Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_02_13.… ·...

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ADMINISTRATION & RÉDACTION 38, Rne Roquelaine TotlhOUSE MIt.iintmuembig-331 0,1.5 billon Ri-melte angstues, soeurs errebutuunomatermies, anansets.cometarscilarretts teredemeambeffe, ossestumbustersermetariera. asteurestirmlies, sanners emutesp-emeouses aune, saule, sena namensones., sapinette A/mn. Et. tESI L'EFEET.TVE tinantinge punas es nutiji tartine suivant d. aune camarade dam Ja.rêa Toutous. jeudi soir. Lee jeUralaUX, en citant les décès qui ,s produisent en quelques centres de garnison particulièrement éprouves, ne donnent qu'une idée terre imoomplète de mal qui sévit sur nos jeunes sol- das AU/si je constate que la presse parisienne n'a rien dit de la région tou- lousaine. Or, j'apprends, en venant ici, quo les régiments sont très cruellement affectés. A Toulouse même, /a propor- tion des malades, retenus dans les hô- pitaux et iniirrneries ou en congé, est énormes Si une crise extérieure se pro- duisait à cette heure, un huitièMe au moins dg, hommes some absolument indisponible. L'autorité militaire cher- che en hâte de nouveaux abris pour soulager sis peu les hôpitaux surpeu- plés, oit la municipalité socialiste fait test ce qu'elle peut en fournissant, pour Iii soin des malades, tacs locaux supplé- mentaires. Mais tout cela, forcément, est impravise. D'ailleurs la vie des régiments est de- venue très diffioile. Toutes les salles entrafois consacrées à la ré.creation à l'éducation des hommes, sont trans- formées en chambrées et, malgré noie, les chambrées sont trop étroites et la contamination réciproque des soldats entasséS excisa de cruels ravages. Je siens d'apprendre que les coure aux ils. lett& sont faits dans le réfectoire qu'ou ne peut ni nettoyer ni aérer, et qui est durs un état déplorable. Tout a été me991/ffé, ai l'on peut employer ce mot, pour engendrer à la fois la maladie et Je dkgoût t et les statistiques des décris ou de la nnorledités, si navrantes et in- quiétantes qu'elles soient, ne donnent qu'une faible idée du désordre immense du découragement croissant et de l'af- faiblissoment de tous les ressorts d'an- tien. Les ,hommes qui ont bâclé la loi de truie ans et qui, pour en masquer est pays los premiers effets, ont 0011V0- esibinits de vingt ans, ont une responsabilité terrible. Avant peu, la once les maudira comme les familles naudisyients e tieaio ce matin, dans un grand }ourztai du Midi, une interview d'un ',dei:in-major. 11 dit qulil ne faut rien exagérer, mais il renonnatt que le nom- , des malades est bien supérieur à la moyenne des années préoldentes. Et il emstate que les hommes de vingt ans n'opposent pas une résistance suffisan- te. Ils paraissaient, dit-il, aussi dévelop- pés quo Les autres : niais il faut croire igue leur énergie physiologique était Moindre. Statiquement, ils étaient bons pour le service. Dynamiquement, ils étaient moins bons. le malheur est que ces jeunes hom- mes, après avoir été incorporée sten- queutent, moment dynamiquement Et voilà, je le répète, ce qu'on cons- tate dans une région dont ne parlent ai les journaux de Paria, ni les agences. Par quel artifice de statistique le mi- sistere essaiera-t-il aujourd'hui de dis- *Meer la gravité du nul? Jean TAURES. OPINIONS La Bourpoisie allemande et la Crise actuelle l'ai entendu dire, à maintes reprises, depuis quelques semaines pourquoi le socialisme allemand, qui est fuel de 110 réputés au Reichstag, de 9990,000 coti- sants et de 4.250,000 suffrages, n'a-t-il pratibeé. cies circonstances actuelles: incidente etc Saverne, jugements de Strasbourg, mécontentement de l'oui- sion, antagonisme -du Nord et du Sud, taveil du particularisme bavarois, pour donner assaut au pouvoir ? Beaucoup de gens, qui sont curiservateuns chez Re* sont révolutionnaires pour l'Aile- 'dague, et je gage de même qu'en Alles bagne beaucoup .die conservateurs sont volutionnairee pour la France. Il eût paru très -naturel à la grande et *lxi Moyenne bourgeoisie française, ,qui repoussent l'impôt sur le revenu et irrepét sur le capital et l'impût sur les Simeessions que le prolétariat germa- nique se dressât pour provoqu r une >vision de la constitution politique. lienO leur pensée, ce prolétariat s'est diminué, et a ruiné son prestige, parce qu'il n'a pas répondu, par le ooaleve- 'eut ois aux excès de la solda- llesque prussienne en Alsace et aux eX- Peinas juridiques un peu bizarres appor- tés devant le Reichstag per M. de Seth- , A coup sûr, le colonelReutter O lieutenant de Forstner sont d,e bien les, sires, et qui eussent fait saillan- rfmure chu rioni à calte des Lespinas- e et des.:siint-Arilaud du 2 décembre, encore des de Pellieux et autres hé- - 0e 1858. A coup sûr il n'est pas Or- '*ai-!'v de voir tout , u un tribune aistée .ra que/fp/en Lieutenants te. frais ..0131oUlifs cl miles où on leur 'il ellSeigné .urtout le mépris dal isvi les Alsa- nains, ai rn.û.he lu & Allemand& dotas de quelque inteltectuanits, 111 monde (j'entends per là tous Peux qui pensent dans le monde), n'ont mar- chandé l'expesseion de leurs senti- ments à ces arrogants représentants du militarisme, et l'on eût compris que les meetings fussent plus nombreux Outre- Rhin, et que les manifestations de la rue ne fussent pas épargnées à l'empe- reur et à ses serviteurs. A coup sûr en- core, le fameux ordre de cabinet de 1820, qui donne plein pouvoir aux au- torités militaires, et qui fait table ruse des autorités civiles, est un document bien singulier et qui illustre tout un ré- gime. Mais je me demande si dans leur propre histoire, nos conservateurs Iran fais ne retrouveraient pas des événe- ments analogues à ceux qui viennent de se dérouler-en Alsace. Il y a eu jadis la fusillade de Fourmies, et celle de Li- moges plus récente et pour ne citer que celles-le qui égalaient peut-être en gravité emptomatique las changea or- donnée,s par les officiers cin roi de Pries- su dans la petite ville vosgienne. Il reste que les social-démocrates d'Allemagne, IlnUs dif.-011, n'ont mar- que qu'un mince empressement à en- trer en ligne. Gela n'est pas tout à fait exact rien plus. Le député réformiste Frank elle députe révolutionnaire on moins réformiste Ledebour, dans la séance du Reichstag du 23 janvier, ont tenu des propos qui leur forai han- tueur et qui honorent à la fois la social démocratie germanique, Leurs attaques au mince impérial ne p.seront pas iaapercues, même si nos grands jour- naux du soir veulent sy,steraatiq.ment les taire. Des discours ne sont pas des actes... soit. Mais ils préparent parfois les ac- tes. et pour répondre point par peint aux détracteurs du soeialisme alle- mand, à ceux qui le calomnient millito- diquernent, .pour atteindre dit Môn* -coup le socialisme français, je vais établi> que la bourgeoisie allemande d'esprit moins hoisM snont que la nôtre, est la plus pusillanime dir inox- do, et que le social démocratie. le jour 011 -elle se mettra en branle, ne se pourra oontenter des mesquines réfor- mes politiques qu'on lui suese, Dans tous les pave européens et mê- me en Russie, 1 installation plus ou moins précaire, plus ou moins franche du régime constittitionml ou parlemen taire a été l'oeuvre de la bourgeoisie. émit d'ailleum, la seule classe qui pût Tellement profiter de l'avè- nement de ce mécanisme gouver- nemental. Le Tiers-Etat allemand, quelques velléités libérales qu'il ait !narguées parfois, ,s'est toujours replié sur lui-même, lorsque le pouvoir mo- narchique luta enjoint de reculer. La Constitution de 1887, étendue en 1871 à l'Empire, a ébé ainenagise par Bismarak non peint en Vertu de Cale °épilons idéales, auxquelles il était M- N-patrie -de so hausser, mais Unique- ment pour préparer la grandeur prus- sienne. La proclamation du suffrage univer- sel, nom le savons par ses propres di- res, visait en toM et pour tout à noyer les particularismes bavarois, saxon, wurtenbergsris, dans un grand *ti- rant national En ces derniers temps, las bourgeois d'outre-Rhin libéraux, nationaux-libéraux, catholiques, ont fait chorus avec leu socialistes, mette le pouvoir absolu, mais leurs clameurs ont épuisé leurs forces, -et dits quo chancelier ne sonné le callimuent mira défenseurs de l'ordre, de l'armée el d0 la propriété, M. Ferenbach. dvi Gentrsc, et M, Rassermann, le chef des natio- naux-libéraux, se sont précipités à son seamrs. Tom trois se sont reconoilies dans lieur haine d'ailleurs très logique du socialisme. Et ainsi s'est jouée la comédie. Comment vouslez-vous qu'une bourgeoisie, allemande eu fiançais., houelie aux prérogatives de l'armée ? La mort récente de Picquart et de Pres- seuse me fait songer aux conseils de guerre. Cies tribunaux d'exception, dont on annonçait la disparition il y a quin- ze ans, sont plus solides que jamais. La social démocratie. le jour on elle fera sa révolution, rie saurait se cen- tenter d'imposer an régime qui rédui- rait les pouvoirs impériaux et rail la responsabilité ministérielle. Ce- la était bon en -1830 ou encore an 1873. Aujourd'hui, le suciallsisc a d'autre.- itepirations. Quatre milliereer d'hoirdnes ne peuvent se soulever nous un ObjeC- tif aussi pauvre de consequences, quel- que intére.sant qu'il soit d'ailleurs. Sa résolution, loisqulelle l'accompli- ra et ce n'est pas aux conservateurs français à lui en dicter l'heure, sera autrement profonde que ceux-ci le sou- haiteraient peut-être. Le système parlementaire vaut mieux nertes que l'alsolubsine, loris il ne fi- gure pas l'idéal du sonal... Si la bourgeoisie allemande avait combattu pour l'organiser, elle eût trouvé le con- cours de la social démocratie; mais menine elle s'est mise, contre celle-ci, au seri:deo de l'absolutisme, nos amis d'outre-Rhin feront do préférence, et us jour qu'ils s'assigneront, la besogne que leur oornmandin.st leurs principes. Ils ne se borneront pas à cÀaanger le ti- tre du chancelier, h modifier le régie- ment du Reichstag et à réduire la jac- tance des hobereaux casqués. Ils ne peuvent envisager leur propre rôle du même mil que les lecteurs du Temps. PAUL LOUIS. DES DÉCÈS PARTOUT PLALDOYER DU GOUVERNEMENT Le gouvernement plaide caserne s'il était M. Mes.* fait remarquer me S n'y a que Se salmis.on effeetées star 3E17 e :Aluns II ne s'effraie: pire do ne chistfro? Il, fait remarquer que la moyenne dee Ma- lades vert /aérienne à oelde de las Pas. si. Tout despesest dm époques choisies. Da Fire- /Mem quesar. da °rote almée a ne, en et- ' fel, exceptionnellement berme. Dt unx tiers Ose bon.. «aient de plus as promiroetern. Rail, *us,fixonsier s, dama le Tempe n le service de mute sien pr.d: aux « pernus- siens », airo. vacante» ...Les soldats ont roda porte le mat de chus eux, une *DIM./id. du Jour do l'An. Alors la bronehmounumenie la ingninglte cételardminele cm maladies ty.piques 0m raseemillemetite essifitairro, viennent de la .popuLostim. Ce sent des sernettest assez bonnes ire. Le peuple, pensent ses mmieers de la Haute Administration Mais ils ne nous donneront pas le change. M. le dirceleur Treuseeint est, après MAI. Etienne et Berthee, le respOnsegite, le somp- tabte de oes merls, de evo malmides, de ces épidémie. de Astre qui est raisoo du plus grand nombre de sultlats conporésu - Et ha Seetion Techniqm du Service de Santé a beau maquiller tes ehiffres. Dite n'oehappora pas as .poids de Ses romeastes fautes. LIMOGES Limoges, 1,2 février. La nombre. des militaires de boanes armes de la garnis. de Limmes actueilendert traiter... à l'hébital, sb2esve aujuuroldwir chiffre de 160. La tdotais des .maskeles ap- partiennent au 78e d'itifaro.see et so. at- teints de rouget*. fene Spidernalr sévit de- puis quelques »ut, à La caserne de la Visi- tation. En dises dont la cste. est Secours. a été constaté hidi -r-h<spi-tàt. Le Toi/daine do feutre *rit fiépiefisinie de rougeole cprl servit eu nie d'un- tintent poursuit em ravages dam ne engoues et menamo de détend. dans leu inee. cessonds. Qeeiqueseio de rosebraspinais se mot so- dé* cm malus derniers au bataillon de chas- seurs cycliste., mais ou n'en a .pas annale de nouveaux.. Toutefois, dani es régiment eva.a A 1,3 moment ou eigniele pl.icurs cas de die- tee.' A l'heure /situe/le, thapittal im,uiuusn reg...se de malades. Le begleciu-shef, devant l'Imposed- hilile de los loger tous a des.ain mx dirres rente régmiente deavoyer des Int On va en meire partent et l'hygiène prophylactique en re-rdmzertnLentu:Ctti'llr'arr:r:: eu're- cellegues de la garnies. A itcaiti - relut. sanitaire do: nette renteelll d'infan- terie lais* b.ucomp à denier. De nombreux soklats gord tnélallge de la rougeole. Quel- ques-u. dut La Sore typhoïde. i.e plemest ions** à faite Trois Sildelon son, desaides La sem nino der- nière. On erairff peur us vié do quelqu. an- tres. L'infirmerie et thiniesmal reg:ose.at de salades. T.s tes jours o. Stilnpte eut neepis ne :une quinte.* de mandes Par colnPagreie qui demandent a pisser la agite. get end eanitaim IllortS1 est du non seule- miot au froid rigoureux de janvier. Plaie aussi l'empilement des jeunes mem... Po bans la Grande iSuppreens stilluin iesmedisme d'Acaduuie, s-Or «Miro seulseu per soa unrdôoi, Stries vars quo la fréquenta/Len endlagre, sOU8 talluence de Mtelleiline Cannes *C.4 pire d'aimée en aimée, oc dus réselimmeta «Gongs buter he masS West pas le tarenemir. Isunams' t au hen cd rallier lus alatistiqus égrenée de redire commentaires 'ravals sur I: désertion dee érotes identroppenetraiseje pas ta kitts avec des armes, désuetns sis doute et para mal ébréchées. dont je disposer? P., quai uo sembattmrs-tio peu un fâcheux état Orgueil, qui gammensoe à se répande: el qui conduit Soit . découragement et a ria.- Bon? Pourquoi, ale Item, uïneto,sler le d'une toi minable, dant refifIcanité vaudra d'ailleurs ce grue vaudra le rilie qu'en mettra l'applimer, ne tirerais-je pas paroi de la loi de lem que n'tst lets abrogée ou dere- chant surtout qu'ai élastique â liebee qtas uituation CM mauvais ac 0e lleut ehengce el qu'en deit s'en rop.ur passivement au soin try rienedier sur d'atéalmices mesures tees- [salives. Pourvoi/ connue ont tait mm de- vanne., â e l'âge héroïque o, et l'héroïs- use s'impose aujourd'hui cemme Sise, nen_- lralsrertie-je pas à l'action nécessaire tom- nes, femmes dénote et mis de l'esile dont Pansue-prase souffre de voir les pro- grès ite instruetion enrayés paria memaise trequdataLlou de l'Etele La supp.Men n'a rian d'utrapiq*. De L'hypothèse, déjà queleime inspecteurs d'A- eadennise, Aprie d'initiative et de progrès, et qui seront, sa. nul itou., partout inn- tes, mat lait une vivante riffulité. Ils ont su veulnir. lis Out rommunique leur foi ratatine à dus sablait:erste:ms qui ont entendu atre joie la parole enthousiaste et sineére qui entraior, la voix du chef qui o oundlarneedaras (uvre senenune et qUi inspire médiane, Le résultat, ou le devine. Là oh P. a mie en pratigt. la parole de issu Stase S'avoir ne qu'on veut, vouloir ce qu'on sait e, là, MI, de dessein arrêtes l'en n'a eu qu'une .daition ,taire que ingiolo dense le maximum ne rendement qu'en iwt en droit den alles., lit ne succès a courue* /ef- fort st, une rapide et usndCrmrSote umnieration den produite. , L'os mourrait citer de nembreux exem- ples rnertee en relief los mesultals Muesuu dans Jean départements ou bien Mes l'a ar- rondissements par des lumeiness primaiires qui ont eu vaillance do ne pas d,'ore'pé- eue et de ne pas gon remettre à autrui de en sans .pouvahmi faire esix-luemes. . J'en signes doge qui sont typiques. L'un est rimmt. Ce* celui de lu Seine- Inférieure un dépliés 1909. Dotiseux, peoteur d'Académie, a su reconstituer len Sen comblas anannagdes Sen esemes ri I Phunente de baraquements de Cament. On a constaté Ime ce sente surtout rs Mu- nns gesse do mingt sua qui sont manded A TOURS Tours, 12 fererim, Indepeeddemment de La fievre typheide qui sévut dama La gamma de Tours, da noug.le, da fièvre scarlatine en La Imosehompnennionie olligest, /es servicm de sable â redoubler de vigilance. Mi signale roses nouveaux dé*, l'un an ace d'infanterie, le derolerrie au WS didensterie, le troisième au 5e suirassiers. Der.ua riblia.des sont en damer, mais dune figea sienroote *bat sanitaire tend à gansé- Le range. principal Vlleasin, médecin- chef da F.M. mixte smanme oh accable est êanhé snade et a du enditeer. A REIMS 02 février. Des nos do umillneleen de martes ont été °pistil:0s *es ia garnison de Reims. Inie cantaluo de malades seuit actuenemest en traitement à l'hôpital militaire. Le mener. primintél Salles du Se corps, procède à use inspection dame les casernes de ...ville. À LONGWY liongwy, IX février. Trois salins sent dee.* à l'hôpital mi- litaire dos sue** pneumonie et de grana- ifreprmuna makreer, in février. LIces sapeur+ 002e' genes atteins de El- ne infeetteme, sant dusedes à l'hôpital I- taire, EN ALGERIE .A/mer. 12 Lévrier lieu reines'. de Munvu soldérlie des con- tingente de lu Marlinique et de du Growiedou- pe rdenaineat arrivées Alger si* stuelle- ineng en maiteness à flieprial ils boy. Ms sud atteinte &affectio. piiimonoires La plupart suie* eté vesses as ter Muésm-é ees rigime alimentaire messin, et use Surapline bienveifiaa, 1. jeunes An- tints mn sembllast psie pouvoir rosirons au otnnut do l'Algique quis se montre heur sa assai inerecent que celui de he Provence. DANS.L'EST Nancy, 12 Miens. - Voloi hes rosegals de i'enridtte Mile dans les tristains. de Lunéville, Toul e Nancy, uu peint de vue sunitaire A Toul, on compte environ 800 mandes 250 sas de suslatine, 14 cas cd rougeole et 10 US de méningite sterehresspirian. Demura de ler janvier, Il y ares 40 déoui do soldats, ont 37 Msperlerount aux desa clisses ose- sils.* formées. Namy, 533 insistée ...en roulternint à Eliepital. Qu relève 70 eas rI, roues., m cas ita roarialies; en les. 150 bouses stenmis Sa addiaten eoutagi.m. Il y a eu 0 dettes depuis lem Inv... A Lunéville, es* es.. sue 125 malades ,A. ROUAGES Bourges, 12 fesser. . Deux noisesis décès se sont produits à theisiten militaue te. de deux soldats :tu 37e régiment dartillorie atteints de écailla- La Question Sociale et la Question algol° r la Défense de l'ErJole laïqu Hypothèse el Réalité cusaegesisins reotabuei, recoueir à l'aBleina- ge, Mead des roademuunins castre les 150503es rohesataomean à *let ' Dans rie 0.1., où 5us avait meulé de- puis 1835, pour ta tregsniation sectaire de 7,3 0/0, l'on a reconquis. .roce à 0m lutte patiente oisignée, mêle/iodle., un peu du ternins perdit eat. 1. a, roglime un gain de 2 0/0. 2 0/01 et la perte est soudas. enbare de 50 0/6. 2 0/0! L'on III *tintant, de qtmile einengie, de quelle ieentsechn de quelle aro** n'aelsit pas frdiu faire peendro, dams Pe reltielmeneut gênent pour que .les couros cese. dv deveser ***dente! Le min* est ingrat, le Misent iside 150 épidémies nombreuses. LWM, chme leu pl- tillages, tes Mante gardent le bétail Détail alanine* depuis dues ses Fes bergers aulnes, MAge séduire, ne sont plus Loués en Prame, remis I. petits Français vont gar- der las vaches on Suie*/ Delteil attrista. *erre ste qui jette un jour Srtleisus de les nueurs rurales. moisisMvit-elle? Rue est motill Pour éviter ta contamination de Mur bétail, des ments gardent lems enfante Ils sup- primant silos le cOataot avec les écoliers dont k.s dentilice ont leur daines misantes par le mat C'est du reste. la précaution landille. Le tecedlaem ramifiai ideet pan indemne el, more, une perte de temps, les demteurs regagne* peu à peu Piede. :Malgré drags** et obstacles, ad. Badiol, impeeteue d'Acadennie .après avoir exami- lte sous tennis Sas llaes le pirobinne de Priquentebtos scolaire. dont d dit /à n'y en a pas qui *porte demitage la i'zvenir do eirom desureeratie » drosse ,un .ploat de compagne et do peenratian aver les in/- gni:Mute pritresicse de itessagren. Peularelm, seuerimles-Damesenostbediand eu par adap- tation* li200ian ai milieu. Par mille Plloo. des adroits, par Putitisation de lors les moyens d'anion dant G diepidarts à la yealle et. b lu onmpagne, il .mmençait à faire re- doter le mai. - Il a MM aman pour vudgase.r Son des pâtées seamuslaux . bien, coin- tuuse à.plustiours brallgesua. ,Diam deux van- teas ces pltrnu ont rem. à Péta*, ina été sinG .fauts 11 a fait Se demandes poire *tenir la clôture dee pares car le bétail pan saris surveillance et, dace nembire In le.alites, surtout da,n le renies en Morteau, dee ,paros clitu.pes eut Mues du sud. star icia rsimeuas nue la ibeeeia,s initiale ne 6' '11105e pas li Ils montre da Mx de lis locetion nets. eu de parme elenues ree lendits -les etleevesbessess -à Nesle et s prier.sbage de freimeatattion skie, neve. M. Tacquatres. Sine ensure iimpactreue primaire de Fen- ian/ler, et que a ée, aveu M. Herbin de rian- inagninque si, rten/iodai et tientrada dem Sec défense scePaM 5e (Vissée, a TPU cons- tater que dans es airconserighlomt pâtres dmenamanmn et parex ringdé ont nes- tdate environ 580 enflent. rênes. .31. Baillot et sac ardents oolitaborateuts ont fait de lieur mireon pour douane km pus plus de vidaitecs depuis deux aus eux caisses d. *nes. Mais veuttson jogsr du recul Bir 1833 m eta comptait Z.15 bus le Esdas Il eau reste 61 en PME La question soolgre sa damant toujours derrière la pu..s sectaire, et ta mirore influait :fiar les Semées, 04, Budget s'est Mem/ aux omeness pour Menas des Saurs de imminentea aux bureaux rie bien- falmeme dont q:mlques-uts font de leurs secours me panne à Fa fréquentation, aux sisecianeas el comités de Perlromn., aux canitie. ast mupes s.isair., 511 iI chemh:e turrittplior tee pente pensionna* primaires et d pousse les famdiles à prés.* les en- tants au ceitilleat dénudes, et s'efforce de stisrauler les inearvirolds, de dévouements et tes &erg.- Cies, Mut rota que roprogento sue mo- de. bonitication de 2 0/0 à ta fréquenta- tien scolaire. Je me pennage de prope.r comme mo- dèle est example tees Srs*. mate tre pro- bant, de eobenoss dimipliage et d'initiative presesairve. dieux qui lest donné out bien mi*. de Ifieble. Edouard Petit, lerpecteur gêndeet de I' losirection publique ÉCHOS PROFESSIONS BIZARRS. Il y a t Chea nous M. Dupont, qui omm 5044 uoii à Meure, gron pas avec le derrière : avec ses dents; Mole MM, qui confectionnt en cinq Ma- i. effe-, sandwidiss; A Londres t M. Ct.*, qui vous éplische 14 kilos de peIrtne, de erse ea sept minutes Migre. Carvett lies femme, n'en seront pas très surpris.), qui peut acheter aIl boisante. q.tre minutes un objet ellifer.t dans tous les magasins de mode des principals mes de la ville ; AN-York t M. lionney, qui cuve mg Sui- ts. en six Minute, A tueries :lb. lindwier Weliing, qui tenue dis- MS sigoeelao deux heures, aloi boire ni era. cher ; A Rn:selles Ms toys Pennon qui den fume seuus seri ce dros heurmo et demie, sans le lais- ser settroude... Admirables rrocids Chacun noturrit con *ms Mais voici le dernier, qui fait plus que de nourrir le sien .. Le directeur de illamumuth Cirons vient d'en- gager un gaillard qui doit avaler, se publie et d'en coup, trois domaincidtmufs sen roblo <lem dounitee illsettls ales,-,, et sa petite times dbeir Oslo. Vont savez que je donne quesc représen- tations par jour, l'avertit 50 manager en signant son coMmt, 411 right ! Et sis k dimanche... Aton, répondit tranquillement l'artiste ovi- phage, comme je n'avrois plus te temps deffr à l'hôtel, je prierai sue, le nem.* on rue ses ne ici mine un lunch avant chaque représenta- non... C'est, b effet, que j'ai l'habitude de man- ger toujours quelque pitosn entre mes repas 1 LE PARC Aix lirlT000 a Petit marselds ami is décembre a On miens létégriakie de Ceeeindiridy.de 25 di/semble I« lieu it.oustatto. uftlinensu supons cent que le settun est rétabli. ien Systeme, etd. &Wei Du Mem, rie Br Sutter, gen te feuilleton * cdel llarouterolle, le Seeptrut d'or Une salve d'applaudissements s'engouffra duos su ouverte, s 500 e, sisal pesbediemest, somme tiee mrs- nue Du ministre de la Guerre allmund dans son célèbre discours au Reighstag (trad.:tort du Pe- tit Par.. du 5 deeembre) u Chacun sait que les affaires des recules re- posent entre les mains de lems' esprpieurs..... (Rires) e Il y avala en effet, de quoi,. De ?a Déplie. de Constantine du 31 1 bre, dots un artiste sels runelsene « Que c'est agréable ta neige! ate peSeulol la ..oforra:ds.a .3 d'e.aiisi,ieer *toqué: ;grise cl 55 et/5 mei r germanmanion et pive ta neture d'une bele Us ont Faim... En te napper Tanis lettres nous palmées/n.3 cle peles sablais dispensée pAr mv hasarde du recru- tement dans trois esquif:eus de Ermee fort eiolignÉes ke unes des mbar.. Dai Me dinfanterie, ma garnison à Gala- eanp; di Me, aBeigreals, dia 1715 an/dual. Toutes les noie elimnit 7a morne ehose offieme pries ds sel° peur le nin-etalo mo- ral du soldat; camarades affectueux et rie esiiisismat nlaiu I. odieuses ibrinuid. d'au. .lecieds, mais_ es ebi ne sn.ge pue à sa tem ». Deja les mations Se pla.gnagent de ';inpull- fisance te, relie.. Des. que la insisienne Chimie en arrivée, is st. ...a pies, pa- rait-E. Le joirne solda/ &Spinel, Mets une lettre à sen ism.11s. grienem la sin/lotisi dees site phrse pittoneem-,05 nulle navrante Ici, on aines, sus bey. de vdie soumet on sort de /able. es Comme net gué* probable CIO, Guin- gamp, bipiselrt BeativIlle beionl deo ganté- es/as spisuill...opmettles où Pen envoie seule- ment les marins bouteniques du contingeet, ii y a mis ài.,artur que la shug, se passe de MUlun Ms la pleinult die Kge»ar,te nieue tigettkine le fait au ministre de la Cisme. ars soldats mal nourri, mut la proie Mima& de teelesl tes Mâle/nies. Ill ta Fridoce set mine. :belle /mur mutine Cens à pst elle deentnatein de le detfaroire, VENDAEDtIS PEVall% ISM Amendes Amères L'ednunistralien isa angeva pas sen dan& dee â La mère-patrie simien/mg, Ire roleniee Setainatésdat amen .8 Papou& pleasentes. de sus aetln lobs crotte le pet* fait sui- vant t et Dersieremest, â Haaphoug, la poste pré- sentas: à un *nada nombre de, masenematt. dee avis &Salivées 0e usrabandses met g* et ibn.* leu defisataarou à ler payer sues surtaxe dell fr. 1+1 demi tienne es/monde cc dix centenee pour iiesalillnnseu dcalliessedels- nient Le mot de rebignie fut Dientelt mimu Un agent annartete, qui simmit pour o Clef Ou gare net qui ignerait lea amines dispoet- nems de ta loi du 8 avral Peng relative ans affranchissements avant nus u,n, timbre di cinq centimes au les &Dl de dix me les avis d'arrivée. Les amendée s'exeat qu'ire ressource, os fut de demander Ir la Compagnie des shed I mi. de fer do l'InciceChino ea du Yunnan to 1 rembourser.,nt des sor.sro par ladministration des postes. Et, ils enfers Muas les palétuvier/S. Chambre 55111505..Paris 42 1500,,. 1,5 sêruce est orne. à O mores urée/ses, sous la prés/done de al. Drim, devant quatre députés pnd ose Le B4dcet de 19 14 Sa. débat et mi 1 5 50 ffdiquettx,s, les qu tirs qui spar a adoptent.. p de cipaye 1 budgetsO la Catme Mapargse, de la Légion dimeneur ot de llImprinterio national, guebpies uosiveaus députes arrivent; fia pro- testent coutre le travail parlementel. qui a né faii sans eux. . D'ai:tett., la dieuesion est more' ni im- posé/lie, les. depeble Mont pas lu les rapports, distribués seulement bite, Au milieu des proteste:tom et rie tir., en reserve le elaspine Pi de Eltripetium, utettes«. en attendant a pouvoir disantes le budget 'de la marite. LA 'MARINE Aproa une saune nIe', eaus uno entame le budget dr la mande; bleu entendu, il n'y n pua de brou.. iniesale. Sur Ir chapitre premier, rinirsi ives sapas des consineridiene sur le program. navel. Un 1912 qu'il considère .nerre nu prier gram* intrilinum au rtsard de celui qu'irtidr esse il rj5IAL%'resr'enee% que sire voisine, Mus in p4- riuds len0-1Plff, a &pensé pour sa nuées 522 5' d ecd 3.7eil, mot UraMind Mame, nana eqiiis nerne rr- riode, l'Allemagne ouancensair punr 1.100SIIIP tonnes, a nous pente sPi.icte !mune sentgaentud ta raison de se. diriges, c'est rAtiffl. gne, toulobes dais este neriodo neerons... te frelueli e.5.211f,PLWO fp 3 ces effesteutelors nedu ves; la /Uranes nI lune regs-van sor. bigles miens part de 1.6S6.0POPOO. 1.a mrolitut. S lier de ses ea,n,eo eest gni 01, misses mal I. mess de nos budget. de ia manse il y sus dai i,'o dépenses 50e, 5r AParmerneed et sis sep.. semest- ees. et litsUensauce dans les u,révision? pour le M. Pain*, ce. dee ereptiliéps desiffution finareitte, de st emeiese navnt cumin la esce. sur seine opinées ensuite /es ires-ive:g:mons de la ma rine iritet ils I eulevemmt dee batteries d.o 1 Ft dr, trulherem It dit ippq ptet trent puu ei une lipc apnertide, stI dé- ompiessieem iie I pis/ternit supsier 05tes,/ mei emprises d-sue Po. ennemie. 1, se Langres, intervient: ranci. résista, ,u es:Pie aq qd: lis mage... de 151P es tuesiféérnent insuftlemi. letrattur presse/ro ta erellion de nstivena défense Mem Rogruifort n'as sure pmer ed /IF i un rein tels Importas/ dans l0 eferno de IrStlannipie. Aprêa une °cuite itésrventlon de M.' Dasteleu sur cette marne question de Re/peme e. la entée et remise S re tapMsgeblt 9 heures et demie, La séance est levée à midi 10. Sdh,ete ris eseetim1-411 b. eance es ouverte ô 1 hes. 30, sous prosidence de M. Angaimeur. La (lisambre ados. le prejét de toi tendant réduire S cinq année,. l'effet des oppositicns pas. tiquées entre ms mens dus con:staffes des 16- partsuents, tylellt.lu et autres et.testements palniies 1ns 'couvi-mies cmcassnairriags na LION Pan elle aborde la dissession du projet ten- dant it diviser la ville de Lyon e dosse ...tons. Lb/ab-once est adisele. M. Pleury-Isavarin embat le projet, qui ter/ austereler ios represoments de /a ville a condel Sunset et an cens. d arrondisse/must, s d , feury-Rat,drie. --- Que don soit 10 55 ta vraie raison du projet est .4...sot une raison électorale ; il tend s modider 0maffia- sitiou du conseil .geeiral élkie est aalmmffbul epinious de divers. nuances, :/dembr.ps2/ ratticaux.aieeltstm, 13 Isrolansul d. Jeux urbien mal les arr... la- ...- bon. twineva, depose une motion tendant b Va jounuoinost du projet ot Mn retsvol g la cent, mignon compélente. L/adotienement est in aux voix, mais a dom ces ser, us pelsoivesl mégi. /es tatp Par ani suis contre 18,6, redounementOei pousse et tee dtvens articles de laIl e sam aube débat. LA MARIVE -La Chambre reprend alors la discussion budget de la msene. 51, lia.es proteste sante la non opigmtlem Cm la promesse faite es /MO de rdeven d truite ment des coneuiei de racidnistration iseutege, miniese a ensuite ta parole, M. hésite. Le gain.: berlsget eba endiMinus Pua de 30 petiote sur te p.ordent 'ta série ammidable dont llaseitel MartutnuP 55 librig.sf ne iman SA Soue faut Mmes notre marine t.t e griOt ui tant et elon as plus. progrectme tagal sera sairsein Osas lu. terruption et sens aunes modiftimebt. que selles qui ont Veil a M litons dos ITU sina it ressemé de itogernsr. *en priemb ils lui don ner de Fa besogne. 51. MeuWe. Loi .misseresesi essils5 hou dee muesatactes et turgetenrs 7 le wita que set ers. mat nette donner satisfaire,. pu, /a execiestnen des rôtitm unités. je ne n.quireat pas én O ssu g,serat ; gisent 1011101 qul touche h in diten* Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_02_13.… · soulager sis peu les hôpitaux surpeu-plés, oit la municipalité socialiste fait test

ADMINISTRATION& RÉDACTION

38, Rne RoquelaineTotlhOUSE

MIt.iintmuembig-331 0,1.5

billon Ri-melteangstues, soeurs

errebutuunomatermies,anansets.cometarscilarretts

teredemeambeffe,ossestumbustersermetariera.

asteurestirmlies,sanners emutesp-emeouses

aune, saule,sena namensones.,

sapinette A/mn. Et. tESI

L'EFEET.TVEtinantinge punas es nutiji tartine suivant

d. aune camarade dam Ja.rêaToutous. jeudi soir.

Lee jeUralaUX, en citant les décès qui,s produisent en quelques centres degarnison particulièrement éprouves, nedonnent qu'une idée terre imoomplètede mal qui sévit sur nos jeunes sol-das AU/si je constate que la presseparisienne n'a rien dit de la région tou-lousaine. Or, j'apprends, en venant ici,quo les régiments sont très cruellementaffectés. A Toulouse même, /a propor-tion des malades, retenus dans les hô-pitaux et iniirrneries ou en congé, esténormes Si une crise extérieure se pro-duisait à cette heure, un huitièMe aumoins dg, hommes some absolumentindisponible. L'autorité militaire cher-che en hâte de nouveaux abris poursoulager sis peu les hôpitaux surpeu-plés, oit la municipalité socialiste faittest ce qu'elle peut en fournissant, pourIii soin des malades, tacs locaux supplé-mentaires. Mais tout cela, forcément,est impravise.

D'ailleurs la vie des régiments est de-venue très diffioile. Toutes les sallesentrafois consacrées à la ré.creationà l'éducation des hommes, sont trans-formées en chambrées et, malgré noie,les chambrées sont trop étroites et lacontamination réciproque des soldatsentasséS excisa de cruels ravages. Jesiens d'apprendre que les coure aux ils.lett& sont faits dans le réfectoirequ'ou ne peut ni nettoyer ni aérer, et quiest durs un état déplorable. Tout a étéme991/ffé, ai l'on peut employer ce mot,pour engendrer à la fois la maladie etJe dkgoût t et les statistiques des décrisou de la nnorledités, si navrantes et in-quiétantes qu'elles soient, ne donnentqu'une faible idée du désordre immensedu découragement croissant et de l'af-faiblissoment de tous les ressorts d'an-tien. Les ,hommes qui ont bâclé la loide truie ans et qui, pour en masquerest pays los premiers effets, ont 0011V0-

esibinits de vingt ans, ont uneresponsabilité terrible. Avant peu, la

once les maudira comme les famillesnaudisyients

e tieaio ce matin, dans un grand}ourztai du Midi, une interview d'un

',dei:in-major. 11 dit qulil ne faut rienexagérer, mais il renonnatt que le nom-, des malades est bien supérieur à la

moyenne des années préoldentes. Et ilemstate que les hommes de vingt ansn'opposent pas une résistance suffisan-te. Ils paraissaient, dit-il, aussi dévelop-pés quo Les autres : niais il faut croireigue leur énergie physiologique étaitMoindre. Statiquement, ils étaient bonspour le service. Dynamiquement, ilsétaient moins bons.

le malheur est que ces jeunes hom-mes, après avoir été incorporée sten-queutent, moment dynamiquement

Et voilà, je le répète, ce qu'on cons-tate dans une région dont ne parlentai les journaux de Paria, ni les agences.Par quel artifice de statistique le mi-sistere essaiera-t-il aujourd'hui de dis-*Meer la gravité du nul?

Jean TAURES.

OPINIONS

La Bourpoisie allemande

et la Crise actuellel'ai entendu dire, à maintes reprises,

depuis quelques semaines pourquoi lesocialisme allemand, qui est fuel de 110réputés au Reichstag, de 9990,000 coti-sants et de 4.250,000 suffrages, n'a-t-il

pratibeé. cies circonstances actuelles:incidente etc Saverne, jugements deStrasbourg, mécontentement de l'oui-sion, antagonisme -du Nord et du Sud,taveil du particularisme bavarois, pourdonner assaut au pouvoir ? Beaucoupde gens, qui sont curiservateuns chezRe* sont révolutionnaires pour l'Aile-'dague, et je gage de même qu'en Allesbagne beaucoup .die conservateurs sontvolutionnairee pour la France.

Il eût paru très -naturel à la grande et*lxi Moyenne bourgeoisie française,

,qui repoussent l'impôt sur le revenu etirrepét sur le capital et l'impût sur les

Simeessions que le prolétariat germa-nique se dressât pour provoqu r une>vision de la constitution politique.lienO leur pensée, ce prolétariat s'estdiminué, et a ruiné son prestige, parcequ'il n'a pas répondu, par le ooaleve-'eut ois aux excès de la solda-

llesque prussienne en Alsace et aux eX-Peinas juridiques un peu bizarres appor-tés devant le Reichstag per M. de Seth-, A coup sûr, le colonelReutterO lieutenant de Forstner sont d,e bien

les, sires, et qui eussent fait saillan-rfmure chu rioni à calte des Lespinas-e et

des.:siint-Arilaud du 2 décembre,encore des de Pellieux et autres hé-

- 0e 1858. A coup sûr il n'est pas Or-'*ai-!'v de voir tout ,u un tribune aistée.ra que/fp/en Lieutenants te. frais..0131oUlifs cl miles où on leur 'il ellSeigné.urtout le mépris dal isvi les Alsa-

nains, ai rn.û.he lu & Allemand&

dotas de quelque inteltectuanits, 111monde (j'entends per là tous Peux quipensent dans le monde), n'ont mar-chandé l'expesseion de leurs senti-ments à ces arrogants représentants dumilitarisme, et l'on eût compris que lesmeetings fussent plus nombreux Outre-Rhin, et que les manifestations de larue ne fussent pas épargnées à l'empe-reur et à ses serviteurs. A coup sûr en-core, le fameux ordre de cabinet de1820, qui donne plein pouvoir aux au-torités militaires, et qui fait table rusedes autorités civiles, est un documentbien singulier et qui illustre tout un ré-gime. Mais je me demande si dans leurpropre histoire, nos conservateurs Iranfais ne retrouveraient pas des événe-ments analogues à ceux qui viennentde se dérouler-en Alsace. Il y a eu jadisla fusillade de Fourmies, et celle de Li-moges plus récente et pour ne citerque celles-le qui égalaient peut-être engravité emptomatique las changea or-donnée,s par les officiers cin roi de Pries-su dans la petite ville vosgienne.

Il reste que les social-démocratesd'Allemagne, IlnUs dif.-011, n'ont mar-que qu'un mince empressement à en-trer en ligne. Gela n'est pas tout à faitexact rien plus. Le député réformisteFrank elle députe révolutionnaireon moins réformiste Ledebour, dansla séance du Reichstag du 23 janvier,ont tenu des propos qui leur forai han-tueur et qui honorent à la fois la socialdémocratie germanique, Leurs attaquesau mince impérial ne p.seront pasiaapercues, même si nos grands jour-naux du soir veulent sy,steraatiq.mentles taire.

Des discours ne sont pas des actes...soit. Mais ils préparent parfois les ac-tes. et pour répondre point par peintaux détracteurs du soeialisme alle-mand, à ceux qui le calomnient millito-diquernent, .pour atteindre dit Môn*

-coup le socialisme français, je vaisétabli> que la bourgeoisie allemanded'esprit moins hoisM snont que lanôtre, est la plus pusillanime dir inox-do, et que le social démocratie. le jour011 -elle se mettra en branle, ne sepourra oontenter des mesquines réfor-mes politiques qu'on lui suese,

Dans tous les pave européens et mê-me en Russie, 1 installation plus oumoins précaire, plus ou moins franchedu régime constittitionml ou parlementaire a été l'oeuvre de la bourgeoisie.

émit d'ailleum, la seule classequi pût Tellement profiter de l'avè-nement de ce mécanisme gouver-nemental. Le Tiers-Etat allemand,quelques velléités libérales qu'il ait

!narguées parfois, ,s'est toujours repliésur lui-même, lorsque le pouvoir mo-narchique luta enjoint de reculer.

La Constitution de 1887, étendue en1871 à l'Empire, a ébé ainenagise parBismarak non peint en Vertu de Cale°épilons idéales, auxquelles il était M-N-patrie -de so hausser, mais Unique-ment pour préparer la grandeur prus-sienne.

La proclamation du suffrage univer-sel, nom le savons par ses propres di-res, visait en toM et pour tout à noyerles particularismes bavarois, saxon,wurtenbergsris, dans un grand *ti-rant national En ces derniers temps,las bourgeois d'outre-Rhin libéraux,nationaux-libéraux, catholiques, ontfait chorus avec leu socialistes, mettele pouvoir absolu, mais leurs clameursont épuisé leurs forces, -et dits quochancelier ne sonné le callimuent miradéfenseurs de l'ordre, de l'armée el d0la propriété, M. Ferenbach. dvi Gentrsc,et M, Rassermann, le chef des natio-naux-libéraux, se sont précipités à sonseamrs. Tom trois se sont reconoiliesdans lieur haine d'ailleurs très logiquedu socialisme. Et ainsi s'est jouée lacomédie. Comment vouslez-vous qu'unebourgeoisie, allemande eu fiançais.,houelie aux prérogatives de l'armée ?La mort récente de Picquart et de Pres-seuse me fait songer aux conseils deguerre. Cies tribunaux d'exception, donton annonçait la disparition il y a quin-ze ans, sont plus solides que jamais.

La social démocratie. le jour on ellefera sa révolution, rie saurait se cen-tenter d'imposer an régime qui rédui-rait les pouvoirs impériaux etrail la responsabilité ministérielle. Ce-la était bon en -1830 ou encore an 1873.Aujourd'hui, le suciallsisc a d'autre.-itepirations. Quatre milliereer d'hoirdnesne peuvent se soulever nous un ObjeC-tif aussi pauvre de consequences, quel-que intére.sant qu'il soit d'ailleurs.

Sa résolution, loisqulelle l'accompli-ra et ce n'est pas aux conservateursfrançais à lui en dicter l'heure, seraautrement profonde que ceux-ci le sou-haiteraient peut-être.

Le système parlementaire vaut mieuxnertes que l'alsolubsine, loris il ne fi-gure pas l'idéal du sonal... Si labourgeoisie allemande avait combattupour l'organiser, elle eût trouvé le con-cours de la social démocratie; maismenine elle s'est mise, contre celle-ci,au seri:deo de l'absolutisme, nos amisd'outre-Rhin feront do préférence, etus jour qu'ils s'assigneront, la besogneque leur oornmandin.st leurs principes.Ils ne se borneront pas à cÀaanger le ti-tre du chancelier, h modifier le régie-ment du Reichstag et à réduire la jac-tance des hobereaux casqués. Ils nepeuvent envisager leur propre rôle dumême mil que les lecteurs du Temps.

PAUL LOUIS.

DES DÉCÈS PARTOUTPLALDOYER DU GOUVERNEMENT

Le gouvernement plaide caserne s'il était

M. Mes.* fait remarquer me S n'y aque Se salmis.on effeetées star 3E17 e :Aluns IIne s'effraie: pire do ne chistfro?

Il, fait remarquer que la moyenne dee Ma-lades vert /aérienne à oelde de las Pas. si.Tout despesest dm époques choisies. Da Fire-/Mem quesar. da °rote almée a ne, en et-

' fel, exceptionnellement berme. Dt unx tiersOse bon.. «aient de plus as promiroetern.

Rail, *us,fixonsier s, dama le Tempe nle service de mute sien pr.d: aux « pernus-siens », airo. vacante» ...Les soldats ont rodaporte le mat de chus eux, une *DIM./id. duJour do l'An. Alors la bronehmounumeniela ingninglte cételardminele cm maladiesty.piques 0m raseemillemetite essifitairro,viennent de la .popuLostim.

Ce sent des sernettest assez bonnes ire. Lepeuple, pensent ses mmieers de la HauteAdministration

Mais ils ne nous donneront pas le change.M. le dirceleur Treuseeint est, après MAI.

Etienne et Berthee, le respOnsegite, le somp-tabte de oes merls, de evo malmides, de cesépidémie. de Astre qui estraisoo du plus grand nombre de sultlatsconporésu -

Et ha Seetion Techniqm du Service deSanté a beau maquiller tes ehiffres. Diten'oehappora pas as .poids de Ses romeastesfautes.

LIMOGESLimoges, 1,2 février.

La nombre. des militaires de boanes armesde la garnis. de Limmes actueilenderttraiter... à l'hébital, sb2esve aujuuroldwirchiffre de 160. La tdotais des .maskeles ap-partiennent au 78e d'itifaro.see et so. at-teints de rouget*. fene Spidernalr sévit de-puis quelques »ut, à La caserne de la Visi-tation.

En dises dont la cste. est Secours. a étéconstaté hidi -r-h<spi-tàt.

Le Toi/daine do feutre *ritfiépiefisinie de rougeole cprl servit eu nie d'un-

tintent poursuit em ravages dam ne engoueset menamo de détend. dans leu inee. cessonds.

Qeeiqueseio de rosebraspinais se mot so-dé* cm malus derniers au bataillon de chas-seurs cycliste., mais ou n'en a .pas annale denouveaux.. Toutefois, dani es régiment eva.aA 1,3 moment ou eigniele pl.icurs cas de die-tee.'

A l'heure /situe/le, thapittal im,uiuusn reg...sede malades. Le begleciu-shef, devant l'Imposed-hilile de los loger tous a des.ain mx dirresrente régmiente deavoyer des Int On va enmeire partent et l'hygiène prophylactique en

re-rdmzertnLentu:Ctti'llr'arr:r:: eu're-cellegues de la garnies.

A itcaiti -

relut. sanitaire do: nette renteelll d'infan-terie lais* b.ucomp à denier. De nombreuxsoklats gord tnélallge de la rougeole. Quel-ques-u. dut La Sore typhoïde. i.e plemestions** à faite

Trois Sildelon son, desaides La semnino der-nière. On erairff peur us vié do quelqu. an-tres. L'infirmerie et thiniesmal reg:ose.at desalades. T.s tes jours o. Stilnpte eut neepisne :une quinte.* de mandes Par colnPagreiequi demandent a pisser la agite.

get end eanitaim IllortS1 est du non seule-miot au froid rigoureux de janvier. Plaieaussi l'empilement des jeunes mem...

Po

bans la Grande

iSuppreens stilluin iesmedisme d'Acaduuie,s-Or «Miro seulseu per soa unrdôoi, Stries

vars quo la fréquenta/Len endlagre, sOU8talluence de Mtelleiline Cannes *C.4 pire

d'aimée en aimée, oc dus réselimmeta «Gongsbuter he masS West pas le tarenemir. Isunams't

au hen cd rallier lus alatistiqus égrenéede redire commentaires 'ravals sur I:désertion dee érotes identroppenetraiseje pasta kitts avec des armes, désuetns sis douteet para mal ébréchées. dont je disposer? P.,quai uo sembattmrs-tio peu un fâcheux étatOrgueil, qui gammensoe à se répande: el quiconduit Soit . découragement et a ria.-Bon? Pourquoi, ale Item, uïneto,sler led'une toi minable, dant refifIcanité vaudrad'ailleurs ce grue vaudra le rilie qu'en mettra

l'applimer, ne tirerais-je pas paroi de laloi de lem que n'tst lets abrogée ou dere-chant surtout qu'ai élastique â liebee qtasuituation CM mauvais ac 0e lleut ehengce elqu'en deit s'en rop.ur passivement au sointry rienedier sur d'atéalmices mesures tees-[salives. Pourvoi/ connue ont tait mm de-vanne., â e l'âge héroïque o, et l'héroïs-use s'impose aujourd'hui cemme Sise, nen_-lralsrertie-je pas à l'action nécessaire tom-nes, femmes dénote et mis de l'esiledont Pansue-prase souffre de voir les pro-grès ite instruetion enrayés paria memaisetrequdataLlou de l'Etele

La supp.Men n'a rian d'utrapiq*. DeL'hypothèse, déjà queleime inspecteurs d'A-eadennise, Aprie d'initiative et de progrès,et qui seront, sa. nul itou., partout inn-tes, mat lait une vivante riffulité.

Ils ont su veulnir. lis Out rommuniqueleur foi ratatine à dus sablait:erste:ms qui ontentendu atre joie la parole enthousiaste etsineére qui entraior, la voix du chef quio oundlarneedaras (uvre senenune et qUiinspire médiane,

Le résultat, ou le devine. Là oh P. amie en pratigt. la parole de issu Stase

S'avoir ne qu'on veut, vouloir ce qu'onsait e, là, MI, de dessein arrêtes l'en n'a euqu'une .daition ,taire que ingiolo dense lemaximum ne rendement qu'en iwt en droitden alles., lit ne succès a courue* /ef-fort st, une rapide et usndCrmrSote umnierationden produite. ,

L'os mourrait citer de nembreux exem-ples rnertee en relief los mesultals Muesuudans Jean départements ou bien Mes l'a ar-rondissements par des lumeiness primaiiresqui ont eu vaillance do ne pas d,'ore'pé-eue et de ne pas gon remettre à autrui deen sans .pouvahmi faire esix-luemes. .

J'en signes doge qui sont typiques.L'un est rimmt. Ce* celui de lu Seine-

Inférieure un dépliés 1909. Dotiseux,peoteur d'Académie, a su reconstituer len

Sen comblas anannagdes Sen esemes ri IPhunente de baraquements de Cament.

On a constaté Ime ce sente surtout rs Mu-nns gesse do mingt sua qui sont manded

A TOURSTours, 12 fererim,

Indepeeddemment de La fievre typheide quisévut dama La gamma de Tours, da noug.le,da fièvre scarlatine en La Imosehompnennionieolligest, /es servicm de sable â redoubler devigilance. Mi signale roses nouveaux dé*,l'un an ace d'infanterie, le derolerrie au WSdidensterie, le troisième au 5e suirassiers.Der.ua riblia.des sont en damer, mais dunefigea sienroote *bat sanitaire tend à gansé-

Le range. principal Vlleasin, médecin-chef da F.M. mixte smanme oh accableest êanhé snade et a du enditeer.

A REIMS02 février.

Des nos do umillneleen de martes ont été°pistil:0s *es ia garnison de Reims. Iniecantaluo de malades seuit actuenemest entraitement à l'hôpital militaire.

Le mener. primintél Salles du Se corps,procède à use inspection dame les casernesde ...ville.

À LONGWYliongwy, IX février.

Trois salins sent dee.* à l'hôpital mi-litaire dos sue** pneumonie et de grana-

ifreprmunamakreer, in février.

LIces sapeur+ 002e' genes atteins de El-ne infeetteme, sant dusedes à l'hôpital I-taire,

EN ALGERIE.A/mer. 12 Lévrier

lieu reines'. de Munvu soldérlie des con-tingente de lu Marlinique et de du Growiedou-pe rdenaineat arrivées Alger si* stuelle-ineng en maiteness à flieprial ils boy. Mssud atteinte &affectio. piiimonoires

La plupart suie* eté vesses as terMuésm-é ees rigime alimentaire messin, et

use Surapline bienveifiaa, 1. jeunes An-tints mn sembllast psie pouvoir rosirons auotnnut do l'Algique quis se montre heur saassai inerecent que celui de he Provence.

DANS.L'ESTNancy, 12 Miens. -

Voloi hes rosegals de i'enridtte Mile dansles tristains. de Lunéville, Toul e Nancy,uu peint de vue sunitaire

A Toul, on compte environ 800 mandes250 sas de suslatine, 14 cas cd rougeole et10 US de méningite sterehresspirian. Demura

de ler janvier, Il y ares 40 déoui do soldats,ont 37 Msperlerount aux desa clisses ose-

sils.* formées.Namy, 533 insistée ...en roulternint à

Eliepital. Qu relève 70 eas rI, roues., m casita roarialies; en les. 150 bouses stenmisSa addiaten eoutagi.m. Il y a eu 0 dettesdepuis lem Inv...

A Lunéville, es* es.. sue 125 malades,A. ROUAGES

Bourges, 12 fesser.. Deux noisesis décès se sont produits àtheisiten militaue te. de deux soldats :tu37e régiment dartillorie atteints de écailla-

La Question Sociale et la Question algol°

r la Défense de l'ErJole laïqu

Hypothèse el Réalitécusaegesisins reotabuei, recoueir à l'aBleina-ge, Mead des roademuunins castre les150503es rohesataomean à *let' Dans rie 0.1., où 5us avait meulé de-puis 1835, pour ta tregsniation sectaire de7,3 0/0, l'on a reconquis. .roce à 0m luttepatiente oisignée, mêle/iodle., un peu duternins perdit eat. 1. a, roglime un gain de2 0/0.

2 0/01 et la perte estsoudas.

enbare de 50 0/6.2 0/0! L'onIII *tintant, de qtmile einengie, de quelle

ieentsechn de quelle aro** n'aelsit pasfrdiu faire peendro, dams Pe reltielmeneutgênent pour que .les couros cese. dv deveser***dente!

Le min* est ingrat, le Misent iside 150épidémies nombreuses. LWM, chme leu pl-tillages, tes Mante gardent le bétail Détailalanine* depuis dues ses Fes bergersaulnes, MAge séduire, ne sont plus Louésen Prame, remis I. petits Français vont gar-der las vaches on Suie*/

Delteil attrista. *erre ste qui jette unjour Srtleisus de les nueurs rurales.moisisMvit-elle? Rue est motillPour éviter ta contamination de Mur bétail,des ments gardent lems enfante Ils sup-primant silos le cOataot avec les écoliersdont k.s dentilice ont leur daines misantespar le mat

C'est du reste. la précaution landille. Letecedlaem ramifiai ideet pan indemne el,more, une perte de temps, les demteursregagne* peu à peu Piede.

:Malgré drags** et obstacles, ad. Badiol,impeeteue d'Acadennie .après avoir exami-lte sous tennis Sas llaes le pirobinne dePriquentebtos scolaire. dont d dit /à n'yen a pas qui *porte demitage la i'zvenirdo eirom desureeratie » drosse ,un .ploat decompagne et do peenratian aver les in/-gni:Mute pritresicse de itessagren. Peularelm,

seuerimles-Damesenostbediand eu par adap-tation* li200ian ai milieu. Par mille Plloo.des adroits, par Putitisation de lors lesmoyens d'anion dant G diepidarts à la yealleet. b lu onmpagne, il .mmençait à faire re-doter le mai.- Il a MM aman pour vudgase.r

Son des pâtées seamuslaux . bien, coin-tuuse à.plustiours brallgesua. ,Diam deux van-teas ces pltrnu ont rem. à Péta*, ina étésinG .fauts

11 a fait Se demandes poire *tenir laclôture dee pares car le bétail pan sarissurveillance et, dace nembire In le.alites,surtout da,n le renies en Morteau, dee ,parosclitu.pes eut Mues du sud. star iciarsimeuas nue la ibeeeia,s initiale ne 6' '11105epas li Ils montre da Mx de lis locetion

nets. eu de parme elenues ree lendits -lesetleevesbessess -à Nesle et s prier.sbagede freimeatattion skie, neve. M. Tacquatres.Sine ensure iimpactreue primaire de Fen-ian/ler, et que a ée, aveu M. Herbin de rian-

inagninque si, rten/iodai et tientrada demSec défense scePaM 5e (Vissée, a TPU cons-tater que dans es airconserighlomt pâtresdmenamanmn et parex ringdé ont nes-tdate environ 580 enflent. rênes.

.31. Baillot et sac ardents oolitaborateutsont fait de lieur mireon pour douane km pusplus de vidaitecs depuis deux aus eux caissesd. *nes. Mais veuttson jogsr du reculBir 1833 m eta comptait Z.15 bus le EsdasIl eau reste 61 en PME

La question soolgre sa damant toujoursderrière la pu..s sectaire, et ta miroreinfluait :fiar les Semées, 04, Budget s'estMem/ aux omeness pour Menas desSaurs de imminentea aux bureaux rie bien-falmeme dont q:mlques-uts font de leurssecours me panne à Fa fréquentation, auxsisecianeas el comités de Perlromn., auxcanitie. ast mupes s.isair., 511 iI chemh:e

turrittplior tee pente pensionna* primaireset d pousse les famdiles à prés.* les en-tants au ceitilleat dénudes, et s'efforcede stisrauler les inearvirolds, de dévouementset tes &erg.-

Cies, Mut rota que roprogento sue mo-de. bonitication de 2 0/0 à ta fréquenta-tien scolaire.

Je me pennage de prope.r comme mo-dèle est example tees Srs*. mate tre pro-bant, de eobenoss dimipliage et d'initiativepresesairve. dieux qui lest donné out bienmi*. de Ifieble.

Edouard Petit,lerpecteur gêndeet de I' losirection publique

ÉCHOSPROFESSIONS BIZARRS.

Il y a tChea nous M. Dupont, qui omm 5044 uoii à

Meure, gron pas avec le derrière : avec sesdents; Mole MM, qui confectionnt en cinq Ma-i. effe-, sandwidiss;

A Londres t M. Ct.*, qui vous éplische14 kilos de peIrtne, de erse ea sept minutesMigre. Carvett lies femme, n'en seront pastrès surpris.), qui peut acheter aIl boisante.q.tre minutes un objet ellifer.t dans tous lesmagasins de mode des principals mes de laville ;

AN-York t M. lionney, qui cuve mg Sui-ts. en six Minute,

A tueries :lb. lindwier Weliing, qui tenue dis-MS sigoeelao deux heures, aloi boire ni era.cher ;

A Rn:selles Ms toys Pennon qui den fumeseuus seri ce dros heurmo et demie, sans le lais-ser settroude...

Admirables rrocids Chacun noturrit con *ms

Mais voici le dernier, qui fait plus que denourrir le sien ..

Le directeur de illamumuth Cirons vient d'en-gager un gaillard qui doit avaler, se publie etd'en coup, trois domaincidtmufs sen roblo <lemdounitee illsettls ales,-,, et sa petite timesdbeir Oslo.

Vont savez que je donne quesc représen-tations par jour, l'avertit 50 manager en signantson coMmt,

411 right !Et sis k dimanche...Aton, répondit tranquillement l'artiste ovi-

phage, comme je n'avrois plus te temps deffrà l'hôtel, je prierai sue, le nem.* on rue sesne ici mine un lunch avant chaque représenta-non... C'est, b effet, que j'ai l'habitude de man-ger toujours quelque pitosn entre mes repas 1

LE PARC Aix lirlT000a Petit marselds ami is décembre

a On miens létégriakie de Ceeeindiridy.de 25di/semble I« lieu it.oustatto. uftlinensu suponscent que le settun est rétabli.

ien Systeme, etd. &Wei

Du Mem, rie Br Sutter, gen te feuilleton *cdel llarouterolle, le Seeptrut d'or

Une salve d'applaudissements s'engouffraduos su ouverte, s

500 e, sisal pesbediemest, somme tiee mrs-nue

Du ministre de la Guerre allmund dans soncélèbre discours au Reighstag (trad.:tort du Pe-tit Par.. du 5 deeembre)

u Chacun sait que les affaires des recules re-posent entre les mains de lems' esprpieurs.....(Rires) e

Il y avala en effet, de quoi,.

De ?a Déplie. de Constantine du 31 1 bre,dots un artiste sels runelsene

« Que c'est agréable ta neige! ate peSeulol la..oforra:ds.a .3 d'e.aiisi,ieer *toqué: ;grise

cl 55 et/5 mei rgermanmanion et pive ta neture d'une bele

Us ont Faim...En te napperTanis lettres nous palmées/n.3 cle peles

sablais dispensée pAr mv hasarde du recru-tement dans trois esquif:eus de Ermee forteiolignÉes ke unes des mbar..

Dai Me dinfanterie, ma garnison à Gala-eanp; di Me, aBeigreals, dia 1715 an/dual.

Toutes les noie elimnit 7a morne ehoseoffieme pries ds sel° peur le nin-etalo mo-ral du soldat; camarades affectueux et rieesiiisismat nlaiu I. odieuses ibrinuid. d'au..lecieds, mais_ es ebi ne sn.ge pue à satem ».

Deja les mations Se pla.gnagent de ';inpull-fisance te, relie.. Des. que la insisienneChimie en arrivée, is st. ...a pies, pa-rait-E.

Le joirne solda/ &Spinel, Mets une lettreà sen ism.11s. grienem la sin/lotisi dees sitephrse pittoneem-,05 nulle navrante

Ici, on aines, sus bey. de vdiesoumet on sort de /able. es

Comme net gué* probable CIO, Guin-gamp, bipiselrt BeativIlle beionl deo ganté-es/as spisuill...opmettles où Pen envoie seule-ment les marins bouteniques du contingeet,ii y a mis ài.,artur que la shug, se passede MUlun Ms la pleinult die Kge»ar,te

nieue tigettkine le fait au ministre de laCisme. ars soldats mal nourri, mut la proieMima& de teelesl tes Mâle/nies.

Ill ta Fridoce set mine. :belle /mur mutineCens à pst elle deentnatein de le detfaroire,

VENDAEDtIS PEVall% ISM

Amendes Amères

L'ednunistralien isa angeva pas sen dan&dee â La mère-patrie simien/mg, Ire rolenieeSetainatésdat amen .8 Papou& pleasentes.de sus aetln lobs crotte le pet* fait sui-vant t

et Dersieremest, â Haaphoug, la poste pré-sentas: à un *nada nombre de, masenematt.dee avis &Salivées 0e usrabandses met g*et ibn.* leu defisataarou à ler payer suessurtaxe dell fr. 1+1 demi tienne es/monde ccdix centenee pour iiesalillnnseu dcalliessedels-nient

Le mot de rebignie fut Dientelt mimuUn agent annartete, qui simmit pour o ClefOu gare net qui ignerait lea amines dispoet-nems de ta loi du 8 avral Peng relative ansaffranchissements avant nus u,n, timbre dicinq centimes au les &Dl de dix me les avisd'arrivée.

Les amendée s'exeat qu'ire ressource,os fut de demander Ir la Compagnie des shed I

mi. de fer do l'InciceChino ea du Yunnan to 1

rembourser.,nt des sor.sro parladministration des postes. Et, ilsenfers Muas les palétuvier/S.

Chambre55111505..Paris

42 1500,,.

1,5 sêruce est orne. à O mores urée/ses, sousla prés/done de al. Drim, devant quatre députéspnd ose

Le B4dcet de 1914Sa. débat et mi 1 5 50 ffdiquettx,s, les qu

tirs qui spar a adoptent.. p de cipaye 1budgetsO la Catme Mapargse, de la Légiondimeneur ot de llImprinterio national,

guebpies uosiveaus députes arrivent; fia pro-testent coutre le travail parlementel. qui a néfaii sans eux. .

D'ai:tett., la dieuesion est more' ni im-posé/lie, les. depeble Mont pas lu les rapports,distribués seulement bite,

Au milieu des proteste:tom et rie tir., enreserve le elaspine Pi de Eltripetium, utettes«.en attendant a pouvoir disantes le budget 'dela marite.

LA 'MARINEAproa une saune nIe', eaus uno entame le

budget dr la mande; bleu entendu, il n'y n puade brou.. iniesale.

Sur Ir chapitre premier, rinirsiives sapas des consineridiene sur le program.navel. Un 1912 qu'il considère .nerre nu priergram* intrilinum au rtsard de celui qu'irtidresse

il rj5IAL%'resr'enee% que sire voisine, Mus in p4-riuds len0-1Plff, a &pensé pour sa nuées522

5'decd 3.7eil, mot

UraMind Mame, nana eqiiis nerne rr-riode, l'Allemagne ouancensair punr 1.100SIIIPtonnes, a nous pente sPi.icte !mune sentgaentudta raison de se. diriges, c'est rAtiffl.gne, toulobes dais este neriodo neerons... tefrelueli e.5.211f,PLWO fp 3 ces effesteutelors neduves; la /Uranes nI lune regs-van sor. biglesmiens part de 1.6S6.0POPOO.

1.a mrolitut. S lier de ses ea,n,eo eest gni01, misses mal I. mess de nos budget.

de ia manse il y sus dai i,'o dépenses50e, 5r AParmerneed et sis sep.. semest-ees. et litsUensauce dans les u,révision? pour le

M. Pain*, ce. dee ereptiliéps desiffutionfinareitte, de st emeiese navnt cumin la esce.sur seine

opinées ensuite /es ires-ive:g:mons de la marine iritet ils I eulevemmt dee batteries d.o 1

Ft dr, trulherem It dit ippq ptet

trent puu ei une lipc apnertide, stI dé-ompiessieem iie I pis/ternit supsier

05tes,/

mei emprises d-sue Po. ennemie.1, se Langres, intervient: ranci. résista,,u es:Pie aq qd: lis mage... de 151P es

tuesiféérnent insuftlemi.letrattur presse/ro ta erellion de nstivena

défense Mem Rogruifort n'assure pmer ed /IF i un rein tels Importas/ dans l0eferno de IrStlannipie.

Aprêa une °cuite itésrventlon de M.' Dasteleusur cette marne question de Re/peme e. la entéeet remise S re tapMsgeblt 9 heures et demie,

La séance est levée à midi 10.Sdh,ete ris eseetim1-411

b. eance es ouverte ô 1 hes. 30, sousprosidence de M. Angaimeur.

La (lisambre ados. le prejét de toi tendantréduire S cinq année,. l'effet des oppositicns pas.tiquées entre ms mens dus con:staffes des 16-partsuents, tylellt.lu et autres et.testementspalniies

1ns 'couvi-mies cmcassnairriagsna LION

Pan elle aborde la dissession du projet ten-dant it diviser la ville de Lyon e dosse ...tons.

Lb/ab-once est adisele.M. Pleury-Isavarin embat le projet, qui ter/austereler ios represoments de /a ville a

condel Sunset et an cens. d arrondisse/must, sd , feury-Rat,drie. --- Que don soit 10 55

ta vraie raison du projet est .4...sot uneraison électorale ; il tend s modider 0maffia-sitiou du conseil .geeiral élkie est aalmmffbul

epinious de divers. nuances,:/dembr.ps2/ ratticaux.aieeltstm, 13 Isrolansul

d. Jeux urbien mal les arr... la- ...-bon.

twineva, depose une motion tendant b Vajounuoinost du projet ot Mn retsvol g la cent,mignon compélente.

L/adotienement est in aux voix, mais a dom

cesser, us pelsoivesl mégi. /estatp

Par ani suis contre 18,6, redounementOeipousse et tee dtvens articles de laIl esam aube débat.

LA MARIVE-La Chambre reprend alors la discussion

budget de la msene.51, lia.es proteste sante la non opigmtlem

Cm la promesse faite es /MO de rdeven d truitement des coneuiei de racidnistration iseutege,

miniese a ensuite ta parole,M. hésite. Le gain.: berlsget eba endiMinus

Pua de 30 petiote sur te p.ordent 'ta sérieammidable dont llaseitel MartutnuP 55 librig.sfne iman SA Soue faut Mmesnotre marine t.t e griOt ui tant et elon asplus.

progrectme tagal sera sairsein Osas lu.terruption et sens aunes modiftimebt.que selles qui ont Veil a M litons dos ITUsina it ressemé de itogernsr. *en priembils lui donner de Fa besogne.

51. MeuWe. Loi .misseresesi essils5hou dee muesatactes et turgetenrs 7le wita que set ers. matnette donner satisfaire,. pu, /a

execiestnendes rôtitm unités. je ne n.quireat pas énO ssu g,serat ; gisent 1011101qul touche h in diten*

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_02_13.… · soulager sis peu les hôpitaux surpeu-plés, oit la municipalité socialiste fait test

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ots MaYers le Monde, d. draimes ant4-deo.us abietehe qui eut e

réperme.m';jas l'âme olatioare dee vies inelduelaa asque/et P reconnalt tes draines -mta

des generatims préredeates.geais. a'y avait pas que cette av..'M

geigne d. souvenirs Dans M 'vie du rahtaaad, de l'étedi.t, et de s. autres est'r.,-,-,.I.e,peoruçosit un frémissement d'ambition

plus leaissnuet'trgaatatjIl et alPal,ef.»,"

'stg- qui cometérisait la

sansbeeeùrgeone

latentre où a la sa/tissait., c'est qu'elle était

egea ahernme qui perd pied et descend

are plus bas dans un gouffre sans fondaaa .peates da.el elle ne peut accrocher :sade,st Balme qui 0v sit d'ôter puissant et ri-,. satisfaisait son ambition en prêtant àee persona». Une frênésie de déGr et mis-

a 4, g-rende.. II n'a pas diminué les hom-e..Il loa a moeres formés dans le tenuda /appétit et de l'abnégation. D a soumisacare »tee° à toutes les épreuves et tIpar-aaa aux homnns la flétrissure du médis'

m'eut pas qu'il ait jaunis regardé au-deeià de la société préaonte. Jaurès a entendei, par un 'Toulousain initniMOM spirituel.

dei est par sen âge et sent détachementaeasus de nos luttea à M. Hébrard,

Temps a que Balme avait peint la sociétéet les iostitutioes amen tettes qu'elles étaient,

Mis telles qu'elles devaient devenir le Ma-dentaire du le ...demain, Mats lu aonfrelmier ris nuit pas cr, cette Société ail

ité peinte amis tes traita du leademain. .

A.,' ..nuneneement deaaeoluth ti condamne la so-niela,

. connu que le pria-epe rehainse sana règle

Pour lui, elle liepend n. dissolvante de Laderm-re: cuffrage

"bute. Le Coda ni-e/ proelc , partagea L'arméedes paysan: "enquête due., gragrata ce mi- Lamienme grandePropret.; cies clasea dirigeantes et bientôt,la bourgeoisie ayant perdu le frein dus tra-ditieus an diseondra en une multitude Me-..en rontradacteires parer quel n'y' alèse de puissance morale tradition/m/1c pou-

nt s'opposer a l'armer des appatits. Ces ma-telas ont leur racine dans ta boue qui n'a puse produire que parer que la surjeté tembeau poussière.

aprèn une allusion h Panarabisme geint.'555 d'un Kropotaige, d'un Pr.dban et d'unteks, in comfdreitaier revent à Balzae qui

Montre que l'anamatiame valeur cl banditétait la oonsecianme presque légitime d'unaastarie social qui ayant rompu tous leshans de respeet et de foi liserait la sonee atoutes les sollicitatioes des appétits qui e'rient en droite.

Et cette formule de l'ailmallierne bourgeoisflanae l'a fait sortir de la bouche de Vau-tre dama le diecours que le triste- béretadresse à ses juges.

Commet Balme a-t-il voulu que la imeie-té échappe â tette fatalité, â ce désordre'

a rave latte »rte de «matit. ion d'uneatlistooratie aouveide da grands proprietatsDa fonciers qui, peseta. de leurs devoir,anal/et:aie» les grands M'aride/d d'areeer,L, C'est rispeu

"Mais belene.aVen son riegaettima ne Ires,'5651 plus aine egiS fantômes pour les appli-aeer et ne satdreeeait qu'à des coeurs raeror-ais ou à des catemix paralya.és peur s'y in-t:are.. lo comprendre. Et la cia.l.ionGa s'impose s'est que les chaste /taironttelt:rems..

Comme pharesopbe. il était 'héritier deseceultintes dci Moyen-Are et des laystiquesrévIllitionnaire. Aral de la pensée de aie-Ilenberm il y etiotahait des. inspieationa. 11Leal/lett la Machaon mystique de lainolorTI tuante a inta. il eu iallaehait à ta Inc.Mn. qui prataitanit Incité aboulies de laaube.a,r une à Ut/votation de Lama..G d, Jefirei taiinaTtilaire. 'Et an momentea il se rations. de la tradition, il couver-ait la formule: feetamantale mIn claristianis-Me qui teuit dit u le daman sait. fait 'chair,ala faisant dite a sets héros, Louis Lambert,tette panne la chair devienfra verbe, la

devlentlea !tapait. Fd. dans en pan-béante Illimité, il cléeSelnaLL toutes les for-e» du mende «Menne,Et aornment ai fait-il que Balzaa ana tat tande depuis quelques anneesqu'eu l'admire ?

deux raisons. D'alto» praire que inal...i'iiranigUrd'hui est beaucoup suainscate de tete. aesqui.e de 1:1 société

Mabalyeer nettement. implaco-G8 Ga.n de la s.iate bourgeoise

.tans Balzac, il tueuse des documentsabloe. C'est rauteur 'que Data Marx

tetnra, la Gageai bourgeoise duente y «cherche ,an eajemsitunu-'nsImpressiona. Elle n'est plue au

aea a puissance. Mais elle ne .dit pasja à la fia, .au erepuseith. LlleLm la satiate. Elle est .blasec.Ellea?, akse. sans le trouver, l'emploi do sa far-aa,,,e e. Vanke. qui en .1. arrivés*dee Gage». Calent pour Suer dee-

Segit-d de le presse' Balme a monta/ aquelle sin:Cuenca/ de thiatres, de coudise.

quelles Milon. d'argent elle :liait livrée,c'était peutetre bien 1s portrait de 55pre.e:tu lendemain, saule.: avee ironie Jentas,mais c'etan selle de son Mmes, prévude developpement ieduatrica et ...niqueactuel, et iek .allits qui devaient mitre deta tra.formatioe que ce developrement de-vait aporter an melade ? Pas davantage-

De sen oeuvre, Ce n'est pas b socialismemai est absent comme dactrine. Caen le peu-létarie, e'est la el.se ouvr.. Ycherehe en Varn, tria sent les prolétaires, lesouvriers qua surgis.nl peur faite la Rêve-antan di 1630? Où sont ceux de Lyon entem qui voulaient vivre en travaillera oumourir en eonsbattant ! Pas un métier quibatte, pas une Ilsine qui ruMe dans tous MMMena. ! lift tent le monde bourgeois et tou-te la cannelé aristocratique, qu'il anime d'u-ne vie si puissante, vit cependant sur letravail de en proleariat que Baia.° ...Per-teit paa.

E. n'a pas pressenti davantage taênennemayen:LM 51e coneentration des capitauxqui allait substituer .les .trepri.8livre ut anonymes aux entrepaises privéesbouramities qu'il met en uvra Et. si Vonveut tumner le moavement /économique dudiameuviame same, on .taa qu'a °emparerles ereati.s oie Bal:au à tell. de Zola qui,dams ti Germinal a ou dans a le Bonheurdes Dames btosca grands truite les carat -tienistiques de rend. ieniel nouveau .dontI, premier n'a marne pas eu le pressentiment.

En matiara tinanciare ea va de Marne.' .

re.embin h , a ta de lineten e,'- banknoies." a

Ntlegiatenneta algaldiaanalmcnt. 56 trop haut leur de teln métal et de leurs

réaPP-O'. river à la pouvom ? Beaucoup ont bessailli à l'Idée de

ujourd'hui t Est-elle aarreatieuse peuvote ? De ma Ifortune, a. orles, baga- [ devenir mima'. à : tipagre ce 'la Resta,,Ielam. traehmaLions ration. Alors Malan nchea'a su lendername. ras. pétrel, I de la chute de Napel/M. Mass deputs il usdu a . :ileum ne dédaa-

ea, les menues fi-lieu ri y an a las'! Dariquérir Paris ?!Mati.. de Rubel-fiera leal tenté. Mats d,puis, mile éte si soiment par tant de vantaa,5ei vite aelipsees, qu'il vaut mieux essayerautre chose. Aussi la société bouraneee 'ru-vient à Balise '0e-net une foulai., de Jou-e.. afin gni/ lui renfle tout en quelle n'aplus et voila pourquoi il est a ta modoBah..

as%

11 M. est pas de même peur D.rge Sand.Elle n'est pas a la made. Natale part : ai enPrame, ni ho. de Pranee. Hors de France,

mafereneier en a al la prearelors de son réemnt voyage danelatine. Aux vitrines des librairies, il trou-ssa, Haine, Dumas. Mai, jamais Georgetaand. A la rig.ur, cela peut s'expliquer,dans des pays où l'on- a des iiiitégreases mati-nale", Mais ce qu'on eamtique moins, c'estqu'on inc goûte pas davantage chez .neus l'a-tiondence d'une lamies'e qui enveloppe laspaysages et en éclaire Inas les détails.Peurratoi lesee-t-on s'épaissir le eoile delandiftarenee am un &rimera qui honoie no-tre pays et notre rare?

On lui reproche son se/mafflue, ses pay-.gea idéelle., ses euvrier's qui réfleehissentet parlent bien. On dit c'eut de la chi-mère, combinaisons artifleiell. rt parimées.Peut-être n'y a-t-il la qu'une sorte de sym-bole Sepliapum de en qui amanera la arsisa.-ce rite eeetlit clos daims, car ml faudra hemque te pitivilegie cons.te des concessions.

Oui. Mais qu'en vienne dire que déjà Montpas surgi iigaja ciaeséeuvrière des militantsda haute nu are intellectuelle et matirea detu paroh qui instillent lea anticipetime ro-manesque& de licorge Sang. »il en avait letemps - niais Ir temps a voila -- l'éminentorateur dirait eornbien il y e la une sourceabondante et arak.it de vie dont ce lierait. renne de . priver.,

ll estime que, dans sa ferneepaldanceaverFambert, elle se montra au moins attgale deGethe et do Schitler. EL ne rayuns pas

seu tadealldea. obstiné et surtoutqu'on n'imagine pas qu'elle a traveraiS, COM-tue une (effane passiennee, idée de ceuxà qui soue' allait donné. /I y a en elk:uno puissance de reflexinti, de panade in.eomparahlta Bile jetée dans la bataillegivre la fodee de la conviction la raus fer-ma.. Ce Me51 pas en artiste qu'el/te a com-battu, tee artietee, quand He na/Laient quosise artistes, elle dee a écarté, de la lutte mu-tante. Elle l'a dit de Demies. elle Fa dit dilua-Ils dent emfle

ve71Zit:toi"ejKrtgre:Masos à la reattiere d'un jou.r de cymbales.Elle disait qua la politique te doit pas iltre

artiflea ale parole. mais «ne conviction.Elle était contansiniate, nia. tale n'Attela pas

sectaire. Di. avait Osa touaa,a tamtiea. desMentions tee antes male en manne ellen'était liée par sien formudee étroites Hhecroyait h la survivance de la /mann.

ema imam i tee pout entaindte. Elleerelet.vn pour dellasar la realeld mys-

térieuse et da...ait la reaherebe de l'in

S. ara d'aspartam» que lui armoise la Mvoskhi.. de 1848 ade efroatie avec paume lescodares sises pay... da Berry G dilemmeBela violena. Msatm,i data ao re.ei que dem

gambe. rependre b Ca santal itallee sansbaie. D ...d intéressa. de »suivre daioaes eraiqu., nmia l'heure av.r'e d ce garapeat-datee pour use autre

eaQuand à beried on n'a pae Imaist mir dem»,

der le ..ns dg, enta uvre. H a 55m La ..ciétte,deuxeinerationa api. Balaie. Des masses

e. laritees, ardentes apparais.ist aredami deng de son muera EL quand

apr.fat.DITYille, mûri par l'inforam il etatcompris quart ne suffissut pais de développa,a tara. oral. le fleuve de la vie, id est entreeins la penaude d'où aurit mirais e laérendita.travail tettei imprégne de ,Peuriéenale.

rai, te réal dune entrevue craie 4, geandremanoier et le grand a.teur eue 45 terred'exil, à Londres, en fare dems entlagesai dam-amie. et oe balte appairait sotie ses dam arepects o imita que voit et se cent:ente de dé-aria. fer. Bile lia ohéer de. la France a...Tete a replie elle sol al qui tas.» a/en-ter d. étoiles nvcseèmlem,.

Ainsi, en imeoutunt leu oeuvres de Baluede Oméga Sand, da Flaubert et de Zola, laoonférencier a a:prouvé lammanion que teremain arroi» inaaçaie est le est» qua en pré-Searte mapris aceial poar la mati., aitnette ferveur de p.assu et la klealisme, etcette puimnee de onninuetiOn Sand cti.it

Diamb.t r« Je nen agit pas ni ai raiven.pl je ne Vals pot savoir si neoit ma foi quitrieraphe; mea le croie luo aliumania: vavers 1us aminel,, mis je verr gien 11.19inerte maiaternern esse les atcsmssae tari me.

Bet.ena ces panais. et, taus, quel» quesoit rmtcm fonationmsoyaus dee produot.a,où que nees sors», qael que mi4 le trimentou notre peina 51e vue.; oestrus une ferred'ascension vers ta jualace et ei. nous .11-S., que la Fr.., maiteicene, restraiStoujoura sur les »amas qui mentent,

Lama». n'a pas flat de p....a tes dar-ne. mate de ratte le. Peameetenta, <Me oa8liga. eaprecatieen. Maais bien imparfaite.mea, taie in gai» éclate ecu ept./Une-Mas. L'Oyat., lino o... meneare. n'apar, raiera do ta modeetie de l'admirable corelarafeter, gai se désole aux taliebtatimas

,t Paul d'Oc.

Imprimerie de la Presse

Les administrateurs .et les commissairesdes comptes de l'Imarimerie de /a Presse011etr Smialistal sant instamment priés d'as-ateer ce soir, â 9 heures précises, bureau dujournal, à la réunion du maso*

Tous les administrateurs sont priée delaprase/as.

La Nominationdes Instituteurs

Dur :a dem.° de M. Cm:y., ainainurradicalearnitaliate, ancien rappordma clu. bud-at4 de al.tratation publiai., le Sénat a dé-

na raison de l'inerte toutt...eute q.ueatiou, de nommer miaula See au-

raa.ux une rornmesion spéciale peur exami-ner le projet de lei dia eiteyen Ma. Prévet,celé par ?a Chambre, sur la neminatien deslosi,derteUre.

L'issnoiation des Boan-Arts

Ill. nouvelle preuve cia vitadita aient «ê-tre den-née par lates.iatien des Diev. d.Bea.-Arts mie preaide 51. Demie, adjeallau maire de Toulo.e.

L'Aasociation, da. -un but de co-talamtiongeanale artistique inaugaraia Fautoe setrune renie de eausseri..00rtferenees em as»steels divers qui, â doter dus mana IO Myrtesautant lins de qunne en quinze loues, de 4heures et :teinte à 5 brames et demie triIsprécises tal soir. Ces aauseries doiv.t etrefaite, alternativ.mci par dsa nialtres et mien

af. leassard a ête te premier ronfereimierentendu.

Selon atm reale pesée et qui a sa valeur,Planard a pris la parole PI heures et do-

mie très préciee. Ii a parle sur « la Jo-conde a

Devant un publie qui remplissait litera-Lerne. l'amphithéâtre de aEcale, où direc-teur. manses et éleves, entourée de leurs in-

oonstituaient une véritable famate. M.Nasard a anaase, avec son :Mediaums si cou-

le aie sa parole savamment. mo-dulée et Ms de.loppernents charmaseis de sapensas, le thef-hauvre de 'Leone. do Vinciet, l'oeuvre generale Mt gravd mata italien.

Le stylet a éte ainsi prea.té :avec le plusgrand intérêt:, graoc au talent do l'éminent

Oin a oublie leut en qua fut écritite fatleet do banta sur ranigrnatique aloanalaaa.

falarnmaae rendu au comfarencier, 0 nenoue détalait pas ale felieiterde es ramageasu hatiative, dinja couronnéede »te..

Déveldp.r l'amour da beau, easi deve-lopper lamear du biert et faire uvre de té-nareeifein lemiqua eet arr.,ir esl mandi datele rouer Me ma..scu et des colaa.ctivites dontl'esprit sent tmp aeuvantneronaus.

Cambriolé par ses Employés

Un fait de, plue regretiablrn mit bierémoi tout le personnel. dan des grancta bearsratine de ree rue Alaace,

plusiesen mue, Le pallau aut.:ca-vait que lie avnsettq, neeleat Pa? Ta foufrapport avo'o dee diamauu effet' tatas.

En vain le neseeliet eherehait la animedu défi.. Fiévramenbern armackessin etsliGa. et: aleYarat a,One erreur de Maires.refaisait ormanie.teueement a. op:nationseat exerm minteieax rie &aimant plemiandre ramant, il se propeea ô, survaidlerte pria le-m agi.ematis do sen en:Mayer...

Gaie: surveillance ne devait pas tarder àal.taiie à dee résulta. probante. Hier auvoir, vera I hemm, à la fermeture des. ma-gma.. Il sparqui pila jeune tale qui, cher-chait è diesimuter ,un objet aime sua nate-Mau. la carme, amie et.ute 1..tablées Beellalle vat. Fouillem,, altofut trouane neetteuee etisr échappe de, laie.

Vois el: a cerna. Se dirigeaient au etentnia-aariat. ibi 21, arreadi.tanima, maisM. Lambert, va ellen. tardive, elait oeee.Ë,La briaceatie do aenvi. »Item le courte ala Permammio de nuit où se trouvait M.

Ce demi. queattionna ta na..ase asmoi-;catie aa magie. pus . daiesti aamt à desaveux complets, bite retennut, on effet, avaisvote de nomineux objets de dallera. valeur.

Geeltu, à vue dams la ehasabre de sate.,hs malbeermee maalettatit épandu/man Ir0epangtliainjon ophree à eon domicile cievaaappert» de /Mettueux etuematilée, On die-ale'rota, daasa am armoire à glace une tres Aran-de que.aé de belge, de bijouterie» d/objetsdo Witledie voda au nageas.

Ilabaleaseat n.isdatte elle.Il. Fraphigetii,t'actif commisaaire de palme, la matamree-se se .apoka ase s danimuier la papeMianne4e ne Mette.: elle indiqua mame tomateistelle as lies mitait apprepasta.

Lorequerne otonmiac avait Mann de omet-que Mangrandete ur treuvant nu tearg.ia.ette dee. tempre.r ért geneun dee gowelme ieMY. dee Maleta deale.., qui, à tere da rasa-proada, es fai.it sa ta..sr de n oader uLeanee ou les 15111ee5

Sam une marrai. Memployé., huit ounetif soue compeemiges, ce si DG .neidéreque lies voas ont dam. il y a ets. va sensMais en pourra :ta .fairo une idée des Mar-...Mime volées di.net svumse la1Mcrur dtt quePlue de 120 franc, devers. Marier.rent en. seulie.'.

1,Maquatat su poursuot.. On a déjà fait denombreuses a...imitions et coafroniatatena,gni toutea ont abouti h des Mauna. appré-cie».

L'Affaire BiseottinUne mammite, rogatleire émanant du

parquet Abd Valets..., a été adremée dansa Journée de 'jeudi imisaaretel de sua. ville.

Cade nota indique les detrarla troublants del'affaire ihminactiat que le mainetnat ana.-te ne voudra. au gluacatba

Les plus flets limeev me». eameame.

Serait-ce une Escroquerie?

/lue areitele noce a persona d'apptmalrequoi. personne bten cone. a.lea con-seiller géeéral de »etre vill,e se serait tais-et esaangaer nue mannmu it 30.000 frai/esparccc ie..um qui atireil minante

da f nieder.en Espagoet, unn banque quiaman, relu utan mem, certain, rapporterde Item: banerma.

inonsi.r iman b .s PeSter parolesn'apprit :ait à aller alma un avoué stayer l'ae-te de déprit de fonds, laraquat s'aperçut qu'ilavait été mystifie,

nalare les recherches. ni F.M. ni les2510) tanna nuiraient ait,' retrouvée.

ENI7;,VILLE5E3ella Chanson

Aujourd'hui, à e heures du mir, à heur..Fatailta de, Lettres, rue da Rémusat, fi, audi-tion-ante.nr car les chan..s et Mead. duPaye d'Aude, par M. Marde, matage del'Enle des Ecoux-Arts.

A uprogramme lu One aieugnaa d'A-chille Mir, dea uvres d'auguste Fourês, ainsique mina viciam chan.sc tramaise'u et payasisa Careaseoc.is Si du Narbennais.

Au théâtre rémonaliste. en jmara Paganini,ace.die en vers lamottehecus du a.teur AI-barda Au comm.:cire en atantera ah/Oenj'al .deum mumnanee a de Catlinteabriand

Tribunal de Counnercean neces prie damerezLe acrei'o cle ballotage pour 1m étections con-

sulaires aura lieu cette année dimanche prOChaindans le Ie.50 habitualleram désiesea h ceteffet.

Tous lee, conuneMants et n'orientes sont in-vités à aller en graad nemare voter peur /escandidata qui sont pu :entes it leurs au/finespar ri.. des ,...pements eammerciaux deToutou..

f.ert euppidents peur 1 en. -- ht.M. MentiLeurrai. negooiant, armes no e.inealliertee; P. A.Maesioà, négociant,

Conférences Universitairesso.nde par M. Plauen phares:MM' au

LrOac National rue politique et Mcialrotarde sons la levet.. ,et te Posai.

Empire ... aura lieu autanaLhat à 5 hem,,s dasoir, dans le ,grand amphithéâtre de la Facultéde Droit, rne de flinitereild.

('mm peai nye, des ...en d'euh'', à larie Eld. Privaa 14, rue d. Arts.

I-iistoire }Populairede ToulousePronnootte du 'mare publie Mu/Urinal cire

aimé. qui aura fine aujourd'hui vendredi 13février, 'a 5 tt. 85 du .ir, rue Lakanal, I.

Partie carermagique. - mue lesSerties Mdrovinglenst MUnole Ot CarlomanPépie el ihrtremil; Bentimanie et Aquitaine ;»ale, pépin e'emiare de Toula.; Laties,Briettrea. Arta, à Todionee, pendant /a périodeIndrOvingienne.

holt/alité AphémOride. Pme de la premièreOrne de 'Te. vétérinaire en let.

Lenge Simmdmo, raid est .rua', pas Jaa.0del Manda

Fiafi'S DEVERSUn Suicide

Hien vers a lieules de rapriamaida M. LéonEybert, né let décembre Dee, a Toua:use, s'estvolonterement donna la amie

Le amatit/aire, qui ne je:admit pas de laplanitede de ses tarultés mentales, a mafalanno dena-baure dialsence de as. 55m pourae pendre it respanuolette de la ends. 'do lachambre où il foudiait.

Avant l'ares. de M. le cora/Measeu de imlizedma te arrondissement, G cor. axait pma .upeepar M. Jean Jean, Ornfrour, demeurent daun lameme Maison qua M

Le cloennir Montatigre, merde attente n'aque Margoter q.ua n daces. -

Les Amateurs de VolaillesLe se:vice de lu Lean a arrété nt mis ii..

di:mention de M. le mininisealre do police duLe arrondiasenent. Mua alnoulpabo rt de vois desoleil. su pneadice de Mye. les nomm.Eloi Lamie. iS ms, rue de le gambette. 2a;Hala Ramétet ta ans, rue Piquet 98, MariusPloce,.rue de la Providence. 30, Maori. Leu-inend, 0 eim, boulavend de la cire. hi.

Cul quatre individua ont êté conduits ee ma-tia se parasol,

-, Sur plaira« de M. Chartes Viole, propria-taire h tlrotiellaurale. pruce.varhat ailé dressacontre ineenea po,me vol de vingt poules et troispinmdea valons la fr. eavilen.

L.e marchand n'était pas en réaleProard-verbal u élu dem," imtra le manne

emtles OPPBulreln, 21 ana mie:aune mandant,dame... rue Nenve-SairraSyee. Pottefrarthre à l'article tende la lol do IR pinot 591?

. Malade subitementai, ver. IP peurea, Mme Bettotteàgée os ne

ans, ête prhe mune indisposition, rue Bayard.a eta trimperge 00 Pherepiee et y et -éte

edinte,.

Val de 4.1.1.Sue plainte de hinio, LutamIc ot lamait., do.

Si. Onsaeau quni Oia 1 coma, da. procro-verhelI Mç arme canne Gamet peur vol de trente...aire, en ace e.hamise ne-dos, de dan elea-tans et d'on' amcm.

Heurté Par une MotriceHier sais, vira 17 b. crI, hl. Atteiste Gemague,

7e and, gai. promenade, demain,. rue Mi laConcorde, 01, a elie heurte,. à atuarseetionboulevard Corunt et de 1a roe POrteetiainhrtinene. par une mettre° allant rem Saint-Mienel.

Il u ,he eoulusiunne la nimbe are., atempe aauche et . ce,

Il a uté temporal à son domicile.

Chute melencont eeeee%ter, ver. 5v t,, M. Gabrisl inllnStl, na ans,

roulier, dom... p Grenade, passait place Ar-»tad-B.:ard, conduisant tel Marrane singée

d'eau nbeval, It a fan au Mua "Mocua eat boudede a inal.contrenta Mon isuMe des rouie daPoetaat lui eue p»... Far la Wei. /I a ae.1ene a /a plsrleacie Sabra par M. le dateurPa mea, aur ea demande., 5 e éte traamatirteniez ne dace. »ne Memi, deneur.t rue de /aColembete, te.

On a volé le bidon du laitierProcê.e-verbai a eai dresse mode tomi.e.arrondissement pour vol flue bidon de laet,

ride, commie au préluda, de M. lime Alba,Benne.

Faites arrêterliter eoire vers le t,, 15, Mme la steemesse

d'A/bi. agite de Tl ana, rentiare, darneurant aleeau Récolleas, al, ne treuealt dans une remorquede G Compagnie des grains niiezus le trajetsaintemichel-Oate Matabiau. Au carreleur La-raye., elle a voue descendre avant l'omet nomMet et MM aet tom.. late s'os/ thalremembleaile h la jambe gauche. Elle a pu cepearlaatrammer sen demiolle.

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PARTI socuusnGroup, efludear uncloti,lr, -- Ccc suie vendredi,

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Le Coquelicot, - Metion 1m Catax-Damade. -Rama. d. .monbauo do ta ConiniesiOnMatrathe, d. élevas, et dee moniteurs, vendre-di .1-3 février. à. 9 %eue. du mir, au same dela Sootrou, eafil Roux, à Czoixaeurade.

Décision à pmelie pour 1e tiatm de le fallbela orgastimalon d'ana ate pour la 1S mars.

Nota. -Le cap.ur l'eureux est prie «tareprésent.

aetatin Centre. -. Semait sole, à s /mares,rami. au Cama dadministratien et dee00150e', 011ati sege de la aection. etestiore loden.traira à Malandre. Toue l'a amer.« au aurazadan diffama/ta quatiemc à traiter ettherantprêter beur concoars ale Cenestl d'aeminienationmat Mana à y easter.

SYNDICATSSyndicat des eoupeurs-Cheenistere. - Reamion

général: am.. II faner. Présence indiepen-sabla

Commaatelques61.1eATIIE CAPITOLL'. - Le thaetre au

Capitole havera ce etar amen a Paiva,déleieux laallet u, Pesumuin et de Cd. LafT.1,La Flûte de Pan, ouvrira la garde. En raison dela longueur du spectacle, on mati.a.ra no hualieureu. quart très Peur Mlle:rire àde nonnes.rs demandes. le directif» Damerace015 belle seirde n arix relata

Dinmatte, deux grandes repréeentelion,.An presleur jour, creatten da Otermease, de /1.

Féeries.'Iltaathata DES -VARIFITES, - 1,5 deuxiatar

apresentatian de Papa aura Mets ce soir à 8 lani-r. ai. Damia samedi, .prarnere rearesentationcepassi de atisie, doat on lia pas o.. le gros...as obtenu LI y a doux ami /ore de in création.

A t'étude r Le Peinte Feartioatutier et Le Reu,leo!, geneliteganine,

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CLaEaLli. LAFAYETTE. -- ilthanastuent de pro-gramme. SM vedett. armee La. Cart. depe.Dame de Hongra h Baia. arand dame imanvara en 5 parties, do t'Uns ; Oser nu Tautemi,A atinariacernedie de raie,. ; rues reluqueset l'aelnar-jourrett atiand. /es dernear.iitée. Irma les joure. 101-vos de 2 a 6 c.,.mirée 8 heur. ex.

GliNEMA. PATH& - Ont no.Mir propre:1100lparait Le Roi de Vat:. De am eteationnet n'estp/ue seulement vIns chefeamere, c'est la ou-t.00 de l'art ciremalograpalaue, comme lai-me le public. Cette nue peuleur dee qmaelataseautiliques, brûlantes es d'oeuedite, sur la sa-nie da me. (Eaphiances 5,0 decteur Carrel.

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Adresser toutes les commaadar ânistrateur délégué du « lu di SaciallateMi-38, ra Romtelaine, à Tantouse.

LES, SOC1Teelet,e,e, -- edir vendredi, n

ree, reetition aiimece, Tree urgera.

ETAT CUV1L. DE TU LGUS1^alleLleaT101118 DE

lus 11 Février 111,1

Victor lads r indrahuretete eue d. andiii-nier, 4 et !Marguerite MettM, etnougmee, Me duMaroniate, 10.

Patti 00mai, sanie na Me de lig.. a T...,m, a marie Dietartratals, oeuttlitera, rem Cel.ital.., 6.

Marco! rturadou, eroMoyh sus te.maya, rasde la Baba., 1a, et Marie Bene, datai:tag/é,boitlevord. Losermses,

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lane.Jean Calbonne, n.8 ans, rue des Bisachers,Jean Prealet, 18 ana, mure de fardait.Jau Bauré. 85 ana, rua du achat:Main Ganfie as ans, rue da la Pen.., s,lare, nom /ours, rus Sainte-atm»; o.Sepaie laya al ans, rue Ganabetta,Emmena. earetas, 50 mata rue dre Para 19.IlOpoOsI inditage, 0.

Cumes *Mun 10, ro 11 Mese

XXXXXXXXXXXXX311XXXI5LIÇ

RIIIARÎÈGE

Fédération Socialiste.4as eg arcreere perd etee deritaite rZe Le.

nelanet, LainiqueatOgree, .G.miketelijanes,Léran et La Bastide-sur-tants.Laan sa dcrsoirP rairai:, la malien de La-

aque a vote ta proposition euivante gaie. mecharge de sous a.mathe à Gai. ara uti/en,

Considérant que a congrès den Mame s deefinitivement axa à Foix les reiniens de C. ra

Cticaiderant que les factions de Lem, laivelanct, Lareque, Viliracritiguiltaner, Ot La se,tide-suraMers tarea pas des moyens de tr...0ports faciles pour au rendre à Foix, caque mirequi existent sont trop coûteux peur la Mixela FédératiOn

e La section mir Loroque propese aux 50morm3intermeds de rechercher dans Mue parmaaheréunion tes moyone leu Plue eahnonérltmé puerle trmiephi des deleaues, à Fax, aux at.loasda 0. F..

Le bureau fédéral armee b la proaesiiko dagroupe de Lam.. Il serat heureux mie laqu.tion aeit re.hie au m'eue das iutgrate desdeepes des secklens intar..eu et de te coaseetaa.riere. Il »rait, d'autre perte Meireble ga'mne Solution intervienne le Para tal Med», elpreeleine saunier: an G. F. amant sa tenir 4FMic la ditnnolla 2.n février mairant.

A cette Ma le secrétaire raderai propose «.qui sait :

Les motions intevemees S0 réuni.. «tuagenra le isamedi ear ta fumer mirant afind'examiner .1a quentea et somettre ces prapo.ribrog

Chaque seceion enverra un déleatue à ttn"rama° qui as tiendra le leridetnianI', terrier. à Lavelanet. h 2 heures de l'aérés -

mie", ait Mer r social du armee mdealialecette localité. 1,0 rame> de Lavelmet aneenpute Mine. d'examiner lee diverses empattenoua Indiqueee prr les groupe, et amandes.1Io qui .rs reammue mrame la pins aaar-rageuse. Le résulta/ sacra ami./ remain-salué ais aeoretairo t'aérai.

Les exuarad..nt pats ce onieeirrn' m "1,parade lemme tenant lieu de canvomiandividateatt 1h Mine, ro tter): et à la réunion de LaVelanat tammeaesari:sait. 1.cs serreca.. raorttempe poutrelt adrasie obt, commaliates

Le eneeienn.r mer, I n. CA.1101,

ftênition ptertiowilêm dee prepiqpnireitetm ndipartemegtat,

Las delêgilt. departconentatz G propagandesont priés amie. O la Mahal parti.Ildreqpi se Landru à Foix, dhaecite /ache IN elsn noce murmt, à f hale de carme:adj, aia,la salle des saunions du geaipe soeieligatalscette ville, et. Gros cas Otadet.

Ordre du jour Méthode de traaa0 gagerpapagande départementale.

Le terregne r 1101 III

ILiaramaaisarralUENT, M attaere rom

110mb 2.rutin, à Panera on zieuta...ai

leaLna,

neyetare Gobi par aile.Eno atait .retnunea feenemona

n'aeeeptait p. las larmulaa da oui, Blanc,de Lerom ou de Benqui.Ene recevait de lesconcilier mea La plus grande »Or:. d'esprit

faut kirs ce g:dello dit tome III deaes amarea, eue la diemeron qu'it importe de.donnor mi inmentlilierne. Queue rat,e,pipenLongdeinant ee armit da. a. le-g. ea n'aura pas de pane reconnaltie

ddlève eu, premier rang dos reeneeurs.at dos agoni,. poriLiqUee d. diderreeviente

Vol men. Ideope, el. montrait qu'ego avaitune adamprêtise de La méthode, nimd ailefaiaait du auffrage universel Ma/10a le...eu de liésnancipatida. maffia do relire

pogaphe, et IrateEtienne Viqueinta, :tarde republeala a Pariaet. Rosa San., à Foix.nécee Jean Cape., il ma k Itheapieealun.as ana, ruo beloasse Iaapdevalle, al ne, céneteira i Jerecepa., «»

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_02_13.… · soulager sis peu les hôpitaux surpeu-plés, oit la municipalité socialiste fait test

PlaUILLEDUN Del fa PEVALEM 1016 23

La fiance° du DocteurPaul GAMY

Reskil à Moisir Pen heure. Une eireades-tanne impreaue l'y dérida.

On avait atteint juillet et leu grandeschaleurs de La mima se faisaient parti-aulierenuent matir de co orne du Ouercy,peu frieqmaté par leu brises qui raffut-nhiesent le nord do département vers lesmItims do l'Aveyeen. Si les mimes dupare impénétrables an soleil en dimi-nuaient les ardeurs, en revanche ratrnoa-phare se ressentait de la sécheresse de laplaine, qu'aucun souffle d'air ne venaitadoucir.

Un ede qu'ils étaient tous .réunis aprèsle soute., aur la pelouse du chibteay ouIn table avait été dressée, Jeanne se plai-gnit vivement de la température.

-- Veux-tu partir? demanda le °vraiebrala-pOur-point.- Pour où, père?- Où nu vaudras, j'Ourga qu'il y fasse

frein Allons alunPyiéné.... Mai manje ne serai» pas faithé de me refaire unpeu.

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Bulletin de documentation - gouvernement · milieux scientifiques quant aux problèmes de surpeu-plement du globe, de pénurie de matières premières et d'énergie, de dangers écologiques,

Les effets géographiques de l'accroissement de la ...horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/divers19-12/010054766.pdftenure de la terre. Mais surtout, la notion de surpeu-plement

Les effets géographiques de l'accroissement de la ...horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/divers19-12/010054766.pdftenure de la terre. Mais surtout, la notion de surpeu-plement

LA VICTOIRE DE LILLE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_20.… · DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE

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NR 505 bis web Habitat - institutparisregion.fr · ment. Ces situations de surpeu-plement, minoritaires et stables dans le temps, montrent que les ménages modestes du parc social

NR 505 bis web Habitat - institutparisregion.fr · ment. Ces situations de surpeu-plement, minoritaires et stables dans le temps, montrent que les ménages modestes du parc social

rs7croe - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101...dre h nous certains éléments .1 ne fl revientefee e..,e y dee.n idée que la e Chiper-sj:e %ace pris dans

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Air Intérieur - Saint-Brieuc...en France et met l'accent sur le surpeu-plement dans le logement. 4 millions de personnes restent mal logées ou pri-vées de domicile, tandis que 12

Air Intérieur - Saint-Brieuc...en France et met l'accent sur le surpeu-plement dans le logement. 4 millions de personnes restent mal logées ou pri-vées de domicile, tandis que 12

Le peuplement du Canton de Leeds au XIXe siècle : des ...dans la cale d’un bateau à voiles surpeu - plé, les émigrants mettent le pied à terre à Québec. En général, les

Le peuplement du Canton de Leeds au XIXe siècle : des ...dans la cale d’un bateau à voiles surpeu - plé, les émigrants mettent le pied à terre à Québec. En général, les

LMD LMQ0402 1 005 B Q 01data.over-blog-kiwi.com/0/53/66/32/20140211/ob_35213a_apple-city-le... · 11/02/2014  · et d’ensembles urbains surpeu-plés en périphérie sud de Zheng-zhou,lacapitaledelaprovincedu

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tude s ésultats et · rin, 2000), mal-logement ou surpeu-plement (Goux et Maurin, 2002), manque de soutien parental et ca-rences éducatives, maltraitance… Une situation de grande

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Les otérztion au Marco - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B... · Penuatt même plue lents un. Pltm,u Os, au congrès de Ssedgeough monte, égale-ment un ouvrier

Les otérztion au Marco - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B... · Penuatt même plue lents un. Pltm,u Os, au congrès de Ssedgeough monte, égale-ment un ouvrier

(Suite) - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101...!sissent la bourgeoisie affirma sa position Nos> avons 'bien du mal, après cela, nuts socialistes, pour recons-tituer

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pECOR WONS! - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B315556101_MIDSOC_1916_07_14.… · ADMINISTRATION * RÉDACTION 38, Rue RoqUelaine TOULtOUSE o 43 rc'017,,Le 5 h. 101e.

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Femmes africaines et commerce : les revendeuses de tissu ...des terres de barre alimentant le sud, relativement surpeu plé, empêche l'implantation de grandes plantations et de compagnies

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Nous arons été les seuls S 0 MUST E - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101_MIDSOC_1928_09_20.pdfANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.:

Nous arons été les seuls S 0 MUST E - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101_MIDSOC_1928_09_20.pdfANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.:

St 0 CIAL/L - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_07_17.… · P`' ADMINISTRATION * RÉDACTION 38, RUe Roquelaine TOUhOUSE.nex.e.o.couno 45 Anceisurnarespre

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