con un cugino dello studente, il mio amico era ammalato due tango e fox-trot e che doveva fare per rinnovare. Un altro giorno, a piedi, tornando a casa dopo una notte di vagabondaggio, ero tipo di preda ad allucinazioni (figure immaginarie girando bruscamente all'angolo della strada, quando sono arrivato, salto scimmia su una griglia ) che ha dimostrato a me che ho dormito in piedi, ma con un assaggio di questo casino, non sapevo di riposare. Tali incidenti, però, ci ha fatto ridere di più e mi ricordo che lo studente e io ci scambiammo una volta, a metà un sorriso, le nostre impressioni della dissolvenza del Man-in-the-testa-di pin, così esausti che ci ha detto che sarebbe morto presto.

E 'stato implicitamente concordato tra di noi che se uno dei ragazzi era di avere un amante (ad eccezione della fauna selvatica, che aveva tutto il diritto, si trova - per la sua qualità di "fauna selvatica" - su un piano diverso) potrebbe più essere una questione di amicizia con lui e sarebbe, in breve, una pausa. Non c'era niente di là in modo convenzionale e, probabilmente, solo non si prevede che ciò che era libero di controllare più tardi, che l'amore è il nemico di amicizia, che ogni legame duraturo comporta un cambiamento di prospettiva, in breve, che l'amicizia è davvero completa come in gioventù, mentre le coppie di uomini e donne non hanno ancora formato, attaccando sue basi con lo stesso spirito di società segreta con il quale i rapporti amichevoli, sono abbastanza profonde, non senza essere dominati.

Page 11: Original Francais-Italien Sem I.

Mlle Flavia Crisanti Thème [email protected]

Comme il portait beau, par nature et par pose d'ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d'un geste militaire et familier, et jeta sur les dineurs attardés un regard rapide et circulaire, une de ces regards de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier.

Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvriers, une maitresse de musique entre deux ages, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue d'une robe toujours de travers et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe.

Lorsqu'il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu'il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche trois francs quarante pour finir le mois. Cela représentait deux diners, sans déjeuners, ou deux déjeuners sans diners, au choix. Il réfléchit que les repas du matin étant de vingt-deux sous, au lieu de trente que coȗtaient ceux du soir, il lui resterait, en se contentant des déjeuners, un franc vingt centimes de boni, ce qui représentait encore deux collations au pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits; et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette.

Il marchait ainsi qu'au temps, où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s'il venait de descendre de cheval; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement sur l'oreille son chapeau à haute forme assez défraichi, et battait le pavé de son talon, Il avait l'air de toujours défier quelqu'un, les passants, les maisons, la ville entière, par chic de beau soldat tombé dans le civil.

Quoique habillé d'un complet de soixante francs, il gardait une certaine élégance tapageuse, un peu commune, réelle cependant. Grand, bien fait, blond, d'un blond châtain vaguement roussi, avec une moustache retroussée, qui semblait mousser sur la lèvre, des yeux bleus, clairs, troués d'une pupille toute petite, des cheveux frisées naturellement, séparés par une raie au milieu de crane, il ressemblait bien au mauvais sujet des romans populaire.

G. Maupassant, Bel-ami

Come è stato bello in natura e pone un ex sottufficiale, inarcò la dimensione, arricciati i baffi con un gesto militare, familiare ai commensali e gettare un rapido sguardo all'indietro, circolari, uno di quegli sguardi bel ragazzo, che si estendono come i colpi di un falco.

Le donne avevano guardato a lui, tre operai di piccole, una signora di mezza età musica, trasandato, trascurato, con un cappello sempre polveroso e indossa un abito e ancora attraverso due borghesi con i loro mariti, usato Questa cena a prezzo fisso.

Quando era sul marciapiede, si fermò per un attimo, chiedendosi cosa avrebbe fatto. Era il 28 giugno e aveva tre franchi in tasca solo per finire il 40 mesi. Questo ha rappresentato due cene, niente pranzi, cene e due pranzi, senza una scelta. Egli pensava che il pasto del mattino è 22 centesimi, invece di trenta coȗtaient come quelle della sera, avrebbe, semplicemente pranzi, venti centesimi un grande bonus, che era di due più di pane e snack con salsiccia, più due birre sul viale. Questa era la sua grande spesa e notti molto divertente, e cominciò a scendere la rue Notre-Dame-de-Lorette.

Camminava e il momento in cui ha indossato la divisa degli Ussari, petto sporgente, le gambe leggermente aperte come se avesse a scendere, e lui improvvisamente entrò nella strada affollata, urtando le spalle spingendo le persone a non essere disturbato nel suo modo. Ha il cappello inclinato orecchio un po 'alto, piuttosto stanchi, e battere il pavimento del suo tallone, sembrava sfidare sempre qualcuno, passanti, le case, tutta la città, per chic bel soldato cadde nella vita civile.

Anche se vestita con un completo sessanta franchi, ha mantenuto una certa eleganza chiassosa, un insolito, ma reale. Grande, ben fatto, biondo, biondo, marrone leggermente bruciata, si presentò con un paio di baffi, che sembrava schiuma sul labbro, occhi azzurri, occhi chiari di un allievo molto piccolo, i capelli naturalmente ricci, parted nel mezzo del cranio, sembrava proprio il cattivo ragazzo dei romanzi popolari.

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La chambre à coucher du couple Deume, de jour exclusivement occupée per Madame, ses fatigues de tête requérant solitude et concentration. Une odeur composite de camphre, de salicylate de méthyle, de lavande et de naphtaline. Sur le dessus de la cheminée, une pendule en bronze doré, surmontée d'un soldat porte-drapeau mourant pour la patrie; une couronne de mariée sous globe de verre; des immortelles; un petit buste de Napoléon; un mandoliniste italien en terre cuite; un paysan chinois tirant la langue; un coffret en velours bleu incrusté de coquillages, souvenir du Mont-Saint-Michel; un petit drapeau belge; une voiturette en verre filé; une geisha de porcelaine; un marquis en faux Saxe; un petit soulier métallisé, bourré de velours porte-épingles; un gros galet, souvenir d'Ostende. Devant la cheminée, un écran peint à l'huile où deux petits chiens se disputaient un croissant. Aux murs, un immense coeur en bois découpé, parsemé de petits coeurs contenant les photos de van Offel, des Rampal, de divers Leerberghe, d'Hyppolyte Deume nu à l'age de six mois, de Josephine Butler et du cher Dr. Schweitzer; des éventails japonais; un châle espagnol; un carillon Westminster; des versets bibliques pyrogravés ou phosphorescents, ou brodé au point de plumetis; deux tableaux à l'huile représentant, l'un un petit ramoneur jouant aux billes avec un petit paisseler, et l'autre un cardinal déjeunant et taquinant un mignon chat blanc. Au-dessus du lit, un agrandissement de la première Mme Deume, gras-silhouette et souriante, avec les dates de sa naissance et de sa mort. Ça et là, des napperons; des des dessous de lampes, des abat-jours à glands; des appuis-tête au crochet; des tabourets pour le pieds; des chancelières; des chaufferettes; des paravents contre les courants d'air et les vents coulis; un jeu de brosse à dos d'écaille; des coffrets à gants; une jardinière de mousse verte piquée de fleurs artificielles; des fougères; des cache-pot en étain repoussé; des pèse-lettres; des sels anglais; des pastilles pectorales à la guimauve.

Interminable et osseuse étendue sur son lit, ses mains aux brunes verrues croisées sur la poitrine, Mme Daume faisait sa sieste tardive , ronflant avec certitude et légitimité, ses dents obliques couchées sur le pale traversin de la lèvre inférieure. Brusquement réveillée, elle se débarrassa de la courtepointe et, accompagnée de ses ongles incarnés, se leva en déshabillé peu galant mais judicieux. En effet, le temps franchissant toujours vers le soir, elle avait jugé prudent de se démunir des habituels pantalons en madapolam et de s'empaqueter dans de flasques caleçon de laine masculin qui lui arrivaient aux chevilles et la moulaient fort peu; lesquels caleçons, fendus devant et derrière, étaient molletonnées à l'intérieur et leur couleur extérieure était celle, si pratique, de la moutarde, la place du séant étant consolidée par un fond de percale à fleurs mauves.

Après avoir exécuté quelques exercices de yoga pour se mettre en harmonie avec l'Universel (elle avait lu récemment un livre vaguement bouddhiste, n'y avait pas compris grand-chose, mais cet Universel-là lui avait beaucoup plu) elle s'étendit sur le tapis, leva les pieds et les posa sur un tabouret afin de se relaxer, puis ferma les yeux et appela à elle des pensées apaisantes et constructives, entre autre le vif intérêt que Dieu ressentait pour elle.

A. Cohen, Belle du Seigneur

La camera da letto della coppia Deum, esclusivamente occupato al giorno signora, la sua stanchezza e la concentrazione di piombo solitudine richiedente. Odore di canfora composito, salicilato di metile, lavanda e naftalina. Sulla parte superiore del camino, un orologio in bronzo dorato, sormontata da un soldato morente portabandiera per il paese, una corona di fiori da sposa sotto campana di vetro, l'immortale, un piccolo busto di Napoleone, un mandolino italiano terracotta , un cinese fuori la lingua dei contadini, una scatola di velluto blu con intarsi di conchiglie, un promemoria di Mont-Saint-Michel, una piccola bandiera belga, un golf cart filato di vetro, una geisha di porcellana, un marchese Sassonia falso, una scarpa poco metallico, farcito perni titolare di velluto, una grande ruota, la memoria di Ostenda. Davanti al camino, una schermata di dipinti a olio, dove due cani stavano combattendo una mezzaluna. Sulle pareti, un bosco enorme cuore scolpito, costellato di cuoricini che contiene le immagini di van Offel e Rampal, Leerberghe vari, di Hyppolyte Deume nudo all'età di sei mesi, Josephine Butler e l'amato Dr. Schweitzer ; di fan giapponesi, uno scialle spagnolo, un carillon Westminster versetti biblici pyrographed o fosforescenti, o ricamato in punto raso punto, due dipinti ad olio che rappresentano, una piazza che giocano biglie con un piccolo e paisseler l'altro un pranzo cardinale e prendere in giro un simpatico gatto bianco. Sopra il letto, un allargamento della signora prima Deum, grasso-silhouette e sorridente, con le date della sua nascita e della morte. Qua e là, tovagliette, di sotto le lampade, lampadari con le nappe, poggiatesta sul gancio, feci per i piedi dei manicotti, riscaldatori, schermi contro le correnti d'aria e venti spazzola malta con un gioco posteriore del guscio, glove box, un letto di muschio verde punteggiato di fiori artificiali, felci, vaso di scala peltro respinto di sali lettere inglesi losanghe pettorali il marshmallow.

Senza fine e ossa sdraiata sul suo letto, verruche marrone sulle mani incrociate sul petto, la signora Daume era il suo pisolino in ritardo, russare con certezza e legittimità, i denti obliqui sdraiato sul cuscino del labbro pallido. Improvvisamente risvegliato, gettò via la coperta e, accompagnato da le unghie dei piedi, si spogliava nel senso galante ma poco. Infatti, la traversata sempre di sera, aveva pensato prudente mancare i pantaloni solito e s'empaqueter madapolam in flaccida lana intimo maschile che è venuto alle caviglie e le cozze piccole, che pantaloncini, split anteriore e posteriore, sono stati imbottiti sul lato interno e del colore esterno è stato che, se possibile, senape, seduto invece di essere rafforzata da uno sfondo di fiori viola percalle.

Dopo aver eseguito alcuni esercizi di yoga per entrare in armonia con la Universal (che aveva letto di recente un libro vagamente buddista non ho capito molto, ma poi che la Universal aveva piaciuto molto) si è diffuso sul tappeto, alzò il piede e posto su uno sgabello di relax, poi chiuse gli occhi e lo ha chiamato i pensieri rilassante e costruttivo, tra gli altri, l'interesse che Dio provava per lei.

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Manifester est un art. Il ne suffit pas de défiler derrière les banderoles et de reprendre en chœur les chansons aux paroles détournées qu'entonne dans son mégaphone en forme de fleur avec son pistil central un militant poète (par exemple, on demande une augmentation à un patron prénommé Pierre, cela donne : Au clair de la lune, mon ami Pierrot, donne-nous des thunes, ou on t'f'ra la peau), il faut avoir l'air convaincu, presque farouche, sans se départir pourtant d'un côté bon enfant, volontiers blagueur mais prude, bon vivant mais avec de la tenue, preuve qu'un militant ne dédaigne pas de goûter les fruits du travail mais veille à n'en pas abuser, et donc grave et léger, tout en progressant d'un pas lent sans donner le sentiment de traîner des pieds, en veillant à adresser des sourires complices aux passants massés sur le bord du trottoir, en les invitant par un bon mot à se joindre au mouvement, en refusant de polémiquer avec les provocateurs qui vous traitent de fainéants, et surtout en donnant l'impression que pour rien au monde vous ne voudriez échanger votre place.

Théo, la douce rebelle, avançait lentement, en silence, les mains dans les poches, la capuche rabattue, large et profonde, comme un capucin, de sorte que de profil on n'apercevait même pas le bout de son nez, juste le petit nuage d'haleine condensée qui sortait de sa bouche quand, émergeant de temps en temps de son abri en étirant le cou, elle lançait une remarque sur le temps qui ne semblait pas devoir s'arranger. De fait il ne s'arrangeait pas, la pluie tombait plus rapide et plus serrée, et, s'étalant maintenant en flaques sur la chaussée, nous obligeait à de petits pas de danse pour les contourner, prétextes à une diversion heureuse dans la monotonie du parcours.

L'association de l'eau et de la danse me remirent en mémoire ma naïade noyée, et à la dérobée j'observai les pieds de Théo chaussés d'escarpins noirs qui tranchaient élégamment au milieu de l'armée de pataugas et autres chaussures montantes, sabots à brides, galoches et même, un Spartiate sans doute, des tongues. Comme elle esquissait un léger saut gracieux par-dessus une flaque, je m'enhardis à lui demander si elle avait jamais fait de la danse, et par la même occasion si elle aimait nager. Je vis un œil malicieux émerger de la capuche et, sans attendre la réponse, absolument désolé de m'être encore une fois placé tout seul en aussi mauvaise posture - est-ce qu'un père, le mien à tout prendre, m'eût enseigné cet art de se taire, ou du moins de parler à bon escient, d'avoir toujours le mot juste, drôle, sensible, précis, auquel cas j'avais beaucoup perdu à sa disparition précoce -, je m'empressait d'ajouter que c'était en raison de la pluie qui redoublait, ce qui, dans l'ignorance du sous-texte, faisait assez faible. Sur quoi, tiraillé entre la perspective d'être bientôt trempé et la certitude d'être tout à fait ridicule, j'optai pour la seconde solution et sortis de la poche de mon caban une casquette de toile kaki, achetée en catimini dans un magasin de stocks américains, que, me laissant décrocher d'un pas ou deux, afin de ne pas attirer l'attention de la belle, j'ajustai au mieux et avec prudence (toutes les mines anti-personnel n'avaient pas explosé), m'assurant dans le rétroviseur d'une voiture rangée sur le trottoir du bon angle d'inclinaison de la visière. Puis, accélérant l'allure, je revins au niveau de ma capucine bleue.

Jean Rouaud, Le monde à peu près

La protesta è un'arte. Non è sufficiente per marciare dietro gli striscioni e prendere le canzoni in coro le parole nel suo tortuoso essere guidato da megafono a forma di fiore con al centro una poeta attivista pistillo (per esempio, chiedere un aumento di un boss di nome Pietro, questo dà: Al chiaro di luna, amico mio Pierrot, ci danno monete d'oro, oppure t'f'ra la pelle), è necessario guardare fiducioso, quasi feroce, ma senza allontanarsi da un lato buono bambino, ma felice puritana burlone, ma con buona vita di un'azienda, prova che un militante non disdegna di assaggiare i frutti del lavoro, ma assicura di non abusare, in modo serio e leggero, mentre lo spostamento di un lentamente, senza dare la sensazione di trascinare i piedi, facendo attenzione a indirizzo sorrisi conoscere ai passanti radunati sul marciapiede, invitando una buona parola per aderire al movimento, rifiutando di discutere con i provocatori che ti trattano di pigro, soprattutto nel dare l'impressione che per qualche cosa che cambierei luoghi.

Theo, il ribelle gentile, si muoveva lentamente, in silenzio, le mani in tasca, piegato il cappuccio, largo e profondo, come un monaco, in modo che nel profilo che non poteva vedere anche la punta del suo naso, solo il piccolo nuvola di fiato condensato che esce dalla sua bocca quando, uscendo di tanto in tanto al riparo da stretching al collo, ha lanciato una battuta sul tempo che non sembrava stare meglio. In effetti non funziona, la pioggia cadeva più veloce e più stretto, e ora diffondendo pozzanghere sul pavimento, ci ha costretti a fare piccoli passi a ballare intorno a loro, un pretesto per un felice diversivo dalla monotonia il corso.

La combinazione di acqua e mi ha consegnato la danza nella mia ninfa memoria annegato, e in segreto ho visto Theo i piedi calzati di nero elegante pompe che si trovava nel mezzo dell'esercito e stivali guadare altre , scarpe con flange, zoccoli e anche una spartana, senza dubbio, delle lingue. Come lei ha delineato un balzo leggero grazioso sopra una pozzanghera, ho fatto ardito a chiederle se lei non aveva mai fatto la danza, e allo stesso tempo, se le piaceva nuotare. Ho visto un malizioso sguardo emergono dal cappuccio e, senza aspettare la risposta, assolutamente mi dispiace ancora una volta si è messo così male - è un padre, il mio, tutto sommato, avrebbe ha insegnato questa arte di tacere, o almeno a parlare correttamente, per avere sempre la parola giusta, divertente, sensibile, preciso, in questo caso ho perso molto della sua morte precoce - mi affretto ad aggiungere che è stato a causa della pioggia che scendeva più difficile, che al buio sotto-testo, è stato piuttosto basso. Che, diviso tra la prospettiva di essere presto indurito e la certezza di essere assolutamente ridicolo, ho optato per quest'ultimo e dalla tasca del cappotto un berretto kaki, comprato in un negozio di nascosto inventari degli Stati Uniti che, lasciandomi prendere un passo o due, in modo da non attirare l'attenzione al bello, mi Regolare per ottenere le migliori cure (tutte le mine antiuomo non è esploso) assicurandomi nello specchietto retrovisore di una macchina parcheggiata sul marciapiede la giusta angolazione della visiera. Poi, accelerando il ritmo, sono tornato al mio nasturzio azzurro.

Senza fine e ossa sdraiata sul suo letto, verruche marrone sulle mani incrociate sul petto, la signora Daume era il

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suo pisolino in ritardo, russare con certezza e legittimità, i denti obliqui sdraiato sul cuscino del labbro pallido. Improvvisamente risvegliato, gettò via la coperta e, accompagnato da le unghie dei piedi, si spogliava nel senso galante ma poco. Infatti, la traversata sempre di sera, aveva pensato prudente mancare i pantaloni solito e s'empaqueter madapolam in flaccida lana intimo maschile che è venuto alle caviglie e le cozze piccole, che pantaloncini, split anteriore e posteriore, sono stati imbottiti sul lato interno e del colore esterno è stato che, se possibile, senape, seduto invece di essere rafforzata da uno sfondo di fiori viola percalle.

Dopo aver eseguito alcuni esercizi di yoga per entrare in armonia con la Universal (che aveva letto di recente un libro vagamente buddista non ho capito molto, ma poi che la Universal aveva piaciuto molto) si è diffuso sul tappeto, alzò il piede e posto su uno sgabello di relax, poi chiuse gli occhi e lo ha chiamato i pensieri rilassante e costruttivo, tra gli altri, l'interesse che Dio provava per lei.