N°21 décembre 2013 - mai 2014 -...

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Spectacle La chorale de Noël N°21 décembre 2013 - mai 2014 Retrouvez ce numéro et les précédents sur la page Internet du collège : http://lyc71-militaire.ac-dijon.fr/spip.php?rubrique192 A l’occasion de la Semaine de la presse, le Nouveau Changaï a été diffusé dans 20 autres collèges ! Rencontre Daniel Rousseau, écrivain Et aussi : Les chroniques littéraires des 5e Les jeux du collège Le concours de dessins Le magazine du Collège Militaire d’Autun La maquette du Lycée une réalisation des 6 e !

Transcript of N°21 décembre 2013 - mai 2014 -...

Spectacle ◊ La chorale de Noël

N°21 décembre 2013 - mai 2014

Retrouvez ce numéro et les précédents sur la page Internet du collège : http://lyc71-militaire.ac-dijon.fr/spip.php?rubrique192

A l’occasion de la Semaine de la presse, le Nouveau Changaï a été diffusé dans 20 autres collèges ! Rencontre ◊ Daniel Rousseau, écrivain

Et aussi :

◊ Les chroniques littéraires des 5e

◊ Les jeux du collège

◊ Le concours de dessins

Le magazine du Collège Militaire d’Autun

La maquette du Lycée une réalisation des 6e !

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La maquette du Lycée une réalisation des 6e !

Tous les jours pendant le temps libre, sous la direction des chefs de peloton, nous pouvions participer à la construction de la maquette représentant le Lycée Militaire d’Autun. Certains élèves s’occupaient de la construction du bâtiment, d’autres de la réalisation des personnages : chaque élève s’est représenté lui-même. Nous avons aussi représenté les autorités.

Les matériaux de fabrication du lycée ont été du gros carton, du bois, du tissu et du papier peint, rapportés par nos chefs de peloton. Le toit et les fenêtres ont été imprimés, photocopiés, découpés et collés. Le jardin extérieur a été fait avec des boîtes à œufs.

L’ADJ Viennet a même installé une guirlande lumineuse sous les toits !

Durant le mois de décembre, chaque niveau de classe réalise un projet original, exposé aux autorités le soir du repas de Noël. Cette année, les 6e se sont surpassés ! Nos reporters vous font revivre les différentes étapes de la construction de leur œuvre.

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Pour réaliser les figurines, nous avons pris des bouteilles en fonction de notre taille. Nous les avons remplies de cailloux pour les stabiliser. Les têtes ont été faites avec de petits ballons gonflés. Nous avons recouvert toutes les figurines de papier journal avant de les décorer de papier crépon. Puis, nous avons peint les visages et collé de la laine pour les cheveux.

← Une partie du peloton des 6e encadrée par le MCH Gauliard (à gauche) et l’ADJ Viennet (à droite)

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← Les autorités représentées sont, de gauche à droite, le Proviseur M. Tamisier, le Colonel Desroche, le Capitaine Monnot, Mme Rouffet (professeur principal des 6eA), le Principal M. Savary et Mme Tourgis (professeur principal des 6eB)

Le soir de Noël, avant de présenter notre maquette, nous avons accueilli les juges en chantant. Nous nous étions entraînés avec la chef Gauliard. Le chant était adapté au collège. Ce sont les chefs de peloton qui l’avaient choisi et remixé. Il y avait des passages amusants comme : « Mais pour tout le monde, y a des TIG ».

Les chefs de section ont beaucoup travaillé, et c’est grâce à eux qu’on a gagné le concours du meilleur projet!

Refrain de la chanson des 6e : Noël, Joyeux Noël, Bon baiser de Changarnier, Ce soir, on n’vas pas au Foyer, Ce soir, on va chanter !

Texte rédigé par l’ensemble des 6eA.

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Chorale

Le 14 décembre, vers 14h30, M. Gimenez, notre professeur de musique, nous a emmenés à l’Hôtel de Ville. Tout d’abord, nous avons répété, en faisant différents exercices de vocalise. C’était très long, mais très bien.

Vers 18h00, nous nous sommes mis en place sur les marches de la mairie. Peu après, il y avait de plus en plus de monde. Nous avons commencé à chanter Happy Days, puis Stille Nacht, Le Divin Enfant, Have a Nice Day. Il faisait très froid, mais c’était très chaleureux de voir autant de spectateurs.

Quand tout a été fini, nous sommes allés manger, et nous avons fait un karaoké à l’Hexagone. Enfin, nous sommes rentrés pour une bonne nuit de sommeil.

Clémentine TIREL-GOMARD 6eA

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Invité par Madame Tourgis, l’écrivain Daniel Rousseau est venu rendre visite aux 5e qui ne furent pas avares de questions sur son activité et son œuvre littéraire. Nos reporters ont sélectionné quelques-uns de ces échanges. Etiez-vous un bon élève, notamment en orthographe ? Daniel Rousseau : Non, pas du tout ! Mais en 5e, j’ai eu une prof de français géniale. La première rédaction qu’elle nous a donnée, c’était : « thème libre » ! On pouvait raconter ce qu’on voulait ! Comme j’avais déjà écrit des histoires policières, j’étais confiant… Résultat : 5/20 ! La honte !!! J’écrivais tellement petit (de vraies pattes de mouche !) qu’il lui avait fallu trois heures pour me lire ! La copie suivante fut rendue à un de mes camarades, un petit Cambodgien : 18 ! Elle a montré la copie : son écriture, c’était à tomber à genoux ! Il racontait comment il avait dû fuir le Cambodge à l’époque de la guerre du Vietnam. La rédaction suivante, j’ai eu 15 ou 16, avec une écriture très bien formée. Et là, la prof a pris la copie : « Voyez, tout est possible ! Quand on veut, on peut ! » Quelles sont vos sources d’inspiration pour vos romans ? Vous inspirez-vous du réel ? J’ai toujours aimé lire, car ça me permettait non pas d’échapper au monde réel, mais de donner au monde réel une dimension supplémentaire. Quand j’avais 10-12 ans, j’adorais lire les romans policiers (Sherlock Holmes, Agatha Christie…), Jules Verne et les romans d’aventure tels que Bob Morane, dont l’auteur était Henri Verne : ça faisait deux « Verne » pour le prix d’un ! Avec Jules Verne, on voyageait dans le monde entier. Ses histoires qui m’ont le plus passionné sont celles qui se déroulaient en Patagonie : Deux ans de vacances, Le phare du bout du monde… Dans mon village, Bligny-sur-Ouche, à 40 kms d’Autun, il y a beaucoup de lieux mystérieux, les sources de l’Ouche, une grotte où des maquisards s’étaient réfugiés

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Combien de temps consacrez-vous à l’écriture ? Quand je suis en phase de création, huit à quinze heures par jour. Mais, pour mes deux premiers romans, Ciel des Sables et La Caverne du Temps, j’ai tout écrit à la main, avant de passer à la machine à écrire. Il y avait donc une phase assez laborieuse, manuelle. Et l’avantage d’avoir une belle écriture est qu’il est plus facile ensuite de reprendre ses feuillets pour taper à la machine. Aujourd’hui, il y a les traitements de texte. Mais selon mon humeur, je continue à travailler sur du papier avant de passer à l’ordinateur. D’autres fois, je préfère travailler directement sur le traitement de texte. Ça va plus vite, mais on ne garde pas ce qui a été raturé, ce qui est un peu dommage, car on peut perdre des idées finalement pas si mauvaises… Et il y a des moments où je n’écris plus. Je laisse les choses se lever (un peu comme en pâtisserie !), jusqu’à ce que je me sente prêt à recommencer. Quelles sont les différentes étapes pour faire un roman ? Déjà, pour écrire un livre, il faut aimer les livres. Quels qu’ils soient… C’est-à-dire aussi les bandes dessinées, car il y a du texte dedans ! Ensuite, il faut aimer l’écriture. Je rigolais tout à l’heure avec mes pattes de mouche. Mais quand on écrit, il faut se relire. Et c’est plus facile quand c’est joli ! En m’obligeant à écrire, j’ai rempli 10, 15, 20, 100 pages, et je me suis fait mon monde. C’est une mécanique : quand on est habitué à être dans son monde, on peut faire plein de choses : du théâtre (j’ai joué le Petit Prince, puis César), de la poésie, et même être un bon sportif ! Car, en sport, c’est la tête et les jambes : le sport, c’est aussi une création. Revenons à l’écriture d’un roman. Il y a plusieurs solutions : vous pouvez avoir des idées plein la tête et ça vient tout seul ; ou vous avez une histoire en résumé, un synopsis, que vous déclinez en chapitres. Si vous avez du talent, vous pouvez même faire un story-board – c’est un peu comme une bande dessinée (c’est ce qui se fait en

pendant la guerre… Il y a plein d’histoires qui se sont déroulées là, et j’ai imaginé des récits mettant en scène des jeunes, un peu dans le style du Club des Cinq. Ça y ressemblait d’ailleurs un peu trop ! Je me suis arrêté un temps, puis, plus tard, j’ai écrit Ciel des Sables et sa suite La Caverne du Temps. L’inspiration me venait d’un copain dont la mère était Norvégienne et qui m’a fait découvrir tout le monde de la Scandinavie : l’histoire, la mythologie… J’ai donc eu envie d’écrire un récit qui se déroulait aux alentours de l’An Mil, avec des Vikings qui se sont échappés de leur pays et qui partent découvrir le Nouveau Monde. Ils finiront par s’installer dans l’archipel du Goéland Blanc, au large de la Norvège.

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De tous les livres que vous avez écrits, lequel est, d’après-vous, le plus réussi ? C’est le dernier ! Le Violon de la Liberté. Mais, en fait, c’est le premier vrai livre que j’ai écrit quand j’avais 18 ans. Je l’avais envoyé à mon éditeur qui ne l’a pas accepté. Je devais donc le réécrire. J’étais alors à la fac et j’avais beaucoup de travail, si bien que je dû le laisser de côté…. Mais il m’a accompagné pendant des années. J’ai commencé à le reprendre dans les années quatre-vingt-dix, petit morceau par petit morceau, et l’an dernier, je l’ai enfin publié.

Quand écrirez-vous votre prochain roman ? Si tout va bien, mon prochain roman pourrait paraître en septembre prochain. Ce sera la suite du Violon de la Liberté. Le groupe de musiciens de Volker va réussir à aller

cinéma), avec des croquis, des synopsis, que vous déclinez en chapitres. Si vous avez du talent, vous pouvez même bulles ou des textes en dessous - avant de passer à la rédaction. Je l’ai fait une fois. Il n’y a donc pas de recette unique. Chacun doit trouver sa méthode. L’important est l’envie de donner aux autres. Je crois qu’un autre élément très important est de bien se connaître soi-même.

Voilà ce qu’il raconte. En 1967, de jeunes musiciens, dont le héros, Volker, un violoniste, se retrouvent dans les Pyrénées, dans un château cathare. Pendant la guerre, ce château avait servi de prison pour des Norvégiens qui détenaient les secrets de l’emplacement, au large de leur pays, de gisements de pétrole que convoitaient les Allemands. Les jeunes vont retrouver ces secrets et être projetés au cœur d’un conflit qui déchire le pays du Goéland Blanc, l’archipel où s’étaient installés les héros vikings de mes deux premiers romans. La photo de la couverture ? Je l’ai prise à Prague, la capitale de la Tchéquie, un peu après la chute du Mur de Berlin. J’étais parti à la découverte des Pays de l’Est. Je suis tombé sur ce jeune homme en train de jouer. J’ai discuté avec lui, car j’adore le violon, et comme dans mon roman, Volker est un virtuose de cet instrument, j’ai choisi cette image.

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dans l’archipel du Goéland, au moment où la guerre civile est sur le point de se déclencher… Vont-ils réussir à l’empêcher ? Comment ? Ce sera justement le sujet du livre… Vous semblez avoir un attachement particulier pour le goéland… Quand j’étais petit, je prenais le bateau entre Marseille et Tunis. Et inévitablement, tout le long du voyage, les goélands nous accompagnaient. Quand on avait du pain, on le tenait entre nos doigts, et les goélands venaient le chercher. Mon copain Cédric, que j’ai connu quand j’avais 14 ans, me racontait que, quand il était en Norvège avec sa mère, il avait adopté un goéland qui venait se percher sur son épaule et qu’il lui mangeait dans la bouche. Ca m’a vraiment marqué. Il y a un autre animal auquel je suis attaché, c’est le dauphin. Quand j’étais petit, on allait au nord de la Tunisie, et on se baignait avec les dauphins. Je l’ai fait aussi vers Cannes et en Egypte, dans la Mer Rouge. Si un jour vous pouvez faire ça, vous verrez que c’est magnifique !

Entretien préparé et mené par les 5eA

Retrouvez Daniel Rousseau et ses œuvres sur son site Internet : http://www.imaginareve.com/

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La citadelle du Vertige d’Alain Grousset

Il n’a qu’un seul rêve : la liberté. Il y a aussi des personnages secondaires comme Bertrade, la jeune fille amoureuse de Symon, et Emeline, la jeune fille qui essaie de séduire Symon. Je vais laisser la parole à Manon qui va nous parler des illustrations. Manon : Je trouve la première de couverture bien réussie. La couleur est bien ajustée. Cela donne envie de lire le livre. Le seul souci, c’est l’intérieur : les illustrations sont bien réalisées, mais elles manquent de couleur. Sarah, que penses-tu du titre ? Sarah : Le titre répond bien à l’histoire. Il nous parle de hauteur, et nous dit que si on veut regarder vers le bas, on ne verra rien ! Eugénie : Ce livre est-il attractif ? Manon : Au début, il est long, mais il a aussi un peu de suspense. C’est au milieu du livre, après la mort du père de Symon que le livre devient vraiment attractif. A la fin, le suspense devient très important. Eugénie : Maintenant, donnons chacune notre avis général. Pour ma part, j’ai aimé ce livre. Le début est un peu ennuyeux, mais la fin est plaisante. Manon : Le début est, en effet, un peu répétitif et ennuyeux, mais il est nécessaire pour comprendre la suite de l’histoire. Il ne faut pas abandonner la lecture de ce roman car au moment où un événement triste va se passer, les actions débutent. Je ne regrette en rien de l’avoir lu ! Sarah : Jusqu’à environ la page 70, ce ne sont que des explications ! Mais comme l’a dit Manon, Il faut bien lire ce début. Pour ce qui est du reste, j’en suis restée bouche bée ! Ce livre m’a beaucoup plu !

Chroniques littéraires

Eugénie : C’est un roman historique et en même temps de science-fiction. Le héros est Symon. C’est un tailleur de pierre qui vit dans une communauté perchée en haut d’une immense cathédrale. Il fait une découverte sur ses ancêtres. Son père meurt dans de mystérieuses circonstances et Symon va enquêter.

Eugénie CASTELLA, Manon LEBRASSEUR et Sarah POUCET, 5eA

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La grammaire est une chanson douce d’Erik Orsenna

Julie : Quand j’ai vu le livre pour la première fois, j’étais un peu réticente. Jade : Moi aussi, la première de couverture ne m’a pas attirée, mais en tournant les pages, je suis tombé sur de magnifiques illustrations, des aquarelles en couleur. Julie : Au cours de l’histoire, je me suis attachée à Jeanne, une petite fille irrésistible et poignante. Jade : Par contre, son frère Thomas est un peu moins présent, ce qui est dommage. Cela n’empêche pas qu’il soit tout aussi attachant. Clara : Mon personnage préféré est M. Henry, inspiré d’un chanteur assez connu. Il est attentionné et sensible. Julie : Je l’aime bien aussi car il est très courageux. C’est lui qui va aider la petite Jeanne à retrouver la parole. Jade : Concernant le genre du livre, je pense qu’il est merveilleux, mais aussi ludique et instructif ! Qu’en penses-tu Aboubakar ? Aboubakar : En effet, il est merveilleux parce que dans cette île, les mots sont, disons… assez vivants : ils se comportent comme des humains ! Par exemple, la phrase « je t’aime » se retrouve à l’hôpital car elle est trop utilisée ! En plus, jusqu’au jour d’aujourd’hui, aucune tempête n’a encore fait perdre l’usage de la parole à quelqu’un. Jade : Je pense que nous avons tous et toutes aimé ce livre. Personnellement, je le conseille à tout le monde !

Clara : Dans ce livre, l’héroïne s’appelle Jeanne. Elle a dix ans et a un frère de quatorze ans qui s’appelle Thomas. Ils prennent le bateau pour rejoindre l’un de leurs deux parents divorcés. Après une terrible tempête en pleine mer, ils se retrouvent naufragés sur une île quelque peu surprenante. Au cours du naufrage, ils ont perdu la parole et un homme de cette île va les aider à la retrouver de diverses manières.

Clara ANDRE, Julie PAPILLAUD, Jade CELESTE et Aboubakar SIDIBE 5eA

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QUIZZ de CHANGARNIER

par Rosalie FREULET, Lysa BAUSSART et Nathan CATHELAIN 6eB

1- Comment s’appelle les bâtiments au collège Changarnier (photo A) ?

A- des H B- des U C- des WC 2- Qui est Mme Munoz ?

A- une aide-éducatrice B- une professeur de physique C- la responsable du foyer 3- Quel est le grade du chef de peloton Viennet (photo B) ?

A- sergent-chef B- adjudant C- adjudant-chef 4- Où est située la salle des profs ?

A- vers l’accueil B- vers le bureau des sports C- Il n’y en a pas 5- Que veut dire CDI ?

A- Collège Danois d’Infanterie B- Concours de Docteur Incollable C- Centre de Documentation et d’Information 6- Comment s’appelle le bâtiment des filles ?

A- l’IR B- l’IG C- l’IF 7- Quel est le nom du capitaine du collège (photo C) ?

A- Monnot B- Suivant C- Desroche

Les jeux du Collège

B

A

C

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M O T S C R O I S E S

4

3

A

1

2

B

D C

E

1 : Que l’on monte tous les mardis 2 : Temps où nous faisons nos devoirs 3 : Rassemblement du mardi 4 : Connu sous le nom de « Chef » 5 : Dirige le Lycée Militaire A : Grande personne qui a toujours raison B : Que l’on fait tous les matins avant les cours C : Ils sont annoncés au rassemblement de compagnie D : Position donnée en peloton E : Tâches ménagères Découvrez ce que nous pensons tous !

Les MOTS CROISES

du COLLEGE CHANGARNIER

par Célestin POUNOT 6eB

La PHRASE MYSTERE

par Tom VERPLAETSE 6eB

O’X∆□√ /√ )w//√�√ □∆/∆YX∆ж√ 7’X=Y=λ !

X : A / : L

) : C □: M

7 : D λ : N √ : E w : O

� : G ж : R

∆ : I Y : T O : J = : U

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Concours de dessins : Le nouveau motif du sweat du collège

Le motif ornant les sweats du collège est l’œuvre d’un collégien, sélectionnée après un concours de dessins qui s’est déroulé, cette année, à la fin du mois de novembre. 34 dessins ont été présentés et exposés au CDI (voir l’ensemble des œuvres en bas de page). Tous les élèves ont pu voter pour leur préféré. Voici, ci-contre et ci-dessous, les dessins arrivés aux deux premières places.

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1er : dessin de Romain VERRIER, Côme LEGUEN et Clément POUJOL 6eA 2nd : dessin de Maëlys RICHARDOZ 4eB

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Quizz du collège

1- A : des H 2- B : une professeur de physique 3- B- adjudant 4- A- vers l’accueil 5- C- Centre de Documentation et d’Information 6- C- l’IF (internat féminin) 7- A- Monnot

Les mots croisés du collège Changarnier

1 : Drapeau 2 : Etude 3 : Couleurs 4 : Aide éducateur 5 : Chef de Corps A : Chef de peloton B : Rassemblement C : Punis D : Repos E : TIG

La phrase mystère

Résultats des jeux

J’aime le Collège militaire d’Autun !