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Espace de Rencontres et d’Information dédié au cancer Un lieu d’écoute, d’échange pour tous Hôpital Nord – Hall central du pavillon Mistral Tél : 04 91 96 84 24 - www.ap-hm.fr/eri DOSSIER DE PRESSE Février 2011 www.ap-hm.fr/ERI

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Espace de Rencontreset d’Information dédié au cancer

Un lieu d’écoute, d’échange pour tous

Hôpital Nord – Hall central du pavillon MistralTél : 04 91 96 84 24 - www.ap-hm.fr/eri

D O S S I E R D E P R E S S EFévrier 2011

www.ap-hm.fr/ERI

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Inauguration de l'Espace de Rencontreset d’Information dédié au cancerLundi 14 février 2011 à 11hHôpital Nord – Hall central du pavillon Mistral

Un an après l’ouverture de l’Espace Rencontres Information dédié au cancer àlaTimone, un deuxième ERI a ouvert ses portes à l’Hôpital Nord.Situé dans le hall du pavillon Mistral, ce lieu ouvert à tous, est entièrement dédié à l’échange,l’écoute et la recherche d’informations sur la maladie cancéreuse et sa prise en charge.En interactivité avec tous les acteurs de soins, l’accompagnateur en santé propose aux per-sonnes malades et à leurs proches :

un accès à une information claire et validée sur le cancer,un accompagnement et une écoute, à toutes les étapes de la maladie,des réunions débats, des ateliers thématiques sur des sujets clés animés par des professionnels.

L'ERI® est placé sous la responsabilité du Centre de Coordination en Cancérologie présidépar le Professeur Dominique Rossi et d’un Comité de Pilotage local pluridisciplinaire etanimé par un professionnel l’accompagnateur en santé.Né d’un partenariat entre la Ligue contre le Cancer, sanofi-aventis france et l’AP-HM, l’Es-pace de Rencontres et d’Information répond à un besoin exprimé par les malades au coursdes premiers Etats Généraux de la Ligue contre le Cancer “Etre écouté, pouvoir formulerses questions, se sentir compris et soutenu” et repris par le Plan Cancer I et II.Les activités et l'information délivrées à l'ERI® doivent contribuer à une amélioration conti-nue de la relation patients-médecins et rendre le patient vecteur d’information pour unemeilleure compréhension et un meilleur vécu de sa prise en charge.L'implantation d'un deuxième ERI® à l’Hôpital Nord vient naturellement compléter l’aideaux patients et à leur entourage suite au développement de l’activité cancérologie sur le site :service d’oncologie multi-disciplinaire et innovations thérapeutiques, radiothérapie …..

Ce projet a pu aboutir grâce à l'implication du Centre de Coordination en Cancérologie etau soutien de la Ligue Nationale contre le cancer, et de Sanofi-Aventis, partenaires fonda-teurs avec l’AP-HM, mais également du GEFLUC, du Conseil Général des Bouches-du-Rhône et de l’Agence Régionale de Santé.

ERI®, concept fondé en 2001 par la Ligue Nationale Contre le Cancer, Sanofi-Aventis France et l’Institutde Cancérologie Gustave Roussy.

CONTACTCaroline PERAGUT04 91 38 20 2204 91 38 25 [email protected]

Communiqué de presse

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L’ERI : un lieu d’écoute,d’échange pour tous

L’Espace de Rencontres et d’Informationest un lieu dédié à l’échange, l’écoute et la recherched’informations sur la maladie cancéreuse et sa prise en charge.

Un lieu d’écouteIl permet d’exprimer une parole libre et de s’accorder untemps pour soi hors du temps médical.

Un lieu d’information> Sur la maladie en général, ses traitements et leurs effetssecondaires.> Sur les ressources internes et externes en cancérologie.> Des coordonnées de diverses associations d’aide et desoutien.> Des supports d’information clairs et validés :documentation papier, audio , vidéo, Internet...

Un lieu d’échange> Réunions débats sur les thèmes les plus fréquemmentabordés par les malades et leurs familles.> Réunions de convivialité et d’échanges entre maladeset entre aidants animées par des professionnels.

Un lieu d’orientation> En liaison avec les professionnels de santé de l’Etablissement> En liaison avec les structures/professionnels de santéville hôpital

L’accompagnateur en santé> Il accueille les patients et leurs proches, recherche desinformations, identifie des personnes ressources dans lesdomaines social, juridique, économique...Au regard desprincipes fondateurs d’un ERI®, l’animateur n’est pas issudes professions médicales et paramédicales.Il est en lien permanent avec les équipes médicales, pa-ramédicales et administratives de la structure. Il est soumisau secret professionnel.

En complément et en interactivité avec tous les acteursde soins, l’accompagnateur en santé de l’ERI® permetaux personnes malades et à leurs proches :> Un accès à l’information claire et validée sur le cancer> Des réunions débats, des ateliers thématiques sur dessujets clés animés par des professionnels> Un accompagnement et une écoute, à toutes les étapesde la maladie.

Ce projet a pu aboutir grâce àl'implication du Centre de Coordinationen Cancérologie, présidépar le Professeur Dominique Rossi.

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L’Hôpital Nord :un acteur majeur dans la prise encharge des affections cancéreuses

> A l’Hôpital Nord, l’activité d’oncologie clinique s’estlargement développée grâce à des équipements ultra so-phistiqués, au renforcement de l’hospitalisation de jouret conventionnelle et à l’arrivée de nouvelles équipes.

Des équipementsultra-sophistiqués

Le projet total,dont le coût s’élève à 18,4 M€, viseà constituer un plateau technique composé :

d’unTep scan (en co-utilisation avec le Centre hospita-lier du Pays d’Aix, du GIP de Médecine Nucléaire d’Ajac-cio et de la clinique de la Casamance), d’un scanner, d’unIRM et de Gamma Caméra.

de 2 appareils de radiothérapie dont un appareil deTo-mothérapie de nouvelle génération.

Un nouveau service dédié

SSuurr llee ppllaann mmééddiiccaall,, uunn nnoouuvveeaauu sseerrvviiccee dd’’oonnccoollooggiiee mmuullttii--ddiisscciipplliinnaaiirree eett iinnnnoovvaattiioonnss tthhéérraappeeuuttiiqquueess aa oouuvveerrtt sseessppoorrtteess eenn mmaaii..> Ce service est dédié à la prise en charge thérapeutiquedes malades atteints de cancers. Il leur offre un parcoursde soins efficient, coordonnés par des IDE spécialisées,conforme aux recommandations et aux exigences du PlanCancer II 2009-2013 (systématisation du dispositif d’an-nonce, traitements standardisés, plan de suivi après can-cer). Il prend en compte toutes les dimensionspsychologiques, sociales, et culturelles des ces malades etde leurs proches (famille, médecin référent).Au delà de soins de haute qualité, ce service universitairea surtout vocation à proposer aux patients un accès pré-coce à l’innovation thérapeutique (nouvelles molécules,nouvelles stratégies, techniques innovantes de palliationdes symptômes, etc…) en participant à des essais de re-cherche clinique (phase I, en collaboration avec l’UPCET

et le CENGEPS, phases II et III, structurés par une équipespécifique de recherche clinique expérimentée) et en col-laboration avec tous les spécialistes (endoscopies, chirur-gie, anatomopathologie, laboratoires biologiques, équipemobile de soins palliatifs, etc…) et le plateau technique(imageries standard et fonctionnelle, radiothérapie, tomo-thérapie) disponibles sur l’hôpital Nord.

L’arrivée de nouvelles équipes

Par ailleurs, les services de chirurgie thoracique, de pneu-mologie et une partie du service de chirurgie urologiquesituée auparavant aux Hôpitaux Sud, spécialisés dans lacancérologie, sont venus renforcer, depuis le mois de juin2010 les équipes médicales et chirurgicales déjà présentessur l’Hôpital Nord et très actives en oncologie.

Les équipes déjà implantées

Les cancers de la tête et du cou : ORL, Chirurgie cervico-faciale (Pr Magnan), Chirurgie maxilo-faciale (Pr Guyot)

Les cancers gynécologiques et mammaires : gynécologie-obstétrique(Pr Boubli) et chirurgie plastique (Pr Casanova)

Les cancers digestifs : gastro-entérologie (Pr Grimaud)et chirurgie générale et digestive (Pr Brunet)

Les sarcomes de l’adultes : chirurgie orthopédique ettraumatologique (Pr Poitout)

Les cancers de la sphère urologique : chirurgie urolo-gique (Pr Rossi)

Les cancers cutanés : Dermatologie vénérologie(Pr Berbis)Les tumeurs endocriniennes : endocrinologie et maladies

métaboliques (Pr Meyer-Dutour)Les tumeurs du système nerveux central : Neurochi-

rurgie (Pr Roche)Les spécialités transversales : Médecine nucléaire(Pr

Mundler) Anatomo-pathologie (Pr Taranger-Charpin), la-boratoire de transfert (Pr Ouafik), laboratoire de biochi-mie et de biologie moléculaire (Pr Gabert)

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> L'augmentation du nombre de cancers dépistés conju-guée au vieillissement de la population fait de la prise encharge de cette maladie un enjeu majeur pour l’AP-HMqui développe une forte activité dans ce domaine.

Sous l’impulsion des différents plans cancer, l’AP-HM, dansle cadre d’une démarche hospitalo-universitaire, a re-structuré son offre en cancérologie en engageant sur 2sites, Centre (Timone et Conception) et Nord, desmoyens de plus en plus importants (acquisition d’équipe-ments dernières générations, nouveaux services, nou-velles techniques de recherche,…) consacrés à la luttecontre le cancer.La prise en charge des cancers en hospitalisation adultereprésente près de 11 % de la file active totale de l’AP-HM, soit un suivi de près de 10 000 patients par an.

L’AP-HM est l’établissement de la région qui présente laplus importante file active de malades hospitalisés pourcancer.

Par ailleurs, l’AP-HM, à travers ses missions de soins, d’en-seignement et de recherche, s’engage fortement, ensynergie avec l’Université, dans des programmes de re-cherche pour améliorer le diagnostic et les traitementsdans le domaine de la cancérologie.

Cette particularité permet à de nombreux patients at-teints de cancer et pris en charge à l’AP-HM, de bénéfi-cier de traitements innovants en complément d’une priseen charge classique, augmentant ainsi leur chance de gué-rison.

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Cancérologie :l’AP-HM au coeur de l’excellence

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COMITE 13LIGUE CONTRE LE CANCER

PrésentationLa Ligue Nationale Contre le Cancer fédère 103 Comi-tés Départementaux sur tout le territoire national et lesDom-Tom.

C'est dans cette organisation que s'expriment toute laforce et l'efficacité de la Ligue qui peut mener des actionsnationales d'envergure relayées au niveau local. Ceci estparticulièrement important dans les domaines de la pré-vention et de l'action pour les malades ; ainsi, chaque Co-mité Départemental comprend des structuresd'information, de soutien et de coordination indispensa-bles à ceux qui luttent contre le cancer et ceux qui le vi-vent avec eux au quotidien.Ce sont les Comités Départementaux qui organisent lacollecte de fonds. Ces fonds recueillis sont investis au ni-veau départemental en faveur des malades et d’opéra-tions de prévention. Concernant le soutien à la recherche,les subventions sont attribuées aux centres de rechercheperformants, installés dans les grandes métropoles, aprèsexpertise du Conseil scientifique national et dans le cadredes priorités de recherche définies par le Conseil d'Ad-ministration National de la Ligue.

Rôle et missions du Comité 13

Depuis 1958, le Comité des Bouches-du-Rhône de laLigue contre le Cancer œuvre en faveur des malades at-teints du cancer et de leur entourage. Ses priorités consis-tent à privilégier les actions de terrain et à prendre encompte la nécessité d’accompagner et écouter les ma-lades et leurs familles, mais aussi d’informer de leurs be-soins les professionnels de santé et le grand public.L’efficacité de ces actions dépend de la capacité de la Ligueà développer des liens, dans la durée, avec les acteurssocio-économiques de la région.

Fin 2009, le Comité compte 17 000 donateurs (c'est-à-dire un peu plus de 50 000 sympathisants) dans lesBouches du Rhône, qui apportent leurs soutiens financierset offrent le temps disponible de plus de cent bénévoles.

Le Comité des Bouches-du-Rhône intervient autour de 3grands pôles :

La recherche : En 2010, la Ligue contre le cancer, Co-mité des Bouches-du-Rhône a financé 8 équipes de cher-cheurs et a apporté son soutien en attribuant une bourseà un jeune chercheur pour un montant de 435 000€. Lecomité a continué à soutenir le financement du Cancéro-pôle PACA (10 000€).

La prévention : La ligue a pour mission d’informer et desensibiliser notamment sur les méfaits du tabac et sur sesconséquences. Elle accompagne et apporte son aide pardes actions de prévention et de sevrage au sein d’établis-sements scolaires. L’objectif de ces interventions est d’ou-vrir un dialogue autour de la consommation tabagique afind’accélérer l’orientation progressive des jeunes fumeursvers la décision d’arrêt, de renforcer leur conviction, denourrir leurs motivations et de les soutenir dans leur dé-marche de sevrage tabagique.

L’action en faveur des malades : La Ligue contre le cancera financé en partenariat avec le Laboratoire SANOFI unespace rencontre et information (ERI) à l’hôpital Nord deMarseille. La ligue contre le cancer aura financé 3 ERI à cejour dans le département (Institut Paoli-Calmettes, Hôpi-tal de la Timone)Le Comité a mis en place depuis de nombreuses annéesun service social qui répond aux attentes des patients etde leur entourage. L’assistante sociale de la Ligue aide,oriente, facilite dans leur parcours les démarches des malades.

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Elle prépare les dossiers de soutien financier des maladesnécessiteux, des ateliers de peinture, de chant, de relaxa-tion, de maquillage, ainsi que des groupes de parole sontanimés par des professionnels et proposés aux malades.Ces ateliers sont gracieux et se font sur simple inscrip-tion.En 2010 le comité a consacré 163 000€ pour cettemission. En 2008, le Comité met en place un nouveau ser-vice en faveur des malades isolés : « visites à domicile etaccompagnement de malades » dans l’ensemble du dé-partement. Le Comité a ouvert au printemps 2009 sa pre-mière maison de vie à arles. Ce lieu offre aux maladesune écoute mais aussi la possibilité de participer à denombreux ateliers (relaxation, groupe de parole, esthé-tique et chant)Le comité a également financé dans le cadre de l’amélio-ration du confort du patient en hôpital deJour l’hôpital Saint Joseph ainsi que son ’accueil de la sé-

nologie, la création d’une salle réservée aux familles auservice d’oncologie du Professeur DUFFAUD de la Ti-mone Marseille. En 2009 La Ligue avait financé l’améliora-tion de l’accueil des patients de l’Institut Paoli-Calmettesde Marseille. La Ligue contre le cancer a continué en 2010à soutenir l’action des soins à domicile en finançant la lo-cation des véhicules de l’hôpital Saint Joseph mais aussiceux de l’Institut Paoli-Calmettes de Marseille.

POUR RENSEIGNEMENTS ACTION SOCIALEDE LA LIGUE CONTRE LE CANCERTEL AU 04.91.41.00.20OU SUR LE SITE :www.liguecancer13.net

Mr Henri MERCIERPrésident de la Ligue contre leCancer des Bouches du Rhône

Après avoir présidé le ConseilEconomique et Social de la RégionPACA, Henri Mercier s’est trouvéassez naturellement engagé versdes responsabilités dans le do-maine de la Santé. Président de laConférence Régionale de Santé,Administrateur de l’Hôpital Saint-Joseph et de l’Institut Paoli-Cal-

mettes, il s’investit dans la lutte contre le cancer.En 2007, il prend la Présidence du Comité des Bouches-du-Rhône de la Ligue contre le cancer, succédant au Pro-fesseur Yves CARCASSONNE.Tout en poursuivant l’action menée par son prédécesseuren faveur de la recherche et des équipements de pointe enmilieu hospitalier, il s’efforce de dynamiser la communica-tion du Comité, mettant à profit son cinquantième anni-versaire en 2008, afin d’accroître le nombre des adhérents,le montant de la collecte et le nombre des bénévoles dis-ponibles. Cette ambition répond au souci de soutenir hu-mainement encore davantage les patients et leurs famillesqui bénéficient d’un accompagnement médical de plus enplus performant, mais qui reste moralement éprouvant.

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AIDER LES MALADES, telle est la mission principale du GEFLUC, le Groupement des Entreprises Françaisesdans la Lutte contre le Cancer, né en 1964 à Marseille.

La solidarité et le volontariat à l’origine de ce mouvement ont permis déjà de grandes réalisations.À ce jour, plus de 5.200.000 € ont été consacrés sur notre région

à l’aide aux maladesau financement de la rechercheà des opérations de prévention et d’information.

Notre participation à l’implantation d’un Espace Rencontre Information (ERI) dans la structure hospitalièremarseillaise qui comporte désormais la plus grande unité dédiée au cancer était parfaitement naturelle. Il est indis-pensable que les malades et leurs proches puissent trouver de l’information utile sur leur maladie, sur leur parcoursmédical, qu’ils puissent échanger avec des professionnels qualifiés, et aussi avec d’autres patients.Lutter contre le choc que constitue ne serait-ce que l’annonce de la maladie participe déjà au traitement, facilite l’im-plication de chacun dans un combat qui n’est plus sans issue.

Le financement de cette réalisation par notre association témoigne du soutien que lui apportent en versant chaquemois 1 € les salariés d’Eurocopter, de la Caisse d’Épargne, du Port Autonome, de la S.M.C., de la Ville de Marseille,et aussi de près de 300 autres entreprises et collectivités de la région, dans les domaines de l’Industrie, des Trans-ports, de la Finance, du Commerce et des Services… Ainsi que de nombreux agents de l’Assistance Publique-Hôpi-taux de Marseille.

Contact presse : Isabelle VESSELOVSKY

GEFLUC MARSEILLE-PROVENCEGroupement des Entreprises Françaises dans la Lutte contre le Cancer

30 rue Montgrand - 13006 MARSEILLEtél 04 91 33 00 67 - fax 04 91 33 37 [email protected] - www.gefluc.org

Association affiliée à la Fédération nationale des GEFLUC reconnue d'Utilité Publique

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L’implication du Conseil Généralen matière de Santé Publique

La santé est une préoccupation forte des habitants desBouches-du-Rhône. Elle est au cœur des problématiquesactuelles et à venir liées à l’allongement de la vie et à sesrépercussions sur le système de santé, sur les politiquessociales et celles de l'habitat, dans lesquelles le ConseilGénéral est particulièrement impliqué.

La santé est aussi au cœur des préoccupations duConseil Général parce que ce département :

connaît de fortes spécificités géographiques, démogra-phiques, socio-économiques et environnementales quisont porteuses d’autant de disparités économiques et so-ciales ;

dispose d’une densité hospitalière, universitaire et derecherche fondamentale qui, par son poids et sa qualité,déborde largement de ses frontières régionales, souventnationales et internationales.

C’est sur ce large constat que le Conseil général a dé-terminé son implication en matière de santé publique.Cette implication est aussi déterminée par les compé-tences légales du Département et les politiques qu’il en-gage en matière de:

prévention des Infections sexuellement transmissibles(IST), de la tuberculose, des maladies accessibles à la vac-cination et des cancers ;

maintien à domicile des personnes âgées et des per-sonnes handicapées ; accès aux droits et aux soins desanté ;

protection de l'enfance en danger.

L’intervention du Département dans le domaine de lasanté va bien au-delà de ces strictes compétences régle-mentaires :

L’accès aux droits et aux soins :Malgré des avancées importantes (la CMU), les inégalitésd’accès aux soins existent toujours ; les déterminants so-ciaux de la santé restent en premier plan et les actions deprévention essentielles. Ici, aussi, le Conseil Général estl’opérateur principal sur le terrain en matière d’action so-ciale, dans l’accueil et l’orientation des personnes en dif-

ficultés (précarité, exclusion) et l’animation du dispositifd’insertion (RSA).

Il convient en outre, de rappeler que le Conseil Généraldispose de structures intervenant directement dans lechamp de la santé :

un centre médico-psycho-pédagogiqueun laboratoire de « santé publique » (analyse biologique)

Enfin la création du Conseil Départemental de Santé Pu-blique a marqué un pas déterminant dans cet engagementavec deux idées fortes :

Améliorer le niveau de santé publique dans le départe-ment ;

Améliorer l’accès aux soins de tous qu’elle que soit leurcondition sociale et où qu’ils se trouvent dans le département.

S’inscrire dans une logique de santé solidaire, c’est aussiaider financièrement à l’équipement des établissementshospitaliers en matière de technologie de pointe.Tout d’abord dans des domaines en lien direct avec sesmissions règlementaires de santé publique : comme la pé-rinatalité, les femmes, les enfants. Ensuite, dans les patho-logies graves qui touchent le plus grand nombre, c’estnotamment le cas avec la cancérologie et la cardiologie. L’axe majeur d’intervention du Conseil Général restetoutefois celui de la cancérologie, un domaine en pleineévolution technologique. Le Conseil général participe à la lutte contre le canceravec plus d’un million d’euros annuels pérenne. Il s’est parailleurs engagé depuis plus de 10 ans maintenant dans unprogramme d’aide à la rénovation des équipements, no-tamment ceux de radiothérapie. Les financements ac-cordés à l’Institut Paoli Calmettes sont très conséquents. Le Conseil général soutient également fortement les ac-tions de prévention et de dépistage en finançant deséquipements performants et par un soutien permanent àl’association Arcades pour le cancer du sein et du colon.

Pour mettre œuvre cette politique l’Assemblée départe-mentale a investi en 10 ans près de 40M€ dans le secteurde la santé publique.Pour le partenariat avec l’IPC, sur la même période, plusde 21 M € ont été investis.

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Dominique Deroubaix, directeur général. Cet homme de 57 ans, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’Ecole nationale

de la santé publique (aujourd’hui EHESP) a exercé plusieurs responsabilités de direction dans

le domaine hospitalier. Il était jusque là directeur de l’Agence régionale de l’hospitalisation

Nord-Pas-de-Calais.

Norbert Nabet, directeur général adjoint. Il était jusque-là conseiller technique pour la

médecine libérale au ministère de la Santé et des Sports.

L’Agence régionale de santé

Provence-Alpes-Côte d’Azur. L’Etat et l’assurance maladie unis

au service de la santé en région.

Une agence, une région, pour une meilleure santé.

Jean-Luc Desmet, secrétaire général.

Mireille Floch, secrétaire générale adjointe.

Daniel Marchand, directeur stratégie et prospective.

Emmanuel De Bernières, directeur adjoint stratégie et prospective.

Jean-Jacques Coiplet, directeur santé publique et environnementale.

Marie-Christine Savaill, directrice adjointe santé publique et environnementale.

Martine Riffard-Voilqué, directrice patients, offre de soins et autonomie.

Docteur Hugues Riff, directeur adjoint patients, offre de soins et autonomie.

Jean Pagès, chef des services financiers.

Claude-Olivier Martin, chef de cabinet.

Siège ARS Paca : 132, boulevard de Paris - 13003 Marseille - Tél : 04 13 55 80 10�Délégation territoriale des Bouches-du-Rhône : 132, boulevard de Paris - 13003 Marseille - Tél : 04 13 55 80 10

Délégation territoriale des Alpes-de-Haute-Provence : Rue Pasteur - BP 229 - 04013 Digne-les-Bains Cedex - Tél: 04 92 30 88 00

Délégation territoriale des Hautes-Alpes : Parc Agroforest - 5 rue des Silos - 05000 Gap - Tél : 04 92 52 54 54

Délégation territoriale des Alpes-Maritimes : Centre administratif - Route de Grenoble - Bât Audibergue - BP 3061 - 06202 Nice Cedex 03 - Tél : 04 93 72 27 27

Délégation territoriale du Var : Cité sanitaire - Avenue Lazare Carnot - 83076 Toulon - Tél: 04 94 09 84 00

Délégation territoriale de Vaucluse : Cité administrative - Cours Jean Jaurès - BP 50007 - 84004 Avignon Cedex 01 - Tél : 04 13 55 85 50 ��

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Gouvernance de l’ARS Paca

Adresses postales : Siège ARS Paca / Délégation territoriale 13 - ARS Paca

CS 50039

13331 Marseille cedex 03

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L’ARS Paca vise : �� l’amélioration de la santé des habitants de notre région,

�� l’efficacité du système de santé et médico-social.

�Une organisation régionale de la santé. L’ARS fonctionne depuis le 1er avril 2010. C’est un établissement public administratif.

Avec l’ARS, c’est le système de santé qui vit une mutation des politiques de prévention et de santé publique

ainsi que de l’organisation des prises en charge sanitaires et médico-sociales. L’ARS est l’interlocuteur des acteurs de santé locaux en ce qui concerne :

�� la prévention et la santé publique,

�� les soins ambulatoires et hospitaliers,

�� les prises en charge des personnes âgées et des personnes handicapées.

Ses partenaires privilégiés sont les usagers, les services de l’Etat, les collectivités locales, les caisses

d’assurance maladie, les établissements de soins de suite et réadaptation, les maisons d’accueil des publics

fragilisés par la maladie, l’avancée en âge ou le handicap ainsi que les hôpitaux publics, les établissements

de santé privés ainsi que les professionnels de santé hospitaliers et libéraux.

Avec quels moyens ? L’ARS Paca réunit les moyens humains et financiers des services régionaux de l’Etat et de

l’assurance maladie en charge de la santé.

Elle s’est substituée à :

�� la partie sanitaire de la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales (Drass)

et des Directions départementales des affaires sanitaires et sociales (Ddass) des six

départements de notre région,

�� l’Agence régionale de l’hospitalisation (ARH),

�� l’Union régionale des caisses d’assurance maladie (Urcam),��� le Groupement régional de santé publique (GRSP),��� la partie «assurance maladie et action médico-sociale» de la Caisse régionale

d’assurance maladie (Cram) du Sud-Est,��� la partie « organisation des soins et prévention » de la Direction régionale du service

médical (DRSM).

L’ARS compte environ 650 personnes, dont la moitié au siège.

Pourquoi l’ARS ? �� Pour mieux répondre aux besoins de santé et d’autonomie de la population.

�� Pour renforcer le pilotage du système de santé et le rendre plus efficace.

�� Pour adapter davantage les politiques de santé aux besoins locaux.

�� Pour simplifier l’organisation sanitaire et l’organisation médico-sociale.

�� Pour veiller à la gestion efficiente du système de santé et médico-social.

�� Pour garantir l’avenir du service public de santé solidaire.

Ses missions. A travers le pilotage de la santé publique et la régulation de l’offre sanitaire :

�� contribuer à réduire les inégalités territoriales en santé,

�� assurer un meilleur accès aux soins,

�� organiser les parcours de soins en fonction des patients,

�� favoriser une meilleure efficacité des dépenses de santé.

Un siège à Marseille et des délégations territoriales sous le signe de la

démocratie sanitaire. L’ARS est un organisme régional constitué d’un siège, basé à Marseille, et de délégations

territoriales, localisées dans les six départements de notre région. La gouvernance de

l’ARS associe les usagers et l’ensemble des acteurs locaux de santé à la définition et la

mise en œuvre de la politique de santé dans notre région.

En créant le

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région.

Ses domaines d’intervention. �� La prévention, la santé publique et environnementale, la sécurité sanitaire.

�� Les soins ambulatoires et hospitaliers.

�� L’accompagnement médico-social des personnes en perte d’autonomie.

Dans quelle logique ? �� La démocratie et le dialogue avec les usagers et les collectivités locales.

�� L’échange avec les acteurs de santé.

�� La contractualisation avec les organismes d’assurance maladie.

�� Le renforcement de l’action collective du système de santé.

�� La couverture de l’ensemble du champ de la santé.

�� Le décloisonnement sectoriel et la pluridisciplinarité.

Quatre pôles structurent l’ARS et coordonnent ses missions transversales. �� Un secrétariat général : outre la gouvernance interne, les ressources humaines et la communication, il

anime la démocratie sanitaire et l’organisation territoriale des délégations départementales. �� Une direction « stratégie et prospective » : à partir de l’observation de l’état de santé de la

population, elle élabore la politique régionale de santé, (dont son volet de suivi des dépenses), et

organise la contractualisation avec les partenaires (assurance maladie et collectivités locales).

�� Une direction « santé publique et environnementale » : elle porte la politique de prévention, de veille

et de sécurité sanitaire, de surveillance épidémiologique ainsi que de santé et environnement.

�� Une direction « patients, offre de soins et autonomie » : structurée autour de trois missions

(performance et qualité, régulation de l’offre de santé et régulation de l’offre médico-sociale), elle

définit et met en œuvre l’organisation régionale des soins et de l’autonomie.

La création de l’ARS Paca est l’aboutissement d’un processus, engagé depuis plusieurs années,

de régionalisation et de mise en commun des missions des services de l’Etat et de l’assurance maladie.

L’identité de l’ARS. Le logo de l’ARS affiche un grand « S » pour symboliser une vision globale de la santé et de la solidarité. Il

met en avant la mission de l’agence : améliorer l’efficience du système de soins et des prises en charge

médico-sociales. Les couleurs de l’ARS évoquent celles de nos partenaires (assurance maladie, caisse de

solidarité pour l’autonomie) et la pastille tricolore les valeurs de service public sur lesquelles est fondée

l’organisation du système de santé.

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Son outil principal. �� Le projet régional de santé : il définit la stratégie de l’agence et les modalités

opérationnelles de sa mise en œuvre.

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L’ARS Paca vise : �� l’amélioration de la santé des habitants de notre région,

�� l’efficacité du système de santé et médico-social.

�Une organisation régionale de la santé. L’ARS fonctionne depuis le 1er avril 2010. C’est un établissement public administratif.

Avec l’ARS, c’est le système de santé qui vit une mutation des politiques de prévention et de santé publique

ainsi que de l’organisation des prises en charge sanitaires et médico-sociales. L’ARS est l’interlocuteur des acteurs de santé locaux en ce qui concerne :

�� la prévention et la santé publique,

�� les soins ambulatoires et hospitaliers,

�� les prises en charge des personnes âgées et des personnes handicapées.

Ses partenaires privilégiés sont les usagers, les services de l’Etat, les collectivités locales, les caisses

d’assurance maladie, les établissements de soins de suite et réadaptation, les maisons d’accueil des publics

fragilisés par la maladie, l’avancée en âge ou le handicap ainsi que les hôpitaux publics, les établissements

de santé privés ainsi que les professionnels de santé hospitaliers et libéraux.

Avec quels moyens ? L’ARS Paca réunit les moyens humains et financiers des services régionaux de l’Etat et de

l’assurance maladie en charge de la santé.

Elle s’est substituée à :

�� la partie sanitaire de la Direction régionale des affaires sanitaires et sociales (Drass)

et des Directions départementales des affaires sanitaires et sociales (Ddass) des six

départements de notre région,

�� l’Agence régionale de l’hospitalisation (ARH),

�� l’Union régionale des caisses d’assurance maladie (Urcam),��� le Groupement régional de santé publique (GRSP),��� la partie «assurance maladie et action médico-sociale» de la Caisse régionale

d’assurance maladie (Cram) du Sud-Est,��� la partie « organisation des soins et prévention » de la Direction régionale du service

médical (DRSM).

L’ARS compte environ 650 personnes, dont la moitié au siège.

Pourquoi l’ARS ? �� Pour mieux répondre aux besoins de santé et d’autonomie de la population.

�� Pour renforcer le pilotage du système de santé et le rendre plus efficace.

�� Pour adapter davantage les politiques de santé aux besoins locaux.

�� Pour simplifier l’organisation sanitaire et l’organisation médico-sociale.

�� Pour veiller à la gestion efficiente du système de santé et médico-social.

�� Pour garantir l’avenir du service public de santé solidaire.

Ses missions. A travers le pilotage de la santé publique et la régulation de l’offre sanitaire :

�� contribuer à réduire les inégalités territoriales en santé,

�� assurer un meilleur accès aux soins,

�� organiser les parcours de soins en fonction des patients,

�� favoriser une meilleure efficacité des dépenses de santé.

Un siège à Marseille et des délégations territoriales sous le signe de la

démocratie sanitaire. L’ARS est un organisme régional constitué d’un siège, basé à Marseille, et de délégations

territoriales, localisées dans les six départements de notre région. La gouvernance de

l’ARS associe les usagers et l’ensemble des acteurs locaux de santé à la définition et la

mise en œuvre de la politique de santé dans notre région.

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Ses domaines d’intervention. �� La prévention, la santé publique et environnementale, la sécurité sanitaire.

�� Les soins ambulatoires et hospitaliers.

�� L’accompagnement médico-social des personnes en perte d’autonomie.

Dans quelle logique ? �� La démocratie et le dialogue avec les usagers et les collectivités locales.

�� L’échange avec les acteurs de santé.

�� La contractualisation avec les organismes d’assurance maladie.

�� Le renforcement de l’action collective du système de santé.

�� La couverture de l’ensemble du champ de la santé.

�� Le décloisonnement sectoriel et la pluridisciplinarité.

Quatre pôles structurent l’ARS et coordonnent ses missions transversales. �� Un secrétariat général : outre la gouvernance interne, les ressources humaines et la communication, il

anime la démocratie sanitaire et l’organisation territoriale des délégations départementales. �� Une direction « stratégie et prospective » : à partir de l’observation de l’état de santé de la

population, elle élabore la politique régionale de santé, (dont son volet de suivi des dépenses), et

organise la contractualisation avec les partenaires (assurance maladie et collectivités locales).

�� Une direction « santé publique et environnementale » : elle porte la politique de prévention, de veille

et de sécurité sanitaire, de surveillance épidémiologique ainsi que de santé et environnement.

�� Une direction « patients, offre de soins et autonomie » : structurée autour de trois missions

(performance et qualité, régulation de l’offre de santé et régulation de l’offre médico-sociale), elle

définit et met en œuvre l’organisation régionale des soins et de l’autonomie.

La création de l’ARS Paca est l’aboutissement d’un processus, engagé depuis plusieurs années,

de régionalisation et de mise en commun des missions des services de l’Etat et de l’assurance maladie.

L’identité de l’ARS. Le logo de l’ARS affiche un grand « S » pour symboliser une vision globale de la santé et de la solidarité. Il

met en avant la mission de l’agence : améliorer l’efficience du système de soins et des prises en charge

médico-sociales. Les couleurs de l’ARS évoquent celles de nos partenaires (assurance maladie, caisse de

solidarité pour l’autonomie) et la pastille tricolore les valeurs de service public sur lesquelles est fondée

l’organisation du système de santé.

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Son outil principal. �� Le projet régional de santé : il définit la stratégie de l’agence et les modalités

opérationnelles de sa mise en œuvre.

Page 13: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre ...fr.ap-hm.fr/sites/default/files/files/communiques... · cio et de la clinique de la Casamance), d’un scanner, d’un IRM et de

Dominique Deroubaix, directeur général. Cet homme de 57 ans, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’Ecole nationale

de la santé publique (aujourd’hui EHESP) a exercé plusieurs responsabilités de direction dans

le domaine hospitalier. Il était jusque là directeur de l’Agence régionale de l’hospitalisation

Nord-Pas-de-Calais.

Norbert Nabet, directeur général adjoint. Il était jusque-là conseiller technique pour la

médecine libérale au ministère de la Santé et des Sports.

L’Agence régionale de santé

Provence-Alpes-Côte d’Azur. L’Etat et l’assurance maladie unis

au service de la santé en région.

Une agence, une région, pour une meilleure santé.

Jean-Luc Desmet, secrétaire général.

Mireille Floch, secrétaire générale adjointe.

Daniel Marchand, directeur stratégie et prospective.

Emmanuel De Bernières, directeur adjoint stratégie et prospective.

Jean-Jacques Coiplet, directeur santé publique et environnementale.

Marie-Christine Savaill, directrice adjointe santé publique et environnementale.

Martine Riffard-Voilqué, directrice patients, offre de soins et autonomie.

Docteur Hugues Riff, directeur adjoint patients, offre de soins et autonomie.

Jean Pagès, chef des services financiers.

Claude-Olivier Martin, chef de cabinet.

Siège ARS Paca : 132, boulevard de Paris - 13003 Marseille - Tél : 04 13 55 80 10�Délégation territoriale des Bouches-du-Rhône : 132, boulevard de Paris - 13003 Marseille - Tél : 04 13 55 80 10

Délégation territoriale des Alpes-de-Haute-Provence : Rue Pasteur - BP 229 - 04013 Digne-les-Bains Cedex - Tél: 04 92 30 88 00

Délégation territoriale des Hautes-Alpes : Parc Agroforest - 5 rue des Silos - 05000 Gap - Tél : 04 92 52 54 54

Délégation territoriale des Alpes-Maritimes : Centre administratif - Route de Grenoble - Bât Audibergue - BP 3061 - 06202 Nice Cedex 03 - Tél : 04 93 72 27 27

Délégation territoriale du Var : Cité sanitaire - Avenue Lazare Carnot - 83076 Toulon - Tél: 04 94 09 84 00

Délégation territoriale de Vaucluse : Cité administrative - Cours Jean Jaurès - BP 50007 - 84004 Avignon Cedex 01 - Tél : 04 13 55 85 50 ��

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Gouvernance de l’ARS Paca

Adresses postales : Siège ARS Paca / Délégation territoriale 13 - ARS Paca

CS 50039

13331 Marseille cedex 03