LA VICTOIRE DE LILLE -...

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29 ANNEE. N" 10.148 ABONNEMENTS 3 teX, 23 le. me i.. 49 Ir. as. PZ v0. 411111111Mmenumg LA VICTOIRE DE LILLE Bracke votant à Lille po. Henri Salengre. A NS combien d'endroits Dsuis-je allé, au cours de mes cinquante années de Parti, /n'associer, un agir de scrutin à /a Proclamation joyeuse de succès socialistes Combien de fois, devant l'Union de Lille, toujours spontanément le centre de rassemblement ouvrier, ai-je dû, pour entrer, percer les IEDIOUs denses des travailleurs criant des vivats et se pressant pour entendre dire, redire et com- menter !es chiffres de rétention I Je ne sais. L'image de cette foule vibrante est dans mes yeux le sou- venir fixé d'un spectacle connu et cher. Mais dimanche soir, l'émotion qui régnait dans cette réunion des enthousiastes espérances etait d'une complexité particulière. Tous les pleurs n'étaient pas de Joie; le salut adressé au vivant se rappelait et lui rappelait le mort, /e tué de la calomnie réaction- Salengro comme envers elle.meme, nuire. Réparation mêlée de ce- au moment où il s'agit d'amplifier, banche, bienvenue naêlée d'adieu. En même temps, le sentiment de /utte commencée à poursuivre, au lindemairi du grand conflit des métallurgistes renforçait /e sens de la victoire. Elle est belle. Il y entre un élément de confiance dans la potitique du Front Popu- laire, du gouvernement républicain direction socialiste, et, ce qui a plus de valeur encore, de confiance du peuple ouvrier dans sa force organisée et dans sa croissance de député de son frère, tous sen- d'autant plus calme qu'etle est talent ce que garde de poignant plus puissante. La presse réactionnaire n'a diantre ressource que d'essayer de réduire la portée du succès. Elle y réussit mai T.bit, comme le Matin et d'autres, elle ne compare les 9.888 voix données h Henri Sa- lengro au premier tour /peaux sur- BRACKE (Â-M. Donnasses.), frages réunis par /loger Salengro au second tour. Autrement, il am rait fallu constater que, loin d'avoir Laissé, te nombre des voix socialistes avait augmenté de mille. Tantôt, comme la Dépêche, elle explique que ce premier tour était du con.il de la Some. des Labom en réalité un second, parce que ni qui va s'ouvrir le 21 Mn.. a gadin /es radicaux ni les pppiers Paris ce soir. Elle ce aisi.rumsée MM. Yvan Deibos, ministre des affai- n'avaient présente de candida- .eps tores. Je ne complimenterai pas le de M. Boche, chef de son cabinet calculateur du journa/ de droite, Pierre Virent, sous-s.rétaire d'Etat Car, à supposer aux uns comme au xaffaires étra.ngeres, deleaue sun- . aux autres leurs suffrages de 1938 "'l'an, 2e°°mImiiiM de IL Bérardo chef de son cabinet; Misslgli, direc- maintenus, 701 et 255 additionnés leur politique adjoint du ministère ne balanceraient pas encore les don affaires étranger., délégué 0d- 792 voix au-dessus de la majorité joint ; li.devant, luriseensulte du asap]or rarr,rjsir, par Firmi sa. ministère de saffaires étranger.; La. gardé, d.e la senti. framoise de la fl.Iengro. Quant au vain., Edmand a spelpt, dra gss Une cliente de la Banque de Bâte condamnée trois mois de Prison ,F3 cli Les r. Lamb Mal. anal in le sali Mac... Le levait ea effet alie 0,105 50 done. l'avoirs ta l'étranger, Pas fait. Pour les années suiv50i ment ayant été...mn., ese ut'4.. C urine n douairière, fut ci nelle, où elle nê l'rnt ie12. Par défaut. e e,q eion de se rendre Ilarce.one afin de `é-- recueillir des infornmtiaos e'itov000t pris du roi 1000, biiliti miros Réduit« et 4dootnINtrattest t 38, rue Remtetatee, TOULOUSE T. ZOO. «taux 5.E71 BUREAUX A PARIS 3. rue St-Augustin (2.) - Tétée Richelieu 00M (3 Hese irroupd. me es nnera GbYs, il remercie les électeurs de la réaction d'avoir s maintenu in- tégralement leurs positions comme le prouve l'étude des chiffres du scrutin s, alors que la part des a idées nationales n dont il déclare' avoir "été le porte-drapeau n, s'est, par rapport à 1936, abaissée de 600. L'ouvrier traître ti sa classe peut bien trahir aussi /a vérité. C'est avec un sentiment de classe hien net, comme le leur deman- daient les affiches apposées par la section lilloise du Parti, que les travailleurs sont allés dimanche ans urnss. C'est ce sentiment qu'a blessé, en réalité, la campagne pour le candidat communiste Manguine. De là la perte de près de 30 p. cent des voix que le même avait eues en 1939. Ce recul prouve aux camarades commu- nistes avec quelle justesse la classe ouvrière a compris son de- voir, envers la raï/noire de Roger de consolider, de compléter par la marche en avant la politique so- ciale de ce ministère de Front Populaire où il n'a tenu qu'au Parti communiste de prendre sa part de responsabilité. Au moment où, devançant le re- censement officiel des votes, notre ami Charles Saint-Venant, député- maire, procurait à Henri Salengro une brusque émotion partagée par l'auditoire en lui offrant l'écharpe tout rappel du disparu, et dans tous s'affirmait la certitude que In victoire qui lui donne un digne successeur en annon. d'autres. Henri Salengro y travaillera de toute sa fidélité comme de tout son talent. Demain à Genève La délégation fruncolxrà la session 'ral de la délégation; Chauvel, de la so.-darection d'Afrique; de Boisa. ger, du bureau d information et de presse du Quai d'Orsay, Spitzmuler et Panafieli vle la sous-direction de la section française de la Société des Nations. On ne crai tuas crue le séjour de M. Yvan Delbos doive dépasser une renaine, car on espère que dans les joues qui vont venir une mlidion sa- tisfaisante pour la France et la 'fur- gaie aura pu intervenir. Mi Viénot, au cos où la session continuerait encore quelque temps, prendrait alors la tête de la déléga- tion française. uns RADICAUX A BARCELONE Paris, N janvier. gfimmlant à une ors invita/ici de la Généralité de Gamm- xne. le groupe radical socialiste de la se présenter. Chambre a cléegné une délégation M. Roturler orenposée de Inf. BOssoutrot, Usas, ois de priSed qfl, Gallmand, Guichard, Lassalle, t et Naudin mil Mira pour mis- " Bientôt, légalement ou illéga!ement nous prendrons le pouvoir!" ...Déclare à Laon un st réconciliateur os, qui m'once des si exécutions os Il y a denv La Rocque, l'apôtre et le conspirateur. Il r a deus fa P.S.F., celle de la réconciliation, pour le gr00 public, et mile de /a haine et de la violence, pour /es A purs et p." 1es sections Ies plm e gonflées 5. 0055 015g oriels 14 courant, d, El. L'on% ecrerl ler are:4e anuirm 210 affilié. La. moitié étaient etran. geres à la vine, et venus la 5 titre d'exercice, suivant le plan que MIS avons indiqué,. Le programme fut simple. Ni. Seautllé fit la retape aux adhérents. Ift, Bru. mea. (de Soignons) eXPliqua que la C.G.T., ennemie publique n° 1, n'avait d'autre but que de créer le maximum d'emm.... mu patrons (se. Il adonta que le P.S.P. prendrait bientôt le pou- voir pour none dererramer de cette hideuse République aux cheveux a la Pautnoneour, au nea à la Eirun...wig Si au venbe â la Jouhaux (rasse,. Après ces délicatesses, /a parole fut donnée 0x0 délégué de Paris, prése053 soue le nom de M. Daum (fi vo005 quelames extraits de son dis.urs: Si te communisme n'avait per tram lirCSSê deVattt mi, la ructiqUe Cr°. de Cm qu'av.,e loi ne >Mire disse. are, art en Aerait notre cher paye- noco me en Espagne, vous sertes dépouillés, Agorpest Nous ,outaitons de 0005 MW la ricteIre de Franco, c'est-d-dire relie <le la 000é/78.Jan sur aff barbarie/ O Le PME. continue ra marche... DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE MOMENT NOUS DE- MANDERONS DES COMPTES. Yous JUGERONS. NOUS CONDAMNERONS. ET SI CERTAINS N'ONT PAS EU LE TEMPS DE PRENDRE L'AVION, NOUS I'v'otteefgîtle?.Mill Sot est Un honime averti en vaut deux, dité B lllll 11111111111111111111111111111111111111111111 FUTUR KANE VAINQUEUR D'ANGELMANN est terminée Paris, 19 janvier. Devant Marx Dormoy, ministre de l'inté- rieur, il a été convenu Entre MM. Robert Lévy, prési- dent de la Fédération des bouchers en gros; doubla, président de la Fédération des ..-prodults ; Becta., vice-président de la. Fé- dération de l'alimentation ; Tou- rasse, secrétaire du Syndicat des travailleurs des abattoirs; de l'Union des Syndicats 1. Conformément à l'auttale 2, ParagraPhe 2 de da loi du 31 dé- SOCI.ALIST Après le bombardement du "Maillé-Brézé" LES NAVIRES DE GUERRE FRANÇAIS SONT DESSORMAIS AUTORISES A RIPOSTER A TOUTE ATTAQUE Paris, 19 janvier. Le rainistère de la marine commu- nique: e Le contredorpilleur 01,000-Brasé, venant de Bar.loae el rallient Tou- lon, a été attaqué ramer et bombardé à deux repris., le 18 janvier, hO h. lb au large du cap SalubSebastien. Cinq bol.co ont été lancé., dont .cune n'a atteint le Maillé-Bre.. Une en- quêta est ouverte Puisé idontitier ,a- gresserur. Le ministre de la marine, précis.t les règles généralea filictéro par le décret sur le service à bord des bâti- ments de la flotte, a donné comr00 i.tructions aux navires de guerre français, croisant sur les côtes d Pagne, d'être en tout temps prêts les- poster à toute attaque nettement diri- gée contre eux. LE CARTEL des Services publics chez Léon Blum Paris, 19 janvier. Léon Blum, président du conseil, a reçu ce m.atin, à l'Hôtel Matignon, 1m représentants du cartel des .rvieos publics qui étaient accompagnés de Léon Jouhaux, secrétaire général de la C. G. T. Les repréSentants du cartel des sera vices publics ont attiré l'attention du chef du gouvernement sur la situa- tion créée par la hausse du coût de la vie Le président du conseil a renou- velé à ses visiteurs l'assurance de la sollicitude du gouvernement et Leur a promis d'examiner l'ensemble de la qu.lir avec le ministre dm finan- ces afin de pouvoir en saisir prochm- .m.t le gouvernement tout entier. Le président du eon.il recevra nouveau les représentants do cartel des services publics dam le courant de la .maime prochaine. MORT deM. Georges Ponsot Paria, 19 janvier. On annonce .le décès, b Paras, dans sa soixan- thème annee, de M. Georg. Pan- ' sot, qui fut député de Dôle de 1906 h 1919. I/ ne a'était pas reprémnte à la députation après la guerre. M. Elcorgm Pons001 avait fait une teillante carrière de Journaliste politique à s La Petite Républi- que r ,au e Radical s dont il avait été rédacteur en chef. Il avait également fondé e L'Ere Nouvel- le a et il écrivait régulièrement dans de nombreux lou.aux de province. M. Georges Pon.t, radical obs- tiné, était un adversaire acharné dii s.ialisme contre lequel il ba- tailla sans cesse. Son talent égalait ses 0x0010- Os pesée d'Angelman avant le match 11 b.vait un style_ à tut, qui per- 0000r 0000, au Palais des Sports, Peler mettait de reconn a arta.. liane a battu aux points Angelm.n. I entre cent. l Christoforidis et Menet ont fait mat. II Ilguralt incatiteStablement m. . /...-rini les grands journalistes. 1111111111111111111111111II1111111/111111111111IIIIIIIIIIM111111110111111/11111IMIIIIIIIIIINI cambre 1936 le travail reprendre La grève des abattoirs iTétnfe,tL iactuellement entre les parties se- 1:ont portém immédiatement de- vant un arbitre désigné par le gouvernement. Cet arblteo randra sa sentence le plus rapidement pcosible. Cette .ntenee, confor- mément à l'article 6 de la loi du 31 déceanbre 1936, sera Publioi., obli gatoire et Sans appel. n n'y aura P. de r.voi pour fait de grève. Aux hatles centrales, on décla- rait à la fin de /a matinée que /a grève avait eu psion conséqu.ce defaire baisser l'approvisionne- ment de moitié du Pavillon de in b050ber:1e. N.nmoins, grâce amo ré.rves, les boucliers détaillants tant pourvus de façon normale. Toutefois une haus. de 1 franc par kilo est à prévoir. Des groupes de grévistes dans In cour des abattoirs de la Villette. Voici la belle voiture-ambulance achetée par souscriptions pes la sec- tion syndi.le des usines Gnome-et-Rhône, et qui part tout équipée pour l'Espagne. L'exemple de Gnome-et-Rhône, qui a déjà réuni 260.000 francs par collectes, tant pour les grévistes que pour l'Espagne. est à méditer et à suivre! 11111118111111IIMIIIIIIIIIIHNO111111 llllllllll Un incident tout entier ont été informés que la politique financière du Gouverne- aux assises du Calvadoe ment se fonde sur 10 poiacopn La cour refuse d'admettre comme juré un antif.ciste condamné comme tel et gracié par le Président de la République Caen, 18 janvier. Un Incident first produit, an début de l'audience d'ouverture de la session 0m assises Ou Calvados. Parmi les jurés appelés à siéger se treéfufven 05ion's7le dard'. s'ai but condamné en mars dee. nier h deux ans de prison par la mn d'appel de Caen pour sa participation, en septembre 0015, aux événements de Mandarine, provoqués par /es Croix de feu se rendant à Iléaux et 51.1 fut, ré. ridaJet d'une mesure de gra. du President de la Rd...é La cour, consklerant que la mesurs de giee doutia 0010000,00 leunsirans ' I rase une peln'ilb' de Cinq 'ennemi, 1 O'sucmvt do, von ',1:1;511115sttiras 'ï,Z Peic une mime période. pend essentiellement de la situa- tion économique du pays, et Inc la conviction que c'est en ranimant la production et les éch.ges qu'ou pourra obtenir l'amélioration pro- gressive de /a situation fifnancière de l'Etat. Le déficit initial du budget 1937 est de beaucoup plus important que celui du budget 1935. Son déficit ,11,4.1... Le Nickel baisse mais le Fer monte En 1936, la consommation mon- diale du nieleekl a été de 20 % su- périeure à eelle enregistrée dans P.née précédente. Pour stimuler encore l'emploi de ce métal, « International nickel » vient de réduire de 10 % ses prix de vente. Son président, M. Robert C. Stanley, a exprimé sa cours«- trou qu'une telle réduction ne cau- sera aucun tort financier à la Com- pagnie qu'il dirige et provoquera . nouvel accroissement de la con- s.. sti Nous comprenons la décision de « international nickel ». Elle est inspirée d'une élémentaire doctrine commerciale o vendre moins cher pour vendre plus. Mais nous ne cachons pas qu'elle nous surpr.d un peu en intervenant au moment u, en Franco, fin comme Gri- bouille qui se jette à l'eau de peur de la plate, le capitalisme des hauts-fournaux se dis.t effrayé par la menace d'une aggravation de In crise, élève exagérément les prix des autres méta.. Gageons que si André Tardieu 'occupait l'Hôtel Matignon, à la pis- c e Léou Elam, le Coma. des Forges du très patriote M. de Wen- del, envisagerait d'agir comme vient de le faire l' « International nickel a. Le Gouvernement ,Léon Blum et le budget Les anciens ministres des Finan- .s avaient pris la mauvaise habi- tude de camoufler la réalité de fai- re reguherement voter par 1. Chambres un budget habilement équilibré me le papier, dans lequel la démagogie et l'avarice avalent rogné les dépens., l'optimisme et le calcul politicien gonflé les re- cettes. Un exemple La loi de finances votée le 26 dé- cembre 1934 contenait les prévi- sions suivantes pour 1935 Dépenses ........ 47.817 raillions Recettes 46.991 mi/lions Soit un déficit initial de 826 mil- lions. Les compteo de l'exercice 1935 se sont soldés Recettes 39.485 millions Dépenses lllll 49.869 millions Soit, finalement, un déficit réel de 10 milliard 383 millions ! Notre ami Vincent Auriol a nettement et courageusement rom- pu avec les errements suivis par ses prédécesseurs. Rue de Rivoli 11 ,0 remis . honneur .e vertu qifun esprit de faux-monnayeur avait depuis longtemps chasser l'honnêteté. Les parlementaires et le paya fois les prévisions. Comme l'a e/ai- dans I ame des dévots! L'ebdomadaire t La Vie Catho- lique o du 2 janvier 1937 a publié un long manifeste sur les e problè- mes de l'heure o, étrange coktail Où se mêlant une critique amère du communisme et une exaltation de la grandeur de Dieu, des impré- cations et d. prières. Contre nos camarades commu- nistes, on y relève des jugements comme ceux-ci : Agents aux ordres de Moscou... . immense danger menace en ce moment la civilisation chrétienne, à savoir le communisme bolchevi- que... qui tend à détruire la famille ennoblie et sanctifiée par le Christ, à dépouiller la personne humaine de ses prérogatives essentielles, sans parler de l'incroyable misère écono- mique à laquelle il réduit ses vic- times... Pour enrayer tolite P.i.- gande subversive les hommes d'or- dre de toute opinion souhaitent et demand.t un Gouvernement fort. Mais les auteurs de cette diatri- be antibolchévique, toute impré- gnée de haine, ont eu ensuite le front de former ce voeu t « Puisse In paix chrétienne régner dans vos coeurs et la fraternité ordonner vos sentiments et gouverner vos ac- tes ! Si la fraternité ne commandait p. 1m sentiments et ne gouvernait pas les actes des prime. de l'Egli- MERCREDI 20 TANVTER 1022 « IL N'Y A PAS D'OCCUPATION MILITAIRE ALLERINDE MAROC s, AFFIRME TRIOMPHALEMENT L' « EXPRESS s. MAIS IL Y A L' « EXPRESS u NE LE NIE PAS OCCIIt PATION ECONOMIQUE, NOTRE CONFRERE NE SEMBLE PAS S'EN ALARMER. IL NE FAUDRAIT PAS LE POUSSER FORT POUR QU'ILS'EN FELICITAT. El SI CETTE INVASION ECONOMIQUE ETAIT LE FAIT PIE CIVILS RUSSES, QU'EN DIRAIT L'ORBANE DU BOY te L'Él ECTION DE LILLE votant pose Henri Salengro, les Ecarder» et les démocrates de Lille ont exprimé leu, fidélité au souvenir de l'homme que les men- songes et les calomnies avaient abattu. En votant pour lienri, les Lillois ont voté pour Roger. Du mi. coup, le peuple de Lille donné son approbation h cette nou- velle iégislation de la presse dont la née.sité se faisait sentir depuis long- temps, mais dont l'urgence s'est trou- vée, hélas ! si cruellement démontrés par la triste fin de Salengro. Du même coup aussi, les trayant leurs de Lille ont montré, d'une part, qu'ils étaient satisfaits de l'ensemble On la politique gouvernementale, put. qu'ils envoyaient au Parlement nom- me dont le seul nom était un acte de fidélité à cette politique ; d'autre part, qu'ils plaçaient hast dans leur estime se Parti socialiste dont Roger Salen- gro avait été, toute sa vie, le militant discipliné et l'homme de confiance. Hommage an meilleur des hommes, mais hommage aussi à .e politique et à un Parti voilà danser qu'a signi- fié l'élection triomphale d'Henri Sa- lengro. Psi teou à le aire toi aprSs d'us. iressans rien diminuer de la peine que /a mort de Roger tr réel, sera es probablement bien inférieur à ce déficit initial con- en nos meurs, l'élection de Lille notas trainement à ce qui s'est régblibre- apports des ""a' e"Pé- ent produit depuis plusieurs an- im ,es, le trou du déficit ayant tout rer. D'abord parce que le peuple de sa pays ne parait ms disposé à mesurer sa confiance au remouS et gouvernement de Viserut j?,Inairj.,,nrtggp7Prigngl Front Populaire, pomma que eelui.cl « tend vers Piquilibre L car le continue de tenir ses engagements.Ent éduisa de déficit qu'il marque au depart ira suite parce qlle IeS travailleurs, °Dm- rnt au fur et à mesure l'estoc econonuque. Et â n'est que d'ouvrir sa fenê- tee et de regarder autour de coi po. se rendre compte de la réalité d'une reprise économique. Da/e un an, mi le verra, /e bilan budgétaire de .'Etat sera un .cel- lent bulletin de santé, prenant chaque jase, on peu mieux lee tâches difficiles du Parti socialiste« répondent plus nombreux à ses appels, a.eptent Me plus d'enthousiasme ses mots d'ordre et ont mieux compris que l'obligation oh il est de pousser jusqu'à son terme l'expérience gourer- nementale actuelle, ne l'empêchent Tant de lie! entre-t-il remdetiddem. e:roera:ehqutirilvéoltalitenhi,.er che vers m libération complète dans une société sans classe, sans exploita- Son do travail par le capital, oeuf.dire dans une mciété socialiste. SEVERAC. Le sous-Comité de non-interventiona tenu hier sa 21° réunion Londres, 18 janvier. Mune de la 1m réunion da soss-Costut de non-in- tervention, yen. au Foreign Office crt avrès-midi, le communique 31.4iVaet 001001 publié : sous-NamiX Pei d'av. soitserait ...m. se accortsdasll- res en vue ire... un pian de mn.. deetine à assurer l'application anl'accord de nondntervention. Des détale and E00 fournis 00 0000 comité concernant 1m travaux des ex- P.I. qui ...nt vert.. aspects te... alques du ptan de contrôle oui leur o. été soum. On esprre que 0m 00000'mevrer ...Iront leur reidémd on A'dArd. a Zn cette semaine. Le sousAcemité a continué sen Made du nappant rnnts par I. experts mir la Pavaddllté d.... raccord à raide Ai. na..., A Inn o. ars deux partis oPPe- eas en Espagne. ce ,a.ppor, sera de nou. veau 5000,150 au amure 00la prodmine eéanco du sous..... se, ;full:. n; lire.tiliaeriaig o.ues pas alors En pagriro,l,isinauùjoEurri: TERRE f111111111111111111111111111111111111 lllll 1111 llllllllllllll 111111111111111111111111111111111111111 Comment Adolf écrit l'histoire REN.F.11: Hep la amex-vous bientôt fini de m'oppresser et de rue meaacert Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ABONNEMENTS3 teX, 23 le. me i.. 49 Ir. as. PZ v0.

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LA VICTOIREDE LILLE

Bracke votant à Lille po. Henri Salengre.

A NS combien d'endroits

Dsuis-jeallé, au cours de

mes cinquante années deParti, /n'associer, un agir

de scrutin à /a Proclamationjoyeuse de succès socialistesCombien de fois, devant l'Unionde Lille, toujours spontanément lecentre de rassemblement ouvrier,ai-je dû, pour entrer, percer lesIEDIOUs denses des travailleurscriant des vivats et se pressantpour entendre dire, redire et com-menter !es chiffres de rétention IJe ne sais. L'image de cette foulevibrante est dans mes yeux le sou-venir fixé d'un spectacle connuet cher.

Mais dimanche soir, l'émotionqui régnait dans cette réunion desenthousiastes espérances etaitd'une complexité particulière.Tous les pleurs n'étaient pas deJoie; le salut adressé au vivant serappelait et lui rappelait le mort,/e tué de la calomnie réaction- Salengro comme envers elle.meme,nuire. Réparation mêlée de ce- au moment où il s'agit d'amplifier,banche, bienvenue naêlée d'adieu.

En même temps, le sentiment de/utte commencée à poursuivre, aulindemairi du grand conflit desmétallurgistes renforçait /e sens dela victoire. Elle est belle. Il yentre un élément de confiancedans la potitique du Front Popu-laire, du gouvernement républicain

direction socialiste, et, ce qui aplus de valeur encore, de confiancedu peuple ouvrier dans sa forceorganisée et dans sa croissance de député de son frère, tous sen-d'autant plus calme qu'etle est talent ce que garde de poignantplus puissante.

La presse réactionnaire n'adiantre ressource que d'essayer deréduire la portée du succès. Elley réussit mai T.bit, comme leMatin et d'autres, elle ne compareles 9.888 voix données h Henri Sa-lengro au premier tour /peaux sur- BRACKE (Â-M. Donnasses.),frages réunis par /loger Salengroau second tour. Autrement, il amrait fallu constater que, loind'avoir Laissé, te nombre des voixsocialistes avait augmenté de mille.Tantôt, comme la Dépêche, elleexplique que ce premier tour était du con.il de la Some. des Labomen réalité un second, parce que ni qui va s'ouvrir le 21 Mn.. a gadin/es radicaux ni les pppiers Paris ce soir. Elle ce aisi.rumsée

MM. Yvan Deibos, ministre des affai-n'avaient présente de candida- .eps

tores. Je ne complimenterai pas le de M. Boche, chef de son cabinetcalculateur du journa/ de droite, Pierre Virent, sous-s.rétaire d'EtatCar, à supposer aux uns comme au xaffaires étra.ngeres, deleaue sun-

. aux autres leurs suffrages de 1938 "'l'an, 2e°°mImiiiM de IL Bérardochef de son cabinet; Misslgli, direc-

maintenus, 701 et 255 additionnés leur politique adjoint du ministèrene balanceraient pas encore les don affaires étranger., délégué 0d-792 voix au-dessus de la majorité joint ; li.devant, luriseensulte duasap]or rarr,rjsir, par Firmi sa. ministère de saffaires étranger.; La.

gardé, d.e la senti. framoise de lafl.Iengro. Quant au vain., Edmand

aspelpt, dra gss

Une clientede la Banque de Bâte

condamnéetrois mois de Prison

,F3 cliLes r.

LambMal. analin le saliMac... Lelevait ea effetalie 0,105 50 done.l'avoirs ta l'étranger,Pas fait.

Pour les années suiv50iment ayant été...mn.,

ese ut'4.. Curine ndouairière, fut cinelle, où elle nê

l'rnt ie12.Par défaut. e e,q eion de se rendre Ilarce.one afin de

`é-- recueillir des infornmtiaose'itov000t pris du

roi 1000,biiliti

miros

Réduit« et 4dootnINtrattest t 38, rue Remtetatee, TOULOUSE T. ZOO. «taux 5.E71BUREAUX A PARIS 3. rue St-Augustin (2.) - Tétée Richelieu 00M (3 Hese irroupd. me es nnera

GbYs, il remercie les électeurs dela réaction d'avoir s maintenu in-tégralement leurs positions commele prouve l'étude des chiffres duscrutin s, alors que la part desa idées nationales n dont il déclare'avoir "été le porte-drapeau n, s'est,par rapport à 1936, abaissée de600. L'ouvrier traître ti sa classepeut bien trahir aussi /a vérité.

C'est avec un sentiment de classehien net, comme le leur deman-daient les affiches apposées par lasection lilloise du Parti, que lestravailleurs sont allés dimancheans urnss. C'est ce sentiment qu'ablessé, en réalité, la campagnepour le candidat communisteManguine. De là la perte de prèsde 30 p. cent des voix que lemême avait eues en 1939. Ce reculprouve aux camarades commu-nistes avec quelle justesse laclasse ouvrière a compris son de-voir, envers la raï/noire de Roger

de consolider, de compléter par lamarche en avant la politique so-ciale de ce ministère de FrontPopulaire où il n'a tenu qu'auParti communiste de prendre sapart de responsabilité.

Au moment où, devançant le re-censement officiel des votes, notreami Charles Saint-Venant, député-maire, procurait à Henri Salengroune brusque émotion partagée parl'auditoire en lui offrant l'écharpe

tout rappel du disparu, et danstous s'affirmait la certitude queIn victoire qui lui donne un dignesuccesseur en annon. d'autres.

Henri Salengro y travaillera detoute sa fidélité comme de toutson talent.

Demain à GenèveLa délégation fruncolxrà la session

'ral de la délégation; Chauvel, de laso.-darection d'Afrique; de Boisa.ger, du bureau d information et depresse du Quai d'Orsay, Spitzmuler etPanafieli vle la sous-direction de lasection française de la Société desNations.

On ne crai tuas crue le séjour deM. Yvan Delbos doive dépasser unerenaine, car on espère que dans lesjoues qui vont venir une mlidion sa-tisfaisante pour la France et la 'fur-gaie aura pu intervenir.

Mi Viénot, au cos où la sessioncontinuerait encore quelque temps,prendrait alors la tête de la déléga-tion française.

uns RADICAUX A BARCELONEParis, N janvier. gfimmlant à une

ors invita/ici de la Généralité de Gamm-xne. le groupe radical socialiste de la

se présenter. Chambre a cléegné une délégation

M. Roturler orenposée de Inf. BOssoutrot, Usas,ois de priSed qfl, Gallmand, Guichard, Lassalle,

t et Naudin mil Mira pour mis-

" Bientôt, légalement

ou illéga!ement

nous prendrons le pouvoir!"

...Déclare à Laonun st réconciliateur os, qui m'once

des si exécutions os

Il y a denv La Rocque, l'apôtre etle conspirateur. Il r a deusfa P.S.F., celle de la réconciliation, pourle gr00 public, et mile de /a haine et dela violence, pour /es A purs et p."1es sections Ies plm e gonflées 5.

0055 015g oriels 14 courant, d, El.

L'on% ecrerl ler are:4e anuirm210 affilié. La. moitié étaient etran.geres à la vine, et venus la 5 titred'exercice, suivant le plan que MISavons indiqué,.

Le programme fut simple. Ni. Seautlléfit la retape aux adhérents. Ift, Bru.mea. (de Soignons) eXPliqua que laC.G.T., ennemie publique n° 1, n'avaitd'autre but que de créer le maximumd'emm.... mu patrons (se. Il adontaque le P.S.P. prendrait bientôt le pou-voir pour none dererramer de cettehideuse République aux cheveux a laPautnoneour, au nea à la Eirun...wigSi au venbe â la Jouhaux (rasse,.Après ces délicatesses, /a parole futdonnée 0x0 délégué de Paris, prése053soue le nom de M. Daum (fi vo005quelames extraits de son dis.urs:

Si te communisme n'avait per tramlirCSSê deVattt mi, la ructiqUe Cr°.

de Cm qu'av.,e loi ne >Mire disse.are, art en Aerait notre cher paye- nocome en Espagne, vous sertes dépouillés,Agorpest Nous ,outaitons de 0005 MWla ricteIre de Franco, c'est-d-dire relie<le la 000é/78.Jan sur aff barbarie/

O Le PME. continue ra marche...DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLEGALEMENT, NOUS PRENDRONS LEPOUVOIR. A CE MOMENT NOUS DE-MANDERONS DES COMPTES. YousJUGERONS. NOUS CONDAMNERONS.ET SI CERTAINS N'ONT PAS EU LETEMPS DE PRENDRE L'AVION, NOUS

I'v'otteefgîtle?.Mill Sot estUn honime averti en vaut deux, dité

B lllll 11111111111111111111111111111111111111111111

FUTUR KANE VAINQUEUR

D'ANGELMANN

est terminée

Paris, 19 janvier. DevantMarx Dormoy, ministre de l'inté-rieur, il a été convenu

Entre MM. Robert Lévy, prési-dent de la Fédération des bouchersen gros; doubla, président de laFédération des ..-prodults ;Becta., vice-président de la. Fé-dération de l'alimentation ; Tou-rasse, secrétaire du Syndicat destravailleurs des abattoirs;de l'Union des Syndicats

1. Conformément à l'auttale 2,ParagraPhe 2 de da loi du 31 dé-

SOCI.ALIST

Après le bombardementdu "Maillé-Brézé"

LES NAVIRES DE GUERREFRANÇAIS SONT DESSORMAIS

AUTORISES A RIPOSTERA TOUTE ATTAQUE

Paris, 19 janvier.Le rainistère de la marine commu-

nique:e Le contredorpilleur 01,000-Brasé,

venant de Bar.loae el rallient Tou-lon, a été attaqué ramer et bombardéà deux repris., le 18 janvier, hO h. lbau large du cap SalubSebastien. Cinqbol.co ont été lancé., dont .cunen'a atteint le Maillé-Bre.. Une en-quêta est ouverte Puisé idontitier ,a-gresserur.

Le ministre de la marine, précis.tles règles généralea filictéro par ledécret sur le service à bord des bâti-ments de la flotte, a donné comr00i.tructions aux navires de guerrefrançais, croisant sur les côtes dPagne, d'être en tout temps prêts les-poster à toute attaque nettement diri-gée contre eux.

LE CARTELdes Services publics

chez Léon BlumParis, 19 janvier.

Léon Blum, président du conseil, areçu ce m.atin, à l'Hôtel Matignon, 1mreprésentants du cartel des .rvieospublics qui étaient accompagnés deLéon Jouhaux, secrétaire général dela C. G. T.

Les repréSentants du cartel des seravices publics ont attiré l'attention duchef du gouvernement sur la situa-tion créée par la hausse du coût dela vie

Le président du conseil a renou-velé à ses visiteurs l'assurance de lasollicitude du gouvernement et Leur apromis d'examiner l'ensemble de laqu.lir avec le ministre dm finan-ces afin de pouvoir en saisir prochm-.m.t le gouvernement tout entier.

Le président du eon.il recevranouveau les représentants do carteldes services publics dam le courantde la .maime prochaine.

MORTdeM. Georges Ponsot

Paria, 19 janvier. On annonce.le décès, b Paras, dans sa soixan-thème annee, de M. Georg. Pan-

' sot, qui fut député de Dôle de 1906h 1919. I/ ne a'était pas reprémnteà la députation après la guerre.

M. Elcorgm Pons001 avait fait uneteillante carrière de Journalistepolitique à s La Petite Républi-que r ,au e Radical s dont il avaitété rédacteur en chef. Il avaitégalement fondé e L'Ere Nouvel-le a et il écrivait régulièrementdans de nombreux lou.aux deprovince.

M. Georges Pon.t, radical obs-tiné, était un adversaire acharnédii s.ialisme contre lequel il ba-tailla sans cesse.

Son talent égalait ses 0x0010-Os pesée d'Angelman avant le match 11 b.vait un style_ à tut, qui per-

0000r 0000, au Palais des Sports, Peler mettait de reconn a arta..liane a battu aux points Angelm.n. I entre cent. lChristoforidis et Menet ont fait mat. II Ilguralt incatiteStablementm. . /...-rini les grands journalistes.

1111111111111111111111111II1111111/111111111111IIIIIIIIIIM111111110111111/11111IMIIIIIIIIIINI

cambre 1936 le travail reprendreLa grève des abattoirs iTétnfe,tL

iactuellement entre les parties se-1:ont portém immédiatement de-vant un arbitre désigné par legouvernement. Cet arblteo randrasa sentence le plus rapidementpcosible. Cette .ntenee, confor-mément à l'article 6 de la loi du 31déceanbre 1936, sera Publioi., obligatoire et Sans appel. n n'y auraP. de r.voi pour fait de grève.

Aux hatles centrales, on décla-rait à la fin de /a matinée que /agrève avait eu psion conséqu.cedefaire baisser l'approvisionne-ment de moitié du Pavillon de inb050ber:1e. N.nmoins, grâce amoré.rves, les boucliers détaillantstant pourvus de façon normale.Toutefois une haus. de 1 francpar kilo est à prévoir.

Des groupes de grévistes dans In cour des abattoirs de la Villette.

Voici la belle voiture-ambulance achetée par souscriptions pes la sec-tion syndi.le des usines Gnome-et-Rhône, et qui part tout équipéepour l'Espagne. L'exemple de Gnome-et-Rhône, qui a déjà réuni260.000 francs par collectes, tant pour les grévistes que pour l'Espagne.

est à méditer et à suivre!

11111118111111IIMIIIIIIIIIIHNO111111 llllllllll

Un incident tout entier ont été informés que lapolitique financière du Gouverne-

aux assises du Calvadoe ment se fonde sur 10 poiacopn

La cour refuse d'admettre commejuré un antif.ciste condamné

comme tel et graciépar le Président de la République

Caen, 18 janvier. Un Incidentfirst produit, an début de l'audienced'ouverture de la session 0m assisesOu Calvados.

Parmi les jurés appelés à siéger se

treéfufven 05ion's7ledard'. s'ai but condamné en mars dee.nier h deux ans de prison par la mnd'appel de Caen pour sa participation,en septembre 0015, aux événements deMandarine, provoqués par /es Croix defeu se rendant à Iléaux et 51.1 fut, ré.

ridaJet d'une mesure de gra.du President de la Rd...é

La cour, consklerant que la mesursde giee doutia 0010000,00 leunsirans

'I rase une peln'ilb' de Cinq 'ennemi, 1O'sucmvt do, von

',1:1;511115sttiras'ï,ZPeic une mime période.

pend essentiellement de la situa-tion économique du pays, et Inc laconviction que c'est en ranimant laproduction et les éch.ges qu'oupourra obtenir l'amélioration pro-gressive de /a situation fifnancièrede l'Etat.

Le déficit initial du budget 1937est de beaucoup plus important quecelui du budget 1935. Son déficit

,11,4.1...Le Nickel baisse

mais le Fer monteEn 1936, la consommation mon-

diale du nieleekl a été de 20 % su-périeure à eelle enregistrée dansP.née précédente.

Pour stimuler encore l'emploi dece métal, « International nickel »vient de réduire de 10 % ses prixde vente. Son président, M. RobertC. Stanley, a exprimé sa cours«-trou qu'une telle réduction ne cau-sera aucun tort financier à la Com-pagnie qu'il dirige et provoquera. nouvel accroissement de la con-s.. sti

Nous comprenons la décision de« international nickel ». Elle est

inspirée d'une élémentaire doctrinecommerciale o vendre moins cherpour vendre plus. Mais nous necachons pas qu'elle nous surpr.dun peu en intervenant au momentu, en Franco, fin comme Gri-

bouille qui se jette à l'eau de peurde la plate, le capitalisme deshauts-fournaux se dis.t effrayépar la menace d'une aggravation deIn crise, élève exagérément les prixdes autres méta..

Gageons que si André Tardieu'occupait l'Hôtel Matignon, à la pis-c e Léou Elam, le Coma. desForges du très patriote M. de Wen-del, envisagerait d'agir commevient de le faire l' « Internationalnickel a.

Le Gouvernement

,Léon Blum et le budgetLes anciens ministres des Finan-

.s avaient pris la mauvaise habi-tude de camoufler la réalité de fai-re reguherement voter par 1.Chambres un budget habilementéquilibré me le papier, dans lequella démagogie et l'avarice avalentrogné les dépens., l'optimisme etle calcul politicien gonflé les re-cettes.

Un exempleLa loi de finances votée le 26 dé-

cembre 1934 contenait les prévi-sions suivantes pour 1935Dépenses ........ 47.817 raillionsRecettes 46.991 mi/lions

Soit un déficit initial de 826 mil-lions.

Les compteo de l'exercice 1935se sont soldés

Recettes 39.485 millionsDépenses lllll 49.869 millions

Soit, finalement, un déficit réelde 10 milliard 383 millions !

Notre ami Vincent Auriol anettement et courageusement rom-pu avec les errements suivis parses prédécesseurs. Rue de Rivoli11 ,0 remis . honneur .e vertuqifun esprit de faux-monnayeuravait depuis longtemps chasserl'honnêteté.

Les parlementaires et le paya

fois les prévisions. Comme l'a e/ai-

dans I ame des dévots!L'ebdomadaire t La Vie Catho-

lique o du 2 janvier 1937 a publiéun long manifeste sur les e problè-mes de l'heure o, étrange coktailOù se mêlant une critique amèredu communisme et une exaltationde la grandeur de Dieu, des impré-cations et d. prières.

Contre nos camarades commu-nistes, on y relève des jugementscomme ceux-ci :

Agents aux ordres de Moscou.... immense danger menace en cemoment la civilisation chrétienne, àsavoir le communisme bolchevi-que... qui tend à détruire la familleennoblie et sanctifiée par le Christ,à dépouiller la personne humaine deses prérogatives essentielles, sansparler de l'incroyable misère écono-mique à laquelle il réduit ses vic-times... Pour enrayer tolite P.i.-gande subversive les hommes d'or-dre de toute opinion souhaitent etdemand.t un Gouvernement fort.

Mais les auteurs de cette diatri-be antibolchévique, toute impré-gnée de haine, ont eu ensuite lefront de former ce voeu t « PuisseIn paix chrétienne régner dans voscoeurs et la fraternité ordonner vossentiments et gouverner vos ac-tes !

Si la fraternité ne commandaitp. 1m sentiments et ne gouvernaitpas les actes des prime. de l'Egli-

MERCREDI 20 TANVTER 1022

« IL N'Y A PAS D'OCCUPATION MILITAIRE ALLERINDEMAROC s, AFFIRME TRIOMPHALEMENT L' « EXPRESS s.

MAIS IL Y A L' « EXPRESS u NE LE NIE PAS OCCIItPATION ECONOMIQUE,

NOTRE CONFRERE NE SEMBLE PAS S'EN ALARMER.IL NE FAUDRAIT PAS LE POUSSER FORT POUR

QU'ILS'ENFELICITAT.El SI CETTE INVASION ECONOMIQUE ETAIT LE FAIT PIE

CIVILS RUSSES, QU'EN DIRAIT L'ORBANE DU BOY te

L'Él ECTIONDE LILLE

votant pose Henri Salengro, lesEcarder» et les démocrates de

Lille ont exprimé leu, fidélitéau souvenir de l'homme que les men-songes et les calomnies avaient abattu.

En votant pour lienri, les Lilloisont voté pour Roger.

Du mi. coup, le peuple de Lilledonné son approbation h cette nou-velle iégislation de la presse dont lanée.sité se faisait sentir depuis long-temps, mais dont l'urgence s'est trou-vée, hélas ! si cruellement démontréspar la triste fin de Salengro.

Du même coup aussi, les trayantleurs de Lille ont montré, d'une part,qu'ils étaient satisfaits de l'ensembleOn la politique gouvernementale, put.qu'ils envoyaient au Parlement nom-me dont le seul nom était un acte defidélité à cette politique ; d'autre part,qu'ils plaçaient hast dans leur estimese Parti socialiste dont Roger Salen-gro avait été, toute sa vie, le militantdiscipliné et l'homme de confiance.

Hommage an meilleur des hommes,mais hommage aussi à .e politique età un Parti voilà danser qu'a signi-fié l'élection triomphale d'Henri Sa-lengro.

Psi teou à le aire toi aprSs d'us.iressans rien diminuer de la peineque /a mort de Rogertrréel, sera es probablement bien

inférieur à ce déficit initial con-en nos meurs, l'élection de Lille notas

trainement à ce qui s'est régblibre- apports des ""a' e"Pé-ent produit depuis plusieurs an-

im,es,

le trou du déficit ayant toutrer.

D'abord parce que le peuple de sapays ne parait ms disposé à mesurersa confiance auremouS et gouvernement de

Viserut j?,Inairj.,,nrtggp7Prigngl Front Populaire, pomma que eelui.cl« tend vers Piquilibre L car le continue de tenir ses engagements.Ent

éduisa dedéficit qu'il marque au depart ira suite parce qlle IeS travailleurs, °Dm-rnt au fur et à mesurel'estoc econonuque.

Et â n'est que d'ouvrir sa fenê-tee et de regarder autour de coipo. se rendre compte de la réalitéd'une reprise économique.

Da/e un an, mi le verra, /e bilanbudgétaire de .'Etat sera un .cel-lent bulletin de santé,

prenant chaque jase, on peu mieux leetâches difficiles du Parti socialiste«répondent plus nombreux à ses appels,a.eptent Me plus d'enthousiasmeses mots d'ordre et ont mieux comprisque l'obligation oh il est de pousserjusqu'à son terme l'expérience gourer-nementale actuelle, ne l'empêchent

Tant de lie! entre-t-il remdetiddem. e:roera:ehqutirilvéoltalitenhi,.er

che vers m libération complète dansune société sans classe, sans exploita-Son do travail par le capital,

oeuf.diredans une mciété socialiste.SEVERAC.

Le sous-Comitéde

non-interventionatenu hier sa 21° réunion

Londres, 18 janvier. Mune de la1m réunion da soss-Costut de non-in-tervention, yen. au Foreign Office crtavrès-midi, le communique 31.4iVaet 001001publié :

sous-NamiX Pei d'av. soitserait...m. se accortsdasll-res en vue ire... un pian de mn..deetine à assurer l'application anl'accordde nondntervention.

Des détale and E00 fournis 00 0000comité concernant 1m travaux des ex-P.I. qui ...nt vert.. aspects te...alques du ptan de contrôle oui leur o.été soum. On esprre que 0m 00000'mevrer...Iront leur reidémd on A'dArd. aZn cette semaine.

Le sousAcemité a continué sen Madedu nappant rnnts par I. experts mir laPavaddllté d.... raccord à raide Ai.na..., A Inn o. ars deux partis oPPe-eas en Espagne. ce ,a.ppor, sera de nou.veau 5000,150 au amure 00la prodmineeéanco du sous.....

se, ;full:. n; lire.tiliaeriaig o.ues pas alors En pagriro,l,isinauùjoEurri:TERRE

f111111111111111111111111111111111111 lllll 1111 llllllllllllll111111111111111111111111111111111111111

Comment Adolf écrit l'histoireREN.F.11: Hep la amex-vous bientôt fini de m'oppresser et de rue meaacert

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: LA VICTOIRE DE LILLE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_20.… · DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE

.4% Le Parlement eAU-- SEI-Ler--

PAROLES PRESIHENTIELLESParis, 19 janvier. La Siantr

est ouverte en présence de nom-breulr sénateurs.

M. Jeanneney, qui préside, pro-nonce le discours rituel.

M. 'deanneney rappelle, en se«mercialit ses collègues, tant en sonnom personnel, qu'au nom du bu-reau-d. Sénat, es,-Poarsenetifoisr élO président de laHaute-ASAMmblee

Et 11....1..nneney, rappelle, nonsans regret pour ce passé, qu'au-tretbis in'discussion publique dubudget pou,vait commencer vers lami-.tobre.

LE Itt/EB"Dli-SEarATLE PRESIDENT. C'est chose

vérifiée souvent que notre Assem-blée est périodiquement suspegfe'etqu'elle l'est alternativement auxunset aug.autres suivant qu'elle seprête du se refuse aux eadgencesdes ennent d'Opinion ou desfis. oneon destin est, en particulier,de panées pour rétrograde noue lesgouvernements avaneé.s. r.

Et l'orateur fait l'historique duSénat dont la fiche est, depuis la

EarPosani afraii /emeiti-

se.nt discutée le 36 janvier.Le Sénat déride que relie de M.

Roux-Pressineng, que Blue' propo-se de joindre à cette de Gautherot,sera diamliées à part le 29-jà-eivier.

Les interpellations de MM. Arm-broker et vie M. Marcel Plaisantseront jointes.

La Lis de des inter-pellations de MM. L.aché, de LaGrange et Néron Sera fixée- Ulté-rieurement.

D'autre part, la Commissiond'instruction de la Haute-Cour seranommée jeudi.

Le président du Conseil dépose leprojet sur les mesures destinées àinterdire le départ de volontairespour l'Espagne avec demande dediscussion immédiate.

Le projet est renvoyé à la Com-mission de législation et pour avisà celle d. Affaires étrangères.

Les présidents de ces deux Com-missions déclarent ou'elles pour-ront saisir le Seet de leurs con-clusions dès demain jeudi.

Le Sénat s'ajourne ensuite àjeudi, 15 heures.

La séance est mvée à 15 lt 45

la législation sur les hrtiesements.A. Serol indique que la commis-

sion repousse l'amendement dépu-ré par M. Parmentier.

Nous arrivons h l'article 3. I/ ac-corde amnistie pleine et entière àtous les délinquants poux des faitscommis antérieurement au 12 no-vembre et qui ont entraîné Ou en-traineront une condamnation Va une peine ferme de poison infé-rieure à quia. Banal 2° d ailepeine de prison inférieure b troismois avec sursis ; 3° à une peined'amende InférfeUre tià Iule peine d'amende ave murais.

M. Quenette demande 1a dis-(.4Phiendikernents à

M. RTICART, garde dru sceaux.Nous venons de vivre, depuis la

guerre, une période où se sont pro-duites une série de s.oussesont pu luire taire la voix de la...sien.. (Mouvements divers.

L artick e vsse or qui on peut ap-peler le pêché véniel t sin n'est paspaIsIble uns-river â la Dist. tota-le, Il faut au moins qu'Il entredans la loi un peu de pitié.

A. Serol au nom de la commis-sion, s'associe aux étrang. paso-

LA CHAMBRE eal du garde des Sceaux.Et la demande de disjonction de

gide. de-13,20,,,,utA19.,QUeegen é.rt voicontre 200.eadder l'article 3 est repoussée par 393

principes de la tlIquie x

S'AMNITIEtait tout elPai de Peaveir Persan- L M. Marin demande qu'on excluede l'amnistie les articles du Code

Paris, 19 janvier. Après un Pénal relatifs aux coups et blessu-ve rie la Iclaute-Asserablee depuis sa entriante qui s'est prolongéconstitution, l'orateur déelare suce mois, la Chambre reprend la dis- M. MARTIN. Une lemme estquelque bignone s - mission du projet de le Portant /Pude de Mn., pas un vagabond.

Eire est obligée de s'aliter pendantLe Sénat légifère lentenumt peut.- amnistie. cinquante /ours: La inalheireaseêtre, 'il n5sn faut pas Annulée qu'il M. Berri. préside.

route pigé' daiset -eones ortito- L'on aborde la disinlasjOn slg Ait seri mari, peintre@ gens réduits

dosdee,essu isontraire. Partiel° 2, uni étend IQ bru ans de is Paris/eue Jarlicians, rounAutant que qukonque, nous rés- l'aratiisile à SéeS délinuuents le

Eeneeeabnieulerne-ispejltli pies Faireireeroinoi.,

tons attentif an enoruvadeplee in- maireo.défini qui n'OPeendins2 l. StrUelsro M. Marin s'étonne que et lia n'ont aucun decoursdes s.iétés blues2nee. Peut-on, ou- gence du Front po.pulaire s'étende Contre lut (Appia.udissements àranansent nsnrsron. einie 'eteille an Port illégal de décoration, à droite). Vele ornes de réclamer lesdémocratie Politique 'kik Mie la l'usage de teap9 pf..?t. gant dé- peine Ici plus sévères contre les

" I j pnôtre, ne s'élargmse pas à as 12-2,,F,, êta-- ournaux us ratiqueront larare d'une démearatie sociale et 'Nt' Parnientier tente vatne.nt (amati.% du l'injure, mais vous

dans ne dansons sotrr tés enlisa d'erehirb fraudeS donishiség "par absolveu les gens qui donnent des

Pen Lente la funtiiie"et topée 'fra- des 'Billetée letibne,t 61.2-4E1164. !le nIrsearanis ae,2ina,,lee"IaPadi ta 'comme_ternité ? Mals di efEtellié dé-r- toms peasejsnetA

sidû rephs`Selraffienderaent due lascellé demeuré ; seitartfrauxinhoses Chambre repOusse It son tour, parconçu. les e Leaasee 378 voix peetreLA POLITIQÜË I)L VAITRACex. s'étonne que ree

tes, vediliki arahleer dét,oldeenteiat one, en rsnr drs prnrinetpain ,a Uno Delariae flias ,ega reentiri nes objets saisis ou àeQuesIrée

nconuMérçante conciaMnes une eu-

Heaueid'ae` lede nni'sC'est la Prenière folk eV. en..? lé Lis polir tzenhgerie Sur L'appel-préj -nisn

pose .t tien lé ted-etNiablis ee. eepneeee. 4.,».Loeuefee'reli eme EtAte Perrelif initeraint

ea teifear dee i..ttole 4, qui eha-ticitle:ii'auelap. peu,. pourtantaVar été ieruhaitée par k

, butte les tapin. .

ce ces, si, dans le Parlement, elle A. Sers:d canuse que /in nininstins- x.msint" VALLAT 9e Pra-se, anx yens de certaine, uno au- sien Prielirde d'ad/asti." sliàïrza- pupe qUé Patenkile doit refus,.daos afgente, quel est le devoir /eu el:anales liêtranies'éhe ana ffiii-ulé éenis ree,d4listes de /a faillite.narres ? Le défense envers le rien pas' ka "paris, lé driforiér Par La, umenission' req.m.sepopulaire ? Ils là doivent, à coup exemple er inon non a4S-ai/4 gin, aienient d'en/aura et l'esnendententsu/Li:nada -stem ne leur demande instillé clans-lé /nié, Sait' proïe-. Veliat est repin.é pay 815 noix

pas, en sas, de faire eortège à l'us- Mail de rtiirvolr lés ates Addhle. contre 918,dam gdride teur geacder 371. Pariiieritle d.rande pour- La 'séance est levée 1.19 heures.gré de l'efforf ri,u'llS Sir t fais à que f !hire PanuriSt StériliSS jeudi â 550r. fg, Pinàf la

l'éclairer, à loi signalés les écueils te aux pejo/Mes qui out enfreint Suite de 15 speonsaintI,

'rlTposSielatt,"=,vetr,., aasseinneuoult1110131111111111MIUMs 11/1/5MIHIlliflelluDostmiustruansumm

endettement ,lsdésies et. verlloineuxde jjEtat nicat pan 'sue puis.Le'. ap4iiefilelit 'dé crise etono-Mique, 'lent, à si/Crie/nef, était' Con-trarié par "dés ecinflits sociaux unecesse Meade/ka Per ru82-4,1Pasuspecte partes qui les eitixtseouttSt qui 101 dtVOlagIpptt '

arme joie la paix 'qui revient dansle monde du trayait nee 00140210renpéreF définitive. sous .peu.

Qui ne ne féljettorak- grande-ment tokai Oct indices' qirion signa-le d'are rot-irise- accentuée des af-fairenA'Quion'oe le dise bien Mu-tefoiS I Fénarguè n'hésifeiVi"This às'offrir ton/é et lee capitaux neconsentiront à s'employer` que danslaiétebilité da. ie'realle, c1 doseag, amonts dans l'oreiro fagot

-tÊs verenpubAnoNslllll pour llll ll IIRUIllanniforprilllimmuorinutinirmitimustilpfloromBazia,_19 janvier. Aurès ce

111011600.12. d'éloquence, le se ésident s 01100002,2,110000000.20.112002220100121121,010T. S. P.,. PICE-UP

=lek Ica interpellations déposées.

aaé:reW de kantien d'Ampli!'de . Marie Flamant sur l'accordsnglodialienb Leesseg

Mettra de tente. Intimmtoe.

los sur les pinriéiéu dc SI, de Lss-- -

Grange, cor la réergairination del'aéronautique ; do- Id.-- EdouardNésour mir ies Rampe. de retraiteaux imsap.loyéS...2 0.QT-seri. Qiinlinus.nauxis-de 1, 55ei dna./ lestfoubjdr de l'Afrique da Nord; de

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8 heures. Musiqne denses

h. 15. E0200141.2 de films.8 h. 35. Orri.atre de salon.8 h. 50. Obatennet.,11 é. /15. Soit durite.12 hrium. 020.0W12 1. 15. Chansonne. régionales.121,, dl. Le mes d'heure sine aloia.

Inr, me. Ie. raPPor., ,,, rés.avec ses anciens aines; de M.`Caa, i, su. paani.,anaaaa,theroi, slannita corapieseennimeste; p.nriarrde M. Jean Pianip, sur lee, mesures 10 h. sa. pa,nanarbitraires dent 'auraient été 'rial- ii h dl. sis darse.meg dee

agenis_des.r..4'5T.' T. ; is h. 5.._ cbriést, uriaaup.

ids Bel44 de 18 h, 15. Chansonsmite

radiodiffusion vride-M.Pielelf-risteYS- 15, ej xriénheur.

sineng, Sur 1fS mes_léesn_te//frAinni4- 19 Fanieze rarbent.4ocses en Algérie. sm Larda de la, ihriria é-

ons la proposition-de Lème Blaraprésident du consoll la eideuSSIOrt 21 h. dl. La demileure de Paris.

de ginterpelStioa-ae m. Cr uellear, 22b. Ceeeed crs T2011 de lv yrr s M. OOIII. bioscus, do 1101101m

26r..andos comMuniste estfixée ou 2 février. 22b. eu. Oichestre de d.m. mune..

La date de l'autre interpellation 23 henses. Eistrmts de filmaao lieuses. 300200120 h. 20. Dee..

du même auteur, sur les troubles de 23 h: 15 -,- Orchestre de salon. 21 Transinimim deoide le

l'Afrique du Nord, sera fixée tillé- 11h. 45. Concert sut « Lies Gangstere théâtre du Capitole, du concert donné parMt Chie.,, d'If s, apéro. de S.t.. la Société dee concerts du Cémenter« dé

esDe mène pour ka interpellatiOnS tlo 5. Caveau ,A la Viennoise ». Toulon. (86 aideriants), ao. la Streaoris

de MM. Ragé' et Le Bail. f h. 29. Marches militaire. de M. ASIllgt Kunc, dtreetru« Os Cone.-

CelleS de MM. Philip et Bétoulle 0 h. /O..- Fin de l'émiseo vetos. de Toulouse, grand prix de Rome.

1122220020212.22020020008.20..e...**202.

Toulouse-Pyrénées6 h. 30, -.- Infotrisatima.

I,. 45. 'Concert.151. 40. Csiricert.Il I,. 45. Jsuirtml parlé.12 heur.. Cencest.12 h. 511: é- leemiriens.ri-e 13 I, 0 ;a h. 34 Reprise du

cers13 h. 54, 14 h. ex 15 h. 33. Disques.16 heures. Concert17 h. Il. Dieires.17 h. 30. Concert.18 1, 30. Radio-Journal 'de Baye.19 h. 30. Obrotoepto einamausie.h,--

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E pnuro.rigisoNAL

..*:"Ur,I LA RENAISSANCE ÉCONOMIQUE DANS LA PAIX

Le gouvernement intimera I Nouvelles Internationales

la spéculation sur le sucreLe minigtere de l'Econonsie Natio

na/e a convoque, le vendredi 15 Jarsvier, les représeuMnts du Comité eemted des fabricante de sucre de France,du Syndicat des raffineurs de sus.,do la Compagnie dos conaraissionaelros à ta Boume do paris, à une réunionqui groupait d'antre part, avec les se.Présentants du ministère de YEcon0mie nationale, ceux des ministères desFinances, du Commerce, de line..ture et des Colonies.

I/ oat annaml, au cours de cottenion, que la hausse exo.eive qui a étéconstatée ces ieurs derniers sur le su.

Lfp se jus ??e aga D80. Lee Insu ..ce nueroviwonnerdents dont le

marché clebosera durant la campagneon cens. Mrithellei sheikTecette .mpagne, jointe ourses,t ee laPrénédente et eu Mfeeffridi eriludital,

lion al les excédera Selns dans mnpotaide mesura

te gouvernement est (idole à ré-PrIfiser des pratidues eusal préjudiola.accrue finances publiques qat 115.lérot du consommateur. Il envisagedonc Aae maintenant 00501021 leg mess.

1,5 COMMUNIQUE DE MADRIDMadrid, 19 janvier.

Le conseil eklégué ijour la défenaedo litsibie,ipublah; à Jilidi, b conme-piqué erhe4

a Sur la glus;grande partie du frontde Madrid, fe netiyais teinps eontolueI empecher les el/entions. Au sudde le Capitale, 14, tropes nripssiiliem-1n,es onF-rethst, néanmoins, Que atlas'que Par surprise oontbr l'Importanteposai. Petite dê Cerro de Las A,oplas, La PositiOn u été encercléesures . vil combat au cours ibrielun caumnandant, un Helder.. et 23

rzieneeeUl.nee, hommes reul'ernseront de nature à infarrire Une haus. « Suu, le trent des Asturies, la fa-ce inJustifjée tu cris du sucre Dee brioatiaa d'armes de La Yoga et lamesures ienout étudiées au cours inniiréunion que Andreas, la semaine nro-c4aine, nô sainiee. QP l'EaMonliefionaro, to0000rorSuePe des miels[ères

dee.e. Dot:merde, dot

l'Aigle..ro é/ des Coltiniez, à c

A VIEPORTIVE

flYçalrMadrid, 19 janvier.Les forons loyal. ont Pris eolla-

iiefflitipse ro.o.Tat piétement le Cerro de les Ange.,L'équipa driatiare d'a l'....1C,, lila01 faisant eus olé deux cents prienaleis

par ruse de lednis e Sablayerrift dim.: xem, ell 53.9fred _combe Ma a daim

duc 24 jetai.. faire offees es .nditions Vaste la nie, les Dem. rêpulerel-au secemant 12, ends!. du 'Clé-sols. les ollé ca.nalé le Cerro do Les 4...x-sue.. ; 221.59. item. L'avaince réait:sag ces tempo

BOXE«bannies dans les secteurs d Use. etde Vdisiverde . triée! consume

ANDRE LEVU-ET par cette action..ADVERSAIRE POSSIBLE le rerro dé L. Angeles est une

Fout JOE Lops colline qud dc.ine d'enYiron une cenM. alertes Gerbait correspondant du faine de métrés las villages de Celage

Essence,.npn,,,,, narani ré-lié n., Os,. a (le n211'040010 Alto, ee le h.ou-'gais ii Los Anselas.idcrit que le Poids lourd Pes fri..,..r2Pea one .Q.1.11 forgées.franela André Longià est devenu rée Po- ha eonsee' Nati occupée par trots

empew. 1,...,,ve.:,..., (armant pintotal duo aniline d'hommes environLe promoteur Joé-Watermann qui s été

iniéresga ear les dernières per. Qin PC trouvent mamtimand encerclesL'aisances de Lernee5, a déjà rittania-des et par conséquent prives de tout sa«pourparlers en vue d'organiser un match VItel4ernent.entre Joe Louis et le non. lourd fiance.,aima. M. Beradhy.

LUTTEEDOUARD DON DEORCE. A DOMINE

SE/ANGLE( LEn/inLiJeoas_ pon' Çru'uo,'rn.slocsrgioo du

Monda ei reste un dés eus seristis p?é,tendants -A «a une, o battu, en ts

eesE rayés externem do-mine vArs la lie de lrpe mrish.

. ,

l'extron Stondnenell-Malne

- el la quille e

Lu chef du parti paysesdurait demandé la révision

da la &net/lotionneigea*55 l!'aassetriiiiYiPtsiellPrAQP,uns iss cerolee men renseignés quel'entretien d'hler SterudlenPuée préaldept du Conneill, et 25, liferisek, chef a* taules parti Pesaiscroate, sera 021.01,121,21011t le début

cgle'sinSaig. 501e100'M. matches aurait 0505e0511 1 M.

Movadlmnegh D modem 50e s ealmupann, tE fermation ture qat., tir

REVUEDE LA PRESSE

Décidément la reprise écononnqueOuadi pas 511, de Kérillis. Il devientPearastnenique,

s Le Gouvernement charrie il nemO Nwm. 5000 la a roPriso économi-que p, gémibil, en mettant cette phraseon tête de colonne de YEcho de Parie.Et le voila qui essaye de discuterchiffres. .

Peine Perdue! Tout le monde cons.-to la reprise méme sans consulter les`fig./h/039ee.

Mes 1-1. de Kérillts.feralt bien d'allereolgeer oie telle

Le Temps se « nuées s pas nos Plus

er:ea,%-,retrzisvnon st5ementisUon osa pesos melon°.

Sebin hu, Sage Miasme au Mie qu'a.graver la rituition

ur. Lean Elfe0 a souvent ofliewbésen raccroiassége,e h production

':,;test7:3'..st's'i'd=attre ainarkes '4/ersdis la imam sai ooxatta..rt.tx,..44ses conclure del datiO,nejs.aweoss as trend/dr inens. noce Or O.veine iwanniaai, sous 50es.sant eus que 0 MOTOsr d'eus/ersenelifies tanneries nestustrie Zoéhancher le eeemeee, `animd'amère néaesaire à troomigssententet messe au toroutten de la procurerion. 00,5 elemeene, roue reser/kr0 pénurie d'ouvriers de métier, ois aaugneente5 to durée au trona,. Plieoient d'atteindre, dans Io cm/QQ.:lionmecaniquo, 411,8 heures par semaine etter ouvrier 120 melrinne. Sious avonsfait juste te contraire. Par la baissede la pratuctiOn et Par la hausse dasalaires horaires, la semaine de qua-rante heures est deletement cause det'augmentation cies prix de revient etPd, mseéonent Ms.. de Io via Ellees mueelead eue erre femme50 ddiminuer le chanta. et elle es adaraue 7ce 0500es profondes. Elle na«met un Peu piut dans la dépendancede l'étranger, tant pour la main.d'uvre out nous fait élaat oos PourIre denrêes dont nous réduisons laproduction.Fa., molasse:

LES TECHNICIENSDANS L'INDUSTRIELoden Laures consacre, dane le Peu-

P le un très intéressant article h la rés

5000e0 grève 5 des ingénieuse h Lille.

-Voiei sa conclusion ,ft est ince/te054000 pue beaucoup de

techniciens, d'ingénieurs et d'agents' matiras nc aesies, ser at°,?

yrriventent les liens de salidarité palles unissent d Penser/lb/é de la masseouvridre. il est Proha,0 au?. dueIsar âme de technocrates mettra On

En EspagneLes opérations meitaires

gare du Nord d Onedo, q.rber Se-nne/ des tiohp.MisrOcenes dans laree. Pat ete houu.,,auuu 0005 efaacoude à* inQdrie

D,aite le «Meier eu Iront .d'iAregonau sud de l'Ehre, 35.0 seidata de l'ar-mée rebelles, avec armes, se sont mia-smes dans sas lignes, s

IMPORTANT SUCCESDES GOUVERNEMENTAUX

L'emenclement deriénpe de Los Art..Regs est d'une immetan. rireégiqUePrimordiale, surtout pour la elle despuai:allons, cari "cette position dee-mande le renia. cl neammest le par-tia qui s'étend de 'Madrid à lirai/hes

Le bilan de IImémtionDeux cents prisonniers, une int-

trelieuses, "deux mérites-o eu ânegrande quantité de munitions tel estte biles dru Prisonniers et stu maté-riel pris psi les loyalistes au cours dol'acides entreprise centre les insurgésqui tenaient Sa pantion du cerro deLos Angeles appele maintenant leO Cueo reuge s.

SUR LE FRONT BASQUEBilbao, 19 bouler.

"Voici le communiqué officiel du iressised de défense de Diaido

a Noire artillerie is tendinite, toutele journée d'aujourd'hui, à bomber-

ez leo hauts-tourne.. de Versera,détruisant un des pavillons.

« Elle a bombardé aussi avec résul-tat p.itif la vole ferrée de Meer,gon

L'artillerie ennemie a tiré quelques4].. na, a,. ana sn« renad. oonine nos positiens de Za-

kage igare et tere, Frite Cove/tuante haleta et San Pedro, sans .nse-

ti.e.nalfli'çf,',;7:.elrou'Zrod:enieli., "' q'sDeaeros le haut Angulo, sou troupes

1911,11111.11 llll 1111111111111111111111111111111/11111111111111111111111111111111/111111111111111111/

frites 4 ae verstiader de /a réalité deces tiens.

Mun os circonstances sont plusPaiesantes One les prCludés dee hont-sors, Es patronale sur la

é technocrotsque do persaanet de mottrise eet d'ores etDa,nr.,,CL

reurelr:,;!..0e0,51,,la C. G. qi et farte de P1148 de'se'00dmenaires. C'esi m. Soi erotsoro,osfie de Aimes, des efforts patronaleet qui récoltera les puits de rensei.damnent e lutte de classes n que tespuissants de 0 méta/Surgie /Moisevienne. ac donner tner membre, de/car syndicat jaune.

Lancée anIourd'itti dans une la.parsie contre rimeras générai, ceux,110Misierent irien finir per sa dire que,en faut de toute japon motter id MMpour lisais/en., mime vaut Pennagesen Itganntcu hbres pour eintdrdtledit qu'en mercenaires v.r des in.tÊrête partioutimm

LES RADICAUXET rig popmtutevoeu,. euoul b. ceux qui essayent

régulièrement de détacher le retracedo Front pidmiaim

Cee devient décidément une habi-tude, ponr ms péta erses, manie.

Toutes les semaines, sin. tous lesjours, de graves organe modérés 1220,attent parti radies/ sec 210712CiLltdeeas se srenés var de sedeS et léni-fiants conseils

Attention! D'ores 00 vousPe vous laisses pae entsaftser phisaise que vous ne le voiddries voue-

-tsi'o'n ajouta :Fons eartielpes d une expérien-

ce 004 pour n'être pae M'id./menta socialiste s, n'en obéit pas moinsdes tendances marxistes. a Contratscollectif, congés pay., loi es& meirant, heures, arbitrage obligatoire a,

vo... trouves eue due ça

xistd; izezeea007/02'21:"¢TeerriOre0":"¢e0On Front populaire ».

Non : ça représente le vieux ersara.. radical, qu'on o toujours su,o.. d d. manuvres savantes(Poincaré) ou Piao.. (tt février),empecher le parti radical de réaliser.

Maintenant qu'el?. sont en voie deréalisation (car i/ s'agit de faire pas-ser dans tes laits ce aue contiennenttee tentes). voudraidon eue le partiradicai refusât ni coilaborationmise en aspre de son prolire Program-me?Excellentes réflexions!

Intirkn,

rt reerzésees ,sezi.mer:tad.

a Dans le secteur d'Elorrie. feux demousqueterie et de mitrailleuses.

« Sur les autres fronts, tranquil-ité

..---- «0

Le controwNur ies uoiontairesLES REPUBLICA1N5 VACCEWTENT

Londres, 19 janv.,Les réponses de valence et de Sa/a-

rnaque au pliso provisoire de con-trôle des voles d'a.l-u terrestres emaritimes à l'Emme. nilti'll.r.t6lloPtété reçues à Londres.

On sait rine ce Projet, Mals.. ParI. soins du gouvernement britanni-que, aux autorités des deux partis es-Pagnols au début de janvier.

La réponse de Valence accepte,en principe, le projet de contrôleSans rejeter le projet de contrôle, la

raPense de Valence énumère certai-nes conditions dont la réalisationpourrait, aux yeux du gouvernementespagnol, rendre on plan acceptable.Elle a fait notamment observer quee plan du malté demande à être

précisé en ce qui concerne le motté-le des ports aux mains des insurgéset que ce projel doit être étendu auxarrivées de volontaires en Espagne.

Elle spécifie également que la vio-lation du projet Par rime ffilefraleldedes parties contractante% peiorrait écusdo leur liberté d'action Ogs naktensignataires. mme

LES INSURGES LE REFUSENT

Le enustenesnent de Burgas a ré«

é;evIslIt'ell'uTrâij't'apy' eses 10515souple,

tin drame dans resdier

vaut à son auteur

deux ans de prison

avec sursis

D. femme, une concierge Mme m,deteine noneebe, nen a *tison,

ci °el; sae"' 0"0011S rs:rireriSâ*.sellrerariel'urines ie.ititaltess da l'inci.uble dontelle a la garde, le mages italien I.oussMasmne, 1,050 du Elinteau Ille n'estciarfafuenient pas"- niachaate'LlidiVêtait une non plus. Une suite abeerdeOs querelles desealler euTfet d'Erré-e-Mari/lel. adrersaleee. 1/1 'île. 1010'let, s'est terWe ee4 55005

Oui, absurde ! On hillyda. lé dédale e amines'dant. / Semé netteeme eeetiota euevésanie. bobine eueeee ennuies, au.ralt ensonve .prês d'elle échec ettrime 'tonnes trierions, Moula, auraienttourné à l'a,tgre. Une guerre s'engagea,une guerre d'eau rénandlio, do oembi.same/ dans les exalte., da canalisesiens bouchées, da pores qu'il fallaitsans c'esse -ouvrir ou fermer de charPop que l'on encavait apilet'10nt me.«son'esj4Iiltsarir srPr

SaisloS e. Clouon_ 0e ennuI le peSO

dant Blonde Mme nonhéme de 5,00ume R.tsmo répondes . et/pelantmitssone un g.. Tont cela semble assezMyitéseetlxi eaglralt.il pas plutôt

dus affaire d esPlonneiserrem 'cosAenant, quoi qu'il n so0011parfaitementen re eux "et ne deo.

nnertiv!rii, tette flede inimitié de-vait fort mat Onk Massone, b force demalencontreuses exigenc., Mme 13011.Ume à force de pointilleuses brima

elle régnait sur 505 locataires àla mangre tie Tailladant do semaine

la condense et son mari ee emitrentde bee avec l'Italien. Et tous les trois.furibonds, teelancêrent dans l'escalier

Edaheme avait eu le tort de s'es.nrer de sou revolver Et sa femmevoyez comme les évenemente arrivent

le enlisait, atfirme-t-elle, afin qu'Ane nt pas de betises

Sur le palier du premier étage, unelutta obscure conunença, llonteme flttomber d'une chinnenande le cigare deMosso'no. Ce +teinter. aimelê e spagnets015, 555 mine do satire«, son veennan eue« gestalt.v, Il iiont trihnste

eouesergo, qui avait pris l'arma desmains de 500 00051, assistait imInitteam

4 la lutte. ft, prise de peur, c'est ellequi tira!

Mais avait Urd Id mal que pecsonne t'avait rié tesché. Elle eût tussembleeel, s'en 15510 111 Mais non. lelocataire, en Yermit d'gagrrer 00enea20 050. bouscula Mme Donhème,le explique maintenant, et avec une in.jénuité déconcertante t

encore ou peur et J'ai de

'S'ev`rInet Isariti, ;cette fois, elle a tué Afas-

::'g;s e"lien, lut sel inarfoPtio

le e0500. a c

ta 115,00. Ls i'%ctrr°,1. T10000e de l'aosusée nue Dari de ncrêmaisé maladive. ne sorte eue le lune', surle réenislionie de M. Conenavotte et/es vibrants annela à la pitié do MeImymond-Bubert, Prone.e utte pellede priusidpe I doux anisées de prisonaves sures.

ken tic...sages intérdts reendietéspar la partie civile ne resteront paltionheur pas lettre morte c. ta smnineranie Proprlataire Vimmedde est,yenue pour responsable.

ste-FasTRE.

LES CLAMIONS

OU DUCE SONT MAL

ACCUEILLIES A LONDRES'

La note soviétique sur l'interdiction

des volontaires a été enregistréeayee satisfaction,

Loudr., 18 janvier, L'interviensde M. Mussolini, publiée par lei Voen/oiselier Eco/ion/hos, parait avo. naisseli Londres un certain malaise, le PI.sage des déclarations on le Duce 0.555.raft que l'accord meriterseen 481,italien « n'avMS TRI 0202 re2.02.d0T raseRomeégetuu S 00 05.0 êté same déco,sole les milieux politiques britanniquesqui avaient naturellement donné à cethistrumem un autre oses nuu antreiniérprétailon. -

La publication de cette intervieW ecoïncidé 'eue une rocrudeeeeme deemuneure relatives à une renaissancepante 0 quatre 1 cm bruits sont accuen.lis h Londres sans symPathie et d'ai,loure av.ee méfiance. On croit malinen effet, que dans 10 rapport mlreseepar air Erie Drummond à la sumd'une entrevue avec le comte Ciano,n'en était pas fait mention. Geel sen.hMrait indiquer que l'ambassadeur .%Pas êta chargé de faire h co sillet deseuverturee au nom du gouvernmentitalien

Les milieux diplomatiques angles, sebornent 01 01150 qu'a Londres en toutcas, suc00 projet de pacte a e.tre1100E examiné ou même envisagé.itioutent surplue aue. sur ce pointnomme sur les intentions de ritailel'éga.rd du urebleme des volontaires, ondoit attendre l'arrivée de Sle ErieDrummond pour avoir une « évalua.tion n dm intentions italiennes. L'am.lass.leur, qui rient asseter au mari.a tin duc de Norfolk, verra probable.

lasso M. Filen pain le départ du inMis,puismm Sir Erie

ruannhild dnits arriver demain et 10geermalresd !ex.-partir dans la journéede metyredL Au surplus l'ambassadeur

manoraià fie de s'entretenir avecies hauts fonctionnaires du Foreign

ems. de son séjour..lesquQs cg qii'oii ait oliteMe -slos

canons Prédism sur las intentions deI ltalle nt du Rake las mi`ieur Brio'statiques restent Insfecis quant

perspectlYes d'un accord PrévoYastilinterdiction des dépéris de endenter.et létir contrôle. Ga a enregistré 56.etistactieo 10 répodise àodriétique 010ene voit rien Mue ee dkummt Uri nePérinette pas une Salligen. st lemussene. preiment Position dans teMime eeee ..eeree ee,

O faut 1051011000 notai eue l'obit%den' arteidév 0005, 050 dispoes d austoker un contrôle ter Mer. ont Inutoerrait avk Battes des reponse/1ROtrop lourd..

Un coup de théâtrè

dans la tragiqueexplosion de Saulieu

A en croire Mitnins témoinsle coup entait 'Été préparé à

;let Marini, et c'est un

anisé Corse qui attrait provoquél'explasien du canien

C'est, A est dire. une histoire fich-trement entbronillée. Au début, elle paratssalt tante simple Marini avait emhasqué son mobilier eur un camion mirosravoir assuré pour une somme mettez,.DO O se insinue, il niait placé 005 t aitPlener dues reniera 4 Mos., Par séria

Ime nischke infernale qui,sant à un moment donne, devait antir lu charerinent On sait comment ticonducteur Siegel kt viril.« de tellNeste

C'était trop simple Brasait sua Marile réelle, ce In (36

Diabord, on èn est arrivé a, deman-der Il la totalité du mobilier de Ma"ski eau eiri chargeai sri le .tialonConduit parElégelf

Lé Capitaine dei Gosses ses pu use,*ses peint, et pour cause. An momentu le déménagement s'opérait dei

rait s'opérer Marini faisaitinterminable partie de prime are en`transes bartepaitati 21, 10 MFot? d°

-

TO102eeiseis //éb ti Le rie Limer dératines, PMI?0n Ilannesit en ries.'ie. mai, le « rinutaine a émit d.vantagé préossliné Par les a 4/Marco.gesà slue Par l'exode de ses menti..

Les 'all'eUréOal001 .05005 /a certfltide 500, dans lanet du 30 décembre, à deux heur cluColin. ciestedire une heure apr05 l'ex-Visiston, un Cosse utii n'est pas Marin:aurait été vu tout près de Saulieu.

Mes sans innocenter compiatementalarint on a été amené s se demanderai 10« capitalse y n'avait pas êté, a telten deable P Par 101 de ses likte.n.

Icinrieregatoire auquel procédera au.Anurdllui ménse io juge Rabin mals

r 'ies'eue2o7de0e. ter,' njdoritnetsans dute eur oe point

Dans 15e milleuu favorables 5, ma-rie on déclare peut-être pré/nains&

mat .quis,giiraceesee. le capitaine pour,gg,,,(4. matin, ptaikant

rl é

o PoierienYterie ri est écrouéà , Dijon

ijon, 1,5 janvier, Faut couturier,« Fatitoria-Briterte s, inculpé cens

fraire du camion tragique de Saunem,Pst arrive est aerès-midi, à 13 heures:a Dijon.

étéla

liumédiatement conduit 6prison.

noms. inmricemirm dee inca,'000 commenceront avec celui do Ada-iiint en tâta.

oninuoutunutuannuunintitnn lllll on llllll intinnitinintinunnununtoo

LOTERIE NATIONALE1 SEUL BILLETVOUS DONNE LA CHANCE D'ÉPAR PARMI LES

147.171 HEUREUX GAGNANTÇQUI ONT A SE PARTAGER

IMIM 2 LE MIDI SOCIAL/STE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: LA VICTOIRE DE LILLE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_20.… · DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE

AMIIIMINIM1191.1191.

----POUR CEUX DE LA TERREWaffilidnArArirmearierArmirwAraxe24r4raremeurjememe4rirjrwmiracureeritielirdraurIWAUXrar

La Situation viticoleLe cours de 15 francs est atteint Alger, quelques affaires ont abouti.

sur tous les marchés méridiu- Les vins vieux continuent à s'ente-.

rent rapideLemeent Isetseeyestietseedee:és font prime Le conflit des

ver et les 10° nouveaux sont parn-culièreement favorisés. Ils se paient14 fr. 25 le degré-propriété, tandis

courtiers de campagne n'est Mu que les 11° a 12 trouvent vendeursterminé. .. lx lenteur du réajus- à 14 Ban..

11.. tement des cours à la consomma- A Oran, la note est aussi ferme,j tion, mais les ordres d'achat sont plus

' Plus de trois mois de la campa- coron' (. agne sont écoulés ! Dans le Midi, le conflit des cour-

Le marché vinicole, asasini par la tiers de campagne et des négociantsrécolte de 1936, se trouve devant n'est pas terminé.une situation claire pour la produc- L'établissement des cotes offi-lion qui devient difficile pour le rjeura a été pcma, aga-, cola n'a pascoenmerce. encore pu influencer beaucoup le

Les chiffres de consommation nombre des transactions.sont toujours très satisfaisants. Le La fermeté s'accentue et les sediastock commercial est toujours im- degrés sont tmiours très recher-portant. La tendance à la hausse à chas. My fout prime, et leur raretéIn production est nette et les cours qui s'accentue leur assure un bienenvisagés dépassent le plafond qui brillant avenir,semblait avoir été fixé pour les ré- Il y a quelques jours, on pouvaitcoites déficitaires. encore traiter les 10° de 14 fr. 50 à

Il n'est plus question de hausses 14 fr. 75, mais aujourd'hui il fautverticale, mais le vin continue à la& aborder 15 freeon pour avoir desnéficier d'une plus-value hebdo.- chances de réussir. Les ff trouventclaire. preneurs à 15 fr. 25.

Les prix qui se raisonnent dans Aujourd'hui, on signale une aff ai-les quetre départements méridio- te assez ronde en logé 9°5 couvertnaux tendent à l'uniformité. Est-ce à 14 fr. 40 le degré,là le présage d'une stabilité

Un répit serait à souhaiterde permettre le réajustement afindes 'En.' sexerie: àeeeleere

Creetement s'opère, mais bien lentement ?ep,,etrter.istérràé Certainhnoas seprix à la consommation. Ce réajus- eu' x -.

et chacun est étonné, non sans rai- eeelLou ressource, en vins blancs sontsoucis voyant encore les cours par- très limitées cette année. Cela influetiques par centaines menons" sur leurs cours toujours bien tenus,ppliquer l Il t téLes prix que le commerce dofi-it ui dépassent de 1 franc le cours

.,,,, les vins ronges suisse les réglo..a sont imités. s on é

5é!,.oco.et abonna ,naCo

r"tniin Cr loe bien rouges

C'est ainsi qu'en Touraine, oh les--" a" -- " rouges ont atteint 18 francs, leslongtemps.blancs se paient 19 sanas e quel-

consommation de cours trpo élevés?Craint-on la répercussion dans la quef»:ns 20 francs pour les vins su-

Espère-ton que la production on Per-leurs""aeipuissance dom ordre beaucoup plus

gra.nd que labanée dernière viendra Pour les vins à appellation, lesde nouveau assainir à temps une si- pros des vins de l'année font recher-tuation renversée ? cher les vins arteux qui ont presque

Mais pourquoi chercher à s'user ? complètement disent. du vignoble.""a L'épuisement de ces stocks est

La hausse du tarif de chemins de progressif et la consommation desfer provoque des arrivages considé- vins supérieurs est assez active.sables dans toutes les places de con- Elle devrait laisser songeurs ceuxsommation, et le commerce, pourvu, qui s'obstinent à considérer le vinattend. comme de l'essence, et l'écriteau

Aussi les transactions, peu nom- qui porte des pro( anormaux de bonbreuses, sont très clairsemées. marché, comme un brevet d'honné-

En Algérie, et*ptarticulièremeat à tete !(De la Revue des Boissons).-- t

oe

OÙ donc? nue j'y coure!Réponse à une fantaisie

du "Blé et Vin"Extrait d'un article du « Blé etVin » du 11 décembre 1936, sous la

plimie du Paysan de Ia Baise

1 LES NON PROPRIETAIRES

j'ai beaucoup parlé de l'exploita-tion familiale, parce qu'elle est fortrépandue dans nos régions et qu'elleparaît à beaucoup l'exploitatRntypede l'avenir. Cependant ce type d'ex-ploitation ne correspond, en réalitéqu'a la moitié du territoire cultiva-ble de la France, /e rente de ce Ler-ritoire étant entre Ira mains despropriétaires non .ploitants.

Certains pour des raisons senti-mentales, d'autres pour des motifstechniques, beaucoup trop, hélas,lassas but de basse politique s'ef-

forcent de condamner dans les es-prits (et bientôt dans les loin autrain où ça marche) toute cette pro-)criété foncière qui est exploitée indi-rectement soit par des salariés, soitpar des fermiers, soit par des me-tayers.

Passons sur le sentiment. Unefamine de fermiers ou de métayersou de neahres-valets peut être aussiheureuse qu'une famille de proprié-taires et en réalité, t'est ce qui arri-ve fort souvent.

Je connais des métairies qui cap- ,

portent en bloc 8 à 8.000 francs.'Dans ces recettes figurent pour 3.0001francs les oies, dindons, volailles,

TEMPLE MODERNE

'Etoile voléeRICILI RD

1!! JIilIiIIlIV im t ? Vous fe lez cela,

Monsieur . dit une voix musicale etdouce, ri' eux.

Ils s e urnèren , mordus aucceam. t rois par la même émo.lion br t I

Margi râla Merry. Laisse-nous j ' upplie.

Elle t n it debout, souriante,devant a ha te »ode grise et do-rée. I7 ab noire de velours mi-roir à n changeant, largementdécolle e d'une simplicité mer-veille. " ouvait son corps son-fia et e me. A sa teinture, troisroses d'am nt aux feuilles de ve-aurs blanc mettaient usa tache

que la métayère garde entièrementpour elle. R reste doue à partager 5à 6.000 francs d'où il faut défalquerencore un millier de francs de fraisd'exploitation. Au total 2.000 à 2.500francs pour le propriétaire et au-tant pour le métayer qui ajoute àcelà, lui, les 3.000 francs de volail-les; ce qui lui fait 5.000 à 5.500francs bien à lue. Le propriétarte,lui, doit sur ses 2.000 a 2.500francs payer les impôts, les assffrances, les grosses réparations, lesoutils neufs..., combien va-tal fina-lement lui rester ? Neuf fois surdix, il co sera de sa poche, vivrachichement, et n'aura d'autre con-solation que de s'entendre traiterd'infâme capitaliste et de bourgeonrepus, tandis que le métayer estobligatoirement le pauvre bougre, lemalheureux exploité, etc., etc. ?

On croit améliorer le sort dumétayer en le bombardant proprié-taire... Sans doute ajoutera-t-il à sapart les 2.500 francs du patron,mais il faudra bien aussi qu'il en-caisse les charges, et comme celles-ci dépassent le surpius des recettes,el se trouvera finalement moins aiséqu'il ne l'était, accablé de beaucoupplus de responsabilités et de ris-ques, et de plus bon à mettre au

fperea'uble}::://re 'gals Paiele.egeirenian de riche, etc., etc ! »

A quoi nous répondrons ceci

FEUILLETON DU MIDI 141

prévue, et s'harmonisaient bienavec le collier de diamants, les bra-cetets et les bagues qui étince-laient sur sa gorgeons, à ses poi-gnets et à ses doigts.

Ainsi vêtue et casquée de jais parsa chevelure brillante aux bouclesserrées, elle aven la sobre beautéd'une statue d'ivoire et d'ébène.

Vraiment ! reprit-elle avecgrâce, vous me tueriez, monsieur ?Et de quel droit ?

François Saintyvraie eut verselle un regard chargé de mépris et

ODu droit qu'à tout père dc

protéger nos 1:11F5 eontre les mou.-

Monsieur le « Paysan de laBaïse a au s Blé et Vin »,

Toulouse.Je lis régulièrement tous vos ar-

ticles que je trouve parfois saisi-tuels.

Je saisis toutefois l'occasion queme donne /e dernier en date (Blé etVin du 11 décembre) pour vous li-vrer quelques-unes de mes réfle-xions.

Je demeure tout rêveur devant ladescription que vous y faites dumétayer contemporain. A vous lire,l'on ne peut s'empêcher de Berneret pensant que de malheureux pro-priétaires sont aussi indignementexploités par des métayers sansentrailles.

J'ignore totalement la positiongéographique qu'occupe /e Paradisrural pour travailleurs que vousdécrivez, mais je suis persuadé, que,là au moins, les électeurs ne doiventprêter qu'une oreille distraite auxpromesses « fallacieuses et déma-gogiques de candidats en mal d'élec-tion ». Il serait vraiment étonnantque d'aussi heureux métayers puis-sent envisager sans crainte la dis-parition d'une classe patronale quiconstitue pour eux une véritablepoule aux ufs d'or.

Là non plus, ne doivent sévir nila dépopulation des campagnes, nison mortel remède, la main-d'oeuvreétrangère. Je ne conçois pas, eneffet, que des proprietaires aussiconscients de leurs devoirs sociaux,puissent se laisser tondre aussi raspar des travailleurs qui le caséchéant, ne seraient pas astreints àdéfendre, les armes à la main, unsol qui selon vous, les nourriraitaussi grassement.. Et puis, n'est-cepas ? La France aux Français !

Nous verserons donc ensemble,si vous le voulez bien, une larmesur le sort de ces matheuseux pro-priétaires, en regrettant leur dispa-rition, qui selon voles doit être pro-chaine. Regrettons aussi que si lesbons s'en vont, il reste encore quel-ques mauvais.

Je dois vous dire que je mis,quand à moi métayer, mais saasdoute, beaucoup plus humain quela plupart de ceux que vous con-naissez, j'exploite, en effet, avec ma

[Jude sur laLE RAPPORT PRESENTE A LA

FEDERATION DES CAVESCOOPERA11VES DU DEPARTEMENT DE L'AUDE A LA RE1/-

MON DU 9 JANVIER 1937

Notre génération a connu plu-sieurs crises résultant de la méven-te d alvin celle qui est présenteà ha mémoiro, d'us grand nombrede nous, date de 1200 à 1907.

Ba cause exclusive était la frau-de ; à ce moment la déclaration derécolte n'était pas imposée à la pro-priété et le vin n'était pas vendu audegré chez le débitant.

Pendant cette période de septans, le Parlement était envahi parles clameurs de détresse des viti-culteurs et nos repréemtantsnégligeaient amme occasion poursolhostr Puitervenhon des PouvoirsPublics. Ce oui sortit de plus pra-tique des délibérations du Parle-ment fut la loi de 1905 sur la frau-de des produits alimentaires.

Pour des raisons qu'il ne nous estpas permis d'exposer, on n'alla pasdroit au but et cette loi ne donna

'sliieuatReoe en nés'amélioraesieer/Ir nI e aï

supportablrtque,pari le controle,e. la

VitoesPere es:e:refrat:oeiteede récrtrt.Vous savez tous que ce n'est pas àl'initiative parlementaire que nousdevons cette conquête..

Aurès la guerre, une nouvelle cri-se de mévente commençait a fairedes ravages, de nouvelles clameurss'élevaient. On créa la CommissionInterministérie/le de la Viticulturequi décida d'imposer la vente duvin au degré chez le débiteur.

Cette disposition, qui est le cor-solaire nature/ de la déclarationrécolte, fut rendue obligatoire parun décret ministériel pris le 19 malt1921 -

Sous les garanties de ce régime etavec des récoltes normales la vit-culture connut quelques annéesd'encouragement.

vers d'une gueuse, dit-il. Vous avezprovoqué sa ruine et son malheur!Vous venez de le pousser à la hon-te et au crime ! C'est assez, Mada-

Margit se mit à rire en haussantses royales épaules e

Vous avez une façon à vousd'interpréter le rôle du père Duval!fit-elle. Très moderne, mais un peuvive Ne raillez pas ! fu-rie.ement.

Mais je ne eus pas la Darneaux Camélias, moi, monsieur, pour-suivitelle. Si j'ai ruiné Merry, c'estinconsciemment je vous le jure. Etsi vous croyez que je me suis en-richie de ses dépouilles, &tram-pez-vous, Jamais je ne lui ai riendemandé, pas même un joyau. Sivous croyez que je doive vous res-tituer tout ce qu'il m'a donné, pre-nez-le, monsieur. Mais j'entendsgarder Merry. Et je le garderai !

Viens toi ! ajouta-t-elle en se Mur-nant vers son amant .

Vous l'aurez do. voulu !

gronda Francois Saintyvraie.Il se jeta entre son fils, la jeune

femme et la porte; fouilla, d'ungeste violent, dans sa poche, en tiraun browning, l'arma, le braqua surMargit et cht, à voix basse et rau-que

LE MIDI SOCIALISTE

famille, une métairie qui a Bissé à étant de 70 millions, il restait à (li- Cette expérience est faite, elle neaimer 35 millions, nous assure p

Arrivés au mois de juin 1935, /a lendemain. Les principales causesquantité éliminée paraît insuffisan- de son échec sont sa complexitéte, le gouvernement encourage la administrative et les fils de fer On-distillation en élevant à 450 francs' briOs des eoosérstiaesle prix des alcools provenant du vislibre. Cette menue établit un bar-rage à la chute des cours, qui sestabilisent au pr. de l'alcool,4 fr. 50 le degré. Sans cette opéra-lion la campagne finissait à 2 fran. d'origine ; mon oppose-don a cet usa-le degré. ge fut considéré dans les milieux

Malgré cet encouragement à la intellectuels comme un scmdale. 10ans après /es rôles sont renversés,le scandale a changé de camp et aamoncelé des ruines.

Il me faudrait abuser de votrepatience si je voulais traiter à fondmon sujet ; je me trouve en prés.-ce d'auditeurs .ses avertis, sansavoir besoin d'entrer dans des déve-loppements complets.

Je conclus1° Que le statut actuel de la viti-

C'est à ce moment qu'un de nos culture, avec des prix élevés pourdéfenseurs les plus en vue, lance l'alcool, peut être supportable pourdans le public, une lettre contenant l'Algérie oh le prix de revient .t

gimes, si 3e n'avais comme excuse, la phrase suivante « Aurons- réduit par le bon marché de la main-que dans ma contrée o nous sommes nous assez de vin ? ». Tout com- d'ouvre et la non application destous comme celà o, mentaire est inutile, lois sociales ; il peut être suppor-

Je ne vous étonnerai donc pas en Les prix de 4 fr. 25 le degré qui table aussi pour les basses plai-vous déclarant que vous avez déchi- s'étaient installés à partir de juin nes à cause de la fertilité du salré un coin du voile qui cachait à 1935, restent la base du marché qui réduit aussi le prix de revientnos yeux purt,.. vrain jataitrc feiadira

uset ble pour les

infériorité aussi manifeste que lamienne et pour redresser un peuma situation vous proposerai-je las 1 tion suivante

son propnetaire, la coquette sommede 12.000 francs de bénéfice net.Ceci, pour l'exercice en cours, ma/-gré la gelée qui nous a privés devin, et pour une exploitation de 28hectares. Il est vrai que je donne àmon bailleur outre la moitié de larécolte, 30 poulets, 300 ufs, plusIx moitié des oies, dindons, cochons,canards, etc.

Quant aux dépenses, je suis dansl'obligation de payer ma part, saufles impôts qui s'elèvent à mi millierde francs environ, et les réparationsaux batienent. Je tiens ma compta-bilité à votre disposition, pour leeau où vous douteriez de ce quej'avance.

Vous pouvez constater de ce quiprécède, que je ne suis guèreavantagé par rapport aux métayersque vous citez dans votre article.

Je vous vois déjà ironiser sur moncas, en prétendant que je retardeou bien que je ne suis pas à lapage. Nul plus que moi, n'est sensi-bre à un tel reproche, et j'en rou-

jusqu en décembre, maigre /e fi-nancement, l'échelonnement, le blo- côteaux et les terres secondaires àcage et la distillation à partir de cause du faible rendement. L'aven-200 hectos, tape sera pour les garnds rende-

Les quatre premières tranches de ments, de /à naîtra la culture inten-la producaon ayant été mises sur sive.

Au cas fort possible où vous pos- le marché, l'échelonnement n'agit 2° La raise en marche et rentre-sèderiez une propriété, ne pourriez- qui fort tard et en février nos vins tien du mécanisme administratifvous me consentir des conditions sont encore à 6 francs le degré, le chargé de l'application des lois vin-analogues à celles que vous énumé- prix de 9 francs pour la première cotes et les ressources spécialesnez dans l'article en question, tranche libérable n'arrive qu'à fin affectées tous /es ans à la Caisses'avoir n Me laisser la moitié de la mai. A l'approche de l'application Annexe des Alcools, donnent lieurécolte, la totalité des volailles, oies, de cette mesure, le parlementaire à des sacrifices considérables, dent.nards, dindons, etc., que je pour- qui avait écrit n o Aurons-nous certains sont demandés à une eng-rais nourrir avec votre grain, si assez de vin ? a propose l'usage mentation des charges qui pèsentvous n'y voyiez pas d'inconvénient, d'un échelonnement progressif quiDe plus, vous pourriez payer la to- porterait le vin de la dernière tran-tallé des frais d'exploitation, che à 14 francs.

Si de telles conditions sont cou- Ces paroles réconfortantes pro-raides chez vous, et que vous von- duisent ma tel effet sur le marché,liez m'en faire profiter, je vous es- que le prix de 9 francs pour la pre-gage ff,me le faire savoir, et vous noère tranche libérée ne joue opja.sure de mon concours pour la qu'un rôle théorique et les achatsTous.int prochaine. sur les tranches a Obérer s'amor-

Agréez. Monsieur, l'assurance de cent sur les bases de 6 à 7 francs lema distinguée considération. degré. L'écheRmement au lieu tir que pour 1 annee 1935, en sup-

1 B. d'être un obstacle à franchir n'est Primant les exonérations, les quart-z qu'un fil au lieu de passer pan lités participantes frappées au ma-

ddessuostr, emonzertiereeint edrteteeporréortjaejzhxsimetucms. auraient éliminé 18.470.243

crise viliceleConsécutivement à cette périodeHeureusement que la nature ffen

mmché surchargé de 35 millions,

de prospérité, ils s'était formé dans mêle, elle vient à notre secours ; Par vec est toujours un marche a la den-

l'Afrique du Nord, des groupements la succession des accidents climat,-que Passasinissement complet

riques, les prix se relèvent et attepq

financiers qui se lancèrent, avec desa peut seul redresser.

moyens jusqu'ici inconnus, dans /a puent 10 francs aux approches de Mais pour distiller 35 millions ilculture industrielle de la vigne dans la nouvelle récolte ; mais les von. aurait fallu demander a t.s les .a.des terrains neufs qui donnèrent danges démontrant un den. sape'- tieulteurs le 37 % de leur récolte,quantité et qualité, rieur à toutes les prévisions, les sans exonération et sans exception.

Cet apport Algérien eut vite fait prix montent toujours. Il y a . Il me semble qu'il se -dégage dede détruire l'équilibre entre la pro- pmene q19u3atntetded,4461..lullioionns. sur Lart. irréfutables que l'assainissement par

ses quelques chiffres des preuvesduction et la consommation.

La arise actuelle est donc exclu- née 1935 ; lesPrix de 14 à 15 fr, isiDlsgtiullialtirestedstégairegépogsusiibllen,,,dassriévseomudrenetocra: àfloluavseaupttropdruoebtiloètimepourl., deAvi.eninn,ciooubrranole,

mime

stock à la 'pro. pas de marché stable sans assainis-tâche est complexe et dirflole. plante est de 18.800.000 hectos, le

La première mesure proposée a stock commercial dépasse encore laété le contingentement colonial et normale de 3 millions, il en résultele contingernenternent nationah pour un stock de vin vieux de 21.800.01)0des raisons que tout le monde con- hectos. 'La soudure a été facele,naît, cette solution si équitable soit-elle, a été abandonnée. La Msdllation et le blocage de après cet assainissement est défiti-

Pennée 1935 n'ont résorbé que 13 à Mire, il faudra réduire la consol.C'est après, qu'est sorti des Ion- 14 millions d'hectos ; l'Administra- motion par le relèvement des prix

pies et laborieuses délibérations du lion d. Contributions Indirectes ou faire appel h l'extérieur.Parlement ce que l'on appelle /e lita- vient de publier des statistiques dé- 1/ me semble qu'il ne peut pas Ytut de la viticulture, basé sur le blo- montrant qu'avec les exonérations il avoir sus seul arapriatajr"e ca -hersa.cage et la distillation obligatoire. n'est pas possible de mieux faire. ce qui puisse ne radlier à cette loi.La première loi qui reçut ce nom Dans quelle situation nous trou- tout à fait opposée à l'ntérêt natio-si prometteur fut votée en juillet verions-nous depuis 8 mois, si la ré- ne,1931. coite avait été normale, 80 millions Pour résoudre a crise de 1900 à

Appliquée aux récoltes 1931, 193,2 d'après les compétences ? 1907, /a Chambre des Députés aet 1933, n'ayant pas donné des ré- Nous aurions encore 102 millions légiféré pendant 7 ans, saan

flousultatssatisfaisants, elle a été révp de disponibl., soit 32 millions à éli- trouver d'efficace.sée en 1934 et c'est sous la protes- mines Un jour un homme s'est levé et ateiermdêemnerptreixtea

Idoles, Mi; hicIaaeoena aojur pear, le'vis

vdiotir, le« tLemalécifiration de récoltele financement pour 1934 et l'èche- unteeeeame secon'omnique edoememe :en Le pays encodé a imposé ce re-Rnnement en plus en 1935 que se -t rh

sont écoulées les récoltes pléthori- es raerement produit da. notre mède e à partir de ce momentquosé e 1

aveco . Ce serait la failli. du conee9.1 e J M. L cce ms d eux_ merce

rtet de la propriété et la révo

e 'me ensuite.amés exceptionnellement déficital-/PioLna chose est trop sérieum pourne"je avoir des défaillances d'ordre plus

:t addee esateurhm Iti12,s_t les eh t II 'o u, m ooisness s teims ge nuteaill islofnatutt

evlloeisre.

merles résultats obtenus par l'applica- quelles apparaissent nettement sim veut avoir sa conscience tran-don de toutes les dispositions vo- q elle e son avenir assurétées depuis 1934 et de dégagerde Ce n'est pas pour j

.

eter un discré-ces résultats les garanties qu'ils pré- Mt sur l'action parleenentaire, lesentent pour l'avenir.problème posé est comme je l'ai ditEn 1934, larecolleétant de 97 au début de mon rapport, d'une

millions avec un stock de 8 millions solution très difficile, ce n'est qu'àà la propriété, nous eûmes 105 mil- l'expérience que /'on pouvait jugerlions de disponibilités ; les besoins les solutions adoptées.

18, rue Denfert-Rochereausaluasse)

TOULOUSE

Vous avez une minute pourfranchir, seule cette pur. ! Si-non, j'en jure Dieu ! je vous abatscomme une chienne !

Une seconde, deux second., cinqsecondes s'écoulèrent, lourdes de

Mute une éternité ! La mort, la fu-reur, le désespoir, l'amour, la fo-lie, invisibles et présenta, étreigni-rent tour à tour dans leurs mainsd'ombre, ou glacées ou bridant.,ces trois hommes et cette femme.

L'épaime frange brune des lar-ges yeux de Mas-fit ne palpita, pasune seule fois. Pas une fois la nom-ber lumière de ses prunelles ne futvoilée par un battement de ses pau-pières.

Mais tarez-donc, monsieur !dit-elle ertfin de sa voix chaude etprofonde, -qui malgré' elle frémitsous une onde d'émoi plus puissanteque sa volonté.

prenez garde ! Ne me bra-vez pas ! dit François Saintyvraiedont les yeux fixes et durs eurentun regard sauvage.

Le son âpre, le tan inaccoutuméde la voix paternelle tirèrent Mer-ry de Fespèce de stupeur dans la-quelle il était plongé... 11 se jetad'un bond entre Margit et son pèreet pâle, une sueur d'agortie auxclames, i à mu our

distillation et les besoins de faire dulogement pour la récolte sur piedqui s'annonce abondante, la quanti-té globale éliminée ne s'élève qu'à20 millions.

La récolte 1935 donne 92 raillionsle stock à /a propriété est de 10 mil-Sous et le stock commercial a aug-menté de 3 millions, soit de sou-veau une quantité desponible de 105

Il n'y a pas d'économie dirigéepossible sous un régime d'exonéra-tions.

Pour ne citer qu'un exemple, jeme contenterai des appellations

sur le vm.Cette mesure est doublement mal-

heureuse, d'abord elle gêne la con-sommation et étend Paire de la vignedans les pays non vignobles.

C'est encore un élément d'aug-mentation de la production et de di-minution de la consommation.

3° Il vient d'être publié des sta-tistiques officielles qui font ressor-

on puise pdocro ditosr;eceecaIcoja,rioé. e Il n'est dose pas étonnant que laIn distillation, avec les exonérations

ment é,teboltàéelégislatioll si Pénible- s'enait éliminé que 13 millions. Que

peuvent faire 13 millions sur un

sement

mal'etlee neneeematant l'os

lc0:el'on ne craigne pas de nous fairesouffrir pour obtenir l'assainisse-. , . .

Oui, tire ! et tue-moi avant ne de calme, ne satisferez-vous vus

deI'alep-r.ès le pistolet tombait sur le Ah ! ne railles pas ! dit Fan-

à ma curiosité ? Elle est assez lé-Le bras armé s'abaissa. L'instant ultime, il me semble !tapis et François Saintyvraie, le çois Saintpiraie, dont le regarrd fa-front blême, les lèvres blancbes, chaument fixa la crosse de 'as-

uter:tefabu'eeteut'ei:,' ested'egelesttedapelieein de me, tauleneatjajainjeinena.tn dannein' noirlassitude et de désespoir cachait, decoo matas, aoa cicapo bouleversé, ,Margit eut un léger haussement

Margit, doucement, repoussaMerry, se pencha, ramassa le pis-

p at tala iess,

hommeee as. Edl ai t lets MC. otnortyr

101, plueipossaursuer.laantpeti,,,,te ntoret.b/eirea ktjumsql'arobustetdéu,

oinuoit,,,sirouetez

qui, pétrifié n'avait pas fait un pra_ suyait d'un geste machinal et pres-te, elle lui dit, jpaa ton coartota que défaillant la sueur de son frontnoua ',a.,/ perçoit 0,Mère ot Elle vit IP Le Chesnays triste, lescinglante ironie yeux humides, la bouche affaissée,

deux larmes roulant dans les gran-des rides profondes qui sabraientson visage. Elle vit enfin FrançoisSaintyvraie qui, le visage sévère,les yeux fixes, la mâchoire serrée,regardait son fils et reprenait peuà peu, dans un rude effort de vo-lonté, le contrôle de soi-même.

Malgré elle, une obscure sympa-thie s'éveilla dans son âme pour le

Puisque vous semblez, de noustous avoir le mieux conservé vo-Ire sang-froid, pouvez-vous m'ex-pliquer, monsieur, à quoi riment etvotre intrusion chez moi et cette al-garade ?

ne m'appartient pas de lefaire. Madame, répondit 51° LeChesnays en s'inclinant. Seul, M.

François Saintyyraie possède iedroit de parler ent Jan estas que le grand quinquagénaire au masanrtémoin désolé et stupéfait, croyez-le bien, de ce qui vient de se pas- ne emotion nacre bouleversait, au

point d'avoir fait de lui Mut an les-- Monsieur François de Sainty- tant, en intention sinon eu fait, un

vraie ! fit Margit d'une VWX p1e1- exmartrier.

puissant, au front dominateur, qu'a.

00e loi d'un seul article de deuxlignes, /a viticulture a connu dC3jours de prospéritê.

Le cas est le même aujourd'hu,une seule loi imposant le casting.-terrent individuel, la propmeté te-naîtrait de ses cendres

Depuis longtemps des hommesd'expérience, des organisationsayant à leur tète des dirigeantsayant fait leurs preuves la damas'dent ; je crois que le marnent estvenu de nous y rallier.

En rés.-X le , contingentementindividuel avec le respect des droitsacquis, est un assaini.ement satu-re!, sans frais et sans surprises, c'estun assainissement réel, qui ne dé-truit rien etne demande rien à per-sonne, qui permet d'alléger /es char-ges que supporte notre produit pouren augmenter la consommation, quiéqulibre les forces matérielles dechacun et qui assure le fonctionne-ment complet de l'échelonnement Cen'est que sur ce terrain que l'éche-lonnement peut imposer son prisepe, ree0nrill pin' la législation, quiest de stabiliser les cours à un prixque, permette au- vrtmulteur de vp

11 est certain que la- siabilisation'dos cours au-d.sus du prix de ce-'vient est /a garantie du lendemain

' si après cela il y a quelques lacu-nes, l'initiative privée et les initiati-ves collectives les combleront.

Il y a des terres, arrosab/es quipeuvent faire autre chose que de lavigne.

De même que la vigne peut faired'autres produits que du vin.

Il est vrai mese que l'on cossons, -

me du vin hors de France.Dans tous les cas nous ne devons

pas perdre de vue que notre équili-bre économique est basé sur le bien-être et /a dépense, notre pouvoird'achat dort etre constamment aug-menté ; cette obligation est uneconséquenee do développement denos moyens de production.

Si, obéissant à des égoïsmeeétroits nous ne savions pas choisirnotre route, PEtat nous la montre-rait en s'emparant de notre libertédans la production et dans la vente r

Voyez Office du Mn.E. BAB017,

MAXIMUM DE RÉCOLTES

Ahideii'ree14 Vr"'iribi"tieâ

'Je

A propos de l'arrachage

L'attention des viticulteurs estattirée sur les dispositions légalesqui régissent les plantations nou-velles de vignes. Il y a lieu d'obser-ver que tout encépagement, ayantpour but d'augmenter la superficiedu vignoble, est interdit. Une seuleexception est prévue e a viticul-teur qui prend l'engageaient de ré-server la totalité du vin produit àla consommation familiale ».

Les opérations que nécessitentl'entretien du vignoble doivent fairel'objet de déclarations déposéesavant le commencement des tra-

Arrachages e Déclaration à re-mettre à la recette buraliste desContributions Indirectes.

Plantations de remplacementDéciaration à-faire à la mairie et àla Recette buraliste sur les regis-tres comportant récépissés,

A noter que l'article 2 du décretdu 30 juillet 1935 interdit Mu..plantation de remplacement lorsquel'arrachage des vignes à compensern'a pas été précédé d'une déclara-tion souscrite à la Recette buraliste:-

Les situations irrégulières serontrelevée conformément à la loi.

(Note des Contributions Indirec-tes).

Grand choix de MeublesLeurs regards se croisèrent. Et

ce fut l'omme qui courba le, frontsous le feu sombre jailli des yeux dela je.e femme.

Madame ! dit-il avec effort, jevous demande de pardonner a maviolence.

Je le ferai bien vo/ontiefs, ré-pondit Margit. Mais encore une foismonsieur, je désire savoir quelsfaits ont motivé votre présence chezmoi et., amené.., un incident queje déplore

C'est votre droit, madame, ré-pindit Pinçais ekOntavi ale. Aussibien vous doi-je la vérité, si péni-ble qu'elle puisse vous paraître, carvous aven joie an rôle de proueorplan dans ce drame...

...qui tout à l'heure a faillimprzdrite fin sur mon ass.sinat etpeut être ma 7mort, interrompt

-- Pest être sur votre mort, /naisà coup sfes ,par la entame, pépon-dit François. Car, si j'alois eu lemalheur de vous abattre, je me fus-se bridé la cervelle. Te Vous en don-ne ma parolcadilipmeur madame,.

14 Seriers). "t

....71111

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: LA VICTOIRE DE LILLE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_20.… · DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE

fflill!g, 4

VERS_ LAREPRISE ÉCONOMIQUE

-Au Havre, le portreprend son activité

"I n'y a presque plus de chômeurs chez les docker:

AMÉLIORATION SENSIBLE DANS LA MÉTALLURGIE HAVRAISE

par Louis LEVW

InutilM n'est-ce pas, de m'attarderlongtemps pour vous démontrer i1m-portanee du port du Havre. La museest d'avance entendua..

Vous savez que le Havre est un grandport cotonnier - Il fut merle, te crois,et naguère, le pemie trEiliope. C'estamet un grand pet de café, de riz, demais, de bols exotiques. C'est la teteEgos des grands-paquebots-Mamaia pou.

Le Hers avait souffert sensiblement'"data crise. Or, une enquête mémo ra,Lpide a Mt fait de vous prouver que la

Bal ienelffée:Je dois g notre ami Schlesser, semé

taire de la section, de n'avoir pas erré-pour puiser des renseignements, Il m'a*présenté, dês mon arrivée, â un cama'.rade qui -dent un des grands restau--tants de la vilM et qui,. .par st.roit, a

été longtemps arbitre près le Tribunatde Commerce -et demeure- en contactavec les plus innportants commerçants

Ainsi, j'ai appris-tout-de suite qu'il yrivait eu a un fret considérable n au

'fort' &Meg' lesifible dMétobimet denovembre, que les egis débardeurs neparvenaient pas à trouver dé dockers

'lcflara'1S"ec°p m'mea»qvs»és 'para, su_Havre, il y a quantité d'usines, surtout-des usines métalhagiques dont la plu--part, Meilleurs, sont pour une large par/tributaires du port. Eh bien! dms(inerte métallurgique, le mouvement dereprise n'est pas douteux. On tavelleaux Tréfileries du Havre, on ttavaillechez Schneider qui a, me dit-on, six moisde _commandaa d'avance, chez Normandoù, parait-il, on h Me ennemim pourun an et où l'on vient d'embaucher desingénieurs et des dessinateurs.

- Cele marche a pleinj affirthe le ca-marade. Et il n'y à pillé' 'dé Minagespartiels.

...Mais d'autreS camarades se sont ap-proche,"Olii prennent per âge «nye,etion. L'un Maux, qui habite près deRouen, vent apporter sa contributionmes e mups de sonde tt.

'-.C'est partout ainsi, Me (11,11, Tenez,dans la textile, je connais une usine*seine de Bolbec ou, l'an dernier, les

perte, ont atteint gmemo francs. Cetteannée; clin déclarera go.000 francs de

, M'elle...En cota, elle n'avait Otitesqu'un ou deux joues de commandes d'a.vante, Elle en a maintenant pour trois ouquatre mois,

_Mais revenons au Havre, J'interrogesur le commerce local. Mon restaurateurest dans la joie. Son chiffre de reff serade Mmoo francs supérieur s celui du

mtzg, ses ému ria egmenté sas pria.Et le nombre des clients pour Inreveillon1 doublé Par rapport à l'an dernier.

On realMerte Moere .quelques reseriements que je rentouve .dms mes note,

st que je vous sers pèle-mêle. Le chiffrel'affaires d'un bijoutier a augmenté de

pour te. Le théâtre est tonievs en.ble. Les grands modelai Majimenerionet de nouveautés font beaucoupMais on se plaint de la mauvaise volontédes banques â seconder l'expérience. Onm'en cite une où l'on conSeille aux ellentvde ne pas souscrire de bons Auriol. Je tedonnerai eon nom, camarade Vincent.

Mais, fele è ma méthode, je vais à laPousse du Travail, Elle e lebre dans.histoire ouvrière, la Bourse du Travaildu Havre. Elle a connu de puissantamouvements syndicaux. Elle a vibré, desmois.ffurant, de l'affaire Hume dont

tous les anciens se souviennent .

L'union locale est puissante t elle comprend eaom membres répartis dans 6,Syndicats.Hans le port, netrezelltent queles syndiqués. Et le port utilise près degoua ouvriers t dockers, camionneurs,charbonniers, 'Vagies, ete, Les dockers

Unseuls sont

asmarade Hazard, secrétaire de Ill.njom contirme les -informations que l'an

Il 'y a reprise sérieuse auêort. L'an 'dernier, il y avait 5.5oo à 1.60ochômeurs chez les dockers, maintenanti/ n'y en a pie guère que s4o à poo.

Un 'tour- au Syndicat des métallurgisteoh l'on montre aussi de t'optimisme. Lachômage a bien diminué. A/ors qu'estes ity.avait.g.000 chômeurs au moinsil n'y en a plus que smoo tout au plus

Et t s'agit non d'ouvriers- qualifiés, mailsurtout de vieux, de très jeunes, damamettre.

On constate une reprise chu Schnedor et g la Tréfilerie on l'application des

go heures a permis d'embaucher se azoo ouvriers (sur un effectif de 1/Soto).

_Pourtant, je ne Me coritente Pas en.core daces renseignements, je rends vi.site.ff un membre important de la Cham.bre de 'Ctainiffece nui effeictlpe de Mansports maritimes.

es

L'Mucation physique

obligatoire. .

M. Demmulds, sous-mcrétaire d'EtatrEduCaliOn PhYsigne, en dePoser in.

.oment is la Chambre, un projet

J. genisant l'édmation physiquete PaveIn Jeunesse.et Emporte ,deux parties es.

Pour tee enfants de 6 à 14 ana,

yeli" t eea:°Portel?:dMatallgrP ana Ires sur le mème nlarE aistrnmoir'e. Ish.géographie. les omet,

friatiqbue ou le franç.. «ver. une cies.spéctain et plein air, on si le ternene le permet es dans une selle anPro.

Peo'IM pouvoir établir stm des basesZejrieers le dé ret d'admintstretion pu.tritons aloi etéleavrevera I api/lb/anon

osema secrêteriat,MEtatdbsceord aJvée le

sAtents sVaste les son,

ri-

calIos nul on

j PARURES DE MARIEE9s.D. COSTES, zz, rue de Ramta.1, 50

- Y 5441 reprise?Men interlocuteur ne veut pas répondre

par l'affirmative. Non qu'il soit réactionnme, mais c'est un Normand méfiant quine veut pas encore se prononcer. Ceperpdant, il reeonnait une amélioration errai.ne dans le trafic du port. Ils a eu asgros arrivages de coton. A l'époque de le« prospérité tt, son tonnage était d'envi.vos 5tonoo per mois. L'an dernier. il émitréduit de mie. Or, en décembre, il a

transporté prés de mouo tonne ercavalai, transporté davantage sans le

ralentissement provoqué par les esarcorde effe les syndicats new-yorkais ethavrais dans la deuxième Minierne dedécembre, car dans la seule premièrequinzaine de ce mois, il avait traePerté00,000 tonnes sur les gomoo. Quant aumois de janvier, il s'annonee bien.

Cette augmentation de trafic, moncommeçant ne veut pas encore la consi-(léser comme le signe d'une reprise défi-Mtive. Il pense que les gros arrivages deeolon sont peut-être dus primipalement âla dévaluation r selon lui, on s'est cou-vert tenues

Mais aprês tontes ces réserves nor.mandes d'homme d'affaires circonspect, ilme confie que a si cela continue ainsi,ça troll. Et il me déclare qu'on n'avaitjamais vu, dans la ville, dépenser tantd'argent en fin d'année.

Point besoin de commenter. Mais jeBras, en reporter fidèle, à noter quemon « interviewé » m plaint d'étre JJ bri-mé par la douane o. A l'en croire, le portdu Havre est « handicapé a par des rè-glements vétustes. Les opérations dedouane sont trop longues et retardent lesdéparts. En outre, il réclame la suppres.sien des tt contingentements Jt.

Avant de quitter la ville, une visite alvieux port, je parcours les ruelles patoresques bordées de maisons couvertesd.dOise, le long des mageins qui fontface à un bassin proche l'arsenal.

J'entre dans une boutique pittoresqueoù la patronne, une Flamande qui annoncesur son enseigne ses dons linguistiquevend de la parfumerie, des bottes, des« bleus pour les équipages, des chandalle, de la papeterie et même des bois.sons fortes. Pour l'instant, elle déchiffreIn lettre qu'un soldat noir illettré lui con-fie. J'interromps la lecture et, sous pré-texte de marchander un objet - on n'aque l'embarras du choix - M pose nmsquestions classique.

Mais ma polyglotte n'et pas bavardeElle se borne à reconnaître qu'elle atravaillé pendant les vacances, qu'ellevend assez bien quand partent Inc Sa.teaux, mais elle n'a pas l'air enchanté...

Je continue ma promenade, je nem de.vant des bars d'où s'échappent- des OurlemenM de T.S.F. Place de l'Armnel,autre boutique pour marins. Là, la mar-chande est plus loquace. Mais elle n'estpas satisfaite. El comme je lui dis qu'enville on constate la reprise, elle hmhe latète ;

- C'est possible. En ville, ça dortmarcher. Mais ici, c'est a écarté (noussommes pourtant à dee pas du Cetm)Et puis, maintenant, les marins trouvemdes ras de choses h bord. On lcor touronsdes draps, des,, bleus », des bele, Çanous /ait tort. Il y a aussi les monoprix,les grands magasins.

_J'el tenu à rapporter les paroles.Elles n'infirment en rien les conclusionsqui se sont imposees d/elles-mêmes auemm de mess voYages. Mais elles doiventnous donner à réfléchit sur la situationpénible de certains petits commerçants.Au reste, je sais que le gouvernementveille, qu'un projet a ME été voté, quedes mesures nouvelles sont prévues.Mais, incorrigible touche-à-MM, M nepouvais laisser de côté et aspect de monenquête.

J'y reviendrai prochainement dans onartMle oa je résumerai mes observations.Car. pour le moment, j'ai suffisammentlancé ma sonde. Les plus sceptiques sont,l'espère, convaincus t il y a reprise.

Lems LEVY.

Marius Dubois, député d'Oran

fait acclamer le projet"Blum Vionette", au cours

d'une tournée triomphale

Des ordres du jour de con-fiance au gouvernement deFront populaire sont partout

votés à l'unanimité

c Seul un collège électoralunique assurera la paix so-ciale en Algérie. a

affirme Marius DUBOIS.

Oran, 18 Janvier (dépêche Pttuutuirel.- Marius Duels, député d'Oran, Nient

d'effectuer une tournée vraiment Mitan.uhole a ...vers le déparement.

Partout il fit acclarner par dcc mn.

l'ansdee 'ggereregej01,°,1:5LnlnurOcc er.,1 à nss000rc, sous

lema Plre."'s'eeciicoen

seorOlOtSe

mos/Imans, dont notre ami .Safir, pri.

ore7t.te l'ePate"gee'l=fje'lali'On 'orestee amuseurs musulmans lui firentune mem mos fia.

A Tlemcen, la salle ms Fêtes muni.tins. fut int/Mi/s.l. pour mémo,tons les auditeur. Pi. dd de* but

DANS LE MOUVEMENTOUVRIER ANGLAIS

Le " Iront uni

de l'extrême-gauche

et le Labour Party

La ligue socialiste et Crippsseroutils exclus ?

Les trot organisations d'extrêmegauche du mouvement ouyrier

0' la'ttreid7nt.'L'Zilootrçra'rr 'st.el. 10a. 3 Li-gue Sonialiste J. dont eafford CrIppe

leader - ont décidé M cornet,Mer un Front uni 3 gni vient de Pu.blies un manifeste.

Dam en appel, les signataires -Follet, Galacher ffe seul député com=met, aux Commune,. et PaonsMM pour les communielea Maxton,.1oViett et Fennec 250t.Ray eau 10 L.

; .11,,ford EOPPS et Dello,' pour laguu Lie ou...11181e alfirmèn la

ce mité de l'unité dans la lute entrele fascisme, la réaction M la guerreet contre le gouvernement

du retour «un gOUvernement vos'05111, 050 pouvolr, comme M premierMade de la rtmrche en avant tla laMuse ouvrière.

Ils se prononcent par aillons pourIule série de mesees dent la batIona.liseion des industries de guerre, là,bilssernent de tam syndicallst. d'al-locations M chôMage, des rebattes ou.vrieres à go ms, m contrMe des ban-ques - toutes réformes sur lesquMleeI ensemble du mouvement travaillmeest Meffers d'oc cOrd aven eUX.

Par ailleurs, les signalais. prêten,zdent devoir réclamer « la démocratisa.lion » du Labour Party et des TradeUnions, r la cessation de la tactiquede sets.. èéomaoremaév510abanco

do 0000'itt roque InoveOu « Front ru et notamment leHeti communiste, affirment que lacampagne pour l'Uni. qu'lls viennentde lancer n'est pas dirigée contree l

leCeltireîfestivIgelverriaen.g;do meflance et 1110111é ho tille

11 a manifesté son sentiment en un

't'Teet'ullsicleefepu?Ineemer'17:.signé par tous ses militants /es .plusconnus.

Lm trots organise/0M nul viennentde constituer I vie cIl coalitiond'extrême gauche sont d'Mllems chm.cuvé dans me situation assez sliffé.renie Ét l'égard du Labour.

Le Parti- enenuMeto a demandé101v oyons reprises d'y etm affins, mieJusqu'ici 010 Joujou. 'été repu..par lui. L' la s'.. a ganté te grandparti politique u t cibare melbrsanglaiseo ISM - de son none dm f.Il n'a cesse depuis de la critiquerâprement, et aujourd'hui meare, enel concerne ISSU N. ct la sécuritécollectivo, il reprend contre elles le'mémés critiques que jadE leur aches.mit le Part communiste -quelles sens' et a d'ailleurs fort hea.rmsement mnon Ca. Au ...spi., depuisse sortie du Labour, II n subi plusieursecissionh, et est Men diminué commeeffectifs

Quant 5 la Socialleta mnes est plus curieux, pl. paradoxalgo lob elle os fait pante Intégrantaa tatar Party. Il n'est pas douteuxque ln ptupart 005FPS membres tieir.are a. y- demeurer. Auss: n'eat-ce quepar 58 voix contre 88. 'pelle a nana.te la pcopc011tcO de unl mfaveur de laquelle alon.eder. Stafford,Cripps, avait rependant PoSe quoslion de confiance.

SI en nu 0g pue la psmm 6000, 5

"oe,,..nrceone.e,r;;; orirdandtectpline inadmissible, a entrains

raSansson exclusion.

doute nus partie de ses mem.hres se sépareront alon d'elle.

Au surplus, Iv nt évident que leitrois organisa.. coallsile. encrasqu'alles con..ennent des militants seMes et d'un Imontestable evouement,no mnrésentent qu'une faible mono léCas travailleurs organlan d'ourre.Man.cho Ensemble, quelque ZO.000 memMea.

Le Labour Patay. par ailleurs01110 membres insnits sur ses registres cr 2-00.000 nidbas par l'intermédiaire des grande.Trade Unio.. No0 reviendrons suil'ensemble du problème.

Jean LONGUET.

Mlilitants! Abonnez-volis etu « Midi »

LE DROIT DE VOTEAUX ALGÉRIENS

Marius Dubois

mamans acclerneeut les eraMtes duComità local du congres m.ulninT,.

q'''''IlIe'd'e:Pla+15:n6men'''Kila °MtDire. en Monne. de Marins MMois,

105500111271... éa 74.00 an.lents per

LE MID/ SOCIALISTE

firent Marius Dubois dans la relle du...ému du faubourg Périe. A Bel

Abbe. 055 itaut-perleurs Pléeés off'Ira toits permirent à une foll,fc'earj

p4urs'l-re et du Congrès musulman.

Un banquet suivit cette inoubliablemanifestation. A l'issue du bancinet,Marius Dubois fut redit eu derdldmima. où un professe. de Medersa,en .ngue arabe, dit toute la Iole deses frees musulmans de imeeffejPrepréseMant de la majorité gouverne.mentale. 11 affirma son attachement ala France de A Déclaration des tarob.de l'Homme et assura na ouvernemmtBlum de la confiance entier° des Mu.sulmans belabbésiens.

inlassable, Marius Dubois fit ensuiteAin-Témouchent. devant Phis dg 1.101

auditeurs musulmans, aelamer le pro-let Blum-Viol/et/a. Le fut Mi délire No-tre ami fut reçu par le bechaghn, quil'amura de la confiance *tigre de ses

"eigolPzrà rur I vils , marie

gie.n.omoren;.,IrenerzoeBtdt ri p in aujotti,11JM s ehadj Dubois s. be depttê de MI/rem/e-n eirenscription mit o nel y PMU-

.. du gouverne/tont M Frunt popmetre et fit acclamer paspirre de 1-0olaudieurs musulmans le prote alma-viollette.

line gerbe de Ileum superbes lul tutremise par u elégatien de doCkerearabes do port

Le jeudi hl, ca fut I 0000 001011 lade moise gui reçut la elenation mu-sulmane do Tlemcen et Marius Debots.

Dans H reste marché, plus de 3000auditeurs musulmans et européens ras-semblés som la préSiderice du Maire,Gonze.. applaudirent avec enflion-s... tous les orateme et en Particu-lier leur ami Marius Dnbois.

Le vendredi là, à. Oran, le Perdso-

U'r"I': teilLeg:I. 1000 In 13.000 20.00n 14010100a0e

écouteront les Orateurs du Parti Joan-ne Coulon, Djudir, et Marius Dubois.Ce fut une manttestetion grandiose, oùle socialisme fut particulièrement amla.tné par nos arme musulmans

Samedi m5 Pnrégannplus de 390dmdsumana répondirent à l'appel de laSectian sualaho In 10051e AimesI dis.cours de notre Jeune ,amara e deJeunesses Pisse âge ose M am, C dedroer 50e m,ulmaro lé 05

ajoapplau H par une salle Mun en-.

thoucrasme deiraub en laveur du pro-la

Leorr '.'nufs'i.rerleetat pl 9us de 5.0aim eheMonteuse, asse.nles au ...Un,

b

I '=h,loa tre.,'?eo?. do o.000001 lSSlag eeral

air 0505050 pub sociale Alge.L'

ris a ia prépondérance de la France50 ybIlC.nIo ann futgo mua applaudi. Dans toute cesrenions. des ordres dtt Jour en faveur

Prege0fM00n"er-ni;irltFenvierpUlet Bluni,ollette MreM votés d'en-thou.asMe e à l'unaMmite.

Comna on pmvait s'y attendre, lagrande presse fasciste oranaise fit Msilence absolu sur ees inoublMblesnireslatisme animées par las Muguie

d7!ie,e2ree ncitiPitinee le calo num la dignité caractéri-sèrent ces. imposantes manifeste/Pm,

Marius Doisub termine aujourd'hui00v do 0000v""ue PP'"egl-LI;re Igo:C010 ale

viOn-dia couronner cette belle tournée depropagande.

Dimanche matin Marne nuboe Se-.. ta de retour Ès Paris pour défendre,ov'ooamlméo,lbIe cause Ms

1

umummumumunummuumumCHANGEMENTD'ADRESSE Tonte Sentais/a I.

changement d mires.ce bit être aorempagnée

I1 franc en timbres-poste et

îlt de la dernière bande desi, tombal

tilio11111111111111D1111111111111111111 lllll il

La ridicule plaintetic Doriot-Sabiaui contre

Marceau PivertLestent, 18 janvier (Be. RoPuleisel.- Miens eu lieu devant le tagbunal

correctionnel do leelt le procès Intenté par Sabiani et Doriot sur citation

t t M PI t P

o provocatien au meurtre .3!On se rappelle l'opération de publi.

tue politique montée par les deux seMgats à l'occasion d'un meeting tenv

Kéryado, le 11 novembre. Il s'agissaitd'établir si l'orateur socialiste avaitmonone Me paroles tombant sous lecoup des lois de 1S81 et de janvier HeMult témoins cités par l'accusation et30 témoins pour la défense défilèrentjusqu'a itt h. M. Pais Marceau pivertexpliqua sobrement Me la Proljagnadvsoei t p f d

p t" h l'attentat Indi.',Mun

L'avocat de l'accusation, M. Gabrie111.Justifia ...out la cemlére de Doriot etparla de Sablant comme d'un héros lég d' n'm non te ami ArideLe 55000es0 décortiquer de main demaitre le singulier personnage. Dame

la salle ou s'écrasaient pes de 500 au.diteurs l'atmosphée a'échauffait, maleun appel au calma de Le Troquer fatentendu.Puis vint une étincelante plaidoiriedu défenseur prouvant. code en men,Sm les éléments de Paccusation n'exMtaient pas. Pula, Mettant littéralement

udvaraero par un exposé doctrinald'une impressionnante élévation damune péroraison ramassée, A. Le 'Proquer lit l'Eifel, de Part8 et cite le e Efaut détruire Blum a, prononcé par DiDremsel, h Lyon. Enfm il rassemble lesraisons pour lesquelles le tribunal doilprononcer l'acquittement.

Le Jugement eat remis à quines/Mamals l'impresslon générale ost Me /elfascistes qui ont monté cette afrfairs:

etti teist:treesrrtgsenrsla région lorlentae. Une foule nomMouse h la sortis du tribunal a acclame Marceau Plvmt et Andre Le T.Mer qui furenr ensuite mes par lesmei.u$ socialistes de la région,

trielniiiit tom llllllll r

MISSION D'OBLIGATIONS DU TIMOR

3 1/2 et 45/1936

SoUserintien ouvertedu 17 décembre 19ss au 31 Janvier 1997

La Recette MuniCiPale de Tom-loues (au Cepitec) reçoit les ffouff-triplions aux obligations de la calé,Mule B len bons du Trésor 1936 àsix mois 11 505 an). Intérêt 4 %, Rem-boursables n 140 e, de leur valeurnominale le 15 décembre 1945. Oblie-e,lions en coupures de 200, 510, LOI»,111040 et 11111/100 francs.

P.eprise des Bons du Trésor â leurvaleur nominale quelle llm mil ladere d'échéance.

Situation inchangée.Direction et personnel sont de-

meures Sur leurs positions respec-tives, et sans chercher à s'aboucher

Mais si les choses sont restées enl'état, un fait nouveau et impor-tent a surgi qui modifie sengible-ment la situation généra/ e.

Ce fait nouveau c'est la décisionprie par M. le Préfet et acceptepar la Municipalite, d'augmentercle cinq centimes le tarif noi/mal debuse,

eterSeouds ee, PÎrtrorre dna'acourse ordinaire.

Cette augmentation décidée surdemande de la Direction, est, norsdit le Préfet, la conséquence du jeurégulier de la convention et de Pos-cillation de l'indien des prix gêné-

La: Direction des T.C.R.T. obtientdonc ce qu'elle demandait. Le Moirelui fait savoir dès lors, ainsi qu'onle verra au eou, de la lecture dmdocuments publiés plou loin que leconflit actuel entre el/e et son per-sonnel lui paraît, et paraît à /a p.elation, virtuellement terminé,puisque l'accroissement certain desrecettes va rendre possible uneamélioration des salaires.

Mais inutile de commente. Lostextes ont leur signification.

Les voici tels «unis ont été com-muniques officiellement.

LE PREFET PROPOSE UNEAUGMENTATION DE TARIF

DE SOU

Toulouse, le 18 janvier 1937.Le Préfet de la lite-Garonne

A Monsieur le Maire de ToulouseLa Société des Transports en

Commun de la Reg,. Toulo.amom'a demandé ainsi qu'elle voueen avait informé far sa lettre du7 janvier -. l'homologation de lenouvelle tarification à appliquersur le réseau urbain de tramarayset le réseau d'omnibus pour tenircompte de la valeur de l'index éco-nomique du 2e semretre 1936.

J'ai soumis cette demande àl'inst 50 -lion du service du contrôle,qui l'a reconnue fondee.

Dans ces conditions, je suis dis-posé à approuver les tarifs propo-ses, tont au moins en ce qui con-cerne le réseau de tramways ur-bains.

Néanmoins, je ne prendrai aucunedécision avant de m'être concertéavec vous, en raison d'abord desdiffmultes ciul pourraient en Tein-ter pour votre Administration dufait de /a grève actuelle du persupsel de la S. T. C. IL T. et ensuiteparce que la mesure envisagée inté-resse directement la population tore'

oe signale'toutefois cette affaireà votre particulière attention, envous priant de bien vouloir mefaire connaître votre avis, dans leplse court délai possible.

Pour ce qui concerne le réseauurbain d'omnibus, je crois devoirvo s pp I q P V) 12 du7e avenant au traité de rétroces-sion et l'article 17 du Ca ler dorachargea ne me permettent d'home-!tester les tarifs que sur notre ap-probation.

Vous voudrez bien trouver, ci-annexée, une copie du rapport de M.l'Ingénieur en Chef du contrôle.

Le Préfet o signé o F. Atger.

LA MUNICIPALITE ACCEPTE19 janvier.

Le Maire de la Ville deToulouse

A Monsieur le Préfet de 'laRaute-Garonne

Par lettre du 18 janvier, vous mefaites connaître que /a Société desTr.sports en Commun de la Ré-gion Toulousaine vous a demandél'homologation de la nouvelle tari-fication à appliquer sur le réseaturbain de tramways et le réseaud'omnibus pour tenir compte de lavaleur de l'index reonomique du2e semestre 1936, soit 0 fr. 60 nom-me tarif de base nouveau.

Vous me faites connaître en ou-tre, que le service du contro/e a re-connu cette demande fondée, et quevous êtes disposé à approuver lestarifs proposés.

Vous voulez bien ajouter quevouS ne prendrez aue.e décision,avant de vous être concerté avecmoi, et vous me priez, en consé-quence, de vouloir bien vous don-ner mon avis dam le plus courtdélai possible.

J'ai l'honneur de vous faire cc.mdtro, aime oser consulté te ConnilmuooioipuS.qunjesevoleonos000inconvénient a Ce qtre nous 1.1se dudroit que J'eus avez d'homologuésimmédiatement /es tarifs proposes,en et qui concerne le tréseau detramways drbains et que j'amer.-or, à fin «homologation par vous,les tarifs qui concernent le réseauurbain d'omnibus.

Je crois répondre ainsi, en ce quime concerne, à la préoccupationque vous m'avez manifestée de te-nir compte des difficuités qui ré-sultent pour mon Administration dufait de /a grève actuelle du per-sonnel de la T. C. R. T. et de osinc la mesure envisagéo intéressedirectement la population toutou.

Le barbe,Signé: EIJ..E1,1' PREVOT

geable au premier ghef à la popultion toulousaine tout etière et quientraîne, pour la Société, /a reale,sabilité d'une carence intolerab edans l'exécution de son mandat pblie. Le Conseil municipal, à l'unnimité, a fait siennes les déclartimes du Maire et elfe lui s, reflux.voh le témoignage de sa confiancedans l'action qu'il pourrait éver,tuellement avoir à mener encoreOscar provoquer, le cas échéant. lafin d'un conflit aussi inopPettutque malfaisant.

LE POINT DE VUE DE LAS. T. Ca 1/, T.

A LA REUNIONDU CONSEIL MUNICIPAL

Le Conseil municipal qui s'étaitréuni lundi en Commission plénière D'autre part la Direction de lade 17 à 20 heures, a tenu séance S. T. C. R. T. ne semble pas mairehier, a la mémo heure. La Mairea rappelé qu'il avait reçu, la veille,de M. le Préfet, une lettre dont letexte a été communiqué à la presse,lettre dans laquelle M. le Préfet de-mandait l'avis du Maire sur la de-tane e;omgrgmde:l'h:oaitioene du tarifn

l'index prévu par la convention de

uInlicaipaajlo utévq.uiet, cleon.foarmunénameenmt preerZesianpsoaevf.fett, êlat.eVitulletnrp'aryèantéot

la décision prise hier par le Conreil donné aucune réponse et celle du

répondu à M. le Préfet en prenantacte de l'homologation annoncée, etil a donné lecture de cette réponsecommuniquée la presse dans lecourant de l'après-midi. Il a dit. en-fin qu'il avait connaissance que M.Il Préfet avait immédiatement ho-mologué le tarif nouveau et nom-muniqué sa décision à M. le Direc-Saur générai de H T. C. R. T. Il aconclu du ces faits que le Conseilmunicipe en se hâtant de répondrefavorablement à l'appel de M. lePréfet, s'est conforme aux exigen-ces légales et juridiques de la con-venu. et ne saurait plus, par con-séquent, assumer aucune responsa-bilité dans la continuation de l'in-terruption du service public destransports en commun.

Le Maire est fondé, de co fait, àpenser, avec tous seS collègues quise sont rangés Unanimement safaçon de voir, que la Société auracompris qu'elle a le devoir de pren-dre immediatement, soie sures'ponsabilité de sétr,tresionnaire, D'autre part le Personnel de latoutes mesures nécessaires pour S. T. C. R. T. toutes catégories, en

lUtru1s5 sseeepeeir Je;:eog hier matin, entre 9 et 12 heures,grève, cent pour cent s'est rendu,

Un, dans l'intérêt de la population pour le pointage des cartes à latpu%louisete4s tti ne staurlrdt pâtir Bourse du Travail, suivant les hadj-

qui cations do.ées par le Comité dereexiste ent elle et son personnel. Grève.

Il a exprimé l'espoir (lue la double A 10 heures et à 15 heures, insaeteapc.rtiora soetteetti porressizetpir; Comité de grève s'est réuni pour la

- mise au point en détail, de ques-sonneI , en matière d augmentation "dlvde tarif d'une part et de salaires, Le

dlotte,

Hg « PeiaPrt6l a totalitépr "d u.h14,

cher

nt:truerer a%ictce.nru,1'de rocher.

t ' ea°n tr 0' ensn't etimeneenu

dehorsnos- LuvaeeeMater'edirer'sneedélégéatnre-d'unecessation de service donne

RSOs

Les uvreslaïques 1 erlie aux membresDe- gr'"i"s Mente "-9c au

CEP.CLE LAIQUEMONGE-MARENGO

RéunionLes membres du Conseil d'admi-

nistration sont pries de vouloirtiraslino ee"eir er etees réto'":i'rgeu siège Moule Monge-Marengo,

Ordre du Jour Renouvellementdu bureau et de la Commission desfêtes ; Désignation de la Commis-

. CinémaPrOjetSr Sortie-excursion et soi-rée-conférence ; Cinéma ; Adhé-sions et cotleatHns ; Questions di-vers/.

Les membres désirant poserleurs .ndidatures au bureau ouaux diverses Comininion pourrontse faire inscrire Me le début de laréunion.

CinémaDemain jeudi à 16 heures, gran-

de matinée de cinéma pour lesPlèvre et anciens élèves des Eco/esMonge et 0110,0015 avec Un pro-gramme des plus intéressants

CERCLE1.015511EDOCTEURBACH

à la fin du conflit puisqu'elle stcommumque, hier, la note suivante,après avoir eu notification de ladoub/p décision préfectorale et mu-nicipale.

La S. T. C. R. T. constate avecregret que le nouvel appel qu'elle aadressé le 17 janvier 1937, en fa-veur de l'arbitrage, est resté jusqu'à.

est exact que la loi sur l'arbi-trage obligatoire n'est pas applica-ble aux services concédés et c'estIn S. T. C. R. T. qui l'a fait savoir,dès le 14 janvier 1937, au Mairede la Ville de Toulouse et au Per-sonnel qui l'ignoraient il n'enreste pas moins la possibilité pourles parties en eau., ainsi que l'aspécifié en même temps la S. T. C.R. T. de reco.ir par une ententeamiable à une semblable procédure.

A l'he.e présente, des arbitra-ges de ce genre sont en cours, sansque le Personnel soit en grève, pourles Tramways de Valendenne, deMontpellier et de Lille.

Pourquoi n'en serait-il pas demême a Toulouse ?

Cette solution est, du reste, cellequi a été particulièrement recom-mandée par l'Administration Supe-rieure consultée à cet effet.

DANS LE PERSONNEL

Les garderies d'été sont S. l'étu-de et les Parents Peuvent étre en-sure de la bonne marche de cesdernPreS.

Il ne sera tenu compte que desréclamations formulées aux sur-veillants du Cercle ou adressées àM. Mélet administrateur des gon-deries. - Le Cercle,MID1111111111111911i111111111111111111111111

AUPALAIS

COUR D'APPELAffaire Cadenave

Ieeph Cose.ve agent d'affai-res à Toulouse à la suite du ren-voi du 90 novembre dorloter a

leomparu h l'audience d'hier à lasuite des plairites des Suu. Bou-chet et Sables.

Le susnommé a été condamné le20 novembre demirie h dix-huitmois de pri.5.1 et au paiement desIntérêts civils pour escroqueie.

Mais il a fait appel, déclarantavoir h fournir des faits nouveau%

Cinema scolazre oo sa

eudi 21 jar vier à 14 h. 30prOCès 'est reMis hune au-

, dience ultérieure sur demande de

4444/'él7nieee.:eAeuf:Ptie're"nekts.:la/V:umnée,ii r111116111élf1:17111711111111111111111110111111iiilptaire.

Les framboises, 111m d'aventu- Chez !es Artisansres 6 parties.

Poupon et POuPée, comique. FEDERATION DES ARTISANSCERCLE LAIQUE YEAN-JAUR,ES DE TOULOUSE ET DE LA REGION

Le Cercle laïque Jean-Jaurès La Fédération des Artisans derappelle aux parents des élèves de Toulouse et de La région, a le plat-l'Ecole do Busea (garçons et Oies), Six de porter à la connaissance deque la prochaine séance scolaire tous ses adhérents, qu'une réunionaura lieu, demain jeudi, au cinénsa intéressant tout particulièrementNovelty, Grande rue St-Michel, les membres du SYndicat de l'Au-

Aassemblement des élèves à 13 to-Cyeles et similaires, doit avoirheures 30, deva.nt le groupe âcre- lieu aujourd'hui mercredi 20 lall7laire. vier, à 21 heures, au Café dos A,

Les demandes d'adhésion au cades, 14 place duCercle sont reçues, soit avant le Nous comptons su ris présencedépart enfants, reit tous les de tous les membres de nos SY27mercredis, à 21 /Hures, au siège. - dises et nous invitanu les artisan,

sympathisants à nos idées muserIntéressée par le

nombreuses questions ImportanteSportée à l'ordre du jour.

UNION PHILANTHROPIQUEARTISANALE

CERCLE LAIQUE MICHELET(Filles-garçons)

Garderies des jeudis1. Cercle ne voulant pas aburer

'e l'hoeipalllé de lu Presse, al'honneur d'aviser les parents deselèves, que nos garderies d'hiver Tous les Membres de la Fée-./ Cinema Odéon, rue des Potiera, ration des Artisan sr. ToUlouse et,sont assurées jusqu'a fin mass. de la région, apartenant à

En conséquence et pour nos Inc. nion PhilantihrOPlq. Artims.le,deries, plus d'avis par la Presse. sont Informés qu'une Assemblée

Tous les jeudis rassemblement b générale, aéra lieu dimanche 24On Halle aux grains, où aura Peu janvier, à 9 h. 30 très précises, aOc perception, à 13 h, 30, disloca- la Mulson de la Mutualité, 3, uneHen 17 h. 30. de Mets, ealle Eglenne-Btllièrre.

Pour participation aux frais Nous comptons sur la présence0. 75 pour les enfants d'ut les pu- de bone ironntladnvndhésenlvrents sont adhérents au Cercle, 1 celle Ssetété, per assister h cetéfranc pour 1m autree, importante réunion.

La quatrième journeede la grève des trams

LE TARIF DE BASE EST AUGMENTS DE CINQ CENTIMES.

LE MAIRE MET LA COMPAGNIEDEVANT SES RESPONSABILITES

Au Printempsde TOULOUSE

Semaine d.SOLDES d'INVENTAIRE

Denain Jeudi, Cinéma des Enfant.Prochainemant :VENTEdeBLANC

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 5: LA VICTOIRE DE LILLE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_20.… · DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE

Le cambroIagede Saint-Antonin

LES BAPIDS'rS SONT IDENTIFIESCecI dates le rauIt du 4 euS java-

yler Comme nous l'avonc dejure-Scié tctc les bandits ont pétattré CROUPE LEON-OSMINdanS ISOude dr M. Datcsrcpa Sa- (Seau Midc'Taaoh)taire à St.duutoaiat.

A la sellé OSeR eeQsmhtc et de Tees l d isacas ,r adoltce dcCreherohes aetlres osaI croit que les orna,, las omohars dc Ihulan.

bu lIa 5111r005di être ldentitaéa '°°L'us dolaS C 41e eucêté et éreoud

à St:MIé1ieI: chu ruambre de ale 110are cr111 peu leur Irreaaler copiaitde es Satane.

D'ast h la suite doSe DesSalaI-tIan elTertute chacune lesacuce duquaztler du Canal e des maul-date d'arte°te soi utO crunnyda casa-Ire 5 ladividua.

dacCIdiNS C0MBATrANTODU SShO5tT (CtaÔtjLatIrPIERrtS)Toua leu raarcanrlee aliala,eeo de luj

anale Ou 000ubottuna auna cavités y au- J Cous jnfo,mls auj la oinrvrnda Ibar, nos,'statue à la roUniru qi acre heu de- mot couturai ssra ØOaonl Seau 1tt aunasanaS, loir Ieuir 51 155151er 1 21 heures, r (017. -dure lu salle du MiJou-Chcé.

Au mura de relie cruchon, Ira rama. GROUPE ROGFR-SALENGI1Odptlcrin, ccvt pués dlesslalas R laclnn,tnfltIIltIlIliIieIIIlIlIIIIeeIeIlIIItllItIITdIIIL coi uomà liai In (n.0 di n,nmanr. à dl h..

au nàaa, acté l'e5, su, cossas dc Muras.Ordrc du ion, Crnaarundanoas

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GROUPE HEZIRI-IRMANTccr les teillent, do r,onra as las sen-

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Chéra du (tus A'ihésin,a, 001010cc,,ra,.crrr eus ou u oa,rsvcds A. Woilruod.n,aobra dc la C. A. unaalboos diuàuau.

GROUPE O'EIXICATIQN SOCIALISTEFRANÇOIS.10USQUET

r EXAMENSLCOt4COURS

PACIILTE DES IOETrRSSDiyldme d'Eladra dayteloarrs

Strie Langues nieuestssM. ,ulbouta, Sauce, eSSIeU leu

épaarsveu do dIltIolve d'ESudeS Su-pesleucua d'Eulaauaul la naurreediil l000nirc u lu h. 30, h la Fuculce,Sur le omet avouai

eua(ipeetltiutlu dure la lithO-r mIcro espagnole dam les 01 dOs

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hlpldrrie d'dltlddr ScpérionreeSévir : Langues rinenter

ht. Blacur, GauloIs, asSuratgaOUOea du diplôcla d'Elailoa Ru- Tore les oclilaru as erruralbisuoca mcc

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Sarcler à 16 Ire-Ocr, o lu y'anuIle, aconon cci acm laa draaair jaodi 23 cr0-

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GROUPES JIJLEO.1ULIESIET AIR.FILSIPEE

Camas lImcSuas sommas Ircorniac d'arntnosa,oa

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Netu._Laaountdoados qi,s0,élcssactsus seatts. sont iotnlmie uns la Vuludo.Oanris,eàeooaa nsnlusonia Oluosdncahaura ar k soc s,ls heLlual, su riooioohabd,sm'vdaira. Loor ruis000a sera roc,ta, lactase cc anaOOr.tcalOoeae allie Sciai-

sROUPE DTDUCATION SOCIALISTE

Lu aeunicn prIsme s'oie I, anti SI sasrsuvarlaàoradatsaltétioute.

GROUPE YNGEL$(Boonatoel

M. Pienre Pliru.aeerolh gieant de Les leilir,oas do aeocna Eoasts al lasl'Un aruur, 2, lOuer Olivier, s Pua'lI sen,rrulhissota sont iulostnés rI la,Ouoiun

I alatO coolie satqantau osa ta arcaoc mareorila du arases accu isa daruslo

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C'nsraoaamtads Wcilatod. dc I, C.A uoc nous cacoelairsIsnaleua,uca

Nes jeoons raaasssdae du canas Esseals

laol vo cnuir do uenir oomhrcrc rulminoua. Lan, edssouc an rahaossant an sc,-'oral cor sa, javr,aaea nus dilate, ln,5i,lare l'ssais,è sa s araarsrhis ccc 000e

JeUtieseS Socialistes

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rsolsslsasresara lies se sets secearerlise isestar a se heures, su Fsyar OsaPeaprs.

C011ES ScIes du saur1. OdIréStans

Soc jaIeI,dc de e. Ramures msmna ce Sluserleca es

y monos de Sa,jurallp Bnrdlt, l3 sus, , Raeee5orl Osa 5 Ssetlae100 adresar, ocr ersiuctr 01 rOnce e Rsnsua,llement Osa Bansaa s

urllrr01100dCOt5PC r causer,, duaasrarsdeflrslflas-

e GROUPE BESNAAD.DES5A1.23Lss corrasedas Lidtaol Fsnrsa. L,ass

ulici, GhnrmaldES,,,aLu'oalas Avis,psis dsoe...aàaacr anaocrdhns

msrc,ed,25 isOa,assôh luuo oaféTeaa,cos snenoa Cumihlc.Pairl. Le cri-snnaa é, as asuaa,adrs us, ,adisssrcsabls.

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Ils ont tuihi Itor rocs on isisaat unrdana faruiens étaaessru Ils ct,roecroensnais poisse sers e'ouaa,e. ilenna asseau lassddata de Hid,r ca ta Mussrlioi. Ira 15m'bas ui0,, rooc rocssaOrrc leurs frè,n,, le001 solmIl sa Aissssaae, sa (talla as suP,rlooddsaaciou,.dracrnnnsdasrauks.

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lei maissiras dc Bado(oss, Itssi cd,, dc SiailIc la, buoabscdeosenas doMad,id li nuire ea,rca,Oe comas cc dcns

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Vanu prnece n sseusatiieauaosasdsu anraaoote, ce-r 4' Madairi,d d,lbro, '° (uaivlolnaed 15ES P T. T. - Réa,luallsleaL,o nsmu manu o dc '00e I d05f aodlu ta 01

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do lioslnc srn'I,uel, dma15. -

hIOSTELIluS, PLOIORIPRO LT /1305-MILES - Sannadi (Ou lu hi,o l'aa,omblueacnlmslodusood,cuuaiacaoo'ohrcaarasus,eunraa,couo,allsacanlaursso,oaoun,ahlas, E,. uoordqnauoo, hbotasa cst s nei ta hssihné

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OUVBIES5 COIFFEURS. - Ass,ruhlf, dru ea mu - Us lodaadrust ielcésels du ircdiost daocrin land, St 1cr. daeeaddas.rsjr, k 22 hacias, arroSa mile dc le rica,sa AVES5IS PROI.LTdSSI5INmIma toao0ih Saaiioa Asauaiataoq. - Tuas 1mOrd,s ém ,oms,,EIod, duo uppLo Intu counusa dura 500es aiusaoimo o lu rou-tons la soasa.d ,aoe,e étrrrunra se, rot,, Cossa as lu ,cuoom cia sa acadey au na-

nr,Uaisaaatillsrcr,susOammmaacdsaBio. Si ococisos. - - aalomaoes.

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21 (or,.,,. & lêt,cusne.Oou,,a dc ,na,n L

Le Coin de 'sperantoFEDYRATION ESPERANTISTE DU

TRAVAIL.. GROtJPIO Fsf°ERAeéTlll-EPROLETARIEN. - La alcors osrpalls &

aarusbsss as Otoc, I, Inriranclna dsa050es do usan'sair,ias

Inodi, 121 haomr,. - Çeots err000nbnalélloorumair, daaprramo.

Ouncadi a dl hratas. ._ Rmndcra nhac la.aur,nro,la Tauaraa.llteétttlttttttttittttltttttllttttlttlttetltttuit

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GALLIO5ePALACE. 14h. lent lI b.'s Smalas.5, Idlsolisac u.

NOIJVEAUTES, 14h. 9055 21h. 45l3saà us aosodsl, Itaassio r.OCX. Pn,n,nocuadal0kllh,ar,s,

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Théâtre du Çupilue(na amis, b,eas

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VO]. - tmlmatOrhr lu eoItnuot nulle,les VaribtIs-Cialma, gruade 'eeirérreorlat,ve 00001158e plate les J, (I. S.Lr eoaumrulrn dnn toaoenel à saIetout ea mOre, p000 obleoin san pleissa-obi. Depstir plorlraro bars déjhe,oner0,act vellrter es noa, lais O

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Répronesso l'Ialclutme delostla ISIS àSa moet dc JaIs-es, I ed000mta qm leprmrlale le aocris ae vert plos eesmudre00e amatie Trie, quo In o,evre ers dl-elando oprèa l'amn.analt,al de LOoa511m, 1 putue rota dsl-iI, reulngsnn anioru- de antre nnlsidsteI dUfam,aoil al fof aae.o.ksl aosablsmrec5 réedc mon nviloiIé sores-e mac constir seraI-lelcr mmc la nlanuc ar10-eslnc et eecpain asssteada raine les peuplas.

Blolsosd, Rat aaoeé,Io I \'sllessd,dlrtmrr ri ee,emengssrt se eetialar-clan dc penalles la perola S Lataêgn,lolo bSOblltméa et cOmpenrraet lot un-TIIFOI(Orrr ,leu teunsillsou'q ressort.

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Ire d(comumer 4e In Ph000emrtdqrae n5,,md 1h01 Iseref s d'tseore il sou5amursllteaoadee,

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mêmes euloaars le peogrseo,000 dé-On110. Le peSa des ploert s OIS 15x0h 7 et I On, Une penmasseasc estaraveelr dès Srajonnd bol ohea le as-rnsradj Frseaia-NOeIL

MARTRESTOLOSANF

aoaerulole eelsst mps'bsalraaeiet. lOinsle lei érlsnppe rI OreS rut scIant oprier

Nues 500tmae cerleisa non are Ils'eussea S roranoleeu hure e,mhrn 45,0-hitcalo ut nuil I lui-lCd Ou somtmlsresou-nul 4e rptol'oLldoauala aàuao dns'i'litourc.

III r'erl eduro 101 le prlubdsel, f 01-a000 rue porcollclue laits er010ngaserstrIe olusos I°laiatnk-r boula, r'net Inpnrooipea lolo nu'ma noms oCaa auuv-mIal de ddpuli, l'OIs se lissons ne cou-lorI feèllurnt uvrr 0m llenlecn'a.

NuIra o,ni Dev(d 1maI h dire denulle qnSl ne fora pas rot rumplo cre-do do saa CutiOo mresrrrelIe cl deInotlnro du elucea'uammee, nn réunisquoI parme 010e SaIho eeaIosuo guss40111 dorasses no ru,sca dru mais peu'

Il 'or0 da,u ml, gnomlrv Il5000 tela'oleuvrme de P,val Poputalrr mccclu III laI, cm mpsi celle à TaIn,,

Sucsnolrourmmrrlil-rame lIrIne,Sous 15' la5llcauu aasa atoss.laaiacnaeOtOflu,satr dms e naeialitssc, arr r'nctla rasai lrsse9rspsldn tIn 'cous dOt,oen

l'or, O,dluObo. P scCeI. e,miea, topre, Sas, 51 heurro rO1rfOiIo,t mIn dllail plis SECTION. - Rosoarcult 1er 1100e lev-drla 11, SsdlloEbr, llaa6tnetm, cIreur, ha, '1004 ia boasca. Nouvosnn nhsroela t,ronla go1 leu at,losOrt1 Ira mmo,brruaugrasI aOetaiI, Posai, 4s.Ie1 ilsesslee, 0 11004' puar 1a4 pnerloa000a aatdi- al r robe areliun uorlebisls se rlrmois-5,alud)aa, pois, ad,c,stI, DrOpe, Oanian, 010m. Elode do sollèle. ulnnl dimeanlls duos la lunuplte

moiS 11511e peaseala 1 55 lest. DE LI, CROUX 'c- m': louAI, orolednd,napr,ran

lébnee hI emn,lIc mute par 50mo ban,tacet esuueL

Acluan de, otsratls'ee dc la aeetloaaroleol prés isleic ana amis Riohorol,Vobinard et Boe000sr.

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 6: LA VICTOIRE DE LILLE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_20.… · DIENTOT, LEGALEMENT OU ILLE GALEMENT, NOUS PRENDRONS LE POUVOIR. A CE

PAIVIIERSPARTI S. F. L O. Samedi prochain

23 courant, nous aurons la dhance d'ente',dre notre cterarade Canai& délégué à lapropagande. Le sujet traité sera indignéultérieurement. Mais d'ores et déjà noscamarades, tant adultes que jeunesses, sompriés de réserver leur soirée de samedi pp-&sin,

SKI-CLUB APPAMEEN. Le S. C.A. présentera vendrech prochain 22Janvier au Cinéma Familia les deuxgrands films de ski n PoursuitesManches n et « Darse l'Ivresse des Nei-g. ».

« Poumuibes Blanches n est le pre-mier grand film français sur le ski. Ila été réalisé par Marcel Ichao au coursde la saison dernière, sur l'initiativede la Fédération Française de Ski.

Ce grand Man est tout à la fois taieréalisation sportive et d'art. Il exalteles plaisirs du ski et enchante Par sonrythme et par son allée.. Totnnéavec /e concours ales skieurs de saisi-ne de de France, dans les décors les plusdivers, de Megéve au Col 4g Puymo-rens, de Chaman. à Superbagneres,on retrouve dava ce film l'atm.phèresaisir et joyeuse des Statioes de spartsd'Hiver, des Fentes de ski et des grandsconcours.

Le S. C. A. organise deux séancesCurie de 16 h. 30 à 18 h, 30, l'autre de20 h. 0 à 22 h. 30. Prix des places 3

et 5 franes. MeMbr. des Ski-Clubs3 francs.

Dimanche 24 Janvier, le S. C. A. or-ganise un voyage en autocar connetable à Ceielirei a l'occasion des cham-pionnats internationaux de Ski

Prix du voyage 25 francs. Se faireinscrire ch. M. Fauré.

MARCHE bu SAMEDI 16 JANVIER1937. Cours Prandaée

Poules, 25 à 28 fr.; poulets. 20 à 24 frpigeons, 7 à 9 fr.; .nards, 25 à 30 fr.;dindons, 11556 110 h., Cernas la paire.

Lapins, à .11 fr. pièce. CEufs. 6 alite.la douname.

Oies grasses. 13 à 13.50i canardé gras.13 à 13.50; jambon, 20 à 22 fr., foies Mas,43k 48 fr.; lard, là 8.50; saucisson, 42à 43 h., le tout le kilo.

Lièvres, 35 à 38 fr., lapins sauvages, 8ir is., le tom la pièce.

Seigle. Osa 90 h.: avoine, 0510 68 fr.;mars, 105 à 110 fr.; haricots, 240 à 245 fr.:pommes de terre, 42 à 44 fr., le mut lesac.

THEATRE. Osa nous annonce reurtrès prodhainement au Théâtre Municipalde Pamiers une représentation officielle duThéâtre de la Gpité-Lyrione de Paris, Pré-sentée par les Tournées Catriens oui nousont déjà donné les belles représentationsdu s Pays du Sourire 9.

Le spectacle se composera de a ta Chan-son du Bonheur e, opérette à grand spec-tacle créée la saison dernière au Théâtrede la Calté-Lyrique aven or' succèsdérahle et dont les autems Pour le lisserasla musique sont ceux dn s Pays du Sourire ".-ETAT CIVIL DU 10 AU 16 JAN-

VIER 1937. Naissances Yvonne-Adrienne Dupont; Pierre-Léonce Goa.ré; Serge-Guy Estête.

Publications de mariage AugusteTrey, dégrossisseur, domicilié à, Pa-miers, et Ange/e Cabanie, Papeterie tt

'Pamiers; Justin Cabanié, métallurgis-te-à Pamiers, et Claire Guirami, S. p.S'sprreirrs. -,

Déc. 1 Ellsa Cabanac, 64 ans, 11.-Cruel Marie-Anne Tanen, venge 0v1-ventre, 87 a., route de Toulouse; lVta-rie-Loutse Garros, veuve Delbasc, 53,

rue Gabriel...un: Joseph Musquet38 ans. hôpital; Marie Boulignac. vett:ve Astrugues. 78 ans, avenue de Bel-peoh; Laure Emma Huet, 75 ans medu Clocher:, Guillmme Paul, 81 ans,route de Toulouse; Pierre-Léonce Go.-aé, 2 jotirs, ainamier de Pie.

. SAINT.G1RONSORDRE DU JOUR ADOPTE A

L'UNANI111ITE PAR LES EM.PLOYES COMMUNAUX DE St-GIRONS. -- Les Employés Com-Munaux de Saint-Girons réunis àla Mairie le 18 janvier 1937 surconvocation de M. le Maire, afin demieux connaître les possibilitésbudgétaires de la Commune en cequi a trait aux traitements,

Consulerant que les revendie.tionstions présentées ont été pri-ses en considération î

1. Augmentation des salaires al-lant de 5 à 25 %

2, Augmentation des allocationsfamiliales

Application de la semaine do40 heures

Nomination d'employés tra-vaillant d'une façon permanente ;

Augmentation du salaire jour-

Pour créer une durable et fé-conde, Léo Lagrange comprit tout deente qu'il devait surtout 9onger la ceréservoir de forces neuves, ardenteset malléables Mut à la fois la jeu-nesse.

Tout pour la lenaesse et Psr lanesse telle fut la base essentielle deson action dans l'organisation des lei'airs.

Et c'est pourquoi 55 whâsita. pars se-conder et développer neuvre admirabledes Auberges de la Jeunesse, actuelle-

tmLa joiepeessor

lamifié, la Daterait& c'esttout cela que les teunes trouvent dansIra auberges, et c'est cela qui . faitle succés.

f Pans cette auberge' dit un reale-ment dott cagnes. en mélue temps quela bonne rumeur, un esprit d'andttéfraternelle et d'entiolle, base sus latolérance, la compréhension et te res-pect mutuels,

F055, sans ettlittetele de classes so-ciales el de nationaltlês, "nt les menses

'le:lel"' et les margrl''gz.fom;igrerregui, trac les auber-ges sont sous leur seueseerde, et e.renier dises matent de toue. une Ms-

ee'er'nLrg'eràe'e;'g;one petite' s'uépubllyse de Sennes s.ds doivent avoir a cne de ',sinise auuseliteuet s taek, du phre es de trimé.te aubergistes. .

En ramaLai Lagrange qui vient derendre eita â de romb%userater-gnele.preeiteaCtIlique ele jeu-

rZnreeTjoauer'%,tetinteru

Dans les auberges de montagnes

Au cours d'un récent encagedes. Mademi e et Léo Lagrange vlan'nravu e parcourir les Aipes etles Pré. â l'occasion de diversesrond il 0rse.. youtunous rendre compte de leur séjour auxe sports d'hiver " Anas direl'enthou.

A,Ni[e,GEsaline des chômeurs et autres ou-vriers â la journée

A l'unanimité, tiennent à décla-rer publiquement être satisfaits, se-

'reC'oensieltersMlmlueniicleaftewe , eett lleur doir-sent l'assurance de leur indéfectibledévouement

TARASCONTOMBOLA DU SOU DES ECOLES

LAIQUES. Résultat du ,rage de latntabOla as pos. de T. S. F. estgagné par le numéro 2460, Le servicede table est gagné Par le numéro 966.

Les autres numéros gagnants sont les:

21 47 61 81 110 124 131 148

154 184 212 241 257 282 398 329

334 356 382 392 406 438 450 460

472 479 482 490 524 536 557 559

581 608 639 641 665 696 707 734753 789 817 834 863 875 888 968

920 932 99D 1003 100S li)38 1053 10911125 1129 1160 1177 1211 1222 1243 12461269 1287 1324 1333 1359 1377 1421 14481459 1479 1505 /013 1533 1537 1545 15561564 1598 1607 1642 1651 1690 1710 17111726 1753 1757 1795 1812 1847 1871 18871906 1949 1958 1985 2008 2039 2062 20662082 2090 2113 2138 2168 2188 2210 22482274 2277 2288 2294 2220 2344 2353 23872414 2449 2477

SAINT-JEAN-DE-VERGESREUNION DE LA SECTION. Le

14 commit les membres de ta sectionnouvellement constilutuée de Saint-mou de Verg., se sont réunis, surconvocation au siège du l'ara, salleSiret, pour y recevoir les cart. duParti.

Avec eux, un certain nombre desympathisants avaient tenu à assis-ter à ce rassembrement où de non-vett. adhésions ont été enregistrées.

A l'unsiniinité, le camarade Siret,Slain a été désigné pose psésidernits rétinien, . qu'il s'est empresséde faire «vec ,I.upartdabte et la cour-toisie dont il a toujours fait preuve.

Aprêri avoir rendu compte de in si-tuation administrative de la section,le camarade Aynié, trésorier a, da.imune allocution improvisée, mis en re-lief le but de ne groupement.

Faisant ensuite allusion à la sétou-cité nationale il a stigmatise d'unefaçon cinglante les procédés perfidesdes adversaires de la Paix, notam-ment en ce qui concerne certains in-dividus d'une imixetante commutevoisine. ce qui a PrOvoquégaz% dletoit,r,,.essr%uetensp. utmenat_

nceuvres déloyales dru adversaires dugouvernement de Front Popinaoire.

Camarades, plus que jamais, res-tons unis; sauvons la paix qui est laplus chère de nos revenerleatiOne.

1:effort merveilleux fourni en maidernier pax le Parti Socialiste, se dé-

,e d'une façon certaine et nese laissera intimide.r par les Objurga-tions de ses adversaires qui, on s'en

eat.

VAR1LHES

PEIOL. Pouvons vous certifiern'avoir pas reçu article en questio.

Ii. D. L. R.ESPRIT FASCISTE. En rom..n

A la cinglante critique du CamaradeCostecloat un « Varilhois t. a étaléson esprit dans un article de la « Pe-tite Gironde 0.

Ce monsieur ne doit pas être l'es-clave du poil à la main, mais sûre-ment le héron ou long bec emmanched'an gras cou au type volatile plutôtdisgraineux.

Peu importe, l'ironie de mer effortlittéraire n'est qu'une Pim're daim

ICeauet notre camarade doit bien rire

ar n'étant que colonel les fascistesl'ont déjà promu génôraL

On a voulu surtout une diversion àl'infamie de la fameuse protestation,à l'odyssée lamentable des cinq si-gnataires qui dans leur haine contretous Inc Fronts populaires ont Pro-curé à rAllemagne un document biendangereux

Nous avions toujours répété que nosfaux radicaux étaient uniques maisnous ne pensions pis qu'ils sigles-trent de telle façon. Naturellement, lemanitou de l'équipe est le Conseillergônéral mal élu, la protestation étantsa littérature stricte. Et dire tliespirituel Varilhols le désigne COMMeun e radical bon trusts. Qu'elle igno-minie !

Fauré est désormais classé, il n'estplus que l'agent de de Résilie et de

sienne que ceux-cl avalent &achainecette année.

Deux causes â ce sucrasTout d'abord la morse economiouê

qui se manifeste dans les dive/ferbranches de l'activité nationale.

Le téléférique

En second lieu, tes.cougés payés, De

rir 'd.e"e.trc'elsaeCxert érte'sVfounr"Capés â Noël et au Jour de l'An.

Mais il convient d'atbuterpeut-être aussi ie etcret de per,

pour la nen", I que, gra.ractivite du sous-secrémire d'Etat aux

Loisirs, les Auberges de Jeunesse con-naissent un sucres lusqu'alors in-connu et rie des avantages tres sé-rieux sont marntenant accordés auxtouristes.

Trains SPéciaux. salures a ." m".ohé, hôtels a prix .1:Ms, billets de fa-veur dans les téléfériques tout cela acoMribue au développement des ePortSd Innen

LE MIDI SOCIALISTE

de La Rocque, s'associant à toute dis- l'élection de notre camarade Ca-

talle° asti Rant PoluMmtv.Il sera bientôt lieutenant dans Ces

phalangeu et s'il Figue autre gne'rt.gardera à nouveas le pont de ver-

»Rung pendant que les autres seronta.0 front.

Monsie.ur le Varilhois plein d'espritcela n'est pas de l'ironie mais dePauthenticité. Quant à s Malbrough a0 reviendra et sûrement trop tût Peurvoua

BETHMALENECROLOCIE. NOUS appre-

nons la mort de notre ami Caubati-lis, décédé à l'âge de 76 ans, aprèsune cruelle maladie.

Nous pions la famille et parti-culièrement ses fffs Jacqu. et Jo-seph, membres de notre parti debien vouloir accepter nos manda-Séances émues. P. T.

ILLARTEIN

mel et l'ace.mon au Murait' fienotre chef Léon Blum pour quenotre écoie ne soit pi. désaffectée.

A Partir du ler Février, nos en-fants n'ayant plus de longs dépla-cements à faire fréquenteront regu-lièrement l'école.

Nos remerciementsâ notre dépu-té Casant et aussi à notre sectionqui s'est, avec acharnement, occu-pée de la question.

RIEUX-PELLEPORTREUNION DE LA SECTION.

La Section socialiste S.F.I.O. seréunira samedi soir 23 janvier, â20 heures, chez le camarade Esqui-rol à Villette.

Ordre du jour t adhéSions nou-velles ; renouvellement des cartes;communication mensuelle ; rapportmoral et financier questions di-verses et importanns à solution-ner. Le secrétaire.

reproduisant traits d'un ersohm,estun plaisir Sans pareil

NOTRE ECOLE Notre com-mune était privée d'instituteur de-puis quelques aimé.. Il a falluMIT111111111111111111111111111111111111 lllll III 11111111111111111111111111111 lllllll ill111111111111E

COMITE D'ENTENTE DES AN-CIENS COMBATTANTS. Soirée ci-nématographique de gala.

RoSsa rappe'ons que demain, en ma-

AUCH SOCLETE DE PECHE. Dans lesdifférentes ...blé. générales d.

MEN-enreVUs. évén''..n avaient mani-ais. iistone du cinéma. sas..ciété pêcheuren atten- de

dont la parole et en attendant le me-lief, voici la reproduction exacte, ride- de laremea.

le parfaite, d.. couleurs. Le prennergrand fi. 12 heures de production/ R.re a Pr'. l'i'ineive"cabre ogy. nomma', proem vceu et grâce ses bons soins et àque u « La Fille du Bois Maudit n pas- Ceux de MM. PréeldFlesera à l'Eden cette semaine re jeudi et Satire, damedi dernier, 300 brem.es

degala. Les

en representatMns de ont été immergées et 100 brochets.graadLes premeics poissons avaient de

FAMILIA comme nuire logique 7 à 12 centimètres et les seconds dela série des grandes productions Pas- a°see, pamitia, , prow.i0, ent de ta piscicultureadapte dame puer da nem, elsri ai; de Beauregard par Romorantin (Loir

Paris pl. de 700 représentatio., ro- elman de rémigratdon russe. « Tovaritche na ont été PlacéS r eu Tt. an Emeest un film des mus vitrants et fort an- de la Baïse, S l'abattoir et chez M.

Labat usétalrnn lents teSt vignarcnv,Souhaitons qu'ils &violent vieux

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DE GARÇONS. -- Succès au concoursdes P T T

Nous relevons sur /a listeffes cas-

lellee d'erdidats reg. au dernier concours du

e.i° surnumeriat des P. T. T. les noms ded.es A. C. offrira au public mirandais

t'en'a E»Ch rdaUf à la vk l'end'. Gd.71tieesikid.aen BTerevrsgrand . de notre Braie Prim 'Te sai USpertentent sera également présente lefil gai : e La Caserne en folie a. I e '

PRicitatlans au xlaureats de ce dif-En matinée le film « Foch t, Seraprécédé d'use production choisie,PMse donner toute .11sfaction à sa l AMICALE DES ANCIENS ELEVESclientèle scolaire. DE L'ECOLE PRIMAIRE SUPERIEU-

Prix habituels des places pour les CE DE GARÇONS. Le b seau dedeux séances. Les tarifs ne sont pas l'association réuni le 14 janvier a de-augmentés, mais les cartes de faveur . ridé de convoquer tons ses membres I

sont riguoreu.sement interdite. en assemblée générale, le ssmedi 30Les anciens .mbattants, leurs fa- janvier à 20 h. 30 AU lieu habituel rte

milles, /ours amis seront Présents, ses réunions à l'Ecole Suréîieure,salle Brans, demain jeudi. , grande salle d'étude, Le Bureau.

m1101111111111MIMIWillonouggiMilirdllliderilM1111 lllll MulenteninenSOIMII

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A Saint-GervaisA la suite des nombreuses navettes

budgetairat qui le retinrent tant auLuxembourg qu'au Palais Bourbon, LéoLagrange prit le chemin des Alpespour aller inaugurer j Auberge de Jeu-nesse qui porte son nom, a Saint.Ge,vais.

No. avons reçu là-bas un accueilinoubliable, dit Madeleine Lagrange.Etudiantes, midinettes, travailleurs m.miels et employés Innen-osaient dansle même culte de la polo et de l'amitié.VraimeM D ce dégag.sait une âme col-lective de cette perde Républiqu.e dojeunes, chantant leur hymne préférégui et un véritable ante de fol dans

« Au devant de la. vde »,n'est tout l'idéal des auberges

Avec une âme d'apôtre, le père au-h,:misle,etz. tfemMe v.illent sur toute

A la section socialistede Ghamonic

De Saint-Gervais, te sous-secrétairedata a. Loisirs dut se rendreh cha-rmants ou l'attendait /a section socia-liste.

teeell°8°.are easeeue",111tUr'OUZ:

maire de Sa /tanches ; Ponce. secré-ment Amédée Guy, députe de la Hou-te-Savoie Léon Corral, adjoint au

taire de la Fédération de la flaute-Sa-voie et Marceau Pivert, membre de taC. A. P. nos camarades offrirent à Ma,deleine Ladraagr Itne ),aire de skis,reie vn artisa.n du pays, nen-

Ou dîner suivi de bar termina Cette

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Interview avec Léo LAGRANGEgfir.11eepréinte de la plus s.nde

A l'auberge des PèlerinsAprès une es.le à l'auberge des

'èasee'r °Lee: :0":,12elleml:L2V°E.-

lerins n 'où rattendaient SubleL more.Scion du CoinOl régional des Auberge,sde Haute-Savoie et Mme Poisat, ente/-dente du groupement...C.,,otmrmzartout Mamies, le mPlésea-tant du gouvernement Mt chaleureuse-

nous assure MadeleMe Lagran-ge, dans un site mer,Hleux, chacunapportant joyeusement une part de la-beur librement emmena, dans le meil-leur esprit d'amitié et solidarité, desjeunes de toutes conditions socialespontent les joies de la neige miles plai-sire les plus saMs.

Mais, nous l'avons dit. le voyagedu sous-secrereire aillas était avanttout un voyage d'études.

A l'occasion d'ailleurs il obtint. no-tamment . ce qui corneruom les télé-fériques, des avautages tram apprécia-bles en faveur des usagers des Auber.igné: ectts. titulaires de billets de con-

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Lais-t s sens aux aitus des Manches et

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A l'occasion de son passagevo, Lagrange tint rencontrer les jeu-nes champions de slo Roland Allard,Erste AlMis, Maurice Dimple.

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Et quittons lee Alpes pour passer auxpyrenées.

Dans les Pyrénéesavec les Toulousains

Hnit jours apres, en effet, notre ca-inartade se rendait dans les PyrénéeS.prr,i;laugurer le Chalet Naval:listed P resourde.Lab., le Club Athlétique Toulou-

sain soins dirigeants be ur F. E G. T.ont créé un abri modtht eS emptevemde magasin dactylos et jeusesleurs de l'Usine ou du bureau se re-trouvent pour apprécier les mies de laOIS en plein Mr et a la montagne.

Soule mechta. du SaudIni d'Initia-tive de l'Arboust Ellen-Prévôt, maireOn Toulouse, SainiMartin. denté daGers, le docteur Germes, maire de Lu-chon assistaient h la manifestation

Comme dans les aulmrges, le marneesprit de fraternité réa. au Chalettravailliste.

De celte cérémonie somme de sa vt-site au Centre de Ski LuchOnnais, La-grange a conserve un excellent sauve.nin

Partout, nous amene-en, c'est lamôme atmosphère.

4.rnies de ses voyages. Lagrange

a senti vraiment qu'il un cou-rant trés net en faveur d'es loisirs Po-

Ir: a pu consul, les heureuxeutareerobzus grâce aux efforts du

L'onanisaina des Elgin est en bone

vele-' Bisets RtaOT.,J

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Même pas peur - geographieaffective.fr · Même pas peur ! est un titre provisoire et peut-être définitif, selon les chemins que nous prendrons. Il résonne particulièrement avec

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pECOR WONS! - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B315556101_MIDSOC_1916_07_14.… · ADMINISTRATION * RÉDACTION 38, Rue RoqUelaine TOULtOUSE o 43 rc'017,,Le 5 h. 101e.

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République Dominicaine L'île aux multiples facettes · 2020. 11. 9. · Colomb, la Casa Real, le Panthéon national en déambulant sur la Calle Damas. Puis nous prendrons la route

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Extrait de la publication - decitre.fr · par une femme qui tenait un verre de jus de ... Ce que je veux dire, ... Ñ CÕest galement signiÞcatif que Pinter soit

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NSOCIALAS - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1913/B315556101_MIDSOC_1913_03_07.… · C'est, un fait malineureu8ement sr-ois uniXereelfiement .constaté que le n dee denrées

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St 0 CIAL/L - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_07_17.… · P`' ADMINISTRATION * RÉDACTION 38, RUe Roquelaine TOUhOUSE.nex.e.o.couno 45 Anceisurnarespre

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SOCIALISTE - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1932/B315556101...Montrose, par un negre, Willia. Allen, nuise rendait t Montrose sur un camion, en compagnie d'un de ses

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Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914_02_13.… · soulager sis peu les hôpitaux surpeu-plés, oit la municipalité socialiste fait test

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La Caraïbe dans le partenariat stratégique euro-latino ... · acteurs, comme la Chine populaire, dans la M diterran e am ricaine , est galement susceptible de bouleverser les quilibres

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(Suite) - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101...!sissent la bourgeoisie affirma sa position Nos> avons 'bien du mal, après cela, nuts socialistes, pour recons-tituer

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Spiritualité Psychologie Travail énergétique Eveil · question que nous aborderons ces thèmes à travers l’œuvre de Philippe Guillemant, ... prendrons conscience que la mort

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dans le Vent...Entrée et PAF libres - parking gratuit devant l’église Infos: conferencefamille@gmail.com - 0487 62 46 14 - Après la conférence, nous prendrons un verre de l’amitié

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CLIQUABLE! Message du président 2 Spiritualité 3 ... › sites › default › files › vincenpaul...anniversaire du Charisme Vincentien. Chaque jour, nous prendrons du temps pour

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La rentrée de la Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/B... · Quand on songe que ces perdes ... ni avec les idées, ni avec les doc-tricot. 11 ne compta nus

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Diapositive 1 DÉPLIANT . MA STRATÉGIE: LE SAINT-BRUNO INC. Nous prendrons un tournant majeur„ Nous allons vers le développement et la Croissance. Cette approche rendra Saint-Bruno

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Pages vient Faix - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101... · 2010-03-05 · t4'3 de paalla! s't.taelteron-zl1i aLlfCCfiOo ttCi ir4ns CU snnt p's aec-eotcr

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Nous arons été les seuls S 0 MUST E - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1928/B315556101_MIDSOC_1928_09_20.pdfANNEE. Nni 11.010 ABONNEMENTS Gee» 18 fr.: 6 mol. 34 fr.:

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VIAZAC - CHABRIOLE...2014 paru dans la Chabriole de décembre 2013 a été modifié. PLANNING 2014 : 16 Avril 2014: Réunion à la salle St Maurice (nous prendrons les inscriptions

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monastères, forteresses et bouches de KotorFruska Gora (213 km) Le matin, nous prendrons la route pour Novi Sad. Capitale administrative de la Voïvodine, Novi Sad n’était, avant

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Le Coeur en bref - École primaire du Plein-Coeur · opp-pleincoeur@outlook.com Nous prendrons contact avec vous. Prochaine rencontre du conseil d’établissement : 15 mai, 17h45

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