NSOCIALAS - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1913/B315556101_MIDSOC_1913_03_07.… ·...

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-- C'est, un fait malineureu8ement sr- ois uniXereelfiement .constaté que le n dee denrées alimentaires a haussé repidÈlé dans les dernières an- Le sort du .proliétariat s'est si Sien vé de fait de celle poussée bru- deà coUPS, que de -véritables &men- ant éclate dans an cetrain nombre i centres industriels, à d'étranger ,,asine en. France. Le pain, lia viande, *beurre, les oeufs, étaient Matjéréé dougiètile, du dixième, du huitième, ente qui., les salaires fussent accrus à esinerlèn- 11 en réuni luit que le tra- aefileur. cleà écriise par les exigences (a, propriétaire, tint fisc, lles fourni, Un toute sorte. ne pouvait, plus ferer aux besoins lés plus elernentai- feei Mais jusqu'ici, nous n'aviens que des âgées plue eu. moins conmrdiantes - cri. de rent-hérissement ,Itris qui noue étaient IpWsentés te tort de ne s'uppiiquerte pli. 6/ÀW19,i qu'à d'es transactimis indivi- Wequi pouvaient illee en deçà ou ,,qirgrà de lu normale nies prix ; ou hiWabeere ltorSqu-un prenait des ex- -" 'collectives, cd/es reposaient. en sur Vies hases asseZ s les unes des autres. de recevoir les résultats d'u- ne gag... point été effectuée dans un contingent sutlisamment ample de ly- cées de Paris et oies départements. On a prié les proviseurs d'établie les prix. d'abord pour mie masse d'articles de tonSOMMittiini theelle, -de 1900 à 1912, el ensuite pour doute une liste de ',ten- ues itonsidelees isolément. La pence- Mire adoptée apparaît lei clone cité certaine, puisqu'il sagil d'achats par qua/11;18e considérables, et qui po, tag sur des quotités à peu .ples cons- tantes, et qu Seenfid te ques- tionnairb adressé à lotis tee établisee- meula a .",12 rédigé de l'acon identlique. Pariai ces lycées, nous tirenxims, à Pâris, Sitint-Lenis, Henri-IV, Jan.n- ' de-bic ni iv ao5 erivirens. Versailles it Lakanal:. eu prollince, Brest. Renne., iiaen,..Laval, pour le nord-oueSt; Rouen -itaseeperniens, 120e, pour Ir Mare; ancy. ReimS, Fieifort, pour ln nov.:t- est ; 'Besançon, Dijon, GrenoLiie, peur 'euh ; Nice, Marseille, Nîmes, peur le est ; T01.11011K, 'Pau. Bordeaux, stid-ottest ; Poitiers, Nantes, la (lm, pour -Pouce Orléans, Boue- Blermont, Saint-Etienne, peur . Tontes les régions sont donc re- téeé, et l'on ne peut dire par sM- l'investigation ail été arbitraire. Oemgiauiun que la masse des Min- exe lialvisegées ait valu 100 francs eu 4900.;iIy a eu d'abord un léger fle- ebissement en 1902. IITO autre en 1005, ail le lut» descend in 07 ; il y a une enniere Usasse eu 1907, une autre en. 1%4 oit rimus arrivons à 108, et apies àinlittlitiOlo assez accentuée, nous elliveztrons un relèvement très rapi- da 1114 en 1911 01 440 eu 1912. C'est- a-ere que le renchérissement moven; , 101os 1912.0 été de ta p. 4e0.'Ap: PfiqUons cette pousetée uts ballig-it d'an ge nit-crier qui &pensait 3 francs Mir pour sa nourriture en 1900 0/11ethe passait à 3 fr. 54 én 1912. consultation des lycées a du ce,- le, et peur demeurer dans lu première Peiv de cette recherche zifficielle; esrer,. d'autres déductions encore 'ee Pie In Dams, des cours a été plus !nage fioles les petites viles que dans egrandes n les chiffres que' nous 94e de de citer ont trait à le moyenne 4l1 .1errttaire. A Paris' de fuit, la rinaj4- 0ll, de 1900 à 191 n 2. 'a été que de e. 109 ; elle a été de 17 p. 100 dans ,..antres grandes villes ;elle a 51- 20 P..100 dans les petites. Or c'est l! prolétariat - éprouve d'ordi- rfifilcullès à conquli- vements de salaires indis- . porte encore sur 1/no série eleienlaires nommément di,- rar Dile nom apprenons quo le --,1411/joires an cours de na période houssé de 18 p. 100 à de 4.3o,n DY) dans liouest, et de 100 dans l'ensemble des 70 liv- La viande a renchéri de 21 p. 100 , de 014i. loo dam Fée, de 18 us l'ensemble : te pore frais eté,i rie 40 p 100 in Poils, do 100 dans Pest. 'de 30 p. 100 dans ;iii ajination s atteint "M. Paris, pour los <suifs, 51 p. 100 r. sari, et 35 p. 100 dans n'usure àe'a ste de 121 100 pour le lait ; de3:1 p. 111P 0 rus le nord et 100 tiens ren,er»Ide ; elle n là. 59 p. 100 leur Ion POILuiR"- Paris, 80 p i,'i dans la bail renenne, 70 n ' liions â1 sud- P. leu dari- /omble. Vrai (Mil y a baisse sur le 't'alla, sur I. sur le vin; morue n Rel I, n IGIGItOt tille di- et itanteit un, augmentation Ces quebines é/V.14,1,M. ne' tres In, n 0,..mporls.er la S'est marquée sur le mût la eetts.nrna flua drs len'ss vient de jeter ngo ,eliatere la criseécasno- °5.itn le qu'a encadrée le ires- soit de tentes aoses. PAUL LOVis. suure N 422 DMINISTRATI eu RÉDACTION Rue Requellese TOIlkatISE r_MM,Eolif 0 43 RHOLIGIRGROGRIOF oniai. F"'"'q fr. 101e. 20-fr Calinnes y tnaler 9 fr. Igfr. 36fn COMMENT ON DEVENAIT ABBE. Prançois le, jouant à la paume abela moine pour le seconder ; ayant-ibien pous- sé In bal/e, le roi dit Voilà un beau coup de moine ! ni,,, répoadit /c moine, en sera un coup d'abbé, quand il plaira à votre Ilnriesté. Cette réponse, faite si bien à propos, plut si fort au toi qu'il lui promit une abbaye et la lui donna bientdt après. HEUREUX BORGNE, I.Ja borgne gageait contre us homme une bonne vue, qu'il voyait' plu.s que 12.1., aepva;i en accepté. J'ai gagné, dit le ibo deux yeux et visas ne m'en soin LA REGLAMR AU MARIAGE. Un aubergiste d'une petite localité bavaroise se lamentait sur la rareté de sa clicntle, lors- qu'Il eut une idée Oniak Il Et insérer dans les joarnaux de la région les deux annoncés sui- vantes Première annonce a Jeune personne 5°. d, dot et des espérance' s désire se ma Le jeun, homm qu e i aurjlit bon caractnerr." sans fortune, trouverait près d'elle herre7x foycor. enl annonce t Jeune ;homme, belle ,oe . udran faire connaissance jcsile ponr mariage. La questiond urgo ' sone. lierme... ' Pour les deux adresses l'auber ine ava'S dini.,ué son établi.cinent. réponses parvinrent en masse à l'adroit qm répondit, donnant rendez-vous aux gtMs et aux jeunes fd/es chez lui. F,t cest ainsi qu'il attira la eliente/e. es FRE:CIEUX MANUSCRIT, jle pré,ideut Roosevelt, qui possedepr" cvses, ,rmelinres, ne saurait pourtant se pique'r aam, centeamble au manuscrit du qas pe.cde le ahall de Perse. r_,Chi I umeadcatt de. l'émir d'Afeanistan.ffl pzicsreszuses et de perles, ce vo- dénosé enti?les '' d' ple mahométan usinas Ruza, la viliesaint'een s Pel.etnes,:te doCoran, entiè rement crikininé, a ért= ;irlcuti Qso a"as l,a reliure en m or assid, de 7 raillime é, cite est ornée de scuiptures soni- ques . emdes, croissants , dans 1 - un orfèvre afghan a serti ion emu,dia antse''''ne, bi iatet pellm: bel arien, " ire exactement n; centimètres t sur Io et dcmi tin la,g c 1/ me da. un étui en argent. ctIRes TEEATRALES. Le directeur dm thé tre d'une- station thermale très fréquentée d'un pays voisin a employé im moyen, pour le inoins original, de faire de la publicité pour son établissement. Sous forme nffiché sur les murs de la ville d'eaux en question, il a invité en oes O-,ao I u specta- a Dans l'intérêt même de la santé de 111.31. les baigneurs, je nie permets de leur faire remar- quer que la fréquentation du théâtre exerce la PI-, heureuse influence sur l'efficacité de la aine; en effet, /es soirées employées a la distraction et an plaisir bot suivies, pour les personnes en traitement, d'une nuit reposée et calnie ; n'en,. la toi 00 des soirs provoque une telle endance à la me/ancolie, qu'elle en infaillible- mem accompagnée d'agitation nocturne et .d'in- somnic. Depuis /es longues armées que j'observe ici la vie des 'baigneurs, j'ai toujours rinnaequé el= le succès de la cure était infiniment meilleur chez les spectateurs Irabituels du tiliéàtre que cher lns baigneurs casaniers. » Il n y a pas a chercher pourquoi certaines cu- res sont suivi. d'en résulmi négatif che, cer- mines personnes. Ce, qu'elles auront oublié de s'abonner au ttiitre. Scandale Le Conseil supérieur de la guerre s'est prononcé à l'unanimité co jaxRur du service Cr; trois ans. A nfieure paraissent ces ligrns, ne projet qui le propose et l'organise doit avoir été of- ticiefiementdeposà sur le bureau: de lis Cluunbm La funeste folie se développe et s'aggrave. Ce qui est scandaleux, c'est que cette décision soii prise un 8endemain même do la réunion du eenseil supérieur. Il semble que le gouvernement alt vonlu s'abriter derrière SOfli avis. Or, pour la noir de deux ans, les radicaux, le sa- chant hostile, avaient vdlentairement négligé de le consulter. Pourquoi les radicaux du gornernement actuel out- ils elmege d'attitude ? L'éloquence de leur patriotisme us suffit-eltle done plus à ? N'est-ce pan plutôt que, celte foi -t savait avoir à faire à un conseil supérieur, non pas incom- pétent certes je n'avancerais pas cette ahmedité mals docile et pr41, à donner un avis conforme qui va dans le sens de sa routine et de ses pri.ln- gés? Pourquoi donc le rtletn14, Oonseil supérieur, disqualifié eu 1905 par le gouvernemenh nudical, relcouvedi-il eurjourd'hui toute son autorités? II se- m dialeito û nes gouvernants de ions- Cedle surf le-l'ai-o, . Qui. d'aitlieurs, aujourand n'a pas antorBé., s'il a le bon goût de se mon- trer favorable aux a trois ares » 7 Avant hier, c'était la grande-% presse de déma- gogie chauvine et ealfaires, hier c'é- tait des conscrits habilement travaillés el- des lycéens .parisiens affamés de ré- clame, demain coi seront des gentils petits gessi, de ami écot:es materne/1es et tirstentines qui. demanderent les issiés «ns Sur Pair des lampions 8. Tete cela est-in bien sérieux ? Co quà est sérieux, et griRGO, c'est C'en-ose- volontairement commise par une certaine presse sur les intentions de l'Allemitone. Ce n'est pas, en effei, centre ha Fronce, MI« ql.l'Un en due. NSOCIALAS POUR LA FRANCE! POUR LA PATRIE Me 0113 11 18 Milo La Jeunesse donne l'exemple Ille la Guerre Sociale s- I/ serait absurde de le Mer. Depuis que le sympathique, populaire -set démocrate Poin- caré a remplacé ?énorme et Impillonnesdue Dalliere, sur le trône .élyasien, mus asms- tons il -un furieux réveil national. Denthen- siasme mente, monte. Le délire va grandis- sant, Dans toutes les classes de la société, du plis vieux jusqu'au plue jeuue, palans les fe.rtes «mune parmi les hommes, n'est le même emportement patriotique, la même soif de deeouernents le mente appétit de re- vanche et de victoire. Foinc.a. aidant, Lé mouvement ne peut que s'accentuer. On se demande même où la vague va s'arrêter. De cc débendement de sentiments sorpa- triotiques, untmnu sommao surtont redevables la jeuneuse. Pktim sui jeunes I Songea- dols Veulent entrner dans la earriere et/leurs aines ne sont phis. Nos petits frères et nos petite gosses veulent s'en.sernic, revébir YunifOrme nI viv.re Seuls les plin du ekapeam. G'est très beau, test très noble, ,E1 eest: surtout réeonfortant. Oui donc Messit béait pLus Meg. nous ni. énergie, m Axetilie, ha -France I Avnehie, notre belle Renie ! donell Lm faits sont 1h qui infligent tin &Menti forme/ aux allégations des esprits chngrens. Comme In d.isait Dé- roulède, clairon superbe et retentissati Elleeentott.iours debout, la Fran. (lui, elle est toujours debout. VOYez 1x10- lOt les conscrit" Cadillac, ces admirables jeunes ge. qui -ne veulent mémo pas atten- dre le vote de la Chambre lieur faire leur devoir, tout 1.0.1e devoir. VOYOR encore. Cinq cents éléves du lycée Condorret viennent d'écrire h M. Poincaré a qu'ils sont plans sacrifier joyeusement, pour la vie et la gloire de Pa France, trois année; de leur Jeunesse. a Et ils ajoutent a qu'ils désirent que lorsque la qumtion viendra en discus- sion au Parlement, itene soit pas fait état du poids prétendit qu'one telle modifica- tion ferait supporter aux jeunes généra- tions. n Éon ne vienne pas nous dire surtout que lorsqu'il leur faudra tenir parole, ces 000- oses gens auront réfléchi et que nombre d'en- tre em auront trouvé le mayen de réoo/tee dispenses et réformes. Non, qu'on ne dise pas cela, par ce serait tis un langage odibuz digne d'un sans-patrie et d'un vendu. Mais U a mieux. Nous recevons aujour- d'hui même eopie etine lettre. qur vient dlètre transmise au président de la Républi- que. Nous m'oyons devoir la publier in-ex- tenu, el nous espérons que nous inmfrilnu, de la grande mes, voudront hien aussi on dentier connaissanee t boues leeteurs. La voie.: Di-mobile le président de la République, a Les souJsignés, moutarde, hambirlS, Môn me,, marmousets, gamins, .mioches, sa/és el teteure de la eatentie Foureade, me du Gé- néral-Beur., (Vaugirard!, après s'être bru- nis et eoncertés au nombre de soixante-dis: après avale entendu les rais.s des grands âgés de nt-ois 01.1 qualro années, les pible- henin dm tout, petits et les vagissements des suceurs de biberons, ont résolu e. mana /nuit accord de vo.s transi/y.61,re lems desiderata. Tons réclament av. la plus grands ener- gie le retour iemédiat au service de cinq ans. Tous estiment, après avoir examiné iles ipeitiOnS interrialionales et observe lee for- snidables- armements de PARemagim, que trots semées de servim.sont absuletramt suffitatstes peur que la France puis. tenir téta à l'ennemi héréditaire. Tous se décla- rent prête, dès que 11:heure aura sonné, à sa °rifler joyeusement cinq ann.éesleur existence, pour La plus grande gloire et le Mus grand profil de la Patrie.. aaar eau. Ism G Les soussignés espèrent que lorsque la speltstilint vieadra..ad Parliknedt, les eliaiimiaa- dront. hien tenir compte de leurs maux et aous prient. Monsieur me pffeident de la PO- publiqu, d'agréer L'assurance de leur res- périlleux dévouements Comme 1m auteur, de la lettre 11'.'eieie:.: r,,e'Zre r,la.'1',lign 'l el leur plane et ils out dessiné an bas, enguise de paraphe, des erOix-, des barres et des pattes de mouche.. 'Pelle est La Mûre que nes admirables en- fant, adressent à M. Poincarê..Nos amis n'hésiteront pas à nous croire quand nous leur affirmerons qu'à la lecture de, cette fière déclaration, nous avm, tous versé d'abondantes larmes patriotiques. Aussi, en présence de semblables et aussi magnifiques manifestations, Pcs rédacteurs de la a Guerre Sociale m constatant que tous ceux fluions échappé ils contagion antimi- litariste, c'est-b-dtre leas fous, les crétins. les goitreux. tes fausses-couclees, les enellégie. et leu .momignands au berceau, sont /Inuli- nes pour réclamer Je profondes réformes militaires, insistent-ils à. le. tour pour que soient reluirait., sur tout le territoire, d'innombrables casernes et. qui sopére promptement le retour au service de cinq ans d'abord; au servie de dix an, ensuite; puis à celui de vingt ans, en attendant que soient soldats Io. les. Français. sans dis- tinction d'âge IO de sexe. femmes, vieillards entanis. v eerispris les cubistes, les futuris- te, M, O.is,ehe Barrès et Mme Sarah Ber- nhern11, Victor MERIC, Le3 Détations Parie. O mars. M. Dariae, députê de FOrres, vient do dé- poser sur la question des délimitations un rapport supplémentaire. M. Das*uo s'atta- che à jus/ iltler les nouvelles proposifion, lu coMmianien d'agriculturtu Luciole premiir du projet de loi ope-- clin que 1r proinits bémétleiermil do l'ap- peilation d'origine lorSque los stages lo- caux et constants leur annum, attribué cet- e dénomination en raison de leur Origine, da leur nature ed Ils loura qualités subean- tielles. Gemme on le voit, la notion de qualité qui a suscitai e tele vives objectioni, a été maintenue. 1Maise le rapporteur précisé qu'on ne saunait enlever à un produit lofai, dettl. ?origine n'est pas doules.e, son droit à l'appellation d'origine. Les syndieats con- servent le droit diniervention qui leur avait Cté accordée soit à. libre de partie civile, soff par la voie de l'action ordinaire do. vont le tribunal civil. Les formalités inseimé. ami 11GL-torts:Ms en, vina GROG sine:fiées et pourrenit étra sois mn ut eautrillees plus aisément. 11,, projet limite, damtre part, aux ins- pectent. /régionaux ale la rEereel.11 des /fraudes et aux employés des contributions nal:rectos lu Faimeté de prendre cunriairi- fanes des indications perlées sur le comp- le te. pa-r le esexestant et de Les n'érines, Les vins qui »sikh:rote, pas application 4es dispositions de- Parthie premier, 1VOie Gle0IG h l'appetlation a Champagne pes- teront soumis aui régime 1.iitué pan la lei du Id février 1011. LA HONTE Parie, 6 mars,. Les mei. triomphent. Mais leur triom- phe est. honteux. Un gouvernement de rené- gats irelumes vient d'Insulter le peuple surinant p011e trois anis, ù la folie chauvi- niste les .meillours de ses enfanto. 01 une majorité dégoûtante vient de renier en bichant la loi de deux ans riont-cbc s'était fait un tremplin électoral. Lm radicaux sont descendus au-dessous des pires lu,ndits. Ils ont livré la République et le prolétariat h la réaction, qui toujours combattit la loi de deux ans et qui autour- sibui e, réjouit de sa vietoire. LA journée dbujoundliui est la journée honteuse dé la troisieme République. Nos élus ?ont compris. IP onI protesté au nom du vrai patriotisme qui ne consiste pas, celui-la à creuser la fosse où Fon enfouit les cadavres mutilés des enfante du peuple. Ils ént preteste au nom de la nation mi veut s'armer elle-marne pour sa défense, loin de /a caserne corrompue et commffrice, el qui réclante ausd dm garanties feu pals. Cl Il ent clam; ber, en un geste spontané et .rnagollique de révolte, toute leur ind.i.ena- tiPn. in, 1,0 menaces de le droite aldine A la gelai)°, ni les injures, ni les rappels in ?or- dre du président, tue les ent émus, Ils avaient conscience .de défendre les des., futées de la Répubnaue cl inc 15100010 a l'honneur bien compris de lu nation. Anssi, decant une aussi énergique pro- testaitun qui enthousiasmait 1eu tribunes publiques, par Mainle de voir éclater catin.o populaire, et enfin honteux de leur lâcheté, bu membres du gouvernenhat et de la majmité ont-ils fail évacuer les tad- hume. C'est à huis Mons que le si,,istri. Et.ienne, ministre de, la guerre et membre d'un grand nombre de sociétés capitalistes s la le Projet de loi de trahison républicaine! L.a Moulin.° radicale est tombée au- dessous de l'Empire. Nous subissons. règme do quelques douzaines d'empereurs repus et abjects. Au peuple des travailleurs de se révolter ni tir.delirdner les fripemilles. Les députés socialistes lui ont .domé eeSemple, Qu'il le suive, ÉDITIONS RÉGIWIAUS GARD, 13FOGIATLG, LOGÉIUG PYRRIRGES-OR/ENTAIRS, AVGYRON,CORRGG/Gc,,rAL, GOS-E,OAROWNE, ,tat.Intarresrvreindms, BAGGRS-PRIGÜFÉ., Ge RO G HARTS-GAGONNE, Tommes L'Oum Sulain filuForm Sui:list: L'CEUVRE MEDICO-SCOLAIRE D'UNE FEM- ME SOCIALISTE ANGLAISE. LA CM- ' NIQUE SCOLAIRE DE DEPTFORD (LON- DRES). Si Ion voulait juger le mouvem.entltuf- fragiste des lemmes anglaises per les excès commis par mist.ress P.ankhurst, ou commet- trait mrtainement même erreur d'opti- que que lorsque Mn condamne le mouve- ment syndicaliste. par les cm do sabotage que cmonande souvent ?état de guerre. La, femmes anglaises ont un idéal à Pêcli- fieation duquel la religiosité du protestan- tisme plus humaine que celle du caCha- lieieme les a préparées depuis longtemps. Leurs associa.tions de militantes n'ont point quo des bute politiobes et 4.eonomiques ; elles poursuivent également des fins more- lm et. hèyoiéniques. Voyez par exemple, leur comité mi faveur du nn Bien-Etre phytiquO der écoliers n7ui combat pour l'institution da laiteries, d'infirmeri., de cliniques pour écoliers... en mémo temps pour la création d'écoles socialist. du dimanche t luttmt ainsi O ga fois pour la sante de l'esprit et pour la santé du mn.. C'est de liceuvce scolaire d'une de nes fonunes socialistes que je voudrais vous en- tretenir. voudrai, ROUS parler de la elinique scolaire qu'elle a créée de toutes pièces au rentre de ragelomérabion si populaire de Deptford, un faubourg de Londres. La clinique de Ms. Me. Mill. n'est oint quelque >filmenl à grande façade, huileuse. Elle Ma pas voulu que la médeeine sait pa- rasitée par la pierre, ni que le médecin et le pauvre soient dupés par (architecture. File a installé son uvre dam une maison comme une autre b. et comme l'infirmière y es1 toute ha jourMe, il.. produit -du bra- sait médical et edueallf, elle est, parvenue â réaliser eut inaxisnms de Nullement. Un jour de te semaine on opère les polypes (cies quantilês à la fois I) Mais Ventant, .dont nea ens deventa Clan, n'est pas renvoyé dans la cireulation comme dans une consultation empilai. Il est soigné par llintirmière qui Itra apprend à respirer.' il est pris par Pins- tiduteur qui le soumet un traitement par la gymnastique. On fait les choses comme elles doivent être faites. pour L'enfant, et non pas pour grossir cielque table de sta- tistique.. 1ln autre jour, eest h'eculiste qui fonc- tionne et presqm toujours le dentiste. En une annee, près de 7,000 enfants ont reçu dm soins médicaux. Ft ces soins sont donnés dam un esprit différent de celui des IMpitaux. On ne considere pas le cas en lui- noème, dans se cru il a d'intéressant au point de vue- médical, mais on entoure rentant don ;niera considérable pendant tout le temps que dure son infirmité. Les femmes du peuple sont là rbm elles. La clinique doa Ore. d'aprês Ms. Liban, la nursery du pauvre. De mem° que le tram lectrique ext son automobile. l'instituteur son prkepteur, la clinique est l'endroit où Von donne à Ectiant les soins que la mère La Séance Séc., du mann Ou ace est ouverte a 9 h. 20, sous la lp idence. de M. [non, vieoPrêsinent. Comme d'habitude, la salle est vide, Peur l'Ecole Laïque de 22 do la tai du 30 dfecrubre 5503 et à ae- tes-ta et insillattrices .pubk«. Pcurfms Sen-escorder une primo d:e 1.000 Pen. eux est., supérieur; 2. du ,priale, de 'ai sur le traitement et le classement des insâtarlours ut tasuutrioes Pelk'LE TRAITEMENT DES MA1TRES thuham est dilelasée et on aborde la dis- cussion: dss rhapilras t'in« ructien. publique machos-D les araitenugs des institinems et anstieuteims. A /a demande de SI. .ramorteur, la dimusebn est ouverte 55r rartiele 1.1.0 projet 005e 1.a loi de fluathey gui accorde une 1.1,0 dc 1.000 tiones a mus des ineituamis Smituteices pomuus du brevet. supeenhir. or, nssssmu. 51 none ne voulons pas que les eeoles .vonmeLes continuent n désertées, 00 instrutire.oe" us,P'il"M' ya% a 4,000 don! 3.010 instante/1ms, .peurvos de . qui relever le niveau ,14 reni,izaentea mains, cuis qui cent parti- sans de ,la défense de l'écob .laique, 'voleront la primo an brevet supérieur LM. Add hilevne défend un coralm-projet dont mi Meneur et qua s ce qu'in Carine, assure 1193 re!,,vernent de 400 Rhm à bus im instm- ileum. 'TM lavorise lo reerutennenit des Moue normales, qua n'emburc ,pas le re-proolie de 00e-On efivisioy Suante peemnret et Mme a tous les inaltres pourvue aln brevet suplrieur ou de brevet ébahi/gaine d'avant 1889 Io laighnm de In prime. (Applaudissements). r. Sleog, ministre de d...14mtl. ,pubrque, appuie la prime au brevet seepefiear au nom du gouvernement. Puis la .tite de la aliseuen est .avoYne la :La.ai nce de IttpuYeaddi et sassa, est levée li Séence de 1,yré.L-midi lia elanee est auvent° in 2 h. 15, .us 14 pr1- edeaer, do M. fle,,tiamd. Les telbu.s sont assez hien garnieu et, daes la sele, on compte au moins trois cent, dé- putes. Au bans du gouvernament se erouventMOL Rnand, State Chearnet ot Ban- VENIIREDI 7 Duns 1943 kartée do home ou ignorante, Linon n de 555, Miltaii a dautrarispeets curieux : 11 y a, da. les grands centre , des en- fants qui deviennent anémiques parce qu'IR vivent dans des .logements surpeuplés M ,n- salubres. Comment les sauver Comment leur fournir l'air pur, ?mu de douche, le repos bienfaisant, toutes choses mais indispensables pour opérer le sauve- tage : ? Par quelque sanatorium Iumeux, I pa- villons sépacés, ave, une nuée il-adminis- trateurs I Nen. 11Is. Milla,, res,be simple (ne devrait-il point y avoir une Mme:iodé s°_ Matis. ?), eLle a établi, dans le jardin de la clinique un camp qllt a refilé naine - e1 où les enfants sont SOiunis user cuen, au traitement par le plein air, la bonne nouriture et les soins ellg Il y a même une doucito de fortune. I Et IO un dort, en plein se, nuit et jeu, Comine pl. lom encore dans le jardin d'une église... où le vieaire s'intéresse a ?uvre. Di.m de suite que le vicaire est protestant et que le protestantisme n'et pas ffavis qui], ne faille point chercher le paradis sur !erre. Curieuse forme d'école en plein air. Lea fil- les même les garçons sont exercés n faire des vétementa par les nurse,. Ms. /11c. Millan veut qu'id y ait, dans ees vêtements, le plus «art, Le plus de charme possible.., compatible avec le peu d'argent dépensé. Je voudrais vous entretenir de beaucoup d'asphels autre, de mile ellnique. Elle me passimnc par son caractère main et par son contraste avec les uvres officielles rigides. Non point qu'elle Mail point «Minette offieielte, Elle est( reconnue par le conseil de Londres, qui la subsidie amplement, mais elle garde une pLastioirté., une Siherts, nialluress 5m,, puisnanm Dévolu. don nue l'on rencontre rarement dans te syst/nrie scolaire, esclave du bath-rient, escla- ve du temps, esclave du programme. EUSEBE. Sén.a.t Paris, 5 mares La stanse est cuver. a 3 h. 115, som la présidenes, de M. Duliose, Les Usines. Hydrauliques Le Sénat nonend la discussinc du projet de loi relatif aux usines baxtraultiques éta- bli. sur les cours (Umit et canaux du do- nraim On en (estl resté à l'article 8, droiil usines concédées d'occuper le' propriétés privées Meehairea b l'ap.pue de ees mana- ges di retenue ainsi quas l'éteiblissmeent des caroox souterrains maddieSson et de fuis, M. 13oixinuCharreeaux aulmm sene. eanent, so saillie â.une Xlieposition addition- 0wIlw IL Sibrrv, urdu. mpter des servitudes de Ilienlietti e cd cours et jarêles allesorts. L'article 8 oses cette despimition addi- tionnelle en adnae. Après l'adoption des cinq premiers W.-- mottes cl,o l'afficle9, la suite de la .disené sion dO prq;e1, SUR los usines hydresiitiquel as: s'envoyée à demain 3 heures. GéROCO est levée à I hemse.. Le Service de Trois Io lia requin d'Algérie que k capitaieline tons pui.ael a .place .psovis,neemen, uts mialstano de /a guerre, monte 55,55 10 la tribune pour eet- poser au nom du gouvernement te projet henale onle de ta lel de ivoire ans. Au .-ernent me,/ Se prépare I parler, notre vénéré camarade Vail- lant se lève â son bane et, au enilleu elsim /race impressaImnant, m voix s'élève Idaue et forte . Noue protestons ; le P.- lentriat de France, par rorgaiie de ers élis /7.. clanstes, s'élève aces Megreation corgee.ie me que la bourgeinsie Can:tain-te Se larétOare commeure L étais les patriotards de la arote n'eaten. dent pas laisser h notre ,uni la liberté de Ps. ler. lis .seet de couvrir . voix et lui lm- cent. les MJ.ures que ion a l'habitude de nous ootroyer s chaque fois que pur. essaya. de ealre la home Y laalémul, Mais nm Élus se dressent alors et aPinlm- dSssent. avec mIgareur celui qui parle as nom du .peuple opprim* et berné. Et, ...loin, la voix de Jaurès domine Io kuntulte in l'on entend de rem, de mn àrna démoesta 4', et ardente « Vue /a République ; A bas la guerre I expression dns sentiments les els ,protomis de rame popalalre itraneaËe, et que nos 13 mina- rad., dan corme-un (dan, rdpbtent sc.. les ,oOtes étame:es dn Polais-Bourbon n « Vive la DepubLgue I A bm le eberre / A ce moment, un certain monbre de cadeaux se joignent à nos amis, et ajoutent ainsi à let grandeur do cette manifestation. AI. Etienne. fluor. be.0ard, .paraissan.t se rué dre mange 05 -peu t.fivement, iem de l'odieux de tambe qu'il va aoinirn,pllr, n'essaye mem° pas d'ouvrie 15 bniteha Purs, soudain, on entend retentir la ...noble d'alarme. On fait êvaouer les liebun.. C.ete eiheation mi faite très raipidement, veut thune faine sera, lm jour:hastes Le -président FR penche vers le ci/bistre de la guerre. taule.° /nuise:il/ale h la .t»Ibuno, et parait liaeSter 4 .inmeneer sa leclure. ZYL Etienne Ilt alors l'expOsé des motifs an Prolos do loi. On nenlond Pas nu bot de oe ami voici lo texte de ce projet Monate:00u l'ôtas actuel desELIZOpe et en présence des mesurfs qUe la plo5na0501 peuples on1 cru devoir adopter damna >eine /ibe.etê de leur ac- tion l'heure est venue pour nous de reobereer si rien n'est mange a notre égard et, dane le ea. Sa l'affirmative, de réaliser radabeim eèoes- sabre de notre SFROGIline eclitalre sua obugatich imprévues qui se tont jour. » il, que la loi du as lus, 5905 a voulu. e. bais b paya exibung jeukster à menuet aute elle. mois contre na Russie igue l'Allemagne ne-lit accroître ses armements. C'est. la Baltique, c'est à es frontière orien- tale, et non pas au Rhin .que songent en irtie moment rias TOlsins. Et lorsque Eu France, la première, me RIB le percevra avec stupéfaction, quand geste absurde qu'en lui demande Mais qu'on n'obtiendra pas de nous, elle s'a- s'ouvrira la discussion allemande, que sa folie n'était pas seulement insen- sée, mais in.atile, et que son effort a porté à faux. Il ses-ta trop tard. foO seanddle, encore, oeui que la lai de.deux,ans soit déclarée caduque sans qu ou Full mise à même fie donner non maximum do rendement. Le conseil supérieur s'est vengé sur eine de Paf- ifrout qu'en lui avait fatt en ne le con, sultant pas. Pourquoi, par ft-xerniple, avant d'iamorcer M. lei nouvelle ipar le maintien Mn/pi:yu/YR° Sons les dra- peaux de ta classe qui allait étre nia-t-on mis décidé de.nwer les soldats passer dans l'Est les Sieai der- niers mois do deur temps de service, afin d'y renforcer l'importance des troupes de couverture et de prémunir par là centre une agression lo pays tout entier- Mais 15001. c'est d'un Kerne 14-oer que Fon préfère désorganiser n'industrie, le ,commerce, l'agriculture, la vie mi-me du pays. On ne va pas voter les trots ans. On va en escamoter le votet Le à Temps in nous demande d'adopter un mode de discussion, en lia routière, à alerte e et à décide ». Il invite la Chambre é nous rabandonner le triste In onneur de foire le jeu de l'étranger. Ces ignominies n'intimideront pue no- tre .patriotisme. Entre personne et nous il n'y a désaccord sur le devoir impé- rieux do défendre la France, mais avec les répulAiceins de plus en plus nom- breux que n'aveugle pas le parti-pris nous voulons savoir si, dans cette lou- che opération, des affairistes masqués n'imposent pas ià notre patrie d'infâ- mes voisinages de Ga horito desquels nous avens la lieigé de Ponisur la mu- Vegarder. Gabriel-Ellen PREVOT, ENQUÊTE ÉCHOS .omolltor Le Crime est Corisorrimé LA IteliOLTM DES BLEUI iUCIALLIES Véhémente manifestation. - Nos Camarades se dressent en une protestation suprême. - Le gouvernement honteux fait évacuer les tribunes. - Tcu1. le pays nous entendra Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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--C'est, un fait malineureu8ement sr-

ois uniXereelfiement .constaté que len dee denrées alimentaires a haussé

repidÈlé dans les dernières an-Le sort du .proliétariat s'est si Sienvé de fait de celle poussée bru-

deà coUPS, que de -véritables &men-ant éclate dans an cetrain nombre

i centres industriels, à d'étranger,,asine en. France. Le pain, lia viande,*beurre, les oeufs, étaient Matjéréédougiètile, du dixième, du huitième,ente qui., les salaires fussent accrus àesinerlèn- 11 en réuni luit que le tra-

aefileur. cleà écriise par les exigences(a, propriétaire, tint fisc, lles fourni,

Un toute sorte. ne pouvait, plusferer aux besoins lés plus elernentai-feei

Mais jusqu'ici, nous n'aviens que desâgées plue eu. moins conmrdiantes

- cri. de rent-hérissement ,Itrisqui noue étaient IpWsentés

te tort de ne s'uppiiquerte pli.6/ÀW19,i qu'à d'es transactimis indivi-Wequi pouvaient illee en deçà ou,,qirgrà de lu normale nies prix ; ouhiWabeere ltorSqu-un prenait des ex-

-" 'collectives, cd/es reposaient.en sur Vies hases asseZs les unes des autres.

de recevoir les résultats d'u-ne gag... point été effectuée dans uncontingent sutlisamment ample de ly-cées de Paris et oies départements. Ona prié les proviseurs d'établie les prix.d'abord pour mie masse d'articles detonSOMMittiini theelle, -de 1900 à 1912,el ensuite pour doute une liste de ',ten-ues itonsidelees isolément. La pence-Mire adoptée apparaît lei clonecité certaine, puisqu'il sagil d'achatspar qua/11;18e considérables, et qui po,tag sur des quotités à peu .ples cons-tantes, et qu Seenfid te ques-tionnairb adressé à lotis tee établisee-meula a .",12 rédigé de l'acon identlique.

Pariai ces lycées, nous tirenxims, àPâris, Sitint-Lenis, Henri-IV, Jan.n-

' de-bic ni iv ao5 erivirens. Versailles itLakanal:. eu prollince, Brest. Renne.,iiaen,..Laval, pour le nord-oueSt; Rouen

-itaseeperniens, 120e, pour Ir Mare;ancy. ReimS, Fieifort, pour ln nov.:t-

est ; 'Besançon, Dijon, GrenoLiie, peur'euh ; Nice, Marseille, Nîmes, peur le

est ; T01.11011K, 'Pau. Bordeaux,stid-ottest ; Poitiers, Nantes, la

(lm, pour -Pouce Orléans, Boue-Blermont, Saint-Etienne, peur

. Tontes les régions sont donc re-téeé, et l'on ne peut dire par sM-l'investigation ail été arbitraire.

Oemgiauiun que la masse des Min-exe lialvisegées ait valu 100 francs eu4900.;iIy a eu d'abord un léger fle-ebissement en 1902. IITO autre en 1005,ail le lut» descend in 07 ; il y a uneenniere Usasse eu 1907, une autre en.1%4 oit rimus arrivons à 108, et apies

àinlittlitiOlo assez accentuée, nouselliveztrons un relèvement très

rapi-da 1114 en 1911 01 440 eu 1912. C'est-a-ere que le renchérissement moven;

, 101os 1912.0 été de ta p. 4e0.'Ap:PfiqUons cette pousetée uts ballig-it d'an

ge nit-crier qui &pensait 3 francsMir pour sa nourriture en 1900

0/11ethe passait à 3 fr. 54 én 1912.consultation des lycées a du ce,-

le, et peur demeurer dans lu premièrePeiv de cette recherche zifficielle;esrer,. d'autres déductions encore'ee Pie In Dams, des cours a été plus!nage fioles les petites viles que dansegrandes n les chiffres que' nous94e de de citer ont trait à le moyenne

4l1.1errttaire. AParis'

de fuit, la rinaj4-0ll, de 1900 à 191 n2. 'a été que de

e. 109 ; elle a été de 17 p. 100 dans,..antres grandes villes ;elle a 51-

20 P..100 dans les petites. Or c'estl! prolétariat - éprouve d'ordi-

rfifilcullès à conquli-vements de salaires indis-

. porte encore sur 1/no sérieeleienlaires nommément di,-

rar Dile nom apprenons quo le--,1411/joires an cours de na période

houssé de 18 p. 100 àde 4.3o,n DY) dans liouest, et de100 dans l'ensemble des 70 liv-La viande a renchéri de 21 p. 100, de 014i. loo dam Fée, de 18

us l'ensemble : te pore fraiseté,i rie 40 p 100 in Poils, do100 dans Pest. 'de 30 p. 100 dans

;iii ajination s atteint "M.Paris, pour los <suifs, 51 p. 100

r. sari, et 35 p. 100 dans n'usureàe'a ste de 121 100 pour le lait; de3:1 p. 111P 0 rus le nord et

100 tiens ren,er»Ide ; elle nlà. 59 p. 100 leur Ion POILuiR"-Paris, 80 p i,'i dans la bail

renenne, 70n ' liions â1 sud-

P. leu dari- /omble.Vrai (Mil y a baisse sur le

't'alla, sur I. sur le vin;morue n Rel I, n IGIGItOt tille di-

et itanteit un, augmentationCes quebines é/V.14,1,M. ne'

tres In, n 0,..mporls.er laS'est marquée sur le mûtla eetts.nrna fluadrs len'ss vient de jeter

ngo ,eliatere la criseécasno-°5.itn le qu'a encadrée le ires-soit de tentes aoses.

PAUL LOVis.

suure N 422

DMINISTRATIeu RÉDACTION

Rue RequelleseTOIlkatISE

r_MM,Eolif 0 43

RHOLIGIRGROGRIOFoniai.

F"'"'q fr. 101e. 20-frCalinnes y

tnaler 9 fr. Igfr. 36fn

COMMENT ON DEVENAIT ABBE.Prançois le, jouant à la paume abela

moine pour le seconder ; ayant-ibien pous-sé In bal/e, le roi dit

Voilà un beau coup de moine !ni,,, répoadit /c moine, en sera un coup

d'abbé, quand il plaira à votre Ilnriesté.Cette réponse, faite si bien à propos, plut si

fort au toi qu'il lui promit une abbaye et la luidonna bientdt après.

HEUREUX BORGNE,I.Ja borgne gageait contre us homme

une bonne vue, qu'il voyait' plu.s que 12.1., aepva;ien accepté.

J'ai gagné, dit le ibodeux yeux et visas ne m'en

soin

LA REGLAMR AU MARIAGE.Un aubergiste d'une petite localité bavaroise

se lamentait sur la rareté de sa clicntle, lors-qu'Il eut une idée Oniak Il Et insérer dans lesjoarnaux de la région les deux annoncés sui-vantes

Première annonce a Jeune personne5°.d, dot et des

espérance's désire se ma Lejeun, homm que i aurjlit bon caractnerr."

sans fortune, trouverait près d'elle herre7xfoycor.

enl annonce t Jeune ;homme, belle,oe. udran faire connaissance jcsile

ponr mariage. La questiondurgo'

sone. lierme... 'Pour les deux adresses l'auber ine ava'Sdini.,ué son établi.cinent.

réponses parvinrent en masse à l'adroitqm répondit, donnant rendez-vous aux

gtMs et aux jeunes fd/es chez lui. F,tcest ainsi qu'il attira la eliente/e.

esFRE:CIEUX MANUSCRIT,

jle pré,ideut Roosevelt, qui possedepr"cvses, ,rmelinres, ne saurait pourtant se pique'r

aam, centeamble au manuscrit duqas pe.cde le ahall de Perse.

r_,Chi I umeadcatt de. l'émir d'Afeanistan.fflpzicsreszuses et de perles, ce vo-

dénosé enti?les '' d'ple mahométan usinas Ruza, la viliesaint'een s

Pel.etnes,:te doCoran, entièrement crikininé, a ért= ;irlcutiQso a"asl,a reliure en mor assid, de 7 raillimeé, cite est ornée de scuiptures soni-ques . emdes, croissants , dans 1 -

un orfèvre afghan a serti ion emu,dia antse''''ne,bi iatet pellm: bel arien,"ire exactement n; centimètres

t sur Io et dcmi tinla,g

c 1/me da. un étui en argent.

ctIRes TEEATRALES.Le directeur dm thé tre d'une- station thermale

très fréquentée d'un pays voisin a employé immoyen, pour le inoins original, de faire de lapublicité pour son établissement. Sous forme

nffiché sur les murs de la ville d'eaux enquestion, il a invité en oes O-,ao I u specta-

a Dans l'intérêt même de la santé de 111.31. lesbaigneurs, je nie permets de leur faire remar-quer que la fréquentation du théâtre exerce laPI-, heureuse influence sur l'efficacité de la aine;en effet, /es soirées employées a la distraction etan plaisir bot suivies, pour les personnes entraitement, d'une nuit reposée et calnie ; n'en,.

la toi 00 des soirs provoque une telleendance à la me/ancolie, qu'elle en infaillible-

mem accompagnée d'agitation nocturne et .d'in-somnic. Depuis /es longues armées que j'observeici la vie des 'baigneurs, j'ai toujours rinnaequéel= le succès de la cure était infiniment meilleurchez les spectateurs Irabituels du tiliéàtre quecher lns baigneurs casaniers. »

Il n y a pas a chercher pourquoi certaines cu-res sont suivi. d'en résulmi négatif che, cer-mines personnes. Ce, qu'elles auront oublié des'abonner au ttiitre.

ScandaleLe Conseil supérieur de la guerre

s'est prononcé à l'unanimité co jaxRurdu service Cr; trois ans. A nfieureparaissent ces ligrns, ne projet qui lepropose et l'organise doit avoir été of-ticiefiementdeposà sur le bureau: de lisCluunbm La funeste folie se développeet s'aggrave.

Ce qui est scandaleux, c'est que cettedécision soii prise un 8endemain mêmedo la réunion du eenseil supérieur. Ilsemble que le gouvernement alt vonlus'abriter derrière SOfli avis. Or, pour lanoir de deux ans, les radicaux, le sa-chant hostile, avaient vdlentairementnégligé de le consulter. Pourquoi lesradicaux du gornernement actuel out-ils elmege d'attitude ? L'éloquence deleur patriotisme us suffit-eltle doneplus à ? N'est-ce pan plutôt que,celte foi -t savait avoir à faire àun conseil supérieur, non pas incom-pétent certes je n'avancerais pascette ahmedité mals docile et pr41,à donner un avis conforme qui va dansle sens de sa routine et de ses pri.ln-gés? Pourquoi donc le rtletn14, Oonseilsupérieur, disqualifié eu 1905 par legouvernemenh nudical, relcouvedi-ileurjourd'hui toute son autorités? II se-m dialeito û nes gouvernants de ions-

Cedle surf le-l'ai-o,. Qui. d'aitlieurs, aujourand n'a pasantorBé., s'il a le bon goût de se mon-trer favorable aux a trois ares » 7 Avanthier, c'était la grande-% presse de déma-gogie chauvine et ealfaires, hier c'é-tait des conscrits habilement travaillésel- des lycéens .parisiens affamés de ré-clame, demain coi seront des gentilspetits gessi, de ami écot:es materne/1eset tirstentines qui. demanderent lesissiés «ns Sur Pair des lampions 8.Tete cela est-in bien sérieux ?

Co quà est sérieux, et griRGO, c'estC'en-ose- volontairement commise parune certaine presse sur les intentionsde l'Allemitone. Ce n'est pas, en effei,centre ha Fronce, MI« ql.l'Un en due.

NSOCIALAS

POUR LA FRANCE! POUR LA PATRIE

Me 0113 11 18 MiloLa Jeunesse donne l'exemple

Ille la Guerre Sociale s-I/ serait absurde de le Mer. Depuis que le

sympathique, populaire -set démocrate Poin-caré a remplacé ?énorme et ImpillonnesdueDalliere, sur le trône .élyasien, mus asms-tons il -un furieux réveil national. Denthen-siasme mente, monte. Le délire va grandis-sant, Dans toutes les classes de la société,du plis vieux jusqu'au plue jeuue, palansles fe.rtes «mune parmi les hommes, n'estle même emportement patriotique, la mêmesoif de deeouernents le mente appétit de re-vanche et de victoire. Foinc.a. aidant, Lémouvement ne peut que s'accentuer. On sedemande même où la vague va s'arrêter.

De cc débendement de sentiments sorpa-triotiques, untmnu sommao surtont redevables

la jeuneuse. Pktim sui jeunes I Songea-dols Veulent entrner dans la earriere et/leursaines ne sont phis. Nos petits frères et nospetite gosses veulent s'en.sernic, revébirYunifOrme nI viv.re Seuls les plin du ekapeam.G'est très beau, test très noble, ,E1 eest:surtout réeonfortant.

Oui donc Messit béait pLus Meg.nous ni. énergie, m

Axetilie, ha -France I Avnehie, notre belleRenie ! donell Lm faits sont 1h quiinfligent tin &Menti forme/ aux allégationsdes esprits chngrens. Comme In d.isait Dé-roulède, clairon superbe et retentissati

Elleeentott.iours debout, la Fran.

(lui, elle est toujours debout. VOYez 1x10-lOt les conscrit" Cadillac, ces admirablesjeunes ge. qui -ne veulent mémo pas atten-dre le vote de la Chambre lieur faire leurdevoir, tout 1.0.1e devoir. VOYOR encore. Cinqcents éléves du lycée Condorret viennentd'écrire h M. Poincaré a qu'ils sont planssacrifier joyeusement, pour la vie et lagloire de Pa France, trois année; de leurJeunesse. a Et ils ajoutent a qu'ils désirentque lorsque la qumtion viendra en discus-sion au Parlement, itene soit pas fait étatdu poids prétendit qu'one telle modifica-tion ferait supporter aux jeunes généra-tions. n

Éon ne vienne pas nous dire surtout quelorsqu'il leur faudra tenir parole, ces 000-oses gens auront réfléchi et que nombre d'en-tre em auront trouvé le mayen de réoo/teedispenses et réformes. Non, qu'on ne disepas cela, par ce serait tis un langage odibuzdigne d'un sans-patrie et d'un vendu.

Mais U a mieux. Nous recevons aujour-d'hui même eopie etine lettre. qur vientdlètre transmise au président de la Républi-que. Nous m'oyons devoir la publier in-ex-tenu, el nous espérons que nous inmfrilnu,de la grande mes, voudront hien aussi ondentier connaissanee t boues leeteurs. Lavoie.:

Di-mobile le président de laRépublique,

a Les souJsignés, moutarde, hambirlS, Mônme,, marmousets, gamins, .mioches, sa/és elteteure de la eatentie Foureade, me du Gé-néral-Beur., (Vaugirard!, après s'être bru-nis et eoncertés au nombre de soixante-dis:après avale entendu les rais.s des grandsâgés de nt-ois 01.1 qualro années, les pible-henin dm tout, petits et les vagissementsdes suceurs de biberons, ont résolu e.mana /nuit accord de vo.s transi/y.61,re lemsdesiderata.

Tons réclament av. la plus grands ener-gie le retour iemédiat au service de cinqans. Tous estiment, après avoir examiné ilesipeitiOnS interrialionales et observe lee for-snidables- armements de PARemagim, que

trots semées de servim.sont absuletramtsuffitatstes peur que la France puis. tenirtéta à l'ennemi héréditaire. Tous se décla-rent prête, dès que 11:heure aura sonné, à sa°rifler joyeusement cinq ann.éesleurexistence, pour La plus grande gloire et leMus grand profil de la Patrie..

aaar eau. IsmG Les soussignés espèrent que lorsque la

speltstilint vieadra..ad Parliknedt, les eliaiimiaa-dront. hien tenir compte de leurs maux etaous prient. Monsieur me pffeident de la PO-publiqu, d'agréer L'assurance de leur res-périlleux dévouements

Comme 1m auteur, de la lettre

11'.'eieie:.: r,,e'Zrer,la.'1',lign 'lelleur plane et ils out dessiné an bas, enguisede paraphe, des erOix-, des barres et despattes de mouche..

'Pelle est La Mûre que nes admirables en-fant, adressent à M. Poincarê..Nos amisn'hésiteront pas à nous croire quand nousleur affirmerons qu'à la lecture de, cettefière déclaration, nous avm, tous verséd'abondantes larmes patriotiques.

Aussi, en présence de semblables et aussimagnifiques manifestations, Pcs rédacteursde la a Guerre Sociale m constatant que tousceux fluions échappé ils contagion antimi-litariste, c'est-b-dtre leas fous, les crétins. lesgoitreux. tes fausses-couclees, les enellégie.et leu .momignands au berceau, sont /Inuli-nes pour réclamer Je profondes réformesmilitaires, insistent-ils à. le. tour pour quesoient reluirait., sur tout le territoire,d'innombrables casernes et. qui sopérepromptement le retour au service de cinqans d'abord; au servie de dix an, ensuite;puis à celui de vingt ans, en attendant quesoient soldats Io. les. Français. sans dis-tinction d'âge IO de sexe. femmes, vieillardsentanis. v eerispris les cubistes, les futuris-te, M, O.is,ehe Barrès et Mme Sarah Ber-nhern11,

Victor MERIC,

Le3 DétationsParie. O mars.

M. Dariae, députê de FOrres, vient do dé-poser sur la question des délimitations unrapport supplémentaire. M. Das*uo s'atta-che à jus/ iltler les nouvelles proposifion,lu coMmianien d'agriculturtu

Luciole premiir du projet de loi ope--clin que 1r proinits bémétleiermil do l'ap-peilation d'origine lorSque los stages lo-caux et constants leur annum, attribué cet-e dénomination en raison de leur Origine,

da leur nature ed Ils loura qualités subean-tielles.

Gemme on le voit, la notion de qualité quia suscitai e tele vives objectioni, a étémaintenue. 1Maise le rapporteur précisé qu'onne saunait enlever à un produit lofai, dettl.?origine n'est pas doules.e, son droit àl'appellation d'origine. Les syndieats con-servent le droit diniervention qui leur avaitCté accordée soit à. libre de partie civile,soff par la voie de l'action ordinaire do.vont le tribunal civil.

Les formalités inseimé. ami 11GL-torts:Msen, vina GROG sine:fiées et pourrenit étrasois mn ut eautrillees plus aisément.

11,, projet limite, damtre part, aux ins-pectent. /régionaux ale la rEereel.11 des/fraudes et aux employés des contributionsnal:rectos lu Faimeté de prendre cunriairi-fanes des indications perlées sur le comp-le te. pa-r le esexestant et de Les n'érines,Les vins qui »sikh:rote, pas application4es dispositions de- Parthie premier, 1VOieGle0IG h l'appetlation a Champagne pes-teront soumis aui régime 1.iitué pan la leidu Id février 1011.

LA HONTEParie, 6 mars,.

Les mei. triomphent. Mais leur triom-phe est. honteux. Un gouvernement de rené-gats irelumes vient d'Insulter le peuplesurinant p011e trois anis, ù la folie chauvi-niste les .meillours de ses enfanto. 01 unemajorité dégoûtante vient de renier enbichant la loi de deux ans riont-cbc s'étaitfait un tremplin électoral.

Lm radicaux sont descendus au-dessousdes pires lu,ndits. Ils ont livré la Républiqueet le prolétariat h la réaction, qui toujourscombattit la loi de deux ans et qui autour-sibui e, réjouit de sa vietoire.

LA journée dbujoundliui est la journéehonteuse dé la troisieme République.

Nos élus ?ont compris. IP onI protesté aunom du vrai patriotisme qui ne consiste pas,celui-la à creuser la fosse où Fon enfouitles cadavres mutilés des enfante du peuple.Ils ént preteste au nom de la nation miveut s'armer elle-marne pour sa défense,loin de /a caserne corrompue et commffrice,el qui réclante ausd dm garanties feu pals.

Cl Il ent clam; ber, en un geste spontanéet .rnagollique de révolte, toute leur ind.i.ena-tiPn. in, 1,0 menaces de le droite aldine A lagelai)°, ni les injures, ni les rappels in ?or-dre du président, tue les ent émus,

Ils avaient conscience .de défendre les des.,futées de la Répubnaue cl inc 15100010 al'honneur bien compris de lu nation.

Anssi, decant une aussi énergique pro-testaitun qui enthousiasmait 1eu tribunespubliques, par Mainle de voir éclatercatin.o populaire, et enfin honteux de leurlâcheté, bu membres du gouvernenhat etde la majmité ont-ils fail évacuer les tad-hume.

C'est à huis Mons que le si,,istri. Et.ienne,ministre de, la guerre et membre d'un grandnombre de sociétés capitalistes s la le Projetde loi de trahison républicaine!

L.a Moulin.° radicale est tombée au-dessous de l'Empire. Nous subissons. règmedo quelques douzaines d'empereurs repus etabjects.

Au peuple des travailleurs de se révolterni tir.delirdner les fripemilles.

Les députés socialistes lui ont .doméeeSemple, Qu'il le suive,

ÉDITIONS RÉGIWIAUS

GARD, 13FOGIATLG, LOGÉIUG

PYRRIRGES-OR/ENTAIRS,AVGYRON,CORRGG/Gc,,rAL,

GOS-E,OAROWNE,

,tat.Intarresrvreindms,BAGGRS-PRIGÜFÉ.,

Ge RO

G

HARTS-GAGONNE,

Tommes

L'Oum Sulain

filuForm Sui:list:L'CEUVRE MEDICO-SCOLAIRE D'UNE FEM-

ME SOCIALISTE ANGLAISE. LA CM-' NIQUE SCOLAIRE DE DEPTFORD (LON-

DRES).

Si Ion voulait juger le mouvem.entltuf-fragiste des lemmes anglaises per les excèscommis par mist.ress P.ankhurst, ou commet-trait mrtainement même erreur d'opti-que que lorsque Mn condamne le mouve-ment syndicaliste. par les cm do sabotageque cmonande souvent ?état de guerre.

La, femmes anglaises ont un idéal à Pêcli-fieation duquel la religiosité du protestan-tisme plus humaine que celle du caCha-lieieme les a préparées depuis longtemps.Leurs associa.tions de militantes n'ont pointquo des bute politiobes et 4.eonomiques ;elles poursuivent également des fins more-lm et. hèyoiéniques. Voyez par exemple, leurcomité mi faveur du nn Bien-Etre phytiquOder écoliers n7ui combat pour l'institutionda laiteries, d'infirmeri., de cliniques pourécoliers... en mémo temps pour la créationd'écoles socialist. du dimanche t luttmtainsi O ga fois pour la sante de l'esprit etpour la santé du mn..

C'est de liceuvce scolaire d'une de nesfonunes socialistes que je voudrais vous en-tretenir.

voudrai, ROUS parler de la eliniquescolaire qu'elle a créée de toutes pièces aurentre de ragelomérabion si populaire deDeptford, un faubourg de Londres.

La clinique de Ms. Me. Mill. n'est ointquelque >filmenl à grande façade, huileuse.Elle Ma pas voulu que la médeeine sait pa-rasitée par la pierre, ni que le médecin etle pauvre soient dupés par (architecture.File a installé son uvre dam une maison

comme une autre b. et comme l'infirmièrey es1 toute ha jourMe, il.. produit -du bra-sait médical et edueallf, elle est, parvenue âréaliser eut inaxisnms de Nullement. Unjour de te semaine on opère les polypes (ciesquantilês à la fois I) Mais Ventant, .dontnea ens deventa Clan, n'est pas renvoyé dansla cireulation comme dans une consultationempilai. Il est soigné par llintirmière quiItra apprend à

respirer.'il est pris par Pins-

tiduteur qui le soumet un traitement parla gymnastique. On fait les choses commeelles doivent être faites. pour L'enfant, etnon pas pour grossir cielque table de sta-tistique..

1ln autre jour, eest h'eculiste qui fonc-tionne et presqm toujours le dentiste.

En une annee, près de 7,000 enfants ontreçu dm soins médicaux. Ft ces soins sontdonnés dam un esprit différent de celui desIMpitaux. On ne considere pas le cas en lui-noème, dans se cru il a d'intéressant au pointde vue- médical, mais on entoure rentantdon ;niera considérable pendant tout letemps que dure son infirmité.

Les femmes du peuple sont là rbm elles.La clinique doa Ore. d'aprês Ms. Liban,la nursery du pauvre. De mem° que le tramlectrique ext son automobile. l'instituteur

son prkepteur, la clinique est l'endroit oùVon donne à Ectiant les soins que la mère

La SéanceSéc., du mann

Ou ace est ouverte a 9 h. 20, sous la lpidence. de M. [non, vieoPrêsinent.Comme d'habitude, la salle est vide,

Peur l'Ecole Laïque

de 22 do la tai du 30 dfecrubre 5503 et à ae-

tes-ta et insillattrices .pubk«. Pcurfms Sen-escorder

une primo d:e 1.000 Pen. eux est.,

supérieur; 2. du ,priale, de 'ai sur le traitementet le classement des insâtarlours ut tasuutrioes

Pelk'LE TRAITEMENT DES MA1TRESthuham est dilelasée et on aborde la dis-

cussion: dss rhapilras t'in« ructien. publiquemachos-D les araitenugs des institinems etanstieuteims.

A /a demande de SI. .ramorteur, ladimusebn est ouverte 55r rartiele 1.1.0 projet

005e 1.a loi de fluathey gui accorde une1.1,0 dc 1.000 tiones a mus des ineituamis

Smituteices pomuus du brevet. supeenhir.or, nssssmu. 51 none ne voulons pas que

les eeoles .vonmeLes continuent n désertées,

00 instrutire.oe" us,P'il"M'ya%a 4,000 don! 3.010 instante/1ms, .peurvos de. qui relever le niveau

,14 reni,izaentea mains, cuis qui cent parti-sans de ,la défense de l'écob .laique, 'volerontla primo an brevet supérieur

LM. Add hilevne défend un coralm-projet dontmi Meneur et qua s ce qu'in Carine, assure

1193 re!,,vernent de 400 Rhm à bus im instm-ileum. 'TM lavorise lo reerutennenit des Mouenormales, qua n'emburc ,pas le re-proolie de00e-On efivisioy Suante peemnret et Mme a tousles inaltres pourvue aln brevet suplrieur ou debrevet ébahi/gaine d'avant 1889 Io laighnm deIn prime. (Applaudissements).

r. Sleog, ministre de d...14mtl. ,pubrque,appuie la prime au brevet seepefiear au nom dugouvernement.

Puis la .tite de la aliseuen est .avoYnela :La.ai nce de IttpuYeaddi et sassa, est levée

li

Séence de 1,yré.L-midilia elanee est auvent° in 2 h. 15, .us 14 pr1-

edeaer, do M. fle,,tiamd.Les telbu.s sont assez hien garnieu et, daes

la sele, on compte au moins trois cent, dé-putes.

Au bans du gouvernament se erouventMOLRnand, State Chearnet ot Ban-

VENIIREDI 7 Duns 1943

kartée do home ou ignorante,

Linon n de 555, Miltaii a dautrarispeetscurieux :

11 y a, da. les grands centre , des en-fants qui deviennent anémiques parce qu'IRvivent dans des .logements surpeuplés M ,n-salubres. Comment les sauver Commentleur fournir l'air pur, ?mu de douche, lerepos bienfaisant, toutes chosesmais indispensables pour opérer le sauve-tage :

?Par quelque sanatorium Iumeux, I pa-

villons sépacés, ave, une nuée il-adminis-trateurs I Nen. 11Is. Milla,, res,be simple (nedevrait-il point y avoir une Mme:iodé s°_Matis. ?), eLle a établi, dans le jardin dela clinique un camp qllt a refilé naine -e1 où les enfants sont SOiunis user cuen,au traitement par le plein air, la bonnenouriture et les soins ellg

Il y a même une doucito de fortune. I Et IOun dort, en plein se, nuit et jeu, Cominepl. lom encore dans le jardin d'une église...où le vieaire s'intéresse a ?uvre. Di.m desuite que le vicaire est protestant et quele protestantisme n'et pas ffavis qui], nefaille point chercher le paradis sur !erre.Curieuse forme d'école en plein air. Lea fil-les même les garçons sont exercés nfaire des vétementa par les nurse,. Ms. /11c.Millan veut qu'id y ait, dans ees vêtements,le plus «art, Le plus de charme possible..,compatible avec le peu d'argent dépensé.

Je voudrais vous entretenir de beaucoupd'asphels autre, de mile ellnique.

Elle me passimnc par son caractèremain et par son contraste avec les uvresofficielles rigides. Non point qu'elle Mailpoint «Minette offieielte, Elle est( reconnuepar le conseil de Londres, qui la subsidieamplement, mais elle garde une pLastioirté.,une Siherts, nialluress 5m,, puisnanm Dévolu.don nue l'on rencontre rarement dans tesyst/nrie scolaire, esclave du bath-rient, escla-ve du temps, esclave du programme.

EUSEBE.

Sén.a.tParis, 5 mares

La stanse est cuver. a 3 h. 115, som laprésidenes, de M. Duliose,

Les Usines. HydrauliquesLe Sénat nonend la discussinc du projet

de loi relatif aux usines baxtraultiques éta-bli. sur les cours (Umit et canaux du do-nraim

On en (estl resté à l'article 8, droiilusines concédées d'occuper le' propriétésprivées Meehairea b l'ap.pue de ees mana-ges di retenue ainsi quas l'éteiblissmeent descaroox souterrains maddieSson et de fuis,

M. 13oixinuCharreeaux aulmm sene.eanent, so saillie â.une Xlieposition addition-

0wIlw IL Sibrrv, urdu.mpter des servitudes de Ilienlietti e cd

cours et jarêles allesorts.L'article 8 oses cette despimition addi-

tionnelle en adnae.Après l'adoption des cinq premiers W.--mottes cl,o l'afficle9, la suite de la .disené

sion dO prq;e1, SUR los usines hydresiitiquelas: s'envoyée à demain 3 heures.

GéROCO est levée à I hemse..

Le Service de Trois Iolia requin d'Algérie que k capitaieline tons

pui.ael a .place .psovis,neemen, uts mialstanode /a guerre, monte 55,55 10 la tribune pour eet-poser au nom du gouvernement te projet henaleonle de ta lel de ivoire ans. Au .-ernent me,/ Seprépare I parler, notre vénéré camarade Vail-lant se lève â son bane et, au enilleu elsim/race impressaImnant, m voix s'élève Idaue etforte . Noue protestons ; le P.-lentriat de France, par rorgaiie de ers élis /7..clanstes, s'élève aces Megreation corgee.ieme que la bourgeinsie Can:tain-te Se larétOarecommeure L

étais les patriotards de la arote n'eaten.dent pas laisser h notre ,uni la liberté de Ps.ler. lis .seet de couvrir . voix et lui lm-cent. les MJ.ures que ion a l'habitude de nousootroyer s chaque fois que pur. essaya. deealre la home Y laalémul,

Mais nm Élus se dressent alors et aPinlm-dSssent. avec mIgareur celui qui parle as nom du.peuple opprim* et berné. Et, ...loin, la voixde Jaurès domine Io kuntulte in l'on entend derem, de mn àrna démoesta 4', et ardente« Vue /a République ; A bas la guerre Iexpression dns sentiments les els ,protomis derame popalalre itraneaËe, et que nos 13 mina-rad., dan corme-un (dan, rdpbtent sc.. les,oOtes étame:es dn Polais-Bourbon

n « Vive laDepubLgue I A bm le eberre /

A ce moment, un certain monbre de cadeauxse joignent à nos amis, et ajoutent ainsi à let

grandeur do cette manifestation.AI. Etienne. fluor. be.0ard, .paraissan.t se rué

dre mange 05 -peu t.fivement, iemde l'odieux de tambe qu'il va aoinirn,pllr, n'essayemem° pas d'ouvrie 15 bniteha

Purs, soudain, on entend retentir la ...nobled'alarme.

On fait êvaouer les liebun..C.ete eiheation mi faite très raipidement,

veut thune faine sera, lm jour:hastesLe -président FR penche vers le ci/bistre de

la guerre. taule.° /nuise:il/ale h la .t»Ibuno, etparait liaeSter 4 .inmeneer sa leclure.

ZYL Etienne Ilt alors l'expOsé des motifs anProlos do loi. On nenlond Pas nu bot de oeami

voici lo texte de ce projet Monate:00ul'ôtas actuel desELIZOpe et en présence

des mesurfs qUe la plo5na0501 peuples on1 crudevoir adopter damna >eine /ibe.etê de leur ac-tion l'heure est venue pour nous de reobereersi rien n'est mange a notre égard et, dane le ea.Sa l'affirmative, de réaliser radabeim eèoes-sabre de notre SFROGIline eclitalre sua obugatichimprévues qui se tont jour.

» il, que la loi du as lus, 5905 a voulu. e.bais b paya exibung jeukster à menuet aute elle.

mois contre na Russie igue l'Allemagnene-lit accroître ses armements. C'est.la Baltique, c'est à es frontière orien-tale, et non pas au Rhin .que songenten irtie moment rias TOlsins. Et lorsqueEu France, la première, me RIB le

percevra avec stupéfaction, quand

geste absurde qu'en lui demande Maisqu'on n'obtiendra pas de nous, elle s'a-

s'ouvrira la discussion allemande, quesa folie n'était pas seulement insen-sée, mais in.atile, et que son effort aporté à faux. Il ses-ta trop tard.

foO seanddle, encore, oeui que la laide.deux,ans soit déclarée caduque sansqu ou Full mise à même fie donner nonmaximum do rendement. Le conseilsupérieur s'est vengé sur eine de Paf-ifrout qu'en lui avait fatt en ne le con,sultant pas. Pourquoi, par ft-xerniple,avant d'iamorcer M. lei nouvelle ipar lemaintien Mn/pi:yu/YR° Sons les dra-peaux de ta classe qui allait étre

nia-t-on mis décidé de.nwer lessoldats passer dans l'Est les Sieai der-niers mois do deur temps de service,afin d'y renforcer l'importance destroupes de couverture et de prémunirpar là centre une agression lo paystout entier-

Mais 15001. c'est d'un Kerne 14-oer queFon préfère désorganiser n'industrie, le,commerce, l'agriculture, la vie mi-medu pays. On ne va pas voter les trotsans. On va en escamoter le votet Leà Temps in nous demande d'adopter unmode de discussion, en lia routière,à alerte e et à décide ». Il invite laChambre é nous rabandonner le tristeIn onneur de foire le jeu de l'étranger.Ces ignominies n'intimideront pue no-tre .patriotisme. Entre personne et nousil n'y a désaccord sur le devoir impé-rieux do défendre la France, mais avecles répulAiceins de plus en plus nom-breux que n'aveugle pas le parti-prisnous voulons savoir si, dans cette lou-che opération, des affairistes masquésn'imposent pas ià notre patrie d'infâ-mes voisinages de Ga horito desquelsnous avens la lieigé de Ponisur la mu-Vegarder.

Gabriel-Ellen PREVOT,

ENQUÊTE ÉCHOS

.omolltor

Le Crime est Corisorrimé

LA IteliOLTM DES BLEUI iUCIALLIESVéhémente manifestation. - Nos Camarades se dressenten une protestation suprême. - Le gouvernement honteuxfait évacuer les tribunes. - Tcu1. le pays nous entendra

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Les Obsèques de Pt Garie

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LE Lysblessants me rendirent folle de co-

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bar Louis LI?, rue jeta d'irréparables injure, et

Mes cris, mon frère André atteint-

» Venge-moi! leiParole relie ul 'nt dent je ne cavais

Pc terrib,André ratelier d'an-

'k, l--cria- de M.:t'unes, le

rcxacts,eurquis

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tentent t'oilrie, quittait le enititeau de Bro-utille, en compagnie de Charlot Gargaiii-le qui lui concilia fortement de ne pass'arriter à Paris plute de deux ou troislmores et de -gagner prudemment l'étran-

. resonale est le

menet. inlerronlpilrtfee et se repentira peut-

. admirable, ma-.. magistrats penseroni

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-- En l'espèce, zoo, et vous auriezquelque chance de vous en tirer Snake àla generoeité de mademoiselle dit Bide,niais connue tolre frère doit Km LIC`Mél'heure qu'il mit, d'autres ai/mires surgi-mot el la liquidation génératesera.cer-teimenient dangertruse poste lui et Ieoh.-Mentent pour vous. Cesse?,..

Leorm n'insista pas et ne le tint pourdit.

La première chose que chercha Clairede Bide dans sa chambre dévastée futle coffret MI elle marrait les loties de Lu-cie/1 de Vontimay.

Il Mail vide.Ce vol socritègolui .extertmement.sensi-

ble. C'était le serer-trésor, Io seul refet.dejoie qui lui restai.,

m'areablet... inormurarlsello.Elle s'enferma, après avoir défendu

qu'on la derangeat suus.quelque prétexteque ce fut.

Andris t'était. emparé avidementdes lettres dit jettee mmrquis-de.lerontemaycrue Mua décachetait effrontément par-, ma. l'histoire denlharie-ttedeleine,rr Issu d'or s. raoontée par le jeune hom-rite e, (g:notion; l'svmt prodigieusement'intéressim.

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BULLETIN FINANCIER

.1.1 lasur Ica principaux rocrab

m ri, Ir, nenvelles politiques tut peu p:lovcrables de re riebm do Rentame ne s'est pmaintenue dams toute eau ampleur.

na premiers coin de Londres et de rienasmaue ; ndanineina. le début de noter neoit caraetérité par. de Pindécisioo, vainde la lourdeur. Les différence, do csars ateilla sont cependant Mt setuales et psuite notre Iteuese.aannliora gradundornent,

11AP/ITE LIANOSOFFLn-S,veldié s nOgoold, ces temps dorrai

ateie irsremsitione qui vent tui permedoubler presque immediateraer, sa prode itajdne. Ce Sens l'affaire teraunnIkInutateiti dont la produellon actuelle cl'1.200.11410 perds va être perles, d'Ici àCannée. per Io forage de nouveaux1.100.000 muette I retraite alan.swetaff qsera egalernent d'ici un an 2.000.000 puReu. cd 1.100.000 l Parfaire de la Société

orprésembet une production annuelle.It militons, do pouds k racage de la Sp'Anse/toron dont la produclies vinera enotse de 0.000110 ponds à. tri, a adilmoependsl endo l'affame de la Sociale, Sabre,est me que gracearcs aelpE,OiOPS lu Sociaidit Rapine Lianosoff dès evt,0 am,une prealuci,on de 15 à 20 milliorc de pole,:ides gni, l'exploitation ne deive poste, que

MOP,è environ. dca terrains dm. elle va as.raser..

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tlala pOtteralt bien iltre?...Prodige, ma chère?... el:lestons KU.

ciel...entent eeS etialtres... Une pene-la soif!... Nom étudierons tels plesquand l'affaire de a SUPPCSSiOn dc 13ndo

sera réglées..Matgré eas,urance d'Andés, ell

s'etait pas réaolée au g,..; de ses dl'affaire de Belle,

Et nous l'avons laissie au Prieuret ses compagnons, dans une aseteuse 'situation

La bande se trouva (simule del'a

- Que faisons-nous?... dem.pe-ta-Pean. Engageons-nous la

estourbir 'le', cogne. ?POilu ! Ton premier !nome

été de détaler devant eu51 comme unrépliqua ironiquement A.ndrès.-- Pale,. L.. Je n'avale tout ioaeSO

froid. p., arille nal de .boire tarer intle temps, parce qu'on se fait virruxcette botte-E, depuis quatre joui, dfaire... Mai, e'est -passe ct vous st

qu'à dire un mot, vous serrez riProu nnat un feignont !...

(A sulvreJ

eue ,

Composé sur macIntue,Loots.'_1 -',van- da la Presse, rue Roque/sine. Totticcl

ribinifinistrefetirsereste »sinter.'

Les biliiLAInIZS ela la POMME' LInHAÎFHEToux, Rhume, Catarrhe, Bronchite chronique, Asthme, du

le réer:1 on. le Io Partie Parue et 1earanl. tau. 10, qu'it oopode,

con:pia,t,"III IO 0:o d'es.e

ErneyctopétZie Secieliste en le releveur,],-nucal dent as. j'eux st que je pote.

or,x cetstl,clu fr. fco

5-Arecli,5" 51.1 t ,ytt. t t

PIO?'

Otais er

relevant -leur, elle

tiorr _nie tt LvOiturede fer...

Oui... oui.... 011: , ,encore que vous me

de oses pardonnerd'un aceent triste el prriont!

Je me Ad!rielEt Latone, torde I.

dans sa chambre. lir !

tristesse gériereirse .

end d'une scène de sSi j'avais se ?

n'avais pas écouléetre qu'avec diu ternij'aurais réussi. Pen

Cl dans le fond dede rancune et d'en or ee -

demeure fermenta de manse:ie.Fuir encrine! Comme il y a vint

deux ans!... bous la m'Orne Issue . '

Ah ! misèret...Claire de Bride avait demandé ur,

d'entretien fi Charlot flarguille.-- Monsieur. lui dit-elle, je out, a.

Inn,. de vouloir bien me rendre essoreservice...

Trcp heureux, mademoiselle?...-- Je désire que vous . conduisiez Cl] , I

chemin de fer une personne qui va prem !dre te premier train du matin...

pardon! Cette personneoas sierdrinie! lueseet, adaieundmerr

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