Optimiser sa formation avec Infiressources: les TIC une compétence à … · 2011-09-15 · de...
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Optimiser sa formation avec Infiressources: les TIC une compétence à développer
Margot Phaneuf, inf., Ph.D.
Réviseure: Denise Bruneau-Morin, inf., M.Sc.Inf., M.A.P.
Afin de simplifier cet exposé, il est fait uniquement au
féminin, mais c’est sans discrimination pour nos confrères
masculins.
Merci de venir réfléchir avec moi à la nécessité de l’introduction des TIC
dans une pédagogie active, autonome et centrée sur l’apprentissage.
Cette présentation comporte trois parties
1re partie : des engagements nouveaux Les exigences de notre temps Les avantages de l’ordinateur en classe
Développer des compétences informationnelles Pourquoi tant insister sur les TIC? Les difficultés rencontrées 2e partie : les horizons de demain
Le Web 2.0 Quelques outils du Web 2.0 La classe du 3e millénaire Le tableau blanc interactif Vers le WEB 4.0 3e partie : L’évaluation L’évaluation en ligne
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Un peu d’humour!
La génération TIC…! Comme tous les enfants, ils sont préoccupés de leurs origines.
Non tu n’as pas été téléchargé, je t’ai mis
au monde! Traduit de : http://twitpic.com/s2tzr
Ce document est un peu comme un “infotour” des
ressources TIC actuelles qui peuvent enrichir notre
pédagogie.
Cette partie ne traite pas d’Infiressources en soi, mais
plusieurs des références figurent sur ce site.
Nous vivons à une époque
extraordinaire! Nous participons à une révolution qui marquera l’humanité
comme d’autres grands moments de notre histoire, tels : l’invention de l’écriture, l’invention de l’imprimerie. L’invention de l’informatique est à bousculer l’information, qui elle-même, modifie les sciences, la technologie, la politique et même notre quotidien. Nous ne pouvons pas penser que dans notre bulle de soins infirmiers et de pédagogie, nous serons épargnées. L’informatique transforme nos rapports à la matière enseignée, réduit l’espace et change nos relations avec les étudiantes.
Nous sommes encore trop souvent des expertes du contenu
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Prof
S’assure de couvrir le contenu
Planifie les cours pour couvrir le contenu
Organise l’enseignement pour couvrir le
contenu
Évalue les connaissances en lien avec le
contenu
Experte de contenus
OUELLETTE, L. et DUPONT, H. L’intégration des TIC dans un programme. Document produit dans le cadre des travaux du Réseau des répondantes et répondants TIC. Octobre 2009 :
http://www.infiressources.ca/fer/depotdocuments/Diaporama_guide_integration_TIC_pgm_v2003.ppt
Nos étudiantes utilisent des iPod, des
ordinateurs, envoient des SMS
13 http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/72/Woman-typing-on-laptop2.jpg
Les temps ont changé! Donc nous devons aussi évoluer
Nous avons été formées dans ce type d’organisation. Mais devons-nous absolument former nos étudiantes comme nous avons été
formées?
14 http://www.et-demain-en-classe.org/avecquoi/exercices/eveil/ecole-autrefois.pdf
Quelles sont les exigences de notre temps et quels sont les moyens d’y
répondre?
Image : http://presto-service.com/ 15
Nous allons vers un apprentissage de plus en plus actif
Nous sommes maintenant dans une ère de mouvance technologique continue et la pédagogie est appelée à constamment évoluer et même à se renouveler complètement.
L’apprentissage actif devrait être au coeur de la pédagogie : les étudiantes doivent devenir maîtres d’oeuvre de leur apprentissage.
Dans cette mouvance, elles doivent participer à leur formation par la recherche de ressources, par l’élaboration de travaux, de présentations dans une approche collaborative et autonome riches en apprentissages.
Vitrine Technologie Education: Maître d’œuvre de son apprentissage : entrevue avec Hélène Martineau http://ntic.org/reseau-tic/episode-19-entrevue
Les exigences d’un apprentissage
utilisant le numérique
L’utilisation des outils numériques nous pose de nouvelles exigences :
. formation personnelle; . utilisation pédagogique du numérique. Nous avons affaire à des étudiantes de l’ère techno. : la
génération native du numérique, la génération C. . Elles utilisent le numérique: jeux, téléphones intelligents,
baladeurs MP3, Internet, téléchargement de musique, etc. . Mais leurs compétences pour l’utilisation scolaire demeurent
souvent limitées. Autant pour les enseignantes que pour les étudiantes, le
changement vers le numérique doit être accompagné. S’exclure des moyens informatiques d’apprentissage et
d’enseignement crée les analphabètes de demain.
Mais est-ce que l’ordinateur est un
avantage en classe?(1)
Les professeurs concernés voient une différence sur la
motivation, l’attention et les résultats scolaires des étudiants.
Le climat de la classe est plus stimulant. L’ordinateur produit le plaisir d'apprendre pour apprendre.
Il apporte un renouveau à la pédagogie. Il favorise l'activité et l’autonomie de l’étudiant
(recherches, travaux, projets, illustrations, présentations, par cette relation pédagogique dynamique qui s’instaure).
Il favorise les ancrages avec ce qui est déjà su. Pour des chiffres plus précis : La formation collégiale en soins infirmiers : les acquis d’hier
et les défis d’aujourd’hui : http://www.infiressources.ca/fer/depotdocuments/La_formation_collegiale_en_soins_infirmiers-
les_acquis_d_hier_et_les_defis_d_aujourd_hui.pdf
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 19
Image : http://www.bing.com/images/search?q=images+clavier+help&view=detail&id=826BCEC1DFCA6CEAA2BE8DBD7F8E7210528B53E4&first=31&FORM=IDFRIR&qpvt=images+clavier+help
Il ne faut pas craindre
de se faire aider!
Les avantages de l’informatique en classe (2)
L’informatique favorise l’entraide et la socialisation. C’est un outil de travail personnel et collectif : elle aide à l’atteinte des objectifs de travail individuel et/ou de groupe.
Rend la rédaction des travaux plus intéressante et plus performante. Élargit l’horizon intellectuel des étudiants. Stimule le goût de la recherche documentaire. Augmente l’implication dans les études. Tient lieu de dictionnaire, c’est une encyclopédie toujours
en évolution . Enrichit la panoplie des outils de l'enseignant.
- Le succès scolaire au bout du clavier (Le Devoir) http://www.ledevoir.com/societe/education/288807/78e-congres-de-l-
acfas-le-succes-scolaire-au-bout-du-clavier
Des exigences importantes à réunir Nous allons vers de nouveaux
horizons. Nous nous orientons vers la classe du 3e millénaire.
Aussi, joindre les exigences pédagogiques et les nécessités informationnelles devient une nécessité.
Mais il ne faut pas seulement utiliser des modalités informatiques modernes, il faut modifier nos pratiques traditionnelles.
Il nous faut inventer de nouveaux cheminements pédagogiques et c’est très exigeant!
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Margot Phaneuf. Les TIC comme compétence transversale en soins infirmiers, 2009. http://www.infiressources.ca/fer/depotdocuments/Les_TIC_comme_compétence_transversale_en
_soins_infirmiers.pdf
Image: http://breizhtic.com
Nous devons développer la compétence informationnelle
Définition : la compétence informationnelle comprend toutes les habiletés qui permettent de repérer l’information, de la retirer, de la discriminer et de se l’approprier afin de l’utiliser de manière pertinente.
Elle est nécessaire pour les enseignantes comme pour les étudiantes.
En dépit de certaines améliorations, il arrive que les étudiantes dépassent les enseignantes.
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Image: http://breizhtic.com
Développer des compétences informationnelles
Ce besoin n’est pas seulement québécois, mais mondial.
Nicole Perreault. YouTube dans les collèges : accessibilité et utilisation à des fins pédagogiques http://www.reptic.qc.ca/bibliotheque/enquetes-inventaires-compilations/youtube-dans-les-colleges-accessibilite-et-utilisation-a-des-fins-pedagogiques.html
Il se fait sentir en soins infirmiers autant qu’ailleurs sinon plus, puisque l’informatique a aussi pénétré les milieux de soins.
La première nécessité est de s’ouvrir à cette réalité de notre temps. Autrement rien n’est possible.
Il faut ensuite chercher à s’informer, puis à se former.
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Image: http://breizhtic.com
Une compétence à développer chez les enseignantes et chez les étudiantes
Les enseignantes disposent pourtant de multiples ressources pour améliorer leur performance TIC, mais en profitent-elles ?
L’expérience démontre que très mobilisées par les cours et les stages, elles ne cherchent pas trop à développer leurs compétences dans ce domaine.
Selon les recherches, les étudiants éprouvent aussi certaines difficultés: pour effectuer leurs recherches de références pour leurs travaux ou pour utiliser un correcteur ou encore, pour citer leurs sources et éviter le plagiat.
Ils ne savent pas beaucoup discriminer dans les informations recueillies.
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25 Page source de l'image : http://www.armvop.fr/wp/?p=1579
Une petite note
d’humour!
Mais pourquoi tant insister sur les TIC ? Pour soutenir une pédagogie active; c’est un moyen
de faire apprendre les étudiants dans l’action et en contexte.
Pour respecter les devis ministériels (buts, objectifs). Pour respecter et soutenir la philosophie de
l’approche par compétences et de l’approche constructiviste.
Pour former les étudiants à une plus grande maîtrise des TIC qui leur sera nécessaire dans leur vie future : dans leur vie citoyenne; pour répondre aux attentes et exigences des
universités et du marché du travail.
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OUELLETTE, L. et DUPONT, H. L’intégration des TIC dans un programme. Document produit dans le cadre des travaux du Réseau des répondantes et répondants TIC. Octobre 2009 :
http://www.infiressources.ca/fer/depotdocuments/Diaporama_guide_integration_TIC_pgm_v2003.ppt
Image Clipart Office
Pourquoi insister sur les TIC? En raison des résultats obtenus : dans les
recherches récentes, la présence de l’ordinateur a été un facteur de succès scolaire et aussi un facteur de succès de l’apprentissage collaboratif.
À la condition d’une participation authentique.
L’apprentissage mobile : téléphones, iPod, etc., est productif parce qu’il favorise la mobilité de l’apprenant. (Nasmith et coll. 2005, in Martin Riopel, Patrice Potvin et Jésus Vasquez-Abas : Utilisation des technologies pour la recherche en éducation scientifique. Québec, 2010. PUL, p. 82-85). http://www.pulaval.com/catalogue/utilisation-des-technologies-pour-recherche-education-9427.html
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Pourquoi insister sur les TIC? En raison des incitatifs du programme:
Tous les programmes de formation collégiale comportent des compétences ou des objectifs ministériels liés à l’utilisation des TIC : «savoir chercher l’information, savoir la traiter et la présenter tout en respectant les normes reliées à la citation des sources, et savoir communiquer et collaborer à distance, tout cela fait partie d’habiletés que nos jeunes doivent maîtriser avec aisance.»
Nicole Perreault : Le Bulletin Clic No 70 avril 2009. InukTIC : exploiter les TIC pour apprendre (et prévenir le plagiat!) : http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2126
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Ainsi, nous devons conduire nos étudiantes à exploiter les TIC pour apprendre
C’est-à-dire pour : travailler en équipe; réaliser des projets; exploiter l’information; résoudre des problèmes; acquérir des connaissances; construire et actualiser leur savoir; communiquer leurs travaux; se donner des méthodes de travail efficaces.
http://www.pressomatic.com/thomascooper/upload/Stethoscope%20Keyboard.jpg
L’intégration des TIC est une
approche plus dynamique
OUELLETTE, L. et DUPONT, H. L’intégration des TIC dans un programme. Document produit dans le cadre des travaux du Réseau des répondantes et répondants TIC. Octobre 2009
http://www.infiressources.ca/fer/depotdocuments/Diaporama_guide_integration_TIC_pgm_v2003.ppt
Mais, à part le Profil TIC des étudiants du collégial, en soins infirmiers il n’y a pas de compétences TIC
bien définies.
REPTIC: Contenus détaillés des habiletés du Profil TIC des étudiants du collégial. 2009
http://www.reptic.qc.ca/component/docman/doc_download/348-2009-
10duponthprofilticcontenus.html
Ce que demande la planification
de l’intégration des TIC dans une formation
Application des compétences TIC du
collégial
Profil TIC
de sortie de l’étudiante
Participation de différents acteurs :
enseignantes étudiantes
conseillers TIC soutien technique bibliothécaire
La pédagogie exploitant les TIC devrait permettre à l’étudiante de :
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Prof
Rechercher de
l’information
Analyser l’information
Traiter, gérer l’information
Expérimen- ter
Collaborer
Présenter l’information
Communiquer l’information
OUELLETTE, L. et DUPONT, H. L’intégration des TIC dans un programme. Document produit dans le cadre des travaux du Réseau des répondantes et répondants TIC. 2009 :
http://www.infiressources.ca/fer/depotdocuments/Diaporama_guide_integration_TIC_pgm_v2003.ppt
Les difficultés rencontrées par les enseignantes pour intégrer les TIC
La lourde charge de travail. La féminisation de la profession : la conciliation travail famille est difficile; le roulement du personnel est important; c’est un corps professoral jeune où les grossesses sont
nombreuses; le renouvellement professoral se fait à partir des milieux
de soins, ce qui demande beaucoup aux nouvelles arrivantes;
l’adaptation et la formation à la pédagogie sont exigeantes.
L’obligation de poursuivre leur formation en soins infirmiers.
Le traditionalisme de notre profession.
Dans notre programme de soins infirmiers nous avons des questions à nous poser
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Est-ce que nous favorisons l’usage des TIC dans nos cours? Et, par quels moyens?
Est-ce que nos finissantes pourront répondre aux exigences informatiques du marché du travail ou de l’université ?
Nos étudiantes utilisent beaucoup l’internet, mais le font-elles de façon efficace et éthique?
Notre enseignement leur permet-il d’exploiter leur plein potentiel?
Sommes-nous dans une logique de l’apprentissage ou de l’enseignement?
Que dire aux étudiantes au sujet d’Internet?
• Il est important de sensibiliser les étudiantes au plagiat (copier-coller).
• De leur enseigner comment citer leurs sources. • De leur montrer comment cibler leurs recherches. • De les amener à discriminer dans les informations
recueillies sur Internet. • De se méfier des traces qu’elles laissent sur le WEB
(cookies, divulgation d’informations personnelles, risque de diffamation en ligne.)
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37 http://oncle.dom.pagesperso-orange.fr/humour/ordis/fichiers/a_jour.htm
On n’est jamais trop prudent avec l’informatique!
Une aide à leur transmettre pour évaluer les informations sur Internet: Net scoring
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Il faut poser les questions suivantes: Retrouvez-vous la source de l’information comme les références de l’institution, le nom de l’auteur avec ses titres et champs d’expertise ? Si c’est un site « anonyme », prudence !!! Comment ce site est-il financé ? En particulier est-il indépendant des laboratoires pharmaceutiques ? L’information est-elle récente ? Quand a-t-elle été publiée: date de publication, mais aussi date de mise à jour? Existe-t-il un comité éditorial (structure de contrôle de la qualité et de la cohérence du site), d’une charte de qualité, d’un comité scientifique responsable de la qualité des informations? Existe-t-il un « maître toile ou webmestre », responsable de ce site ? Ce site cible-t-il le grand public ou les professionnels? Peut-on vérifier l’information qu’il publie en particulier par la bibliographie? http://www.chu-rouen.fr/netscoring/
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Comme Mafalda il faut nous demander comment
favoriser le passage à une pédagogie plus
active et plus autonome pour l’étudiante?
http://www.videodelcordon.com/peliculas.php?page=38&action=search
Il paraît que le Web 2.0 peut nous aider!
40 http://www.videodelcordon.com/peliculas.php?page=38&action=search
Le Web 2.0 Définition : terme utilisé pour désigner une évolution du
Web statique et unidirectionnel vers un réseau dynamique et interactif, caractérisé par une large participation des usagers à la création et à l’échange de contenus. http://oreilly.com/web2/archive/what-is-web-20.html
Pour certains, c’est un changement de paradigme, une démocratisation des contenus.
Les moyens du Web 2.0 : les wikis, les blogues, les forums, les réseaux sociaux tels Facebook, Twitter, les sites participatifs tels Wikipédia, etc.
Ex. : l’utilisation de certains outils informatiques du Web 2.0 permet une démarche participative de l’apprentissage.
. Lucie Audet. Wikis, blogues et Web 2.0 - Opportunités et impacts pour la formation à distance, 2010 http://refad.ca/nouveau/Wikis_blogues_et_Web_2_0.pdf
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Le Web 2.0 : ses caractéristiques Participations multiples,
vers une intelligence collective
Connectivité et interaction Hyperliens Mises à jour constantes Renouvellement Évolution rapide Pages web personnelles Plus grande
personnalisation : photos, opinions
Droit de réutilisation des textes, des images
Échanges instantanés, Multimédia (vidéos sur
YouTube) Diversité Abondance Qualité diverse Risque d’être submergé par
l’information Absence de censure et de
contrôle, plagiat possible. Margot Phaneuf, Inf. PhD.
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Web 1.0 Web 2.0 Web 3.0
L’apprentissage est centré sur le matériel de cours que l’enseignant met en ligne et que l’étudiant consulte. Les mises à jour sont occasionnelles. L’interaction est limitée. Elle se fait surtout hors Web par courriel, téléphone, etc.). Elle est généralement bidirectionnelle, principalement entre l’étudiant et le formateur ou avec un groupe limité d’étudiants. http://refad.ca/nouveau/Wikis_blogues_et_Web_2_0.pdf
L’étudiant produit, individuellement ou collectivement, du matériel qu’il diffuse sur le Web. Ce matériel s’appuie principalement sur des ressources publiques en ligne. Il constitue un élément central de l’apprentissage du groupe et peut être réutilisé par d’autres intéressés. Les étudiants communiquent instantanément entre eux et avec leur formateur par des moyens multiples : plateformes, forums, réseaux sociaux, microblogues, etc.
Le Web fournit à l’étudiant des ressources documentaires et des contacts sociaux en réponse à ses besoins de formation, établis en fonction de son profil (expérience, formation, intérêts, etc.), de ses activités en ligne (recherches, achats, etc.), le tout dans un environnement d’apprentissage personnel. L’apprenant participe à des communautés de pratique et d’apprentissage où ces éléments sont partagés, évalués et rassemblés pour constituer de nouvelles ressources de formation.
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Comparaison et évolution du Web
La baladodiffusion
Terme anglais : podcasting (de 'iPod' et 'broadcasting'). Bien que l'usage typique soit de transférer ces fichiers sur un baladeur
numérique, on peut tout aussi bien les écouter directement sur n'importe quel ordinateur. Un baladeur numérique de type iPod est donc facultatif.
Baladodiffusion. EBSI, Université de Montréal http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_balado.html
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Définition : mode de diffusion qui permet, par l'entremise d'un abonnement à un fil RSS, d'automatiser le téléchargement de contenus radiophoniques, audio ou vidéo, destinés à être transférés sur un baladeur numérique pour une écoute ou un visionnement ultérieurs. (Le grand dictionnaire terminologique, OQLF)
Image : http://www.lunetterie-alainlarue.com/wp-content/uploads/2008/11/istock_000006491462small1_ordinateur_lunettes.jpg
Baladodiffusion : utilisation On peut s'abonner à un fil RSS ou encore télécharger les
leçons à l'unité. L'université peut rendre certains contenus accessibles à tous.
À sa plus simple expression, la baladodiffusion consiste en un fil RSS dans lequel les "billets" sont des fichiers audio ou vidéo. Il faut simplement créer un fil RSS et déposer les fichiers sur un serveur .
On peut également utiliser un blogue où chaque billet est en fait un nouveau fichier audio.
La création des fichiers audio eux-mêmes nécessite un logiciel d'enregistrement, un logiciel de conversion mp3 ainsi qu'un micro. Les articles suivants donnent la marche à suivre pour créer un podcast: Baladodiffusion : http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_balado.html Comment créer son podcast, 01.net Telecharger.com http://www.01net.com/article/318006.html
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Baladodiffusion : utilisation pédagogique (1)
On peut s’en servir pour : communiquer des contenus de cours ex. : cours en version
audio ou vidéo. Très utile pour l'enseignement à distance, pour la révision ou pour un complément d’apprentissage;
transmettre des messages aux étudiants, pour des infos plus faciles à dire qu'à taper;
procéder à l’évaluation des étudiants qui remettre leurs travaux sous forme de fichiers audio.
Baladodiffusion et enseignement. Eduscol, 29/03/2011. http://eduscol.education.fr/dossier/baladodiffusion Baladodiffusion, EBSI, Université de Montréal 15/06/2009 http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_balado.html
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Baladodiffusion : utilisation pédagogique (2)
On peut s’en servir pour : la pratique des habiletés d'expression orale des
étudiants qui auront à parler à des clients une fois sur le marché du travail;
le feedback aux étudiants. Les commentaires sur les travaux des étudiants peuvent être remis sous forme audio;
des conférences ou autres évènements enregistrés, nouvelles ou bulletins d'actualités, émissions de la radio étudiante. 50
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Les blogues
Margaret L. West (2009). Using Wikis for Online Collaboration. San Francisco. P.4 http://www.e-reading.org.ua/bookreader.php/141435/West_-_Using_Wikis_for_Online_Collaboration.pdf
Blogue, EBSI, Université de Montréal, 2009. http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_blogue.html
Le terme blogue vient de Webblog. Le blogue est rédigé et administré par une personne ou par une équipe. Il ne peut pas être modifié comme le WIKI. Il est organisé par ordre chronologique.
Image : http://www.fond-d-ecran.com/ordinateur/linux/ordinateur-706.html
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Les blogues
Définition : site Web personnel tenu par un ou plusieurs auteurs (appelés blogueurs) qui s'expriment librement et selon une certaine fréquence, sous la forme de billets ou d'articles, informatifs ou intimistes à la manière d'un journal de bord. Les billets sont signés et classés par ordre antéchrono-logique. Grand dictionnaire terminologique, OQLF. http://w3.granddictionnaire.com/BTML/FRA/r_Motclef/index800_1.asp
Le blogue est parfois enrichi d'hyperliens, d'images ou de sons et peut faire l'objet de commentaires laissés par les lecteurs.
Fonctionnement : Un blogue s'accompagne souvent d'un fil RSS, qui permet de suivre la publication des billets, au moyen d'un agrégateur RSS.
Il suffit généralement d'ouvrir un compte, qui peut être gratuit et de commencer à rédiger des billets.
Ouvrir un blogue : le blogue est hébergé par un fournisseur. Il n'y a pas d'installation nécessaire et les procédures de mises à jour, de sauvegarde des documents sont effectuées par le fournisseur. Blogue : http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_blogue.html Ex. : Blogger, WordPress.com (service) Ex : http://archives.radio-canada.ca/rss/rss_fr.asp
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Le blogue : installation et utilisation
Définition : plateforme à installer, à gérer soi-même et à mettre à jour, selon les besoins.
Il faut un espace où héberger le blogue : sur son propre serveur ou chez un fournisseur d'accès Internet. Exemple de fournisseur : WordPress (logiciel) http://www.wordpress-fr.net/
Exemple de blogue : François Guité. Médias sociaux et silos http://www.francoisguite.com/2011/01/medias-sociaux-et-silos/
Exemples d'utilisation pédagogique : On peut s’en servir pour : la communication enseignante – étudiantes : les étudiantes
peuvent poser des questions sur le blogue et obtenir des réponses qui pourront être utiles aux autres étudiants;
transmettre du matériel d’enseignement, des annonces ou des nouvelles.
55
Blogues : exemples d’utilisation pédagogique
(1)
On peut s’en servir pour : des comptes rendus de lecture, des réflexions sur la matière
vue en classe, le signalement de références intéressantes; des discussions et des débats. Il favorise les conversations
autour de sujets abordés en classe; la rédaction de billets ou des commentaires par les étudiantes
qui commentent les billets et commentaires des autres; un blogue collaboratif pour un projet ou un travail de session.
Il permet de suivre l'évolution des projets des étudiantes. Des problèmes peuvent survenir si la participation n'est pas
obligatoire.
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Le blogue et son utilisation
pédagogique (2)
La remise des travaux peut se faire sur un blogue. Le blogue peut également servir de miniportfolio.
On peut l’utiliser comme : carnet de stage journal de bord plateforme de discussion pour les étudiantes. Il présente l'avantage de rendre visible aux autres étudiantes les activités effectuées, les progrès réalisés, etc.
Image : http://www.fond-d-ecran.com/ordinateur/linux/ordinateur-706.html
Les réseaux sociaux Définition : espaces Web conçus pour le partage de renseignements
entre un individu et son réseau de relations sociales, directes et indirectes.
Utilité : retrouver des relations, connaître leur réseau social et échanger avec les personnes choisies des renseignements sur soi (état d’esprit, activités, photos, etc.) ou sur un sujet d’intérêt. Ex.: Facebook, Twitter, Google+, MySpace, etc.
58 Image: http://www.ricaner.com/affiches-humour/ordinateur-panne.htm
Les réseaux sociaux : valeur de la relation pédagogique
Lucie Audet dans le blog de t@d «Le Web 2.0 : des usages pour les tuteurs?» mentionne que l’autodivulgation d’information par le formateur contribuerait à la perception positive de l’enseignant et du cours par les étudiants. Selon les études de Mazer, Murphy et Simmond (2007), dans “I’ll see you on “Facebook”: The effects of computermediated teacher self-disclosure on student motivation, affective learning, and classroom climate” et O’Sullivan et autres (2004), cités par Blattner et Fiori (2009), note 6, 30 avril 2010. http://blogdetad.blogspot.com/2010_04_01_archive.html
Mazer, J. P., Murphy, R. E., & Simonds, C. J. (2007). http://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/03634520601009710
Blattner, G., & Fiori, M. (2009) http://www.itdl.org/journal/jan_09/Jan_09.pdf
À l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec, Facebook a été choisi pour assurer le suivi de stages.
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 59
Les réseaux sociaux : des microblogues Ex. Twitter : Cet outil sert à envoyer et à recevoir
rapidement de brefs messages (gazouillis ou tweets), généralement d’au plus 140 caractères.
60 Image : http://www.astrosurf.com/luxorion/Sciences/smoke-spiral.jpg
Utilité : publier de courtes nouvelles, des commentaires ou des hyperliens, destinés à une communauté qui peut les recevoir sur des équipements portables (SMS/ texto) ou sur le Web (site personnel, RSS, messagerie instantanée, courriel, etc. Twitter véhicule trois millions de gazouillis /jour. On peut former des groupes pédagogiques fermés pour des échanges divers ou favoriser un lien entre et avec les étudiantes. Pour créer un microblogue, on s’inscrit généralement à des services en ligne spécialisés et gratuits comme Twitter, http://twitter.com/ , Mr. Plurk, etc. . Jean-Yves Fréchette, fondateur de Twittérature : http://twitter.blogs.sudouest.fr . Lucie Audet: Wikis, blogues et web 2.0 - Opportunités et impacts pour la formation à distance. P. 41-42: http://refad.ca/nouveau/Wikis_blogues_et_Web_2_0.pdf
Le wiki Définition : wiki, terme hawaïen
signifiant rapide. C’est un type particulier de site Web permettant à une communauté de créer et de modifier collectivement un contenu publié en ligne.
• Utilité : "coconstruire" des connaissances. Il est surtout utilisé pour l’élaboration en mode collaboratif de documents de référence souvent libres de droits. http://moodle.org/
Lucie Audet. Wikis, blogues et Web 2.0 - Opportunités et impacts pour la formation à distance http://refad.ca/nouveau/Wikis_blogues_et_Web_2_0.pdf
62 Image : http://www.astrosurf.com/luxorion/Sciences/smoke-spiral.jpg
Wiki : démarrage Il est possible de démarrer son propre wiki
en installant un logiciel de wiki sur un serveur. De nombreuses options existent en ce sens. Ex : le logiciel Mediawiki http://www.mediawiki.org/wiki/MediaWiki/fr .
On peut démarrer un wiki dans une ferme de wikis, site qui héberge de nombreux wikis sur une même plateforme. L'hébergement peut être gratuit ou payant. Pour certains sites gratuits, une bannière publicitaire apparaitra dans le wiki. http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_wiki.html
Outil de démarrage: Forger et expérimenter les concepts de l'éducation http://fr.curriculumforge.org/
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Image : http://www.astrosurf.com/luxorion/Sciences/smoke-spiral.jpg
Margaret L. West (2009). Using Wikis for Online Collaboration. San Francisco. P.17 http://www.e-reading.org.ua/bookreader.php/141435/West_-_Using_Wikis_for_Online_Collaboration.pdf
Wikis : utilisation pédagogique On peut s’en servir pour : fournir une occasion de familiarisation entre étudiants (ice breaker); offrir un espace libre d'écriture et d'expérimentation (sandbox); diffuser de la documentation; favoriser le travail collaboratif entre étudiants, par exemple pour :
le développement d'un glossaire, d’une bibliographie, le développement d'une base de connaissances/terminologie. Exemples : -
-Portail des Soins infirmiers au Cégep Saint-Laurent http://soins.dduchesneau.ep.profweb.qc.ca/index.php/Accueil -Building Collaborative Capacities in Learners: The M/Cyclopedia Project, Revisited http://eprints.qut.edu.au/10518/1/wiki16f-bruns.pdf .
la création collaborative de notes de cours. (avec slides2wiki, logiciel qui transforme une présentation PowerPoint en syntaxe wiki;
ceci permet à l'enseignant d'évaluer la compréhension des étudiants. rédiger un rapport de stage (observations, résultats, etc.); créer un espace de discussion / débat; organiser un cours sous forme de wiki. Wiki . EBSI, Université de Montréal.
http://www.ebsi.umontreal.ca/clip/web2_wiki.html
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Le forum Définition : un forum de discussion électronique est un lieu
d'échange asynchrone (qui n’est pas en même temps, différé) entre des membres d'un groupe plus ou moins nombreux.
Les participants publient des messages et répondent à ceux des autres, ce qui forme des fils de discussion.
En général, le contenu d'un forum est durable, c'est-à-dire que les messages publiés y sont conservés pendant une certaine période et les participants y ont accès.
Dans un forum, les messages sont généralement présentés sous une forme chronologique (les messages apparaissent selon leur ordre de publication dans le temps) ou hiérarchique. Chaque message est rattaché au message antérieur auquel il répond. Sophie Ringuet. Récit sur Profweb http://www.profweb.qc.ca/fr/publications/dossiers/utiliser-un-forum-electronique-comme-outil-pedagogique/etat-de-la-question/index.html
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Exemple de forum
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http://www.profweb.qc.ca/fr/publications/dossiers/utiliser-un-forum-electronique-comme-outil-pedagogique/etat-de-la-question/index.html
Le portfolio (1)
Définition: document électronique où sont rassemblés divers éléments illustrant les apprentissages antérieurs de l’étudiante (travaux, projets, ressources, rapports de stages, réflexions) et démontrant les réalisations.
Il met en évidence l’acquisition de certaines compétences et permet de leur donner sens dans une pratique professionnelle.
Il peut servir à la consolidation des apprentissages antérieurs, à l’évaluation des travaux, des rapports de stages et à la communication.
• http://ep.profweb.qc.ca/portfolios/index.php/Ressources#Le_portfolio_sur_support_num.C3.A9rique
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Voir aussi: Comment constituer mon portfolio http://pages.infinit.net/cltr/gp6.html
Image: http://www.phovoir-images.com/photos-libres-de-droits-informatique-telephonie_g71/mains-d-une-femme-devant-un-ordinateur-portable_p77393.html
Le portfolio (2)
Le portfolio est « une collection des travaux d’un élève qui fait foi de sa compétence et montrant des traces pertinentes de ses réalisations » (MEQ, 2002).
C’est un moyen pour les étudiants de réfléchir sur les compétences acquises.
Le portfolio est intimement lié à une pratique réflexive qui permet d'utiliser ses expériences antérieures pour se situer dans une perspective métacognitive.
C’est un reflet des acquisitions de l’étudiante et un vecteur pour sa formation.
Le portfolio SHERPA sera bientôt disponible.
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Image: http://fr.123rf.com/photo_7965288_table-avec-un-t-l-phone-calculatrice-ordinateur-des-mains-de-clavier-et-de-la-femelle-taper-dessus.html
Les cartes conceptuelles Définition: représentation graphique de concepts interreliés.
C’est un réseau de concepts. Utilité : elles permettent de : • synthétiser la matière • clarifier des éléments complexes • les représenter hiérarchisés et regroupés • établir des liens logiques entre les concepts • définir le type de lien (ex : causalité)
• mémoriser les concepts principaux • utiliser les deux hémisphères du cerveau . Ex : Christian Barrette. Le logiciel CMAP Tools : ce qu’il est, ses fonctionnalités :
http://www.reptic.qc.ca/recherche/68-activites-technopedagogiques/315-le-logiciel-cmap-tools-ce-quil-est-ses-fonctionnalites.html
• Cmap (serveur) CCDMD http://ccdmd.qc.ca/ressources/?id=1289 • Les cartes conceptuelles : http://www.youtube.com/watch?v=OPJy3xEXQLU • http://www.youtube.com/watch?v=XTY7whw_Ndc&feature=related
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Exemple de carte conceptuelle
73 Christian Barrette. Le logiciel CMAP Tools : ce qu’il est, ses fonctionnalités (diapositive no 9) : http://www.reptic.qc.ca/bibliotheque/activites-technopedagogiques/le-logiciel-cmap-tools-ce-quil-est-ses-fonctionnalites.html
Conférences sur les cartes conceptuelles
• Rémi Bachelet.Les cartes conceptuelles: http://www.youtube.com/watch?v=tEYP6Hm1lJE&feature=related
• Rémi Bachelet.Les cartes heuristiques: http://www.youtube.com/watch?v=xHE4TuyVUKY&feature=related
• Rémi Bachelet.Établir une carte conceptuelle: http://www.youtube.com/watch?v=XTY7whw_Ndc&feature=related
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 74
75 Harold’s Planet by Swerling and Lazar http://www.jusmurmurandi.com/wp-content/uploads/2010/01/jm-evolution-ordinateur-10012010.png
Un peu d’humour!
L’ordinateur est maintenant
dans sa poche!
La plateforme Moodle
• Plateforme utilisée dans certains établissements.
• Elle présente de multiples fonctions utiles, dont l’autocorrection.
• Le portfolio SHERPA fonctionne sur Moodle
Lyne Maillet. Récit sur Profweb , 2011. http://www.profweb.qc.ca/fr/publications/recits/serie-
plateforme-moodle/index.html
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http://img.extremepc.fr/2009/multimedia/ordinateur-portable/comparatif-pc-portable-ordinateur.jpg
Fonctionnalités de Moodle
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Lyne Maillet. Série plateforme : Moodle sur Profweb , 2011. http://www.profweb.qc.ca/fr/publications/recits/serie-plateforme-moodle/index.html Récit
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Avec l’intégration des TIC arrive aussi une conception toute nouvelle de la classe : la classe du 3e millénaire. Définition : c’est une organisation physique, informatique et humaine qui modifie la pédagogie. Organisation : cette classe est équipée d’un matériel informatique de pointe : . tableau blanc interactif et tableaux où les enseignants/ étudiants peuvent écrire; . ordinateurs portables ou tablette interactive pour chaque étudiant. Disposition : la disposition de la classe est différente : . tables rondes où 6 à 8 étudiants prennent place. . Raymond Cantin : La salle de classe du 21e siècle, Clic, no 71, 2010 http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2177
Classe du 3e millénaire
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Une pédagogie renouvelée, plus vivante, plus dynamique. Une augmentation de la motivation des étudiants. Une plus grande autonomie pour les recherches, les travaux, les interactions étudiants/étudiants et étudiants/prof. La collaboration entre étudiants et l’entraide. Le développement d’un esprit d’équipe. La valorisation de tous les participants. La discussion sur les thèmes de classe et la formation d’opinion. Le développement du goût d’apprendre pour apprendre et d’aller plus loin.
Classe du 3e millénaire : avantages
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Favoriser un apprentissage actif, interactif et collaboratif (niveaux supérieurs de la taxonomie de Bloom: analyse, évaluation, synthèse). C’est un environnement à faible risque (les étudiants n’ont pas peur d’engager la conversation et d’échanger des idées). Des étudiants qui, normalement, travailleraient seuls et seraient bloqués, abandonneraient; en travaillant en équipe, ils échangent des ressources, s’entraident et poursuivent l’activité. Il y a plus de questions et de bien meilleures, qui sont posées. Une pratique cognitive est présente : on comprend mieux ce qu’on enseigne aux autres autour de la table. . Raymond Cantin : La salle de classe du 21e siècle http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2177
Classe du 3e millénaire : avantages (2)
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L’organisation physique de la classe
du 3e millénaire
Vidéo http://scaleup.ncsu.edu/MinnVideo/MinnVideo.html Entrevue avec Robert Beichner http://ntic.org/reseau-tic/episode-43/
Raymond Cantin : La salle de classe du 21e siècle : http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2177
Images Raymond Cantin: http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2177
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Le projet SCALE-UP à l’Université de l’État de Caroline du Nord dans Raymond Cantin : La salle de classe du 21e siècle, Clic, no 71, 2010. http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2177
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Quelques résultats probants
Raymond Cantin : La salle de classe du 21e siècle : http://clic.ntic.org/cgi-bin/aff.pl?page=article&id=2177
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Un tableau blanc interactif est un dispositif électronique alliant les avantages d'un écran tactile et de la vidéoprojection. http://www.youtube.com/watch?v=Gh0x1x5Lnp0&feature=related http://www.youtube.com/watch?v=P7QQxdeMPu8 Image: Cylabe interactif: http://www.demarquetbi.com/
87 Un tableau blanc interactif lors du CeBIT 2007 dans Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tableau_blanc_interactif
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http://www freewebs com/lora111 liling/
Nuage ou cloud computing
Informatique en nuage • Définition: terme métaphorique qui
désigne un service externe qui permet d’enregistrer sur des serveurs distants et très puissants des traitements informatiques traditionnellement localisés sur les ordinateurs personnels ou institutionnels.
• L'anglicisme Cloud computing est utilisé même en français,
• On l’appelle aussi « informatique dans le nuage », « informatique en nuage », « informatique dématérialisée », ou encore « infonuagique ».
• Les utilisateurs ne gèrent plus eux-mêmes leur serveur informatique.
• Le « cloud » leur donne accès à des services en ligne sans avoir à en gérer l'infrastructure complexe et évolutive.
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http://www.bing.com/images/search?q=informatique+en+nuage+images&view=detail&id=4A9D925B48E4E1C36B236248839CAD5E272D4A5C&first=1&FORM=IDFRIR&qpvt=informatique+en+nuage+images
Informatique en nuage
• Les applications et les données ne se trouvent plus sur l'ordinateur local.
• Ils sont de manière imagée, dans un nuage offrant des serveurs distants.
• Ils sont interconnectés par une bande passante importante. • La bande passante est la largeur, mesurée en unités de
fréquences (oscillations/secondes (hertz) d'une plage de fréquence.
• Il semble que les applications du “cloud computing” soient appelées à devenir extrêmement puissantes, lorsque certains défis auront été relevés.
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 91
Le nuage
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http://www.apprendre-en-ligne.net/info/comment/cloudcomputing.jpg
http://www.blog-nouvelles-technologies.fr/wp-content/themes/Design-folio/timthumb.php?src=http://www.blog-nouvelles-technologies.fr/wp-content/uploads/2010/11/presentation-cloud-computing.jpg&h=200&w=200&zc=1
93 http://www.futura-sciences.com/galerie_photos/showphoto.php/photo/577
Une disquette qui peut guérir de tous les maux…!
L’évaluation en ligne (1)
Elle peut devenir un outil important d’une pédagogie active.
Elle peut servir l’évaluation formative, sommative, diagnostique et prédictive.
Elle doit être bien articulée sur les objectifs de formation.
Elle peut prendre diverses formes : questions diverses, jeux, mises en situation, étude de cas, récits, travaux d’équipe, groupes de discussion, etc.
Franck Renucci, et Yann Bertacchini. L’étudiant évalué à distance: sujet ou
objet? http://isdm.univ-tln.fr/PDF/isdm25/RenucciBertacchini_TICE2006.pdf
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Quelques références pour l’évaluation en ligne
Lucie Audet. Les pratiques et défis de l'évaluation en ligne , mars 2011, sous la rubrique « Perspectives pédagogiques » du Carrefour pédagogique. http://www.infiressources.ca/MyScriptorAdmin/scripto.asp?resultat=718025
Blogspot. Évaluation et plagiat en ligne http://evaluationenligne.blogspot.com/
Deborah Eerkes. L’intégrité académique : un guide pour les étudiants du premier cycle, Université d’Alberta, 2008. http://www.uofaweb.ualberta.ca/TIE/pdfs/TIEundergradfr.pdf
Université du Québec à Montréal (UQAM). Le plagiat http://www.bibliotheques.uqam.ca/recherche/plagiat/index.html
Amaury Daele. La triche, 2010. Pédagogie universitaire – Enseigner et Apprendre en Enseignement Supérieur. http://pedagogieuniversitaire.wordpress.com/2010/09/15/la-triche/
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 96
L’évaluation en ligne (2)
Elle peut être transmise par courriel, sur les médias sociaux, oralement par Skype,
Elle doit cerner des connaissances ou des comportements importants.
C’est la variété des évaluations qui accroit sa pertinence et son objectivité.
La correction en ligne est plus surveillée que l’évaluation de proximité.
Des programmes sont susceptibles de nous aider à présenter nos évaluations de manière informatisée.
. Moyens utiles: http://docs.moodle.org/fr/Test . Netquiz Pro du CCDMD : http://www.ccdmd.qc.ca/ressources/?id=1119
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Avec les travaux et la correction en ligne, on peut toujours craindre le plagiat, mais
des recherches montrent que ce phénomène n’est pas plus important que dans les modes traditionnels de remise et
d’évaluation des travaux étudiants.
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 98
99 L’autodivulgation de comportements malhonnêtes. Résultats de Watson et Sottile (2010) . Dans Lucie Audet. http://dev.refad.ca/evaluation_en_ligne.pdf
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Lucie Audet. Des perceptions de gravité. Quelques résultats de Christensen Hugues et McCabe (2006) http://dev.refad.ca/evaluation_en_ligne.pdf
Il nous faut prendre le temps des TIC Prendre le temps pour...
S’approprier les TIC. Se former à leur utilisation. Se faire accompagner dans les réalisations. Choisir les bons outils. Explorer les possibilités des technologies. Comprendre leur importance dans les apprentissages, dans la création et la communication. S’assurer du respect des objectifs d’apprentissage et d’évaluation. Se situer dans ce modernisme.
Mesurer les impacts dans son environnement.
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Mario Morin. Prendre le temps des TIC ! 30e Colloque de l’AQUOPS 3, 4 et 5 avril 2012 au Hilton de Québec http://www.aquops.qc.ca/article.php3?id_article=475
Image: http://www.canal-du-centre.be/Fr/aide.html
102 http://www.videodelcordon.com/peliculas.php?page=38&action=search
Finalement, je pense que tous ces moyens peuvent enrichir notre pédagogie pour la rendre plus active, plus intéressante et plus actuelle. BON ENSEIGNEMENT!
Margot Phaneuf, Inf. PhD. 103
http://www.allo-image.net/image-138-Ordinateur_demi_travail.html
Il ne faut quand même pas se faire trop
d’illusions…!