MOT DE LA PRÉSIDENTE - SEUM 1244 · 2020. 1. 28. · les, privatisation des services publics,...

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Bonjour à toutes et à tous, Au cours des derniers mois, la Direction des ressources humaines a consacré beaucoup de temps au déploiement du PGI (progiciel de gestion intégré) et cela a eu pour effet de retarder plusieurs dossiers importants. Avec la modification de l’année financière à l’Université, les difficultés et les problèmes reliés au report de la mise en fonction du nouveau systè- me ont entraîné plusieurs cafouillages et malentendus, plus particulièrement, au niveau des vacances, des congés person- nels et de maladie. D’ailleurs, concernant ce sujet, nous avions demandé à maintes reprises que des directives claires soient communiquées et je déplore le manque de rigueur de notre employeur au niveau des communications, notam- ment auprès de ses gestionnaires. Ces derniers n’ayant pas été informés comme il se devait, plusieurs de nos membres ont reçu des réponses contradictoires de leur part. De plus, ce manque d’échanges d’informations importantes fait dé- faut dans plusieurs autres dossiers et se fait sentir, malheureusement, à plusieurs occasions. Malgré nos demandes répétées depuis décembre dernier, nous n’avons tenu aucune rencontre dans le cadre de la NBI (négociation basée sur les intérêts). Je vous rappelle que notre premier dossier concernait les travaux pour le maintien de l’équité salariale donc, malgré que l’échéancier soit le 31 décembre 2011, rien n’a progressé puisque notre employeur n’a pas été disponible pour débuter les discussions. Ces derniers mois nous avons constaté une certaine désorganisation, pour ne pas dire une désorganisation certaine, à la direction des ressources humaines. On nous a annoncé l’arrivée d’un nouveau directeur général à partir du 6 juin, alors j’espère que la venue d’un capitaine dans le bateau nous permettra d’avoir des relations de travail efficaces, dans un es- prit de recherche de solutions. Avant de signer les textes de notre convention collective, l’employeur nous a demandé notre accord pour cesser les affi- chages des postes sous formes papier sur les babillards. Notre convention collective est claire à ce sujet, elle prévoit que les affichages de postes doivent être ¨à des endroits bien en vue pour toutes les personnes salariées¨. Ce changement est majeur pour ceux et celles d’entre nous qui n’ont pas accès aux équipements informatiques, d’autant plus que plusieurs n’ont pas reçu la formation pour les utiliser. La consultation de nos paies n’est toujours pas en vigueur et aurait constitué un bon test qui nous aurait permis de convenir rapidement de ce changement. Le remplacement des tableaux d’afficha- ge traditionnel par des écrans électroniques serait aussi une option que notre employeur pourrait choisir, mais comme les outils ne sont pas au rendez-vous nous croyons prématuré d’en convenir maintenant. La NBI (négociation basée sur les intérêts) nous apparaît le forum approprié pour discuter et convenir avec l’employeur du meilleur moment pour effectuer ce changement et c’est ce que nous lui avons proposé. En terminant, je vous souhaite un bon été et de belles vacances et vous rappelle l’importance que vous participiez massi- vement à la vie syndicale. Syndicalement, Margaret Lapointe SYNDISCOPE 4 Juillet 2011 SYNDICAT DES EMPLOYÉS DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL MOT DE LA PRÉSIDENTE SYNDISCOPE ISSN:1188-4398

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Bonjour à toutes et à tous,

Au cours des derniers mois, la Direction des ressources humaines a consacré beaucoup de temps au déploiement du PGI (progiciel de gestion intégré) et cela a eu pour effet de retarder plusieurs dossiers importants. Avec la modification de l’année financière à l’Université, les difficultés et les problèmes reliés au report de la mise en fonction du nouveau systè-me ont entraîné plusieurs cafouillages et malentendus, plus particulièrement, au niveau des vacances, des congés person-nels et de maladie. D’ailleurs, concernant ce sujet, nous avions demandé à maintes reprises que des directives claires soient communiquées et je déplore le manque de rigueur de notre employeur au niveau des communications, notam-ment auprès de ses gestionnaires. Ces derniers n’ayant pas été informés comme il se devait, plusieurs de nos membres ont reçu des réponses contradictoires de leur part. De plus, ce manque d’échanges d’informations importantes fait dé-faut dans plusieurs autres dossiers et se fait sentir, malheureusement, à plusieurs occasions.

Malgré nos demandes répétées depuis décembre dernier, nous n’avons tenu aucune rencontre dans le cadre de la NBI (négociation basée sur les intérêts). Je vous rappelle que notre premier dossier concernait les travaux pour le maintien de l’équité salariale donc, malgré que l’échéancier soit le 31 décembre 2011, rien n’a progressé puisque notre employeur n’a pas été disponible pour débuter les discussions.

Ces derniers mois nous avons constaté une certaine désorganisation, pour ne pas dire une désorganisation certaine, à la direction des ressources humaines. On nous a annoncé l’arrivée d’un nouveau directeur général à partir du 6 juin, alors j’espère que la venue d’un capitaine dans le bateau nous permettra d’avoir des relations de travail efficaces, dans un es-prit de recherche de solutions.

Avant de signer les textes de notre convention collective, l’employeur nous a demandé notre accord pour cesser les affi-chages des postes sous formes papier sur les babillards. Notre convention collective est claire à ce sujet, elle prévoit que les affichages de postes doivent être ¨à des endroits bien en vue pour toutes les personnes salariées¨. Ce changement est majeur pour ceux et celles d’entre nous qui n’ont pas accès aux équipements informatiques, d’autant plus que plusieurs n’ont pas reçu la formation pour les utiliser. La consultation de nos paies n’est toujours pas en vigueur et aurait constitué un bon test qui nous aurait permis de convenir rapidement de ce changement. Le remplacement des tableaux d’afficha-ge traditionnel par des écrans électroniques serait aussi une option que notre employeur pourrait choisir, mais comme les outils ne sont pas au rendez-vous nous croyons prématuré d’en convenir maintenant.

La NBI (négociation basée sur les intérêts) nous apparaît le forum approprié pour discuter et convenir avec l’employeur du meilleur moment pour effectuer ce changement et c’est ce que nous lui avons proposé.

En terminant, je vous souhaite un bon été et de belles vacances et vous rappelle l’importance que vous participiez massi-vement à la vie syndicale.

Syndicalement,

Margaret Lapointe

SYNDISCOPE

4 Juillet 2011

SYNDICAT DES EMPLOYÉS DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

MOT DE LA PRÉSIDENTE

SYNDISCOPE

ISSN:1188-4398

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P A G E 2 S Y N D I S C O P E

PRÉSENCE DU 1244 À DIVERSES MANIFESTATIONS

Le syndicat 1244 fut présent à ces diverses manifestations :

1- Marche du 1er Mai au Parc Baldwin

La Coalition du 1er mai, qui regroupe des organisations syndicales, communautaires et étudiantes, a décidé cette année de souligner la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs, en lançant un message aux entre-prises privées. Recours de plus en plus fréquents aux lock-out, entrave à la syndicalisation par des multinationa-les, privatisation des services publics, primes démesurées aux administrateurs, fermeture d’usines pourtant renta-bles et subtilisation de milliards de dollars par des banques insatiables : assez, c’est assez ! On dit : C’est l’heure des comptes ! La Coalition dénonce ces compagnies, trop nombreuses, qui se croient tout permis et celles qui utilisent leurs journaux pour influencer la population et promouvoir un plus grand rôle du secteur privé pour mettre la main sur nos services publics.

2- Appui au Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes devant un bureau de poste sur 1695 Sainte Cathe-rine Est le 6 juin

Nous avons répondu à l’appel du Conseil régional FTQ Montréal métropolitain afin d’appuyer la lutte du Syndicat des travail-leurs et travailleuses des postes pour le maintien du service postal public et universel.

3-Manifestation contre les gaz de schiste devant les bureaux d’Hydro-Québec et de Charest le 18 juin

NOUVEAUX DÉLÉGUÉS SYNDICAUX Nous vous présentons la liste des nouveaux délégués syndicaux depuis la parution du dernier Syndiscope :

Kim Voyer TCTB , Médecine direction - Campus Mauricie

Nadège Brulé TGDE, Faculté des arts et des sciences - Études anglaises

Marie-Claude Latendresse Commis accueil, Registrariat - Accueil et renseignements

Dave St-Sauveur Préposé (Soins animaliers) Service des animaleries

Bruno Berlatie Technicien dentaire, Faculté de médecine dentaire - Direction des cliniques

Lyne Malboeuf TGDE, Faculté de médecine - Direction

Ruth Charest TGDE, Faculté des sciences infirmières - Direction

Ingrid Rodriguez Santinachez Commis, Bibliothèque des lettres et des sciences humaines

Martine Anctil Tech en évaluation, Bureau d’éval des prog. d’enseignement

Nous souhaitons la bienvenue à nos nouveaux délégué-es!

La liste complète des délégués est diffusée sur notre site Web:

www.seum-1244.com/synditroupe Eric Romano, vice-président à la mobilisation et à l’information

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P A G E 3 S Y N D I S C O P E P A G E 3 S Y N D I S C O P E P A G E 3 S Y N D I S C O P E

5 Réclame l'affichage

4 Mesure disciplinaire

3 Exigence d'expérience

2 Surnuméraire plus de 6 mois

2 Candidature refusée

1 Réclame le comblement

1 Réclamation de temps supplémentaire

1 Mise au point

1 Mesure administrative

1 Exigences additionnelles

1 Exigence d'anglais - Usage - Oral et Écrit

1 Exigence d'anglais - Usage - Oral

1 Exigence additionnelle

Comité de griefs

Nicolas Dorval Nicolas Ghanty Isabelle Laforce Margaret Lapointe Nancy Laporte France Robinson

COMITÉ DE GRIEFS: BILAN DES GRIEFS DÉPOSÉS DU 5 mars 2011 AU 1er JUIN 2011

GRIEFS POSTE 1630

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P A G E 4 S Y N D I S C O P E P A G E 4 S Y N D I S C O P E

LE COURS « MON SYNDICAT » SUR LE CAMPUS Suite au succès de l’an passé, le cours « Mon syndicat » est à nouveau offert sur les heures de travail sur le Campus UdeM plutôt que dans les locaux du SCFP au métro Crémazie. Le cours est donné par deux formateurs du Syndicat Canadien de la Fonction Publique (SCFP). Ce cours permet de comprendre le fonctionnement et la structure d'un syndicat : -Le langage syndical -L’organisation d’un syndicat -Le fonctionnement démocratique d’un syndicat (assemblée, conseil syndi-cal) -La prise de décision au sein d’un syndicat -Les affiliations d’un syndicat et ses interactions avec ces affiliations -Où vont vos cotisations syndicales -etc À qui s’adresse ce cours?

Ce cours d’adresse aux membres réguliers (nouveaux et anciens). Nous nous occupons de vous libérer syndicalement sur le temps du travail et sans aucune diminution sur votre paye.

Pour toute question ou pour signifier votre intention de participer à une prochaine formation, communiquez avec nous au 7499 ou à l’adresse suivante :

www.seum-1244.com/monsyndicat

Eric Romano, vice-président à la mobilisation et à l’information

Prochaine date : 13 décembre 2011 au pavillon Claire-McNicoll de 13h00 à 17h00

JOUR DU DEUIL—28 AVRIL 2011 Depuis que le Comité national du Syndicat Canadien de la Fonction Publique (SCFP) sur la santé et la sécurité a recommandé sa création, il y a 27 ans, le Jour de deuil national est devenu un événement qu’on souligne partout dans le monde.

Nous avons participé (Christine Carette et Normand Mc Duff) à une marche commémorative pour les travailleurs décédés dans le cadre de leur travail, cette marche a été organisée par la FTQ, la CSN et la CSD. Nous avons suivi un camion avec un cercueil sur quelques kilomètres et à la fin de cette marche, un discours a été prononcé par les représentants des syndicats participants. Voici le résumé des discours prononcés à cette occasion. Voici ce qui est inscrit sur le site Internet de la FTQ. www.ftq.qc.ca

Il y a eu 213 morts en 2010 à cause du travail. « On ne parle pas de statistiques ici, on parle d’êtres humains – Ne les oublions pas » - Le président de la FTQ, Michel Arsenault, le vice-président de la CSN, Roger Valois, le vice-président de la CSD, Claude Faucher

Pour la première fois cette année, la FTQ, la CSN et la CSD unissent leurs voix afin de souligner le 28 avril, Journée de commémoration des personnes décédées ou blessées au travail. Dès 8 heures, un cortège funèbre composé de membres des trois centrales a défilé dans les rues de Montréal en direction du bureau de la mi-nistre québécoise du Travail pour lui rappeler que toutes les travailleuses et tous les travailleurs québécois, dans tous les secteurs d’activité, devraient être totale-ment couverts par les outils de prévention prévus dans la Loi sur la santé et la sécu-rité du travail (LSST), qui a été adoptée il y a plus de 30 ans!

Perdre sa vie en voulant la gagner

« Au Québec, la CSST a recensé 213 décès en 2010 à cause du travail. C’est une augmentation importante, plus de 15 %, par rapport aux 185 enregistrés en 2009 et c’est toujours dans le secteur du bâtiment et des travaux publics que l’on en retrouve le plus grand nombre, soit 52. Au deuxième rang, le secteur des mines et des carrières en compte 27. Quant aux accidents et aux maladies professionnelles, on en dénombre des dizaines de milliers cette année encore. La violence, les blessures, l’usure pré-maturée, mais par-dessus tout la mort ne devraient jamais au grand jamais faire partie de la job! Un seul décès ou même une seule blessure à cause du travail, c’est déjà trop », dit le président de la FTQ, Michel Arsenault.

Christine Carette, comité santé et sécurité

Normand Mc Duff, représentant à la prévention

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SOIRÉE THÉMATHIQUE AU CRMM—APPRENDRE À PERDRE DU POIDS Apprendre à perdre du poids, une bonne fois pour toutes !

Guylaine Guèvremont, diététiste, nutritionniste et auteur du livre Mangez !

Soirée thématique au Conseil Régionnal du Montréal Métropolitain (CRMM)

Cette activité a eu lieu le lundi 18 avril 2011 dans les salles Louis-Laberge de la Tour FTQ

Madame Guèvremont nous propose un regard nouveau sur la manière de perdre du poids : et si on pouvait manger de tout, y compris du gâteau et des pâtes, et perdre quand même du poids? Impossible? Pas du tout. Mangez! présente une approche efficace pour perte de poids basée sur la reconnaissance des signaux de la faim et de la satiété.

Conseil régional Montréal métropolitain et la FTQ

Madame Guèvremont apporte une approche différente des régimes connus. Pourquoi maigrir ? Pour accepter son corps. Pour rester en bonne santé ou pour l’améliorer.

Est-ce le résultat obtenu ?

L’obésité est la maladie du 21e siècle. 95 % des régimes se soldent par un échec sur cinq ans (privation et contrôle, obses-sion et culpabilité, et banalisation de l’impact des risques par la société).

Il y a une obsession de la minceur par le contrôle de la quantité d’aliments consommés, se sentir coupable de manger cer-tains aliments, penser à son poids à chaque repas et se peser quotidiennement.

Ce qui en engendre les problèmes suivants :

Troubles alimentaires : Phobie de prendre du poids, boulimie, anorexie, trouble alimentaire spécifique.

Afin de savoir si nous avons un trouble alimentaire, il suffit d’effectuer les tests des questionnaires Eat 26 http://www.eat-26.com/ ; et Scoff questionnaire (en anglais).

Cependant, les émotions sont toxiques pour le corps donc exprimer sa colère, sa tristesse et son anxiété, afin de ne pas tomber dans l’excès nourriture. Il faut vivre ses émotions de manière saine.

Elle souligne aussi l’espoir par la levée des interdits en faisant une liste, comme :

revisiter le passé pour arrêter de ‘’manger ses émotions’’ accepter son corps écouter des signaux de faim et de satiété respect des préférences alimentaires permettre de voir les aliments différemment, comme étant tous équivalents apaiser, car maintenant c’est permis l’aliment est mangé selon la faim et la satiété

Reconnaître les signaux régulateurs pour bien se nourrir :

Affamé faim satiété trop plein

Pour les femmes plus proches de la ménopause, Mme Guèvremont mentionne que le métabolisme est plus lent donc soyez vigilantes dans vos repas, plus légers.

Il ne faut surtout pas omettre de maîtriser ces 4 actions simples afin de mieux des connecter avec les aliments entre les goûts et saveurs :

identifier votre faim, manger selon vos goûts, mastiquer des deux côtés, identifier votre satiété Mesdames, sachez que la solution gagnante est de savourer la vie en prenant le temps qu’il faut pour perdre du poids.

Prenez soin de vous. Marie-Emo Fonrose, Comité de conditions de vie et de travail des femmes (CCVTF)

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COURS DÉLÉGUÉ SYNDICAL CET AUTOMNE La déléguée et le délégué syndical vivent près de leurs membres et sont donc sollicités tous les jours afin de résoudre les différents problèmes rencontrés. Ils sont souvent le premier contact avec les nouveaux membres en leur faisant si-gner leur formulaire d'adhésion. Ils informent leurs membres. Ils les défendent et développent la solidarité dans leur département, leur service ou leur unité de travail. La déléguée et le délégué syndical doivent donc avoir à leur disposi-tion des outils qui les aident à assumer leur fonction.

S'adresse aux : membres, délégué-es syndical (nouveaux et anciens), dirigeants et membres de comités.

Durée : 3 jours

Remboursements : déplacement/stationnement et lunch compris

Informations : Nous vous libérons syndicalement sur le temps du travail (aucune différence sur la paye).

Pour vous inscrire : appelez au poste 12444 ou écrivez à [email protected]

www.seum-1244.com/delegues

Témoignages de membres ayant récemment suivi la formation de délégué syndical:

« Étant déjà impliquée au sein de notre syndicat comme membre des comités Vie sociale et Jeunes, j’ai naturellement été intéressée par la formation de délégué syndical. Cette formation a su répondre à mes questions concernant le rôle du délégué en milieu de travail ainsi que de sa mission au sein du syndicat. C’est une formation très enrichissante qui est ouverte à plusieurs syndiqués de différents milieux. En échangeant avec les participants et les animateurs, on com-prend vite que le milieu syndical est avant tout le partage de grandes valeurs comme l’égalité, le respect ou la toléran-ce. Je suis heureuse d’être maintenant déléguée syndicale et j’invite les membres à échanger avec nous, car notre soli-darité est notre raison d’être! » - MARTINE ANCTIL, BEEPE

« En ce qui concerne la formation, je n’ai que des commentaires positifs. Notre animatrice Sylvie et notre animateur Serge ont rendu cette formation dynamique en intégrant des jeux de rôles (approche et attitude à avoir délé-gué/gestionnaire, délégué/membre), des discussions de groupe favorisant des échanges fort intéressants et enrichis-sants entre les participants. On nous a brossé un portrait (présentation vidéo) de l’histoire de la syndicalisation au Québec, de la naissance des grandes centrales syndicales, des femmes et des hommes déterminés qui ont consacré une partie de leur vie à la cause ouvrière. J’ai retenu qu’afin de maintenir nos acquis le délégué ou la déléguée a pour rôle, entre autres, par l’observation et l’écoute de ses membres, de faire part des revendications de ceux-ci, mais aussi de toujours tenter d’améliorer les conditions dans son milieu de travail pour le présent et l’avenir. » - MARIE-CLAUDE LATENDRESSE, Registrariat

Eric Romano, vice-président à la mobilisation et à l’information

ANNONCES DE DÉPART À LA RETRAITE Les départs à la retraite seront annoncés sur une base volontaire, c'est-à-dire que les gens désirant annoncer leur départ à la retraite n’ont qu’à m’informer par écrit (courriel ou télécopieur) en spécifiant leurs nom et leur date de départ à la retraite.

Eric Romano, vice-président à la mobilisation et à l’information

COURS — LE DÉLÉGUÉE ET LE DÉLÉGUÉ SYNDICAL

DATES LIEU LOCAL HEURE

13-14-15 septembre Montréal 9h à 17h

4-5-6 octobre Montréal 9h à 17h

15-16-17 novembre Montréal 9h à 17h

14-15-16 déc Montréal 9h à 17h

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P A G E 7 S Y N D I S C O P E

LES PETITES DÉMONES, LE DÉMON, ET LES DEUX SAGES !

Le 26 avril dernier, j’assistais à l’Assemblée générale statutaire avec deux de mes amies. Arrive le moment des élections pour les différents comités, dont celui de condition de vie et de travail des femmes. Me voyez-vous venir avec mes gros sabots ? Personne ne se présentait au poste vacant. Je signifiai alors à mes copines que cela m’étonnait et me décevait un peu à la fois. Elles réagirent immédiatement, sachant très bien ce qu’elles faisaient (les petites démones), en m’indi-quant très clairement, et ce, même non verbalement d’ailleurs, le bon coup de coude quoi, qu’au lieu de déplorer la cho-se, je devrais peut-être me présenter. Impulsive comme je suis, me voilà debout, la main levée, offrant ma candidature. Voilà qu’en quelques minutes c’était fait ! Du tac au tac je me retrouve membre de ce comité.

Je reviens à mon bureau et j’annonce fièrement la nouvelle à mes collègues. Je m’assois à mon ordinateur et voilà que la réalité me frappe de plein fouet, « mais qu’est-ce que tu viens de faire là Ruth Charest ? Tu n’y connais strictement rien aux syndicats ! » La peur de ne pas être à la hauteur, l’orgueil pour tout dire, me propulse sur mon téléphone afin de communiquer avec ce cher Éric Romano, pour moi LA ressource syndicale de l’université. En son absence je lui laisse un message, lui faisant part de ma grande inquiétude quant à ma totale ignorance pour assumer ce rôle. Il me rappelle et je lui demande s’il n’existerait pas par hasard un cours qui pourrait me former un tant soit peu et me préparer à ce qui est réellement pour moi « un nouveau monde »… Évidemment, gentil et calme comme il est, il me rassure d’abord en me confirmant l’appui des autres membres du comité et même de l’exécutif, le cas échéant. Puis, sournoisement, oui, oui, je pèse mes mots, me parle du cours de « Déléguée syndicale » qui est très intéressant. Je saute sur l’offre et il en profite alors pour ouvrir la porte et ajouter que ce cours par contre s’adresse seulement aux délégué(e)s syndicales (faux!), alors pourquoi donc ne pas saisir l’opportunité de le devenir. Démon va ! Il m’a bien eu.

Je devais suivre le cours à l’automne seulement, mais voilà que c’était possible de le faire en mai. En résumé et en deux mots, c’était formidable ! Il est vrai que je partais de loin, mais même ceux qui étaient déjà délégués depuis longtemps, ont semblé vraiment apprécier ce cours. Les deux formateurs avaient une grande expérience de terrain et cela apportait beaucoup de crédibilité à leurs propos. De toute évidence ils connaissaient bien leur matière et la transmettaient avec grande aisance. De vrais sages du milieu syndical. Loin du cours magistral où l’on s’ennuie à en mourir, ils disposaient d’outils interactifs qui rendaient l’apprentissage fort agréable. Jeux de rôles, travail d’équipe, mise en situation, le tout basé sur un livre, comprenant des exercices, que nous avons gardé. Cela devient donc un outil de référence précieux. Nous avons même eu droit à un film sur l’histoire de la FTQ, depuis sa formation dans les années 50 à nos jours, qui s’est avéré très enrichissant. Ce documentaire nous démontrait à quel point les syndicats avaient joué un rôle de première importance dans l’histoire de la société québécoise. Bien sûr à mon âge, je suis née une dizaine d’années après la fonda-tion de la FTQ, pour ceux dont le calcul intéresserait, je n’étais pas sans savoir que les francophones, travailleuses, travail-leurs, avaient été victimes de conditions de travail insoutenables et d’innombrables injustices, mais un film comme celui-là nous le rappelle et nous sensibilise sur le rôle essentiel de notre syndicat dans notre vie de tous les jours. Eh oui ! Il faut faire attention à ce que nous avons, à ce pourquoi ceux qui nous ont précédé se sont battus, parfois longtemps et péni-blement, pour obtenir. Pour ce dont, nous aujourd’hui, nous pouvons jouir. Il faut leur faire honneur et ne pas relâcher l’ardeur avec laquelle nous devons défendre nos acquis, que nous pourrions perdre si facilement… que d’ailleurs bien des politiciens rêveraient de nous enlever, et sans ambages ! Je suis donc sortie de là avec un véritable désir de m’investir comme déléguée et dans mon comité. Alors merci les filles ! Merci Éric ! Et merci à mes formateurs !

Ruth Charest, déléguée à la faculté des sciences infirmières

PHOTOS DE LA MARCHE DU 1er MAI 2011

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S Y N D I S C O P E

LES JOURNÉES CHAUDES ARRIVENT À GRAND PAS !

P A G E 8

Par une belle journée d’été, il fait 32ºC à l’extérieur et ce, sans le facteur humidex. Je travaille à l’intérieur d’un bâtiment qui n’est pas climatisé. Les fenêtres sont grandes ouvertes et malgré une petite brise qui entre dans la pièce, je suis loin d’être confortable, j’ai de la difficulté à me concentrer, je n’ai pas d’énergie et je ressens une plus grande fatigue. Ce sont des symptômes reliés au coup de chaleur. Que puis je faire ? : Un règlement sur la santé et la sécurité du travail a justement été établi concernant les contraintes thermiques. Celui-ci stipule que : « Lorsque la température dépasse un certain degré, un temps de repos doit être prévu, toutes les heures, en tenant compte des activités effectuées par les travailleurs. » Les activités effectuées par un travailleur doivent être classées dans les catégories suivantes :

a) travail léger : commande de machine en position assise ou debout, travail léger impliquant la main ou le bras, etc. En général, nos postes de secrétariat se retrouvent dans cette catégorie.

b) travail moyen : déplacements accompagnés d'efforts modérés de levage et de poussage, etc.

c) travail lourd : travail au pic et à la pelle, etc.

Pour établir la valeur de WBGT*, on doit utiliser un thermomètre à globe noir, un thermomètre à boule humide naturelle (statique) et un thermomètre à boule sèche.

L'exposition à des températures supérieures à celles du tableau 1 (ci-dessous) est admissible aux conditions suivantes

• le travailleur doit faire l'objet d'une surveillance médicale et

• il doit être établi que sa tolérance, au travail à la chaleur, est supérieure à celle de la moyenne.

L'exposition à des températures supérieures à celles du tableau 1 est admissible aux conditions suivantes : le travailleur doit faire l'objet d'une surveillance médicale et il doit être établi que sa tolérance, au travail à la chaleur, est supérieure à celle de la moyenne. * VALEURS LIMITES ADMISSIBLES D'EXPOSITION À LA CHALEUR EN °C (WBGT)

Voici un extrait du règlement sur la santé et la sécurité du travail :

Afin de faciliter l’application de ce règlement sur la santé et sécurité, voici un exemple :

Je travaille comme technicienne à la gestion des dossiers étudiants (T.G.D.E.) dans un bureau non climatisé et la tempéra-ture intérieure atteint 30,6ºC. Dans ces conditions, vous avez le droit de prendre 15 minutes de repos par heure de travail. Si la température avait atteint 31,4ºC, vous auriez le droit à 30 minutes de repos par heure de travail.

Bien sûr, vous vous dites, « je n’ai ni thermomètre à globe noir, ni thermomètre à boule humide naturelle (statique), ni thermomètre à boule sèche ». Vous pourriez demander à votre supérieur immédiat de contacter la Section santé et sécuri-té de l’Université (Mme Suzanne Deguire – • 5801). Ils ont l’équipement requis. Les régisseurs de certains pavillons sont aussi en mesure de prendre la température de la pièce. Bien souvent c’est le gros bon sens qui s’applique. Donc, lorsque vous avez chaud, l’employeur aussi a chaud. Lorsque vous ressentez des symptômes de fatigue, demandez à votre supérieur de prendre une pause toutes les heures. Buvez 1 verre d’eau à l’heure, ralentissez votre cadence et si possible, remettre à plus tard les tâches ardues.

COUP DE CHALEUR, FAUT PRENDRE CELA AU SÉRIEUX!

Normand Mc Duff, Représentant à la prévention, SEUM-1244 Téléphone : (514) 343-6111, poste 1520

Régime d'alternance travail/repos Charge de travail

travail léger travail moyen travail lourd

Travail continu 30,0°C 26,7°C 25,0°C

Travail 75%, repos 25% (toutes les heures) 30,6°C 28,0°C 25,9°C

Travail 50%, repos 50% (toutes les heures) 31,4°C 29,4°C 27,9°C

Travail 25%, repos 75% (toutes les heures) 32,2°C 31,1°C 30,0°C

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RÉSULTAT DES ÉLECTIONS DU 26 AVRIL 2011

CANDIDATURES REÇUES Résultat des Élections du 26 avril 2011

BUREAU SYNDICAL Bureau syndical Personne présidente – 1 poste Élue suite à un vote

Mandat se terminant en 2013 (libération à temps plein) Margaret Lapointe

(pour un 3e mandat)

Personnes vice-présidentes - 5 postes Candidatures reçues (dont 1 réservé à St-Hyacinthe)

Mandat se terminant en 2013 Nancy Laporte ÉLUE

Mandat se terminant en 2013 Nicolas Ghanty ÉLU

Nicolas Dorval, mandat se terminant en 2012 Non électif

Colette Tellier (St-Hyacinthe) mandat se terminant en 2012 Non électif

Sophie Boudrias, mandat se terminant en 2012 Non électif

Personne vice-présidente à la mobilisation et à l’information – 1 poste Candidature reçue

Mandat se terminant en 2013 (libération à temps plein) Éric Romano ÉLU

Personne trésorière - 1 poste Candidature reçue

Mandat se terminant en 2013 (libération à temps plein) Marc Perrault ÉLU

Personne secrétaire/archiviste – 1 poste

Michèle Bordeleau, mandat se terminant en 2012 (libération à temps plein) Non électif

Comité de griefs (4 postes)

Personne coordonnatrice au Comité de griefs – 1 poste

France Robinson, mandat se terminant en 2012 (libération à temps plein) Non électif

Personne agente de griefs – 1 poste Candidature reçue

Mandat se terminant en 2013 (libération à temps plein) Nicolas Dorval ÉLU

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S Y N D I S C O P E

RÉSULTAT DES ÉLECTIONS DU 26 AVRIL 2011 (suite)

P A G E 1 0

Personnes membres du Comité de griefs - 2 postes Candidature reçue

Mandat se terminant en 2013 Nancy Laporte ÉLUE

Isabelle Laforce, mandat se terminant en 2012 Non électif

AUTRES POSTES ET COMITÉS

Membre ex-officio du Comité de griefs

Mandat se terminant en 2013 (libération à temps plein) Nicolas Ghanty ÉLU

Membre ex-officio et responsable du Comité de santé et de sécurité au travail

Mandat se terminant en 2013 (libération à temps plein) Normand McDuff

(7e mandat)

Mandat se terminant en 2013 Nancy Laporte

Mandat se terminant en 2013 Guillaume Provencher

Mandat se terminant en 2013 Charles Turgeon

Marc Perrault (groupe technique et professionnel), mandat se terminant en 2012 Non électif 3 postes à combler

Martin Lambert (groupe technique et professionnel), mandat se terminant en 2012 Non électif

Daniel Laflamme (groupe aide-technique), mandat se terminant en 2012 Non électif

1 poste réservé à St-Hyacinthe

Candidature reçue

Mandat se terminant en 2013, St-Hyacinthe Michel Cloutier ÉLU

Élus suite à un vote

Mandat se terminant en 2013 Pierre Bédard

Mandat se terminant en 2013 Christine Carette

Mandat se terminant en 2013 Hélène Lavigne

Mandat se terminant en 2013 Chantal Simoneau

Joanne Leblanc, responsable, mandat se terminant en 2012 Non électif

Personne responsable au mouvement du personnel - 1 poste Candidature

Personne représentante à la prévention - 1 poste Élu suite à un

Comité de surveillance - 3 postes Élus en Assem-

Comité d’évaluation - 3 postes

Comité de santé et sécurité au travail - 6 postes

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P A G E 1 1 S Y N D I S C O P E

Ruth Charest

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Marie Emo Fonrose, mandat se terminant en 2012 Non électif

Julie-Soleil Giroux-Deschamps, mandat se terminant en 2012 Non électif

Julie Gabriel, mandat se terminant en 2012 Non électif

Mandat se terminant en 2013 Jacques Nadeau ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Louise St-Jacques, mandat se terminant en 2012 Non électif

Guillaume Provencher, mandat se terminant en 2012 Non électif ÉLECTIF

Julie Gabriel, mandat se terminant en 2012 Non électif

Mandat se terminant en 2013 André Bilodeau ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Valérie Laporte, mandat se terminant en 2012 Non électif

Angèle Bisaillon, mandat se terminant en 2012 Non électif

Mandat se terminant en 2013 Éric Romano ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Marc Perrault ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Michèle Bordeleau ÉLUE

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Marielle Chèvrefils ÉLUE

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Julie-Soleil Giroux Deschamps, mandat se terminant en 2012 Non électif

Comité de condition de vie et de travail des femmes - 6 postes Élue en Assemblée

Comité de perfectionnement - 6 postes Candidature reçue

Comité d’information - 5 postes Candidature reçue

Comité des statuts - 5 postes Candidatures

Comité de l’horaire variable - 3 postes Candidature reçue

Comité de mise en candidature - 3 postes Candidature reçue

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S Y N D I S C O P E

RÉSULTAT DES ÉLECTIONS DU 26 AVRIL 2011 (suite)

P A G E 1 2

Mandat se terminant en 2013 Jean-François Beaulieu ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Louis Naud, mandat se terminant en 2012 Non électif

Mandat se terminant en 2013 Éric Romano ÉLU

Élu en Assemblée

Mandat se terminant en 2013 Jean-François Beau-lieu

Nicolas Dorval, mandat se terminant en 2012 Non électif

Claude Picard, mandat se terminant en 2012 Non électif

Mandat se terminant en 2013 Martin Lambert ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Éric Romano ÉLU

Mandat se terminant en 2013 Marc PerraultÉLU

Normand Laquerre, mandat se terminant en 2012 Non électif

René Rosa, mandat se terminant en 2012 Non électif

Nicolas Ghanty, mandat se terminant en 2012 Non électif

Mandat se terminant en 2013 Martine Anctil ÉLUE

Mandat se terminant en 2013 NancyLaporte ÉLUE

Élue en Assemblée

Mandat se terminant en 2013 Annabelle Martin

Marie Emo Fonrose, mandat se terminant en 2012 Non électif

Sophie Boudrias, mandat se terminant en 2012 Non électif

Julie Garbiel, mandat se terminant en 2012 Non électif

Candidature reçue

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Comité d’aide aux employées et employés - 3 postes Candidature re-

Comité du triangle rose - 4 postes Candidature re-

Comité des rentes et assurances et de la préretraite - 6 postes Candidature re-

Comité de vie sociale - 6 postes Candidature re-

Comité des technologies de l’information et des communications - 3 postes

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P A G E 1 3 S Y N D I S C O P E

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Nicolas Ghanty, mandat se terminant en 2012 Non électif

Guillaume Provencher, mandat se terminant en 2012 Non électif

Élu en Assemblée

Mandat se terminant en 2013 Michel Nozil

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Thien-Huong Che-Quang, mandat se terminant en 2012 Non électif

(Les candidats doivent être âgés de 35 ans et moins)

Nicolas Dorval, mandat se terminant en 2012 Non électif

Nicolas Ghanty, mandat se terminant en 2012 Non électif

Julie Gabriel, mandat se terminant en 2012 Non électif

Sophie Boudrias, mandat se terminant en 2012 Non électif

Martine Anctil, mandat se terminant en 2012 Non électif

Élue en Assemblée

Mandat se terminant en 2013 Geneviève Beaudet

Mandat se terminant en 2013 Aucune candidature

Éric Romano, mandat se terminant en 2012 Non électif

Sophie Labelle, mandat se terminant en 2012 Non électif

Sylvie Fontaine, mandat se terminant en 2012 Non électif

26.04.2011

 

Comité contre la sous-traitance - 3 postes

Comité de francisation - 3 postes

Comité des jeunes - 5 postes

Comité pour la protection de l’environn. à l’UdeM - 5 postes

Félicitations à toutes et à tous les candidats!

La force du syndicat dépend de l’implication de ses membres!

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P A G E 1 4 S Y N D I S C O P E

DONNER OU NE PAS DONNER SON APPRÉCIATION Il a été porté à notre attention que certains gestionnaires demandent à des personnes salariées de donner leur apprécia-tion, par écrit et en signant ou en apposant nos initiales, de la période d’essai de 45 jours d’un ou d’une collègue à un nouveau poste.

S’il est vrai que nous devons aider la nouvelle personne à sa familiarisation dans son nouveau département, il est néan-moins clair que ce n’est pas à nous de faire son évaluation. C’est le gestionnaire qui doit faire ce travail. Lorsqu’une nou-velle personne arrive dans un département, c’est qu’elle satisfait les exigences du poste qu’elle a obtenu. La période d’es-sai n’est souvent qu’une formalité : la personne doit s’adapter à son nouvel environnement et aux façons de faire de ce nouvel environnement.

Imaginez que vous arrivez à votre nouveau poste et que la personne qui vous donne la formation est l’une des prochaines personnes sur la liste de candidatures. Ça peut avoir une influence sur les connaissances qu’elle vous transmettra. (Ce n’est évidemment pas chose courante et loin de moi l’idée de suggérer que ça se fait systématiquement ! Mais, nous avons été témoin que ça s’est fait). Quel genre d’appréciation va-t-elle vous donner ? Si nous devions déposer un grief et aller jus-qu’à l’arbitrage contestant la non-confirmation d’une personne sur un poste, et que vous avez participé à son apprécia-tion négative, l’Employeur vous appellerait à témoigner et se servirait de vos écrits pour justifier sa décision.

Soyez vigilants et n’hésitez pas à communiquer avec nous si votre gestionnaire vous fait une telle demande. Les gestion-naires vont minimiser votre collaboration en tentant de vous convaincre que ce geste sera sans conséquence.

Comité de griefs

Nicolas Dorval Nicolas Ghanty Isabelle Laforce Margaret Lapointe Nancy Laporte France Robinson

GRIEFS POSTE 1630

IMPORTANT D’AVOIR SA CARTE de MEMBRE Nous vous rappelons l’importance d’avoir sa carte de membre. Celle-ci est nécessaire lors de votes importants. Si vous ne l’avez pas, appelez nous au poste 7499 ou visitez le site Web à l’adresse: www.seum-1244.com/carte

Eric Romano, vice-président à la mobilisation et à l’information

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P A G E 1 5 A N N É E 1 , N ° 1

DU MIEL, DES CHAMPIGNONS, DES FRUITS ET DES LÉGUMES SUR LE CAMPUS Avez-vous entendu parler du projet P.A.U.S.E., le Projet d’Agriculture Urbaine Soutenable et Écologi-que ? Mis sur pied par des étudiants du DÉSS en environnement et développement durable (FAS), cet alléchant projet, qui a lieu sur le campus principal, comprend 4 volets : la mycoculture (culture de cham-pignons), l’apiculture (production de miel urbain), la culture de fruits et légumes en bacs, et des activités de sensibilisation et d’éducation pour les jeunes. Le responsable du projet, le jeune et passionné bio-logiste Alexandre Beaudoin, m’a fait faire le « tour du propriétaire » dernièrement. J’ai pu admirer les bûches « inoculées » aux savoureuses pleurotes et aux champignons maïtake du boisé Jean-Brillant, qui pourront être récoltés à l’automne. J’ai observé avec intérêt les deux ruches de 5000 abeilles dont le déli-cieux miel pourra être récolté en septembre, sur le toit adjacent au Pavillon des immeubles, bien pla-cées à l’écart. Et pour finir la tournée, nous sommes allés sur la pelouse adjacente du même Pavillon sur lequel les étudiants, tous bénévoles, ont placés une quarantaine de bacs de culture biologique.

Le melon de Montréal a besoin de nous !

Les bacs ont été ensemencés avec plus de 30 variétés de fruits et légumes dites « ancestrales », dont le fameux melon de Montréal, un délicieux fruit « autochtone », cultivé dans les années 20, et qu’on ne retrouve pas dans les épiceries commerciales. Mais alors que les volets « mycoculture » et « apiculture » ne demandent pas beau-coup de suivi, pour ce qui est des bacs de culture, c’est une autre histoire, et le travail est loin d’être terminé ! Il y aura des tâches de jardinage à faire tout au long de l’été pour entretenir, nourrir et arroser les plantes. Les étu-diants font donc appel à nous, les «énergiques 1244-tistes », pour les aider. Les produits de la récolte seront distribués à l’organisme d’aide aux itinérants L’Itinéraire, donc si on participe, c’est pour le plaisir de jardiner et d’aider une bonne cause.

Vous êtes intéressé, ou vous voulez plus d’information ? Contactez Alexandre Beaudoin : [email protected]

Le projet PAUSE a reçu une petite subvention non récurrente de l’université qui couvre les frais d’installation et d’achat de matériel, mais aucun salaire, et seulement pour cette année. Cela met beau-coup de pression sur l’équipe de bénévoles, qui souhaite que l’auto-financement du projet PAUSE soit envisagé sur un horizon plus ré-aliste de 3 à 5 ans.

Geneviève Beaudet, Pour le Comité environnement

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Les textes et caricatures publiés par le Comité d'information :

- doivent présenter un intérêt syndical minimal

- ne doivent pas être sexistes, racistes, homophobes, ou méprisants

- ne doivent pas porter atteinte à la vie privée

- ne doivent pas être nettement antisyndicaux

La responsabilité de l'éditorial et de la Une relève du Comité d'information. Tout autre texte ou caricature n'engage que la responsabi-

lité de la personne signataire. Le comité se réserve le droit de corriger les fautes de français et de trouver un titre, s’il y a lieu. Pour être

publiés, les textes et caricatures doivent être signés, reçus dans les délais et se conformer à la politique d'information en vigueur. Il est

demandé de fournir une copie des textes et caricatures par courriel.

———————————- Syndiscope, version 1.01

Le Syndiscope est un journal d’information et d’expression des membres du Syndicat des employées et em-ployés de l’Université de Montréal, section locale 1244 du SCFP; il est transmis par le site Web, par courriel (plus de 2 000) et également tiré à 90 exemplaires pour les membres n’ayant pas accès au courriel et ayant une demande d’ajout à la liste d’envoi.

Comité d’information Eric Romano André Bilodeau Nancy Laporte Valérie Laporte Angèle Bisaillon

Collaboration Michèle Bordeleau Colette Tellier

Syndicat des employés de l'Université de Montréal 3050 Édouard-Montpetit, A-305-1 Montréal (Québec) H3T 1J7 Téléphone : 514 343-7499 Télécopie : 514 343-5752 Courriel : [email protected] Internet : www.seum-1244.com

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