les tfoeptso» d’avis conlrairea It’Urbanisme et la...

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1 0 3 e A n n ée. — N “ 3 0 LE NUMERO : CENTIMES Dimanchs 24 Juillet 1932 JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS Paraissant le % >i^ianciie Ce ........ . Six œoit ï,«. ^ 33 O TST TST TE! TCÆ E l 3ST OT H3 > *■>» Bureaux P1Posta 1S II B I -Ait*, marnants partent du t~ de chaque mot» On s'abonne aux Bureans do Jonroal et dans ton» les bureaux de poste. -- l/abonnemrrit est paeabis d’avance et continue de plein droit jusqu à tfoeptso» d’avis conlrairea BUREAUX RÉDAQÎl^ $ ÂDXTINISTRATIOtN SSM IalB il» FM aoe jfié nr-i-IV, il ~ SEN L.ÏB TÉLÉPHONE 4 Directeur Commercial : E. VIGNON I 3 F-a X >C XT>IC S X 3NT E3 33 3Æ 'X- X O 3ST E3 Annonces légales............................................... | fr . 50 la ligne Ventes volontaires. — Publicités commerciales. — Demandes et offres d’emplois (Pour tous renseignements écrire au journal) Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. It’Urbanisme et la Politique ■■■■■■— - Il y a vraiment des gens qui ne doutent de rien. Témoin ce lecteur, anonyme, dont nous Y allons régler le compte sans chercher à percer l’anonymat, et qui nous invite à avoir, comme il dit, une « politique municipale ». « Pour quoi, nous ecrit-il, ne parlez-vous ja mais de choses concernant la vie mu- micipale... » Je ne sais trop si ce lec teur, — anonyme, — entend ce qu’il veut dire quand il parle de « politi que municipale », mais je vois fort bien sur quel terrain il voudrait nous entraîner. > Nous avons une Municipalité qui s ’a c q u i t t e de son mieux — et- très bien de sa tâche, gardons-nous de la Jiu conïpUqu'er par dés remarques ou des chicanes intempestives. On abuse du reste de cette expres sion « avoir une politique ». On a parlé de la « politique du blé », de ia « jiolitique de la vie chère », de la « politique de la natalité », etc. On a raison si l’on veut indiquer par là que tous ces problèmes doivent intéresser le législateur. Mais il y a ici un dan ger réel. C’est d’introduire la politi que de parti, la politique électorale, en d’autres termes la « sale politi que » dans des questions où son in tervention ne peut être que domma geable au premier chef. Ainsi en est- il particulièrement de la vie munici pale, et, plus particulièrement encore de cette question si fort à la mode au jourd’hui et que l’on appelle l’Urba nisme. Mon correspondant anonyme a là - dessus des lumières qui lui paraissent abondantes avec les quelles j ’a u r a i peut-être l’occasion d’éclairer le public. Bornons-nous au jourd’hui à sa « politique de la déno mination des rues de Senlis et autres villes. Assurément il s’est complète ment mépris sur le sens et la portée de la discussion si courtoise qui eut lieu, l’autre soir, à ce sujet, au Con seil Municipal. Notre homme a pour la révision des noms de rues tout un plan on ne peut plus radical. C’est un véritable anabaptiste. Il déplore par exemple que la rue Bellon évoque pour lui chaque fois q u ’il y passe l’idée de Bellone la déesse des com bats... ! C’est là ce qui s’appelle souf frir d’un excès d’érudition. Pour lui. dit-il, il y a là un anachronisme vio lent. Il voudrait qu’on l’appelle rue Kellog ou de Locarno. De même, il pense que la rue des Cordeliers serait mieux dénommée Emile Combes, du nom de cet homme politique qui a chassé tous les Cordeliers de France et de Navarre... Nos lecteurs nous sauront gré de ne pas leur présenter la liste complète des remaniements ainsi envisagés. Mon correspondant, à qui j’en veux un peu d’avoir gardé l’anonymat, s’élève jusqu’à des vues plus générales dont il faut savoir ap précier la justesse. Il déplore tous ces boulevards, tous ces ponts Alexan dre III qui risquent de « creuser le fossé » (sic) qui nous sépare de la Russie actuelle. Il a mieux encore. Sauf à Cahors, sa ville natale, dit-il, toutes ces avenues Gambetta sont au jourd’hui hors de saison. Sans doute Gambetta fut un grand homme, il fut • l’un des fondateurs de la République, quelque peu anachronique. Au fond, c’était un « homme de guerre ». N’a- t-il pas quitté Paris en ballon pour se rendre à Tours aux fins d’y organiser une défense dite nationale, mais qui coûta des flots de sang. Mieux inspiré était en somme ce maréchal Bazaine qui, un peu auparavant, avait amçné son armée sous Metz et la livra aux Al lemands tout entière sans coup férir pour éviter d’inutiles massacres. Sans doute, il fait figure de traître et fut condamné à mort... Au fond, c’était un devancier, un précurseur, un sin cère ami de la paix, un incompris. *** Voilà où l’excessif désir d’être tout à^ tait à la page conduit un homme d ailleurs instruit. Il ne manquerait plus qu’une municipalité se m ît en tête d y satisfaire ! Ce serait un beau bazar. I I.ç pacifiste est loin d’être tou jours pacifique. C’est pourquoi il est préférable ne ne point le mêler aux choses de l’Urbanisme. L’Urbanité a tout à gagner. Plus sages sont assu rément ceux qui s ’i n s p i r a n t de la lointaine et paisible histoire locale, — paisible parce que lointaine, — nous conseilleraient de baptiser nos rues nouvelles de noms gracieux comme eeRii. de Gérard de Nerval et de sou héroïne, Sylvie, ou bien encore du nom de Hérédia, dont le vieux Saint- Vincent fit un français, ou de celui encore de « ce bon abbé Prévost », dont une plume locale vient de nous conter la vie et qui mourut si près d’ici. A côté de cela, les dénominations géographiques ainsi qu’on l’a remar qué, gardent également leur prix par ces temps de tourisme intense et il n’y aurait aucune difficulté à ce que nous ayons une rue du Valois, mon correspondant préférerait sans doute la rue de Valois. Il faudrait veiller à l’orthographe sur ce point, si Ton ne voulait pas que la subtile politique se réintroduisît subrepticement dans la question. Nous ne plaidons certainement pas ici iinL*ra*ise. Du reste il n’y a ni pro cès à plaider, ni cause à gagner. Nous vivons en un pays de clair bon sens et de politesse exquise où l’urbanité n’est pas en péril. Nous sommes con vaincu que lorsqu’il s ’a g i r a de nommer une artère nouvelle, tous les habitants de l’endroit rivaliseront de prévenances pour ne pas imposer à leurs voisins une appellation qui n’au raient pas leurs suffrages, et pour ne pas affubler leur petite ville de grands noms prétentieux. Ce sera là " pour tous une occasion assez rare et parti culièrement choisie» d’exercer la po litesse au détriment de la politique. Il ne saurait être question pour au tant de s’incruster dans le passé. De grands noms apparaissent journelle ment qui sont peut-être dignes qu’on les honore. Mais il faut en être tout à fait sûr. Pour qu’ils entrent dans l’Histoire, ces noms, il ne suffit pas de les y mettre, il faut qu’ils s’y ins crivent comme d’eux-mêmes. ‘Alors nous irons les y prendre pour en ho norer nos rues et nos boulevards. Sur ce point comme sur tant d’au tres, il faut éviter la prévention et la précipitation et comme le disait ce diplomate il est urgent d’attendre. A Ces vues sont croyons-nous celles- là même dont s’inspire notre Muni cipalité et puisqu’on nous demande d’avoir « une politique municipale », on voudra bien admettre que c’en est une que de les partager. A. C henet . L’aiigmentaiion de l'impôt sur le revenu et les nouvelles taxes des P. T. T. Assurances Sociales La violette dans roise Union Départementale de l’Oise des Anciens Mobilisés de la Guerre 1914-1918 Un Groupe de Défense des Anciens Mobilisés vient d’être constitué à la Chambre des Députés pour atteindre les objectifs établis par la Confédéra tion Générale des Anciens Mobilisés non détenteurs de la Carte du Com battant. Les membres de l’Union Départe mentale de TOise, par leur adhésion aux statuts de T,Union, sont directe ment affiliés à la Confédération Géné rale, ou figurent en bonne place au Comité Central, M. Laville, le président si actif de TUnion et plusieurs mem bres du groupe de TOise. Renseignements au Secrétariat Gé néral de TUnion, 13, rue de Rouen, à Beauvais. Timbre pour réponse. Les votes des projets financiers L’EXAMEN DES ARTICLES Nous publierons dans noire prochain numéro les votes des députés de l’Oise concernant celte question. Election au Conseil Général Dimanche dernier, M. Gaston Bou langer, maire d’Autheuil-Portes, répu blicain indépendant a été élu par 921 voix contre M. Senez, maire de Res sens, radical-socialiste, 783 voix, con seiller général du canton de Ressons- sur-Matz. Le bon sens Ta emporté sur te carte!. li'éleetloü de fî. Boulaüger Du Progrès de l’Oise, sous la signa ture de M. Mermet : « Une candidature comme celle de M. Gaston Boulanger n’aurait pas dû être discutée. M. Boulanger, désireux de se consa crer entièrement aux institutions de progrès social et de défense agricole, avait tenu, durant toute sa. vie, à de meurer à l’écart des luttes politiques. Lorsque la mort de son regretté père nécessita une élection dans le canton de Ressons, nous avons immédiate ment pensé que M. Gaston Boulanger devait être candidat et devait être élu. Nous avions vu dans sa candidature un moyen de réaliser Tunion entre Fran çais ayant à faire prévaloir des inté- rêtes communs, en dehors de toutes les subtilités de la politique. Loyalement, avec un désintéresse ment absolu, nous avons tendu la main à nos adversaires d’hierj Nous leur avons demandé de s’unir à nous sur le nom de M. Boulanger, en dehors de toute préoccupation politique. « Oignez vilain, il vous poindra », dit un vieux proverbe. A notre geste franc et généreux, on a répondu par la violence. On a oppo sé le poing à notre main tendue. A notre appel à Tunion, on a répondu par des cris de haine. On nous a donc mis dans la néces sité de batailler et de vaincre. Tant pis pour ceux qui, par leur stu pide aveuglement, font aujourd’hui fi gure de vaincus. Il ne tenait qu’à eux a’4tre aaanciés aujourd’hui au euenèa », La loi tendant au rétafclissemeçt de l’équilibre budgétaire a été promulguée au Journal Officiel. Nous croyons devoir publier le texte concernant les « rcaménagementa fis caux » et celui concernant les nûuvUuix tarifs postaux et téléphoniques. RE AMENA CEMENTS FISCA UM Art. 7. — La taxe de 18 %, établij par le premier alinéa de Tarticle 8 de ja loi du 26 avril 1930 sur le revenu dej va leurs étrangères non abandonnées, 'ainsi que sur les titres de rentes, emprunts et autres effets publics des gouvernements étrangers, est lixée à 20 %. sans décimes AjU. 8 . L'article !> de la loi du 26 avril 1930 est abrogé. Art. 9. — L’article 83 des lois codi fiées relatives aux impôts cédulaires et à l’impôt général sur le revenu (décret du 15 octobre 1926), modifié par Tarticle 2 de la loi du 30 décembre 1928, est rem placé par les dispositions suivantes : « Pour le calcul de l’impôt, toute frac tion du revenu inférieure à 1.000 francs' est négligée. « L’impôt est calculé en appliquant au montant du revenu taxable, après défal cation des déductions prévues à Tarti cle 8 ci-dessus de la somme de 10.000 francs totalement exonérée, le taux qui lui correspond d’après le barème ci- après : « 10 Revenu taxable ne dépassant pas 10.000 francs : 1,50 %. « Revenu taxable supérieur à 10.000 francs, mais ne dépassant pas 25.000 francs : 1,5 à 3 %', avec progres sion de 10 centièmes par 1.000 francs ; « 3“ Revenu taxable supérieur à 25.000 francs, mais ne dépassant pas 75.000 francs : 3 à 7 %, avec progression de 8 centièmes par 1.000 francs ; « f” Revenu taxable supérieur à 75.000 francs, mais ne dépassant pas 175.000 francs : 7 à 13 %, avec pro gression de 6 centièmes par 1.000 fr. ; « Revenu taxable supérieur à 175.000 francs, mais ne dépassant pas 400.000 francs : 13 à 22 avec pro gression de 4 centièmes par l.OOo c, , « Revenu taxable supérieur à 400.000 francs, mais ne dépassant pas 800.000 francs : 22 à 30 %', avec pro gression de 2 centièmes par 1.000 fr. ; « 7“ Revenu taxable supérieur à 800.000 francs, mais ne dépassant pas 1.800.000 francs : 30 à 40 %, avec pro gression de 1 centième par 1.000 fr. ; « Revenu taxable sup/rieur à 1.800.000 francs : 40 %. « L’impôt ainsi calculé ne supporte pas le double décime établi par la loi du 22 mars 1924. » LES NOUVEAUX TARIES DE P. T. T. TARIFS POSTAUX (Régime intérieur, relations franco-coloniales et intercoloniales) L — Cartes postales illustrées : Cartes postales illustrées dont l’ensem ble du verso est occupé par une illustra tion ou gravure, à l’exclusion de toute autre annotation manuscrite, lorsqu’elles portent au recto uniquement la date, la signature, l’adresse de l’expéditeur et cinq mots au plus de correspondance : 0 fr. 20. II. -— Droits fixes de recommandation : a) Lettres, paquets, clos, cartes posta les ordinaires et cartes postales illus trées affranchies à 0 fr. 40, envois de va leurs déclarées et enveloppes de valeurs à recouvrer : 1 fr. 25. b) Objets affranchis à tarif réduit : 0 fr. 75. TARIFS TÉLÉPHONIQUES I. — Conversations locales (taxe uni taire de jour et de nuit): 0 fr. 50. IL — Conversations suburbaines et conversations échangées entre réseaux limitrophes (taxe unitaire de jour et de nuit): 1 franc. III. Conversations interurbaines échangées : Entre réseaux appartenant à un même canton, à des cantons dont les chefs- lieux sont distants à vol d’oiseau de 25 kilomètres au plus ou entre réseaux re liés par des lignes téléphoniques direc tes dont la longueur totale réelle ne dé passe pas 25 kilomètres (taxe unitaire): 1 fr. 50. Entre réseaux appartenant à des can tons dont les chefs-lieux sont distants à vol d’oiseau de 25 à 50 kilomètres (tax unitaire) : 2 francs. Entre réseaux appartenant à des can tons dont les chefs-lieux sont distants à vol d’oiseau de 50 à 100 kilomètres (taxe unitaire) : 3 francs. A l’intérieur d’un département, excep tion faite des conversations faisant l’ob jet des paragraphes précédents (taxe unitaire : 3 francs. IV. — Conversations interurbaines en tre réseaux de départements différents (à l’exception des conversations visées en II et III) : D’après la distance à vol d’oiseau dq^ chef-lieu de département à chef-lieu de département : Jusqu’à 100 kilomètres : Taxe unitaire : 5 francs. Entre 100 et 300 kilomètres : 5 francs pour les 100 premiers kilomè tres, plus 1 franc par 100 kilomètres ou fraction de 100 kilomètres en excédent. Les départements de la Seine et de Seine-et-Oise sont considérés, pour l'ap plication des taxes interdépartementales, comme formant un seul département ayant pour chef-lieu Paris. V. Conversations interburbaines or dinaires échangées pendant les heures de nuit : Taxe unitaire fixée à la moitié de la taxe dw jour (fiyee irùntttinm de i fr, 50), En considération des nombreuses de mandes de renseignements formées en Hi matière, il est rappelé aux tributai res de la loi, que désormais pour avoir droit ou ouvrir droit aux prestations eu nature et en argent, l’assuré devra avoir cotisé GO jours pendant le trimes- tfe civil précédant celui de la maladie. Exceptionnellement, tant que l’assuré n’aura pas été immatriculé durant un trimestre civil entier, le droit aux pres tations lui sera acquis s’il a cotisé GO jours pendant les trois mois précédant lu mois de la maladie. yG-'S mesures entrées en application premier avril 1932 ont en outre sup- ffimé la possibilité pour l’assuré d’in- feqûer aux lieu et place des GO colisa- tilns journalières exigibles dans le tri- Tùesh'e civil précédant la maladie, le yti somcàt de 240 colisalious durant les u/mois antérieursr |U ne autre modification importante ft celle qui se rapporte à la justifica tion de ses droits par l’assuré : à la fin 00 chaque trimestre, les assurés de vront recevoir de leur employeur, le récépissé détaché de la carte ou du léuillet périmé et ce sera le récépissé du dernier feuillet trimestriel exigible qoi justifiera du montant des cotisa tions versées durant le trimestre pré cédant la maladie. L’attestation de l'employeur ne devra donc se conce voir qu’au cas où l’assuré ne pourra produire le talon récépissé du dernier feuillet périmé. H va sans dire que les indications de versements portés sur ledit récépissé engagent la responsabilité ultérieure de l’employeur ou de l’assuré et que les Caisses seraient fondées à poursuivre pour faux la personne qui aurait sciemment fait usage ou permis de faire usage d’un récépissé entaché d’ir régularité quant au montant des ver sements y indiqués. L’OISE A L’HONNEUR j. A'nWfmteur des Temps Nouveaux a consaefé quelques pages au grave pro- blèmè de la natalité en France ; parmi les éléments favorables et les beaux exemples, qui contribuent à améliorer la situation où se débat tristement no tre pays,’ cette publication rappelle qu’il faut, non seulement encourager les naissances, mais sauver d’abord ceux qui naissent, et elle cite notre dé partement en ces termes : « Dans VOise, la mortalité des nour rissons a été réduite des 3/4 par des mesures appropriées. Le mérite prin cipal en revient à M. Ludger Collet, Directeur de l’Office Départemental d’hygiène. M. Georges Risler, président du Musée social, a proposé le dépar tement de l’Oise en exemple à tous les préfets de France. « Si les autres départements sui vaient l’exemple de VOise, 40.000 là 50.000 bébés de moins d’un an seraient sauvés chaque année ». Et M. Hubert Lemaine, rédacteur de cet article, conclut ainsi : « La France est trop pauvre en hom mes pour laisser l’ignorance et la rou- iine décimer ses enfants à leur nais sance ». République Française PREFECTURE DU DEPARTEMENT DE L’OISE CANAL DU NORD i Le jeudi 18 août 1932, à 15 heures, il sera procédé, à la Préfecture de TOise, à l’adjudication publique^ des travaux ci-après désignés : Achèvement du pont à tablier métal lique situé au point 27 k. 7G4 du Canal du Nord et donnant passage au chemin de grande communication n° 146 : Dépenses à l’entreprise... 298.043 30 Somme à valoir 31.956 70 Total 330.000 00 Cautionnement provisoire. 5.000 00 Cautionnement définitif.. 10.000 00 On peut prendre connaissance des pièces du projet, tous les jours ouvra bles : , 1“ Dans les bureaux de la Préfectu- je. 3° division, 1” bureau, de 9 heures àfqidi et de 14 heures à 17 heures ; 2° Dans les bureaux de M. ITngé- oieur Ordinaire des Ponts et Chaus- sees, 8, rue de l’Eglise Saint-Germain, a Gompiègne, de 9 heures à midi et de ü heures à 17 heures. Ces candidats à l’adjudication doi vent présenter les pièces réglementai- '’es, dans les délais prescrits par Taf- hehe d’adjudication, à M. Soleil, Ingé nieur en Chef des Ponts et Chaussées, N eue de l’Eglise Saint-Germainl, à Gompiègne. Un programme sommaire, résumant 1 objet de l’entreprise, la description des travaux et leur estimation, sera envoyé aux entrepreneurs et aux per sonnes intéressées qui en feront la de mande à M. l’Ingénieur Ordinaire de 1 arrondissement de Compiègne du Service de la navigation enlro la Bel- BKioe et P ari Si î Sont nommés : . Officiers de l’Instruction Publique MM. Canioni Juste, directeur de l’Instruc tion départementale de Cempuis. Brémard Narcisse, instituteur honorai re à Pont-Lévêque. Delargillière Désiré, directeur hono raire d’école à Beauvais. Mlle Debraine Marie, directrice d ’é cole honoraire à Beauvais. M. Duparcq Ferdinand, instituteur re traité à Broyés. Mlle Legros Blanche, directrice d’éco le à Senlis. M. Herchin Georges, instituteur hono raire à Chaumont-en-Vexin. M. Henry-d’Ollières Ferdinand, pro fesseur au collège de Oermont. Mme Huet M a ria, institutrice retrai tée à Grandviliiers, Mme Villon Adèle, professeur au lycée Jeanne-Hachette à Beauvais. Mme Rousselle Zarita, professeur au lycée Jeanne-Hachette à Beauvais. Officiers d’académie Mme Capton Marie, directrice d’école à Verberie. Mme Devarenne Louise, directrice d’é cole publique à Andreville. Mme Damville Marie, directrice d ’é cole publique à Méru. Mme Weissenburger Jeanne, institu trice d’école publique à Noyon. Mme Fieben Henriette, directrice d’é cole publique à Montataire. Mme Laruelle Marie, directrice d’école publique à Esquennoy. Mlle Grégoire Blanche, directrice d’é cole à Montataire. Mme Paris Aimée, institutrice retraitée à Villeneuve-sur-Verberie. Mlle Fortin Emilienne, directrice d’é cole à Ribécaurt. MM. ! Cibeau Antoine, surveillant général à l’Institution départementale Georges- Prévost, à Cempuis. Lemaire Eugène, directeur d’école pu blique à Venette. Genaille Gaston, directeur d’école pu blique à Beauvais. Delarue Victor, instituteur retraité à Tesse-la-Madeleine. Dechelotte Paul, censeur du lycée de Beauvais. J Danju Eugène, instituteur retraité à Boullarre. Bourdon Amédée, instituteur public à Beauvais. Devillers Louis, instituteur public à Achy. Gobert Gustave, directeur d’école pu blique à Saint-Just-des-Marais. Delaforge Henri, instituteur retraité à Sérifontaine. Caron Eugène, instituteur public à Rocquencourt. Dielormel Charles, instituteur retraité à Catenoy. Fréville Clément, instituteur retraité à Breteuil. Helstein Jules, instituteur public à Heilles. Gillot Lucien, agent comptable à la Manufacture nationale de Beauvais. Guillot Léon, instituteur retraité à St- Omer-en-Chaussée. Gratio Louis, professeur technique à l’école pratique de commerce et d’indus trie de Beauvais. Biais Joseph, instituteur retraité à Montreuil-sur-IBrèche. Geudelin Henri, instituteur en retraite à Grandvilliers. Gribelot Octave, instituteur à Ther- donne. Dacquet Alphonse, économe de l'Ins titution départementale Gabriel-Prévost à Cempuis. Dieutegard Désiré, directeur d’école à Beauvais. Delagneau André, professeur, chargé de la sous-direction pratique du com merce et de l’industrie à Beauvais. Mullot Victor, instituteur à Beauvais. Pillon Victor, instituteur à Troussen- court. Nacroux Henri, professeur au collège de Compiègne. Noé René, instituteur à Tracy-le-Mont. Perronnet Paul, instituteur à Fitz-Ja- mes. Thuillier Arsène, instituteur retraité à Sarnois. Sailly Henri, instituteur honoraire à Grandvilliers. Le nombre des Automobiles dans l’Oise L ’O f f i c i e l publié une statistique des véhicules imposés et du produit de l’impôt pendant Tannée financière 1931-1932. Nous relevons pour le département de TOise : Automobiles servant au transport des personnes : 14.275 (de moins de 9 ans); 1.424 (de plus de 9 ans). Automobiles servant au transport des marchandises : 4.315 (de moins de 9 ans) ; 1.992 (de plus de 9 ans). Automobiles à gazogène : 8 (de moins de 9 ans). Cyclecars : 261 (de moins de 9 ans); 22 (de plus de 9 ans). Nombre de motocyclettes : 7.459. Nombre de bateaux automobiles de plaisance : 18. Produit de Timpôt pendant les douze premiers mois de Texercice 1931-1932 : | 11.842.362 francs. Produit de Timpôt pendant la pério de complémentaire : 253.969 francs. Produit total de Timpôt : 12;096;331 , francB> i t TRIBUNE LIBRE Les beautés de l’Administration A la suite des grands projets qui ont été déposés, discutés, annulés, et repris par nos législateurs, pour essayer de porter remède au déficit de nos finan ces, croyez-vous chers contribuables qu’il en soit sorti quelque chose de bien ordonné ? Vous en seriez bien étonnés ?... moi aussi. Pour aujourd’hui, ne retenons qu’une chose. Dans l’Administration des Postes, changement de tarif. Lettre recommandée, carte postale, etc... La précaution la plus élémentaire aurait été d’en prévenir te public dans chaque région. Les journaux n’auraient pas j'eiusé d’indiquer aux montons... de payants qu’à la date du... il y aurait lieu de faire attention à ces modifica tions. Mais, pas du tout, l’administration impose ces surcharges sans crier gare et un beau matin les facteurs partent pour leurs distributions en infligeant (par ordre) des amendes à tous ceux dont les amis en villégiaturé avaient eu la bonne idée d’envoyer leur bonjour. Eloignons de toute critique Rece veurs, facteurs, fonctionnaires subal ternes qui sont les premiers ennuyés de ces tracasseries et qui ont été obli gés de sévir, peut-être même avant d’avoir eu communication de la circu laire officielle. Mais croyez-vous que tous ces sous- ministres, ces grands potentats ou ces Rédacteurs aux ministères qui pren nent, de haut, toutes ces décisions, ne méritent pas d’être couronnés de leur rond de cuir au titre du mérite civil. On parle de réformes administrati ves et de simplifications, mais croyez- vous que si Ton consulte ces mêmes personnages il puisse sortir quelque chose de pratique ? Quelle belle victoire l’Administration des P. T. T. vient de remporter sur le public ! Des centaines et tics centaines de surtaxes. Et dans les bureaux des Grandes Di rections des Postes, ces Messieurs, tou jours dans l’intérêt du Trésor, sont ob sédés par l’application maladroite des nouveaux règlements = TIMBRE — TIMBRE — TIMBRE = Ces mots fatidiques dansent devant leurs yeux et ils arrivent inconsciem ment par leur maladresse à poser sur la dernière lettre de ces trois mots : un simple accent aigu. Un oblitéré en surtaxe. UNE DATE A RETENIR L’aulomobile-Club de THe-dè-France et le Syndicat d’initiative de Compiè gne organisent pour le dimanche 24 juillet, upe journée automobile, >de Compiègne. Cette manifestation, qui a pour but de faire connaître aux participants les beautés de celte partie de l’Ile-de- France, comprendra deux épreuves originales. Celle du matin (départ Chantilly 8 heures 45), appelée Rallye-Question naire, consistera à répondre à un ques tionnaire d’ordre automobile et touris- tiquéj Pour répondre utilement aux questions, les concurrents devront cir culer entre Chantilly et Compiègne dans une zone figurant sur la carte Michelin (feuille 56) et dont les limites seront indiquées au moment du dé part. L’épreuve de Taprès-midi (départ Compiègne 14 heures 45), appelée Ral lye-Forestier), consistera dans la re cherche do commissaires dissiminés dans la forêt de Compiègne, et ceci dans un temps déterminé. La zone dans laquelle seront dissiminés les commissaires sera indiquée au moment du départ. Ces deux épreuves, qui ont connu un grand succès en 1931, ne sont nulle ment des concours de vitesse, mais une promenade originale dotée en plus de nombreux prix. Les participants peuvent prendre part à Tune ou à l’autre épreuve ou aux deux ensemble à leur choix. Le programme de la Journée Auto mobile de Compiègne permettra aux participants de visiter individuelle ment ■ ou par groupes les nombreux monuments qui sont la parure de Com piègne. La fête des 8. A. G. da l’Oise A CLERMONT Mercredi dernier, les parlementaires de TOise se sont rendus auprès de M. Marcombes, sous-secrétaire d ’E t a t à l’Education Physique, pour lui de mander de présider la fête des S. A. G. de TOise, à Clermont, le 31 juillet prochain. M. Marcombes a accepté. POLITtCA Rez'ue mensuelle d*initiation à la vie politique 10 rue Chardin, Paris (XVI®)

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It’Urbanisme et la Politique ■■■■■■— -

Il y a v r a im e n t d es g en s q u i n e d o u te n t de r ie n . T é m o in ce le c te u r , a n o n y m e , d o n t n o u s

Y a l lo n s ré g le r le c o m p te s a n s c h e r c h e r à p e r c e r l ’a n o n y m a t, e t q u i n o u s in v ite à a v o ir , c o m m e il d it , u n e « p o li t iq u e m u n ic ip a le ». « P o u r ­q u o i, n o u s e c r it- il , n e p a r le z -v o u s j a ­m a is d e ch o ses c o n c e r n a n t la v ie m u - m ic ipa le... » J e n e s a is tro p si ce le c ­te u r , — a n o n y m e , — e n te n d ce q u ’il v e u t d ire q u a n d il p a r le de « p o li t i­q u e m u n ic ip a le », m a is je vo is fo r t b ie n s u r q u e l t e r r a in il v o u d r a i t n o u s e n t r a în e r .

> N o u s a v o n s u n e M u n ic ip a lité q u i s ’a c q u it te de s o n m ie u x — e t- t r è s b i e n d e sa tâ c h e , g a rd o n s -n o u s de l a J iu c o n ïp U q u 'e r p a r d é s r e m a r q u e sou d es c h ic a n e s in te m p e s tiv e s .

O n a b u s e d u r e s te de c e tte e x p re s ­s io n « a v o ir u n e p o li t iq u e ». O n a p a r lé de la « p o li t iq u e d u b lé », de ia « jio l i t iq u e de la v ie c h è re », de la « p o li t iq u e de la n a ta l i té », e tc . O n a r a is o n si l ’on v e u t in d iq u e r p a r là q u e to u s ces p ro b lè m e s d o iv e n t in té r e s s e r le lé g is la te u r . M ais il y a ic i u n d a n ­g e r ré e l. C’e s t d ’in t r o d u ir e la p o l i t i ­q u e de p a r t i , la p o li t iq u e é lec to ra le , en d ’a u t r e s te rm e s la « sa le p o l i t i ­q u e » d a n s d es q u e s tio n s où so n in ­te rv e n t io n n e p e u t ê tre q u e d o m m a ­g ea b le a u p r e m ie r ch e f. A in s i e n est- i l p a r t ic u l iè r e m e n t de la v ie m u n ic i­p a le , e t, p lu s p a r t ic u l iè r e m e n t e n c o re de c e tte q u e s tio n si f o r t à la m o d e a u ­jo u r d ’h u i e t q u e l ’o n a p p e lle l ’U rb a ­n ism e .

M on c o r r e s p o n d a n t — a n o n y m e — a là - d e s s u s d e s lu m iè re s q u i lu i p a r a is s e n t a b o n d a n te s av ec le s ­q u e lle s j ’a u r a i p e u t-ê tr e l ’o ccas io n d ’é c la ire r le p u b lic . B o rn o n s -n o u s a u ­jo u r d ’h u i à sa « p o li t iq u e de la d é n o ­m in a t io n d e s ru e s d e S e n lis e t a u t r e s v ille s . A s s u ré m e n t il s ’e s t c o m p lè te ­m e n t m é p r is s u r le s e n s e t la p o r té e d e la d is c u s s io n si c o u r to is e q u i e u t l ie u , l ’a u t r e so ir , à ce s u je t , a u C o n ­se il M u n ic ip a l. N o tre h o m m e a p o u r l a ré v is io n d es n o m s de r u e s to u t u n p la n o n n e p e u t p lu s ra d ic a l . C’e s t un v é r i ta b le a n a b a p t is te . I l d é p lo re p a r e x e m p le q u e la ru e B e llo n év o q u e p o u r lu i c h a q u e fo is q u ’il y p a s se l ’id é e de B e llo n e l a d ée sse d es c o m ­b a ts .. . ! C’e s t là ce q u i s ’a p p e lle so u f ­f r i r d ’u n ex c ès d ’é ru d i t io n . P o u r lu i. d it- il , il y a là u n a n a c h r o n is m e v io ­le n t . Il v o u d r a i t q u ’on l ’a p p e lle ru e K ello g ou de L o c a rn o . D e m ê m e , il p e n s e q u e la ru e d es C o rd e lie rs s e ra i t m ie u x d é n o m m é e E m ile C om bes, du n o m de c e t h o m m e p o li t iq u e q u i a c h a s sé to u s le s C o rd e lie rs de F ra n c e e t d e N a v a rre ... N os le c te u rs n o u s s a u ro n t g ré d e n e p a s le u r p r é s e n te r la l is te c o m p lè te d e s re m a n ie m e n ts a in s i en v isa g é s . M on c o r re s p o n d a n t, à q u i j ’e n v e u x u n p e u d ’a v o ir g a rd é l ’a n o n y m a t , s ’é lève j u s q u ’à des v u es p lu s g é n é ra le s d o n t il f a u t sa v o ir a p ­p r é c ie r la ju s te s s e . Il d é p lo re to u s ces b o u le v a rd s , to u s ces p o n ts A le x a n ­d re I II q u i r i s q u e n t de « c re u s e r le fo ssé » (s ic ) q u i n o u s sé p a re de la R u s s ie a c tu e lle . Il a m ie u x en c o re . S a u f à C a h o rs , sa v ille n a ta le , d it- il , to u te s ces a v e n u e s G a m b e tta s o n t a u ­jo u r d ’h u i h o r s de sa iso n . S a n s d o u te G a m b e tta f u t u n g r a n d h o m m e , il fu t

• l ’u n d es f o n d a te u r s d e la R é p u b liq u e , q u e lq u e p e u a n a c h r o n iq u e . A u fo n d , c ’é ta i t u n « h o m m e d e g u e r re ». N ’a- t- i l p a s q u i t t é P a r i s e n b a l lo n p o u r se r e n d r e à T o u rs a u x f in s d ’y o rg a n is e r

u n e d é fe n se d ite n a t io n a le , m a is q u i c o û ta d es flo ts de sa n g . M ieu x in s p iré é ta i t en so m m e ce m a ré c h a l B a za in e qu i, u n p eu a u p a ra v a n t , a v a it a m ç n é so n a rm é e so u s M etz e t la l iv ra a u x A l­le m a n d s to u t e n t iè re s a n s c o u p f é r i r p o u r é v ite r d ’in u t i le s m a s s a c re s . S an s d o u te , il f a i t f ig u re de t r a î t r e e t fu t c o n d a m n é à m o r t. .. A u fo n d , c’é ta i t u n d e v a n c ie r , u n p r é c u r s e u r , u n s in ­cè re a m i de la p a ix , u n in c o m p r is .

***

V oilà où l ’e x c e s s if d é s ir d ’ê tre to u t à^ t a i t à la p a g e c o n d u i t u n h o m m e d a i l le u rs in s t r u i t . Il n e m a n q u e r a i t p lu s q u ’u n e m u n ic ip a l i té se m î t en tê te d y s a t is f a i re ! Ce s e ra i t u n b ea u b a z a r . I I .ç p a c i f i s t e e s t l o i n d ’ê t r e to u ­j o u r s p a c if iq u e . C’e s t p o u r q u o i il es t p r é fé ra b le n e n e p o in t le m ê le r au x ch o ses de l ’U rb a n is m e . L ’U rb a n ité a to u t à g a g n e r . P lu s sa g es s o n t a s s u ­r é m e n t c e u x q u i s ’in s p i r a n t d e la lo in ta in e e t p a is ib le h is to ir e lo ca le , — p a is ib le p a rc e q u e lo in ta in e , — n o u s c o n s e il le ra ie n t de b a p t is e r n o s ru e s n o u v e lle s de n o m s g ra c ie u x co m m e eeRii. de G é ra rd de N e rv a l e t de sou h é ro ïn e , S y lv ie , o u b ie n e n c o re d u n o m de H é ré d ia , d o n t le v ie u x S a in t- V in c e n t f it u n f r a n ç a is , ou de ce lu i en c o re d e « ce b o n ab b é P ré v o s t », d o n t u n e p lu m e lo c a le v ie n t de n o u s c o n te r la vie e t q u i m o u r u t si p rè s d ’ic i.

A cô té de ce la , le s d é n o m in a t io n s g é o g ra p h iq u e s a in s i q u ’o n l ’a r e m a r ­q u é , g a r d e n t é g a le m e n t le u r p r ix p a r ces te m p s de to u r is m e in te n s e e t il n ’y a u r a i t a u c u n e d if f ic u lté à ce q u e n o u s a y o n s u n e r u e d u V a lo is , m o n c o r r e s p o n d a n t p r é f é r e r a i t s a n s d o u te la r u e de V a lo is . Il f a u d r a i t v e ille r à l ’o r th o g ra p h e s u r ce p o in t , s i T on n e v o u la it p a s q u e la su b ti le p o li t iq u e se r é in t r o d u is î t s u b re p t ic e m e n t d a n s la q u e s tio n .

N o u s n e p la id o n s c e r ta in e m e n t p a s ic i iinL*ra*ise. D u r e s te il n ’y a n i p r o ­cès à p la id e r , n i c a u se à g a g n e r . N o u s v iv o n s e n u n p a y s de c la i r b o n se n s e t de p o lite s se e x q u ise o ù l ’u r b a n i té n ’e s t p a s e n p é r il . N o u s so m m e s c o n ­v a in c u q u e lo r s q u ’il s ’a g i r a d e d é ­n o m m e r u n e a r tè r e n o u v e lle , to u s les h a b i ta n t s de l ’e n d r o i t r iv a l is e r o n t de p ré v e n a n c e s p o u r n e p a s im p o s e r à le u rs v o is in s u n e a p p e l la t io n q u i n ’a u ­r a ie n t p a s le u r s su ffra g e s , e t p o u r ne p a s a f fu b le r le u r p e t i te v ille de g ra n d s n o m s p r é te n t ie u x . Ce s e ra là " p o u r to u s u n e o c c a s io n a sse z r a r e e t p a r t i ­c u l iè re m e n t choisie» d ’e x e rc e r la p o ­l i te s se a u d é t r im e n t de la p o lit iq u e .

Il n e s a u r a i t ê t re q u e s tio n p o u r a u ­t a n t d e s ’in c r u s te r d a n s le p a s sé . De g r a n d s n o m s a p p a r a is s e n t jo u r n e l le ­m e n t q u i s o n t p e u t - ê tr e d ig n e s q u ’on le s h o n o re . M ais il f a u t e n ê tre to u t à f a i t sû r . P o u r q u ’ils e n t r e n t d a n s l ’H is to ire , ces n o m s , il n e s u f f i t p a s de le s y m e ttr e , il f a u t q u ’ils s ’y in s ­c r iv e n t c o m m e d ’e u x -m ê m e s . ‘A lo rs n o u s i ro n s le s y p r e n d r e p o u r e n h o ­n o r e r n o s r u e s e t n o s b o u le v a rd s .

S u r ce p o in t co m m e s u r t a n t d ’a u ­tre s , il f a u t é v i te r la p r é v e n tio n e t la p r é c ip i ta t io n e t c o m m e le d is a i t ce d ip lo m a te il e s t u rg e n t d ’a t te n d r e .

ACes v u e s s o n t c ro y o n s -n o u s celles-

là m ê m e d o n t s ’in s p i r e n o tr e M u n i­c ip a li té e t p u is q u ’o n n o u s d e m a n d e d ’a v o ir « u n e p o li t iq u e m u n ic ip a le », on v o u d ra b ie n a d m e t t r e q u e c ’en est u n e q u e de le s p a r ta g e r .

A. Ch e n e t .

L’aiigmentaiion de l'impôt sur le revenu e t les nouvelles taxes

des P. T. T.

Assurances Sociales La violette dans roise

Union Départementale de l’Oisedes Anciens Mobilisés de la Guerre

1914-1918

U n G ro u p e de D é fen se des A n c ie n s M o b ilisés v ie n t d ’ê tre c o n s titu é à la C h a m b re des D ép u té s p o u r a t te in d re le s o b je c tifs é ta b lis p a r la C o n fé d é ra ­tio n G é n é ra le des A n c ie n s M o b ilisés n o n d é te n te u rs de la C a rte d u C om ­b a t ta n t .

L es m e m b re s de l’U n io n D é p a rte ­m e n ta le de TO ise, p a r le u r a d h é s io n a u x s ta tu ts de T,Union, so n t d ire c te ­m e n t a ff ilié s à la C o n fé d é ra tio n G éné­ra le , ou f ig u re n t en b o n n e p la c e a u C om ité C e n tra l, M. L av ille , le p ré s id e n t s i a c t if de T U n ion e t p lu s ie u r s m e m ­b re s d u g ro u p e de TO ise.

R e n s e ig n e m e n ts a u S e c ré ta r ia t Gé­n é ra l de T U nion , 13, r u e de R ouen , à B e a u v a is . T im b re p o u r ré p o n se .

Les votes des projets financiersL ’E X A M E N D E S A R T IC L E S

N o u s p u b lie ro n s d a n s n o ire p ro c h a in n u m é r o le s vo te s des d é p u té s de l’O ise co n c e rn a n t ce lte q u e s tio n .

Election au Conseil GénéralD im a n c h e d e rn ie r , M . G asto n B o u ­

la n g e r , m a ire d ’A u th e u il-P o r te s , r é p u ­b lic a in in d é p e n d a n t a é té é lu p a r 921 v o ix c o n tre M. S enez , m a ire de R e s ­se n s , r a d ic a l-so c ia l is te , 783 vo ix , co n ­se ille r g é n é ra l d u c a n to n de R e sso n s - su r-M a tz .

Le bon se n s Ta e m p o rté s u r te ca rte !.

l i 'é le e tlo ü de f î . B o u la ü g e rD u P ro g rè s de l’O ise, so u s la s ig n a ­

tu re de M. M e rm e t :

« U n e c a n d id a tu re c o m m e ce lle de M. G asto n B o u la n g e r n ’a u r a i t p a s dû ê tre d isc u té e .

M. B o u la n g e r, d é s ire u x de se c o n sa ­c re r e n t iè re m e n t a u x in s t itu tio n s de p ro g rè s so c ia l e t de d é fe n se ag rico le , a v a it te n u , d u ra n t to u te sa . v ie , à d e­m e u re r à l’é c a r t des lu tte s p o lit iq u es . L o rsq u e la m o r t de son re g re tté p è re n é c e s s ita u n e é lec tio n d a n s le c a n to n de R e sso n s , n o u s a v o n s im m é d ia te ­m e n t p e n s é q u e M. G asto n B o u la n g e r d ev a it ê tre c a n d id a t e t d e v a it ê tre élu . N o u s a v io n s v u d a n s sa c a n d id a tu re u n m o y e n de ré a l is e r T u n io n e n tre F r a n ­ç a is a y a n t à fa ir e p ré v a lo ir d es in té - rê te s c o m m u n s , en d e h o rs de to u te s le s su b ti lité s de la p o lit iq u e .

L o y a le m e n t, av ec u n d é s in té re s s e ­m e n t ab so lu , n o u s a v o n s te n d u la m a in à n o s a d v e rs a ire s d ’h ie r j N ous le u r a v o n s d e m a n d é de s ’u n ir à n o u s s u r le n o m de M. B o u la n g e r, en d e h o rs de tou te p ré o c c u p a tio n p o lit iq u e .

« O ig n ez v ila in , il v o u s p o in d ra », d it u n v ie u x p ro v e rb e .

A n o tre g es te f r a n c et g é n é re u x , on a ré p o n d u p a r la v io len ce . On a o p p o ­sé le p o in g à n o tre m a in te n d u e . A n o tre a p p e l à T u n io n , on a ré p o n d u p a r d e s c r is de h a in e .

On n o u s a d o n c m is d a n s la n é c e s ­s ité de b a ta i l le r e t de v a in c re .

T a n t p is p o u r c e u x q u i, p a r le u r s tu ­p id e a v e u g le m e n t, fo n t a u jo u r d ’h u i fi­g u re de v a in c u s . Il n e te n a i t q u ’à e u x a ’4 tre aaanciés a u jo u r d ’h u i a u euenèa »,

La loi te n d an t au rétafclissemeçt de l’équ ilib re b u d g é ta ire a été prom ulguée au Journal O fficiel.

Nous croyons devoir pu b lie r le texte co n c ern an t les « rcam énagem enta fis­caux » et celui co n c e rn an t les nûuvUuix ta rifs postaux et té léphoniques.

R E AMENA CEM ENTS FISCA UM

Art. 7. — La taxe de 18 %, é tab lij p a r ­le p rem ier a linéa de T artic le 8 de ja loi du 26 av ril 1930 su r le revenu dej va­leurs é trangères non abandonnées, 'ainsi que su r les titre s de ren tes, em prunts et au tres effets pub lics des gouvernem ents é trangers, est lixée à 20 %. sans décimes

AjU. 8 . L 'a r t i c le !> d e la lo i d u 26 avril 1930 est abrogé.

Art. 9. — L’a r tic le 83 des lois codi­fiées re la tives aux im pôts cédu la ires et à l’im pôt général su r le revenu (décret du 15 octobre 1926), m odifié p a r Tarticle 2 de la loi du 30 décem bre 1928, est rem ­placé p a r les d ispositions suivantes :

« P o u r le calcul de l’im pôt, toute frac­tion du revenu in fé rie u re à 1.000 francs' est négligée.

« L ’im pôt est calculé en app liquan t au m ontan t du revenu taxable , après défal­cation des déduc tions p révues à Tarti­cle 8 ci-dessus de la som m e de 10.000 fran cs to ta lem en t exonérée, le taux qui lu i co rresp o n d d ’ap rès le barèm e ci- ap rès :

« 10 R evenu taxab le ne dépassan t pas10.000 fran cs : 1,50 %.

« 2° R evenu taxab le supérieu r à10.000 francs, m ais ne dépassan t pas25.000 fra n cs : 1,5 à 3 %', avec progres­sion de 10 cen tièm es p a r 1.000 francs ;

« 3 “ R evenu taxab le supérieu r à25.000 francs, m ais ne dépassan t pas75.000 fran cs : 3 à 7 %, avec progression de 8 cen tièm es p a r 1.000 francs ;

« f ” R evenu taxab le supérieu r à75.000 francs, m ais ne dépassan t pas175.000 fran cs : 7 à 13 %, avec p ro ­gression de 6 cen tièm es p a r 1.000 fr. ;

« 5° R evenu taxab le supérieu r à175.000 francs, m ais ne dépassan t pas400 .000 f r a n c s : 13 à 22 a v e c p r o ­g re s s io n d e 4 c e n t iè m e s p a r l.OOo c , ,

« 6° Revenu taxab le su p é rieu r à400.000 fran cs, m ais ne dépassan t pas800.000 fran cs : 22 à 30 %', avec p ro ­gression de 2 centièm es p a r 1.000 fr. ;

« 7“ R evenu taxab le supérieu r à800.000 fran cs, m ais ne dépassant pas1.800.000 fra n cs : 30 à 40 %, avec p ro ­gression de 1 cen tièm e p a r 1.000 fr. ;

« 8° R evenu taxab le su p /r ie u r à1.800.000 fran cs : 40 %.

« L ’im pôt a in si ca lculé ne supporte pas le double décim e étab li p a r la loi du 22 m ars 1924. »

L E S NOUVEAUX T AR IE S DE P. T. T.

TARIFS POSTAUX

(Régime in té rieu r , re la tio n s franco-co loniales et in terco lon ia les)

L — Cartes postales illustrées :

Cartes posta les illu strées don t l’ensem ­ble du verso est occupé p a r une illustra­tion ou gravure, à l ’exclusion de toute au tre an n o ta tio n m anuscrite , lo rsqu’elles p o rten t au recto u n iquem en t la date, la s igna tu re , l ’ad resse de l’ex p éd iteu r et c inq m ots au plus de co rrespondance :0 fr. 20.

II. -— D roits fix e s de recom m andation :a) L e t t r e s , p a q u e ts , c lo s , c a r te s p o s ta ­

les o rd in a ire s et ca rtes posta les illus­trées affranch ies à 0 fr. 40, envois de va­leu rs déc larées et enveloppes de valeurs à rec o u v re r : 1 fr. 25.

b) Objets a ffranch is à ta r if réd u it :0 fr. 75.

TARIFS TÉLÉPHONIQUES

I. — C onversations locales (taxe u n i­ta ire de jo u r et de n u it) : 0 fr. 50.

IL — C onversations subu rbaines et conversations échangées en tre réseaux lim itro p h es (taxe u n ita ire de jo u r et de n u it) : 1 franc.

III. — C onversations in te ru rb a in es échangées :

E n tre réseaux ap p a rten a n t à un même can ton , à des can tons dont les chefs- lieux son t d istan ts à vol d ’oiseau de 25 k ilom ètres au p lus ou en tre réseaux re ­liés p a r des lignes té léphoniques d irec ­tes dont la longueur to ta le réelle ne d é ­passe pas 25 k ilom ètres (taxe u n ita ire ):1 fr. 50.

E n tre réseaux a p p a rten a n t à des can ­tons don t les chefs-lieux sont d istan ts à vol d ’oiseau de 25 à 50 kilom ètres (tax un ita ire ) : 2 francs.

E n tre réseaux a p p a rten a n t à des can­tons don t les chefs-lieux sont distants à vol d ’oiseau de 50 à 100 k ilom ètres (taxe u n ita ire ) : 3 francs.

A l’in té r ie u r d ’un départem en t, excep­tion faite des co n v e rsa tio n s fa isa n t l ’ob­je t des p a ra g ra p h es p récéd en ts (taxe u n ita ire : 3 francs.

IV. — C onversations in te ru rb a in es en­tre réseaux de départem en ts différents (à l’exception des conversations visées en II et III) :

D’après la d is tan ce à vol d ’oiseau dq^ chef-lieu de d épartem en t à chef-lieu de départem en t :

Ju sq u ’à 100 k ilom ètres :T axe u n ita ire : 5 francs.E n tre 100 et 300 k ilom ètres :5 fran cs p o u r les 100 p rem iers kilom è­

tres, plus 1 franc p a r 100 kilom ètres ou fraction de 100 k ilom ètres en excédent.

Les d ép a rtem en ts de la Seine et de Seine-et-Oise sont considérés , pou r l 'a p ­p lica tion des taxes in te rdépartem en tales, com m e fo rm an t un seul départem ent ayan t p o u r chef-lieu P aris .

V. C onversations in te rb u rb a in es o r­d in a ires échangées p en d an t les heures de nu it :

Taxe u n ita ire fixée à la m oitié de la taxe dw jour (fiyee irùntttinm de i fr, 50),

■ E n co n s id é ra tio n des n o m b re u se s d e ­m a n d e s de re n s e ig n e m e n ts fo rm é e s en Hi m a tiè re , il es t r a p p e lé a u x t r ib u ta i ­re s de la loi, qu e d é s o rm a is p o u r av o ir d ro it ou o u v rir d ro it a u x p re s ta tio n s eu n a tu re et en a rg e n t, l ’a s s u ré d e v ra avo ir co tisé GO jo u r s p e n d a n t le tr im e s - tfe civ il p ré c é d a n t ce lu i de la m a la d ie . E x c e p tio n n e lle m en t, ta n t q u e l ’a s s u ré n ’a u ra p a s été im m a tr ic u lé d u r a n t u n tr im e s tre c iv il e n tie r , le d ro it a u x p re s ­ta tio n s lu i s e ra a c q u is s ’il a co tisé GO jo u rs p e n d a n t le s tro is m o is p ré c é d a n t lu m ois de la m a la d ie .

■ yG-'S m e su re s e n tré e s en a p p lic a tio n p re m ie r a v r il 1932 o n t en o u tre su p -

f f im é la p o ss ib ilité p o u r l ’a s s u ré d ’in - fe q û e r au x lieu e t p la c e des GO co lisa - t i ln s jo u rn a l iè re s ex ig ib le s d a n s le t r i-

Tùesh'e c iv i l p ré c é d a n t la m a la d ie , le y t i s o m c à t de 2 4 0 c o l i s a l i o u s d u r a n t le su /m o is a n té r ie u r s r|U n e a u tre m o d ific a tio n im p o r ta n te f t ce lle q u i se ra p p o r te à la ju s t i f ic a ­tion de se s d ro its p a r l ’a s s u ré : à la fin 00 c h a q u e tr im e s tre , le s a s s u ré s d e ­v ront re c e v o ir de le u r e m p lo y e u r , le récép issé d é ta c h é de la c a r te ou du léu ille t p é r im é e t ce s e ra le ré c é p is s é d u d e rn ie r fe u il le t t r im e s tr ie l ex ig ib le q o i ju s t if ie ra d u m o n ta n t d es c o tisa ­tions v e rsé e s d u r a n t le t r im e s tr e p r é ­céd an t la m a la d ie . L ’a tte s ta tio n d e l 'e m p lo y e u r n e d e v ra d o n c se c o n c e ­voir q u ’a u cas où l ’a s s u ré n e p o u r ra p ro d u ire le ta lo n ré c é p is s é du d e rn ie r feu ille t p é r im é .

H va s a n s d ire q u e le s in d ic a tio n s de v e rse m e n ts p o r té s s u r le d it ré c é p is s é en g a g e n t la re s p o n s a b ili té u l té r ie u re de l’e m p lo y e u r ou de l ’a s s u ré e t qu e les C aisses s e ra ie n t fo n d ée s à p o u rs u iv re p o u r f a u x la p e rso n n e q u i a u r a i t s c ie m m e n t fa it u sa g e ou p e rm is de fa ire u sa g e d ’u n ré c é p is s é e n ta c h é d ’ir ­ré g u la r i té q u a n t a u m o n ta n t d es v e r ­se m e n ts y in d iq u é s .

L’O I S E A L’H O N N E U R

■ j. A 'nW fm teur des T e m p s N o u v e a u x a co n sae fé q u e lq u e s p a g e s a u g ra v e p ro - b lèm è de la n a ta l i té en F ra n c e ; p a rm i le s é lém e n ts fa v o ra b le s et le s b e a u x ex em p les , q u i c o n tr ib u e n t à a m é lio re r la s itu a tio n où se d é b a t t r is te m e n t n o ­tre pays,’ ce tte p u b lic a tio n r a p p e lle q u ’il fa u t, n o n se u le m e n t e n c o u ra g e r les n a is sa n c e s , m a is s a u v e r d ’a b o rd ce u x q u i n a is se n t, e t e lle c ite n o tre d é­p a r te m e n t en ces te rm e s :

« D an s VOise, la m o r ta lité des n o u r ­r is so n s a été ré d u ite des 3 /4 p a r des m e s u re s a p p ro p r ié e s . Le m é rite p r in ­c ip a l en re v ie n t à M. L u d g e r Collet, D irec teu r de l ’O ffice D é p a r te m e n ta l d ’h y g iè n e . M. G eorges R is le r , p ré s id e n t du M u sée so c ia l, a p ro p o sé le d é p a r ­te m e n t de l ’O ise en e x e m p le à to u s les p ré fe ts de F ra n c e .

« S i les a u tre s d é p a r te m e n ts s u i­v a ie n t l ’e x e m p le de VOise, 40.000 là50.000 b é b é s de m o in s d ’u n a n s e ra ie n t sa u v é s c h a q u e a n n é e ».

E t M. H u b e r t L e m a in e , r é d a c te u r de cet a r tic le , c o n c lu t a in s i :

« L a F ra n c e e s t tro p p a u v re en h o m ­m es p o u r la is s e r l ’ig n o ra n c e e t la ro u - i in e d é c im e r ses e n fa n ts à le u r n a i s ­s a n c e ».

R é p u b liq u e F ra n ça ise

P R E F E C T U R E DU D E P A R T E M E N T D E L ’O IS E

CANAL DU NORD

i Le je u d i 18 a o û t 1932, à 15 h e u re s , il s e ra p ro cé d é , à la P ré fe c tu re de TOise, à l ’a d ju d ic a tio n p u b l i q u e ^ d es t r a v a u x c i-a p rè s d é s ig n é s :

A ch è v em e n t du p o n t à ta b l ie r m é ta l­liq u e s itu é a u p o in t 27 k. 7G4 d u C a n a l du N ord e t d o n n a n t p a s s a g e a u c h e m in de g ra n d e c o m m u n ic a tio n n° 146 :D ép en ses à l ’e n t r e p r i s e . . . 298.043 30 S o m m e à v a lo ir 31.956 70

T o ta l 330.000 00C a u tio n n e m e n t p ro v iso ire . 5.000 00C a u tio n n e m e n t d é f in i t i f . . 10.000 00

On p e u t p re n d re c o n n a is s a n c e des p ièces du p ro je t, to u s le s jo u r s o u v ra ­b le s :, 1“ D an s les b u re a u x de la P ré fe c tu - j e . 3° d iv is io n , 1” b u re a u , de 9 h e u re s à f q id i e t de 14 h e u re s à 17 h e u re s ;

2° D a n s le s b u re a u x de M. IT n g é- o ieur O rd in a ire des P o n ts e t C h a u s- sees, 8, ru e de l ’E g lise S a in t-G e rm a in , a G om piègne, de 9 h e u re s à m id i e t de ü h e u re s à 17 h e u re s .

Ces c a n d id a ts à l ’a d ju d ic a tio n d o i­ven t p ré s e n te r les p iè ce s ré g le m e n ta i- '’es, d a n s les d é la is p re s c r i ts p a r T a f- hehe d ’a d ju d ic a tio n , à M. S oleil, I n g é ­n ie u r en C hef des P o n ts e t C h a u ssé es , N eue d e l ’E g lise S a in t-G erm a in l, à G om piègne.

U n p ro g ra m m e so m m a ire , r é s u m a n t 1 o b je t de l ’e n tre p r is e , la d e s c r ip tio n des t r a v a u x e t le u r e s tim a tio n , s e ra envoyé a u x e n tre p re n e u r s e t a u x p e r ­so n n e s in té re s s é e s q u i en fe ro n t la d e ­m a n d e à M. l ’In g é n ie u r O rd in a ire de 1 a r ro n d is s e m e n t de C o m p ièg n e du S erv ice de la n a v ig a tio n e n lro la B el- BKioe et P a r i Si

î

Sont nom m és : .

O ffic iers de l’In stru c tio n P ublique

MM.

C anioni Juste , d ire c te u r de l’In s tru c ­tion départem en ta le de Cem puis.

B rém ard N arcisse, in s titu te u r h o n o ra i­re à Pont-Lévêque.

D elarg illière D ésiré, d ire c te u r ho n o ­ra ire d ’école à Beauvais.

Mlle D ebraine M arie, d ire c tr ic e d ’é­cole h o n o ra ire à Beauvais.

M. D u p arcq F e rd in an d , in s titu te u r re ­tra ité à Broyés.

Mlle Legros B lanche, d ire c tr ic e d ’éco­le à Senlis.

M. H erch in Georges, in s titu te u r hono ­ra ire à Chaum ont-en-V exin.

M. H en ry -d ’O llières F e rd in an d , p ro ­fesseur au collège de O e rm o n t.

Mme H u e t M a r ia , i n s t i t u t r i c e r e t r a i ­té e à G r a n d v i l i i e r s ,

Mme Villon Adèle, p ro fesseu r au lycée Jeanne-H achette à B eauvais.

Mme Rousselle Z arita , p ro fesseu r au lycée Jeanne-H achette à Beauvais.

O ffic iers d ’académ ieMme C apton M arie, d ire c tr ic e d ’école

à V erberie .Mme D evarenne Louise, d ire c tr ic e d ’é­

cole pub lique à A ndreville.Mme D am ville M arie, d ire c tr ic e d ’é­

cole pub lique à Méru.Mme W eissenbu rger Jeanne , in stitu

tr ic e d ’école publique à Noyon.Mme F ieben H enrie tte , d ire c tr ic e d ’é­

cole pub lique à M ontataire .Mme L aruelle M arie, d ire c tr ic e d ’école

pub lique à E squennoy.Mlle G régoire B lanche, d ire c tr ic e d ’é

cole à M ontataire.Mme P a ris Aimée, in s titu tr ic e retraitée

à V illeneuve-sur-V erberie.Mlle F o rtin E m ilienne , d ire c tr ic e d ’é­

cole à R ibécau rt.

MM. !Cibeau A ntoine, su rv e illan t général à

l’In stitu tio n d ép a rtem en ta le Georges- P révost, à Cem puis.

L em aire Eugène, d irec teu r d ’école pu ­blique à V enette.

G enaille G aston, d ire c te u r d ’école pu ­blique à Beauvais.

D elarue V ictor, in s titu te u r re tra ité à Tesse-la-M adeleine.

D echelotte Paul, censeu r du lycée de Beauvais. J

D anju Eugène, in s titu te u r re tra ité à B oullarre.

B ourdon Amédée, in s titu te u r pub lic à Beauvais.

D evillers Louis, in s titu te u r pub lic à Achy.

G obert Gustave, d irec teu r d ’école p u ­b lique à Saint-Just-des-M arais.

D elaforge H enri, in s titu te u r re tra ité à S érifon taine .

C aron E ugène, in s titu te u r p u b lic à R ocquencourt.

Dielormel C harles, in s titu te u r re tra ité à Catenoy.

F rév ille Clém ent, in s titu te u r re tra ité à B reteuil.

H elstein Jules, in s titu te u r p u b lic à Heilles.

G illot Lucien, agent com ptab le à la M anufacture nationale de Beauvais.

G uillot Léon, in s titu te u r re tra ité à St- Om er-en-Chaussée.

G ra tio Louis, p ro fe sseu r techn ique à l ’école p ra tiq u e de com m erce et d ’in d u s­tr ie de Beauvais.

Biais Joseph, in s titu te u r re tra ité à M ontreuil-sur-IBrèche.

G eudelin H enri, in s titu te u r en re tra ite à G randv illiers .

G ribelot Octave, in s titu te u r à Ther- donne.

D acquet A lphonse, économ e de l 'In s ­titu tio n départem en ta le G abrie l-P révost à Cem puis.

D ieu tegard D ésiré, d ire c te u r d ’école à Beauvais.

D elagneau A ndré, p ro fesseu r, chargé de la sous-d irec tion p ra tiq u e du com ­m erce et de l’in d u s trie à Beauvais.

Mullot V ictor, in s titu te u r à Beauvais.P illon V ictor, in s titu te u r à T roussen-

court.N acroux H enri, p ro fesseu r au collège

de Com piègne.Noé R ené, in s titu te u r à Tracy-le-M ont.P e rro n n e t P aul, in s titu te u r à F itz-Ja-

mes.T h u illie r A rsène, in s titu te u r re tra ité à

S arnois.Sailly H en ri, in s titu te u r h o n o ra ire à

G randv illiers.

Le nombre des Automobiles dans l’OiseL ’O ffic ie l p u b lié u n e s ta tis t iq u e des

v é h ic u le s im p o s é s e t d u p ro d u it de l ’im p ô t p e n d a n t T an n é e f in a n c iè re 1931-1932.

N o u s re le v o n s p o u r le d é p a r te m e n t de TO ise :

A u to m o b ile s s e rv a n t a u t r a n s p o r t d es p e rs o n n e s : 14.275 (de m o in s de 9 a n s ) ; 1.424 (de p lu s de 9 a n s ) .

A u to m o b ile s s e rv a n t a u t r a n s p o r t des m a rc h a n d is e s : 4.315 (de m o in s d e 9 a n s ) ; 1.992 (de p lu s de 9 a n s ).

A u to m o b ile s à g a z o g è n e : 8 (de m o in s de 9 a n s ).

C y c le ca rs : 261 (de m o in s de 9 a n s ) ; 22 (de p lu s de 9 a n s ).

N o m b re de m o to c y c le tte s : 7.459.N o m b re de b a te a u x a u to m o b ile s de

p la is a n c e : 18.P ro d u it de T im p ô t p e n d a n t le s douze

p re m ie r s m o is d e T ex e rc ice 1931-1932 : | 11.842.362 f ra n c s .

P ro d u it de T im p ô t p e n d a n t la p é r io ­de c o m p lé m e n ta ire : 253.969 f ra n c s .

P ro d u it to ta l d e T im p ô t : 12;096;331, francB>it

TRIBUNE LIBRELes beautés de l’Administration

A la su ite d e s g ra n d s p ro je ts q u i o n t été d ép o sés , d isc u té s , a n n u lé s , e t r e p r is p a r n o s lé g is la te u rs , p o u r e s sa y e r de p o r te r re m è d e a u défic it de n o s f in a n ­ces, c ro y e z -v o u s c h e rs c o n tr ib u a b le s q u ’il en so it so r ti q u e lq u e chose de b ie n o rd o n n é ?

V o u s en se rie z b ie n é to n n é s ?... m o i a u s s i.

P o u r a u jo u rd ’h u i, ne re te n o n s q u ’u n e chose.

D ans l ’A d m in is tra tio n des P o s te s , c h a n g e m e n t de ta r i f .

L e ttre re c o m m a n d é e , c a r te p o sta le , etc...

L a p ré c a u tio n la p lu s é lé m e n ta ire a u r a i t été d ’en p ré v e n ir te p u b lic d a n s c h a q u e ré g io n . Les jo u r n a u x n ’a u r a ie n t p a s j 'e iu sé d ’in d iq u e r a u x m o n to n s ... de p a y a n ts q u ’à la d a te du... il y a u r a i t lieu de fa ir e a t te n tio n à ces m o d if ic a ­tio n s .

M ais , p a s d u tou t, l ’a d m in is t ra t io n im p o se ces s u rc h a rg e s s a n s c r ie r g a re et u n b e a u m a tin le s f a c te u rs p a r te n t p o u r le u rs d is t r ib u t io n s en in f lig e a n t (p a r o rd re ) d es a m e n d e s à to u s ce u x d o n t les a m is en v illé g ia tu ré a v a ie n t eu la b o n n e id é e d ’en v o y e r le u r b o n jo u r .

E lo ig n o n s de to u te c r it iq u e R ece­v eu rs , f a c te u rs , fo n c tio n n a ire s s u b a l­te rn e s q u i so n t les p re m ie rs e n n u y é s de ces tr a c a s s e r ie s et q u i o n t été o b li­g és de sé v ir, p e u t-ê tre m ê m e a v a n t d ’av o ir eu c o m m u n ic a tio n de la c irc u ­la ire o ffic ie lle .

M ais cro y ez-v o u s q u e to u s ces so u s - m in is tre s , ces g ra n d s p o te n ta ts ou ces R é d a c te u rs a u x m in is tè re s q u i p r e n ­n en t, de h a u t, to u te s ces d éc is io n s , n e m é r i te n t p a s d ’ê tre c o u ro n n é s de le u r ro n d de c u ir a u t i t re d u m é rite civ il.

O n p a r le de r é fo rm e s a d m in is t r a t i ­ves e t de s im p lif ic a tio n s , m a is c ro y ez- vous q u e si Ton co n su lte ces m ê m e s p e rs o n n a g e s il p u is s e s o r t ir q u e lq u e ch o se de p ra t iq u e ?

Q uelle be lle v ic to ire l ’A d m in is tra tio n des P . T . T . v ie n t de r e m p o r te r s u r le p u b lic !

D e s c e n t a i n e s e t t i c s c e n t a i n e s d e s u r ta x e s .

E t d a n s les b u re a u x des G ra n d e s D i­re c tio n s d es P o ste s , ces M e ss ie u rs , to u ­jo u r s d a n s l ’in té rê t du T ré so r , so n t o b ­sé d és p a r l ’a p p l ic a tio n m a la d ro ite des n o u v e a u x rè g le m e n ts = T IM B R E — T IM B R E — T IM B R E =

Ces m o ts fa t id iq u e s d a n s e n t d e v a n t le u rs y e u x et ils a r r iv e n t in c o n s c ie m ­m e n t p a r le u r m a la d re s s e à p o se r s u r la d e rn iè re le ttre de ces tro is m o ts : u n s im p le a c c e n t a ig u .

U n o b litéré en su r ta xe .

UNE DATE A R E T E N I R

L ’a u lo m o b ile -C lu b de T H e -d è -F ra n c e et le S y n d ic a t d ’in it ia t iv e de C o m p iè­g n e o rg a n is e n t p o u r le d im a n c h e 24 ju il le t , u p e jo u rn é e au tom ob ile , >de C om piègne .

Cette m a n ife s ta t io n , q u i a p o u r b u t de fa ir e c o n n a ître a u x p a r t ic ip a n ts le s b e a u té s de ce lte p a r tie de l ’I le -d e - F ra n c e , c o m p re n d ra d e u x é p re u v e s o r ig in a le s .

Celle du m a tin (d é p a r t C h a n til ly 8 h e u re s 45), a p p e lé e R a lly e -Q u e s tio n ­n a ire , c o n s is te ra à r é p o n d re à u n q u e s ­tio n n a ire d ’o rd re a u to m o b ile e t to u r is - t iq u é j P o u r r é p o n d re u ti le m e n t a u x q u e s tio n s , les c o n c u r re n ts d e v ro n t c ir ­c u le r e n tre C h a n tilly e t C o m p ièg n e d a n s u n e zone f ig u ra n t s u r la c a r te M ic h e lin (fe u ille 56) e t d o n t le s lim ite s s e ro n t in d iq u é e s a u m o m e n t d u d é ­p a r t.

L ’é p re u v e de T a p rè s -m id i (d é p a r t C o m p ièg n e 14 h e u re s 45), a p p e lé e R a l­ly e -F o re s tie r ) , c o n s is te ra d a n s la r e ­c h e rc h e do c o m m is s a ire s d is s im in é s d a n s la fo rê t de C o m p ièg n e , e t ceci d a n s u n te m p s d é te rm in é . L a zone d a n s la q u e lle s e ro n t d is s im in é s les c o m m is s a ire s s e ra in d iq u é e a u m o m e n t d u d é p a r t.

Ces d e u x é p re u v es , q u i o n t c o n n u u n g r a n d su c c è s en 1931, n e so n t n u lle ­m e n t des co n c o u rs de v ite sse , m a is u n e p ro m e n a d e o r ig in a le do tée en p lu s de n o m b re u x p r ix .

L es p a r t ic ip a n ts p e u v e n t p re n d re p a r t à T une ou à l ’a u t re é p re u v e ou a u x d e u x e n s e m b le à le u r cho ix .

Le p ro g ra m m e de la J o u rn é e A u to ­m o b ile de C o m p ièg n e p e rm e ttr a a u x p a r t ic ip a n ts de v is i te r in d iv id u e lle ­m e n t ■ ou p a r g ro u p e s le s n o m b re u x m o n u m e n ts q u i so n t la p a r u r e de C om ­p iè g n e .

La fê te des 8. A. G. da l’OiseA C L E R M O N T

M e rc re d i d e rn ie r , le s p a r le m e n ta ir e s de T O ise se so n t r e n d u s a u p r è s de M. M a rc o m b e s , s o u s -se c ré ta ire d ’E ta t à l ’E d u c a tio n P h y s iq u e , p o u r lu i d e ­m a n d e r de p ré s id e r la fê te d es S. A.G. de TO ise, à C le rm o n t, le 31 ju i l le t p ro c h a in . M. M a rc o m b e s a ac ce p té .

P O L I T t C AR ez'ue mensuelle d*initiation à la vie politique

10 rue C hardin, P a r is (XVI®)

Page 2: les tfoeptso» d’avis conlrairea It’Urbanisme et la ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1932_07_24_MRC.pdf · bien de sa tâche, gardons-nous de la Jiu conïpUqu'er par

A t r a v e r s

P h a r m a c i e o u v e r t e :Dimanche 14 f u til et. - M. Morcrctte, place

t’e la Halle, «g +■ ____ _______

Petite Chronique• _____

SEIMLIS pendant t tftvasioo de 18 S 5

(Suite)Ijos A,LUTïisnLtl.s *io 4014. o n t roppoclié

à M. O d e n t , l e u r v i c t i m e , de n ’a v o i r p a s f a i t a f f ic h e r u n av is s e m b la b le ; en ré a lité l’a p p e l a v a it été la n c é d a n s la p o p u la tio n e t le d é p ô t e ffec tu é à la m a ir ie .

S i en 1815 le s e n n e m is se m o n tra ie n t m o in s s a n g u in a i re s , la tâ c h e n ’é ta it pas* c e p e n d a n t p lu s fa c ile e t p lu s douce p o u r le m a ire de S e n lis et ses a d jo in ts ; ils a v a ie n t à ré s o u d re u n p ro b lè m e a s se z m a la is é : S e rv ir et c o n te n te r d eu x m a îtr e s à la fo is ; le ro i de F ra n c e et le ro i de P ru s s e .

P o u r c a lm e r le s s u s c e p tib ili té s du p r e m ie r : S e n lis lu i d é p ê c h a les d e u x a d re s s e s c h a p r è s :

« Sire,« V o tre m a je s té a p e rm is à c h a c u n e

« d es a u th o rifé s de la v ille de S e n lis « de lu i p ré s e n te r se s h o m m a g e s re s - « p e c tu e u x lo rsq u e c e tte v ille à eu le « b o n h e u r de v o u s p o ssé d e r . A u jo u r - « d ’h u i, ces m ê m e s a u to r i té s ré u n ie s « p a rc e q u ’e lles n ’o n t q u ’u n m ê m e «. se n tim e n t, p a rc e q u ’e lles n e fo rm e n t « q u ’u n se u l vœ u é p ro u v a n t le b eso in « d ’o ffrir à S a M a je s té le u r dév o u e- « m e n t c o m m u n à le u r p e r s o n n e a u - v g u ste .

« V eu illez b ie n . S ire , l ’a g ré e r . Q ue « n e p o u v o n s -n o u s r é u n ir a in s i to u s « les f ra n ç a is so u s les y e u x des p u is - « s a n c e s a llié e s ,

« Ces h a u te s p u is s a n c e s y tro u v e - « r a ie n t u n fa is c e a u de l ’a m o u r de to u s « vos b o n s e t f id è les s u je ts , de to u s « c e u x q u i c o n s titu e n t e s se n tie lle m e n t « l ’E ta t. L es s o u v e ra in s a l lié s y v e r- « r a ie n t de p lu s la r e c o n n a is s a n c e de «, la N a tio n p o u r c e u x q u i se m o n - « tre f it s i g r a n d s e t si g é n é re u x ».

L e s a u to r ité s c iv ile s de S e n l is .

(S u iv e n t le s s ig n a tu re s : B oitel, D u- fré n o y , C h ré tien , V. T u rq u e t, m a ire , H erb e t, D u p u is , a d jo in ts , P ie r ru t de B o u rn e v ilte , D’E sc a d illa c , M oquet, cu ré , D erv illé , De L a b ru y è re , D eb ray , P a n - n e tie r , L ero u x , C h a m p io n , B ro isse , Cor- ’b ie , M a u p in , B laeh e).

C’es t M . de W a r u q u i d u t p o r te r ce tte a d re s se à R oye où se tro u v a i t a lo rs le R oi. L ’a c c u sé de ré c e p tio n fu t fa i t p a r le d u c de L u x e m b o u rg .

V o ic i u n e a u tre a d re s s e : « S ire : « T o u jo u rs fidèle a son ro i, la v ille de « S e n lis v ie n t d é p o se r a u x p ie d s de « v o tre m a je s té l ’a s s u ra n c e de son « re s p e c tu e u x d é v o u e m e n t e t le co rp s « m u n ic ip a l se fé lic ite d ’ê tre l ’o rg a n e « de ses h a b i ta n ts a u p r è s de v o tre a u - « g u s te p e rs o n n e do n t la p ré s e n c e v a « de n o u v e a u r e n d re à la F ra n c e la «. p a ix e t le B o n h eu r.

« N o u s so m m e s av ec le p lu s p ro fo n d « re sp e c t, S ire , de V o tre M a jes té , les « t r è s h u m b le s , t r è s o b é is sa n ts se rv i- « le u rs e t fidè les s u je ts »•.

V T u rq u e t, m a ir e ;D u p u is , a d jo in t.

Ces a s s u ra n c e s de lo y a lism e é ta n t d o n n ée s , les in fo r tu n é s a d m in is t r a ­te u rs n ’a l la ie n t g u è re c o n n a ître de r é ­p it, m ê m e p o u r p o u v o ir s e rv ir le Roi. L a jo u rn é e d u 3 ju i l le t e s t p a r t ic u l iè ­r e m e n t s ig n ific a tiv e à ce t é g a rd ; n o u s a llo n s v o ir su c c e s s iv e m e n t to u t le C o u r­r ie r q u e le M a ire e u t à d é p o u ille r ce jo u r - l à e t to u te s le s m e s u re s q u ’il e u t à p re n d re .

Le ro i se d ir ig e a it v e rs la C a p ita le : p a s s a n t à S e n lis en f o u r r ie r p ré c é d a n t L o u is X V III, le co m te A n g leo n la is s e a u m a ire le m o t s u iv a n t é c r it à la h â te a u dos m ê m e d ’u n p a p ie r à le ttre de la M a irie de S en lis ,

M o n s ie u r le M a ire ,

; « S. M. le ro i de F ra n c e , se s m in is tr e s« e t le s p e rs o n n e s de s a m a is o n de- « v a n t se r e n d re in c e s s a m m e n t à S e n - « lis e t c o n t in u e r v ra is e m b la b le m e n t « le u r ro u te p e u d ’in s ta n s a p rè s le u r « a rr iv é e , j ’a i lie u de c ra in d re q u e le u, se rv ic e d e la p o s te n e p u is s e ê tre fa i t « av ec cé lé rité , il m e p a r a î t in d is p e n - « sa b le de p re n d r e s u r le c h a m p des « m e s u re s p o u r q u e le s c h e v a u x des « p o ste s de la ro u te de C le rm o n t, de « C h a n tilly , etc..., so ie n t s u r le c h a m p « d ir ig é s s u r S e n lis avec le n o m b re de « p o s tillo n s n é c e s sa ire s . L es c irc o n s - « ta n c e s u rg e n te s d a n s le sq u e lle s on « se tro u v e n e p e rm e tte n t p a s de su i- « v re le s fo rm e s o rd in a i re s e t d ’a t te n - «, d re des o rd re s de l ’a d m in is t ra t io n « c e n tra le e t le b ie n d u se rv ic e de S.« M. m ’e n g a g e à v o u s p r ie r de p re n d re « d es m e s u re s p o u r t r ip le r le n o m b re <f. des c h e v a u x de la p o ste de S e n lis en « f a is a n t u n e ré q u is i tio n a u x m a îtr e s d des p o s te s v o is in e s ».

L e C o n se il ' d ’E ta t a u C onseil du Roi,D ire c te u r p ro v iso ire de la p o lic e :

C om té A n g léo n .

A u m ê m e m o m e n t l ’in te n d a n t p r u s ­s ie n de l ’a r ro n d is s e m e n t d e S e n lis , l ’in te n d a n t H in tz , f a is a i t p a rv e n ir a u M a ire ce tte le ttre :

M o n s ieu r ,

« J e vo u s a i in v ité p lu s ie u r s fo is de « m ’e n v o y e r to u s le s m a tin s tro is h o m - « m e s q u i m e se rv iro n t d ’o rd o n n a n c e ;« j u s q u ’ic i v o u s n ’avez p a s en c o re <(. obéi à m e s o rd re s d o n n é s à ce t ég a rd ,« j e v o u s in v ite p a r c o n s é q u e n t p o u r « la d e rn iè re fo is de m ’e n v o y e r de « su ite ces tro is h o m m e s en q u e s tio n ,« si n o n , j e v o u s en r e n d r a i p e rs o n n e l- « le m e n t re sp o n sa b le . Ces h o m m e s doi- « v e n t r e s te r to u s le s jo u r s dès le m a - « tin ju s q u ’a u so ir .

« J ’a i I h o n n e u r de vo u s s a lu e r ».

C ette le ttre c o m m e p re s q u e to u te s le s a u tre s d o n t n o ü s p a r le ro n s ou q u e n o u s c ite ro n s p lu s lo in , é ta it fe rm é e d ’u n c a c h e t de c ire ro u g e p o r ta n t l ’A ig le de P ru s s e . Q u o iq u e s é p a ré e n d e u x f r a g ­m e n ts , ce c a c h e t e s t en c o re t r è s net.

Succès aux Examens YïW%"*Nous~ a v o n s te p la is i r d ’a p p re n d re q u e M lle M a rte -M a d e le in e C henet, tille de M. A n d ré C henet, n o tre d is t in g u é c o lla b o ra te u r , v ie n t de s u b ir av ec s u c ­cès, à B e a o v a is , le s d o u b le s é p re u v e s du B re v e t é lé m e n ta ire e t du B re v e t de l’E n s e ig n e m e n t P r im a ire S u p é r ie u r .

T o u te s n o s fé lic ita tio n s à la je u n e la u ré a te , à sa fa m ille , à M lle M ich au t, la si d év o u ée d ire c tr ic e , a in s i q u ’a u x e x c e lle n ts p ro fe s s e u r s de l ’In s titu t io n N o tre -D a m e de la V ic to ire .

L e C ourrier de l’O ise.

Dans l’EnseignementD a n s le s p ro m o tio n s v io le tte s que

n o u s p u b lio n s d ’a u tre p a r t , n o u s re le ­v o n s le nom. de M lle L eg ros, d ire c tr ic e de l ’éco le des filles de la ru e de B e a u - v a is , q u i e s t n o m m é e O ffic ie r de l’In s ­tru c tio n P u b liq u e .

N ous- lu i a d re s s o n s n o s s in c è re s f é ­lic ita tio n ^ .

♦--------

Dans l’AdministrationM. C om bes d o n t n o u s a v o n s a n n o n c é

la n o m in a tio n c o m m e s o u s -p ré fe t de P ro v in s v ie n t d ’ê tre à n o u v e a u m u té .

Il e s t n o m m é s o u s -p ré fe t de P é ro n n e .

Fondation Paisant-ChanoveP a r d o n a tio n en d a té d u 8 oc to b re

1930, la f a m ille P a is a n t-C h a n o v e a d is ­p o sé q u ’une s o m m e a n n u e lle s e ra i t a f ­fec tée a u s é jo u r à la m e r , à la m o n ­ta g n e ou à la c a m p a g n e , d ’u n e n fa n t a p p a r te n a n t à u n e f a m ille m é r i ta n te d o m ic iliée à S e n lis e t d o n t l ’é ta t de s a n té n é c e s s i te ra ce s é jo u r .

Le M a ire in v ite e n c o n s é q u e n c e le s f a m ille s q u i r e m p l is s e n t le s eo n d i t io n s re q u ise s p a r les d o n a te u rs e t q u i d é s ire ra ie n t p ro fite r des a v a n ta g e s de la fo n d a tio n en 1932, à se f a i r e in s c r i re a u S e c ré ta r ia t de la M a irie , a v a n t le 30 ju il le t .

S e n lis , le 10 ju i l le t 1932.L e M aire ,

F . L ouât.

Médaille d’Honneur des Sapeurs-Pompiers

L a M é d a ille et le d ip lô m e d ’h o n n e u r o n t été a c c o rd é s a u x S a p e u r s - P o m p ie r s d o n t le s n o m s s u iv e n t p o u r se rv ic es e x c e p tio n n e ls .

A r r o n d is s e m e n t d e S e n l isM M .

P o rte b o is , c a p ita in e à C reil.C h a u sso n J .-B ., s e rg e n t à P o n tp o in t. B az in L ou is , s a p e u r à E rm e n o n v ille . B a z in B asile , c a p o ra l à E rm e n o n v il le . B ouché E m ile , c a p o ra l à C h a n tilly . B ouc le tte A n th im e , s a p e u r à G ou v ieu x L ebel C o n s tan t, c a p o ra l à S a in t-L e u -

d ’E sse re n t.G aty E d m o n d , s a p e u r à S a in t-L e u -

d ’E sse re n t,T a rc y M a u ric e , c a p o ra l à C h a m a n t. M e ig n a n G eorges, l ie u te n a n t à V ille rs -

S a in t-G e n e s t.R oger O ctave, c a p o ra l- fo u r r ie r , à V il-

le rs -S a in t-G e n e s t.V in c e n t G eorges, à V ille rs -S a in t-G e -

n es t.N os fé lic ita tio n s .

Ecole Libre des GarçonsL a d is tr ib u t io n des p r ix d e l ’école

lib re des g a rç o n s a u r a lie u d e m a in d i­m a n c h e 24 ju i l le t , à 14 h e u re s 30, sa lle des O E uvres, ru e d u C im e tiè re S a in t- R ieu l, so u s la p ré s id e n c e de M. le ch a n o in e . D u p u is , a r c h ip rê tr e de S en lis .

jp a re n ts et A m is d es éco les l ib re s so n t c o rd ia le m e n t in v ité s à ce tte c é ré ­m on ie .

Tribunal de CommerceA u d ie n c e s de v a c a tio n s

9 aoû t, 23 aoû t, 6 se p te m b re , 20 se p ­te m b re , à n e u f h e u re s 30 d u m a tin .

[A su iv re ) .F . LO U A T.

Justice de Paix (civile)A u d ie n c e s de v a c a tio n s

12 ao û t, 20 ao û t, 9 s e p te m b re , 23 se p ­te m b re , à 9 h e u re s d u m a tin .

Ancienne Maison Fouqué-M ouret

f l e u r y S u c c e s s e u r1 3 -1 5 , rue de l’A p p o rt-a u -P a in

SENLIS'W

G h o r u s s u r e j - B o n n e t e r i e

A C ! T TJ E2L3L, E ftÆ E iN T

S O L D E S

Deux nouveaux romans

7143

o e i¥). Victor GoedorpL a C h ro n iq u e de la S o c ié té des G ens

de L e ttr e s a n n o n c e q u e n o tre a m i M. V ic to r G oedorp v a p u b l ie r p ro c h a in e ­m e n t d a n s le P e tit J o u r n a l u n n o u v e a u ro m a n q u i a p o u r t i t r e L e V ertig e d u P a ssé et, d a n s le J o u rn a l, u n e a u tre oeuvre, l’A llé e des S o u p ir s . C es ro m a n s p a r a î t r o n t e n s u ite en v o lu m e . N u l d o u ­te q u ’ils n ’o b tie n n e n t le su c c è s q u i a a c c u e ill i S e u l so u s la T erre d o n t l ’a c ­t i o n t o u t e n t i è r e s e d é r o u le , o n l e s a i t , à S en lis .

Bientôt le Concours des Fenêtres et Balcons fleuris I

H a b ita n ts , n o u s v o u s r a p p e lo n s q u e fin a o û t p ro c h a in , la S o cié té d ’H o rti- c u ltu re o rg a n is e u n g r a n d co n c o u rs de fe n ê tre s e t b a lc o n s fleu ris .

N o u s c ro y o n s sa v o ir q u e b e a u c o u p de n o s co n c ito y e n s e t en p a r t ic u l ie r de c o m m e rç a n ts de n o s p r in c ip a le s ru e s e t p la c e s o n t p r is le u rs d isp o s itio n s p o u r r iv a l is e r à q h i m ie u x m ie u x d a n s ce g e n re d e d é c o ra tio n s flo ra les.

S i to u s les c o m m e rç a n ts et h a b i ta n ts le v e u le n t, la jo u rn é e d u c o n c o u rs a m è ­n e r a à S e n lis u n e fo u le c o n s id é ra b le .

H a b ita n ts ! N ’a tte n d e z p a s a u d e r­n ie r m o m e n t p o u r vo u s p ré o c c u p e r de ce tte m a n ife s ta t io n flo ra le . A g issez dès m a in te n a n t.

Musique MunicipaleN ous r a p p e lo n s q u e c’e s t-c e so ir s a ­

m e d i 23 ju i l le t q u ’a lie u le C oncert o l îe r t p a r la M u siq u e M u n ic ip a le à ses M e m b re s h o n o ra ire s , d a n s le p a rc q,, l ’a n c ie n n e S o u s -P ré fe c tu re (ou en c a j de m a u v a is te m p s à S a in t-P ie r re ) ave,’ le co n c o u rs de :

M lle Y an e M ichel , so p ra n o d ’O péra- c o m iq u e et de la G aîté L y riq u e .

M lle C lau d e M artiiel , du T héâtre A n to in e .

M. R a y m o n d D o r e n l o t , té n o r. <}e l ’O p éra de M o n te -C arlo .

M. J e a n Devém y , co r solo de l ’0 |e ra C om ique , de la G ard e R ép u b lica in e e t d es C o n c erts L a m o u re u x .

Le fa n ta is is te L ionel, a s s is té d ’L e_ lyno , de l ’E m p ire .

M lle G i l b e r t e D à r l è s , p ia n is te aie- c o m p a g n a te u r , la u ré a te d u C onserva­to ire .

A jo u to n s q u e l ’o rg a n isa tio n a r tis ti­q u e d e l’im p re s a r io M a u ric e D harlay , e t le co n c o u rs de M. J e a n D evém y, g r a n d a m i de la M u siq u e M un ic ipa le e t b ie n c o n n u d e s S en lis ie n s , a s su re n t le su c c è s de ce lte so irée de gala.

T ou te personne soucieusede ses intérêts em ploie le

S e rv ic e l a p id e J e c r e a i e r

H . P R O TS a régu larité , sa célérité, ses p r ix

norm aux en fo n t le p lu s p ra tiqu e et le plus économ ique des m oyens de transports

■ <r »a<— ' ■

Comptez sur lui comme sur vous-même

(V o ir annonce en 6 e page)

Fête de la Place Lanavit 2 3 , 2 4 et 2 5 Juillet

S a m e d i 23, à 21 h e u re s : R E T R A IT E A U X FLAMBEAUX»,. -

avec le C o n co u rs de la C lique d es S a p e u r s -P o m p ie i l

I t in é ra i r e : ru e s de l a C o n tre sc a rje , b o u le v a rd P a s te u r , ru e de B eauyafs, r u e L éon F a tr tra t, de la Poulaillerie^ p la c e L an a v it.

22 h e u re s : G R A N D B A L G R A T U IT D im a n c h e 24, à 14 h e u re s ;

(( F E T E F O R A IN E )) M a n è g e d e c h e v a u x de bo is, confiserie

t ir , etc...15 h e u re s :

E x e rc ic e s p a r le R é v e il do S e n lis s o u s fa d ire c tio n d e M. G rim bert.

10 h e u re s 15 :M A T C H D E B A S K E T T -B A L L

p a r la S ec tio n A* P a tro n a g e de l ’Ecole P u b liq u e d G arço n s de S en lis .

21 h e u re s : G RAND B A L G R A T U ITL u n d i 25, à 15 h e u re s :

D is tr ib u tio n s et J e u x p o u r le s e n fa n ts 21 h e u re s : B A L

Le C om ité d éc lin e to u te re sp o n sa b i­lité p o u r les a c c id e n ts p o u v a n t su rv e ­n ir a u c o u rs e t à l ’o cc as io n de la fête.

L e C om ité.

C O N F ISE R IEflu Due de Saint-Simon

SEIMLIS, 4 4 , place de la HalleT é l é p h o n e 324

b i s c u i t t e f i i h : C hoco la ts - B onbons - P e tit Beurre LU.

Spécialités pour cBaptêmes

Fête de Villevert les 6 , 7 et 8 Août 1932

— « P r o g r a m m e »— *

S a m e d i 0 a o û t, à 21 h. 30 O u ve r tu re de la F ête . — I l lu m in a tio n s L a R e tra ite a u x F la m b e a u x es t s u p ­

p r im é e en s ig n e de d eu il à la m é m o i­r e d u re g re tté S e rg e n t-M a jo r c la iro n H az a rd .

- G ra n d M a n èg e de c h e v a u x sa u te u rs - ------------------- j ir C o n f i s e r i e ------------- --

D im a n c h e 7 ao û t, à p a r t i r de 14 h . 30 G R A N D E F E T E F O R A IN E « JE U X i>

= || C O N C E R T || = p a r la F a n f a r e d ’A p re m o n t A 21 h. 30 : B a l de N u it

so u s la te n te de M m e T h ie u xP a r q u e t c iré — Ja z z

L u n d i 8 ao û t « C o n tin u a tio n de la F ête »

JE U X D IV E R S p o u r je u n e s g e n s e t je u n e s filles

J e u x de L a n te rn e , je u x de B ougie, je u x de la P o êle , c o u rse s en S ac, co u rse s a u B a q u e t,

D is tr ib u tio n s de fr ia n d is e s et to u r de m a n è g e g ra tu it a u x e n fa n ts

A 20 h e u re s 45 :CO M B A T D E B O X E en 6 ro u n d s M arce l J a b in co n tre P a u l D ebellu

G eorges B a ig n e a u x co n tre G. Ja n tz e n Ce c o m b a t m e tta n t a u x p r ise s d eux

b o n s b o x e u rs p ro m e t d ’ê tre trè s in ­té re s sa n t.

A 21 h e u re s 30 :G R A N D B A L D E N U IT —- J A Z Z D es g e rb e s de f le u rs se ro n t d is t r i­

b u é e s a u x m e ille u rs d a n s e u rs . — U ne q u ê te s e ra fa ite a u p ro fit des Ecoles,

Le C om ité p r ie in s ta m m e n t le public de v e n ir n o m b re u x à la fê te de V ille-v e r t où il ^ tro u v e ra a u d éb it W alle t, b o isso n s , p â tisse ries* ra f ra îc h is s e m e n ts de p re m ie r ch o ix e t où le m e ille u r ac- cue ii le u r s e ra ré se rv é .

D es s in c è re s r e m e rc ie m e n ts son t a d re s s é s p a r le C om ité a u x g é n é reu x d o n a te u rs p o u r la fê te .

L es h a b i ta n ts de V ille v e r t so n t p r ié s de se jo in d re en g ra n d n o m b re a u Co­m ité de la fê te p o u r se r e n d re le d i­m a n c h e 7 ao û t, a u c im e tiè re d ép o ser u n e g e rb e s u r la to m b e d u re g re tté S e rg e n t-m a jo r c la iro n H a z a rd . -— Dé­p a r t de chez M . W a l le t à 9 h e u re s 30.

L es P o m p ie rs p a r m a rq u e de s y m p a ­th ie e t en so u v e n ir de le u r re g re tté ch e f e t c a m a ra d e , se jo in d ro n t a u co rtège a u x E au x , à lu h e u re s .

U nion des S o c ié té s de T ir d e F ra n ce

Grand Concours de Tirsu Stand du ftldntauban

o u v e r t a u P u b lic L ES D IM A N C H ES 17, 24 JU IL L E T

& 7, 14 A O U T 1932 de 8 h e u re s à 12 h e u re s

e t d e 14 h e u re s à 18 h e u re s . O rgan isé p a r la S ocié té de G y m n a s ti­

que « Le R éveil » de S e n lis (S. A. G. n° 5.959), l’A sso c ia tio n A m ic a le des A n c ien s E lèv es de l ’E co le P u b liq u e de G arço n s de S e n lis (S. A. G. n° 3.650), e t la S o c ié té d e P ré p a ra t io n M ilita ire de S e n lis (S . A. G. n°

^ 4:769}.

4 Le co n c o u rs de t i r a n n u e l s ’e s t o u ­vert d im a n c h e d e rn ie r a u s ta n d du -M ontauban.

M a lg ré le te m p s m a u s s a d e , ce lte p re - n Aère jo u rn é e a c o n n u l ’a c tiv ité d e s années p ré c é d e n te s . N ous e n d o n n o n s c i- te s so u s le c la s s e m e n t :

ARME DE GUERRE

A d u lte sVMM.

L Ib u b le t M arce l, 49 p o in ts .2. L a ttem a n d A lb ert, 42 p o in ts .3. Baron L u c ien , 41 p o in ts .4. R avcrdel M arce l, 40 p o in ts .5. F h ic a isn e M arce l, 36 p o in ts .

. U ./M inguet, 31 p o in ts .7. L u z u rie r C h arles , 28 p o in ts . S .jD evillers, 28 p o in ts . f i i l J e f q u in M au rice , 27 p o in ts .

10i M a ille R ay m o n d , 27 p o in ts .J e u n e s s e

1) B ra c q u e m o n d Ja c q u e s , 28 p o in ts , t i e n n e n t e n s u ite : L e v a s se u r J a c -

qmfc, D e la h ay e L o u is , L em aître R ené, B o i s R oger, R o u lan d K léb e r, etc.

CARABINE

(D am es)i. M m e R a v e rd e t M arce l, 88 p o in ts .

,•* 2 . M lle. R o u h a u d , 81 p o in ts .3. M lle G aron R e n ée , 77 p o in ts .■4. M m e D o u b le t M a r c e l , 7 6 p o i n t s .5. M ite C ar on L u c ien n e , 55 ymints.

A d u lte sM M .

1. D oub le t M a rc e l, 96 p o in ts .2. C aste lla P a u l , 94 p o in ts .3. L a lle m a n t, 94 p o in ts .4. V in c e n t G ilbert, 93 p o in ts .5. M a in g u e t, 92 p o in ts ,6. S im o n M a u ric e , 91 p o in ts .7. L ie fq u in M a u ric e , 90 p o in ts .8. R a v c rd e l M arce l, 90 p o in ts .9. D ep au x , 89 p o in ts .

10. C h ico isne , 86 p o in ts .V ie n n e n t e n s u ite : M M . G oqueret O.,

85 ; S a v o u re t R oger, 85 ; L u z u r ie r Ch., 84 ; R a m a n d M a u ric e ; 84 ; D u p le n n e G eorges, 83 ; De L a v a u lx , 82 ; N eveu Ja c q u e s , 82 ; G aron L u c ie n , 77 ; V al- lois L ou is, 75 ; G e rrh a rd t, 74.

J e u n e s s eMM.

J. L e m a ître R ené, 91 p o in ts .2. B o ris R oger, 82 p o in ts .3. R o u la n d K léb e r, 81 p o in ts .4. B ra c q u e m o n t J a c q u e s , 79 p o in ts .5. L e v a s se u r J a c q u e s , 77 p o in ts .(i. B lin L o u is , 73 p o in ts .V ie n n e n t e n s u ite : V a llo is P ie r re ,

S fiOffo r , G a r l i e r L o î t i s .

AD eu x ièm e jo u rn é e d u C o n c o u rs , D i­

m a n c h e 24 J u il le t , de 8 h e u re s à 12 h eu re s e t de 14 h e u re s à 20 h e u re s .

Rdllye-Âvlon c y c l i s t eN ous so m m es h e u re u x d ’a n n o n c e r

qu e le R a lly e A vion C ycliste q u i a u r a lieu à C le rm o n t le 31 ju i l le t p ro c h a in , à l ’o ccas io n de la fê te c o n c o u rs des S ocié tés S. A. G., c o m p o rte ra 23 t r è s b e a u x p r ix , te ls q u ’a p p a r e i ls de T . S. F ., ju m e lle s de cou rse , c h ro n o m è tre , r é ­veil, ^m o n tres de b u re a u , s ty lo s , c in q b a p tê m e s de l ’a ir , etc., o ffe rts p a r L e M atin , L e P e tit P a r is ie n , L ’A u to , L es M aiso n s H ac h e tte et B ra m p to n , l ’A éro - C lub de l ’O ise, etc...

Le d é p a r t es t fixé à 15 h e u re s , p la c e de la G are à C le rm o n t. C o n c en tra tio n à 14 h e u re s 3 /4 , à to u s C y c lis tes s a n s ex cep tio n . >

D ro it d ’in s c r ip tio n 3 f ra n c s , ch ez M M. Jo u in , cy c le s , r u e d ’A m ie n s à G ler- m o n t; D évigne, cyc les , ru e G am b e tta , à C reil ; C a ries , 95, ru e B o n v illie rs à N o- g e n t-su r-O ise .

♦--------

R O N D E DU V A L O IS

Compagnie ti’Arc du Montauban

Concours de Tir à l’Arcsu r C ib les A n g la is e s

LE D IM A N C H E 31 JU IL L E T 1932 de 8 h e u re s à, 17 h e u re s a u V élo d ro m e de S e n lis .

27 P r ix , s a v o ir : 1. 100 f ra n c s ; 2. 75 f ra n c s ; 3. 50 f ra n c s ; d u 4 a u 9 p r ix , 40 f ra n c s ; d u 10 a u 15, c h a c u n 30 fr. ; 16 a u 21, c h a c u n 25 f ra n c s ; d u 22 a u

.27, c h a c u n 20 f ra n c s .M e ss ie u rs les M e m b re s h o n o ra ire s et

a m is so n t in v ité s à v e n ir e n c o u ra g e r p a r le u r p ré se n c e , ce tte jo lie ré u n io n .

— E n tré e g ra tu i te —

Passage à Senlis de la Course du Cyclo-Club artésien

O n nous c o m m u n iq u e du C o m m issa ­r ia t :

La S o cié té d u C yc lo -C lub A rté s ie n , do n t le s ièg e so c ia l e s t à A rra s , o rg a n i­se p o u r le 31 ju i l le t p ro c h a in u n e c o u r­se cy c lis te s u r le p a rc o u rs P a r is -A r ra s .

L es n o m b re u x c o n c u r re n ts t r a v e rs e ­ro n t la v ille do S e n lis v e rs 10 h e u re s '20 e t s u iv ro n t l’i t in é ra ire s u iv a n t, fixé p a r la p o lic e :

R ue d u F a u b o u rg S a in t-M a r t in , ru e de P a r is , ru e d u G hâtel, p o r te S a in t- R ieu l, ru e du M o u lin -S a in t-R ie u l et le P o tea u .

Le se rv ic e d ’o rd re s e ra a s s u ré en la c irc o n s ta n c e p a r la po lice m u n ic ip a le , d a n s les c o n d itio n s h a b itu e lle s .

Course du Club Intercorporatif du Lundi de Paris

L a S ocié té du C lub in te rc o rp o ra tif du lu n d i de P a r is , o rg a n is e le lu n d i 25 ju i l le t p ro c h a in u n e co u rse c y c lis te s u r le p a rc o u rs P a r is -S e n lis , p a r C reil, et c o m p re n a n t 100 c o n c u rre n ts .

C eux-c i a r r iv e ro n t a u V é lo d ro m e de S en lis , à 11 h e u re s , p o in t te rm in u s de l ’ép reu v e .

Le se rv ice d ’o rd re se ra a s s u ré p a r la po lice m u n ic ip a le .

La Distribution des Prix à Saint-Vincent

L e C ourrier de l’O ise s ’e x c u se de n ’av o ir p u e n c o re r e n d r e c o m p te de ce tte c é ré m o n ie . Ce r e ta rd es t d û à p lu ­s ie u rs ra is o n s d o n t la p r in c ip a le est q u e ( 'O ffic e d u B a cc a la u ré a t n e s a it p lu s p a r q u e ls m o y e n s e m p ê c h e r le s f ra u d e s et l ’effe t des re c o m m a n d a tio n s ab u s iv e s d o n t so n t a c c a b lé s le s e x a m i­n a te u rs . I l s ’e s t d o n c im p o sé p o u r les tro is c la s se s de P re m iè re (A, A ’, B,) av ec p lu s de 8.500 c a n d id a ts e t de 34.000 cop iés, d ’é n o rm e s m a n ip u la tio n s , d o n t le b u t é ta it d ’e m p ê c h e r le s s c a n d a le s des a n n é e s p ré c é d e n te s , et d o n t le r é ­s u l ta t fu t de p ro lo n g e r le s d é la is d ’a t ­te n te , à te l p o in t q u e les a d m is s ib le s n e fu re n t c o n n u s ’q q e le 1-3 ju il le t . S t-V in - c e n t a la s a t is fa c tio n d e p o u v o ir d ire qu e ses r é s u l ta ts o n t é té b o n s , et q u e sa m o y e n n e d é p a s se de p lu s de 12 r% ce lle de l ’e n s e m b le de la F a c u l té . D iso n s-le en p a s s a n t : p o u rq u o i les c a n d id a ts et les p a r e n ts n e s ’a v is e n t- i ls p a s q u ’en f a u s s a n t les c o n d itio n s de l ’e x a m e n , ils fo n t p â t i r o u tre m e s u re to u s ceux , e x a ­m in a te u rs , p ro fe s se u rs , o rg a n is a te u rs et c a n d id a ts q u i v o u d ra ie n t b ie n ê tre lib é ré s p lu s tô t d ’u n e tâ c h e si lo n g u e et s i p é n ib le ?

L a _ D is tr ib u tio n des P r ix é ta it a n ­n o n cé e p o u r 10 h e u re s 15. M o n se ig n e u r l ’E v ê q u e a v a it te n u à la p ré s id e ) ' co m ­m e d ’h a b i tu d e , e t é ta it a r r iv é dès le m a tin avec M . le C h a n o in e G rison . S on E x ce lle n ce é ta it e n to u ré e de M. S o u a lle ,

. p ré s id e n t d e la S o cié té C iv ile ; de M. T e rrâ t, p ré s id e n t de l ’A sso c ia tio n des A n c ie n s é lèv es e t s u c c e s s e u r d u s i r e ­g re tté M. H otto t, e t d u p e rs o n n e l de la M aiso n . P lu s ie u r s n o ta b ili té s de la v ille a v a ie n t é té r e te n u e s p a r les f u n é ­ra i l le s d u C olonel C om te d e B ra u e r , e t n ’o n t p u , co m m e M. le C h a n o in e D u­p u is et M. L o u â t, m a ire de S en lis , q u ’a r r iv e r ta rd iv e m e n t, ou m ê m e a p rè s la c é rém o n ie , p o u r s a lu e r M o n se ig n e u r a v a n t son d é p a r t.

L e s p a r e n ts e t le s é lèv es é ta ie n t r é u ­n is d a n s la g ra n d e sa lle , q u a n d M. le P ré fe t des Etudes- c o m m e n ç a la le c tu re du p a lm a r è s : ce fu t p a r la lis te de 249 in sc r i ts a u ta b le a u d ’h o n n e u r ; r é s u l ta t g lo r ie u x p o u r le s d if fé re n te s d iv is io n s , q u e M o n se ig n e u r n e d e v a it p a s m a n ­q u e r de so u lig n e r .

E n s u ite M. le S u p é r ie u r p ro c la m a les g ra n d s P r ix fo n d é s p a r l ’A sso c ia tio n des A n c ie n s E lè v es r

L e P r ix d ’H o n n e u r , p a r ta g é ce tte a n ­n ée e n tre P ie r re B a rb r y et R e n é D e- m a rs ; le P r ix G. B resso n ( in s tru c tio n re lig ie u se ) , d é c e rn é à P . B a rb ry ; le P r ix A lb e r t B u d in (L e ttre s en P re m iè ­re), a t tr ib u é à M ich el C o ttreau ; e t le P r ix P a u l H e n rio t à F e rn a n d L e sg u il- lons.

E n fin le s m é d a il le s de v e rm e il o ffe r­te s p a r la C h a m b re de C o m m erce de B e a u v a is , à P ie r re G e rv a is (a lle m a n d ) e t à R a y m o n d M e u n ie r (a n g la is ) .

L es n o m s le p lu s so u v e n t e n te n d u s o n t été c e u x de P . B a rb ry , P . C aron , M. C o ttreau , S. M a h ieu x , L. C ousin , Y. B rq ss ie r , de Coux, B. F ra ig n e a u , R. M o in e au , A. P e rc h e ro n , F . F ra n c a r t , de C a rn é , R o m a n -A m a t, F o n ta in e , X. C ar­tie r , J . - B. F ra ig n e a u , P . V u ille re t, Y. B a h ic r, J . T e rm in e , J . R ic h a rd .

A l ’a r r iv é e d u t r a in de P a r is , la le c ­tu re a été in te r ro m p u e p a r les d isc o u rs t r a d i t io n n e ls .

M. le C h a n o in e D u b la n c h y -a le p r e ­m ie r p r is la p a ro le . E m p re s s o n s -n o u s de le d ire , co m m e M o n se ig n e u r d e v a it en fa ire la re m a rq u e , q u ’il a eu u n g r a n d m é rite , ce lu i d ’ê tre c o u rt, tr è s cou rt. C’es t p o u r c e la e t p a rc e q u e la fo rte sy n th è s e q u ’il a p ré s e n té e est d u n e e x trê m e im p o r ta n c e , q u e n o u s d e m a n d o n s la p e r rn is s io n de re p ro d u i re ic i à p e u p rè s to u t ce q u ’il a dit.

Q uand on se re to u rn e vers un passé vieux de 30 ou 40 ans avant la fin du siècle d e rn ie r, on est stupéfa it d e vo ir com bien peu les fam illes les p lu s re li­gieuses, et avec elles les m eilleu rs éd u c a­teu rs ch ré tien s — je ne c ra in s pas de nom m er ic i Mgr D upanloup lui-m êm e — dem an d a ien t à l’E d u ca tio n catho lique assu re r une ce rta in e p ra tiq u e ind iv i duelle, et to u t au m oins, ap rès un aban don auquel on se ré s ig n a it assez fac ile­m ent, un re to u r sa lu ta ire à T heure de la m ort.

E t cela venait de l ’idée qu ’on se fa i­sa it de la R eligion, tou te o rien tée vers l ’au tre vie sans g ran d e p o rtée su r la vif p résen te .

Ce que cette concep tion a p ro d u it nous la v o n s sous les yeux. La sé p a ra ­tion que nos ennem is ont voulue, ont votée, ont app liquée en h a ine de Dieu. C’est hélas dans les rangs C atholiques qu ’elle s ’est p rép a rée .

A y v o ir v iv re com m e on y v ivait, on £ cru q u e le C h r i s t ia n i s m e est sans v e r t i p o u r le tem ps p résen t. Le tem ps p résen t on l’a donc à peu p rè s abandonné à l'h o n n eu r. Dès lo rs les fausses doctrines se sont étab lies, les m œ urs se son t c o r ­rom pues, le sens m oral s ’est ob litéré, le m atéria lism e a tou t envah i et les c i r ­constances a idan t, a tou t bouleversé, tou t com prom is. C’est là que nous en som m es, et red isons-le , en g ran d e p a rtie p a r n o tre faute. 11 s’agit de re lev er tou­tes ces ru in es et d ’a ssu re r un aven ir m eilleur.

Si les causes de nos m aux sont les fausses doctrines, les m auvaises m œ urs, le cu lte de la m atiè re , il est év iden t que le rem ède ne peu t ê tre que dans le re ­tou r à la vérité à la m orale et, com m e d it Bergson, au règne de l’esp rit.

Où tro u v er la fo rce et le m oyen d ’opé­re r ce red ressem en t ?

Ni dans la vie sociale, où une Ecole de p lus en p lus nom breuse vou d ra it dé­co u v rir la no rm e de n o tre vie et la règle de nos devoirs. A b ien la co n s id ére r nous n ’y voyons, je l’ai d it l ’an d e rn ie r, que chacun m a ître de soi, de ses d es ti­nées, dès lo rs in cap ab le de fo n d re son action avec ce lle d ’au tru i p o u r p o u rsu i­vre un but com m un, cond ition in d isp en ­sable de l’o rd re et de la p a ix ; n i dans la sc ience, d o n t les p rog rès te ls qu ’on les co m p re n d a u jo u rd ’hu i * ne peuven t que m e ttre la m atiè re au-dessus de to u t; ni dans la ph ilo soph ie pu rem en t hu m ai­ne de no tre époque, qui n ’est qu ’un tis ­su de c o n tra d ic tio n s et un am as d ’incohé­ren ces ; ,ni dans les ag ita tions de la p o ­litique, don t nous consta tons l’im pu is­sance, so it au dedans, so it au dehors.

B ien de to u t cela ne peu t en ra y e r la m arch e fo ud royan te du m al, aggravé d ’une p a r t p a r la v io lence et l ’abus de la force, de l ’au tre p a r les excès des p a r tis rév o lu tio n n aire s , de p lus en plus pu issan ts.

Cherchez tan t que vous voudrez : vous ne trouverez r ien de pu rem en t hum ain qui pu isse a r rê te r et g u é rir le m al qui ravage l’hu m an ité en tière .

(Et c ’est le m om ent de nous rap p e le r que la vie fu tu re é tan t liée à la vie p ré ­sente com m e l’effet l ’est à la cause , la conséquence au p rin c ip e , N. S. n ’a vou­lu n o tre salu t et n o tre bo n h eu r q u ’à tra ­vers no tre vie m orte lle ; et que s’il es t le ro i un iverse l des siècles, il l ’est avan t to u t de celu i où nous somm es.

La g rande affaire de l ’hom m e est donc de v ivre ic i-bas conform ém ent à sa vo­

lon té et à ses desseins. E t la g ran d e af­fa ire de l’E ducation est, avec le p le in concours de l ’Eglise, de fo rm er nos jeu­nes gens à une vie ch ré tien n e b ien com ­p rise , capable de p ro d u ire dans tous les o rd re s les fru its a ttendus sans lesquels r ie n de fécond ne peu t ex ister.

E t d ’abord dans l ’o rd re in d iv id u el. A nos en fan ts d ’au jo u rd ’hui, il fau t a ssu re r une fo rte vie personnelle , cond ition de to u t le reste : avec un idéal de noblesse, des co n v ic tisn s justes et so lides, une vo­lon té ferm e et v igoureuse, avec tou tes les vertus qui assu ren t la p lén itu d e de son action .

D ans l’o rd re fam ilial. Nul n ’a le d ro it d ’ig n o re r l ’aba issem ent de la fam ille con tem pora ine .

N otre devo ir à nous est d ’a id e r les p a re n ts à re m p lir un rô le difficile et de p ré p a re r leu rs enfan ts, les adolescen ts (Faujourd’hui, à fon d er p lus ta rd des foyers stables, so lides et féconds. Cela ne se peu t que dans le p lan de l’Eglise.

D ans l’o rd re civique, p o u r ne pas d ire po litique, p u isq u ’on abuse fac ilem en t du m ot, nous devons fo rm er des citoyens capables d ’assum er toutes les charges et tous les devo irs de la vie publique : ce qui nous m pnque le p lus. Cela ne se peu t pas sans q u ’ils confo rm en t leu r vie to u t - en tiè re à la loi de l ’Eglise. Q u’on ne nous dise pas que les deux o rd re s sont séparés. C’est v ra i. Mais ce la n ’em pêche pas que tou t ce qui est hum ain est sou­m is aux règles de la m orale. E t que la g ran d e m aîtresse de la m orale est l ’E­glise.

D ans l ’o rd re social, qui ne peu t ex is­te r que p a r la justice et la ch a r ité , qui exige l’unùm des esp rits , des volontés, des ac tiv ités, — laquelle suppose to u ­jou rs un p lan qui ne p eu t v en ir que de l’Eglise.

Enfin dans l’o rdre in terna tiona l. P e r ­sonne n ’igno re les te rr ib le s difficultés d ’a u jo u rd ’hui, ni les; m enaces de tou te so rte qui en résu lten t. Si donc les n a ­tions ne vo ien t que ce qu ’elles considè­re n t com m e leu r in té rê t au m om ent p ré ­sent, elles ne peuven t que s’opposer dans des conflits sans fin, lesquels co n d u iro n t nécessairem ent p a r l ’audace d ’un côté, tous les abandons de l’au tre , aux p ire s ca tastrophes. Il fau t d o n c une au to rité m o r a le s u p é r i e u r e r e c o n n u e p a r to u s d’une m an ière suffisan te : c e l le de l’E ­glise.

On ne do u te ra it pas un seul in s tan t de l’im p o rtan te , de l ’im m ensité des desseins que D ieu veut réa lise r en ce m om ent p a r son Eglise, si l ’on co n s id éra it de quelle m an ière il la tra ite p o u r d o n n er à son ac tion l ’excep tionnelle valeu r qui lu i est nécessaire . E t p o u r nous b o rn e r à cela , exam inez ce q u ’a été la sé rie des c in q d e rn ie rs Papes, de P ie IX à P ie XI.

Il n ’y a r ien de sem blab le dans l ’h is­to ire de l ’E glise.

A nous d ’a p p o rte r à D ieu le concours hum ain sans lequel r ien ne se fe ra it.

Tous donc, ta n t que nous som m es, p a ­ren ts , m a îtres e t élèves, donnons-nous to u t en tie rs à l’œ uvre p o u r laquelle l ’E­glise nous est d’un si g ran d secours. Sui­vons le si courageux exem ple que nous donne no tre Evêque. E t ce la nous trac e n o tre devoir.

Com m ent ne pas d ire en te rm in an t que des deux façons d ’en ten d re le t r a ­vail sco laire , l ’u til ita ire et la d és in té res­sée, la n ô tre qui v ise à la cu ltu re , c ’est celle-ci qui s’harm o n ise le m ieux avec l’ac tion de l ’Eglise, et p a r conséquen t avec les in té rê ts su p é rieu rs du pays et de l ’hum an ité en tière.

M g r l ’E v êq u e s ’e s t 'a lo r s le v é ,/ e t c o m m e il s a i t le f a ir e , a la is s é p a r le r

■ to u t son c œ u r p o u r fa ire l ’éloge d e S t- V in c e n t, de se s m a ître s , d e se s élèves, de se s tra d i t io n s , d es se rv ic e s q u e r e n ­d e n t n o s a n c ie n s d a n s so n d iocèse . I l a b ie n v o u lu a f f irm e r to u s le s e s p o irs q u ’il fo n d e s u r le s je u n e s d ’a u jo u r ­d ’h u i. |

N o u s p r io n s S on E x ce lle n ce de tro u ­v e r ic i l ’h o m m a g e d ’u n e r e c o n n a is s a n - ôe q u i c ro ît avec les a n n é e s , e t av e c les té m o ig n a g e s de s y m p a th ie d o n t e lle n o u s com ble .

L ’o ra te u r a e n s u ite so u lig n é le s p o in ts e s se n tie ls d e ce q u i v e n a it d ’ê tre d it. I l le u r d o n n a i t a in s i un e v a le u r q u e n ’o u b lie ro n t ja m a is c e u x q u i o n t eu la b o n n e fo r tu n e de l ’e n te n d re .

A. D.

Association Amicale des Anciens Elèves de l’Ecole publique des Garçons de SenlisLe d im a n c h e 10 ju il le t , l ’A m ic a le des

A n c ie n s E lè v es d e l ’E co le P u b liq u e des G arço n s de S e n lis fit so n e x c u rs io n a n ­n u e lle à C a y e u x -su r-M e r. C en t m e m ­b re s h o n o ra ire s ou p a r t ic ip a n ts ré p o n ­d ire n t à l ’a p p e l d es o rg a n is a te u rs , et, u n p e u a v a n t 6 h e u re s d u m a tin , so u s u n c ie l e n c o re e n d o rm i e t b ru m e u x , tro is s u p e rb e s a u to -c a rs d e la S ta rn q u it ta ie n t S e n lis à la co n q u ê te d e la ro u te ...

« N ous f ra n c h is s o n s d ’ab o rd u n e r é ­g io n c o n n u e d es e x c u rs io n n is te s : C reil, C le rm o n t, B e a u v a is q u i c o m m e n ­c e n t le n te m e n t à s ’év e ille r. N o u s n o u s’ d ir ig e o n s e n s u ite v e rs M a rse ille -e n - B e au v a is is ... M ais le s e s to m a c s c r ie n t f a m in e !... C’e s t av ec jo ie q u e v ie u x et je u n e s so r te n t le ca sse -c ro û te q u a n d les c a r s s to p p e n t à G ra n d v ill ie rs . A p rè s u n e ’ d e m i-h e u re d ’a r rê t, il f a u t se r e ­m e ttre e n ro u te ; e t le convo i s ’é b ra n le à n o u v e a u . Le so le il, p o u r r a s s u r e r les e x c u rs io n n is te s , d é jà in q u ie ts de v o ir la b ru m e p a r tro p p e rs is ta n te , a p p a r a î t d a n s le c iel p u r e t c o m m e n c e à év e il­le r la je u n e s s e .

A u m ale ... N o u s vo ic i d a n s la S e in e - I n fé r ie u re . U n e m a g n if iq u e ro u te s ’o f- f re a u x a u to -c a rs ; ce n e s o n t q u e m é a n d re s e t v a l lo n n e m e n ts q u i c ré e n t de « d o u ce s s e n sa tio n s » e t la is s e n t é c h a p p e r q u e lq u e s c r is a u x o c c u p a n ts d es v o itu re s . N ous su iv o n s m a in te n a n t la v a llée de la B re s le s q u i p ro c u re a u xy e u x c u r ie u x de p it to re s q u e s s i te s .....G am ach es ... E u ... ! C’es t av ec u n e je u n e im p a tie n c e q u e b ie n des r e g a rd s s c ru ­te n t l ’h o rizo n p o u r d é c o u v r ir la « g r a n ­de v e rte ». E n fin , à u n d é to u r de la ro u te , le T ré p o r t e t se s f a la is e s se d e s­s in e n t d a n s le lo in ta in .

C h a n g e a n t de d ire c tio n , n o u s filonsv e rs le N ord , l a i s s a n t à n o t r e g -a u e h e le B ois de Cise, A u lt e t la p la g e d ’O n iv a l. A p rè s a v o ir re n c o n tré q u e lq u e s p e t i te s fe rm e s iso lées d a n s le u rs en c lo s , n o u s v o ilà a u b u t d e p u is s i lo n g te m p s a t ­te n d u ... C’es t C a y eu x e t se s d e rn iè re s v ie ille s m a is o n s de to rc h is a u x q u e lle s su c c è d e n t des m a is o n n e tte s p lu s co ­q u e tte s g a rd a n t c e p e n d a n t la m ê m e s im p lic ité ... L a p la c e C ourbet... l a m e r en tre v u e ... la H a lle a u x p o isso n s ... u n e o d e u r de m a ré e ... e t la c a ra v a n e s ’a r ­r ê te a u x c r is jo y e u x d es v o y a g e u rs d o n t le p r e m ie r r e g a rd e s t p o u r ce tte im m e n s i té q u i m iro ite a u so le il. I l e s t 10 h e u re s . L a b a n d e se d isp e rs e . C h a­cu n v a où son d é s ir le m è n e : le s u n s fo n t u n e p ro m e n a d e s u r le c h e m in de p la n c h e s , le s a u t re s s a u te n t le s m a re s , e s p é r a n t a t te in d re la m e r e n g a r d a n t les c h a u s s u re s . M a is il f a u t se m e ttre p ie d s n u s et u n b a in de p ie d s a v r a i ­m e n t d u c h a rm e . L es a p p a re i ls p h o ­to g ra p h iq u e s se b r a q u e n t s u r des

-v*

Page 3: les tfoeptso» d’avis conlrairea It’Urbanisme et la ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1932_07_24_MRC.pdf · bien de sa tâche, gardons-nous de la Jiu conïpUqu'er par

g ro u p e s p le in s de v ie e t de jo ie p o u r r e te n ir u n p e u de ces in s ta n ts a g ré a ­b le s , m a is qu i, h é la s ! f u ie n t tro p vite...

D é jà m id i. I l f a u t r e g a g n e r le bo rd .Ça e t là , u n g ro u p e re m o n te la co l­

lin e de g a le ts . L es u n s v o n t a u x p ro v i­s io n s , d ’a u tre s g a g n e n t q u e lq u e p e t i t r e s ta u r a n t q u i le u r a p ré p a ré , e n p le in a ir , u n e « d in e tte » p re s q u e d ig n e d ’u n G a rg a n tu a .

Le so ir a r r iv e b ie n v ite ... U n e p ro ­m e n a d e en m e r, u n e p a r t ie de p la is ir d a n s le s d u n e s de B rig h to n , u n e a s ­c e n s io n a u plisfre, u n b a in p ro lo n g é p o u r le s fe rv en ts ... il e s t d é jà 6 h e u re s . H é la s ! il f a u t r e g a g n e r les v o itu re s . L es c a rs s ’é b ra n le n t. T o u t le m o n d e a le so u r ire , c ’e s t la jo ie , la v ra ie jo ie q u i h a b ite to u s le s c œ u rs ; le s v ie u x e t le s j e u n e s b a t te n t à l ’u n i s s o n . O n c h a n t e , o n r i t , o n c r i e . . . o n s ’a m u s e .

U n d e rn ie r a d ie u à G ayeux e t n o u s v o ic i s u r la ro u te d u re to u r . N ous a p e rc e v o n s le C ro toy e t la b a ie de la S o m m e, n o u s t r a v e rs o n s S a in t-V a lé ry e t la ro u te d is p a ra î t d a n s u n n u a g e de p o u ss iè re . E n fin A bbev ille ... L es g o rg e s , c o m m e n c e n t à se d e s sé c h e r . O n a t- te n t avec im p a tie n c e le f a m e u x P ic - q u ig n y où le s to u r is te s ir ra s s a s ia b le s re c h e rc h e ro n t d éb its , b o u la n g e rs et c h a rc u tie r s . N o u s p o u rsu iv o n s n o tre c h e m in q u i n o u s c o n d u it à A m ie n s dont- la c a th é d ra le co m m e n c e à s ’e s ­to m p e r s u r le c iel du co u c h a n t. N ous c o u ro n s v e rs B re teu il... I l e s t d é jà ta rd e t le c a lm e se f a i t p e u à p eu . D es y e u x tro p tô t o u v e r ts , se la is s e n t a l le r u n in s ta n t a u d o u x so m m eil. L a n u it e s t là . G reil e s t a t te in t s a n s q u ’on s ’en a p e r ­çoive. O n e s c a la d e u n e . d e rn iè re côte et... v o ilà S en lis . Il e s t 10 h e u re s et d e­m ie . O n se q u itte tr è s c o rd ia le m e n t, e n c h a n té d ’u n e a u s s i b e lle e t b o n n e jo u rn é e et to u t p r ê t à re c o m m e n c e r T an p ro c h a in .

F é lic ita tio n s a u x o rg a n is a te u rs , a in s i q u ’a u p e rs o n n e l de la S ta rn q u i n o u s o n t p e rm is de fa ire u n e si a g ré a b le p ro m e n a d e ! »

E n G aieté.

Sport Vélocipédique SenlisienL a ré u n io n d é p a r te m e n ta le du 24

ju i l le t é ta n t r e m is e à u n e d a te u lté r ie u ­re en aoû t, l ’épreuve- de m a rc h e q u i é ta it in s c r i te a u p ro g ra m m e de ce tte ré u n io n es t d onc é g a le m e n t reportée ,, e lle s e ra a n n o n c é e en te m p s u tile d a n s la p re s se lo ca le e t le s c lu b s de m a rc h e en s e ro n t a v isé s p a r le ttre du c lu b o r ­g a n is a te u r .

A

S p o r t V é lo c ip é d iq u e S e n l is ie n L a ré u n io n m e n su e lle du S. V. S e n lis

est fixée a u s a m e d i 0 ao û t, à 21 h e u re s p ré c ise s , a u s iè g e de la S ocié té , C afé d u C o m m erce à S en lis .

S tè le C o m m é m o ra tiv e à la M é m o ire de M . T u rq u e t de la B oisser.ie, fo n d a te u r d u V é lo d ro m eS u r la p ro p o s itio n de M. D rocourt,

e t a p rè s L av is d u b u re a u e t de la f a ­m ille de M. T u rq u e t de la B o isse rie , TeS. V. S e n lis a d éc id é d ’é r ig e r a u V élo ­d ro m e u n e s tè le c o m m é m o ra tiv e en so u v e n ir de son re g re tté P ré s id e n t F o n ­d a te u r , M. T u rq u e t de la B o isse rie .

P o u r c o u v r ir le s f ra is de l ’o u v rag e , u n e s o u sc rip tio n e s t o u v erte e n tre to u s le s m e m b re s d u S. V. S en lis .

L es so m m e s su iv a n te s so n t d é jà en le s les m a in s du T ré so r ie r .

P re m iè re S o u ,scrip tio n S p o rt V é lo c ip é d iq u e S e n lis ie n M. M o rcre tte , p ré s id e n t d u S.

V. S. ........................................M . D em o in et, p ré s id e n t du

S y n d ic a t d ’in it ia t iv e ............M. A u d y , p ré s id e n t d ’h o n n e u r

du S. V. S .................................M . L eroy , v ic e -p ré s id e n t d u S.

V. S. .............................................M. B ollé, v ic e -p ré s id e n t d u S.

V. S ..................................................M. B a rd o u , c o n s e il le r m u n ic i­

p a l .................................................M. W a r u s fe l , c o n s e il le r g é n é ­

r a l ......................................M. G u ize lin , s e c ré ta ire d u S.

V. S ..................................................M. C héron , tr é s o r ie r - a d jo in t du

S. V. S ..........................................M. B riz iou , c a p ita in e de ro u teM . H o u le t ......................................M. B o n tem p s , c o m m issa ire a u

S. V. S ..........................................M. T a rc y A lfre d , e n t re p re n e u rM. P in s o n ......................................M. G arluy , bo is, S e n lis . . . .

200 fr.

50 fr.

50 fr.

50 fr.

50 fr .

20 fr .

30 fr.

25 fr .

20 fr.

10 fr. 10 fr. 25 fr.

20 fr. 20 fr . 10 fr . 10 fr.

T o ta l de la F 6 so u sc rip tio n 600 fr. L es so u sc r ip tio n s so n t re ç u e s p a r

MM. G ù ize lin , se c ré ta ire , 13, ru e de B e a u v a is et G aron , tr é so r ie r , B a n q u e de F ra n c e ,

C lub S p o r t i f In te rc o rp o ra ti f d u L u n d iL e c lu b s p o r t if in te rc o rp o ra tif du

L u n d i o rg a n is e lu n d i p ro c h a in 25 ju i l ­let, so u s le p a tro n a g e d u jo u r n a l L e Jo u rn a l, u n e co u rse o u v e r te à to u s les c o u re u rs l ib re s le L u n d i. C ette é p re u v e s e ra c o u ru e s u r le p a rc o u rs s u iv a n t : d é p a r t à 8 h e u re s à S u re sn e s , b a s de la cote, R ue il, G hatou , P o rt-M a rly , S t- G erm a in , P o n to ise , N e u illy -e n -T h e lle , G lerm on t, G reil, S en lis , a r r iv é e a u V é­lo d ro m e (d is ta n c e : 120 k ilo m è tre s ) , a r r iv é e p ré v u e a u v é lo d ro m e de S e n lis v e rs 10 h e u re s 30. 20 P r ix d o n t 1 vélo a u p re m ie r .

L ’a p rè s -m id i a u r o n t lie u a u V élo ­d ro m e de S e n lis p lu s ie u r s é p re u v e s c y ­c lis te s , p é d e s tre s et sp o r t g a i. M a tch O m n iu m e n tre 5 S e n lis ie n s et 5 C ou­r e u r s du C lub d u L u n d i. In d iv id u e lle , C ourse é l im in a tio n .

A 15 h e u re s : co u rse s p é d e s tre s , 200 m è tre s , 1.000 m è tre s , 3.000 m è tre s .

A -16 h e u re s : S p o rt gai.E n g a g e m e n ts p o u r la co u rse de 120

k ilo m è tre s clos le je u d i 21 ju il le t , ru e d u C h â te a u d ’E au , à 22 h e u re s .

Un IMon-LieuN ous av o n s r e la té il y a q u e lq u e s

s e m a in e s u n e in fo rm a tio n r e la ta n t u n e a c c u s a tio n de vol p o r té e c o n tre M m e G uidez, b ib lio th é c a ire à la G are de S e n lis .

L ’é v é n e m e n t a p ro u v é q u e n o u s a v io n s eu ra is o n de n o u s m é fie r de ce so u p ç o n p o r té c o n tre u n e p e rso n n e ju s q u ’ic i p a r f a i te m e n t h o n o ra b le e t de n e p u b lie r ce tte in fo rm a tio n q u ’avec les in i t ia le s se u le m e n t.

L ’in s tru c tio n o u v e rte p a r le P a r q u e t de S e n lis , v ie n t en effet d ’a b o u tir à u n n o n -lie u . -

N o tre so u c i de la v é r ité n o u s fa i t u n d ev o ir de f a ir e c o n n a ître ce tte d éc is io n , n o u s r é jo u is s a n t av ec M m e G u idez q u ’elle so it so r tie à son h o n n e u r de ce tte ép re u v e .

Distribution des Prix à l’Externat du Sacré-Cœur

D im a n c h e a eu lieu , e n la S a lle des F ê te s de n o tre v ie u x co llèg e S a in t- V in ce n t, m is e g ra c ie u s e m e n t à la d is ­p o s itio n de l 'E x te rn a t , la d is tr ib u tio n so le n n e lle des p r ix a u x éco les de l 'E x ­te rn a t d u S a c ré -C œ u r e t d es e n fa n ts de l ’éco le m a te rn e lle .

A tro is h e u re s , M . le C h a n o in e D u- p u is , c u ré -a rc h ip rê tr e a f a i t so n e n tré e d e v a n t le s é lèves, p a r e n ts e t a m is de T E x te rn a t q u i P on t a c c u e ill i p a r u n e g ra n d e m a rq u e de sy m p a th ie .

M. le C uré é ta i t e n to u ré de M. G eor­g es de P a rs e v a l , M. l ’éco n o m e d u co l­lège, M M . de L a p o rte , de C o u lo m b ie rs , M o u re t, R a v a u d , M M . le s V ic a ire s , M. l ’A u m ô n i e r d e l ’H ô p i t a l , e tc .

P u i s , u n e é lè v e , M l le P a u l e t t e B é -q u et, a u n o m de se s c a m a ra d e s e t des m a ître s s e s , a re m e rc ié le C ollège S a in t- V in c e n t de s a lé g e n d a ire h o sp ita lité , p u is e lle a év o q u é la f ig u re d u re g re tté M o n se ig n e u r q u i a im a i t ta n t le s éco les l ib re s et se s c h e rs e n fa n ts . E n te rm e s q u i o n t p r o fo n d é m e n t to u c h é l ’a s s is ­ta n c e , M lle B éq u e t a e x p r im é la g r a t i ­tu d e de to u s p o u r to u s le s c œ u rs q u i so u tie n n e n t si g é n é re u s e m e n t et s i m o ­r a le m e n t l ’e n s e ig n e m e n t c h ré tie n p a r to u s le s m o y e n s , m e m b re s d u C om ité, b ie n fa ite u rs , a m is d e l’école e t d o n a ­te u rs d es v o lu m e s de la d is tr ib u tio n de ce jo u r et en fin le s p a r e n ts q u i p la ­ce n t a u p r e m ie r r a n g l ’é d u c a tio n c h ré ­tie n n e . E t d a n s u n e b e lle p é ro ra is o n , la je u n e fille a fa i t l ’é loge de la P r iè re e t d u T ra v a il ,

M o n s ie u r T A rc h ip rê tre a tou t d ’ab o rd re m e rc ié la ch è re e n f a n t q u i v e n a it de t r a d u ire en de si b o n n e s p a ro le s les s e n tim e n ts de ses c a m a ra d e s , p u is les dév o u ées m a ître s s e s si e s tim é e s et si a im é e s d a n s n o tre v ille . A p rè s av o ir d it s a jo ie de v o ir ta n t de s y m p a th ie s g é n é re u se s a u to u r de n o s éco les lib re s q u i n e p o u r ro n t q u e les f a ir e p ro sp é re r . M. T A rc h ip rê tre s ’e s t a d re s sé a u x n o m ­b re u x p a re n ts p ré s e n ts d a n s la sa lle , p o u r le u r d o n n e r d ’u tile s et ex c e llen ts co n se ils d a n s le u r rô le d ’é d u c a te u rs de l e u r s e n f a n t s .

E n te rm in a n t son a llo cu tio n q u i a p ro d u it la m e ille u re im p re s s io n , M. le C uré a te n u à fé lic ite r to u te s ce lles et to u s c e u x q u i a v a ie n t p a r t ic ip é s i h e u ­re u s e m e n t à la so irée d u v e n d re d i p ré ­céd en t et a so u h a ité de b o n n e s v a c a n ­ces.

L es p a ro le s de M. le . P r é s id e n t 'o n t été c h a le u re u s e m e n t a p p la u d ie s .

L ’a t te n te des p a re n ts et a n i is de l ’éco le en ce q u i c o n c e rn e la p a r tie ré c ré a tiv e in te rc a lé e d a n s la le c tu re du p a lm a r è s n ’a p a s été déçue . C ette p a r tie a é té ex écu tée avec b e a u c o u p d ’a r t, de s e n tim e n ts et de g ra c ie u se té . G râce a u x sp le n d id e s d éc o rs , a u x effets de lu ­m iè re , le s je u x de s c è n e o n t p e rm is d ’a r r iv e r à u n r é s u l ta t r e m a rq u a b le q u i o n t v a lu a u x in te rp rè te s et a u x d é­v o u ées m a îtr e s s e s de c h a le u re u x et lo n g s a p p la u d is e m e n ts b ie n m é rité s .

T o u s , g ra n d e s e t p e tite s , je u n e s e n ­f a n ts q u i o n t eu la jo ie de p a r a î t r e en scèn e , ou q u i a u p ia n o ou d a n s les c o u lisse s , o n t p rê té u n co n c o u rs a p p r é ­cié, o n t m é rité d es c o m p lim e n ts e t p o u r n e p a s o u b lie r p e rso n n e , n o u s n e ci­te ro n s a u c u n n o m d ’élèves. T o u te s et tous, n o u s le s e n g lo b o n s d a n s le m ê m e b o u q u e t de fleu rs , co m m e c e lu i s i g e n ­t im e n t o ffe rt p a r les é lè v e s à le u rs c h è r e s m a î t r e s s e s à l ’i s s u e d e l a d i s t r i ­b u tio n des p r ix .

U n g ro u p e de je u n e s v io lo n is te s du c o u rs de M lle J . R ib o u le t a o u v e r t la ré u n io n p a r u n e trè s b o n n e ex é cu tio n d ’u n e R o n d e v illa g eo ise .

L es p e tits e n fa n ts de l ’éco le m a te r n e lle d a n s le s c h a n ts c o s tu m é s e t m i m é s L a S o u p e a u x c h o u x , les P e tits M itro n s e t la P e tite A b e ille . I ls o n t été c h a rm a n ts .

L es D a n ses ru sse s e t le s C ourlis b la n c s o n t été ex é c u té s avec u n ta le n t re m a rq u a b le . L es g ra c ie u s e s je u n e s fil les o n t é té p a y é e s de le u rs p e in e s p a r des b ra v o s n o u r r is d ’u n e sa lle r e n d a n t h o m m a g e à le u rs ex e rc ic es ry th m é s du p lu s be l effet.

L a B e rc e u se a ls a c ie n n e F e rm e tes jo lis y e u x , la F êle d a n s la p ra ir ie e t la L é g e n d e d u P e tit N a v ire , o n t m o n tré c o m b ie n le c h a n t é ta it g o û té à T E x te r­n a t e t on n o u s p e rm e ttr a u n e m e n tio n sp é c ia le à u n e a n c ie n n e élève M lle B... à la vo ix ju s te et b ie n tim b ré e q u i p r ê ­ta i t so n ta le n t à ce tte c é rém o n ie .

L e c h œ u r L e s M o is so n n e u se s a te r ­m in é d ’u n e faç o n fo r t h e u re u s e le p ro ­g ra m m e ré c ré a t i f de ce tte ré u n io n .

A jo u to n s qu e c h a q u e n u m é ro du p ro g ra m m e c o m p o rta it d e s co s tu m e s d ’u n g o û t re c h e rc h é et p o r té s d ’un e fa ç o n ra v is s a n te .

N os c o m p lim e n ts le s p lu s s in c è re s a u x a im a b le s m a ître s s e s q u i o n t p r é ­p a ré av ec ta n t de d é v o u e m e n t u n p ro ­g ra m m e a u s s i v a r ié q u ’in té re s s a n t. E lle s o n t été d ig n e m e n t ré c o m p e n sé e s p a r le s a p p la u d is s e m e n ts c h a le u re u x de p lu s de 500 p e rso n n e s , h e u re u se s , co m m e n o u s l’av o n s é té n o u s -m ê m e s , de té m o ig n e r le u r g ra ti tu d e p o u r l ’ex é­c u tio n d ’u n p ro g ra m m e a u s s i b ien re n d u .

L a le c tu re d u p a lm a r è s a f a i t d es h e u re u x . D ’a b o rd T é n u m é ra tio n des e x a m e n s q u i se c o m p te n t e n v iro n co m ­m e c h a q u e a n n é e a u n o m b re d ’u n e tre n ta in e . E x a m e n s o ffic ie ls : breve t é lé m e n ta ire , co n co u rs d es b o u rses , C. E. c o m p lé m e n ta ir e s , C. é tu d e s p r im a i­res. E x a m e n s lib re s : d ip lô m e s s u p é ­r ie u rs et d ip lô m e s é lé m e n ta ir e s do n t u n c e r ta in n o m b re av ec m e n tio n . E t n o u s av o n s p u c o n s ta te r q u ’en effet le t r a v a i l e s t en h o n n e u r à l ’E co le du S ac ré -C œ u r. E n fa n ts et fille tte s o n t re ç u la ré c o m p e n se de le u r t r a v a i l de T a n ­n ée sc o la ire , p o u r to u s ce f u re n t de b e a u x v o lu m e s, p o u r le s p e tits des jo u e ts b ie n c h o is is . T o u t cec i o ffert p a r de g é n é re u x a m is et b ie n fa i te u rs de n o s éco les lib re s .

L es a d ie u x e t le s so u h a its de v a c a n ­ces o n t te rm in é ce tte b e lle r é u n i o n , e n a t te n d a n t le m o is d ’o c to b re q u i r a m è ­n e r a T e ssa im d es é lèv es à T E x te rn a t a u p rè s d ’u n e d ire c tr ic e e t de m a îtr e s ­se s q u i s a v e n t s i b ie n d a n s to u s les d o m a in e s , p r é p a re r le s é lite s de d e ­m a in , q u i fe ro n t la fo rc e de la F ra n c e c h ré tie n n e .

V e n d re d i so ir , la ré u n io n d o n n ée dans^ la m ê m e sa lle a é té u n g ra n d su c cè s e t l ’a t te n te des p a re n ts e t a m is de T E x te rn a t n ’a p a s é té déçue .

Le p ro g ra m m e trè s ju d ic ie u s e m e n t co m p o sé a été e x é cu té av ec u n e sc ien c e et u n a r t q u e n o u s re n c o n tro n s fo r t p e u d a n s le s sé a n c e s d e ce g e n re .

U n T ra ité de P a ix e t U n P a p a é n e r­g iq u e , d ’u n a u te u r t r è s c o n n u a u C our­r ie r de l’O ise, o n t é té p o u r le s g ra c ie u ­se s in te rp rè te s u n e a m p le m o is so n de b ra v o s ré p é té s .

M lle J u lie t te R ibou le t, a r tis te v io lo­n is te q u i a v a it b ie n v o u lu p rê te r son ta le n t à ce tte so irée a é té lo n g u e m e n t a p p la u d ie . Le je u n e H e n r i V autrayers, à p e in e âg é de 9 a n s a m o n tré co m b ien il a im a i t son v io lon , e t l’a s s is ta n c e n e lu i a p a s m é n a g é se s b rav o s d an s le duo de B o c c h e rin i (M in u e tto ) q11’11 Jou a avec M lle R ib o u le t. , .

L a lé g e n d e d u P e tit N a v ire , racon tée a u x p e tits g a rs de la M arin e , la B e r­c e u se d ’A lsace F e rm e tes jo lis y e u x et la d a n se p o lo n a ise o n t re te n u la p lu s v ive .a tte n tio n de l ’a s s is ta n c e e n th o u ­s ia sm é e . ..

. B o u le s de N e ig e et P ierro ts C,e u ‘ féé rie ) a été jo u é av ec b eau co u p d en - tra in . L

L a co m éd ie R obe longue ... robe courte a b ie n a m u s é p e tits e t g ra n d s et la so i­rée s ’est te rm in é e p a r u n e l e ç o n d ’hÇ r to ire b ie n re n d u e le S iè g e de M ézièrés. C o m m en t ces e n fa n ts o n t-e lle s p u don­n e r en q u e lq u e s jo u r s de te ls résul­t a t s ? C ela t ie n t du p ro d ig e . N e nous a- t-o n p a s a s s u ré en effet que, à l’excep­tio n des g ra c ie u x c o u rlis d é jà /d o n n é s T an d e rn ie r , ces d eu x sé a n c e s / ’o n t été p ré p a ré e s q u ’à p a r t i r du lu n d iji ju ille t , q u a n d Ions les e x a m e n s o n t afé te rm i­n és . Q uelle b o n n e vo lon té , quel e n ­tr a in n ’a - t- ii p a s fa llu ! /

R e m e rc io n s donc, de toin cœ ur, les m a îtr e s s e s e t les je u n e s élèves qu i nous o n t p ro c u ré p lu s ie u r s h eu res si a g ré a ­b les , et q u i o n t fa i t l / jo ie des s ix c e n ts p e rso n n e s p résen tes . '

M lle la D irec trice nous prie d ’ê tre son in te rp rè te rec o n n a issa n te a u p rè s des a r tis te s et des fa m ille s q u lo n t p rê té le u r a im a b le co n co u rs p o u r co n trib u er au su c cè s de ces fêtes.

A la C o r r e c t i o n n e l l ee Æ n ™H o cq u e t’ m a rc h a n d e de b e u rre que s e m ^ g a n n e à P a r i s , v e n a n t c h a - m cui’n é l a V m a rc h é de S e n lis , a été la ]ni ,,A i P a r ,a P ° llc e , d ’in f ra c t io n à a foi r é g le m e n ta n t la v en te de la m a r -

m é h a .co n d am n ée à 16 f r a n c s d ’a- de a l ’a u d ie n c e du 15 c o u ra n t.

cim7,Y,Le kSl®,u r L eb igo t, r e p r é s e n ta n t de ljpp in e rce, a D ra n c y , in c u lp é p a r la po- p-o ^ e de d é fa u t de c a r te de v o y a- ë-U r de c o m m erce , a é té c o n d a m n é à:o f ra n c s

dience.d ’a m e n d e à la m ê m e a u -

S u c c è s a u x E xa m e n .4. N ous a p p re n o n s le su c cè s au b re v e t é lé m e n ta ire de M lle E lisabe th H ardy , p e n d a n t onze a n s élève de T E x ternat du S ac ré -C œ u r. N os fé lic ita tio n s le s p lu s s in c è re s à la je u n e lau réa te , à sa | fa m ille et à se s dév o u és p ro fe sseu rs .

Double arrestation pA la su ife d ’u n e e n q u ê te de la g e n ­

d a rm e rie , on a a r r ê té u n p e in tre déco| r a te u r L u c ie n Q u esn e l, 29 an s , dem eul r a n t à L a ig le (O rne) e t le cavalie r Mo? h a m e d B en K a d o u r , d u 4e escadron du 4e S p a h is m a ro c a in s , in c u lp é s de fa its qu e la m o ra le rép ro u v e .

I ls o n t é té é c ro u é s à la m aison d ’a r ­rê ts .

VolL a p o lic e v ie n t e n c o re d ’in c u lp e r de

vol de 5.000 p la n ts de p o ire a u x , au p ré ­ju d ic e de M. R iv ie rre , ja rd in ie r à S en ­lis , le s ie u r H u b e rso n G aston , jo u rn a ­lie r , a c tu e lle m e n t d é te n u à la m a iso n d ’a r r ê t e t q u ’il a v a it o ccu p é p a r p itié e n tre d e u x sé jo u rs en p r iso n .

Le P a r q u e t a é té s a is i de l ’a ffa ire a u x fin s de p o u rsu ite s co rrec tio n n e lles .

Logeurs en défautA u co u rs d e c e r t a i n e s v é r i f i c a t io n s ,

■ e s e r v i c e d e l a p o l ic e a é té a m e n é à ^ c o n s t a t e r q u e d e s p a r t i c u l i e r s e x e r ç a n t

h a b itu e lle m e n t le c o m m e rc e de lo g eu r dans u n b u t lu c ra tif , en so u s - lo u a n t des c h a m b re s e t des a p p a r te m e n ts m eub lés , n ’é ta ie n t p a s en rè g le avec le fisc.

Tout lo g e u r es t a s tre in t a u x o b lig a ­tions s u iv a n te s :

1° Im m a tr ic u la tio n a u G reffe du T r i ­b u n a l de C o m m erce ;

2° P aten te . ;3° Im p ô ts s u r le ch iffre d ’a ffa ire s ;4“ Im p ô ts s u r les bén é fices c o m m e r­

c iaux ;5“ R e g is tre de po lice.Les lo g eu rs h ô te lie rs s ’a c q u itte n t

p a r fa ite m e n t de ces o b lig a tio n s . M ais, les p a r tic u lie rs , le u rs c o n c u r re n ts b é ­névoles, s e m b le n t ou v e u le n t ig n o re r ces o b lig a tio n s et n a tu re lle m e n t lo u e n t le u rs g a rn is à des p r ix q u e les h ô te l- lië rs et a u b e rg is te s n e p e u v e n t ré a lis e r .

Ces o m is s io n s c a u s e n t u n g ra v e p r é ­judice^ a u fisc, en m a tiè re de r e n tr é e d ’im p ô ts so it d irec ts , so it in d ire c ts .

D ans l ’in té rê t du T ré so r , la po lice va y m e ttre o rd re et a d é jà c o m m e n c é en s ig n a la n t à l ’A d m in is tra tio n d es C on­tr ib u tio n s d ire c te s e t à ce lle des C on­trib u tio n s in d ire c te s , les lo g e u rs en d é­faut- q u ’elle d éco u v re a u f u r e t à m e ­sure.

E s p é r a n t q u e c e t a y i s s e r a e n t e n d u , l a p o l ic e e s p è r e n e p a s a v o i r à s é v i r .

C e p e n d a n t les r é c a lc i t r a n ts n e s e ro n t p a s é p a rg n é s , en ca s de m a u v a is e vo­lo n té ou de f ra u d e fisca le d û m e n t c o n s ­ta tée .

D es p ro c è s -v e rb a u x se ro n t d re ssé s et t r a n s m is a u x a d m in is t ra t io n s ou t r ib u ­n a u x co m p é te n ts , s a n s p ré ju d ic e des ac tio n s en d o m m a g e s - in té rê ts qu e p o u r ra ie n t u ti le m e n t in te n te r le s s y n ­d ica ts p ro fe s s io n n e ls de l ’h ô te lle rie .

I l e s t lo u a b le de r a p p e le r a u s s i, qu é ch aq u e fo is qu e la v ille de S e n lis a donné à h é b e rg e r c e r ta in s p a s s a g e rs in d ig e n ts , des a u b e rg is te s e t h ô te lie rs m o d este s o n t f a i t p re u v e d ’h u m a n ité et du p lu s co m p le t d é s in té re s se m e n t, ce qui n e p e u t p a s ê tre d it des lo g e u rs p a r tic u lie rs .

Etrangère en défautL a p o lic e a d re s sé p ro cè s-v e rb a l, à la

c h a rg e d ’u n e é tra n g è re de n a tio n a lité i ta lie n n e , en ré s id e n c e à S en lis , p o u r d é fa u t de re n o u v e lle m e n t de sa ca rte d ’id e n tité d a n s les d é la is p ré v u s p a r la loi.

E n o u tre e lle a é té f ra p p é e ci-v,,,,, p é n a li té f isca le de 20 f ra n c s , à ra iso n de 5 f ra n c s p a r m o is de r e ta rd (4 m ois) d a n s l ’a c c o m p lis se m e n t de cette fo r ­m a lité .

La place de la Gare n’est pas un vélodrome

M . le C o m m issa ire de po lice, r a p ­p e lle q u ’a u x te rm e s de l ’a r tic le 4 de l ’a r r ê té m u n ic ip a l du 19 se p tem b re 1930, ré g le m e n ta n t la c irc u la tio n d a n s la v ille de S en lis , les év o lu tio n s de b i­cy c le tte s so n t fo rm e lle m e n t in te rd ite s s u r le s ru e s , p la c e s e t p ro m e n a d e s de la V ille .

T o u s ces d e rn ie rs te m p s , la po lice a co n s ta té q u e des je u n e s g e n s de 10 à 22 a n s se l iv ra ie n t jo u rn e l le m e n t à des é v o lu tio n s e t a c ro b a tie s de b icyc le tte s, p la c e de la G are, c o n s ti tu a n t a in s i u n e v é r ita b le e n tra v e à la c irc u la tio n des v o y a g e u rs , p ro m e n e u rs , au to s e t tax is . Des p a s s a n ts o n t fa i l l i ê tre ren v e rsé s , des c o n d u c te u rs de ta x is o n t d û s to p p e r p o u r év ite r de r e n v e rs e r ces je u n e s g e n s . Ces fa its n e s e ro n t p lu s to lé rés à l ’a v e n ir . La p la c e de la G are n ’es t p a s u n v é lo d ro m e H!

D es ro n d e s f ré q u e n te s s e ro n t fa ite s p a r les a g e n ts de po lice . D es o b se rv a ­tio n s o n t d é jà été fa ite s en ce se n s et d es p ro c è s -v e rb a u x o n t d é jà é té d re s ­sés p o u r d é fa u t de p la q u e de co n trô le à b icy c le tte , ce q u i a m è n e ra d é jà a u x c o n tre v e n a n ts de sé rie u x e n n u is avec la ré g ie des c o n tr ib u tio n s in d ire c te s .

Petits fa its d® policeA u Cours de la s e m a in e écou lée, la

po lice a re le v é des c o n tra v e n tio n s p o u r : év o lu tio n s de b ic y c le tte s s u r p la c e p u ­b liq u e ; d é fa u t de p la q u e do c o n trô le et d ’id e n tité à b ic y c le tte ; c i rc u la t io n a b ic y c le tte s u r tro tto irs en v ille ; d é­fa u t de p e rm is de c irc u la tio n p o u r a u ­to m o b iles ; in f ra c t io n s à la po lice des é tra n g e rs ; in f ra c t io n s à la po lice des lo g e u rs ; d é fa u t de n u m é ro m in é ra lo - g -iq u e à a u to ; c i r c u l a t i o n en se n s in ­te rd it.

Théâtre Municipal d e SenlisD im a n ch e 24 et L u n d i 25 J u i l le t 1932

S o irée à 9 h e u re s

Suzy VERNOftl & T h o m y BOURDELLEd a n s

L E R E B E L L E( P a r la n t F r a n ç a is )

Un automobiliste sévèrementcondamné en Correctionnelle

Le s ie u r L a p o rte L u c ien , 38 an s , h o m ­m e d ’a f fa ire s à I s sy - le s -M o u lin e a u x , ex -av o u é , é ta it de p a s s a g e à S en lis , en m a i d e rn ie r . E n p a s s a n t s u r le co u rs T h o ré -M o n tm o re n c y , il o u tra g e a e t m e ­n a ç a c o p ie u se m e n t l ’ag e n t de se rv ice à la c irc u la t io n p o sté à la p o rte S a in t- R ie u l e t q u i v e n a it de lu i fa ire u n e o b se rv a tio n ju s t if ié e p o u r d o u b le m e n t et excès de v ite sse à u n c a r re fo u r d a n ­g e re u x .

T ra d u it en c o rre c tio n n e lle à l ’a u d ie n ­ce du 15 c o u ra n t, il fit défafit. Le' T r i­b u n a l te n a n t co m p te q u ’il av a it d é jà été c o n d a m n é lu i in flig e a 15 jo u rs de p r iso n et 200 f r a n c s d ’a m en d e , le to u t s a n s su rs is . I l é c o p p a ég a le m en t d e ­v a n t le tr ib u n a l de s im p le po lice d eu x a m e n d e s de 10 f r a n c s e t de 2 fra n cs , p o u r les c o n tra v e n tio n s q u i lu i é ta ien t r e p ro c h é e s et q u i f u re n t re le v ée s a p r è s ’ les fa its d ’o u tra g e s .

Service des EpavesA ù co u rs de la s e m a in e écou lée, il a

é té tro u v é s u r la vo ie p u b liq u e e t d é­c la ré a u C o m m issa r ia t de p o lice (se r­v ice d es ép a v es) le s o b je ts su iv a n ts :

— U n b ille t de 10 f ra n c s .— U ne p a ire de g a n ts de cou leu r.— U n e p e tite c h e m ise p o u r g a rç o n ­

net.—■ U n g a n t en cu ir .— U n c o llie r de p e r le s e n verre .— U n e b o u c le de c e in tu re , m é ta l

b la n c .— U n e m é d a il le en m é ta l doré.

Ces o b je ts so n t c o n se rv é s p a r les in v e n te u rs , d o n t la p o lice c o n n a it les n o m s, e t te n u s à la d isp o s itio n des a y a n ts d ro it.

avecP au le A N D R A L et P ie rre B A T C H E F F

U n g r a n d F i lm S o n o re

LE M IRA I DE BOEIIOS-AYëESin te rp ré té p a r C arlo s G A RD EE,

S ofia B O ZA N et G lo ria G U ZM A N

BIMBO VIRTUOSED e s s in s -a n im é s so n o res .

. CHAMPIONNAT (la Ilie-tSe-France d’AthlétismeR é u n io n su p e rb e fa v o risé e p a r u n e

te m p é ra tu re id é a le e t m a g n if iq u e m e n t o rg a n isé e p a r le C. H. de P o n t-S a in te - M axence, d o n t la ch ev ille o u v riè re es t le dévoué O liv ier. B o n n e p is te , a u x v i­ra g e s u n p e u ru d e s e t te r r a in s de co n ­cou rs p a r f a i t s ; u n e c e n ta in e de c o n ­c u rre n ts , d o n t la g ra n d e m a jo r i té de l ’O ise, se l iv rè re n t de b e lle s lu îte s et q u e lq u es b o n n e s p e r fo rm a n c e s fu re n t ac co m p lie s .

M . P ico t, p ré s id a u n ju r y a u g ra n d com plet, q u i se t i r a fo rt b ie n de la d i­rec tio n des d ix -se p t é p re u v e s du p ro ­g ra m m e s :

R é su lta ts100 m è tre s : P ie rq u e t (R. C. C ) 11”

2/5".200 m è t r e s : L o rin (R G C ) , 24”

(record b a ttu ) .400 m è tre s : C a illau x (S t-Q u e n tin ) •

55”. ’800 m è tre s : B o c q u e t (R C C )

7” 2 /5 .L500 m è tre s : B e rn a rd (C. O C )

4 ’ 31” . v ‘3.000 m è tre s (s teep le ) : D u b re u il (V.

St. B.), 9 ” 54” (re co rd b a ttu ) .| 5.000 m è tre s : M a rte l (C. ü . C.), 10’ 31” 1 /5 . 1

10.000 m è tre s : V illa in (V. C. B ), 35’ 40”.

H a u te u r : D ew as (V C. B.) : 1 m 70L o n g u e u r : K n u ss (C. S a in le -M a x e n -

ce), 5 m . 98.P o id s : B o n n ia u (G. S. P . B .), 12 m .

^ (reco rd b a ttu ) .m M a rte a u : B o n n ia u (G. S. P . B.), 27

^ D is q u e : H o u tch (J . F re sn o y ), 33 m .

P e rc h e : D eg a u c h y (S. A. C. M o n ta - ta ire), 3 m é tré s .

m ^ s 0101 L a u se l (S a in t-Q u e n lin ) , 34

48^ 4/ 5S 4 X 100 : v - G. B e au v a is ,

3 , 4 x 400 : R. C. C o m p ièg n e

CARNET Ecole d’Agricultore de Crézancy (Aisne)N A I S S A N C E

■ N ous a p p re n o n s l ’a r r iv é e en ce m o n d e le 14 ju i l le t d e rn ie r , de F ra n - ç o ise -M a rie -S im o n e -A n d ré e D av id sen , fille de M. D av id sen e t de M a d am e , née W o n d ra c k .

N o u s a d re s so n s n o s fé lic ita tio n s à M. e t M m e D av id sen , et fo rm o n s les m e il le u rs v œ u x p o u r le u r ch è re e n fa n t. N o u s so m m e s h e u re u x d ’a d re s s e r é g a ­le m e n t n o s c o m p lim e n ts à M . et M m e W o n d ra c k , les s y m p a th iq u e s g ra n d s - p a re n ts , p ro p r ié ta ire s de l 'H ô te l du G ra n d -C e rf .

ETAT CIVIL DE SENLISdu 15 a u 22 J u i l le t 1932

N a is sa n c e s15 ju il le t . Jo s e p h N em c ik , ro u te de

C h a n tilly .14. F fa n ç o ise -M a r ie -S im o n e -A n d ré e

D av id sen , 47, ru e de la R é p u b liq u e .14. L o u is -E u g è n e -E d o u a rd N oël, 1,

fa u b o u rg S a in t-M a rtin .19. N in a -C o rn e lia D ig u is to , 1, f a u ­

b o u rg S a in t-M a rtin .19. Y v e tte -A lfré d a -A u g u s tin e Tdelot,

9, ru e du H a u b e rg ie r .19. Y v e tte -M a rie -M a d e le in e J a n , 6,

ru e C arno t.P u b lic a tio n s de M a ria g es

15. E n tre M. G ilb e rt-A ip h o n se M aille , m é c a n ic ie n -d e n tis te , d e m e u a rn t à S e n ­lis , ru e de M eau x , e t M lle S u z a n n e - R a y m o n d e P ré v o s t, c o u tu riè re , d e m e u ­r a n t à C reil, 7, ru e C h a rles-B ro b e il.

16. E n tr e M. A rm a n d - J e a n -P ie r r e B o u tra n d , in s t i tu te u r , d e m e u ra n t à P u is e u x - le -H a u tb e rg e r , e t M m e Clé- m e n tin e -M a rie -A le x a n d rin e T ess ie r , s a n s p ro fe ss io n , d o m ic iliée à P a r is , 170, fa u b o u rg S a in t-D e n is , e t p ré c é ­d e m m e n t à S en lis , 12 b is , ru e S a in t- P ie r re .

19. E n tr e M. R a y m o n d B a rb ie r , m a - n o u v rie r , d e m e u ra n t à S e n lis , L ru e des C o rd e lie rs et M lle I rè n e -A d é lin e B ro w aey s , s a n s p ro fe ss io n , d o m ic iliée à O gnes (O ise).

20. E n tre M. R o la n d -Jo se p h D a rra s , em p lo y é de b a n q u e , d o m ic ilié à S en tis , 1, ru e d u P e tit-C h a â lis , et M lle M ade- le in e -J u lie t te T h e rn is ie n , s tén o -d ac ty lo , d o m ic iliée à C rép y -e n -V a lo is , ru e J i i le s M ichele t.

20. E n tre M. G eo rg es Y a n d e n h e c k e , em p lo y é g éo m ètre , d o m ic ilié à S en lis , ru e de C rép y e t M lle M a rg u e r i te -H e n - r ie t te B e d in , d a c ty lo g ra p h e , d e m e u ­ra n t à S e n lis , ru e d u C h a n c e lie r G ué- r in .

D écès17. E lv ire G au d e fro y , veu v e C razie,

55 a n s , d o m ic iliée à C h a n tilly , 67, ru e de la C a n a rd iè re , d écéd ée 1, f a u b o u rg S a in t-M a rtin .

18. M a rie -H e n rie tte -D e lp h in e P o id e - v in , f e m m e N oël, 38 a n s , d o m ic iliée à T ru m illy , d écéd ée 1, f a u b o u rg S a in t- M a rtin .

19. F ra n ç o is R o c h -V a c c a ri, 32 an s , m a n o u v rie r , d o m ic ilié à C reil, 48, ru e de G o u rn a y , d écéd é 1, f a u b o u rg S a in t- M a rtin .

19. A u g u s te -A lp h o n se P e tit , 76 an s , 1, fa u b o u rg S a in t-M a rtin .

20. L o u is -E u g è n e -E d o u a rd N oël, s ix jo u rs , 1, fa u b o u rg S a in t-M a rtin .

20. A lp h o n se -L o u is -E u g è n e M a rse il­le, 32 an s , te in tu r ie r , d o m ic ilié à C ires- le s-M ello , d écédé 1, fa u b o u rg S a in t- M a rtin .

Fédération des S. A. 6. de l’OiseT ir et P ré p a ra tio n M ilita ire

La C o m m iss io n de C ontrô le , d a n s sa sé a n c e du 3 c o u ra n t, à G lerm ont, a a r - rêté_ a in s i q u ’il su it, le c la s se m e n t des S o cié tés e t D é lég u és a y a n t p r is p a r t a u C o n co u rs F é d é ra l du 19 ju in d e r-

’ n ie r et a u x q u e ls des p r ix so n t a t t r i ­b u és . L e c la s s e m e n t g é n é ra l p a r a î t r a u lté r ie u re m e n t.

D E L E G A T IO N SF u s il L eb e l. — P re m iè re S e c tio n4. G ham bly , 19 b., 124,45 ; 6 . C reil,

20 b., 118 p. ; 7. P ré c y -su r-O ise , 19 b. 115,9.

F u s il L eb el. — D e u x iè m e S e c tio n2. C reil, 18 b., 107,1 ; 3. P ré c y -s u r -

O ise, 19 b., 106,4 ; 4. G ham bly , 16 b., 80 p. ; 5. S e n lis (A m ica le ), 18 b., 79,2.

C arab ine. — P re m iè re S e c tio n3. e x -æ q u o , S o n g eo n s et P ré c y - s u r -

O ise, 126 p. ; 5. G ham bly , 119 p. ; 7. Betz, 114 p.

C arab ine. ■— P u p ille s1. P ré c y -s u r-O is e , 132 p.

IN D IV ID U E L SF u s il L eb el. — P re m iè re S e c tio n2. M o rea u P a u l, P ré c y -su r-O ise , 41

p. ; 8. F o u lo n , G ham bly , 38 p. ; 16. B a r ­ré , A p re m o n t, 35 p.

F u s il L e b e l. ■— D e u x iè m e S e c tio n1. C ario lle , C reil, 41 p. ; 4. F o u c a r t,

G h am b ly , 37 p. ; 6. M azille , S e n lis , 35 p. ; 10. B o u d in , P ré c y -su r-O ise , 33 p. ; 12. D ubo is, G ham bly , 32 p.

C arab ine. — P re m iè re S e c tio n2. B a rré , A p re m o n t, 38 p. ; 8. Q ue-

n eu t te, G reil, 35 p . ; 9. L em a ire , P ré c y , 34 p . ; 11. M o rea u , P ré c y -su r-O ise , 34 p. ; 16. S a d a u m e , G h am b ly , 33 p. ; 18. P e le g r in , C reil, 33 p . ; 21. P o r tie r G ham bly , 33 p.

C arabvne. — D e u x iè m e S e c tio n4. D ubois, G ham bly , 35 p. ; 9. C a­

rio lle , C reil, 33 p. ; 10. L éc u tie r, A p re ­m o n t, 32 p.

C arab ine. — P u p ille s1. C lav ier, P ré c y -su r-O ise , 44 p. ; 2.

D ero b ert, P ré C y -su r-O isç , 44 p. ; 3 .S criv e , P ré c y -su r-O ise , 44 p. ; 7. C lé­m e n t, B etz, 36 p.

L a d is tr ib u tio n des p r ix a u r a lie u le 31 ju il le t , à i l h e u re s t r è s e x a c te m e n t à la M a irie de G lerm on t. Le P ré s id e n t ra p p e lle a u x la u ré a ts q u ’ils d e v ro n t ê tre p ré s e n ts ou to u t au m o in s r e p r é ­sen tés .

l i e e t u r e s p o u r T o u sL a p r e m iè r e r e v u e i l lu s tr é e

d u m o n d e

4 8 p ages de p hotos

8 0 p a g es dé tex te

L es e x a m e n s d ’a d m is s io n à l ’E cole d ’A g ric u ltu re de C réz an c y et le c o n ­c o u rs p o u r l ’a t tr ib u tio n d es b o u rse s a u ro n t lieu le je u d i 4 a o û t 1932, a u s iè ­ge de l ’é ta b lis s e m e n t.

D es b o u rse s ou f ra c tio n s de b o u rse s de l ’E ta t, d u D é p a r te m e n t de l ’A isn e ou d es P u p il le s de la N a tio n , p e u v e n t ê tre a c c o rd é e s a u x je u n e s g e n s d o n t les fa m ille s o n t ju s tif ié de l ’in su ff is a n c e de le u rs re s so u rc e s .

L es c a n d id a ts d o iv e n t ê tre â g é s de 14 à 18 a n s .

D es d is p e n s e s d ’âg e p e u v e n t ê tre a c ­co rd ées.

L es d e m a n d e s d o i v e n t ê tre a d r e s ­s é e s a u D i r e c t e u r de l ’E cole a v a n t le 31 ju i l le t p ro c h a in .

L es je u n e s g e n s so n t p la c é s d a n s les m e ille u re s c o n d itio n s d ’h y g iè n e e t de co n fo rt. I ls re ç o iv e n t u n e n s e ig n e m e n t th é o r iq u e et p ra tiq u e trè s co m p le t.

L a d u ré e des é tu d e s e s t de d e u x a n ­nées.

Le p r ix de la p e n s io n e s t de 2.400 fr.p a r an .

L es é lèv es q u i s a tis fo n t a u x e x a ­m e n s de so rtie , re ç o iv e n t le d ip lô m e des éco les d ’A g ric u ltu re du M in is tè re de l ’A g ric u ltu re .

Le p ro g ra m m e de l ’E co le e s t env o y é à to u tes p e rso n n e s q u i en fo n t la d e­m a n d e à M. le D ire c te u r de l ’E co le d.’A g ric u ltu re de C réz an c y (A isne).

Projet de Fédération des Seoiétés Horticoles de l’Oise

S u r l ’in it ia t iv e d u b u re a u de la S o ­c ié té d ,'H o rticu ltu re d e B e a u v a is , les p ré s id e n ts e t d ir ig e a n ts des so c ié tés d ’h o r tic u ltu re de B e a u v a is , C h a n tilly , G lerm o n t e t S e n tis e t a u s s i de la S o ­c ié té des J a r d in s O u v rie rs de l ’O ise, se so n t r é u n is à C reil le 28 a v r i l d e r ­n ie r p o u r é c h a n g e r le u rs v u e s s u r le p r o je t de c ré a tio n d ’u n e fé d é ra tio n h o rtic o le d a n s le d é p a r te m e n t. A b se n t e x c u sé : AI. .le P ré s id e n t de la S ocié té d ’H o rtic u ltu re de C o m p ièg n e , to u t a c ­q u is à l ’idée .

Ce p ro je t a été u n a n im e m e n t b ie n a c cu e ill i. I l a été d éc id é q u e la F é d é ­ra t io n p o u r ra i t c o m p re n d re le s so c ié tés h o rtic o le s de l ’O ise, le s g ro u p e m e n ts ou s y n d ic a ts d ’h o r t ic u l te u r s e t d e c re s - s ic u lte u rs e t le s S o c ié tés de J a r d in s o u v r ie rs du d é p a r te m e n t.

C om m e l ’u n io n f a i t la fo rc e , l ’a s ­se m b lé e a re c o n n u la g ra n d e u til i té d u g ro u p e m e n t fé d é ra tif p o u r le p ro g rè s e t le d é v e lo p p e m e n t de l ’h o r tic u ltu re en g é n é ra l e t a u s s i la d é fe n se , la v ita ­lité e t la p ro s p é r ité de c h a c u n e d es so ­c ié té s a d h é re n te s .

B ien e n te n d u , c h a q u e g ro u p e m e n t c o n s e rv e ra it s a p le in e lib e r té d ’ac tio n d a n s sa sp h è re , l ib e r té d ’a c tio n q u i se ­r a i t p lu tô t re n fo rc é e et p ro tég é e , sa co m p lè te au to n o m ie , ses b ie n s e t ses re s so u rc e s p ro p re s , m a is il p a r t ic ip e ­ra i t p é c u n ia ire m e n t a u fo n c tio n n e m e n t de la fé d é ra tio n , su iv a n t u n ta u x m o ­d es te à d é te rm in e r .

A in s i co n s titu é e , la fé d é ra tio n a u r a i t u n e g ra n d e fo rc e m o ra le ; e lle p ro v o ­q u e ra i t la c ré a tio n d ’u n e c h a ire d é p a r- , te m e n ta lë d ’h o r tic u ltu re , e lle p o u r ra i t a d o p te r u n b u lle tin p é r io d iq u e co m ­m u n ; in u ti le d ’a jo u te r q u ’e lle p o u r ­r a i t p re n d re tou tes so rte s d ’in it ia t iv e s h e u re u se s au p o in t de v u e p ro p a g a n d e , e x p o s itio n s , e x c u rs io n s , etc.

D es s ta tu ts v o n t ê tre é la b o ré s a u p lu s tôt, ils s e ro n t so u m is a u x b u ­r e a u x d es d iv e rse s so c ié tés in té re s s é e s ; a p rè s quoi, u n e ré u n io n c o n s titu tiv e d é­c id e ra de la C réation d éfin itiv e e t du fo n c tio n n e m e n t de la fé d é ra tio n p ro ­je té e e t q u i p a r a î t ré p o n d re p ré s e n te ­m e n t à u n ré e l b eso in

Société des Courses de CompiègneL a R é u n io n d u 26 J u i l le t

L ’é c la t et la ré u s s i te de la jo u rn é e du G ra n d P r ix a id e ro n t a u su c cè s de la d e u x iè m e jo u rn é e de la s a iso n d ’été, à la q u e lle n o u s co n v o q u e la S o cié té des C o u rses de C o m p ièg n e , le m a rd i 26 ju i l le t p ro c h a in .

Le p ro g ra m m e n e c o m p o rte ra qu e des é p re u v e s de p la t.

U ne ép re u v e , le p r ix de T ra c y -le -V a l, s e ra ré se rv é e a u x c h e v a u x de 2 an s , T o u te s les a u tre s c o m p é titio n s s e ro n t o u v e rte s a u x c h e v a u x de tro is a n s e t a u -d e s su s .

D ’in té re s s a n te s a llo c a tio n s , des c o n ­d itio n s b ie n p ré v u e s n e p o u r ro n t q u e f a c il i te r les e n g a g e m e n ts , q u i s ’effec­tu e ro n t le 19 ju il le t , la d é c la ra tio n d es fo r f a i ts d e v a n t a v o ir lie u le 22.

C om m e p o u r le s g ra n d e s jo u rn é e s , to u te s le s m e ille u re s fa c ili té s de t r a n s ­p o r ts , p a r c h e m in de fe r , p o u r ro n t ê tre en v isa g é e s et des a ff ich e s sp é c ia le s , en fe ro n t m e n tio n d a n s le s g a re s in té re s ­sées.

Les dessous de l'espionnage allemandp a r ROBERT BOUCARD

D éveloppant le cycle de ses p ro d ig ieu ­ses investiga tions, R obert B oucard , — au teu r de liv re s passionnan ts, déjà t r a ­du its en h u it langues, qui on t p ro je té ta n t de c lartés su r les coulisses d e la guerre et de l ’ap res-guerre , — p o u rsu it inexo rab lem en t sa tâche.

A près Les Dessous de l E sp ionnage A n ­glais, Les F em m es et VEspionnage 'et Les D essous des P risons de F em m es, re p o r­tage h a llu c in an t au bagne des esp ionnes, voici Les D essous de l’E spionnage A lle ­m and, le « docum en ta ire » peu t-ê tre le plus cu rieux d ’une co llection p o u r ta n t r ich e en volum es re ten tissan ts .

L’esp ionnage a donné naissance à ta n t d affabula tions p u ériles où, sous le cou­vert de la fiction , une fan ta is ie naïve et déso rdonnée s’est donnée l ib r e c o u r s , q u e le pub lic est en d ro it de se m o n tre r c irconspec t.

Avec R obert B oucard nous en tro n s dans la réa lité et quelle réa lité !

Sur ces organism es redoutab les, so i­gneusem ent dissim ulés aux yeux des p ro fanes, il ap p o rte des p réc is io n s in é ­dites, des docum ents irré fu tab le s avec des nom s au then tiques, des faits im p la­cables...

R obert B oucard lève le voile do n t on a vo lon ta irem en t reco u v ert ta n t de d ra ­m atiques ép isodes com m e le piège des lacs de M azurie ou T exécution de Serge M iasoiedoff. Il va ju sq u ’à dén o n cer no ­m ina lem en t le v éritab le in stig a teu r du d ram e de Sarajevo.

Cet ouvrage, aux révé la tions im p res­s ionnan tes, est appelé à un re ten tisse­m ent m ondial. Il n ’est pas un F ra n ça is qui a it le d ro it de l ’igno rer.

P rix : 12 francs.LES EDITIONS DOCUMENTAIRES

106, rue de R ichelieu , 106, P a ris (2 '),

Page 4: les tfoeptso» d’avis conlrairea It’Urbanisme et la ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1932_07_24_MRC.pdf · bien de sa tâche, gardons-nous de la Jiu conïpUqu'er par

CONSEIL MUNICIPAL Sccince du 12 Ju ille t 1932

Le m ard i 12 ju ille t, à 20 1). 30, le Con­seil m u n ic ip a l s ’est assem blé à la M airie sous la p résid en ce de M. Paulvé, m aire .

E ta ie n t p résen ts : MM. L eclercq et Du- b rou ille t, ad jo in ts ; Leroux, ad jo in t A0- n o ra ire ; T au p in , D am bly, M ercier, Cla- p arèd e , G ibaud, D ebacq, Lelogeais, Lem- p e re u r, B ara, G ondelle, Béry, C arré, bo- ra in , D upuis, Lavallée, R iv ierre , L ep rat e t.S im ian d .

A bsent excusé : M. C arter.Le p rocès-verba l de la séance du 19

av ril est adopté.M. D upuis est nom m é secré ta ire pou r

1 a üV*:»ixoo.C o m p te a d m i n i s t r a t i f d e V e x e r c ic e

1931. — Tous les docum ents justifica tifs on t été com m uniqués au ra p p o rte u r de la Com m ission des F inances, M. R iv ie r­re , qui donne un com pte ren d u très dé­ta illé de l’exam en auquel il s ’est livré.

Il d it no tam m ent : « T outes les o p éra­tio n s on t été vérifiées su r p ièces et r e ­co n n u es exactes, nous ne pouvons te r­m in e r ce ra p p o r t sans re n d re hom m age au dévouem ent que M. le M aire ap p o rte dans la gestion de n o tre V ille et nous lu i som m es p a rticu liè rem e n t reco n n aissan ts d ’avo ir b ien voulu m ettre au serv ice de no tre belle cité, ses hau tes conna issances ad m in istra tiv es . »

Le com pte a d m in is tra tif est ensu ite voté à l ’unan im ité .

A près ce vote, M. L eclercq , p rem ier ad jo in t, ad resse à M. le M aire « un té ­m oignage de confiance et de g ra titu d e p o u r la m an ière scrupu leuse qu ’il ap ­p o r te dans la gestion des affaires m u n i­cipales. »

En quelques m ots, M. le M aire rem er­cie ses collègues de la confiance qu ’ils lu i tém oignen t et leu r donne l ’assu rance que grâce à leu r expérience avisée, à leu r b ienveillan t appu i el au concours si ac tif et dévoué de ses co llaborateu rs, MM. L eclercq et D ubrouille t, il s’effo r­ce ra de gére r les finances com m unales avec tou te la p ru d en ce que com m andent les c irco n stan ces actuelles el avec la v o ­lo n té d e n e n é g lig e r en a u c u n c a s le s in té rê ts de ses concitoyens.

C om pte de gestion du receveur m u n i­cipal. — Ce com pte p résen té p o u r le m êm e exerc ice 1931, en p a rfa ite co n co r­dance avec le com pte ad m in is tra tif , est approuvé , à l’u nanim ité , sans observa­tion .

B udget supp lém enta ire . — E xercice 1932. -— M. le M aire soum et à l’Assem­b lée ses p ro p o sitio n s budgéta ires com ­p lém en ta ires p o u r l’exercice couran t. Des exp lica tions très p réc ises sont don ­nées au Conseil su r les p rin c ip a le s dé­penses et rece tte s po rtées au d it budget. La C om m ission des finances qui l ’avait exam iné au p a rav an t n ’a pu que consta­te r que la situ a tio n financière de la Ville est ac tuellem ent très favorable. E n effet, tou tes les am élio ra tions accom plies, tous les travaux ac tue llem en t en cours ont été effectués avec les ressources o rd in a ire s du budget, sans aucune in sc rip tio n com ­p lém en ta ire .

N éanm oins et indépendam m en t dépenses ob liga to ires à p ré lev er su r l ’ex­céden t de rece ttes de l’exercice 1931, le budget su p p lém en ta ire se solde avec un excéden t effectif de recettes assez im por- taftt po u v an t p e rm e ttre , le cas échéant, d ’assu re r l'exécu tion de travaux d ’in té ­rê t com m unal et cela sans re c o u rir à la c réa tio n de ressou rces nouvelles.

L e b u d g e t s u p p lé m e n ta i r e se p r é s e n te donc a in si :

R ecettes ............................ 879.503 16D épenses .............................. 819.503 16

E x céd en t de rece ttes . . . . 60.000 »Il est approuvé, à l ’unan im ité , e t c ’est

avec sa tisfac tion que l’Assem blée com ­m unale co n sta te cet é tat si favorab le des finances de la Ville.

Budget p r im it if de 1933. — Le Conseil m u n ic ip a l est appelé ensu ite à exam iner les p ro p o sitio n s du budget de l’exercice 1933.

M. le M aire fo u rn it à l’Assemblée, a r­tic le p a r a rtic le , toutes les p réc is io n s et éc la irc issem en ts nécessaires.

Il expose qu ’en ra iso n de la c rise de chôm age don t la durée reste inconnue, en ra iso n égalem ent de la p é rio d e de tro u b les économ iques que nous tra v e r­sons et qui peu t avo ir p o u r conséquence, u n fléch issem ent du p ro d u it de c e r ta i­nes recettes, il lu i a p a ru in d isp en sa­b le d ’évaluer les c réd its de dépenses p o u r un Chiffre assez élevé afin d ’être en m esu re de fa ire face, sans risques, à tou tes les éventualités, d ’év iter les dé­passem ents b udgéta ires et p a r suite, la c ré a tio n de ressources nouvelles.

L ’aisance de la tréso re rie , le fo n ctio n ­nem ent norm al des serv ices et l’exécu­tio n régu liè re du program m e d’en tre tien , d ’am énagem ent e t d ’em bellissem ent é tan t a in si assurés, dans la s tr ic te lim ite des p rév is io n s budgéta ires , M. le M aire s’est efforcé, p a r la co m p ressio n de ce rta in s c ré d its devenus excessifs, de réa lise r une économ ie de T ordre de 43 centim es ad d itionne ls , qui, de 193 en 1932 se ron t ram enés à 150 en 1933.

Cette réd u c tio n du nom bre des c e n ti­m es p o u r insuffisance de revenus a pu Être effectuée m algré l’em p ru n t de 250.000 fran cs con trac té récem m ent pour la c réa tio n du nouveau cim etière.

C’est avec une nouvelle sa tisfac tion que le C onseil m u n ic ip a l en reg is tre les exp lica tions que v ien t de lu i d onner son M aire. Aussi m arque-t-il sa confiance p a r un e ap p ro b a tio n unanim e du budget a in ­si p résen té et qui s’a rrê te en rece tte s et dépenses à la som m e de 1.429.253 fr. 06.

Chapelle M éthodiste. — A venue du M u ré c h a l-J offre. — M. le M aire ren d com pte des résu lta ts de l ’enquête rég le­m en ta ire provoquée à la su ite d ’un e de­m ande en désaffecta tion de la Chapelle M éthodiste, de l ’avenue du M aréchal-Jof- fre, p résen tée p a r l’associa tion cultuelle de l ’E glise E vangélique M éthodiste.

A ucune réc lam ation n ’a été p résen tée au cours de cette enquête et le Com m is­sa ire en quê teu r y a ém is un avis favo­rab le .

Le Conseil m u n ic ip a l co n s id é ran t que ce tte chapelle est com plètem ent ferm ée depu is 2 ans, e t que le culte n ’y es t plus célébré , donne égalem ent un avis favo­rab le à la désaffecta tion dem andée.

budgets du Bureau de - Sont approuvés à l ’una-

C om ptes et B ienfa isance. n im ité :

1° le com pte a d m in is tra tif du B ureau d e B ienfaisance, re la tif à l’exercice 1931 qui se solde p a r un excédent de recettes de : 41.391 fr. 43.

2° le budget supp lém en ta ire de 1 exer- _ c ice 1931 a rrê té en recettes et en dépen ­ses à la som m e de 41.391 fr. 43.

3° le budget p rim itif de 1933 se ch if­f ra n t en recettes et en dépenses à la som m e de 76.963 francs.

4° le com pte de gestion du R eceveur d u B u re a u .

S ta tu ts du P ersonnel de la Saint-Q uen- tino ise. — Les s ta tu ts du personne l de ce tte Société m is en co n co rdance avec les d ispositions en v igueur, en ce qui co n cern e le rég im e des re tra ite s , sont app rouvés à l’unanim ité .

T ravaux com m unaux. — M. le M aire est au to risé à tra i te r de gré à gré :

1 ° p o u r la réfec tion des chem ins d ’ac­cès à la gare ;

2 ° p o u r la ré fec tion du tro tto ir de la ru e d ’Aumale.

P o u r ce qui concerne les ch em in s de la gare, la dépense se ra à la charge de la Cie du N ord, la Ville ne fa isan t que se rv ir d ’in te rm éd ia ire .

M obilier com m unal. — Un m arché se ra égalem ent passé avec la m aison « T ubor » de N euilly-sur-Seine p o u r la lo iirn itu re de 200 chaises reservèes. aux fêtes et réunions publiques.

C o m p t a b i l i t é c o m m u n a l e . — F ê te s . —Un v irem en t de c ré d it est déc idé pou r les fra is d ’illum ina tions en 1932, à l’oc­casion des fêtes publiques.

Octroi. — L ocal pour Bureau central.—- M. le M aire est au to risé à p asser un bail avec M. Ohaalon p o u r la location d ’un logem ent, avenue du M aréchal-Jof- fre, destiné au bureau cen tra l de l ’Oc­tro i.

A ttr ib u tio n s de subven tions pour élu­des. — M. le M aire donne connaissance au Conseil de deux dem andes qu ’il a re ­çues te n d an t à o b ten ir une subvention à p ré lev er sur le legs de Mgr le duc d ’Au­m ale.

Ces dem andes ém anent de M. D upuis, p o u r son fils René et de M. P e rr in , pour son fils H enri.

C onnaissance p rise des rense ignem ents recueillis su r les fam illes in téressées, le Conseil décide d ’a ttr ib u e r :

Une subvention de 500 fran cs au p ro ­fit de l ’élève P e rr in ;

Une subvention de 1.000 fran cs à Té- lève D upuis.

Ces subven tions seron t lim itées à Tan­née sco la ire 1932-1933.

S yn d ica t d ’in itia tiv e . — Le Conseil dé­cide su r la p ro p o sitio n de M. le M aire, de sa tisfa ire à la dem ande du S ynd ica t d ’in itia tiv e , te n d an t à ce que la Ville fasse don à ce groupem ent de la b a ra ­que ayan t s e r v i de bu reau d ’octro i. C e t t e baraque se rv ira de bu reau de ren se ig n e­m ents au S ynd ica t d ’in itia tiv e et sera p lacée, p lace de la Gare, su r le te rra in de la Cie du Nord.

B uvette de la Fête. — Le Conseil r e ­je tte la dem ande de M. B o b in ,ay an t pour but d ’o b ten ir une réd u c tio n de la red e ­vance annuelle qu’il s’est engagé à v e r­ser p o u r la tenue de la buvette de la Fête. L ’avis du Conseil m u n ic ip a l est ém is en co nsidéra tion du tra ité in te rv e ­nu, lequel constitue un titre de recettes in d u b itab le que r ie n ne sa u ra it d im i­nuer.

M. D ubrou ille t s’est abstenu . M. Lelo­geais a voté pou r l’accep ta tio n de la de­m ande.

Fam illes Françaises. — Une dépense, de 750 fran cs p o u r rem ise de p rim es à des m ères fran ça ises de la m édaille de la fam ille frança ise est ratifiée à l ’u n an i­m ité.

Bail D evillers. — M. le M aire est auto­risé à p ro cé d e r au renouvellem ent du bail conclu en tre la Ville et M. D evillers, p o u r la location du lavo ir de la ru e de Creil. Le p rix du loyer est p o rté à 1.000 fran cs au lieu de 750 francs.

F onds de chôm age. — L’assem blée dé­cide de m odifier le règ lem en t du fonds m un ic ipa l de chôm age p o u r le m ettre en h arm o n ie avec le décret du 24 ju in 1932, lequel déc re t décide que toute lim ita tion p o u r la durée p en d a n t laquelle un chô­m eur p eu t ê tre secouru p a r les fonds p ub lics de chôm age est su p p rim ée jus­qu ’au 31 décem bre 1932.

A ssocia tion synd ica le du Bois Sainl- D enis. -.— Le C onseil m un ic ipa l, à l ’u n a ­n im ité, ra tifie l’acco rd am iable in te rv e­nu, le 14 m ai 1932, en tre M. le M aire, MM. M oreau et G érard , re la tif au règ le­m en t d ’une p a r tie de subvention.

MM. M oreau et consorts to u ch ero n t16.000 fra n cs et l ’A ssociation Syndicale,4.000 francs.

A cqu isition d 'ex tin c teu rs d ’incend ie .— S uivant l’avis de sa C om m ission des F inances, le Conseil décide de ne don­n e r aucune suite à une p ro p o sitio n de la m aison T écalim it re la tiv e à des ex­tin c te u rs d ’incend ie .

Insta lla tion de 10 bouches d ’incend ie .— Les p ro p o sitio n s et devis présen tés , p o u r cette in sta lla tio n p a r la Société L yonnaise son t acceptés.

Le p r ix p a r bouche d ’in cen d ie rev ie n ­d ra à 2.650 fran cs y com pris le te rra s ­sem ent.

Toutefois, avant de p ro cé d e r à toute in sta lla tion , le Conseil déc ide qu ’une com m ission tech n iq u e qu ’il désigne d ’ailleurs, devra é tu d ie r cette question très sérieusem ent, no tam m ent au po in t de vue du ty p e des rac co rd s à adop ter.

Il se ra dem andé égalem ent à la So­ciété L yonnaise un engagem ent d ’en tre ­tien de 2 ou 3 ans.

T ravaux de voirie . — M archés. — F a i­san t su ite à sa délibéra tion du 19 av ril d e rn ie r, le Conseil au to rise M. le M aire à passer d ive rs m archés de gré à gré, nécessaires aux trav au x de vo irie ac tue l­lem en t en trep ris .

Au p o in t de vue financier, il ne s’en su iv ra aucune dépense su p p lém en ta ire tous les trav au x actuels é tan t com pris dans le p rog ram m e a rrê té au m ois d ’avril.

Chauffage central. — E cole des filles Il s’ag it là d ’une question p a r tic u liè ­rem en t p ressan te et qui a été exam inée d ern iè rem en t p a r la C om m ission des travaux .

Cette com m ission ap rès e tude ap p ro ­fondie, a ém is l’avis qu’il y a u ra it lieu de re fa ire tou te l ’in sta lla tio n du chau f­fage en se con fo rm an t au p ro je t p résen té p a r M. C laparède, arch itec te .

A près avo ir envisagé p lu sieu rs solu­tions, la Com m ission a p réco n isé un ap ­pel d ’offres au p rès de p lu sieu rs grandes m aisons spécia lisées p o u r des travaux d ’une telle im portance .

Le Conseil adopte les conclusions dm sa Com m ission des trav au x en déc idan t toutefois que ces trav au x d ev ro n t etre te rm inés le 20 sep tem bre, sous peine de pénalité .

cérém onies officielles eu égard à la ca ­ta s tro p h e du « P rom éthée ».

C om plim entons donc ceux à qui nous devons ce 14 ju ille t re la tivem en t b ril­lan t : le Conseil m u n ic ip a l et les socié­tés locales qui ont chacun -dans leu r me­su re p a r tic ip é à la fête. Nous croyons effectivem ent avoir nom m é les bons a r ­tisans du 14 ju ille t can tilien , ca r nous ne soupçonnons pas u n seul in s tan t que le loyal rép u b lican ism e des h ab itan ts ait pu v a r ie r si fo rt dans le sens ascendani d ’une année su r l’au tre . Non ! il y a au­tre chose.

Nous nous en ré jou issons avec M. Tout le m onde : il faut aux gens qui trav a il­len t des in s tan ts de déten te et c’est d ’a il­leu rs à ce titre essen tie llem en t h yg ién i­que que nous con sid éro n s les fêtes du 14 ju illet. L ’événem ent de la p rise de la B astille — p o u r ceux to u t au m oins qui ont lu l’H isto ire dans des m anuels im ­p a rtiau x — ne d em an d era it évidem m ent lias un tel dép lo iem ent d ’uniform es. Le m assacre des pauv res Suisses de de Lau- nay el la m ise au bout d ’une p ique de la tête du gouverneu r dupe d ’avoir «..né­gocié h o n nêtem en t la red d itio n d e - sa fo rte resse » qui ne ren fe rm a it pas du tout les m alheureux qu ’on y c ro y a it trou­ver, tou t cela n ’a p p a ra it pas en somme aussi digne d ’un an n iv ersa ire qu ’ou 'veut b ien l’affirm er.

Mais je sais — car je ne suis tout de m êm e pas aussi e ffro y ab lem en t'n o v ice que m on lecteu r suppose — je s iis qu’il y a le sym bole. S ur le sym bole, je ne m ’é ten d ra i pas. C’est là un îmjet qui p o u rra it te n te r m a plum e s’il n ’avait déjà ten té beaucoup de plum es et s’il n ’é ta it au-dessus de mon faible talent A utrem ent d it j’au ra is peu r d ’y laisser la m ienne.

En vérité le p lus c la ir de ce que les F ra n ça is ont gagné à la p rise de la Bas­tille, c ’est de bénéficier, du 14 ju illet du ­ran t, d ’une lib e rté un peu p lus com plète: Us son! m aîtres, en effet, de la chaussée où ils dansen t, m a ître des riv iè re s où la nav igation est in te rrom pue , lib re s d ’oc­cu p e r sans bourse déliée les m eilleurs fau teu ils des g rands théâtres et j’abrège. B ref ! le peuple ce jour-là est « souve­ra in ». Cette fo rm ule m arque b ien d’ail­leu rs qu ’on en tend qu ’il reste sous le régim e nouveau les 364 au tres jours, ce qu ’il é tait sous l ’anc ien Tannée en tière

Tel est mon p o in t de vue. Mais je se­ra is désolé q u ’il se ren c o n trâ t " avec •‘le vô tre, ca r je vous avoue que &e ;,préam ­bule ne vise qu ’à être am usant et que je suis pas ce rta in du tout qu ’il y réussisse.

P o u r nous en te n ir à l ’exacte a p p ré c ia ­tion de la fête : m arquons le rem a rq u a ­ble succès de la re tra i te et le succès plus b rilla n t encore du feu d ’artifice du di­m anche , suiv i d ’un bal à g rand orches­tre.

La M unicipalité el les sociétés, le di­m anche m atin , se sont ren d u es au m onu­m ent aux m orts où M. Paulvé, m aire . de C hantilly , a p rononcé quelques m ots. La revue qui devait ê tre passée su r la place Omer-Vallon n ’a pas eu lieu, ce pour su iv re les in s tru c tio n s gouvernem enta­les.

Nous rep ro d u iso n s p a r ailleu rs le pal­m arès des Ja rd in s ouvriers et nous don­nons su r la rem ise des décorations aux m em bres de TU. N. C. le com pte rendu pub lié p a r la Section.

Les jeux et le T ournoi de football ava ien t a ltiré la g rande foule. Chantilly é lim ina it Senlis — ap rès pro longation — p a r 1 à 0, ta n d is que M ontataire se défa isa it de Creil p a r 2-1 et toujours ap rès p ro longation . Si nous en jugeons p a r la m arque les m atches fu re n t serrés. La finale des vaincus rev ie n t à Creil qui battit: Senlis p a r 4 p o in ts con tre 1 et C hantilly s’ad jugeait le T ou rno i en tr io m p h a n t p a r 1 b u t à 0 de M ontataire.

62.63.64.65.66.67.68 . 69. 76.71.72.73.74.

Pruvost Louis .........Campion E ugène . . L eclerc Georges . . . Sallenave Roger . . .Dupuis Roger -----R i c h i e r E m ilien . . . Tassart C lodom ir . Petit-M aclet VeuveCollet A lbert .........B o u ch ez Gustave . .Foot A lbert ................Viot Léon (Veuve) Malagnoux B ernard Aubry Em ile .........

Total .......................

2020202020202015151515151515

1.945

m

f â R I É Ï É Srue du Connétable, C H A N T I L L Y

Direction : Al. B l o c h

w e n i e f l i 22 au Lundi 25 JuilletDimanche : MATINÉE à is heurts

L Ë f e i i ’I ï ï ’i i; i; \ interprété parj

Marcel h JEFFER SO N -C O H N Georges iVNNES, Fernand FABRE Jean WEBER de la Cotné fie Française

et Diana KARENNE réalisé pV Gaston RAV EL

en collaboratidn avec Tony LEKA1NFdm ém ouvant et p assion n an t

Les seines f inales co m pten t p a rm i les phts belles du C iném a p a r la n t

i?AT H É - J O U R N A LA jualités sonores et parlées

J f i g u r b t i o hGonidie parlée interprétée par

Jeannine MERREY, André DUBOSC Claude DAUPHIN et René JULL1EN

A|EfiT£ A LA BASSE-COIi tf. Un des meilleurs dessins Itfimés sonores que l'on a it jam ais vus

C ’est une question dé p r in c ip e à la ­quelle nous ne pouvons déroger.

Société des R allyes de C hantillyCette société a donné au jo u rd ’hu i p a r

u n tem ps idéa l sa d ix ièm e réu n io n . R en­dez-vous à La P isselo tte . A près ê tre p a r ­tis p a r la rou te Sainte-M arguerite, le P o ­teau du N oyer, la rou te de H aute-C hau­me, les cavaliers sau tè ren t le pavé p a r deux obstacles p o u r sau ter un m u r p rès de La B araque C haâlis, a in si q u ’un dou­ble de b a rres dans la rou te du Bosquet de D am m artin , re p re n a ie n t la ro u te du C arb o n a t où ils re tra v e rsa ie n t le pavé p a r deux obstacles p o u r rev e n ir à La Ba­raque C haâlis p a r la v ieille rou te , où ava ien t été p lacés tro is beaux obstacles. A près 10 m inu tes d ’a rrê t, ils rep assa ien t le m u r de la V ieille rou te p o u r p re n d re en m ontan t la rou te T o u rn an te , des Pots à B eurre, laquelle ju squ ’à la g rande F o u r­chette é ta it sem ée d ’obstacles divers. D escendaien t aux P oteaux des Vaches, du Chêne, p o u r v en ir te rm in e r su r deux obstacles à la P isselo tte .

Tous les obstacles rea v e rsé s d im in u ait d ’un p o in t la chance des cavaliers, le jeu final co n s is ta it en le sau t d ’une b arre , les cavaliers te n an t une assiette dans la ­quelle é ta it p lacé un œ uf. A près barrag e les vainqueurs ont été les deux p lus jeu­nes cavaliers de chaque catégorie . Mlle O dette L azard p o u r les am azones et M. Jacques de Sain t-S auveur p o u r les hom ­mes, les flots leu r ont été rem is p a r Mlles R om m etin et Mallet.

E ta ie n t p résen ts MM. R oussillon, capi- ta ine C hapuis, R om m etin, D upuy, Cha- boussan, com te de Saint-Sauveur, .1. de Saint-Sauveur, Mallet, D' et Mme Rous­sel, T ony Roussel, W atson , L azard , W esl- fried , Dit P a r tu r ie r , Mlles R om m etin, Mallet, L azard .

Sam edi p ro ch a in , rendez-vous à 15 heures, au Bois L a rr is pou r épreuves de concours h ip p iq u e .

G . T. 12 ru e d ’O ry em o n t

L ’U. N.P lus de

l’appel du Comité et fo rm aien t pe im posan t au tour du dr^pi

C. a u x F ê t e s d u 1 i J u i l l e t 150 A. C. ava ien t répond it à

un grou- _yeau de la

Section.De belles gerbes de fleurs fu ren t dépo­

sées au M onum ent aux M orts, p a r une veuve soc ié ta ire et au p ied de la statue du M aréchal JofTre leu r vénéré chef.

A l’issue de la revue passée place O- m er-V allon p a r la M unicipalité , le P ré ­s iden t rem it avec le cérém onia l habituel, la m édaille m ilita ire au cam arade Chan­tourne et la c ro ix dîu com battan t au doyen de la Section, le ca m arad e P ier- son, vieux b r isq u a rd des cam pagnes de Chine, d ’A nnam et du T onkin .

Au v in d ’h o n n eu r qui su iv it la dislo­cation , le p ré s id e n t en te rm es chaleu­reux , rem e rc ia les cam arades d ’êfre ve­nus aussi nom breux et les fé lic ita de leur u n io n .

T rè s belle m an ifesta tion em prein te d ’un bel e sp rit de cam arad erie et de so­lid a rité don t chacun em porta le m eil­leu r souvenir.

P A LM ARES du Concours des Jard ins O uvriers

Sommes allouéesClassera* N om s et P rénom s

La dépense en résu ltan t sera im putée su r les exercices 1932 et 1933.

Com ité secret. — L’o rd re du jou r épui­sé, le Conseil m u n ic ip a l ém et son avis su r les dem andes d ’alloca tions p ré se n ­tées aux titre s des d iverses oeuvres d ’as­sistance.

Le l i Ju ille t La fête du 14 ju ille t qui, les années

p récéd en tes — à C hantilly du m oins -— p assa it assez in ap erçu e , a p ris je iu n d e rn ie r les a llu res d ’une véritab le fe.e. Nous en tendons le m ot fête dans le bon sens du m ot, les ré jou issances popu la ires ayan t gardé to u t au long le ca rac tè re d ’une p arfa ite honnêteté , d ’au tan t p lus que le G ouvernem ent ava it donné le ton en tran sm e ttan t aux m un ic ipa lité s 1 o r­d re de réd u ire au s tr ic t n écessaire les

1. B runson H enri ............ 50 fr,2. Doize H en ri .................. 50 »3. S teim ann L o u is ............. 35 • »4. F lav igny F l a v i e n ......... 35 »5. K ellett veuve ................ 35 »6 . Bâton Léon ..................... 30 »7. B righ ton H enri ............ 30 »8. L efebvre Eugène ......... 30 »9. L ete llier Louis .............. 30 »

10. B ro u illa rd Georges . . . 30 »11. P o y a rt G aétan .............. 30 :»12. E v ain Je an ..................... 30 » ■13. H ack ière A drien ......... 30 »14. L anglais Félix .............. 30 »15. H u rie r E dm ond ........... 30 »16. D aguerre F ran ço is . r'. 30 »17. P ey ro tte Louis .............. 30 d18. D uvauchelle E dm ond . ’ 30 »19. D esseaux Jovelet ......... 30 » :20. Boufflet Georges ......... 1 30 ))21. Noé C harles (veuve) . . 30 ))22. Jacobée Achille ........... 30 ))23. Lefèvre E m ile . . . . 30 ))24. P asque t Gaston ........... 30 »25. T w eed D ozegand ........ 30 »26. C ouvreur N arcisse . . . 25 »27. C héry Auguste .............. 25 ))28. D upuis M arcel .............. 25 )>29. P e tit Auguste (veuve) . 25 ))30. F rè re E m ilien ......... 25 ))31. S teim ann A ndré ........... 25 ))32. Steim ann H enri ......... 25 »33. D u p u i^ llo b e r t .............. 25 ))34. P ey ro tte ' H en ri ............ 25 ))35.- S eàbrock W alte r ......... 25; »3Œ: M alezwiski A ndré . . . . 25 »37. L onguet H enri .............. 2538. D elahaye E u g è n e . . . . 2539. Pasquet P ie rre ............ 2540. D udeault A lphonse . . . 25 'Ÿ4L42.

G audefroy G ilbert . . . . F u lle r E d o u ard ...........

2525

»»

43. M ercier Eugène ........... 25 D44. M eyer Veuve .............. 25 D45. C ostard Veuve .............. 25 »46. Gayot M arcel . . . . . . . A 25 ))47. H ackière E lie ................ 25 »48. Butot C harles ................ 25 »49. V inot Léon ..................... 25 p50. D ero llepot V incent . . 2551. D upuis A rthu r .............. 25 ))52. C abaret Veuve .............. 25 J)53. P révost E dm ond ......... 25 ))54. L efebvre Louis ............ 25 y>55. D elahaye Louis ............ 25 »56. P in ch o n Veuve ............ 25 »57. T rau le t A ristide ____ _ 2558. Couvez Joseph ............. 2559. V ervin René .................. 25 »60. Gam elin H enri .............. 2561. S teim ann A lbert . . . . . 20 »

nion N ationale des C om battantsnage sur les cham ps de bataille

' » de la Som m ef Quatre g rands au tocars su rch arg és et deux voitures p a rticu liè re s d ém arra ien t dim anche 10 ju illet, à 6 h. 50, de la p la c e Omer-Vallon.

Après avoir trav e rsé Creil, C lerm ont, Saint-Just, la ca ravane s ’a rrê ta à Mont- d id ie r pour le p e tit dé jeuner. De là, elle gagna P royart où la lib é ra lité d ’u n géné­reux Mécène p e rm it l ’é rec tio n d ’un m a­gnifique m onum ent à la m ém oire des m orts de la G uerre.

Un quart d ’heure p lus ta rd , nous étions p rès de Chuignes où nous tro u ­vons les restes d ’une B ertha qui é ta it des­tinée à b o m b ard er Am iens.

Après avoir p r is l ’ap é ritif à B ray-sur- Somme, nous con tinuons no tre rou te p ar F ricou rt, Pezières, T h iepval et co n sta ­tons le nom bre co n sid érab le d ’ossuaires, de cim etières F ran ça is , A nglais et Alle­m ands qui s illonnen t tou te cette région Tous sont en tre tenus d ’une façon p a r­faite.

Après le p ique-n ique su r le cham p de bata ille T erreneuvicn , p rès de Ham el, de petits groupes se fo rm en t et p a rc o u re n t

: ce te rra in conservé in ta c t p a r les B ri­tanniques. .

Le <i„part est sonne a 15 heures. Nous gagnons A lbert, pu is A m iens où des a r­rêts successifs p e rm e tten t les v isites de la Basilique et de la C athédrale, Nous regagnons la rou te in itia le à Saint-Just, p a r Dury, H ébecourt, etc. A 20 h. 45, nous étions de nouveau su r la p lace Omer-Vallon, heureux et con ten ts du m a­gnifique voyage que nous ven ions d ’ef­fec tuer. L’o rd re et la bonne hu m eu r con­tr ib u è re n t au succès de celle belle et bonne journée.

Dkbrayk.Au Patronage Saint-Louis

D im anche 24 juillet, de 14 à 19 heures, les clow ns p aris ien s Jano et R ico don­n ero n t une série de rep rése n ta tio n s fort am usantes. L eurs ta len ts variés d ’ac ro ­bates, de cascadeurs, de b a rris te s , etc,, on t de quoi fa ire passer un e excellente après-m id i au g rand com m e au petit m onde.

Us ne seron t d ’ailleurs pas seuls. De nom breuses et agréables su rp rises sont réservées aux specta teurs.

Le soir, à 8 h eu re s , les L illip u tien s donneron t une rep rése n ta tio n orig inale. Un program m e très détaillé se ra m is en vente dès le m atin .

L a « Sain t-L ou is »La saison des concou rs de gym nasti­

que touche à sa fin. Les gym nastes de la Saint-Louis on t m ain tenu le bon renomqu’ils se sont a c q u i s d e p u i s t r o i s ans .

P o u r la p rem ière fois, les pup illes oui rap p o rté , du C ham pionnat de l ’Oise à Gouvieux, le fan ion de l ’U nion Régio­nale. Bel encouragem ent p o u r les petits et belle récom pense p o u r leu r dévoué m o n iteu r Eugène G arreau ! Les adultes qui ne croya ien t avoir que la deuxièm e place dans la ca tégo rie B, rem p o rten t une fois de plus, ap rès rec tifica tion du palm arès, le Challenge.

Le 14 ju illet, toute la société avec ses 70 m em bres est heureuse de m ettre une note gaie dans le cortège du m atin à tra ­vers la Ville. Le soir, les deux m eilleu rs adultes p a rte n t p o u r le C oncours N atio­nal et In te rn a tio n a l de N ice. C hantilly esl b ien rep résen té sur la Côte d ’A zur; nos ath lètes rev iennen t le m a rd i suivant, avec un p r ix d ’ho n n eu r p o u r le concours en section et un p rem ier p r ix p o u r leur série à m ains libres.

N otre gym nastique c o n n a îtra encore de beaux jburs, les nom breux amis, qu ’ellé com pte dans C hantilly , s’en ré ­jouissent. /Elle est un excellen t m oyen non seulem ent d ’éducation physique, m ais enoore de fo rm ation m orale p a r les q u a lité y d e volonté, d ’énerg ie et de bon­ne temfc, que Ton exige de ses m em bres. Les familles elles-m êm es p a r l ’in té rê t q u ’elles p o rten t au développem ent de la

.Saiüf-Louis, ont de fréquen tes occasions id e .s e ré u n ir , de se co n n a ître et de se

d istra ire ; en cela, n o tre gym nastique £ait œ uvre fam iliale.

F. H.Un beau succès aux exam ens

Nous som m es p a rticu liè rem e n t heu­reux d ’an n o n cer le succès obtenu p a r M. Jacques R egnault, fils aîné de Mme et de M. R obert R egnault, le sym path ique mé­treu r de l ’avenue A um ont.

M. Jacques Regnault a été reçu le p re ­m ier au concours d ’adm ission à l ’Ecole N ationale S upérieu re des Beaux-Arts.

Nous adressons au jeune la u ré a t et à yj. et Mme R obert R egnault nos p lus co r­diales fé lic ita tions p o u r un si beau suc­cès qui fait b ien augu rer pou r l’avenir.

A un anonym eNous avons reçu une in fo rm ation ta­

pée à la m ach ine à éc rire , datée de P a ­ris, m ais sans signature.

Nous reg rettons de ne p o uvo ir en faire usage, tan t que l ’au teu r ne se se ra pas fa it° conna ître à n o tre rédac tion .

Leçons de M anège. — Prom enades A ch a t. — Vente

Chevaux p o u r chasses et ra llyes

ETAT CIVIL DU 29 JUIN AU 15 JU ILLETN a is s a n c e s

29 ju in . F u s ilie r C hristiane-S im onc- F lo re , p lace de la M achine.

1er ju ille t. Ju llia rd Lucette-G ilberte, 34, ru e du C onnétable.

2. T aca il P ierre -E m ile , 16, ru e des Cascades.

4. K atossky M onique-A ntoinette-M arie, 16, ru e des Cascades.

5. D orokine C laude-H enry, 34, ru e du Connétable.

7. Ram u Françoise-M arcelle , ru e de la N onette.

9. W atel Guy-C harles-Louis, 34, rue du C onnétable.

Décèsl or ju ille t. T u rp in R ené-Joseph, 12 ans,

30, ru e de Creil.4. Colset, sexe m ascu lin p résen té sans

vie, 16, ru e des Cascades.10. L ecas R ené-Em ile, 21 ans, avenue

de M ontm orency.10. N agington Jam es-E dw ard , 70 ans,

avenue M arie-Am élie.M ariages

2. Comte Georges et SchafTner M arie- E lv ire .

P ublica tions de m ariagel or ju illet, R ich a rd Em ile, ébéniste, à

Creil, e t B arnes Y vonne-Jeanrie, em ­ployée à C hantilly .

4. T ronquoy G eorges-H enri, in g én ieu r à C hantilly et S chm ite E lizabeth-B ertha- P au line , sans p ro fession à C hantilly .

6. Noé Em ile, p lom bier à C hantilly , et C lark M arie-Louise, m an o u v riè re à C han­tilly .

8. B righ ton E douard-G eorges, m anou- v r ie r à C han tilly , et G allaspy M argueri- te-Louise, co u tu riè re à C hantilly ,

De l’essence à bon com pte Vers un e h eu re du m atin , M. A drien

Courtois, déposita ire d ’essence, rou te de Creil, é ta it réveillé p a r un au tom obiliste qui se fit se rv ir tren te litre s d ’essence, pu is alors que M. C ourto is se ren d a it dans son dépô t ch e rch e r un li tre d ’h u i­le, l ’autom obiliste m it son m o teu r en rou te et s’em pressa de p re n d re la fuite.

Se trouve-t-on en p résence du m êm e autom obiliste qui ava it agi de la même façon au p ré ju d ice d ’un d ép o sita ire d ’es­sence de Beauvais. On T'ignore.

Sur p la in te , la gen d arm erie de C han­tilly enquête.

Les suites d ’un accidentLe 8 ju in , M. Roger G uilbert, de Coye-

la-F orêt, se tro u v a it en au tom obile à l’angle de la rue de P a ris et de la p lace Om er-Vallon. En m an œ u v ran t p o u r to u r­ner, il h eu rta un m otocycliste , M. Tem ps, recev eu r à la S. T. C. R. P ., d em euran t

P aris , qui fu t légèrem ent blessé. M.G uilbert fu t incu lpé de b lessu res p a r im ­p r u d e n c e . L e t r ib u n a l a e s t im é q u e la resp o n sab ilité de l ’acc id en t devait être p artagée p a r m oitié en tre l’au tom obiliste et la v ic tim e et n ’a condam né M. Guil­b e rt qu ’à 16 francs d ’am ende.

I l se prom ena it dans le ParcLe 8 ju ille t 1932, vers 6i heures, un in ­

d iv idu a été su rp ris p a r le g a rd e Gau­th ie r, alo rs qu’il se p ro m en a it dans le p a rc du château . Cet ad m ira te u r de la n a tu re condu it devant M. T au p in , rég is­seur du dom aine, a réussi à s’éch ap p e r p a r la p o rte dMne grille non ferm ée. Son signalem ent ayan t été donné à la g e n d a r­m erie , il a pu être re jo in t quelques in s ­tan ts p lus ta rd en b o rd u re du g ran d ca­nal. Il a été a rrê té p o u r vagabondage.

A ccid en tsLe 8 ju ille t vers 11 heures, su r la rou le

de C hantilly à V ineuil, une auto c o n ­du ite p a r M. M audille, de V ineuil, et un van autom obile des T ra n sp o rts h ip p i­ques condu it p a r M. Ragot se son t re n ­con trés. Mme M andiile a été légèrem ent blessée et son fils René légèrem ent co n ­tusionné au front.

M aîtrisé et ram ené à la caserne , il a été m is en état d ’a rre s ta tio n p o u r réb e l­lion envers un officier de la fo rce p u b li­que dans l ’exercice de ses fonctions. C’est un dénom m é G uyot Raoul. Il a été d irigé su r Senlis."

VagabondageLe 15 ju illet, vers 16 heures, le dénom ­

mé Said Ben Amed a été a rrê té su r la rou te de V ineuil à p ro x im ité du golf de C hantilly , p o u r vagabondage. Il é ta it dé­m uni de tou te ressou rce et n ’avait pas trav a illé depuis 5 sem aines.

CHAIWANT

Pèlerinage de Bon-Secours. — Dans le d e rn ie r com pte ren d u du P èle rinage de B on-Secours nous avons annoncé que beaucoup de p è lerin s ava ien t tenu , le d i­m anche so ir, à assis te r à la c lô tu re de lu N euvaine. Deux cen ts avons-nous im ­p rim é. Nous p rio n s nos lec teu rs de b ien voulo ir ajou ter un zéro qui, dans ce tte c irco n stan ce tie n t sa p lace et c’est 2.000 q u ’il fau t lire .

CHAMBLYE n correctionnelle . — Au m ois d ’oc­

tobre 1931, un c lien t d ’un re s ta u ra n t se tro u v a n t à co u r t d ’argen t p o u r rég le r une note la issa en g aran tie sa m oto, au géran t de l’étab lissem ent, M. H en ri O ran ­ge. Q uand il rev ie n t quelque tem p s plus ta rd p o u r rég le r sa dette et re p re n d re sa m ach ine , il eu t la désagréab le su r­p r ise de consta te r que la dynam o de la m oto avait d isp a ru et M. O range aussi.De Tenquête à laquelle se liv ra la gen­d arm erie , il résu lte que M. O range ava it essayé de v en d re la dynam o 500 fran cs à une p erso n n e de C ham bly, m ais que celle-ci refusa. O range, qui est ac tue lle­m ent sans dom icile fixe et en in stan ce de d ivorce , a été condam né p a r défau t à 15 jou rs de p rison .

COYE-LA-FORETFête d ’E lé. — D im anche p ro c h a in 24

ju illet, à l ’occasion de la F ete d ’E té de « La Riiche de Coye », G ran d ’Messe so­lennelle à 10 heures. L ’ap rès-m id i, au P a rc du P atronnage des Jeunes Gens, 2, rue de L uzarches, F ête de Jo u r de 15 h e u r e s .à 19 heu res . E n trée : 2 fran cs . E n fa n ts : 1 franc . F ête spo rtive : E p re u ­ve de m arche « T our de Coye », ouvert à tous les am ateurs de la rég ion . Dé­m onstra tion de T enn is et de Basket-Ball. Com bats dém onstra tifs de boxe p a r Mo­re / et F rédéric , cham pions de F ran ce . Sports com ique. C ourses à la valise, à la ch an d e lle et en sacs. Course avec obs­tacles. Courses cyc listes au ra le n ti, etc. (nom breux p rix ). A ttrac tions m ultip les et Jeux d ivers : B illa rd japonais , T ir, Roue de la F o rtu n e , P êch e à la ligne, etc. G ofnptoirs variés : A lim entation , a rtic le s p o u r en fan ts, jouets, p a rfu m erie , b ijou ­terie , confiserie, a rtic le s d ive rs à des p r ix trè s avantageux au-dessous de la valeu r réelle.

De 17 à 19 heures, thé et ap é ritif-co n ­cert.

Le soir, à 21 h eu res , F ê te de Nuit. E n trée : 3 francs. E nfan ts 1 fr. .50. Con­ce rt in s tru m e n ta l p a r la F an fa re de La R uche. T rapèze. T ab leaux v ivan ts. B al­lets. P y ram id es. « Les Je ts d ’eau », lil- m ette ca llis thén ique chan tée , m inée et dansée avec . solos et . ch œ u rs. Danses. C hœ urs. Duos, R o m a n c e s /T h é â tre : P en ­dant le bal, com édie en un ac te de E. P a ille ro n . In term èd es com iques, sans com pter les fam eux c low ns p aris ien s Jano et R ico, m usiciens, ca sc ad eu rs et acrobates, dans leu rs exh ib itions.

P en d a n t toute la jou rnée et la fête de nu it, Auberge de T Isle-de-F ranee (p â tis­series, san d w ich s, glaces, thé , café, cho­colat, ap é ritifs , ra fra îch issem en ts v ariés).

E n cas de m auvais tem ps, la F ête et la Vente de C harité au ra ien t lieu dans la salle d ’éducation p h ysique et au Fam ily- T héâlre .

— A l ’occasion de sa F ête d ’été de di­m anche p ro c h a in 24, et en p lus de son épreuve de m arche « T our de Coye », la R uche o rganise T après-m id i une co u r­se cyclo -pédestre d ’une v ing ta ine de k i­lom ètres ouverte aux am ateurs.

Cette ép reuve qui em p ru n te ra les val­lonnem ents en to u ra n t Coye p e rm e ttra aux d éb ro u illa rd s de m o n tre r leu rs qua­lités,.

Les engagem ents son t reç u s ju squ ’au m om ent du départ, le 24 à 16 heures, p a r M. Longa qui fo u rn ira tous ren se i­gnem ents.

Union N ationale des C om battants. — Le P ré s id e n t rap p e lle à ses C am arades que la Section a u ra l ’h o n n eu r de ra v iv e r la F lam m e sous l ’Arc de T riom phe, le m e rc re d i 27 ju illet, à 19 heures.

Rendez-vous : M étro E to ile, avenue de W agram , à 18 h. 45.

— Au ré c it de la clô tu re de la N eu­vaine à N otre-D am e de Bon-Secours, p rès Senlis, dans le C ourrier de d im an ­che d e rn ie r, les d izain ières de la L igue P a tr io tiq u e des F ran ça ises s’é tan t re n ­dues ce m êm e d im anche 10 ju ille t, eu pè lerinage T après-m idi dans la co n fo rta ­ble vo itu re de D aguet, n o tre co rre sp o n ­dan t du chem in de fer, n ’eu ren t pas le bo n h eu r d ’en ten d re le P ré d ic a te u r si goûtée de ta n t de fidèles qui T en tend i-ren t.

Nous avions déjà eu une décep tion au d épart, n o tre P ré s id en te de la L igue qui do it q u itte r b ie n tô t C oye-la-Forêt e t que nous voyons p a r t i r avec ta n t de reg rets , s ’est trouvée em pêchée p a r u n e v is ite in a tten d u e de nous accom pagner dans ce d e rn ie r pèlerinage avec ses d izain ières.

11 nous fallu t r e n tre r à 6 heu res et la p réd ic a tio n n ’avait lieu que le soir.

Mais nous fûm es un peu dédom m agées p a r la ren c o n tre à la G rotte d ’un des deux m issionnaires qui nous tin t un ce r­ta in m om ent sous le charm e de son apos­to lat si vivace.

N otre re to u r s’effectua p a r la v isite de la C athédrale de Senlis tou jou rs si im po­san te et si in té ressan te p a r ses si beaux souven irs !

Belle et bonne journée p o u r nous to u ­tes, qui nous encou ragea à nous d onner rendez-vous p o u r un p ro ch a in p è le rin a ­ge à Tun de nos san c tu a ires vénérés qu i se trouve pas très éloigné de chez nous en b o rd u re de no tre si belle rég ion de l’Oise

Une des d iza in ières.

■— Au cro isem ent de la g rande avenue du Lys-C hantilly et de la rou te de Gou­vieux au Lys, le 17 ju ille t d e rn ie r, vers 10 h. 15, une autom obile co n d u ite p a r M. G ryson, négocian t en v ins à M onta­ta ire , a tam p o n n é la v o itu re de M. Sim- p lo t Roger, in g é n ieu r agrico le à Senlis et Ta renversée. L’acc id en t se bo rn e forth e u r e u s e m e n t à d e s d é g â t s 'm a té r ie l s im ­p o r t a n t s .

— Le 15 ju ille t, vers 11 h. 50, au c a r ­refo u r form é p a r l ’avenue A um ont, les rues d ’O rgem ont et de l ’E m barcadère , deux vo itu res se son t ren co n trées Tune a p p a rten a n t à M. L appem an de P aris , l ’au tre à M. D ieringer, de Vanves. M. L apperm an , sa fem m e et sa fille on t été contusionnés.

Un ivrogne irascib leLe 11 ju ille t d e rn ie r, vers 10 h. 40, le

com m andan t de la b rigade de gen d ar­m erie de passage à C hantilly , aperceva it dans la rue du C onnétable, un in d iv id u en é ta t d ’ivresse qui s’am usait à a r rê te r les au tom obilistes. A la vue du com m an­dant, T ivrogne p r i t la fu ite . R a ttrapé ap rès une course de 100 m ètres, il se rebella , la n ça n t coups de p ied e t coups de po in g co n tre le com m m andan t qui réu ssit à les p a re r .

CROUY-EN-THELLE

E lections m un icipa les . — MM. A ndré D esseuve, o uv rie r agrico le et A lbert De- liste, em ployé de chem in de fer, ont été élus conseillers m un ic ip au x .

ERCUISE lec tion d ’un ad jo in t. — M. E d o u ard

B erthou in , a été élu ad jo in t en rem p la ­cem ent de M. Sergent, dém issionna ire .

ERMENONVILLE

L iste des num éros gagnants de la tom ­bola du 14 ju ille t 1932.

33 49 62 ' 68 108 127 150 168180 192 196 202 204 223 225 230233 234 238 249 256 277 284 286290 292 296 299 311 320 323 330375 387 396 416 423 437 447 468480 575 580 592 616 629 645 649675 695 728 753 779 797 807 858860 894 910 917 930 931 948 1043

1046 1066 1086 1089 1090 1134 1141 11511181 1191 1197.

N ota. ■—■ Les lo ts non réc lam és à la date du 15 octob re 1932 son t acquis à la com m une d ’E rm enonville .

Les gagnants dev ron t réc lam er leu rs lo ts à la M airie, tous les jou rs de 1 à 2 h eu res (sauf d im anches et fêtes).

Page 5: les tfoeptso» d’avis conlrairea It’Urbanisme et la ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1932_07_24_MRC.pdf · bien de sa tâche, gardons-nous de la Jiu conïpUqu'er par

Ft-EURtNES

F ête ajournée. — La fête relig ieuse de S ain t-C hristophe qui ava it été annoncée pou r le d im anche 31 ju ille t n ’au ra pas lieu cette année.

FONTAINE-CHAALIS

Légion d ’honneur. — M. Louis-M arie- P ierre-D om in ique Gillet, hom m e de le t­tre s , co n serv a teu r du Musée Jacquem art- A ndré à C haâlis, a é té p rom u officier de la Légion d ’ho n n eu r.

M. Gillet é tait chevalie r depu is le 18 av ril 1918.

Nous ad ressons au nonvel officier, nos p lus respec tueux com plim ents p o u r la d is tin c tio n do n t il v ien t d ’ê tre l ’objet.

FRESNOY-EN-THELLEU n d é p u t é e t s a f e m m e b l e s s é s . — Au

co u rs d ’une collision qui s’e s t p ro d u ite à la b ifu rc a tio n de deux chem ins en tre l ’auto co n d u ite p a r M. D u jard in , de Cour- bcvoie e t celle de M. P au l L am bert, re ­p rése n tan t de com m erce , ru e M adam e, à P aris , M. G risoni, dépu té et m aire de C ourbevoie, e t Mme G risoni qui se tro u ­va ien t dans l’au to de M. EHijardin on t été blessés.

Ils on t reç u les so ins de M. le Dr Ro­b in , de N euilly-en-Thelle.

L a gen d a rm erie a ouvert u n e enquête p o u r d é te rm in e r les responsab ilités.

OOUVIEUX

Les suites d ’un acc iden t. — D evant le tr ib u n a l co rrec tio n n e l a com paru M, H en ri Crazie, c h a r re tie r au serv ice de M. Valois, à La Chaussée, sous l ’in c u lp a ­tio n de b lessu res p a r im p ru d en ce .

Le 28 novem bre 1931, vers 13 h . 30, il rev en a it des cham ps en co n d u isan t un rou leau co m p resseu r non écla iré . Un m otocycliste , R oger V annym eerch , de­m eu ran t chez ses p aren ts , 13, ru e de B oran, à Gouvieux, qui se d ir ig e a it vers son dom icile , ne v it pas l ’obstacle qui se d ressa devan t lu i e t em boutit l’a r r iè re du rouleau. Le jeune hom m e fut g riève­m en t b lessé et n ’est pas e n c o re ré tab lit.

M8 W arusfe l se p rése n ta p a rtie civile p o u r Mme V annym eerch m ère , e t ses conclusions te n d e n t à d em ander au t r i ­bunal de b ien vou lo ir d ire responsab le <le l ’a c c id e n t M. C ra z ié e t a c c o r d e r à la v ic tim e rép a ra tio n du p ré ju d ice causé.

M" L o ir défend M. C razié et essaie d ’é­ta b lir à re n c o n tre du m otocycliste une grosse p a r t de resp o n sab ilité , p u isq u ’il n ’ava it p as de lum ière non p lus au m o­m ent de l’acciden t.

Le tr ib u n a l d it que la resp o n sab ilité de l’acciden t devait ê tre p artagée p a r m oitié en tre le c h a r re t ie r et la v ic tim e ; condam ne Crazié à d ix jours d ’em p ri­sonnem ent avec su rsis , à 16 fra n cs d ’a ­m ende et 5 fra n cs p o u r la co n trav en ­tio n ; pu is, s ta tu an t su r les conclusions de la p a r tie civile, il alloue à Mme V an­n y m eerch une p ro v is io n de 5.000 francs e t com m et le do c teu r C orpecho t, de Sen- lis, p o u r exam iner le blessé et d ire l ’in ­ca p ac ité p a rtie lle qui ré su lte ra de ce grave acciden t.

M otocycliste en défaut. — Le trib u n a l co rrec tio n n e l de Senlis a condam né à 50 fra n cs d ’am ende et à deux co n tra v en ­tions de 5 francs, le m otocycliste Luigi C albidiu, âgé de 27 ans, su je t ita lien , de­m eu ran t à W ingles (Pas-de-C alais), qui, le 29 m ai d e rn ie r, ren v ersa , dans l ’ave­nue du M aréchal-Joffre, Mme F lo ren tin e D ézegaud, m a rc h an d e de jou rn au x , et : la b lessa sérieusem ent. L ’acc id en t se ! p ro d u is it devan t l ’hôtel Condé, à 1 m. 50 du tro tto ir que v en a it de q u itte r Mme Dézégaud.

M8 W arusfel, p a r tie civ ile , re p ro ch a au m otocycliste : 1“ de ne pas avo ir an ­noncé son a p p ro c h e ; 2 ° son excès de vi­tesse.

M8 P ic a rd , défenseu r du p révenu , es­saya de fa ire su p p o rte r tou te la resp o n ­sab ilité de l ’acc id en t à la v ic tim e en lu i re p ro c h a n t d ’avo ir trav e rsé une rou te trè s fréquen tée sans avo ir p r is les p ré ­cau tions de sécu rité nécessaire .

Le tr ib u n a l a estim é que la responsa­b ilité devait ê tre p artagée à ra iso n d ’un q u a rt à la v ic tim e et le re s te au m oto­cycliste . P u is, s ta tu a n t su r les conclu ­sions de la p a r tie c iv ile , il a alloué 2.000 fra n cs de p ro v is io n à Mme D ézégaud et désigné le d octeu r P elle t, de Senlis, p o u r l ’exam iner et d ire quelles se ro n t les co n ­séquences de l ’acciden t.

LA C H A R E L L E -E N -SE R V A L

Les su ites d ’un acc iden t. — Nous avons re la té en son tem ps l’acc id en t qui se p ro d u is it le 23 m ai d e rn ie r, au cou rs duquel M. D audé, garçon d ’écu rie au h a ­ra s de l ’E toile, ava it été h ap p é et re n ­versé p a r un autom obiliste , M. A lexan­d re Z im m erlin , chauffeu r à Chauny.

Ge d e rn ie r tr a d u i t devan t le tr ib u n a l co rrec tio n n e l de Senlis p o u r b lessu res p a r im p ru d en ce , a été, ap rès p la id o ir ie de M* P ica rd , avoué, co ndam ne à 25 fr. d ’am ende et 5 fra n cs p o u r la co n trav en ­tion . E t s ta tu a n t su r les conclusions de la p a r tie civ ile rep résen tée p a r M” Chas- ta ing , avoué, M. D audé a ob tenu une in ­

dem nité de 1.50Ü fra n cs à t i tre de dom- m ages-in térêts.

M ONTEPILLOY

Coups réciproques. — La gen d arm erie a ouvert une enquête au sujet de coups réc ip ro q u e s p o rtés p a r des su je ts po lo­nais.

NERY

Cam briolage. — P en d a n t que les époux Gécy, o u v rie rs agrico les é ta ien t aux cham ps, un m a lfa iteu r in co n n u a p én é­tré à leu r dom icile et y a so u stra it deux ra so irs et une som m e de 700 francs.

On enquête.OGNON

DIMANCHE 24 & LUNDI 25 JU ILLET F E T E P A T R O N A L E

M a n è g e , C o n f is e r ie , L o te r i e , T i r , e tc .Bal sous la ten te

Le L und i 25 Ju illet, de 14 à 16 heures J e u x p o u r H om m es, D am es e t E n fan ts

M ort du do yen des G ardes-C hampêtrcs de Franc,e. —■ Un brave et excellen t hom m e est décédé la sem aine d ern iè re dans la com m une.

Il s’ag it de M. C onstan tin Geffroy, le doyen des gardes-cham pêtres de F ran ce , j Il ava it l ’estim e de la M unicipalité e t de la popu la tion . Ses obsèques o n t eu lieu en p résen ce d’une nom breuse assistance de p a re n ts et d ’am is en l’église d ’O gnon.

Au cim etière , M. L eclerc , m aire, a p ro ­noncé les paro les su ivan tes ;

M esdames,M essieurs,

Au nom de la m u n ic ip a lité et de toute la com m une d ’Ognon, j ’ai le douloureux h o n n eu r de ven ir p o r te r un d e rn ie r té ­m oignage à celui qu i, p en d a n t 52 ans, fu t le dévoué g arde-cham pêtre de n o tre p e tite agglom ération .

Geffroy C onstan tin est né à V illers-St- î F ram bourg , le 20 m ai 1841, il ava it donc 91 ans. C’est en 1880, qu ’il v in t h a b ite r Ognon, p o u r p re n d re la p lace de garde- ch a m p ê tre qui é ta it lib re .

E n 1901, il eu t le m a lh eu r de p e r ­d re sa fem m e; m algré la dou leur, e t la so litude causés p a r la d isp a ritio n de c e l le q u ’i l a lT e c tio n n a it , i l c o n t in u a jus- qu ’à sa m ort, à ê tre en tiè rem en t au ser­vice de la com m une et de ses hab itan ts.

P o u r réco m p en se r ses longs et loyaux serv ices , le gouvernem ent lu i ac co rd a it en 1913, la M édaille d ’anc ienneté des g ardes-cham pêtres : il é ta it d ’a illeu rs le p lus âgé, et le p lus anc ien en fonction , des agents com m unaux de F ran ce .

D epuis quelques années, le g ran d âge em pêchan t ce dévoué se rv iteu r de fa ire les trav a u x d’en tre tien des chem ins, la ­vo ir, etc., il te n a it ce p en d a n t à s’occu­p e r lui-m êm ç, de l ’affichage et de l ’en ­tre t ie n de la pom pe, ce n ’est que la fai­b lesse ex trêm e, qui le fo rça à se co u ­ch e r, p o u r ne p lus se relever.

Nous ad ressons à sa fam ille, et en p a r ­t ic u lie r à M. G effroy A lexandre, no tre collègue, nos p lus sym path iques co n d o ­léances. E n te rm in an t je m ’in c lin e re s ­pec tueusem ent devan t la dépouille de ce beau v ie illa rd qui e s t m ort en p a ix avec sa conscience.

Je dem ande à D ieu de lu i ac co rd er la récom pense p rom ise au bon et c o u ra ­geux se rv iteu r. Adieu, m on c h e r Geffroy, com ptez su r les p riè re s de tous ceux qui vous ont connu et aim é.

iEn ce tte douloureuse c irco n stan ce , nous ad ressons à la fam ille du défunt nos p lus sincères condoléances.

O R R Y -L A -V IL L E

Les fêtes du 14 ju ille t se son t déro u ­lées dans le calm e, avec les ré jou issances h ab itue lles (sauf le feu d ’artifices), re ­tra ite aux flam beaux le 13, sonneries de cloches le 14 au m atin .

A 2 h eu res 30, le M aire, la M unicipa­lité, les A nciens C om battants, la Musi­que, les S apeurs-P om piers, la Société S portive d ’O rry so n t allé déposer une gerbe au M onum ent aux M orts, où un d iscours a été p ro n o n cé p a r le M aire — qui a rap p e lé que le 14 ju ille t é ta it cl devait re s te r à jam ais l ’an n iv ersa ire de la L iberté — une m inu te de silence a été observée, p o u r tous nos m orts de la guerre en général et no tre reg re tté se­c ré ta ire des A. C. en p a rticu lie r .

A près la revue des S apeurs-Pom piers, p résen tés p a r le u r L ieu ten an t R oger Sa- vouret, la M usique sous la d irec tio n dé M. C achereux nous réga la de ses m eil­leu rs m orceaux , pu is Jaco b fit exécuter p a r ses gym nastes — don t les aînés ont | 20 ans et les cadets q u a tre ou cinq, des ! exercices d ’ensem ble rée llem en t rem ar- j quables. Nous le fé lic itons de la patien - ; ce don t il a dû fa ire m ontre , p o u r m et­tre au p o in t ses p y ram id es avec ses v ra im en t to u t petits.

Les danses se son t te rm inées fo rt ta rd dans la n u it (m ais les am oureux n ’ont pu a lle r se p ro m en er dans le bo is Saint- Jean qui dem eure fra p p é d ’in te rd it — La nata lité d ’O rry s’en re sse n tira ! ! !)

Nous rem erc io n s les généreux dona­

teu rs qui on t perm is la d is trib u tio n de lo ts aux gagnants des jeux.

Mme et M. M eyer-Borel qui v o u l u r e n t bien o ffrir la gerbe p o u r n o tre m onu­m ent.

Le Comité d ’in itia tiv e .MM. Roger Savouret, lieu ten an t et ses

po m p ie rs; C archereux et ses m u s i c i e n s ; Jacob, ses gym nastes jeunes et... très jeunes; O scar Savouret, p rés id e n t des A nciens C om battants, qui a b ien voulu se p lace r à la tête de la Section.

A tous M erci !Légion d ’honneur. — P a r décret du

1er ju ille t, (J. O du 10) C lotaire Rivet, m aire d ’O rry-la-V ille, a été fa it cheva­lie r de la Légion d ’h o n n eu r.

Nul p lus que nous, ne se ré jo u ira d ’une récom pense aussi ju stem en t m éritée.

R appeler en dé ta il la vie de Com bat­ta n t de n o tre am i R ivet se ra it nous en ­gager à é c r ire le liv re d ’une bonne p a r­tie de la guerre. S im plem ent quelques titre s : . t

4 C itations. — R égim ent, B rigade, Pi- v ision, Armée.

2 Blessures... don t une m anche vidée p a r l’absence d ’un bras... qu’il a églré... il ne peu t d ire où, ayan t figuré dans tous les co ins !... m ais peu t-ê tre Jfe jour où il a obtenu cette c ita tio n : < Sous- offic ier m itra illeu r, exem ple d e /b ra v o u ­re, a co n d u it sa section au tejl avec le p lus bel en tra in fa isan t exécuter des feux de p o u rsu ite avec à-propos, a ra m ené une m itra illeuse ennem ie. »

E t m ain ten an t mon vieux Maire, me voilà b ien em bêté, j ’avais accoutum é de passe r ta m anche v ide sous m on bras ou de t ’en se rre r l ’ex trém ité , en guise de poignée de m ains ! Il va fa llo ir que je cesse ces fan ta isies, pu isque te voilà une hu ile et cela m ’ennuie, c a r tu es com m e le général G ouraud : une manche v ide — une m édaille m ilita ire —- une légion d ’honneur... et... s’il gouverne P a­r is ... tu gouvernes O rry ! ! 1

Qu’à ce la ne tie n n e Rivet, je ne serai pas p ris ... et au lieu de se rre r le bout de ta m anche... je t ’em b rasse ra i (ça vaut b ien ça 1) et tout se ra d it...

E n a tten d an t, je te fé lic ite et suis heu­reux p o u r toi.

C h a r le s D u f o u r .

N écrologie. — Nous avons le regret d ’an n o n cer la m o rt d ’A ndré M archand dont les fu n éra illes ont eu lieu à Orry e t l ’in h u m atio n à. M arcelcave, dim anche 17 ju illet. La jeunesse d ’O rry a assis té nom breuse au co rtège de leu r jeune ca­m arade.

Nous p r io n s Mme Léonie M a rc h a n d d ’agréer nos sincères sen tim en ts de con­doléances.

VAUMOISE

R em ise d ’un drapeau. — La section de l’U. N. C. o rgan ise dem ain à Russy-Bé- m ont, une cérém onie .

A 13 h . 45, rem ise officielle du d ra­p eau à la -sec tio n p a r M. de Pontalba. p ré s id e n t du G roupe de l’Oise, sous la p rés id en ce d ’h o n n eu r de M. D uvivier.

Vin d ’honneu r, C oncert au p rofit de la caisse de secours.

VERNEUIL

Vol de num éra ire, ■— A sa ren trée de B renouille , où elle ava it été ren d re v i­site à sa tille, Mme veuve Louise Put- m ann , âgée de 82 ans, a constaté qu’on lu i ava it so u stra it tro is b illets de b an ­que de cen t fra n cs p lacés dans un p o r­tefeuille , lequel ava it été caché sous une p ile de d rap s dans l ’arm o ire de sa cham ­b re à coucher.

On enquête.

Concours pour le surnumérariat des P. T. T.

U n c o n c o u rs p o u r le re c ru te m e n t de 500 s u r n u m é r a ire s m a s c u l in s d es P . T. T ., a u r a lie u le s 13, 14 e t 15 se p tem b re 1932, a u c h e f- lie u de c h a q u e d é p a r te ­m e n t.

P e u v e n t y p re n d re p a r t, les je u n e s g e n s , s a n s in f irm ité s , a y a n t u n e ta ille m in im u m de 1 m è tre 54, â g é s de 17 a n s a u m o in s e t de 25 a n s a u p lu s au p re m ie r jo u r d u co n c o u rs .

I l e s t a c c o rd é des p o in ts de bonifi­c a tio n a u x c a n d id a ts p o u rv u s de d i­p lô m e s u n iv e rs i ta ire s .

L es c a n d id a ts d e v ro n t fo rm u le r su r p a p ie r t im b ré , u n e d e m a n d e d ’a d m is­sio n a u c o n c o u rs e t la t r a n s m e tt re au D ire c te u r d es P . T . T . d u d é p a r te m e n t d a n s le q u e l ils r é s id e n t. I ls d ev ro n t in ­d iq u e r d a n s le u r d e m a n d e les m a tiè re s fa c u lta t iv e s e t les la n g u e s é tra n g è re s s u r le sq u e lle s ils d é s ire n t ê tre in te rro ­gés.

L a lis te d ’in s c r ip tio n d es c a n d id a tu ­re s s e ra c lo se le 20 a o û t 1932 a u so ir.

lîûiwnissiofl départementale consultative de l’Education physiquecpL̂ C°m in is s io n c o n s u lta tiv e de l ’O i- à U d 'r,e u n ie le s a m e d i 11 ju in 1932, a ia P ré fe c tu re , so u s la P ré s id e n c e de

ATr w ' ?,e P r é f e l f a i t c o n n a ître q u e le u ^h se il G é n é ra l a in s c r i t a u b u d g e t . P ^ te m e n ta l le s c ré d its p o u r d o te r

3 d o ss ie rs de su b v e n tio n s a g ré é e s pour le s in s ta l la t io n s se r a p p o r ta n t à i éducation p h y s iq u e .

ba, C o m m iss io n a e x a m in é d iv e rse s dem andes d e su b v e n tio n e t a p r is co n - nacSsahce d u p ro g ra m m e de la m a n i-

’îë îtâ t io n g y m n iq u e e t sp o r tiv e o rg a ­n isée p a r le s P é n é ra tio n s de l ’O ise des Socié tés de G y m n a s tiq u e e t d e P r é p a ­ra tio n m ilita ire , m a n ife s ta t io n q u i a u ­r a lie u le 31 ju i l le t p ro c h a in , à C ler- m o n t.

flcüvelle Jlîstolre de l ’Europep a r G u s ta v e H E R V E

L a N o u ve lle H is to ire de l’E u ro p e e s t la su ite de la N o u v e lle H is to ire de F ra n ce du m ê m e a u te u r , p a ru e il y a u n a n et q u i a p p ro c h e , a u jo u r d ’h u i, de s a ce n tiè m e éd ition .

Ce liv re e s t p o u r to u s n o s je u n e s g e n s le c o m p lé m e n t in d is p e n s a b le de le u rs m a n u e ls s c o la ire s e t p o u r les m a ître s de l’e n s e ig n e m e n t u n p ré c ie u x in s tru m e n t d e tra v a il . I l s ’a d re sse , d ’a i l­le u rs , à to u s le s F ra n ç a is .

A tous, il r é v é le ra av ec u n e s a is is ­sa n te c la r té q u e l ’E u ro p e e s t d e p u is q u a tre s iè c les e n é ta t c h ro n iq u e de r é ­vo lu tion , q u e le s se c o u sse s so n t d e p lu s en p lu s v io le n te s e t d e p lu s e n p lu s ra p p ro c h é e s e t q u e , s a n s u n e é n e rg iq u e réa c tio n des é lite s b o u rg eo ise s , o u v r iè ­res e t p a y s a n n e s , n o tre c iv ilis a tio n v a tou* d ro it à la c u lb u te fina le .

“ jG’e s t u n liv re q u e d o iv e n t r é p a n d re f in s c e u x q u i n e v e u le n t p a s v o ir l’E u ­rope, e t la F ra n c e av ec e lle , s ’a b îm e r a t a n t p e u d a n s u n é p o u v a n ta b le c a ta ­clysm e. — (E n v e n te : 12 f r a n c s f r a n ­co, a u x E d itio n s de « L a V ic to ire », 24, b o u le v ard P o is s o n n iè re , P a r is , e t chez to u s les L ib ra ire s ) .

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L es A lle m a n d s fo n t a f f ic h e r d a n s le s éco les, d a n s le s sq u a re s e t a u tre s lie u x p u b lic s , ces d ix c o m m a n d e m e n ts s ig n if ic a tifs :

1° D an s le s m o in d re s fa its , tu ne p e rd ra s ja m a is d e v u e l ’in té rê t de tes co m p a tr io te s e t de ta p a tr ie ;

2° L o rsq u e tu a c h è te s u n p ro d u it é tra n g e r , tu d im in u e s la fo r tu n e de ta p a t r ie ;

3° T u d o n n e ra s to n a rg e n t a u x se u ls o u v r ie rs a l le m a n d s ;

4° Ne d é sh o n o re ja m a is la m a iso n ou l ’a te lie r a l le m a n d s av ec d es o u tils é- tr a n g e rs ;

5° T û n e m a n g e ra s ja m a is de v ia n ­d es é tra n g è re s , q u i c o m p ro m e tte n t ta s a n té ; •

6 ° T u é c r ira s s u r d u p a p ie r a l le ­m a n d et tu s é c h e ra s to n é c r itu re avec des b u v a rd s a l le m a n d s ;

7° T u n ’a u r a s q u e d es c h a p e a u x et d es t is s u s a l le m a n d s ;

8 ° T u p r e n d r a s d es fo rc e s av ec de la f a r in e a l le m a n d e , de la b iè re a lle ­m a n d e e t d es f ru i ts e x c lu s iv e m e n t a l le ­m a n d s ;

9 ” T u n e p r e n d r a s ja m a is q u e du ca fé ; d u ch o c o la t e t d u ca ca o a lle ­m a n d s ;

10° T u n e c ro ira s ja m a is ce q u e d i­s e n t le s é tra n g e rs .

Ge la n g a g e n a ï f , ro u b la rd e t u n p e u g ro te sq u e , n ’e s t p a s m a la d ro it . I l c o n ­v ie n t à c e u x a u x q u e ls il s ’a d re sse . S ous u n e fo rm e d iffé re n te e t d a n s u n b u t f ra n ç a is , d e s c o n se ils se m b la b le s p o u r ­ra ie n t ê tre d ’u n b o n effe t a u p r è s de nos c o m p a tr io te s .

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ANNONCES JUDICIAIRESA r t ic l e i , r .

E tu d es de M” Gaston LOIR, avoué à Senlis,

, 43, ru e de la R épublique,et de M“ MIDY, n o ta ire à Mello.

VENTE SUR LICITATIONDE

UNE PROPRIÉTÉsituée à TILLET

C om m une de Cires-les-Mello

L ’ad ju d ica tio n au ra lieu en l ’E tu d e et p a r le m in is tè re de M° MIDY, n o ta ire à Mello, le SAMEDI 13 AOUT 1932, à qua­torze heures tren te .

E n exécution : 1“ d ’un juge­m en t ren d u su r requête p a r le T rib u n a l de p rem iè re in stance d ’A udenarde (Belgique), en date du 14 m ars 1932, en reg istré .

2 ° d ’u n ju g e m e n t d ’e x e q u a tu r ren d u p a r le T rib u n a l civ il de p rem ière in stan ce de Senlis, en date du p re m ie r ju in 1932, en ­reg is tré .

E t aux requêtes, po u rsu ite s et d iligences de ;

1° Mme M arie-H ortense De S tante, m énagère, d em euran t à Lepeugem (Belgique), veuve en p rem ières noces non rem ariée de M. C harles-Louis D eschry- ver.

2° M. A chille De D oncher, c le rc de n o ta ire , d em eu ran t à A udenarde (Belgique).

« A gissant en qualité de tu ­te u r ad hoc fa isan t fo n ctio n de tu te u r de la m in eu re Clém ence- Clara D eschryver, p a r su ite de l ’opposition d ’in té rê ts ex istan t en tre lad ite m in eu re et Mme Ma­rie-H ortense De S tante, sa tu ­tr ic e n a tu re lle et légale, fonc­

tio n à laquelle il a été nom m é su ivan t d é libértion du Conseil de fam ille de la d ite m ineure . »

3° Mme M arguerite D eschry­ver, épouse de M. Léon De Bou- v rie , o u v rie r de fab rique , avec lequel elle dem eure à Leupegem (Belgique).

La d ite dam e De B ouvrie , m i­neu re é tan t ém ancipée p a r son m ariage ayan t p o u r cu ra teu r son m ari susnom m é.

A yant p o u r avoué constitué Me Gaston L oir, d em euran t à Senlis, 43, ru e de la R épublique.

En p résen ce ou lu i dûm ent appelé de M. E dm ond D esch ry ­ver, ouvrier, d em euran t à Leu­pegem (Belgique).

« P ris au nom et com m e su­brogé tu te u r de la m in eu re Des­ch ry v e r susnom m ée. »

Il se ra p ro céd é aux lieu , jou r et heu re sus-ind iqués à la vente p a r ad ju d ica tio n , au p lus of­f ra n t et d e rn ie r enchérisseu r, p a r le m in is tè re de M° Midy, n o ta ire à Mello, de l’im m euble su ivan t :

DESIGNATIONUNE P R O PR IE T E située à

T illet, com m une de Cires-les- Mello, le long de la rou te de Ci­res-les-M ello à N euilly-en-Thel- le, co m p ren an t :

Un co rp s de b â tim en t, lon ­geant la rou te de N euilly-en- Thelle, avec en trée su r un pas­sage accéd an t à la rou te, g ran ­des p o rte s su r le d it passage.

Ce co rps de b â tim en t divisé : à gauche en e n tra n t en m aison d ’h ab ita tio n co m p ren an t : qua­tre p ièces au rez-de-chaussée, g ren ie r au-dessus co u v e rt en tu iles, b â tim e n t à usage de g ran ­ge aussi couverte en tu iles ; en re to u r b â tim en t à usage d ’écu­r ie et d ’étable, g ren ie r dessus et p e tite rem ise ensu ite le tout couvert en ardo ises. C our de­v an t avec à d ro ite de l ’en trée p e tit bâ tim en t de déb a rra s , h a n ­gar, cabanes à lap in s et to it à

po rcs . J a rd in au fo n d dans le ­quel se trouve une cave. A utre cave sous la m aison à gauche en en tra n t. D ans la cour c ite rn e et pom pe.

M aison au fond du passage, co m p ren an t : deux p ièces d ’h a ­b ita tion , g ren ie r au-dessus, cou­v ert en tu iles, bâ tim en ts avec ce llier, cabanes à lap in s. Cour et ja rd in , devan t et de rriè re .

Le to u t d ’un seul ensem ble te ­n a n t d ’un côté la rou te de N euil­ly-en-T helle, d ’au tre côté M. d’Y anville, d ’u n bout M'. Ver- m andel (acq u éreu r L afonta ine) (m ur et p ignon m itoyen en tre ), e t d ’au tre bou t Mme veuve Bou­langer (m ur m itoyen en tre ).

P o rté au c a d a s tre section F', num éros 6, 7, 8, 9 p., 10, 11, 14 p. et 15 p. p o u r une con tenance de seize ares cinquante-deux cen tia res.

E t une p arce lle de ja rd in con­ten an t tro is a re s cinquan te-qua­tre cen tia re s d ’ap rès le t i t re et tro is ares c in q u an te -h u it cen­tia re s d ’ap rès bornage et située à p ro x im ité de la p ro p rié té ci- dessus, te n a n t d ’un côté d ’Y an­ville, d ’au tre côté A rm and Ri­v ière , de P a r is , d ’un bout veuve B oulanger et d ’au tre bout d ’Yan­ville.

P o rté au cad as tre section F n° 19 p.Mise à prix : 1 2 .0 0 0 fr.

F a it et réd igé p a r l ’avoué p o u rsu iv an t soussigné.

A Senlis, le 23 ju ille t 1932.Signé ; G. LOIR.

E t en reg istré .

S ’adresser pou r les renseigne- ■ m ent s :

A M8 Gaston LOIR, avoué pou rsu iv an t, d em euran t à Sen­tis.

A M8 MIDY, n o ta ire à Mello, chargé de la ven te et déposita i­re du c a h ie r des charges.

7140

A r t . 2.

FORMATION DE SOCIÉTÉAux term es d’un acte sous seing

privé en date du 30 ju in 1932 en­reg is tré à Senlis. le 12 ju ille t suivant, forio 67 case 58V

M. L ou is-E rnest r'H A N TRIER e t M. A lbert CHANTRIER, son frère, tous deux pépiniériste*, dem euran t à M ortefontaine.

Ont form é e n tr ’eux une Société en nom collecdf qui a pour objet l’exploitation d’u» éîablissem ent de pépiniériste - ho rticu lteu r à M ortefonlaine.

La durée de la Société e*t fixée à dix années couran t du prem ier ju ille t 1L3L

Le siège social e s t à M ortefon­ta ine, où se trouve l'é tab lisse­m ent.

La raison e t la signature socialesent :

CHANTRIER Frères.Les affaires et in té rê ts de la

Société sont gérés par les deux associés, conjointem ent ou sépa­rém ent, avec les pouvoirs les p u i étendus à ce t effet Chacun d eux a la signatu re sociale, mais il ne peut en faire usage que pour les affaires de la Société. Néanmoins tous em prunts , sous quelque form e que ce soit, ne pourront ê tre con tractés par l’un des asso ciés sans le consentem ent de l’au tre ; il en sera de m êm e pour tous baux, acquisitions e t ventes d 'im m eubles.

MM. CHANTRIER apporten t à la Société leu r travail e t leu r in­dustrie , en outre les plantes, ar bres e t a rbustes se trouvant sur une p ropriété à usage de pépinière située à M ortefontaine, ainsi que tous baux et locations qui ont pu leur ê tre consentis, de ce tte pro­priété e t de ses annexes, la chen tèle. le m atérie l, les chevaux et voitures nécessaires à Tex loita tion, le tou t pour une somme de deux cen t cinquante m ille francs leur appartenant chacun pour m oitié.

Ne sont pas com pris dans l’ap­port les arb res n ’ayant pas de valeur m archande, se trouvan t su r la p ropriété , e t considérés im m eubles par destination .

En cas de décès de l’un des as­sociés, la Société ne se ra pas dissoute ; elle se continuera avec les héritiers e t rep résen tan ts de l’associé décédé à titre de com­m anditaires.

Un orig inal de ce t ac te a été déposé le 18 ju ille t 19,12 à chacun des Greffes de la Ju s­tice de Paix de Senlis e t du Tribunal de Com m erce de Senlis. 7134

Art . 3.

Etude de M* CAILLAT, hu issier à Senlis.

DEUXIEME INSERTION

Suivant acte sous signatures privées en date à Senlis du 8 ju illet 1932, en reg istré à Senlis ie 12 du m êm e mois, folio 31, case 14. M onsieur Edouard Lucien LERQY, fru itier, m a rc h a n d de primeurs e t épicier, e t Madame Fernande DELABAUDIERE. son épouse, dem euran t ensem ble à Senlis, rue L éon-F au tra t, n° 16, ont ven u à M onsieur René CROIX, rep résen tan t de com m er­ce. e t Madame Suzanne-Delphine BENOIT, son épouse, dem eurant ensem ble à A rcueil Cachan. rue Emile-Raspail, n ' 122, le fonds de com m erce de f ru i te r ie , p r i ­m eu rs et ép icer ie , sis à Senlis, rue Léon-Fautrat. n“ 16.

La prise de possession a été fixée au 8 ju illet 1932.

L’insertion au Bulletin Ofliciel a é té faite le 20 Ju ille t 1932.

Les oppositions, s ’il y a lieu, seron t reçues dans les dix jours de la présente insertion , à Senlis en l'E tude de M - Caillat, huissier.

Pour deuxièm e insertion : 71?8 E. CAILLAT.

Art. 4.

Etude de W LANGLOIS, no ta ire & üenlis.

Aux term es d’un ac te reçu pa M» Langlois, notaire à Senlis, le 15 ju ille t 1932, en reg istré à Senlis le 18 du m êm e mois, volume 391, folio 6, case 27, au dro it de 3.222 fr. 80, M. F rancis BEL- HOMME, m archand boucher, de­m euran t ci-devant à M ortefontaine et ac tue llem en t à La C curneuve (Seine), rue d’A ubervilüers, n* 5. a vendu à M. Octave-Elio CAR RETTE, boucher e t Mme A ngèle- G erm alne BARBIER, son épouse, dem euran t ensem ble à M ortefon­taine. le fon d s de com m erce de m archand b ou eh er-ch arcu tier exploité à M ortefon ta ine, dans une maison sise G rande Rue, com prenant : l’enseigne, le nom com m ercial, la c lien tè le e t l'acha­landage y a ttachés, les objets m obiliers, m atérie l e t ustensiles se rvan t à son exploitation, avec dro it au bail de l'im m euble où s’exploite led it fonds.

E ntrée en jouissance : 15 ju illet 1532.

Les oppositions, s ’il y a lieu, devron t ê tre faites dans les dix jou rs de la deuxièm e insertion et se ron t reçues en l’E tude de M ' Langlois, notaire, où dom icile est élu.

P our p rem ier avis : 7142 A. LANGLOIS,

A r t . 5.

Etude de M8 VIDY, notaire à Chantilly.

Suivant acte reçu par ledit M* Vldy. le 25 juin 193?, en reg is tré à Creil (A. C.). le 5 ju ille t suivant, volume 336 bis, folio 56, ne 383, contenant partage de la com m u­nauté ayant existé en tre M. P aul- Louis-C lém ent BRUNET, gara­giste, e t M me L uoie-F ernande ADAM, son ex-épouse, dom iciliés

à Chantilly, le fon d s de c o m ­m erce de garage v en te d’au to­m ob iles, d ’a cc esso ire s e t d’e s ­sen ce , exploité à Chantilly, 23 avenue du M aréchal-Joffre, avec tout ce qu’il com prend, notam ­m ent le droit au bail, a été rep ris en natu re par led it M. B runet qui a seul droit & tous les élém ents com posant ledit fonds.

La publication au B ulletin Offi­ciel des V entes e t Cessions de Fonds de Com m erce a été faite le 20 ju ille t l9-)2.

Les oppositions, s’il y a lieu, se ron t reçues dans les dix jours de la p résen te insertion, à C han­tilly , en l’E tude de M° Vldy, do­micile élu.7117 (Signé) VIDY.

Ar t . 6.

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PREMIÈRE PUBLICATION

Suivant acte dressé par les E ta ­b lissem ent REAU, 132, rue de Rivoli, à Paris, en date à Pont- Sainte-M axence (Oise), du 11 ju il­let 1932, en reg istré à Pont-Sainte- M axence le 18 ju ilie t 1932, folio 66, case 18.

Monsieur H enri CHOZST et Madame Marie-M atlhe PIO ' ET, son épouse autorisée, ont vendu à M onsieur Antouy GAILLARDON et M adam e G erm aine JUELLE. son opouse au torisée , dem eurant à M orangis. n ' 7 rue du Beau- Site le fonds de co m m erce de h ôte l - v in s , nom m é Café de

l’Hôtel de Ville, qu ’ils exploitaientà Pdnt-Sainte-M axence (Oise), 18, rue P eyronnet.

O ppositions reçues dans les dix jours de la seconde insertion , au fonds vendu, chez M. e t Mme GAILLARDON, à P on t-S ain te- M axence, 18, rue P eyronnet.7147 E tab lissem ents RÉAU.

A rt. 1,

Aux te rm es d’une délibération p rise le v ing t-hu it ju in 1932, dont une copie certifiée a été en re g is ­tré e à Creil, le 8 ju illet 1932, folio 29, n° 17!, TAssem blée générale ex traord inaire des A ctionnaires de la S ociété A nonym e Blan­ch isser ie d’A v il ly -S a in t -L é o ­nard , Anciens h tab lissem en ts J.-B . T urquet, dont le siège es t à A villy-Saint-Léonard, réunie en conform ité de l’artic le 45 des s ta ­tu ts , a décidé à l’unanim ité la continuation de l’exploitation de la Société.

Une copie certifiée de la dite d é lib é ra t io n a é té d ép o sée 'e su z e ju ille t mil neuf cen t tre n te -d e u x , à chacun des Greffes du T ribunal de Com­m erce de Senlis et de la Ju s ­tice de Paix du canton de Senlis.

Le Conseil d ’A dm in istra tion .7135

Avis très importantLm nèoMiltè* d« tlrag* «t

d'expédition <t« notr* Journal noua m ettan t dans l’Imposalbl- llté absolue d 'insérer tou te an­nonce qui parvient après le Jeudi, 12 heures, i nos bu­reaux.

T ou te Insertion noue parve­nant plus ta rd sera reportée d’offlos au num éro suivant.

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DEUXIÈME PUBLICATION

Suivant acte s. s. p., en date du 7 ju ille t 1932 en reg is tré à Creil, le 12 ju ille t 1932, f0 35, case 10.

M onsieur Em ile SAINT-ALBIN, dem euran t à M ontataire (Oise), rue Jean -Jau rès , n0 124, a vendu à M onsieur et Madame H enri FIACRE, dem eurant à Saint-O uen (Seine), le fo n d s d e ca fé , v in s e t l iq u e u rs , qu’il exploitait à Mon­ta ta ire (Oise), rue Jean -Jau rès , n° 124.

La publication au Bulletin Offi­ciel oes V en tes et Cessions de Fonds de Com m erce a été faite le sam edi 23 ju ille t 1932.

Les oppositions, s ’il y a lieu, se ron t reçues dans les dix jours de la présente p u b lica tio n , au siège du fonds vendu ou au Cabi­n e t Isoré, 9 te r , rue Albouy, P aris7131 Le D irecteur : L. BASTI.

Ar t , 9.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

P a r jugem ent en date du 19 ju iiie t 932, le T ribunal de Corn m erce de »en lis a adm is au béné­fice de la liquidation jud ic ia ire le sieu r STEPHAN L ouis-Francis- O livier, déb itan t e t épicier à Vil le rs-S a in t-F .a bourg. M. Merce reau , juge au siege, a été nommé juge com m issaire à ce tte liqu ida­tion e t M" C hastaing, avoué agréé à Senlis, liqu idateur provisoire.

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