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NICOLAS MAUREAU SCÈNES DE GENRE NICOLAS MAUREAU SCÈNES DE GENRE

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N I C O L A S M A U R E A U

S C È N E S D E G E N R E

N I C O L A S M A U R E A U

S C È N E S D E G E N R E

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Quand la peinture avait ses règles et ses académies, les scènes de genre étaient considérées comme mineures. Peu à peu, elles ont acquis leurs lettres de noblesse. Puis la peinture est entrée en agonie, d’aucuns mêmes ont prétendu qu’elle était morte…

Fort heureusement, je ne le savais pas. Insouciante de ceux pour qui elle n’avait plus droit de cité, je l’admirais dans les musées, je la traquais dans les galeries. Le résultat  ? Depuis dix ans la Galerie Elizabeth Couturier expose de jeunes peintres et déclare une ligne résolument figurative.

Et Nicolas Maureau est arrivé tranquillement, avec ses fonds noirs et ses personnages joyeusement provocateurs. Je dis tranquillement parce que Nicolas Maureau est une force tranquille. J’ai vu les fonds noirs, les couleurs vives, les personnages jeunes ; j’ai aimé les shorts longs, les baskets, les smartphones dans la poches, les tatouages … Tous ces attributs de notre époque jurant avec les titres des tableaux : Apollon et Marsyas, Icare, les Argonautes, voire le Baptême du Christ …

De quoi se poser des questions, et sur les mythes anciens, un peu oubliés depuis le lycée, et sur notre temps si apparemment troublé. Mais après tout, les illustres prédécesseurs faisaient-ils autrement ?

Ai-je vu que les modèles étaient presque toujours des garçons ? Pas sûr, car j‘ai été surprise par la charge érotique lors de notre accrochage. A talentueux, j’ai ajouté militant.

Avec Scènes de Genre on est dans l’anecdote, le familier, mais le propos du tableau est politique : Il ne vous aura pas échappé que pour Nicolas Maureau, le mot « genre » a un sens autrement particulier.

Elizabeth COUTURIER BARDIN

NICOLAS MAUREAUNICOLAS MAUREAU

Quand la peinture avait ses règles et ses académies, les scènes de genre étaient considérées comme mineures. Peu à peu, elles ont acquis leurs lettres de noblesse. Puis la peinture est entrée en agonie, d’aucuns mêmes ont prétendu qu’elle était morte…

Fort heureusement, je ne le savais pas. Insouciante de ceux pour qui elle n’avait plus droit de cité, je l’admirais dans les musées, je la traquais dans les galeries. Le résultat  ? Depuis dix ans la Galerie Elizabeth Couturier expose de jeunes peintres et déclare une ligne résolument figurative.

Et Nicolas Maureau est arrivé tranquillement, avec ses fonds noirs et ses personnages joyeusement provocateurs. Je dis tranquillement parce que Nicolas Maureau est une force tranquille. J’ai vu les fonds noirs, les couleurs vives, les personnages jeunes ; j’ai aimé les shorts longs, les baskets, les smartphones dans la poches, les tatouages … Tous ces attributs de notre époque jurant avec les titres des tableaux : Apollon et Marsyas, Icare, les Argonautes, voire le Baptême du Christ …

De quoi se poser des questions, et sur les mythes anciens, un peu oubliés depuis le lycée, et sur notre temps si apparemment troublé. Mais après tout, les illustres prédécesseurs faisaient-ils autrement ?

Ai-je vu que les modèles étaient presque toujours des garçons ? Pas sûr, car j‘ai été surprise par la charge érotique lors de notre accrochage. A talentueux, j’ai ajouté militant.

Avec Scènes de Genre on est dans l’anecdote, le familier, mais le propos du tableau est politique : Il ne vous aura pas échappé que pour Nicolas Maureau, le mot « genre » a un sens autrement particulier.

Elizabeth COUTURIER BARDIN

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En revisitant les thèmes récurrents de l’iconographie de la peinture « classique»  le travail de Nicolas Maureau en interroge la persistance dans notre contemporanéité. De ces thèmes souvent méconnus, oubliés, flous, dont il ne reprend pas tous les éléments propres à les identifier, il conserve les titres, qui ne donnant pas toute la clé du représenté invitent à l’interprétation. Une intertextualité se tisse, la narration oubliée laisse place dans l’imaginaire commun à des œuvres, des livres, des sciences qui s’en sont saisi.

Travaillant par séries, (Victimes Martyrs Héros, Métamorphoses, Noli Me Tangere, Scène de Genre) Nicolas Maureau établit un dialogue entre les œuvres. Les scènes se répondent les unes au autres, chacune fonctionnant comme le mot d’un champ lexical plus large. Les similarités de certaines positions absorbent la narration en la rendant interchangeable. En occultant le fond, l’aplat noir qui détoure les corps les place dans un espace commun.

Dans Scènes de Genre il explore les œuvres qui regroupées dans cette catégorie s’intéressent au quotidien, au populaire. Il entend le mot genre en son sens actuel des études de genre pour en faire surgir la construction des identités masculines et féminines. En opérant une inversion des rôles habituellement attribués à chacun des deux sexes (les couseurs, les lavandiers, la chiffonnière), il rend visible l’artifice des assignations culturelles.

La problématique de la «  lutte des classes  » sous-jacente dans la production du XIXème siècle, siècle durant lequel les scènes de genre connurent leur plus grand succès, s’estompe sans disparaître comme l’ont fait avant elle d’autres mythes. Cet ensolement des pensées, des récits, qui s’imbriquent pour former le pavement sur lequel nous marchons sans y penser, est ce qui traverse l’ensemble de son travail. Irriguant souterrainement nos imaginaires, les mythes nous parlent de nos sociétés, de nous en elles. Ils nous révèlent en creux leur persistance, ils bégaient avec nous.

SCÈNES DE GENRE

En revisitant les thèmes récurrents de l’iconographie de la peinture « classique»  le travail de Nicolas Maureau en interroge la persistance dans notre contemporanéité. De ces thèmes souvent méconnus, oubliés, flous, dont il ne reprend pas tous les éléments propres à les identifier, il conserve les titres, qui ne donnant pas toute la clé du représenté invitent à l’interprétation. Une intertextualité se tisse, la narration oubliée laisse place dans l’imaginaire commun à des œuvres, des livres, des sciences qui s’en sont saisi.

Travaillant par séries, (Victimes Martyrs Héros, Métamorphoses, Noli Me Tangere, Scène de Genre) Nicolas Maureau établit un dialogue entre les œuvres. Les scènes se répondent les unes au autres, chacune fonctionnant comme le mot d’un champ lexical plus large. Les similarités de certaines positions absorbent la narration en la rendant interchangeable. En occultant le fond, l’aplat noir qui détoure les corps les place dans un espace commun.

Dans Scènes de Genre il explore les œuvres qui regroupées dans cette catégorie s’intéressent au quotidien, au populaire. Il entend le mot genre en son sens actuel des études de genre pour en faire surgir la construction des identités masculines et féminines. En opérant une inversion des rôles habituellement attribués à chacun des deux sexes (les couseurs, les lavandiers, la chiffonnière), il rend visible l’artifice des assignations culturelles.

La problématique de la «  lutte des classes  » sous-jacente dans la production du XIXème siècle, siècle durant lequel les scènes de genre connurent leur plus grand succès, s’estompe sans disparaître comme l’ont fait avant elle d’autres mythes. Cet ensolement des pensées, des récits, qui s’imbriquent pour former le pavement sur lequel nous marchons sans y penser, est ce qui traverse l’ensemble de son travail. Irriguant souterrainement nos imaginaires, les mythes nous parlent de nos sociétés, de nous en elles. Ils nous révèlent en creux leur persistance, ils bégaient avec nous.

SCÈNES DE GENRE

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L’AU-DELÀ DU SUJET

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Je suis la Chiffonnière d’une des Scènes de genre de Nicolas Maureau. Passé le stade du miroir qui constitue dans sa primauté une expérience qu’on peut supposer de l’ordre d’une révélation, se voir, se regarder et reconnaître son corps ou une partie de son corps, quels que soient les sentiments que cela nous inspire, est par la suite rendu à la banalité d’un fait quotidien. Or lorsque j’ai découvert ce tableau, j’ai éprouvé ce que je peux bien appeler un saisissement.

Qu’est-ce qui donc distinguait cette image - qui m’avait fait l’effet d’une vision - des autres, celles de tous les jours ?Il est vrai que se voir en peinture est assez rare (et qui plus est dans un tel format) mais ne suffit pas à expliquer la sensation éprouvée. Détachée sur fond noir, qui par la décontextualisation qu’il opère, agit comme un révélateur, en position quasi flottante dans l’espace bien qu’assise, c’était moi certes là dans une ressemblance frappante de ce moment, dans mes propres vêtements, et plus que moi (« plus » dans son sens de « seulement » et « davantage » à la fois).

Moi oui, mais où ? Et quand ?C’est pour une bonne part dans cet espace indéfini, ou plutôt infini dans lequel le peintre nous place qu’il me semble que quelque chose se dévoile. De l’ordre du temps, de l’accumulation du temps, d’une durée dont on ne peut saisir un début ou une fin, mais dont la lueur irradie nos corps qui en sont le véhicule. Partout et nulle part, étranges et familiers dans une actualité inactuelle, nous passons du simple statut de figures du présent inscrites sur la toile à celui d’inscriptions.C’est très exactement cela que j’ai ressenti: à savoir que la peinture de Nicolas Maureau nous peuple, les individus modèles que nous sommes y devenons passages, (re)visitations, traversées, tranfigurations des mythes, des genres, de la peinture dont - sans forcément en avoir toujours une conscience claire - nous sommes porteurs. C’est face à cela que j’ai été mise, une figure qui bien qu’achevée contient l’inachèvement, une figure hantée où trouve à se concentrer à l’extrême une dilatation, une figure-signe.

Christine MONLEZUN

SE VOIR EN PEINTURE

Je suis la Chiffonnière d’une des Scènes de genre de Nicolas Maureau. Passé le stade du miroir qui constitue dans sa primauté une expérience qu’on peut supposer de l’ordre d’une révélation, se voir, se regarder et reconnaître son corps ou une partie de son corps, quels que soient les sentiments que cela nous inspire, est par la suite rendu à la banalité d’un fait quotidien. Or lorsque j’ai découvert ce tableau, j’ai éprouvé ce que je peux bien appeler un saisissement.

Qu’est-ce qui donc distinguait cette image - qui m’avait fait l’effet d’une vision - des autres, celles de tous les jours ?Il est vrai que se voir en peinture est assez rare (et qui plus est dans un tel format) mais ne suffit pas à expliquer la sensation éprouvée. Détachée sur fond noir, qui par la décontextualisation qu’il opère, agit comme un révélateur, en position quasi flottante dans l’espace bien qu’assise, c’était moi certes là dans une ressemblance frappante de ce moment, dans mes propres vêtements, et plus que moi (« plus » dans son sens de « seulement » et « davantage » à la fois).

Moi oui, mais où ? Et quand ?C’est pour une bonne part dans cet espace indéfini, ou plutôt infini dans lequel le peintre nous place qu’il me semble que quelque chose se dévoile. De l’ordre du temps, de l’accumulation du temps, d’une durée dont on ne peut saisir un début ou une fin, mais dont la lueur irradie nos corps qui en sont le véhicule. Partout et nulle part, étranges et familiers dans une actualité inactuelle, nous passons du simple statut de figures du présent inscrites sur la toile à celui d’inscriptions.C’est très exactement cela que j’ai ressenti: à savoir que la peinture de Nicolas Maureau nous peuple, les individus modèles que nous sommes y devenons passages, (re)visitations, traversées, tranfigurations des mythes, des genres, de la peinture dont - sans forcément en avoir toujours une conscience claire - nous sommes porteurs. C’est face à cela que j’ai été mise, une figure qui bien qu’achevée contient l’inachèvement, une figure hantée où trouve à se concentrer à l’extrême une dilatation, une figure-signe.

Christine MONLEZUN

SE VOIR EN PEINTURE

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On peut se poser la question : les visages nous font-ils face ou nous prennent-ils comme « point de fuite » ?

Les visages sont imprimés dans un moulage dont l’artiste a photographié l’envers.

Le recouvrement du visage sur le support envahit l’espace du modèle pour lui en offrir un autre : un champ clos, dans lequel il ne voit rien, n’entend rien, ne respire plus et ne peut parler. Le modèle est figé dans un espace intérieur qui s’imprègne alors dans la matière.

La lumière et la matière qui révèlent le visage semblent alors devenir un voile…

Ce « voile » et ce « reste » font référence au Mandylion chrétien, relique en tissu où le visage du Christ se serait imprimé, mais surtout à son sens plus profond : la possibilité d’accéder à Dieu, à l’irreprésentable et ainsi de permettre la relation d’un monde à l’autre.

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Des corps de jeunes femmes et de jeunes hommes, nos contemporains, à la chair spectrale, que rehaussent les vives couleurs des vêtements, surgissent avec force des ténèbres de nos doutes et de nos ignorances, arrêtés dans leurs attitudes quotidiennes, transmises du fond des âges, à travers les mythes et leurs représentations successives sans cesse réinventées par la peinture.

Scènes de genre où se cristallise, à travers des raffinements de pose, toute une gestuelle héritée dont les références mythiques et culturelles dévoilent et nourrissent le sens.

Scènes de genre où le genre féminin et le genre masculin ne cessent, à l’image de Tirésias, de se transformer l’un en l’autre.

Scènes de genre où la peinture offre à redécouvrir trois versions du mythe de Tirésias dont la cécité imposée ne l’empêchait pas de deviner ce que les voyants ne pouvaient entrevoir.

Scènes de genre dont l’artiste nous abandonne l’interprétation et qu’importe si cette grenade entrouverte dans la paume d’une main nous semble être un fruit suave, «  un front souverain éclaté de ses découvertes »* ou un instrument de mort.

Il faut entrer doucement dans les tableaux de Nicolas Maureau, s’y arrêter pour en saisir les secrets pressentis et y déposer des fragments de sa propre histoire et de son propre savoir, dans un rêve de cosmicité partagée. *Paul Valéry, Les Grenades, CHARMES.

Jean-François AUPETIT

TIRÉSIAS A LA GRENADETIRÉSIAS A LA GRENADE

Des corps de jeunes femmes et de jeunes hommes, nos contemporains, à la chair spectrale, que rehaussent les vives couleurs des vêtements, surgissent avec force des ténèbres de nos doutes et de nos ignorances, arrêtés dans leurs attitudes quotidiennes, transmises du fond des âges, à travers les mythes et leurs représentations successives sans cesse réinventées par la peinture.

Scènes de genre où se cristallise, à travers des raffinements de pose, toute une gestuelle héritée dont les références mythiques et culturelles dévoilent et nourrissent le sens.

Scènes de genre où le genre féminin et le genre masculin ne cessent, à l’image de Tirésias, de se transformer l’un en l’autre.

Scènes de genre où la peinture offre à redécouvrir trois versions du mythe de Tirésias dont la cécité imposée ne l’empêchait pas de deviner ce que les voyants ne pouvaient entrevoir.

Scènes de genre dont l’artiste nous abandonne l’interprétation et qu’importe si cette grenade entrouverte dans la paume d’une main nous semble être un fruit suave, «  un front souverain éclaté de ses découvertes »* ou un instrument de mort.

Il faut entrer doucement dans les tableaux de Nicolas Maureau, s’y arrêter pour en saisir les secrets pressentis et y déposer des fragments de sa propre histoire et de son propre savoir, dans un rêve de cosmicité partagée. *Paul Valéry, Les Grenades, CHARMES.

Jean-François AUPETIT

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BIOGRAPHIE DE L ’ARTISTE

Nicolas Maureau vit et travaille à Toulouse. Il est diplômé de l’école supérieure d’art de Bretagne de Rennes. En 2009 il s’oriente vers la figuration et réalise sa première exposition personnelle .

En 2010 il est lauréat du prix spécial du jury ArToulouse. En 2011 la série NOLI ME TANGERE est exposée par la Galerie Sainte Catherine à la Chapelle Paraire de Rodez. En 2012 LE RECOURS AU MYTHE est présenté au Théâtre Alizé lors du Festival d’Avignon. Ses œuvres sont présentes dans  divers collections particulières et on fait l’objet de publication The Art of Men en 2016 (USA).

Depuis 2014 Nicolas Maureau est représenté par la galerie Elizabeth Couturier. MISE AU NOIR première exposition personnelle à Lyon est suivie de l’exposition Care Artsper au Palais de Tokyo à Paris, et de Start Strasbourg en 2015. En 2016 La série SCÈNES DE GENRE est présentée à la galerie Elizabeth Couturier.

GALERIE EL IZABETH COUTURIER

La Galerie Elizabeth Couturier, créée en octobre 2005, est installée à Lyon depuis mai 2011. Elle crée un lien entre les jeunes créateurs (peintres, sculpteurs, plasticiens, photo-graphes) et les artistes confirmés, français et étrangers.

Elle participe régulièrement à différentes foires d’art contemporain françaises et internationales. Elle entretient des rapports privilégiés avec la GALERIJA BIRKENFELDS de Riga. Elle édite aussi catalogues et monographies d’artistes.

Résolument engagés dans la voie de la Figuration Contemporaine la galerie Elizabeth Couturier soutient de jeunes artistes s’inscrivant dans cette démarche, qu’elle soit narrative, conceptuelle ou alternative.

INDEX DES OEUVRES

p. 1 : JEUNE HOMME AU LIVRE 97x130cm, huile sur toile.p. 2 : LA TRIBUNE 97X130 CM, huile sur toile. p. 4 : LES GLANEURS 97x130cm, huile sur toile. p. 5 : LES LAVANDIERS 97x130cm, huile sur toile.p. 6-8 : LES COUSEURS 130x97 cm, huile sur toile.p. 10 et 11 : LA BONNE AVENTURE 97x130cm, huile sur toile.p. 12 : LA CHIFFONNIÈRE (détail) 97x130cm, huile sur toile.p. 14 et 15 : FEMME A LA GRENADE 130x97cm, huile sur toile.p. 16 : M. B EN COSTUME DE FLAMENCO 97x130cm, huile sur toile.p. 18 et 19 : TIRÉSIAS ET LES SERPENTS114x162 cm, huile sur toile.p. 20 : TIRÉSIAS ET APOLLON 114x162 cm, huile sur toile.p. 21 : TIRÉSIAS ET ATHÉNA 114x162 cm, huile sur toile.Çi-contre : LES LAVANDIERS (détail) 97x130cm, huile sur toile.p. 24 : LA CHIFFONNIÈRE97X130 CM, huile sur toile.

BIOGRAPHIE DE L ’ARTISTE

Nicolas Maureau vit et travaille à Toulouse. Il est diplômé de l’école supérieure d’art de Bretagne de Rennes. En 2009 il s’oriente vers la figuration et réalise sa première exposition personnelle .

En 2010 il est lauréat du prix spécial du jury ArToulouse. En 2011 la série NOLI ME TANGERE est exposée par la Galerie Sainte Catherine à la Chapelle Paraire de Rodez. En 2012 LE RECOURS AU MYTHE est présenté au Théâtre Alizé lors du Festival d’Avignon. Ses œuvres sont présentes dans  divers collections particulières et on fait l’objet de publication The Art of Men en 2016 (USA).

Depuis 2014 Nicolas Maureau est représenté par la galerie Elizabeth Couturier. MISE AU NOIR première exposition personnelle à Lyon est suivie de l’exposition Care Artsper au Palais de Tokyo à Paris, et de Start Strasbourg en 2015. En 2016 La série SCÈNES DE GENRE est présentée à la galerie Elizabeth Couturier.

GALERIE EL IZABETH COUTURIER

La Galerie Elizabeth Couturier, créée en octobre 2005, est installée à Lyon depuis mai 2011. Elle crée un lien entre les jeunes créateurs (peintres, sculpteurs, plasticiens, photo-graphes) et les artistes confirmés, français et étrangers.

Elle participe régulièrement à différentes foires d’art contemporain françaises et internationales. Elle entretient des rapports privilégiés avec la GALERIJA BIRKENFELDS de Riga. Elle édite aussi catalogues et monographies d’artistes.

Résolument engagés dans la voie de la Figuration Contemporaine la galerie Elizabeth Couturier soutient de jeunes artistes s’inscrivant dans cette démarche, qu’elle soit narrative, conceptuelle ou alternative.

INDEX DES OEUVRES

p. 1 : JEUNE HOMME AU LIVRE 97x130cm, huile sur toile.p. 2 : LA TRIBUNE 97X130 CM, huile sur toile. p. 4 : LES GLANEURS 97x130cm, huile sur toile. p. 5 : LES LAVANDIERS 97x130cm, huile sur toile.p. 6-8 : LES COUSEURS 130x97 cm, huile sur toile.p. 10 et 11 : LA BONNE AVENTURE 97x130cm, huile sur toile.p. 12 : LA CHIFFONNIÈRE (détail) 97x130cm, huile sur toile.p. 14 et 15 : FEMME A LA GRENADE 130x97cm, huile sur toile.p. 16 : M. B EN COSTUME DE FLAMENCO 97x130cm, huile sur toile.p. 18 et 19 : TIRÉSIAS ET LES SERPENTS114x162 cm, huile sur toile.p. 20 : TIRÉSIAS ET APOLLON 114x162 cm, huile sur toile.p. 21 : TIRÉSIAS ET ATHÉNA 114x162 cm, huile sur toile.Çi-contre : LES LAVANDIERS (détail) 97x130cm, huile sur toile.p. 24 : LA CHIFFONNIÈRE97X130 CM, huile sur toile.

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Du mercredi au samedi : 14h00 > 19h0025, rue Burdeau F-69001 Lyon+33 (0)4 27 78 82 32 | +33 (0)6 47 60 48 40www.galerie-elizabethcouturier.com Prix 4 €

Du mercredi au samedi : 14h00 > 19h0025, rue Burdeau F-69001 Lyon+33 (0)4 27 78 82 32 | +33 (0)6 47 60 48 40www.galerie-elizabethcouturier.com Prix 4 €