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COURRIER Paraissant le Dimanche JOURNAL SENLIS L’OISE Paraissant le Dimanche Un an .... Sla moi* . ABONITEM EITTS Oise et liinitr. Antres dép. , .... 8 fr. 10 ir. 5 fr. 6 fr. Xos Ahoixiiomonta partent du 1" de chaque mois On s’abonno aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux do poste. — L’abonnement est payable d’avnnco et continue de plein droit jusqu ù réception d avis contraire. bu rea u x , rédaction & adm inistration . SENLIS 11, P la ce ïTrrrii't-IV', 11 SENLIS TÉLÉPHONE no 4 4 DIRECTEUR i A BRA ND Annonces légales ......... Annonces volontaires. D E S IISTSER TIO ITS ................. 1 fr. la ligne. I RÉCLAMES : .............. 1 fr; la ligne. | 2* o u 3* p a g e ............................... 1 fr. 50 la ligne. Les mavuscrils, irtsêrvs ou von, ne sont pas rendus m m- % Imprimeries Héunies de Sentis Assemblée Générale ordinaire et extraordinaire Les Actionnaires des Imprimeries Réunies de Sentis, sont convoqués en Assemblée Générale annuelle, pour le Mardi 13 Juin, à 14 heures 1/2, Salle Debressy,b Senlis, Place Henri IV. ORDRE DU JOUR I Rapport du Conseil d’Administration sur le i" exercice 1931 ; Rapport des Commissaires aux comptes sur le 1" exercice 1921 ; Quitus à donner à un Administrateur ; Fixation de la valeur de l'action ; Nomination des Commissaires aux comptes et fixation de leur indemnité ; Fixation de l’indemnité du Conseil d’Ad- ministration ; Pouvoir A donner aux Administrateurs de traiter avec la Société. Les Actionnaires sont en outre convo qués, à l’issue de l'Assemblée Générale ordinaire, en Assemblée Générale extra ordinaire, pour délibérer sur l’ordre du jour suivant : Suppression du deuxième paragraphe de l’article 6 des statuts, stipulant qu’aucun actionnaire ne peut être ou devenir pro priétaire de plus du dixième du capital social. Pour le Conseil d’Administration, Le Président : 3375 Henry GIRARD MM. FOURNIER SARLOVEZE, conseiller sortant, 2.442 voix. élu. HERAUDE, 1.383 voix. COTTIN, 367 voix. CANTON D’ESTRÉES-SAINT-DENIS Inscrits : 2.701 ; Votants Suflrages exprimés : 2.146. MM. LANGLOIS, conseiller 1.184 voix, élu. MOREN, 487 voix. DUFEU, 473 voix. 2.207 ; sortant, Gonseil Général ARRONDISSEMENT DE BEAUVAIS CANTON DE BEAUVAIS-NORD Inscrits : 3.938 ; Votants : 2.770 ; Suffrages exprimés : 2.274 ; Blancs et nuls : 96. M. MAGNIER, conseiller sortant, 1.901 voix, élu. CANTON D’AUNEUIL Inscrits : 2.201 ; , Votants : 1.720 ; Suffrages exprimés: 1.531 ; Blancs et nuls, 159. M. DOFFOY, conseiller sortant, 1.496 voix, élu. CANTON DU COUDRAY-SAINT-GERMER Inscrits : 2 366 ; Votants : 1.559 ; Suffrages exprimés : 1.478 ; Blancs et nuls : 153. M. LEFÈVRE, conseiller sortant, l 397 voix, élu. CANTON DE GRANDVILLIERS Inscrits : 2.901 ; Votants : 1.653 ; Suffrages exprimés : 1 540 ; Blancs et nuls : 113. de SAINT-FUSCIEN, conseiller sortant, 1.505 voix, élu. M. CANTON DE MERU Inscrits : 3.775 ; Votants : 2.505 ; Suffrages exprimés, 2.426 ; Blancs et nuls : 78. BREBANT, conseiller sortant 1 663 voix, élu. VOISY, 734 voix. MM. CANTON DE NIVILLERS Inscrits : 2.344 ; Votants : 1.803 Suffrages exprimés : 1.673 ; Blancs et nuls : 130 M. LANGLET, conseiller sortant, 1.641 voix, élu. ARRONDISSEMENT DE CLERMONT CANTON DE BRETEUIL Inscrits : 2.574 ; Votants : 2.000 ; Suffrages exprimés : 1.902. MM. DELPIERRE, conseiller sortant, 1.411 voix, élu. MARTY, 485 voix. CANTON DE RESSONS-SUR-MATZ Inscrits : 2.117 ; Votants : 1.611 ; Suffrages exprimés : 1 480. M. BOULANGER, conseiller sortant, 1.428 voix, élu. ARRONDISSEMENT DE SENLIS CANTON DE BETZ Inscrits : 1 946 ; Votants : 1.530 ; Suffrages exprimés : 1,510. MM. Paul DELACROIX, 994 voix, élu. André COURTIER. 515 voix. CANTON DE CREIL Inscrits : 10.191 ; Votants : 7.375 ; Suffrages exprimés : 7.233. MM. de BILLY, 2.752 voix. UHRY, conseiller sortant, 3.571 v. NARBONNE, 909 voix. Ballottage CANTON DE NANTEU1L-LE-HAUDOUIN Inscrits : 2.033 ; Votants : 1.636 ; Suflrages exprimes : 1.572 MM. de KERSAINT, conseiller sortant, 930 voix, élu. Prince RADZIWILL, 638 voix. CANTON DE NEUILLY-EN THELLE Inscrits : 3 079 ; Votants : 2.348 ; Snflrages exprimés : 2.266 ; Blancs et nuls : 82. MM. de LAPOMAREDE, conseiller sor tant, 1 767, élu. DIZENGREMEL, 479 voix. Conseil Q ’Arrondissement ARRONDISSEMENT DE SENLIS CANTON DE SENLIS Inscrits : 3.604 ; Votants : 2.291 ; Suffrages exprimés : 2.197. MM. TRONCIN, conseiller sortant, 1 272 voix, élu. SAVOURET, 909 voix. CANTON DE CRÉPY EN-VALOIS MM, FRANCOLIN, conseiller sortant, élu. DEREURE, conseiller sortant, élu. Remerciements A MM. les électeurs du Canton de Senlis Chers Concitoyens, Je vous remercie bien sincèrement du nouveau témoignage de confiance que vous venez de me donner. Je remercie vivement tous les électeurs qui ont compris en me réélisant que je ne fais jamais de campagne et que je n’appartiens à aucun parti. Nous sommes tous Français. Je demande seulement à être approuvé sur les idées ou les réformes que je pense être justes En me donnant vos suffrages, vous avez compris comme moi, que le Conseil d’ar rondissement tel qu'il existe actuellement ne sert à rien, je vais faire tout ce qui dépendra de moi pour le rendre pratique ment utile. En me confiant pour la seconde fois les fonctions de Conseiller d’arrondissement, vous avez manifesté sur mou nom le désir unanime d’union de tous les cœurs, pour la grandeur de notre chère patrie et de prospérité pour notre beau canton de Senlis Veuillez agréer, chers concitoyens, l'as surance de tout mon dévouement. Vive le canton de Senlis! André TRONCIN, Industriel, [Maire de Chamant, Conseiller d'Arrondissement. les î la Marche Lorraine, touchée sur grandes orgues par M. Tinel père. La foule s’est répandue ensuite sur la place de la Cathédrale pour admirer les superhes illuminations électriques» dues à l’initiative de Mgr Dourlent, et installées par les soins de la maison Battefort, l’embrasement du clocher aux diverses couleurs a provoqué les applaudisse ments des spectateurs. Le coup d’œil dépassait en splendeur tout ce qui avait été fait jusqu’à ce jour. La Sous Préfecture, le Tribunal, la Gendarmerie et diverses maisons particu lières étaient illuminés. Le matin, des distributions de secours avaient eu lieu par les soins de la Munici palité et du Sureau de Bienfaisance. Senlis, en cette journée du 14 mai, a commémoré les hautes et traditionnelles vertus de notre pays, sous l’égide d’une des ligures les plus lumineuses que l’his toire ait connues. VILLE DE SENLIS Tir à l’arbaléte du Grand Cours (près la Gare) Prix Général de 1922 du dimanche 21 mai au dimanche 25 juin 1922 A PEnregistrement H. Combat, receveur de 2e classe à Couches (Eare), est nommé receveur de D’classe à Sen.'is (actes civils). du A MM. les électeurs Canton de Nanteuil-le Haudouin Mes chers Concitoyens, Enlants an Pays, De tout cœur, Merci d’avoir bien voulu me.nommer, de nouveau, votre Conseiller, Général le 14 mai 1922. Profondément républicain et démocrate, je resterai l’indépendant que vous con naissez, ne me souciant que de la défense des droits de chacun et de l’intérêt du Canton. Tout en respectant certaines tra ditions je veux saarcher vers le progrès social avec l’économie et la mesure qu’il faut envisager par ces moments diffi ciles. Il faut à chacun pour devise : Labeur et Opiniâtreté. Quant à moi je veux être digne de votre confiance et du profond du cœur je vous redis : Merci ! Comte de KERSAINT, Conseiller Général de l'Oise, tMaire de Vers 'zny. > . I ” ' ’v*- 1 A MM. les électeurs du Canton de Nanteuil-le-Haudouin .e Municipal représentation de Napolèonnette que nous avons annoncée comme devant avoir lieu le lundi 22 mai, sera donnée le lendemain 23, au Théâtre de Senlis. CANTON DE PONT-SAINTE-MAXENCE Inscrits : 2.459 ; Votants : 1.587 ; Suffrages exprimés : 1,391. M. DELAUNAY, 1 341 voix, élu. Messieurs, Je tiens à remercier bien sincèrement les 638 républicains du canton de Nan- teuii, qui ont bien voulu m’accorder leur confiance. Le suffrage universel ne nous a pas été favorable, et nous n’avons qu’à nous incliner. Mais continuons à lutter pour les idées qui nous sont chères et sachons nous grouper chaque fois que nous aurons à oombattre pour elles. Vous me trouverez en ces circonstances toujours à vos côtés. Prince Léon RADZIWILL, lMaire d’&rmenonville. travers CANTON DE CLERMONT Inscrits : 3.877 ; Votants : 2 958 ; Suffrages exprimés : 2.830. MM. Désiré BOUTEILLE, député, 1.435 voix, élu. GUESNET, conseiller sortant, 1.415 voix. CANTON DE LIANCOURT Inscrits : 3 964 ; Votants : 3.133 ; Suflrages exprimés : 3.049. MM. Hubert STERN, conseiller sortant, 1.468 voix. Armand DU PUIS, 701 voix. LAMBERT, 878 voix. Ballottage Syndicat d’initiative Tous les jeudis, Excursion au musée Jacquemara André, les parcs de Chaâlïs- Ermenonville, le Désert et la Mer de Sable. Départ de Senlis à 14 heures. Retour à Senlis pour les trains du soir vers Paris à partir de 16 h. 50. Les personnes désireuses de faire cette délicieuse promenade, sont priées de se faire inscrire le matin de l’Excursion : Soit au Syndicat (TInitiative, 1, avenue du Maréchal Foch, Senlis; Soit chez M. Langlois, 7, impasse du Tour-de-Ville, de neuf heures à midi. Téléphones : Syndicat 204, M. Lan glois 141. Prix de l’excursion : 9 francs. En préparation : Visites aux champs de bataille Reims, Soissors, Compiègne, Noyon, Montdidier. Les renseignements seront communi qués ultérieurement. CANTON DE MAIGNELAY Inscrits : 1 926 ; Votants : 1.652 ; Suffrages exprimés : 1.612. MM. Georges TURCK, conseiller sortant, 670 voix. Paul DUQUESNEL, ancien con seiller, 292 voix. BERTHET, 644 voix. Ballottage ARRONDISSEMENT DE COMPIEGNE CANTON D’ATTICHY Inscrits : 2.442 ; Votants : 1.774 Suflrages exprimés : 1.698. M. CRUARD, conseiller sortant, 1.590 voix. élu. CANTON DE COMPIEGNE Inscrits : 6 429 ; Votants : 4.414 Suffrages exprimés : 4 210. La Fête IVationale de Jeanne d’Arc Jeanne d’Arc a eu dimanche sa fête nationale ; elle a été célébrée dans toutes les communes de France, à l’exception de quelques localités où les municipalités communistes ont fait ce qu’elles faisaient pour la fête du 14 juillet : l’abstention. Fête nationale ont décrété les Cham bres, et pour la seconde fois, le Gouver nement de la République a commémoré cette fête de l'héroïne française, La vieille cité Senlisienne avait pavoisé ses rues et ses monuments publics aux couleurs bleu, blanc et rouge se mariant très agréablement avec les couleurs de Jeanne d’Arc. Un service religieux a été célébré à la Cathédrale à dix heures. Pour la circons tance, le vieil édifice avait reçu une déco ration spéciale, partout des trophées de drapeaux tricolores et de drapeaux aux couleurs de la Pucelle de Domrémy. Aux premiers rangs de l’assistance nous avons remarqué : M. le député Audré Paisant, sous-secrétaire d’Etal, M, Crabol, sous-préfet, MM. Escavy, maire, Demoi net, adjoint (M. Gazeau était retenu à la mairie avec plusieurs conseillers munici paux), MM. Sommaire, Turquet, Fautrat, Louât, Langlois, Julien, conseillers muni cipaux, M. Albert Paisant, président honoraire du Tribunal, MM. le colonel d’Eperioux, commandant le 5e chasseurs, le lieutenant-colonel André et plusieurs Officiers du 5e chasseurs, le capitaine de gendarmerie Coine et divers fonction naires. Le collège Saint-Vincent avait pris place dans le chœur, et M le chanoine Conen, supérieur, était dans le sanctuaire. Pendant la messe basse dite par M. l’abbé Audiffred, les 300 élèves du collège Saint-Vincent, M. l’abbé Vialon et un groupe de dames et de jeunes filles de la Ville ont fait entendre de très beaux chants, sous la direction de M. Tinel Jac ques, qui tenait l’orgue. A l’évangile, Mgr Dourlent a remercié toutes les autorités civiles et militaires- qui attestaient par leur présence l’union sacrée scellée sur le nom de la grande Française. Il exprima sa gratitude à toutes les personnes qui avaient bien voulu prêter leur concours pour rehausser l’éclat de cette cérémonie et en particulier au collège Saint-Vincent, et également à la Ville de Senlis qui avait prêté les dra peaux qui ornaient la Cathédrale tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Le soir, à 8 heures, une foule immense se trouvait réunie à la Cathédrale. Institution Jeanne d’Arc Matinée du 14 mai « Et quel temps fut jamais si fertile en miracles », lisons-nous dans Athalie ; quelle année fut jamais si remplie de spectacles, pourrait-on dire à Sardis ? Mlles Dubois, les distinguées directrices du cours Jeanne d’Arc, ont ajouté un rich8 fleuron à cette couronne de repré sentations de 1921-1922, car leurs élèves ont su intéresser, charmer, captiver même te public aussi nombreux que choisi, qui se pressait dimanche dernier dans la salle Jeanne d’Arc. Le programme commençait par une sérénade de pierrots, mimée à ravir par des fillettes et des garçonnets qui rivali sèrent d’entrain et de gentillesse. Puis vint la gymnastique d’assouplisse ment, démontration vivante de la valeur des méthodes nouvefes qui fout de la gymnastique un exercice musculaire et une école de maintien et de souplesse gracieuse. Ces douze jeunes filles, dans WurL ércdutiou?/ harmonieusement ryth mées, nous donnèrent vraiment une impression d’art ; ce qui .vaut d’être signalé ! Le tour des petites classes revint avec une charmante pantomime, rehaussée de somp. ueux costumes. La belle au bois dormant en trois tableaux. Tout fut parfait, depuis la mise en scène et la recherche minutieuse des accessoires, jusqu’au jeu et aux mouvements des jeunes actrices si bien réglés sur une musiqueheureusementadaptéé; n’oublions pas de mentionner Mlle G. Guiltemeau, le gentil héraut instruisant le public du sujet de chaque tableau. Avant d’aborder Athalie, le numéro principal du programme, Mme J. Marie- Laurent, l’excellent professeur de diction, a bien voulu nous charmer en interprétant trois poésies : Le Mot, de Victor Hugo, le Jongleur, de Borelli et l’Eglise delà Madeleine. Il est impossible de mettre plus de simplicité et en même temps plus de variété dans la diction. Dans le Jon gleur notamment, l’artiste fut gaie, sup pliante, tragique, majestueuse ; ce fut un régal, ce fut du grand art. On ne pouvait douter du succès d’A t h a lie après avoir applaudi le professeur ! Toutes les actrices méritent des éloges sans réserves. Mentionnons cependant les trois premiers rôles : Mlle Colette Morand assuma la lourde tâche de person nifier Joad, le grand prêtre ; tantôt avec simplicité, tantôt avec énétgie et majesté, elle réussit parfaitement à nous repré senter cet homme d’action et de foi pro fonde, création la plus étonnante du théâtre de Racine ; Mlle Panlette Bour geois, malgré son jeune âge, fut une Athalie remarquab'e. Il y a, croyons- nous, au foyer du théâtre de l’Odéon, une très belle peinture représentant l’une de nos grandes tragédiennes dans ce rôle ; cette peinture était là devant nous, mais animée, très vivante, avec une voix tour à tour altière, méprisante ou violente ; c’est de la tragédie et de la meilleure. Mlle Geneviève Louât, fière, digne et si tou chante dans ses alarmes maternelles, rendit le rôle de Josabeth avec une émo tion communicative, sans gestes ou pres que, avec simplicité et grandeur. Après elles, Mlles Cécile Audy. le déli cieux Joas ; Y. Béguin, Mathan, ; L. Pas- quier, Abner ; Y. Minouflet, Zacharie ; S. Doix, Salomith ; M. Cardon, un lévite, ont joué avec justesse et talent, et ont concouru, avec les beaux chœurs de Mendelssohn, à donner à cette représen tation choisie, une note tout artistique. N’oublions pas Mlle Madeleine Dubois, La Société d’Arbalète du Grand Cours a l’honneur d’inviter MM. les Sociétaires et Amateurs, à venir concourir aux Prix qui seront tirés les 21, 22, 25, 28 et 29 mai ; les 1, 3, 4, 5, 8, 11, 12, 14,15, 18,19, 21, 22, 24 et 25 juin. Composition des Prix ier prix (espèces), offert par la Ville de Senlis ioo francs. 2e prix (espèces), offert par M. le Prince Radziwill, maire d’Ermenonville so francs. 3' prix (espèces), offert par M. Aury-Pau- quet, président de la Société 40 francs. 4' prix (espèces), offert par M. Rémond, industriel à Senlis 40 francs. 5” prix (espèces), offert par la Société 40 fr. 6 e prix (espèces), offert par son Altesse Royale la Duchesse de Chartres 30 francs. 7* prix Un Objet d’Art Sans-Souci, offert par M. Escavy, chevalier de la Légion d’hon neur, maire de Senlis. V 8^ prix (espèces), offert par le Syndicat d’initiative, de Senlis 20 francs. 9' prix (espèces), offert par M. Fournier Sar- lovèze, député de l’Oise 20 francs. 10e prix (espèces), offert par M. Georges- Picot, conseiller général 20 francs. 11<=prix (espèces), offert par M. le Comte Turquet de la Boisserie 20 francs. 12» prix (espèces), offert par M. Albert Guil laume, chevalier de la Légion d’honneur, maire de Fontaine-Chaâlis 20 francs. 13» prix (espèces), offert par M. G. Dormeuil, château de la Bellefontaine à Senlis 20 fr. prix (espèces), offert par M. Mouchotte, distillateur à Saint-Mandé 20 francs. 150 prix, une Médaille en argent offerte par la Compagnie du Nord. 16e prix (espèces), offert par M. Parent, dis tillateur à Saint-Denis 20 francs. 17» prix (espèces), offert par M. Favre, voya geur de M. Hémard, distillateur à Montreuil 20 francs. 18* prix (espèces), offert par M. Roland, sénateur de l’Oise 10 francs. 19e prix (espèces), offert par M. Demoinet, premier adjoint de la Ville de Senlis 10 francs. 20' prix (espèces), offert par M. Léon Del- gorge, industriel à Senlis 10 francs. 2i* prix (espèces), offert par M. Gazeau, deuxième adjoint de la Ville de Senlis 5 fr. 22' prix, Deux Volumes offerts par M. La- bouret, propriétaire à Senlis. 23' prix, Deux Bouteilles de Cognac, offer tes par la maison Prunier et Cie, négociants à Cognac. 24 prix, Une Bouteille de Fine « 1875 », offerte par M. Boissay, propriétaire à Senlis. 25“ prix, Trois litres d’Orangine, offerts par la Distillerie de Sainte-Adresse (Seine- Inférieure). 26’ prix, Trois litres d’Orangine, offerts par la distillerie de Sainte-Adresse (Seine- Inférieure). Deux Primes de Bagues seront décer nées aux deux Tireurs qui auront fait le plus grand nombre de Bagues sans gagner de prix ; la première de 15 francs offerte par la Société ; la deuxième, de 10 francs offerte par la Société. Après le chant du Magnificat, Mér'T-q&i tint le piano d’accompagnem»nt, et, Dourlent est monté en chaire et. avec cette parole qui vient du cœur et qui toujours y va profondément, a prononcé un beau panégyrique de l’héroïne fran çaise, envoyée par Dieu pour sauver son pays. La procession de sainte Jeanne d’Arc s’est déroulée ensuite à l’intérieur de l’église et 200 jeunes filles vêtues de blanc ont chanté l’héroïne, la rédemptrice du Pays, la fille du peuple de France et la vierge de Lorraine. Après le salut, la cérémonie s’est ter minée aux accents de la cantate à TEten dard, chantée par les élèves du collège Saint-Vincent et la Chorale de l’Amicale des Anciens Elèves de l’école de la rue de Villevçrt, La sortie se fit aux açcqnts de notamment, dans la Belle au bois dor mant, charma nos oreilles par l’audition de fragments de Stephen Heller et la Pileuse, de Riff. Nous avons pu l’applau dir aussi dans ses élèves, Mlles M. de Masin et J. Coquet, qui ont joué avec brio la marche des prêtres d’Athalie. Le public n’a pas ménagé ses applau dissements et c’était justice ; que les plus sincères félicitations soient adressées à Mlles Dubois et à leurs dévouées maîtres ses, pour cette matinée littéraire et musi cale, qui leur fait le plus grand honneur ! d’abord la question économique avant la question politique, Le Conférencier parle de l’organisation des industries allemandes, de la question du change, des explications données à Gênes par le Premier Anglais, les Soviets Russes, les Italiens, etc. Les Anglais disent : organisons la restauration de 'Europe d’abord et nous verrons les autres questions en uite. Nous pensons, nous Français,que, sans rejeter cette ques tion importante et nécessaire pour la vie économique mondiale, il nous faut tout d’abord penser à la remise en état de nos départements envahis et détruits, et que c’est un devoir pour un pays comme le nôtre, de se garantir contre une invasion possible. La situation financière de l’Allemagne, tout le monde la connaît, elle nous a payé trois milliards de marks or et donné quel que argent en nature, wagons, locomo- , tives, bestiaux, etc. . De son côté, la France a déjà avancé pour le compte de l’Allemagne, 90 mil liards. Voilà la situation financière. Le Président Wilson a commis une grave erreur dans cette question si impor tante de la Paix, aux Français aujourd’hui à ta réparer et à exiger que l’Allemagne qui a déclaré la guerre, qui l’a conduite avec tant de cruauté, paie ce qu’elle doit légalement payer à la France meurtrie et appauvrie par elle. M. Blondel a terminé sa conférence en demandant à tous d’étudier plus que jamais les questions économiques qui jouent un rôle si important dans le monde, de laisser de côté la politique pure qui divise et ne résout pas les problèmes qui font ou la force ou la mort d’une nation ; il faut surtout étudier le problème alle mand et rechercher ce que cette nation médite, ce qu’elle veut et ce qu’elle espère obtenir par tous hs moyens dont elle peut disposer, car, ne l’ignorons pas, sa men talité n’a pas changé et sous ce rapport, le savant conférencier a donné quelques détails très intéressants. En terminant, M. Bloudel, atteint dans ses plus chères affections par la guerre, a rendu un hommage mérité à nos chers morts. En termes émouvants, il a évoqué leur glorieux souvenir et c’est en leur nom qu’il a demandé à l’assistance de mettre en pratique les enseignements tirés de sa conférence. Une longue salve d’applaudissements a montré à M. Blondel combien il avait été compris par tous. Merci à M. Blondel de nous avoir char més et instruits., et souhaitons qu’il lui soit donné de fairvS ^e nombreuses confé rences sur ce sujet à/ceux qui tiennent en mains les destisées de notre Pays. Pour terminer, M. le Maire, au nom de la nombreuse assistance a, en quelques mots, remercié notre distingué concitoyen, M. Turquet de la Boisserie, de l’excel lente idée qu’il avait eue de faire venir M. Blondel, et au conférencier, M. Escavy a dit combien il avait été goûté de tous par sa belle et remarquable conférence sur un sujet qui intéresse en ce moment si passionnément les Nations et la France en particulier. Pharmacie ouverte Dimanche 2i mai: M. Bardou, rue de l’Apport-au-Paiù. La Conférence de M. Blondel Une très nombreuse assistance a répon du à l’appel de notre distingué concitoyen, M. H. Turquet de la Boisserie, délégué de de la Ligue Française, à Senlis, qui avait bien voulu faire venir au Théâtre munici pal, obligeamment mis à sa disposition par la Municipalité, un savant, M. Blondel, l’éminent professeur au Collège de France, vice-président de la Société de Géogra phie, pour y donner une conférence sur : Les mécomptes de la Paix et les devoirs ■présents. Au bureau ont pris place autour de M. Blondel, M. Turquet de la Boisserie, M. Escavy, maire, et M. Georges Picot, conseiller général du Canton de Senlis. M. Crabol, sous-préfet, s’était fait excuser. Après quelques paroles de remercie ments de M. Turquet de la Boisserie à M. Blondel, à Monsieur le Maire, à la Municipalité et. aux autorités présentes, l’éminent conférencier a parlé pendant plus d’une heure sur ce sujet, d’autant plus, d’actualité en ces jours pendant lesquels le monde entier, cherchant la reconstitution de l’Europe, s’agite à Gênes autour du traité de paix. M Blondel, qui a parcouru les principales villes de l’Eu rope, a su intéresser son auditoire en agrémentant sa conférence de souvenirs personnels et en nous faisant toucher du doigt l’époque critique dans laquelle nous vivons. Nous regrettons que le manque de place nous oblige à écourter ce compte rendu ; il faudrait publier in-extenso cette belle conférence pour faire com prendre à nos lecteurs ce qu’elle avait d’instructif, tant au point de vue écono mique qu’au point de vue social. M. Blondel a fait un retour en arrière, novembre ls 18, date où l’on a commis des erreurs et éprouvé des illusions, ce sont ensuite les réunions successives des alliés où la France a perdu malheureusement du terrain, et aujourd’hui l’on est obligé de constater avec amertume que l’on a très mal fini la guerre, nous avons accepté trop vite l’armistice, et la paix aurait dû être signée sur le sol même de l’Allema gne, cela n’aurait pas permis à l’arro gante ennemie, de dire que la guerre était terminée, parce que les combattanls de toutes les puissances étaient fatigués et n’en pouvaient plus. L’Allemagne a signé le traité de paix, disent les Allemands eux- mêmes, parce qu’elle ne pouvait pas faire autrement, mais elle travaille de jour en jour, tant à l’intérieur qu’auprès des autres nations pour se soustraire à ses engagements et ne pas payer. Car, il ne faut pas l’iguorer, les Allemands ont trouve le moyen de prendre une revanche économique. Ils sont sous ce rapport plus malins que nous et nos alliés ; ils ont vu Voulez-vous un bon Tapissier-Décorateur A FAÇON n’employant que des matières de lor choix et garantissant ses travaux. Pose de Tapis - Rideaux - Teutures Bannes, Stores, Sommiers à soufflets SIÈGES DE TOUS STYLES Édredons piqués et capitonnée Adressez-vous à BENOIT 1 , Place Lavaranâe SENLIS (Oise) 108 Don à la mémoire de M. Uufourmentel Nous sommes heureux de porter à la connaissance de nos lecteurs, que Mme veuve Jules Dufourmentel, a eu la géné reuse et pieuse pensée de faire parvenir à M. le Maire de Senlis, en mémoire de son regretté mari, une somme de 400 francs 3 ui sera répartie moitié pour le Bureau e Bienfaisance, moitié pour l’Hôpital général, dont M. Jules Dufourmentel fut longtemps l’administrateur. Institution Saint-Vincent Jeudi 25 mai, Fête des Anciens PROGRAMME : 10 h. 30 : Messe Solennelle. — Appel des Morts au champ d’honneur. De Pro- fundis au Monument. 12 heures : Banquet. Récréation offerte par les Elèves, à leurs Anciens, sur la Cour des Grands. Une vente ajournée Mardi dernier, avait lieu à l’Hôtel de Ville, une vente de chablis et bois mort, sous la présidence de M. Crabol, sous- préfet, avec MM. Poussard, inspecteur des eaux et forêts et Sauvat, receveur des domaines. Le Président du Syndicat des marchands de bois de la région, M. Caillotin fils, a remis divers vœux à l’administration des forêts, et tout particulièrement exprimé le désir que la vente se fasse en bloc au lieu des 4 lots annoncés. M. Poussard n’a pu leur donner satis faction. Dans ces condilions, pas un des mar chands de bois présents n’a fait d’offre et la vente n’a donné aucun résultat.

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b u r e a u x , r é d a c t i o n & a d m i n i s t r a t i o n .S E N L IS — 1 1 , P l a c e ïTrrrii't-IV', 11 — S E N L IS

TÉLÉPHONE no 44D I R E C T E U R i A B R A N D

A nnonces lég a les .........

A nn o n ces v o lon ta ires .

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Les m a v u sc r ils , irtsêrvs ou v o n , n e so n t p as r e n d u sm m- • • %

Imprimeries Héunies de SentisAssemblée G énérale o rd inaire

e t ex trao rd in a ire

Les Actionnaires des Imprimeries Réunies de Sentis, sont convoqués en Assemblée Générale annuelle, pour le M ard i 13 J u in , à 14 h e u re s 1 /2 , Salle Debressy,b Senlis, Place Henri IV.

ORDRE DU JOUR IR apport du C onseil d ’A dm in istra tion su r

le i " exercice 1931 ;R apport des C om m issaires aux com ptes

su r le 1" exercice 1921 ;Q u itu s à donner à un A d m in is tra teu r ;F ixa tion de la va leu r de l'action ;N om ination des C om m issaires aux comptes

et fixation de leur indem nité ;F ixation de l’indem nité du C onseil d ’A d-

m in istra tion ;Pouvoir A donner aux A dm in istra teu rs

de tra ite r avec la Société.Les Actionnaires sont en outre convo­

qués, à l’issue de l'Assemblée Générale ordinaire, en Assemblée Générale extra­ordinaire, pour délibérer sur l’ordre du jour suivant :

S uppression du deuxièm e parag raphe de l’article 6 des s ta tu ts , s tip u lan t q u ’aucun actionnaire ne peu t être ou devenir pro­p rié ta ire de p lus du dixième du capital social.

P o u r le C onseil d ’A dm in istra tion , Le Président :

3375 H e n r y GIRARD

MM. FOURNIER SARLOVEZE, conseiller sortant, 2.442 voix. élu.

HERAUDE, 1.383 voix.COTTIN, 367 voix.

CANTOND’ESTRÉES-SAINT-DENIS

Inscrits : 2.701 ; Votants Suflrages exprimés : 2.146. MM. LANGLOIS, conseiller

1.184 voix, élu. MOREN, 487 voix. DUFEU, 473 voix.

2.207 ;

sortant,

Gonseil G énéralA R R O N D ISSE M E N T DE B E A U V A IS

CANTON DE BEAUVAIS-NORDInscrits : 3.938 ; Votants : 2.770 ;

Suffrages exprimés : 2.274 ; Blancs et nuls : 96.M. MAGNIER, conseiller sortant,

1.901 voix, élu.

CANTON D’AUNEUILInscrits : 2.201 ; , Votants : 1.720 ;

Suffrages exprim és: 1.531 ; Blancs et nuls, 159.M. DOFFOY, conseiller sortant, 1.496

voix, élu.

CANTON DU COUDRAY-SAINT-GERM ER

Inscrits : 2 366 ; Votants : 1.559 ; Suffrages exprimés : 1.478 ; Blancs et nuls : 153.M. LEFÈVRE, conseiller sortant, l 397

voix, élu.

CANTON DE GRANDVILLIERSInscrits : 2.901 ; Votants : 1.653 ;

Suffrages exprimés : 1 540 ; Blancs et nuls : 113.

de SAINT-FUSCIEN, conseiller sortant, 1.505 voix, élu.

M.

CANTON DE MERUInscrits : 3.775 ; Votants : 2.505 ;

Suffrages exprimés, 2.426 ; Blancs et nuls : 78.

BREBANT, conseiller sortant 1 663 voix, élu.

VOISY, 734 voix.

MM.

CANTON DE NIVILLERSInscrits : 2.344 ; Votants : 1.803

Suffrages exprimés : 1.673 ; Blancs et nuls : 130M. LANGLET, conseiller sortant, 1.641

voix, élu.

A R R O N D ISSE M E N T DE CLERM ONT

CANTON DE BRETEUILInscrits : 2.574 ; Votants : 2.000 ;

Suffrages exprimés : 1.902.MM. DELPIERRE, conseiller sortant,

1.411 voix, élu.MARTY, 485 voix.

CANTON DE RESSO NS-SU R-M ATZ

Inscrits : 2.117 ; Votants : 1.611 ; Suffrages exprimés : 1 480.M. BOULANGER, conseiller sortant,

1.428 voix, élu.

A R R O N D ISSE M E N T D E S E N L IS

CANTON DE BETZInscrits : 1 946 ; Votants : 1.530 ;

Suffrages exprimés : 1,510.MM. Paul DELACROIX, 994 voix, élu.

André COURTIER. 515 voix.

CANTON DE CREILInscrits : 10.191 ; Votants : 7.375 ;

Suffrages exprimés : 7.233.MM. de BILLY, 2.752 voix.

UHRY, conseiller sortant, 3.571 v. NARBONNE, 909 voix.

Ballottage

CANTON DE NANTEU1L-LE-HAUDOUIN

Inscrits : 2.033 ; Votants : 1.636 ; Suflrages exprimes : 1.572 MM. de KERSAINT, conseiller sortant,

930 voix, élu.Prince RADZIWILL, 638 voix.

CANTON DE NEUILLY-EN THELLE

Inscrits : 3 079 ; Votants : 2.348 ; Snflrages exprimés : 2.266 ; Blancs et nuls : 82.MM. de LAPOMAREDE, conseiller sor­

tant, 1 767, élu.DIZENGREMEL, 479 voix.

Conseil Q’ArrondissementA R R O N D ISSE M E N T D E S E N L IS

CANTON DE SENLISInscrits : 3.604 ; Votants : 2.291 ;

Suffrages exprimés : 2.197.MM. TRONCIN, conseiller sortant,

1 272 voix, élu.SAVOURET, 909 voix.

CANTON DE CRÉPY EN-VALOISMM, FRANCOLIN, conseiller sortant, élu.

DEREURE, conseiller sortant, élu.

RemerciementsA MM. les électeurs

du Canton de Senlis

Chers Concitoyens,Je vous remercie bien sincèrement du

nouveau témoignage de confiance que vous venez de me donner.

Je remercie vivement tous les électeurs qui ont compris en me réélisant que je ne fais jamais de campagne et que je n’appartiens à aucun parti.

Nous sommes tous Français.Je demande seulement à être approuvé

sur les idées ou les réformes que je pense être justes

En me donnant vos suffrages, vous avez compris comme moi, que le Conseil d’ar­rondissement tel qu'il existe actuellement ne sert à rien, je vais faire tout ce qui dépendra de moi pour le rendre pratique­ment utile.

En me confiant pour la seconde fois les fonctions de Conseiller d’arrondissement, vous avez manifesté sur mou nom le désir unanime d’union de tous les cœurs, pour la grandeur de notre chère patrie et de prospérité pour notre beau canton de Senlis

Veuillez agréer, chers concitoyens, l'as­surance de tout mon dévouement.

Vive le canton de Senlis!André TRONCIN,

Industrie l, [Maire de Chamant, C onseiller d 'Arrondissem ent.

les îla Marche Lorraine, touchée sur grandes orgues par M. Tinel père.

La foule s’est répandue ensuite sur la place de la Cathédrale pour admirer les superhes illuminations électriques» dues à l’initiative de Mgr Dourlent, et installées par les soins de la maison Battefort, l’embrasement du clocher aux diverses couleurs a provoqué les applaudisse­ments des spectateurs. Le coup d’œil dépassait en splendeur tout ce qui avait été fait jusqu’à ce jour.

La Sous Préfecture, le Tribunal, la Gendarmerie et diverses maisons particu­lières étaient illuminés.

Le matin, des distributions de secours avaient eu lieu par les soins de la Munici ­palité et du Sureau de Bienfaisance.

Senlis, en cette journée du 14 mai, a commémoré les hautes et traditionnelles vertus de notre pays, sous l’égide d’une des ligures les plus lumineuses que l’his­toire ait connues.

VILLE DE SENLIS

T ir à l’a r b a lé te d u G rand C ours(près la Gare)

Prix Général de 1922du dim anche 21 m ai

au dim anche 25 ju in 1922

A P E n reg istrem en tH. Combat, receveur de 2e classe à

Couches (Eare), est nommé receveur de D’classe à Sen.'is (actes civils).

duA MM. les électeurs

Canton de Nanteuil-le Haudouin

Mes chers Concitoyens, Enlants an Pays,De tout cœur, Merci d’avoir bien voulu

me.nommer, de nouveau, votre Conseiller, Général le 14 mai 1922.

Profondément républicain et démocrate, je resterai l’indépendant que vous con­naissez, ne me souciant que de la défense des droits de chacun et de l’intérêt du Canton. Tout en respectant certaines tra­ditions je veux saarcher vers le progrès social avec l’économie et la mesure qu’il faut envisager par ces moments diffi­ciles.

Il faut à chacun pour devise : Labeur et Opiniâtreté. Quant à moi je veux être digne de votre confiance et du profond du cœur je vous redis : Merci !

Comte de KERSAINT,C onseiller Général de l'O ise,

tM aire de Vers 'zny .> . I ” ' ’v*- 1A MM. les électeurs

du Canton de Nanteuil-le-Haudouin

. e M u n ic ip a lreprésentation de N apolèonnette

que nous avons annoncée comme devant avoir lieu le lundi 22 mai, sera donnée le lendemain 23, au Théâtre de Senlis.

CANTON DE PO NT-S AINTE-M AXENCE

Inscrits : 2.459 ; Votants : 1.587 ; Suffrages exprimés : 1,391.M. DELAUNAY, 1 341 voix, élu.

Messieurs,Je tiens à remercier bien sincèrement

les 638 républicains du canton de Nan- teuii, qui ont bien voulu m’accorder leur confiance.

Le suffrage universel ne nous a pas été favorable, et nous n’avons qu’à nous incliner.

Mais continuons à lutter pour les idées qui nous sont chères et sachons nous grouper chaque fois que nous aurons à oombattre pour elles.

Vous me trouverez en ces circonstances toujours à vos côtés.

Prince Léon RADZIWILL,lM aire d’& rm enonville.

t r a v e r s

CANTON DE CLERMONTInscrits : 3.877 ; Votants : 2 958 ;

Suffrages exprimés : 2.830.MM. Désiré BOUTEILLE, député, 1.435

voix, élu.GUESNET, conseiller sortant,

1.415 voix.

CANTON DE LIANCOURTInscrits : 3 964 ; Votants : 3.133 ;

Suflrages exprimés : 3.049.MM. Hubert STERN, conseiller sortant,

1.468 voix.Armand DU PUIS, 701 voix. LAMBERT, 878 voix.

Ballo ttage

S y n d ic a t d ’in it ia t iv eTous les jeudis, E x c u r s io n au musée

Jacquemara André, les parcs de Chaâlïs- Ermenonville, le Désert et la Mer de Sable.

Départ de Senlis à 14 heures.Retour à Senlis pour les trains du soir

vers Paris à partir de 16 h. 50.Les personnes désireuses de faire cette

délicieuse promenade, sont priées de se faire inscrire le matin de l’Excursion :

Soit au Syndicat (TInitiative, 1, avenue du Maréchal Foch, Senlis;

Soit chez M. Langlois, 7, impasse du Tour-de-Ville, de neuf heures à midi.

Téléphones : Synd ica t 204, M. L an­glois 141.

Prix de l’excursion : 9 f r a n c s .E n préparation : Visites aux champs

de bataille Reims, Soissors, Compiègne, Noyon, Montdidier.

Les renseignements seront communi­qués ultérieurement.

CANTON DE MAIGNELAYInscrits : 1 926 ; Votants : 1.652 ;

Suffrages exprimés : 1.612.MM. Georges TURCK, conseiller sortant,

670 voix.Paul DUQUESNEL, ancien con­

seiller, 292 voix.BERTHET, 644 voix.

B allottage

A R R O N D ISSE M E N T DE COMPIEGNE

CANTON D’ATTICHYInscrits : 2.442 ; Votants : 1.774

Suflrages exprimés : 1.698.M. CRUARD, conseiller sortant, 1.590

voix. élu.

CANTON DE COMPIEGNEInscrits : 6 429 ; Votants : 4.414

Suffrages exprimés : 4 210.

L a F ê te IVationaled e J e a n n e d ’A rc

Jeanne d’Arc a eu dimanche sa fête nationale ; elle a été célébrée dans toutes les communes de France, à l’exception de quelques localités où les municipalités communistes ont fait ce qu’elles faisaient pour la fête du 14 juillet : l’abstention.

Fête nationale ont décrété les Cham­bres, et p o u r la seconde fois, le Gouver­nement de la République a commémoré cette fête de l'héroïne française,

La vieille cité Senlisienne avait pavoisé ses rues et ses monuments publics aux couleurs bleu, blanc et rouge se mariant très agréablement avec les couleurs de Jeanne d’Arc.

Un service religieux a été célébré à la Cathédrale à dix heures. Pour la circons tance, le vieil édifice avait reçu une déco­ration spéciale, partout des trophées de drapeaux tricolores et de drapeaux aux couleurs de la Pucelle de Domrémy.

Aux premiers rangs de l’assistance nous avons remarqué : M. le député Audré Paisant, sous-secrétaire d’Etal, M, Crabol, sous-préfet, MM. Escavy, maire, Demoi

net, adjoint (M. Gazeau était retenu à la mairie avec plusieurs conseillers munici­paux), MM. Sommaire, Turquet, Fautrat, Louât, Langlois, Julien, conseillers muni­cipaux, M. Albert Paisant, président honoraire du Tribunal, MM. le colonel d’Eperioux, commandant le 5e chasseurs, le lieutenant-colonel André et plusieurs Officiers du 5e chasseurs, le capitaine de gendarmerie Coine et divers fonction­naires.

Le collège Saint-Vincent avait pris place dans le chœur, et M le chanoine Conen, supérieur, était dans le sanctuaire.

Pendant la messe basse dite par M. l’abbé Audiffred, les 300 élèves du collège Saint-Vincent, M. l’abbé Vialon et un groupe de dames et de jeunes filles de la Ville ont fait entendre de très beaux chants, sous la direction de M. Tinel Jac­ques, qui tenait l’orgue.

A l’évangile, Mgr Dourlent a remercié toutes les autorités civiles et militaires- qui attestaient par leur présence l’union sacrée scellée sur le nom de la grande Française. Il exprima sa gratitude à toutes les personnes qui avaient bien voulu prêter leur concours pour rehausser l’éclat de cette cérémonie et en particulier au collège Saint-Vincent, et également à la Ville de Senlis qui avait prêté les dra­peaux qui ornaient la Cathédrale tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Le soir, à 8 heures, une foule immense se trouvait réunie à la Cathédrale.

In stitu tio n J e a n n e d ’A rcMatinée du 14 m ai

« Et quel temps fut jamais si fertile en miracles », lisons-nous dans A thalie ; quelle année fut jamais si remplie de spectacles, pourrait-on dire à Sardis ? Mlles Dubois, les distinguées directrices du cours Jeanne d’Arc, ont ajouté un rich8 fleuron à cette couronne de repré­sentations de 1921-1922, car leurs élèves ont su intéresser, charmer, captiver même te public aussi nombreux que choisi, qui se pressait dimanche dernier dans la salle Jeanne d’Arc.

Le programme commençait par une sérénade de pierrots, mimée à ravir par des fillettes et des garçonnets qui rivali­sèrent d’entrain et de gentillesse.

Puis vint la gymnastique d’assouplisse­ment, démontration vivante de la valeur des méthodes nouvefes qui fout de la gymnastique un exercice musculaire et une école de maintien et de souplesse gracieuse. Ces douze jeunes filles, dans WurL ércdutiou?/ harmonieusement ryth­mées, nous donnèrent vraiment une impression d’art ; ce qui .vaut d’être signalé !

Le tour des petites classes revint avec une charmante pantomime, rehaussée de somp. ueux costumes. La belle au bois dormant en trois tableaux. Tout fut parfait, depuis la mise en scène et la recherche minutieuse des accessoires, jusqu’au jeu et aux mouvements des jeunes actrices si bien réglés sur une musiqueheureusementadaptéé; n’oublions pas de mentionner Mlle G. Guiltemeau, le gentil héraut instruisant le public du sujet de chaque tableau.

Avant d’aborder Athalie , le numéro principal du programme, Mme J . Marie- Laurent, l’excellent professeur de diction, a bien voulu nous charmer en interprétant trois poésies : Le Mot, de Victor Hugo, le Jongleur, de Borelli et l’Eglise d e là Madeleine. Il est impossible de mettre plus de simplicité et en même temps plus de variété dans la diction. Dans le Jon­gleur notamment, l’artiste fut gaie, sup­pliante, tragique, majestueuse ; ce fut un régal, ce fut du grand art.

On ne pouvait douter du succès d’A th a ­lie après avoir applaudi le professeur ! Toutes les actrices méritent des éloges sans réserves. Mentionnons cependant les trois premiers rôles : Mlle Colette Morand assuma la lourde tâche de person­nifier Joad, le grand prêtre ; tantôt avec simplicité, tantôt avec énétgie et majesté, elle réussit parfaitement à nous repré­senter cet homme d’action et de foi pro­fonde, création la plus étonnante du théâtre de Racine ; Mlle Panlette Bour­geois, malgré son jeune âge, fut une Athalie remarquab'e. Il y a, croyons- nous, au foyer du théâtre de l’Odéon, une très belle peinture représentant l’une de nos grandes tragédiennes dans ce rôle ; cette peinture était là devant nous, mais animée, très vivante, avec une voix tour à tour altière, méprisante ou violente ; c’est de la tragédie et de la meilleure. Mlle Geneviève Louât, fière, digne et si tou­chante dans ses alarmes maternelles, rendit le rôle de Josabeth avec une émo­tion communicative, sans gestes ou pres­que, avec simplicité et grandeur.

Après elles, Mlles Cécile Audy. le déli­cieux Joas ; Y. Béguin, Mathan, ; L. Pas- quier, Abner ; Y. Minouflet, Zacharie ; S. Doix, Salomith ; M. Cardon, un lévite, ont joué avec justesse et talent, et ont concouru, avec les beaux chœurs de Mendelssohn, à donner à cette représen­tation choisie, une note tout artistique.

N’oublions pas Mlle Madeleine Dubois,

La Société d’Arbalète du Grand Cours a l’honneur d’inviter MM. les Sociétaires et Amateurs, à venir concourir aux Prix qui seront tirés les 21, 22, 25, 28 et 29 mai ; les 1, 3, 4, 5, 8 , 11, 12, 14,15, 18,19, 21, 22, 24 et 25 juin.

Composition des P rixi er prix (espèces), offert p a r la V ille de

Senlis ioo francs.2e prix (espèces), offert par M. le P rince

R adziw ill, m aire d’E rm enonville so francs.3' prix (espèces), offert pa r M. A u ry -P a u -

quet, présiden t de la Société 40 francs.4 ' prix (espèces), offert p a r M . R ém ond,

in d u strie l à Senlis 40 francs.5” prix (espèces), offert par la Société 40 fr.6e prix (espèces), offert pa r son Altesse

Royale la D uchesse de C h a rtre s 30 francs.7* prix U n O bjet d ’A rt S a n s-S o u c i, offert

par M. E scavy, chevalier de la Légion d’hon­neu r, m aire de Senlis.V 8^ prix (espèces), offert par le S yndicat d ’in itia tive , de Senlis 20 francs.

9 ' prix (espèces), offert p a r M. F o u rn ie r S ar- lovèze, député de l’O ise 20 francs.

10e prix (espèces), offert p a r M. G eorges- Picot, conseiller général 20 francs.

11<= prix (espèces), offert p a r M. le Com te T u rq u e t de la B oisserie 20 francs.

12» prix (espèces), offert par M. A lbert G uil­laum e, chevalier de la Légion d ’honneur, m aire de F o n ta ine-C haâ lis 20 francs.

13» prix (espèces), offert par M. G. D orm euil, château de la B ellefontaine à Senlis 20 fr.

prix (espèces), offert p a r M. M ouchotte, d is tilla teu r à S ain t-M andé 20 francs.

150 prix , une M édaille en a rg en t offerte p a r la C om pagnie du N ord.

16e prix (espèces), offert par M. P a ren t, d is­tilla teu r à S a in t-D en is 20 francs.

17» prix (espèces), offert par M. F avre, voya­geur de M. H ém ard, d is tilla teu r à M ontreuil 20 francs.

18* prix (espèces), offert p a r M. Roland, sénateu r de l’O ise 10 francs.

19e prix (espèces), offert p a r M. D em oinet, prem ier adjoin t de la V ille de Senlis 10 francs.

20' prix (espèces), offert pa r M. Léon D el- gorge, in dustrie l à Senlis 10 francs.

2i* prix (espèces), offert p a r M. Gazeau, deuxièm e adjoin t de la V ille de Senlis 5 fr.

22' prix , Deux V olum es offerts p a r M. L a- bouret, p roprié ta ire à Senlis.

23 ' p rix , Deux Bouteilles de C ognac, offer­tes par la m aison P ru n ie r et C ie, négociants à Cognac.

24 prix , Une Bouteille de F ine « 1875 », offerte par M. B oissay, p rop rié ta ire à Senlis.

25“ prix , T ro is litres d’O rang ine, offerts p ar la D istille rie de S ain te-A dresse (Seine- Inférieure).

26’ p rix , T ro is litres d ’O rang ine , offerts p a r la d is tille rie de S ain te -A dresse (Seine- Inférieure).

Deux Primes de Bagues seront décer­nées aux deux Tireurs qui auront fait le plus grand nombre de Bagues sans gagner de prix ; la première de 15 francs offerte par la Société ; la deuxième, de 10 francs offerte par la Société.

Après le chant du M agnificat, Mér'T-q&i tint le piano d’accompagnem»nt, et,Dourlent est monté en chaire et. avec cette parole qui vient du cœur et qui toujours y va profondément, a prononcé un beau panégyrique de l’héroïne fran­çaise, envoyée par Dieu pour sauver son pays.

La procession de sainte Jeanne d’Arc s’est déroulée ensuite à l’intérieur de l’église et 200 jeunes filles vêtues de blanc ont chanté l’héroïne, la rédemptrice du Pays, la fille du peuple de France et la vierge de Lorraine.

Après le salut, la cérémonie s’est ter­minée aux accents de la cantate à TEten­dard , chantée par les élèves du collège Saint-Vincent et la Chorale de l’Amicale des Anciens Elèves de l’école de la rue de Villevçrt, La sortie se fit aux açcqnts de

notamment, dans la Belle au bois dor­m ant, charma nos oreilles par l’audition de fragments de Stephen Heller et la Pileuse, de Riff. Nous avons pu l’applau­dir aussi dans ses élèves, Mlles M. de Masin et J. Coquet, qui ont joué avec brio la marche des prêtres d’A thalie.

Le public n’a pas ménagé ses applau­dissements et c’était justice ; que les plus sincères félicitations soient adressées à Mlles Dubois et à leurs dévouées maîtres­ses, pour cette matinée littéraire et musi­cale, qui leur fait le plus grand honneur !

d’abord la question économique avant la question politique,

Le Conférencier parle de l’organisation des industries allemandes, de la question du change, des explications données à Gênes par le Premier Anglais, les Soviets Russes, les Italiens, etc. Les Anglais disent : organisons la restauration de 'Europe d’abord et nous verrons les

autres questions en uite. Nous pensons, nous Français,que, sans rejeter cette ques­tion importante et nécessaire pour la vie économique mondiale, il nous faut tout d’abord penser à la remise en état de nos départements envahis et détruits, et que c’est un devoir pour un pays comme le nôtre, de se garantir contre une invasion possible.

La situation financière de l’Allemagne, tout le monde la connaît, elle nous a payé trois milliards de marks or et donné quel­que argent en nature, wagons, locomo- , tives, bestiaux, etc. .

De son côté, la France a déjà avancé pour le compte de l’Allemagne, 90 mil­liards. Voilà la situation financière.

Le Président Wilson a commis une grave erreur dans cette question si impor­tante de la Paix, aux Français aujourd’hui à ta réparer et à exiger que l’Allemagne qui a déclaré la guerre, qui l’a co n d u ite avec tant de cruauté, paie ce qu’elle doit légalement payer à la France meurtrie et appauvrie par elle.

M. Blondel a terminé sa conférence en demandant à tous d’étudier plus que jamais les questions économiques qui jouent un rôle si important dans le monde, de laisser de côté la politique pure qui divise et ne résout pas les problèmes qui font ou la force ou la mort d’une nation ; il faut surtout étudier le problème alle­mand et rechercher ce que cette nation médite, ce qu’elle veut et ce qu’elle espère obtenir par tous h s moyens dont elle peut disposer, car, ne l’ignorons pas, sa men­talité n’a pas changé et sous ce rapport, le savant conférencier a donné quelques détails très intéressants.

En terminant, M. Bloudel, atteint dans ses plus chères affections par la guerre, a rendu un hommage mérité à nos chers morts. En termes émouvants, il a évoqué leur glorieux souvenir et c’est en leur nom qu’il a demandé à l’assistance de mettre en pratique les enseignements tirés de sa conférence.

Une longue salve d’applaudissements a montré à M. Blondel combien il avait été compris par tous.

Merci à M. Blondel de nous avoir char­més et instruits., et souhaitons qu’il lui soit donné de fairvS ^e nombreuses confé­rences sur ce sujet à/ceux qui t ie n n e n t en mains les destisées de notre Pays.

Pour terminer, M. le Maire, au nom de la nombreuse assistance a, en quelques mots, remercié notre distingué concitoyen, M. Turquet de la Boisserie, de l’excel­lente idée qu’il avait eue de faire venir M. Blondel, et au conférencier, M. Escavy a dit combien il avait été goûté de tous par sa belle et remarquable conférence sur un sujet qui intéresse en ce moment si passionnément les Nations et la France en particulier.

P h a r m a c ie o u v e r teDimanche 2 i m a i: M. Bardou, rue de

l’Apport-au-Paiù.

La C o n fé r e n c e d e M. B lo n d e lUne très nombreuse assistance a répon­

du à l’appel de notre distingué concitoyen,M. H. Turquet de la Boisserie, délégué de de la Ligue Française, à Senlis, qui avait bien voulu faire venir au Théâtre munici­pal, obligeamment mis à sa disposition par la Municipalité, un savant, M. Blondel, l’éminent professeur au Collège de France, vice-président de la Société de Géogra­phie, pour y donner une conférence sur : Les mécomptes de la P a ix et les devoirs ■présents.

Au bureau ont pris place autour de M. Blondel, M. Turquet de la Boisserie, M. Escavy, maire, et M. Georges Picot, conseiller général du Canton de Senlis.

M. Crabol, sous-p réfet, s’était fait excuser.

Après quelques paroles de remercie­ments de M. Turquet de la Boisserie à M. Blondel, à Monsieur le Maire, à la Municipalité et. aux autorités présentes, l’éminent conférencier a parlé pendant plus d’une heure sur ce sujet, d’autant p lu s , d’actualité en ces jours pendant lesquels le monde entier, cherchant la reconstitution de l’Europe, s’agite à Gênes autour du traité de paix. M Blondel, qui a parcouru les principales villes de l’Eu­rope, a su intéresser son auditoire en agrémentant sa conférence de souvenirs personnels et en nous faisant toucher du doigt l’époque critique dans laquelle nous vivons. Nous regrettons que le manque de place nous oblige à écourter ce compte rendu ; il faudrait publier in-extenso cette belle conférence pour faire com­prendre à nos lecteurs ce qu’elle avait d’instructif, tant au point de vue écono­mique qu’au point de vue social.

M. Blondel a fait un retour en arrière, novembre ls 18, date où l’on a commis des erreurs et éprouvé des illusions, ce sont ensuite les réunions successives des alliés où la France a perdu malheureusement du terrain, et aujourd’hui l’on est obligé de constater avec amertume que l’on a très mal fini la guerre, nous avons accepté trop vite l’armistice, et la paix aurait dû être signée sur le sol même de l’Allema­gne, cela n’aurait pas permis à l’arro­gante ennemie, de dire que la guerre était terminée, parce que les combattanls de toutes les puissances étaient fatigués et n’en pouvaient plus. L’Allemagne a signé le traité de paix, disent les Allemands eux- mêmes, parce qu’elle ne pouvait pas faire autrement, mais elle travaille de jour en jour, tant à l’intérieur qu’auprès des autres nations pour se soustraire à ses engagements et ne pas payer. Car, il ne faut pas l’iguorer, les Allemands ont trouve le moyen de prendre une revanche économique. Ils sont sous ce rapport plus malins que nous et nos alliés ; ils ont vu

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D on à la m é m o ir ed e M. U u fo u r m e n te l

Nous sommes heureux de porter à la connaissance de nos lecteurs, que Mme veuve Jules Dufourmentel, a eu la géné­reuse et pieuse pensée de faire parvenir à M. le Maire de Senlis, en mémoire de son regretté mari, une somme de 400 francs

3ui sera répartie moitié pour le Bureau e Bienfaisance, moitié pour l’Hôpital

général, dont M. Jules Dufourmentel fut longtemps l’administrateur.

In stitu tio n S a in t-V in c e n tJeudi 25 m ai, Fête des Anciens

PROGRAMME :10 h. 30 : Messe Solennelle. — Appel

des Morts au champ d’honneur. De Pro- fundis au Monument.

12 heures : Banquet. — Récréation offerte par les Elèves, à leurs Anciens, sur la Cour des Grands.

U n e v e n te a jo u r n é eMardi dernier, avait lieu à l’Hôtel de

Ville, une vente de chablis et bois mort, sous la présidence de M. Crabol, sous- préfet, avec MM. Poussard, inspecteur des eaux et forêts et Sauvat, receveur des domaines.

Le Président du Syndicat des marchands de bois de la région, M. Caillotin fils, a remis divers vœux à l’administration des forêts, et tout particulièrement exprimé le désir que la vente se fasse en bloc au lieu des 4 lots annoncés.

M. Poussard n’a pu leur donner satis­faction.

Dans ces condilions, pas un des mar­chands de bois présents n’a fait d’offre et la vente n’a donné aucun résultat.

H a p p é e p a r u n e a u to m o b ileu n e S e n lis ie u n e e s t tu é e

Mardi vers 6 heures du soir, un mortel accident s’est produit au carrefour de la place de Creil, carrefour très dangereux pour les piétons, aussi bien que pour les oyclisteset les automobilistes.

Une voiture chargée de paille venait de la route de Creil pour aller avenue Félix- Vernois, à ce moment une femme débou­chait de la rue aux Chevaux pour gagner le rempart du Montauban.

Au même instant, une automobile dans laquelle étaient le conducteur et un autre homme, venait de l’avenue Félix- Vernois pour rejoindre la route de Chan­tilly.

Que se passa-t-il exactement en cette minute fatale ? L’enquête ouverte par M. Combes, commissaire de police, et continuée par lesmagistratsldu Parquet de Senlis, l’établira.

Y-a t-il eu imprudence, faute ou négli­gence des automobilistes, ou au contraire de la victime.

Notre impartialité nous oblige, pour ne pas porter un jugem ent’inexact, à poser la question sans la résoudre.

La pauvre femme happée par l’avant- train de la voiture fut traînée pendant quelques mètres et quand on parvint à la dégager de sa triste position, elle rendit presque aussitôt le dernier soupir.

La tête fut affreusement mutilée, et par les soins de M. le Commissaire de police, le corps fut transporté à l’Hôpital général, après constatation du décès par M. le Docteur Pellet, et identification de la victime.

La personne qui trouva ainsi une mort si atlreuse, est Mme veuve Léopoldine Caron, âgé de 68 ans, marchande de vins, rue Vieille de-Paris, bien connue dans ce quartier.

A la suite de cet accident, les*automo­bilistes ont subi de longs interrogatoires au Commissariat de police. L’auto, aux dires des témoins, n’allait pas à une vitesse exagérée, mais nous croyons savoir —j cas assez grave — que le con­ducteur de l’auto Paul R ..., n ’avait pas encore obtenu de permis de conduire.

Le dossier de cette enquête a été trans­mis au Parquet, et M. Dubois, procureur de la République, a chargé M. Brincard, juge d ’in s tru c t io n , de su iv re c e tte a ffa ire d ’h o m ic id e p a r im p ru d e n c e .

Ajoutons que cette mort si terrible a provoqué une légitime émotion dans notre ville.

Il existe dans Senlis plusieurs endroits très dangereux pour la circulation, tant des piétons que des automobilistes, c’est pourquoi nous ne saurions trop insister auprès de l’Administration Municipale pour qu’elle puisse augmenter encore, si possible, le nombre des plaques indica­trices permettant aux automobilistes de passage dans notre ville, de prendre les précautions utiles pour éviter des acci­dents souvent mortels.

In u tile d e s e r e n d r e à la fo ir e d e P a r is pour voir la fameuse chambre SOLUS (marque et modèle déposés), une des plus belles créations de l’art moderne dans l’industrie du meuble. Elle se trouve chez VALEX, place de la Halle. De fabrication e x tr a s o ig n é e , elle est d’un prix très abordable.

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M. e t Mme MEZAILLE, débitant de boissons et marchands de primeurs, rue Saint-Pierre à Senlis, ont l’honneur d’informer leur clientèle, que malgré le débit de boissons qu’ils viennent de s’adjoindre, ils continueront comme par le passé le commerce de primeurs, sur les marchés des mardi et vendredi de chaque semaine.

Ils acceptent, tous les jours, à ladite adresse, les commandes à livraison rapide.

T h é â tr e M u n icip a l C in ém aDIRECTION L. CLARA

Sam edi 20, en soirée.Dimanche 2 1 , en m atinée et soirée.

P rogram me Les lacs Suisses, voyage documentaire. Narcisse au théâtre, comique.G O S S E D E R I C H E S , grand film,

Interprété par Suzanne GRANDA1S et Mme Jalabert, MM. Bosc, H. Roussel, etc.

Attraction. D arvys, fantaisiste.En supplément au Programme

l ’J T i g l o n n e Deuxième épisode : L’enfant des Prisons

N o ta , — Le je u d i de l ’Ascension en soirée un beau program m e.

R e m e r c ie m e n tsLes familles Meignan et Beaufort

remercient les personnes qui ont assisté aux obsèques de Mme Meignan mère et prient les personnes qui n’auraient'nas reçu de faire part, de bien vouloir excuseï de ces oublis involontaires

M. et Mme René Lucy, Mme Vve Emile Lucy et leurs enfants, remercient b ie n sincèrement les personnes qui leurTnt témoigné leur sympathie à ^occasion du décès de M. Paul Lucy.

Le d é s a r m e m e n t d e sS a p e u r s -P o m p ie r s

On sait que M. le Ministre de la Guerre a adressé aux Gouverneurs militaires, aux Généraux commandants de Corps d’ar­mée, des instructions tendant :

1° A la suppression des délivrances d’armes aux municipalités pour l’arme­ment des sapeurs-pompiers communaux :

2° A la réintégration dans les magasins des établissements de l’artillerie, des ar­mes qui pourraient exister dans certaines subdivisions de sapeurs-pompiers.

Cette mesure conlirme ce qui a été an­noncé il y a quelques mois.

Une conséquence de cet arrêté : les plumets tombant des képis et les épaulettes ont fini d’exister.

***Dorénavant, nous ne verrons plus dans

les communes que des sapeurs-pompiers avec leurs armes offensives, consistant en auto ou moto-pompes-dévidoirs et pompes à bras.

Quant aux services d’escorte auxquels ils pourraient être appelés à concourir à l’occasion de cérémonies publiques, nos dévoués pompiers auront certes meilleure allure, eu tenue d’incendie, qu’avec des plumets et des épaulettes, et surtout flan­qués d’un fusil, baïonnette ou coupe- choux, dont le maniement par ces braves gens rappelait trop la garde nationale du bon vieux temps, et les illustrations de certains humoristes.

On demande, nour im p o r ta n t p o r te fe u il le d ’a s s u r a n c e s , à S e n lis , u n a s s o c ié sérieux, actif, ayant de belles et nombreuses relations dans la région.

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E tat Civil d e S e n lisdu tü au 18 Mai 1922

Naissances13. A lfréda-M aria L egrand , im passe Cour-

tille t. y v17. R o g e r-Ju lie n B a rb ie r , rue du Vieux*

C hem in-de-M eaux.17. M aurice-S éraph in B arbier, rue du

V ieux-C hem in-de-M eaux.

Publications de mariages12. M. Georges F a u tra t, inspecteur hono­

ra ire de la C om pagnie du Chemin de F er du N ord, dem euran t à Senlis, rue Bellon, 14, et Mlle h rancisca-T hérèse-M arie-B ertrande de o r ,B,ouse» sans profession, dem euran t à Sfax (Tunisie).

16. M. E m ile-G eorgas-F eraand Bernier, som m elier, dem euran t à Senlis, rue S ain t- Jean , et Mlle E lise-M arie Damette, sans profession, dem euran t à Senlis, 29, place de la H alle.

16. M. R aym ond-G erm ain-V ictor M artin, p lom bier, dem euran t à Senlis, rue de la Cognée, et Mlle H enriette-M arie D ubois, sans profession, dem euran t à Senlis, 11 bis, rue de la Treille!

17- M. C yrille-D ésiré Desboavrée, négo­c ian t, dem euran t à T ourcoing <1 précédem­m ent à Sen lis, et Mlle Suzanne-W arie-Louise Vande M oortele, sans profession, dem eurant a L ille .

Décès12. M arie-E m ilie B eaufort, veuve M eignan,

sans profession, 67 ans, 38, rue de P a ris .13. A n ita-G eorg ina D elaine, 16 ans, car-

tonnière, 1, rue du F aubourg-Sain t M artin.13. P ie rre -Jean -G erm er Soulon, 89 ans,

sans profession, 23, rue du F au b o u rg -S a iit- M artin .

15. L ucie-M arie-L ouise Casse, 15 arn, sans profession, x, rue du F aubourg-Sain t-f Martin. “'<5*F

16. Léopoldine Louvet, veuve Caron, 68 ans, déb itan te , 19, rue de P a ris .

C R E I LAssociation Catholique de la Jeunesse

Française. — Congrès de l'Union dio­césaine de l'Oise. — Le Congrès de l’Union diocésaine de l’Oise se tiendra le Lundi de la Pentecôte, 5 juin 1922, à Creil, sous la présidence de Sa Grandeur Mgr Le Senne, évêque de Beauvais.

A 9 heures : Messe de communion à 1 église paroissiale de Creil.

A 10 heures : Séance d'études au patronage des garçons : Allocution de M. le chanoine D upuis, supérieur de l’Insti­tution du Saint-Esprit, notre nouvel au­mônier diocésain ; R apport sur la Vie de l'U m on diocésaine de l'Oise (résultats acquis, efforts à faire) par A. Lesage; Résultats du Concours inter-groupes.

A 12 heures : Déjeuner en commun. Les adhésions pour le déjeuner doivent être envoyées à M. l’abbé Raymond, à Creil, avant le 2 juin. Prix du déjeuner : 7 fr. 50.

A 2 heures : Séance Solennelle au patronage des garç-ons : Organisation e* développem ent d 'un Groupe d'A. C. J. F., rapport par M. Pieuchot, président du Groupe de Creil ; Ce que doit être une Union diocésaine, discours par M. R. Prelot, vice-président de l’Union de l’Aisne ; A llocution de Monseigneur l'Evêque.

A 4 heures : S a lu t du T. S . Sacre­m ent.

Fiançailles. — Nous apprenons les fiançailles de M. Jacques Desabie, fils du notaire honoraire et de Mme Desabie, avec Mlle Jeanne Lardeux.

Petites nouvelles. — Pour circulation à bicyclette sur le trottoir du nouveau pont, le nommé Villette Marcel, demeu­rant à Paris, a été l’objet d’un procès- verbal.

-- Pour défaut de plaque de contrôle à sa bicyclette, Witzer Louis, demeurant à Creil, se voit aussi dresser procès-verbal

- Pour défaut de récépissé de décla- ,ation de marchand ambulant, les nommés L. Lloyd et Goret Charles, demeurant tous deux à Chantilly, se sont vu dresser procès-verbal.

— A la suite d’une condamnation pour vol, Mme P ... a été incarcérée à la prison de Senlis pour y purger une peine de 4 mois de prison.

MONTATAIRECaisse des Ecoles. — Dans une séance

générale relative a la réorganisation de la Caisse des écoles, qui a eu lieu dans le

a , l école des g-arçonis, il a été pro­cédé a la nomination des membres du comité de cette caisse dont le but est de faciliter la fréquentation des classes par des récompenses sous forme de livres utiles, de livrets de Caisse d’épargne aux élèves les plus appliqués, et aussi, en distribuant aux élèves indigents ou peu aisés, des fournitures de classes, des vêtements et des chaussures pendant l’hiver. '

Pour composer ce comité, l’assemblée a nommé :

MM Fauré, Daussin, Nicolet Augustin, Dumont Eugène, Fieban, Lavielle, Meu­nier Fernand, Coppens Henri, Cavillon Augustin.

Les neuf conseillers municipaux de la Commission scolaire font également parti du comité.

M. le Maire en est le président.Découverte d 'un cadavre. — On a

découvert dans la rivière Le Thérain, le oadavre du mouleur Eugène Binet, 57 ans, domicilié avenue de la Gare.

Le docteur Vieillard a constaté le décès dû à l’immersion.

Suicide ou accident ?Mort accidentelle. — A l’usine des

ponts et travaux en fer, l’ajusteur Emile Collier, 28 ans, veuf, deux enfants, a été atteint par un bloc de fonte et a eu le crâne écrasé ainsi que l’abdomen. La mort fut instantanée.1 c iv i l de M ontataire. — N aissances. —l / r A ^ U M f r E ? ile’ -33’ ru e des N a t io n s ; Jérôm e M arcelle-Eugém e, 17, rue de la G are : Lefevre Paquerette-M adeleine, 58, rue V ictor- H ugo ; W allem acq F e rn an d -L o u is , 41, rue des N ations ; Pennynck A ndré-M arie et . nnynck A ntoine-A lbéric, 15, rue des N a-

Pons ; Lefebvre Jacques-R obert, 9, ru e de la République.

P ublica tions de m ariages. — E n tre M ayeur L ouis-A lphonse, employé de chem in de 1er, domicilié à C reil, et F rise Z éléda-Juliette, dom estique, domiciliée à M ontataire ; en tre H erouart A rth u r-V a len tin , ouvrier d ’usine et ra n c h o n M arie—L ouise-A ngélina, m énagère, domiciliés à M ontataire.

- M ariages. — E n tre B éranger A ris tide- A lbert-E rnest, électricien, et C hagn ier Lucie- B erthe, bnquetière , dom iciliés à M ontataire ; W illam e G eorges-G aston, ouv rie r d ’usine , et Van Londersèle A ndrée-Jeanne, sans p ro ­fession, domiciliés à M ontataire ; D ezutter René, employé, et H uguenot O deete-Em ilie, sans profession, dom iciliés à M ontataire ; D ubois R obert-E tienne, pein tre , et P a tte A lbertm e-E hsa-L ucienne, m anouvrière, do­miciliés à M ontataire ; D érivé A ntoine, tou r­neur, et L am oity V ictorine Noëla, sans p ro ­fession, domiciliés à M ontataire ; D u iard in R obert-A rm and-E ugène, dessinateu r, dom i­cilié à T h iverny , et H érouart Jean n e-M ar- guerite, sans profession, dom iciliée à M onta- taire ; M archandise R e n é -C h a rle s -L o u is , a justeu r, et R ossignol A nto inette-C arm en , m anouvrière, domiciliée à M ontataire .

D écès. — P a t r y O c tav e -A d r ie n -A le x a n d re éft^urvV ier, 75 an s , 122, rue Je a n -Ja u rè s ; Gosset M ane-R ose-G lém entine, veuve Biet, 78 ans, 48, rue M ertian ; Le M oustarder (m ort-né), 57, rue V oltaire ; Q u in tin D ésiré- Joseph, m anouvrier, 7 i ans, 18, rue des

N O G E N T -S U R -O IS EConcours de tir à la carabine. — Il

est rappelé que le concours de tir à la carabine organisé par fa Société l'E toile de Nogent-sur-Oise a lieu tous les dimanches, de 2 à 5 heures, dans le parc de la Ville, où tes amateurs pourront sous favorf1S ompra^es se livrer à 1 leur sport

i reviennent. — Dimanche t eu liou, au milieu d’une

Ceuxdernier

nombreuse assistance, les obsèques du sous-lieutenaut Marcel David, du 372“ ré­giment d’infanterie, chevalier de la Lé­gion d’honneur, décoré de la croix de guerre, tué à l’ennemi à Monastir, le 27 février 1917.

L’inhumation a eu lieu au cimetière de Chantilly.

. Nous présentons à la famille l’expres­sion de nos condoléances émues.

E ta t C ivil de N o g en t-su r-O ise . — N a is ­sance. — G illette Hélène, rue T illet.

P ublica tions de m ariages. — E n tre M eu- llen Jean, pharm acien-chim iste, dom icilié à Lyon (R hône), et Vérez M arie-L ouise, sans profession, domiciliée à N ogen t-su r-O ise • entre V anderbecken M arcel-L ouis-A ugustin tou rn eu r su r m étaux, dom icilié à M ontataire’ et O lin M adeleine-C harlo tte, sans profession, domiciliée à N ogen t-su r-O ise ; en tre Rabbé M arcel-Louis-Em ile, dessinateu r, dom icilié à N ogent-sur-O ise, et T ronquet M adeleine- v;.a rie \ employée de bureau , dom iciliée à V in eu il-S a in t-F irm in .

M ariage. — B uecher M arcel, to u rn eu r, et H erm ans B lanche-A rm ance, sans profession, tous deux domiciliés à N o gen t-su r-O ise ; C ornille R o land-A nto ine-lldephonse, facteur au N ord, dom icilié à Abbeville (Som m e), et H uyghe H élène-M adeleine-Philom ène, sans profession, domiciliée à N o g en t-su r-O ise ; V ivien A lbert-Ju les, can tonn ier au N ord, domicilié à N ogen t-su r-O ise , et G uillot E m m a-E lise , sans profession, domiciliée à M ontataire ; L auer E dgard -R ené-Joseph , poinçonneur, dom icilié à V ille rs -S a in t-P a u l, et B rûlé M arie-Ju lia -Ju lienne, sans profes­sion, domiciliée à N ogen t-su r-O ise .

Décès. — D erouin E ugène-L éon , 57 ans, tonnelier, 14, rue de B onvillers.

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D E S

A v illy -S a in t-L é o n a r d . — M a­riage. — A l’occasion du mariage Go- yard-Duriez une quête faite au profit du bureau de bienfaisance a produit la somme de 31 francs 10.

Le Maire renouvelle ses remerciements aux généreux donateurs et ses vœux de bonheur aux jeunes époux.

B a r b e r y . — M a r ia g e . — L e 6 mai 1922 a été célébré à Barbery, le mariage de M. Eugène-Robert Basseville, de Margny-les-Compiègne, avec Mlle Mar­guerite Becquet, fille du sympathique Directeur de la distillerie de Barbery. Après avoir procédé à l’union des jeunes époux, M Léon Roland, sénateur de l’Oise, Maire de Barbery, leur adressa en termes émus et élevés tous ses souhaits de bonheur. A l’issue de la cérémonie, une quête faite au profit du bureau de bienfaisance de la commune de Barbery a produit la somme de 43 francs 95. La Commission administrative du bureau de bienfaisance adresse ses remerciements aux généreux donateurs et ses vœux de bonheur aux jeunes époux,.

B e a u r e p a ir e . — Mariage. — Le mariage de Miss Sally Beecher, nièce de l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Paris et de Mrs W allace, née Fui 1er, avec le comte Jean-Bertrand de Luppé, à été célébré, le opze mai, en l’église de la Madeleine, devant une assistance très nombreuse et des plus brillantes.

La bénédiction nuptiale a été donnée par l’abbé Lauglois, curé de la paroisse, qui a adressé aux époux une allocution délicate.

Les témoins étaient, pour Miss Beecher, L. L. Exc. M. Myron T. Herrick, ambas­sadeur des Etats-Unis, et le comte de Derby ; pour le comte de Luppé : le mar­quis de Luppé, son cousin, et le marquis d’Oilliamson, son oncle.

La quête a été faite par Miss Thayer avec le comte Robert d’Espons, Mlle d’Oilliamson avec M. Allen

Le cortège, au retour, était ainsi composé :

C om tesse J . B ertran d de Luppé et comte J . B. de Luppé, Mme H ugh C am pbell W allace et m arqu is de Luppé, vicom tesse de M areuil et M. H . C . W allace, M rs Mel- ville W allace et m arqu is d ’O illiam son, comtesse O liv ier de Rougé et S . Exc. M. M y­ron T , H errick, am bassadeur des E ta ts -U n is , M rs F rancis et vicom te de M areuil, comtesse P ierre d ’O illiam son e t comte de D erby, comtesse T . d ’O illiam san et com te P ierre

d ’O iIliam son, comtesse E rn est de Neuville et cap itaine W . W allace, m arquise de P o ­mereu et com te O livier de Rougé, vicom tesse de Pom ereu et comte T . d ’O illiam son, Mlle G erm aine d O ilham son et vicom te de Luppé. Mlle A ndrée d ’O illiam son e t comte d ’O il- liam son, com tesse A drien de L évis-M irepoix et m arquis de Pom ereu, com tesse de Pom ereu et comte E rn est do Neuville, baronne de M organ et vicom te de Pomereu.

Dans 1 église, nous avons remarqué au hasard, parmi les personnalités du corps diplomatique, de la société parisienne et la colonie américaine :

Mme M illerand, Mme Poincaré, S . E. le M inistre de Norvège et la baronne de W edel-ffF h r ,e rg ’w i'“ !StrLe de Suède « la com tesse d E h ren s-W ard , duchesse de R ohan, duchesse Decazes, duchesse de G aram an, duc et d u ­chesse de Bisaccia, Mme K lo tz , M me V iv ian i. m arqu ise et Mlle de B onneval, princesse L ouis de B roghe, duc et duchesse d ’A udiffred-

f c n n T Mme d T DüpU?' M‘ et P««yBelm ont, Mme R idgw ay, com tesse E douardm T q Ï®'48’ CO™tc “* com tesse de S ay reMme S charm an , M rs G ordon, com te et com ­tesse de L évis-M irepoix , Mme P ierre de Fou- quières, m arquise de Jaucou rt, m arquise de o a in t- s a u v e u r , com te et com tesse de F lo - rian , etc...

Après la cérémonie, M. et Mme Wallace ont donné une réception intime dans leurs salons de 1 avenue d’Iéna.

B é th isy -S a in t-M a rtia . — Asso­ciation ouvrière. — L'Assemblée géné­rale annuelle de l’Association ouvrière l Union Vannière , a eu lieu Je dimanche 14 mai, au siège social de la Société, sous la présidence de M. Bergeron Eugène, président fondateur.

Le Président expose que d’après les vérifications des comptes faites par le Conseil d administration, la situation de lâvSociété reste excellente malgré que les cinq premiers mois de l’année aient été durs à traverser. Il fait remarquer que le reste de I année, le commerce ayant repris une marche asoendante, la Société a pu obtenir les excellents résultats contenus dans le bilan dont il donne lecture.

L Association s’étant accrue de quatre membres nouveaux, se compose comme suit : hommes 2 0 ; adultes 4 ; femmes 7 ; auxiliaires 4 ; ce qui fait un total de 35 travailleurs.,, Commission de contrôle ainsi que 1 administrateur délégué ayant leur pou­voir expiré sont réélus à l’unanimité.

L indemnité journalière de maladie est portée à 3 francs pendant 2 mois et2 francs pour le troisième mois.

L’indemnité d’accouchement reste fixée a 10 francs.

La cotisation des retraites ouvrières est toujours payée intégralement aux membres qui eu font partie.

Avant de lever la séance on fait une causerie sur le rôle de la Société, qui est une association essentiellement profes­sionnelle. r

L association n est affiliée à aucun groupement politique, c’est dire que personne ne fait abstraction de ses convictions. Le travail et rien que le tra­vail, est la seule préoccupation de tous les membres au sein de la Société ; ils comprennent que c’est par un travail fécond que l’on acquiert la prospérité. C est sur ces mots que la séance est levée pour se rendre au café Pérolat où un excellent vin et gâteau sont servis à tout 06 i T ri^6 , travidl- La plus franche cordialité n a cessé de régner dans celte réunion toute familiale où les chanson­nettes égayèrent les assistants. On se sépara heureux du labeur de to'ute une a n ^ é e qu i a p p o r ta à c h a c u n u n e ré m u n é - ration supplémentaire de salaire, ce qui leur permettra de donner au foyer un peu de bien être.

C h am b ly . — Élections m unicipales. Les électeurs sont convoqués pour le di­manche 11 juin, à l’effet d’élire quatre conseillers municipaux en remplacement de MM. Leroux, Johasart et Brière, décédés, et Azémard, démissionnaire.

F aux bruits — Nous croyons devoir répondre à la demande de nombre de nos lecteurs en les informant que contraire­ment aux allégations erronées et aux bruits de notre localité, nous tenons de bonne source qu’il n’a été nullement question de baisse ou de vente à prix réduit de légumes verts tels que, salades, plants de choux et de poireaux, etc... pas plus que de char­bon « tout venant ou de tête de moineau

L ’É L E C T R IC IT ÉT oxxi* ceux cjui s’en servent

ou s’en serviront

^cr*van spécialement pour les lecteurs du Courrier de l Oise une étude sur l’Electricité et ses applicaiions domestiques, agricoles et industrielles, je ne prétends pas entraîner mes lecteurs dans le dédale technique des formules arides où se chevauchent et s entremêlent les X et les Y, avec les racines carrées ou cubiques, ou les équivalents en chiffres et en lettres compliquent, pour le profane, la démonstration compréhensible des choses simples ; une telle méthode serait une fatigue et m’éloignerait du but que je poursuis dans cet écrit et dont le seul mérite sera la simplicité nécessaire pour permettre au lecteur de se rendre compte de 1 étendue et de toute l’économie des bienfaits dont nous comble la radieuse Fée Electricité, cependant bien mystérieuse encore.( Songez, chers lecteurs, et réjouissez-vous d’en profiter bientôt, a toute la sollicitude de cette Fée magnanime qui, par son unique nature, nous éclaire, nous chauffe, exécute notre travail, en des besognes parfois douces et pondérées, ou parfois formidables et puissantes à l’infini — qui, toujours, est là, à nos côtés, prête, avenante et gaie, ponctuelle et souple — véritable domestique bonne à tout faire, économiquement, simplement — n’cst-ce pas une merveille que cette mystérieuse Déesse qui se révèle à nous suivant notre désir, à l’heure qui nous plaît, pour faire ce qui nous plaît, dans la forme désirée.

Aucun élément dans la Nature, impénétrable et fière, ne peut rivaliser avec cette adorable Fée, d’essence divine 1

Et cependant, pour mystérieuse et impondérable qu’elle soit, combien ses grâces sont simples à comprendre, et combien aussi est facile son étude !

Pour vous mettre en mesure, chers lecteurs, de pénétrer ses mystères dans les limites possibles, je procéderai souvent par comparaison avec les effets déjà connus d’éléments moins abstraits, c est-à-dire l’eau et le gaz.

De suite, à l’esprit vient cette question : Qu’est-ce queVElectricité i ... Hélas 1 la réponse nous échappe encore, nous savons de façon précise ce que sont l ’air, l’eaii, le feu, la terre ; leur composition chimique en est fixée par nos savants. Mais elle ? Vibrations ou ondes ? Aucune réponse vraiment matérielle n’est encore faite à cette hallucinante question. Qu’est que l’Electricité ? ? Contentons-nous de cette réponse du catéchisme de nos jeunes années : « L ’Electricité est une chose que nous devons croire quoique nous ne puissionspas nous l’expliquer »... et croire en 1 Electricité nous est bien facile puisqu’elle existe, et que nous en pouvons constater les effets multiples et infiniment variés.

Une autre définition plus scientifique pourrait être celle-ci :« L’Electricité est une puissance qui, comme toutes ses sœurs,

« est la manifestation d’un déséquilibre ».Je ne voudrais pas sur ce sujet développer toute une dissertation

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philosophico-technique, mais il m’est bien permis de souligner toute la simplicité véridique de cette définition dont je ne suis nas lau teu r. v

Cet auteur — dont j’ignore le nom — a pensé juste et ouvre toute grande la porte du Palais de notre Fée ; et d’ailleurs cet auteur, à mon avis, se rapproche par sa définition de certaines argumenta- î>°rS d iUn savant très connu et estimé qui a nom... Monsieur de la 1 alice ! car il est élémentaire de penser avec ce grand vulgarisateur que sans déséquilibre pas de force, pas de puissance ! ! Voulez- vous quelques exemples de cette vérité ?

D é s é q u i l ib r e d e p r e s s io n s . — Puissance (vapeur, air ou gaz comprimés).

D é s é q u i l i b r e d e p o id s . — Puissance (songez à la balance, aux treuils, aux leviers, etc., etc...).

D é s é q u i l ib r e d e n i v e a u d ’u n l iq u id e . — Puissance (chutes, courants, jets d’eau, etc., etc...).

? é s é i u i I ib r e ’ d e t e m p é r a t u r e . — Puissance (la chaleur et tous effets).

, r n ^ lSé^ Uf'!l i T e * d ’0Pi n i o n s - — Puissance (révolutions, guerres, luttes électorales, etc., etc...).Pour ce dernier exemple, je vais peut-être un peu loin... que le

c eur m excuse en constatant combien, cependant, la formule est6X3»Ct6»

77^ l E lectricité ? — Ah ! oui, au fait, et l’Electricité : déséqui­libre de quoi ? ? Diable ! où me suis-je fourré ?... Où m’a conduit ce brave de la Palice ?... Eh bien, non, rassurez-vous, chers lec- eurs, une fois de plus la logique élémentaire des raisonnements de

ia 1 alice nous permet une explication saine et facile., , “ es manifestations électriques sont toutes le résultat d’un déséquilibre, lisez bien ceci :

E iectrLcité a neutre< équilibré ou inerte, existe partout, en toutes choses et dans toutes matières possibles.

ç -- Déséquilibrez cetteC -1r n , , , Q , v , Q énergie latente, c’est-à-L 3 C e ' n p l e dire endorm ie/e t vous

obtiendrez une manifes­tation sous forme d’un courant produit ou émis pendant le rééquilibrage, c’est-à-dire pendant ]o V ~ retour à l’état neutre.

Un exem ple h y d ra u ­lique :

Deux vases A et B communiquent par un tuyau reliant la partie basse de chacun d’eux Le niveau étant le même dans les deux vases l ’eau existe à l’état dor’ m antet inerte. Surélevez un des deux vases : im­médiatement un courant d ’eau se manifestera dans le tuyau et persig* tera jusqu’à ce que les niveaux A et B soient de nouveau égaux (réé­quilibrage),

Ce courant d’eau se manifestera conformément à certaines lois r T S/ J)ami1I}eron? .tout à f’heure ; ne retenons pour l’instant

Z, * déséquilibre de niveau qui a donné naissance au courant d eau, et revenons à l’Electricité.

existe trois causes de déséquilibrage donnant naissance à des courants électriques :m / / stat^ ue- — Les causes en sont : Le mouve­ment, la différence de température, de pression, et sûrement autres causes aussi, sans que la nature exacte des phénomènes

créateurs puisse être expliquée et même déterminée d’une façon précise. On constate cependant très facilement les effets de ces causes supposées. Exemples : la foudre et toutes les machines dites statiques à l’aide desquelles on reproduit en très petit les effets de la foudre.

Une foule de petites expériences permettent de contrôler aussi la théorie statique : une courroie animée d’une grande vitesse dont on tire des étincelles ; votre peigne en corne ou en celluloïd qui, en mouvement dans vos cheveux secs, pétille et les soulève au point de vous impatienter ; le dos de Minet tranquille au coin du feu, dont des étincelles jailliront si vous frottez ce dos à rebrousse poil ; cette simple feuille de papier pliée sur elle-même trois ou quatre fois, chauffée puis frottée sous la manche de votre veston de drap, et de laquelle vous tirerez des étincelles, vous ferez danser une légère poupée de papier de soie, ferez dresser les cheveux sur la tete cle tous vos am is..., etc., e tc ...'_ L ’électricité statique est, pour longtemps encore, probablement, indomptée. Violente, elle produit dans la nature de véritables catastrophes, et l’étude de ces phénomènes et des dangers qui 1 accompagnent, n’a abouti qu’à la détermination de méthodes préventives contre ses effets... foudroyants.

FARADAY, physicien-chimiste anglais, a, en effet, démontré que s’il était possible d’enflammer un liquide volatil exposé à 1 air libre, au moyen d’une étincelle statique cette inflammation devenait impossible si le liquide était enfermé dans une cage métallique. De cette expérience est né un système de protection. Rarafoudre, dont nous reparlerons en l’étudiant d’un peu plus près.

Bref, sur ce point, la fée se dérobe, et auctine application réellement^ pratique n’est en usage, utilisant l’électricité statique.

D éséq u ilib re ch im iq u e.On peut affirmer que toute action chimique engendre un courant

électrique — de multiples constatations ont été faites de cette vérité fondamentale.

De ces phénomènes sont nées les piles dont les prototypes sont celles de G-alvani et de Volta utilisant l’action chimique produite sur des métaux (le cuivre et le zinc) par exemple par un acide (acide sulfurique).

Une quantité de systèmes de piles, toutes basées sur l’utilisation du phénomène du déséquilibre ou décomposition chimique, ont été admises dans le domaine pratique et ont permis l’utilisation du courant électrique dans de petites applications, — de télé­graphie, de signaux, etc. — mais cette méthode de production de courant électrique demeurant imparfaite même dans les meilleurs systèmes, a limité les applications, jusqu’au moment où des découvertes ont permis au progrès impatient de déployer largement ses ailes puissantes. Cependant, ces découvertes prodigieuses de conséquences, étaient peu de chose en elles-mêmes.

Toutefois, l’étude des piles et de leurs courants avait permis de fixer certaines conditions dans lesquelles le courant produit ou

émis par .Faction chimique circulait dans un circuit métallique et on avait déterminé notamment que le courant partait de la Dilè composée de deux métaux, cuivre et zinc, attaqués par l ’acide— toujours du cuivre pour aller au zinc — le côté cuivre (anode) à «té désigné sous le nom de positif et représenté par le signe + (plus) etle coté zinc cathode) areçule nom de négatif et le signe -(m o in s),

-f- (plus) élevé en pression, — (moins) élevé en pression Nous retrouvons donc ici l’indication du déséquilibre constaté

entre nos deux vases A (surélevé + ) et B (au ni velu inférieur - Certaines de ces piles sont réversibles, C’est-à-dire non seulement

produisent, engendrent un courant par leur action chimique intérieure, mais ont cette vertu de pouvoir absorber des courants qui les déséquilibrent d une façon intense — ou les chargent — et

restituer ensuite la plus grande partie du courant absorbé pendant cette charge. De la même façon, d’ailleurs, que se compor­terait un réservoir recevant et emmaganisànt de l’eau par Faction i UT P°,m?e P°ur restltuer ensu*te l’eau ainsi emmaganisée dansd’une pompe pour un circuit de tuyautages.

Ces piles réversibles, dont le prototype est la pile de PLANTÉ

î r i s * ' om re5n ie oom ,ou' à " • bie» "•»«*«Ces accumulateurs ont également permis le développement des

progrès dans les applications électriques, car avec ces accumu­lateurs il est devenu possible d’aborder des applications exigeant des courants relativement intenses et continus

Les accumulateurs sont d’ailleurs entrés' dans le domaine pratique et reçoivent enoore actuellement de nombreuses applications, bien que leurs jours paraissent comptés

3° D e s é q u i l ib r e m a g n é t iq u e .Je vous ai annoncé plus haut des découvertes presqu’insi-

gmùantes en elles-mêmes mais qui avaient permis au progrès deVoici* ^ PaS de géant’ par leurs consé<luences prodigieuses.

Mais auparavent il me faut vous rappeler que depuis que le monde existe un phénomène mystérieux l ’accompagne et dont le rôle est primordial dans les découvertes annoncées.

Je vous le présente :Monseigneur l'Aimant, premier ministre de la Reine-Fée

Electricité, grand ordonnateur de toutes les manifestations pratiques de sa Majesté Magnanime.

L’aimant était connu en Chine environ 2.000 ans avant l’ère chrétienne, au temps où vivait l’Empereur Hoang-Ti. Un naturaliste chinois du xvin® siècle — homme sentimental — écrit ceci à son sujet : Cette pierre fa i t venir à. elle le fer , comme une tendre mère ses enfants, et c’est pour cela qu’elle a reçu le nom de pierre aimante.

Les Grecs connaissaient la pierre d’aimant qu’ils trouvaient dans une ville d Asie Mineure et aussi en Macédoine

L ’aimant naturel est un oxyde de fer, de natu're spéciale q u i ale pouvoir d attirer le fer, le nickel, le cobalt. q

H e n r y LETOREY

(A Suivre).

Demander avec ce num éro notre prim e scientifique

\\

L E ÜOÜttÜiEft DE L OISE

aussi non plus du pot.de peinture Ripolin, môme pour peindre une veste.

Les prix de ces marchandises restant le même qu’il était au 13 mai dernier.

Il serait donc inutile et regrettable de colporter de tels bruits.

L’avenir nous réservera la réalité.C h a n t i l ly . — Le Golf. — Le cham­

pionnat du Golf de Chantilly vient de se terminer par la victoire de M. le baron François de Bellet, battant M. Lishiby, 4 et 3 sur 36 trous. Partie très animée et suivie par un grand nombre de joueurs et sur un terrain en parfait état.

Les Prix de Diane et du Derby se dispu­teront les 3, 4 et 5 juin : 7. 8 et 9 juin ; 10, 11 et 12 juin.

Synd ica t d 'initiative. — Dans les dé­clarations d’associations au Journal o ffi­ciel du 11 cou ran t, nous relevons celle du Syndicat d’in itiative, Les A m is de Chan­tilly . Siège Mairie. But : propagande touristique. Déclaré le 29 avril 1922.

C h è v re v I I Ie . — Football. — Di­manche dernier 14 mai, l’équipe première de Chèvreville s’est rencontrée sur son terrain, avec l’équipe première de Silly-le- Long. Silly a battu Chèvreville par 2 buts à 0.

Nos félicitations aux gagnants. Tous nos encouragements aux vaincus avec nos souhaits de meilleure chance, lors d’une prochaine rencontre.

C o y e . — On dit que : Le citoyen Jules pour le plus grand divertissement de nos charmantes citoyennes futures électrices est venu, mardi soir, nous faire une petite conférence.

En parfait politicien bluffeur par excel­lence, il a essayé de démontrer par A -j- B à son auditoire composé on ne sait com­ment, qu’il était l’élu moral du canton.

Camarades, a-t-il dit, l’on ne fait pas de politique au Conseil général, et en contra­diction avec lui même, il a commencé à salir l’homme le plus respectable de la commune. Ensuite toujours railleur et méchant, il a traité de larbins des ouvriers et employés de la commune, travaillant dans des maisons bourgeoises, c’est tout plein aimable comme disait mon grand- père, et il est malheureux de constater que ce député ait (le pareils écarts de langage.

Le conseiller Eugène Longa pas très en verve, — je l’ai connu meilleur en 1914, — lui a posé quelques questions, Uhry lui a du reste très bien répondu.

— Que pensez-vous de l’élection Bou­teille à Clermont ?

— Elle est déjà contestée répond Uhry. Merci pour les électeurs de Clermont.

Celle de Triaucourt (Meuse) pas de réponse.

Et pour terminer, comme Longa lui demandait où il avait été blessé pendant la guerre, Uhry lui a répondu :

— Aux environs de Roanne, quand je m’occupais des comptes de l’Arsenal, acci­dent d’automobile, fracture de jambe. 11 Il faut ajouter pour plus amples rensei­gnements : Voyez Albert Thomas ex-maire de Champigny-sur-Marne.

En effet la guerre n’a pas été défavo­rable pour lout le monde.

C r a m o is y . — Vol. — Un malfaiteur a pénétré dans l’habitation du bûcheron Aimé Descroix, au lieu dit • Sous-Rivière » et a emporté, pendant que celui-ci était à son travail, une montre, du linge, des ef­fets et une bouteille de vin.

L a m o r l a y e . — Fête patronale. —Le succès de la fête patronale fut complet, le correspondant du Courrier de l'Oise qui avait prédit le beau temps ne s’é'tait pas trompé. Dimanche, lundi et mardi furent des journées splendides, et grâce aux bonnes volontés de tous, des commissaires, de la fanfare municipale de Coye, de la Société de clairons et de l’infatigable Dupont, organisateur du concert. Lamor­laye bien avant la guerre n’avait eu une fête aussi bien réussie.

La Sirène en miniature de Coy8, sous l’habile direction de son chef, avec le concours de ses exécutants, de ses solistes Recommandé et Manouvrier, a comme toujours cha! mé son auditoire.

Mesdemoiselles Duthil, Paule Riarna, Dorgel, Lucette Morya et le joyeux Goberis de Creil, pendant quelques heures ont tenu leurs auditeurs sous le charme de leur fine dielion et de leurs talents personnels.

Nous prenons la liberté de féliciter par l’intermédiaire du Courrier de l'Oise, les organisateurs, l’adjoint, les commissaires de la fête et la municipalité ; continuez, Messieurs, pour le plus grand bien du commerce local, vous avez par une bont é entente administrative bien mérité l’estime des habitants de Lamorlaye.

M o ra n g le s . — Cambriolage. — Pen­dant l’absence de la veuve Gauaelier, mé­nagère, un malfaiteur pénétra par esca­lade et eflraction dans son habitation et s’empara d'un bon de mille francs de la Défense Nationale et d’une somme de onze cents francs en billets de banque.

N e u i l I y - e n -T h e lI e . — Par arrêté du Ministre des Finances du 11 mars 1922,M. Maurice Hamelet, avocat à la Cour d’Appel de Paris, conseiller municipal de Neuilty-en-Thelle, a été nommé avocat, de l'administration générale de l’Enregistre­ment des domaines et du timbre.

Tir à l'oiseau. — La Compagnie d’arc de Neuilly en-Thelle s’était réunie dans l’après-midi du dimanche 7 mai, po m son tir annuel de l’oiseau à la perche. A la première flèche, l’oiseau a été abattu par M. Retourné Raoul, qui a été aussitôt proclamé Roi. Il a été ensuite procédé à la nomination des chefs.

Capitaine, Lanoë René ; lieutenant, Mar­tin Louis ; sous-lieutenant porte-drapeau, Coël Hilaire ; secrétaire-trésorier, Auffray Armand.

La partie du Roi a été tirée dans le jar­din de la Compagnie.

La Compagnie a décidé au cours de sa réunion de participer au Bouquet provin­cial de Creil, le dimanche 28 mai et de poser un prix général dans le cours de l’année.

Cérémonie de la Confirmation. — Monseigneur Le S enne est venu le lundi 8 mai, donner aux enfants de la paroisse de Neuilly, le Sacrement de la Confirma­tion. Malgré que ce fut un après-midi de la semaine, une nombreuse assistance avait tenu à accompagner les enfants et à offrir à Monseigneur l’Evêque son hommage respectueux. Une longue procession for­mée par la centaine de confirmants, les enfants de Marie et les différentes Asso­ciations pieuses de la paroisse, précédait Monseigneur du presbytère à l’église.

Monseigneur, toujours aussi bon et aussi paternel, donnait sa béaédiction aux habitants massés sur son passage.

A l’entrée de l’église, M. Tiburce Le- fèvre maire de Neuilly, en un discours délicat et profond, souhaita la bienvenue à Monseigneur, tant au nom du Conseil pa­roissial, qu’au nom de toute la population. Monseigneur y répondit avec beaucoup de finesse et de bonté et envoya à toute la

commune de Neuilly sa paternelle béné diction.

La cérémonie si belle de la Confirmation se déroula suivant le rite habituel, au mi­lieu du recueillement de tous les parents et amis. Un salut solennel, au cours duquel la scholaflt entendre des morceaux de pur grégorien parfaitement exécutés, termina cette impressionnante cérémonie.

Monseigneur Le Senne fut reconduit en procession jusqu’au presbytère au chant du Te D eum , au milieu d’une haie compacte de fidèles.

P r é c y -s u r -O ise . — Nécrologie. Nous apprenons la mort de M. Edoaard Morenvillé, inspecteur des Postes et Télégraphes en retraite, décédé en son domicile, à Précy-sur-Oise, le 3 mai, à l’âge de 75 ans.

Nous adressons aux familles Moren­villé, Bouchez et Fiez, nos sincères con­doléances.

K ée z - F o sse - M artin. — Démis­sion. — M. le Préfet de l’Oise, vient d’ac­cepter la démission' de M. Paul Huet, de ses fonctions de maire et de conseiller municipal et MM. Marcel Huet et Plateau Honoré, conseillers municipaux.

R o u v ille . — Elections m unicipales. Les électeurs sont appelés à élire le di­manche I l jnin, deux conseillers munici­paux, en remplacement de MM. Pasquier et Chevalier, démissionnaires,

S a in t-L eu -d ’E sse r e n t. — Vol.Un vol d’une brouette et différents outils ont été dérobés dans la journée du 6 cou­rant, au préjudice de M. Mirland, la plu­part des outils, sauf la brouette et un sé­cateur ont été retrouvés abandonnés à Cramoisy. Le montant du préjudice, causé à M. Mirland, s’élevait à la somme de 175 francs.

Malgré les recherches faites par la gen­darmerie, le ou les voleurs sont restés jusqu’alors inconnus.

Procès-verbal. — Le nommé Coupez Josué, demeurant à Saint-Leu-d’Esserent, a été trouvé en état d’ivresse sur la voie publique, a été reconduit chez son patron et gratifié d’un procès-verbal.

V e r b e r ie . — Union des Combat­tants. — A l’occasion des funérailles et en souvenir de son regretté et dévoué serviteur Eugène Fortin, M. de Maindre- ville, ancien maire de Verberie, a envoyé une somme de cent francs, pour la Caisse de l’Union des Combattants (Seotion de Verberie).

Les anciens combattants, adressent à M. de Maindreville, leur sincère recon­naissance.

Résultats du scru tin du 14 m ai 1022. — Inscrits : 463 ; Votants : 292 ; Suffrages exprimés : 256 ; M. Delaunay, conseiller sortant : 244 ; M. Marty, com­muniste : 5 ; Docteur Debacq, adjoint : 3 ;M. Faucher, pharmacien : 2 ; M. Lecomte Elie : .1 ; M. Badina : 1 ; Blancs ou nuls : 36.

Question ? — Des électeurs rayés en 1921, pour cause de condamnation infa­mante comme Denis, attentat à la pudeur; Lefèvre, vol ; Buaux, vol, etc.

Ont-ils droit de s’étonner de n’avoir pas eu de cartes d’électeur, l’amnistie soit disant, ayant été pour eux une absolution sans conditions, ni réserve ?

Dr D eba cq .

V H lers - S a in t - P a u l. — Procès- verbal. — Pour défaut de registre de logeur, M. Garson, domicilié à Villers- Saint Paul, a été l’objet d’un procès- verbal.

ville, et par déduction, l’aménagement d’un vaste terrain de jeux.

Car, si mes renseignements sont exacts, il existe, à Beauvais, plusieurs sociétés d’instruction physique, et je donnerai pour mémoire le Vélooe Club Beauvaisien, le Groupe Sportif du Patronage, la Société de Gymnastique, voire même FéminaClub, et j ’y ajouterai, pour être logique, les Associations scolaires du Lycée Félix Faure et de l’Ecole Professionnelle.

Tous auront des droits sur ce bien com­munal ou, alors, gare les mécontents et le tremplin électoral.

Et dans mon esprit je ne vois pas le fonctionnement pratique d’une pareille organisation.

Il sera prêté aux sociétés à tour de rôle et cette matriculation ne répondra pas aux besoins de chacune d’elles.

Non seu lem ent la chose n ’est pas m atérie llem en t p ra tiq u e , m ais je la vois foncièrem en t onéreuse pou r les ayant- d ro it.

Qui fournira les fonds nécessaires à l’entretien, le matériel de toute nature.

L°s sociétés ? Certes, mais à quel pro­rata, et allez donc établir un pourcentage équitable.

Pourtant je ne veux pas semer ici le découragement, ni parmi les munici­palités qui veulent faire quelque chose, ni parmi les dirigeants qui croient avoir trouvé la bienfaisante solution.

Je crie « casse cou » aux uns comme aux autres, et je vais essayer d’indiquer une voie meilleure.

J ’ai peur de tout ce qui peut revêtir un caractère municipal, j ’ai peur de la poli­tique qui pourrait essayer de nous capti­ver. Je connais tellement notre besoin d’indépendance et notre idéal, notre union au-dessus des innombrables problèmes qui divisent les autres hommes, que cela me fait frémir en perfsant que notre œuvre pourra, suivant les circonstances, servir les besoins de la cause.

Et pourtant je répète les municipalités peuvent et doivent quelque chose.

Pas de stade municipal, mais en re­gardant la chose de plus près nos élites s’apercevraient que nos clubs qui vivotent ont, pour la plupart, un terrain plus ou moins bien aménagé.

Qu’ils convoquent les dirigeants du club le plus ancien, le plus actif, qu’ils se se renseignent auprès des pouvoirs ré­gionaux de sa valeur productive, et qu’après entente la municipalité fasse l’avance de fonds nécessaire pour l’acqui sition du terrain, puis l’année d’après les préparations pour l’aménagement du stade et, enfin, la transformation oc l’édi­fication du stade privé qui sera la pro­priété du club.

Vous avez tous senti la nuance, la commune prête, le club aménage et rembourse, c’est une simple affaire d’ententes, d’accords et de contrats.

Le club devient propriétaire, le budget n’est pas grevé, ou ne l’est que momen­tanément, et chacun reste maître chez soi.

Il y a beaucoup plus à attendre de cette manière de voir, que des allouettes qui doivent nous être servies toutes rôties.

pleins*de^bnhn*>°^res pour ceux (ï ui sont oevront aprèî avoir' 0ns/ p qili s’aper' contribuables nnulc *ép?as*é 1 ar^ent des des mécontents “ S1 qu à faire

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I® moment je ne vois pas MuniiUnai t fonctionnement du Stade rommJnt dis que je sais parfaitement latin marchent les mauvaises instal­lations que nous possédons.

C h a rles MAILLET

w Manifestonsne viens pas dans ces colonnes

inviter les sportifs de notre département à descendre dans la rue.

La chose ærait peut-être efficace, mais notre tempérament ne se prête guère à ce genre d’exhibition.

Et cependant, je voudrais comme nous le demande notre C. G. F., c’est à dire er. la circonstance le Comité National des Sports, que mus organisions le 27 mai 1922 une vastemanilestation.

Voici du reste la teneur de la circulaire que je possèdi au sujet des crédits à attribuer par 1< Gouvernement en vue des olympiades.

« Les Fédérations réunies au sein du Comité Oiympque Français ont manifesté le désir d’une intervention de toutes les Sociétés sportves Françaises, auprès du Parlement, pmr que soient accordés au Comité Olymiique Français les crédits nécessaires, ron seulement à une orga­nisation des jiux de la VIIIe Olympiade digne du pays, mais aussi à la préparation des athlètes qti représenteront la France en 1924.

Afin qu’il y ait unanimité absolue, le Comité Olympque Français demande aux clubs de se réunir en assemblée générale ou à défaut en comité, le samedi 27 mai prochain, et de prendre un ordre du jour dont if est donné ci-dessous la teneur. Cet ordre du jour sera alors expédié soit par lettre, soit par télégramme, aux députés et sénateurs de votre département, afin que chacun de nos représentants au Parlement l’ait en sa possession au moment où vien­dra la discussion des crédits olympiques.

Voici quel sera cet ordre du jour :Le (titre de la société) affilié à (titre de

la fédération), réuni en assembles géné­rale le 27 mai 1922, insiste auprès de M. (nom du député ou sénateur) pour qu’il apporte son appui le plus large à la de­mande de crédits olympiques, présentée devant le Parlement, de façon que les Jeux de la VIIIe Olympiade puissent être préparés et célébrés avec l’éclat qu’il convient à une manifestation englobant toutes tes branches de l’activité sportive et qui va permettre à 42 nations de frater­niser sur le sot de France.

Sportifs, il faut manifester notre force

et notre nombre, et démontrer au Parle- i ment français que nous sommes capables,

Si l’occasion se présente, d’engager d autres luttes que ces matches de football.

Sportifs, manifestons en bloc et à notre façon le 27 mai prochain.

Les résultats du dimancheLesjuniors d e l’Union Sportive de Chan­

tilly sont, depuis dimanche dernier, cham­pions de l’Ue-de-France, iis ont en effet battus l’A. S. de Provins par 3 buts à 1.

Bien mauvaise exhibition faite p ir les Creillois de l’A. S. Greil, contre une sélec­tion des clubs de Chantilly, qui fut vain­queur par 4 buts à 1 ; on nous avait habh tué à mieux chez les champions de l’Ile- de-France.

Le G. S. Marissel fut également battu par 3 buts à 2 , ses visiteurs étaient l’Union Sportive de l’Isle-Adam.

Les éliminatoires Régionalesdes Grands Prix des Jeunes

Les éliminatoires des Grands Prix des Jeunes, se disputèrent à Avilly, dimanche dernier et obtinrent un gros succès, si l’on considère les 40 clubs représentés et les 162 coureurs, qui avaient répondu à l’appel de la Ligue de l’Ile-de-France d’Athlétisme.

Au point de vue sportif, la lutte fut des plus ardente. Desseaux dans le 60 mètres, ne parvint à battre Halattre que d’une poitrine, dans le temps respectable de 7” 3/5. Justaud gagne facilement le 300 mètres, mais sa façon de narguer ses concurrents ne fut pas très applaudie. Jolie course de David dans le 1.000 mètres, faisant du 2’55” . Performances honnêtes sans plus dans les concours.

Dans la catégorie honneur, Morval enleva superbement le 100 mètres, devant Gilbert, une révélation à suivre. Carbon- nier à court d’entraînement était 3e. Dreyfus gagna facilement le 400 mètres, ainsi que Dubreuil le 1500 mètres. La course de Gauvrit, 2”, fut cependant excel­lente. Le 110 mètres haies fut l’apanage du G. S. Avilly qui comptait les 4 finalistes. Il fut l’objet d’une jolie lutte entre Legros et Iloupin, ce dernier l’emportant de peu.

L’épreuve captivante, qu’est le 800 métrés relais, mit en relief la valeur de l’équipe du C. S. Avilly qui s’assura l’avan­tage dès le premier relai et gagna finale­ment par 30 mètres.

Voici les résultats :60 mètres. — 1. Desseaux (S. Compiè-

gne), 7” 3/5 ; 2. Hailatre (G. S. Avilly) : 3. fiiet (G. S. Liancourt).

100 mètres. — 1. Morval (G. C. Sois- sons), 11” 4 /5 ; 2. Gilbert (S. Compiègne) ; 3. Garbonnier (V. G. Beauvais).

300 mètres. — 1. Justaud (A. S. Greil) ; 2. Desseaux (S. Compiègne) : 3. Finet (indépendant).

4 0 0 mètres. — 1. Dreyfus (G. G. Sois- sons), 59” 2/5 ; 2 Evrard (U. S. Thil) ; 3. Gaillard (G S. Marissel).

1.000 mètres, — 1. David (V. G. Beau­vais) ; 2. Massé (Rantigny Sportif) ; 3. Davenne (G. S. Hirson).

1.500 mètres. — 1. Dubreuil (U .S. Mouy), 4’ 35” ; 2. Gauvrit (G. S. Avilly) ; 3. Vandenhove (U. S. Mouy) ; 4. Verdon R. (S. Compiègne) ; 5. Guimier (G. C. Soissons).

Hauteur. — 1. Mâcherez (G. G. Soissons) 1 m. 55 ; 2 . Nicole (A Neuilly-en-Thelle) ; 3. Masseret (R. G. Compiègne).

110 mètres haies. — 1. Houpin (G. S. Avilly) ; 2. Legros (C. S. Avilly) ; 3. Stone- bndge (G. S. Avilly).

Poids. — 1. Olagnion (A. S. Greil) 8 m. 73 ; 2 . Thouret (V. G. Beauvais) ; 3. Pingret (S. Compiègne).

Relais. — 1. G. S. Avilly ; 2. S. Com­piègne.

Dimanche, nos meilleurs représentants iront à Roubaix disputer les interrégio­nales. Nous leur souhaitons les meilleurs succès.

Nouvelles MilitairesIl avait été dernièrement question de

la création à Beauvais, du centre d’instruc­tion physique du 2e corps d’armée, avec occupation des locaux de la nonvelle ca­serne du Faubourg Saint-Jean.

Une nomination relevée au Journal o f­ficiel du 10 courant indique que ce n’est pas Beauvais, mais Soissons qui est choisi pour ce service.

Le chef de bataillon Garrère, du 72e d’infanterie, est, en effet, désigné pour prendre le commandement à Soissons du Centre d’instruction physique du 2e corps d’armée, à sa création, avec le titre de chef de section subdivisionnaire.

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voies urinaires, si légèrement qu’il ait été atteint, si bien guéri qu’il paraisse, si lointaine qu’en soit l’origine, doit faire l’expérience recommandée dans le traité explicatif du Docteur Bertray, intitulé : « Ce que tout homme doit savoir, avant et pendant le mariage », envoyé sous enve­loppe fermée contre 50 centimes. Ecrire à M. le Docteur Bertray, Directeur de 'Institut de Médecine de Paris, 10, rue

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Arrondissements voisinsPresles. — Concert. — Dimanche

21 mai aura lieu, dans la salle de M. Jost, à Gourcelles, le concert annuel organisé par la Section de Presles de la Ligue des chefs de sections et soldats combattants.

Le programme, bien choisi, plaira à tous nos concitoyens. La Société musicale de Presles prêtera son concours ainsi que de bons artistes amateurs.

M. Eck, d’Ecouen, présidera la céré­monie, assisté de MM. Germain et Seutier, président et secrétaire de la Section, à Presles.

Tel le serpent serrant sa proie

- CHANTILLY - P lace de l ’H ôpital

C o u r r ie r S p o r t i f g L ’A s t h m eLe Stade Municipal

Avec les meilleures intentions du mon­de, la grosse majorité de nos amis essaient par tous les moyens d’intéresser les m u­nicipalités au développement de l’éduca­tion physique, et là dessus ils ont grande­ment raison.

Je connais pour ma part, des Sociétés sportives, qui à la suite de démarches pressantes, ont réussi à obtenir chaque année, une subvention, — je ne dirai pas importante — mais appréciable, par rap­port aux 25 ou 50 francs qui émargeaient jadis au budget de nos communes, en faveur de nos premiers clubs de sport.

Poursuivant plus en avant leurs démar­ches, des dirigeants actifs ont été jusqu’à obtenir la promesse de l’édification d’un stade municipal.

Un Stade municipal, comme cela , sonne bien à l’oreille, comme les plans sont beaux sur le papier, surtout quand on connait la « Grande Pitié de nos terrains de jeu ».

Èn effet, à part la petite commune d’Avilly Saint-Léonard, et le Parc des Sports du Rugby, Club Gompiègnois, rien ou presque nen n’existe dans notre dé­partement.

Montataire a bien posé un jalon, Greil possède un pis aller (un bourbier de pre­mier ordre pour se rendre à la Grande Famille), Beauvais n’a pas grand’ehose et Sentis rien du tout.

Dans ces conditions, je comprends que beaucoup des nôtres soient subjugés par l’image du Stade municipal.

Je sais qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, et pour ma part non seulement, je ne suivrai mes bons camarades dans leur quête aux Stades municipaux, mais je leur conseillerai de ne pas naviguer dans cette galère.

Il faut connaître l’esprit même de nos clubs, et ses différentes compositions, pour juger cette question en toute indé­pendante.

Un Stade municipal, sera un bien com­munal, et les biens communaux appar­tiennent à tout le monde, ou pour mieux préciser ma pensée à toutes les Sociétés ayant un programme d’éducation physique de la jeunesse.

Et voilà l’écueil, vous l’avez tous touché du doigt.

Je veux ici-même citer un exemple précis.

Actuellement la ville de Beauvais a dans son programme l’embellissement de la

vous enlace et vous écrase la poitrine.

La nuit surtout vous êtes op*Î>ressé jusqu’à étouffer. Vous êtes à haletant et vous ne pouvez

dormir. Asthmatique, savez-vous bien que cette respiration irrégu» Hère peut vous amener une mala* die de coeur ou vous jeter dans les griffes de la phtisie?

Asthmatiques lvotre maladie est incurable.Il existe un remède que peut et doit vous guérir, et il vous guérira à coup sûr: le Sirop de rA bbaye ’’A kker”. Grâce à lui,

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Supplément au Courrier de l'Oise du 21 M ai 1 0 2 2 . IV1 21

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Etude de M- 8 A V A K I , avoué à Senlis.

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L’adjudication aura lieu le D im a n ­c h e 1 8 J u in 1 9 2 2 , à quinze heures, en la Mairie dePompoint.

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Mise à prix : 1 1 0 francs.2* Lot. — 2 5 a r e s 0 2 e e n - |

t ia r e s d e t e r r e , même terroir, j lieu dit la Marinière. — Section D, n» 287.

Mise à prix : 2 5 0 francs.3* Lot. — 4 a r e s 0 6 c e n t ia r e s I

d e t e r r e , môme terroir, lieu dit la Cavée Martine. — Section D, n '8 85 p I et 86 p.

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Aux termes d’un acte sous signa­tures privées, faiten cinq exemplaire* I

même capital, et s’il y a lieu avec cession ou achat obligatoire d’actions pour permettre l’échange.

Article 9.Le montant des actions à souscrire

est payable au siège social ou aux caisses désignées à cet effet.

Le quart lors de la souscription et le surplus en vertu des décisions du Conseil d’administration qui fixera l’importance des sommes appelées ainsi que les époques où les verse­ments devront être effectués. Toute fois, les actionnaires pourront libérer leurs actions par anticipation aux conditions stipulées par le Conseil d’administration.

En cas d’augmentation du capital, il en sera de même sauf décision contraire de l’assemblée.

Les appels lie. «Arsmpftql..,.Rijrpnt.

soit en tout autre endroit indiqué par la convocation.

Pour la validité des délibérations, la présence de la majorité des mem­bres au moins est nécessaire.

Les délibérations sont prises à la majorité des voix des membres pré­sents, en cas de partage, la voix du Président est prépondérante, nul ne pent voter par procuration dans le sein du Conseil.

Toutefois, au cas où le Conseil d’Administration est composé de trois membres et que deux seule­ment sont présents, leurs décisions doivent être prises d’accord.

naires, sU e s^ d é i'^ 68 dextraordi- * Prendre se déacis,0ns f i l l e s ont diflcation rn,«i >appor,ent a une mo dans les statuts à lntroduire

. R assemblée générale ordinaire

à Chantilly, le dix-sept avril mil neul l üeu par simple lettre recommandée, cent vingt-deux, dont 1 un des ori 1

Ladite vente aura 1 eu en exécu- tton d’un jugement rendu sur requête par le Tribunal civil de Senlis, le 28 mars 1922, enregistré.

A la requête de : 1° Lucie Zulma- Zoé Polin, épouse de Alpbonse-Ed mond Havy, et de celui-ci, demeu­rent ensemble à Montlavilte, com­mune de Verneuil.

2° Rosa-Emiuenne Boyart, veuve de Eugène Polin, demeurant à Creil, rue du Haut-des-Tufs, n* 61, tutrice de Georges Albert-Eugène Potin, son fils mineur.

3° Constance Robert, demeurant à Verneuil, veuve de Albert-Victor Po­lin , tutrice de Emmanuel-Robert Polin, son fils mineur.

VAlbertine Polin, veuve de Victor Trouvain, demeurant à Moyvillers.

5° Mlle Angèle Polin, demeurant à Verneuil.

6“ Mme Vve T ro u v a in , su b ro g é e tu tr ic e de G e o rg es-A lb ert-E u g èn e Polin.

7° Alfred Polin, subrogé-tuteur de de Emmanuel Polin.

Il est ici déclaré, conformément à la lot du 19 mars 1917, que tous ceux du chef desquels il pourrait être pris inscription d’hypothèque légale sur les immeubles sus-désignés, devront requérir cette inscription avant la transcription du procès-verbal d ’ad­judication.

Fait à Senlis, le 20 mai 1922.Signé : 0 . SAVARY.

Enregistré.

S’adresser pour les renseigne­ments à M« S a v a r y , avoué, et à M» B o i le t , notaire â Pont-Sainte- Maxence. 3566

gmaux est demeuré annexé à la minute d’un acte de déclaration de souscription et de versement reçu par M* V1DY, notaire à Chantilly, te dix neuf avril mil neuf cent vingt- deux et ci-après énoncé, il a été établi les statuts de la Société ano­nyme dont extrait suit :

S T A T U TTITRE I«

Article premier.Il eri formé entre les propriétaires

des actions ci-après et de celles qui nourront l’être par la suite, une Société anonyme qui sera régie par les lois existantes et par les présents statuts.

Article 2.La Société a pour objet : l’exploi

tation d’un fonds de commerce d’école d’équitation, de location et de vente de chevaux et voil.ures et toutes opérations se rattachant à cette exploitation.

Et généralement toutes opérations commerciales, financières, indus­trielles, mobilières et immobilières se rattachant directement à cette exploitation.

Article 3.La Société prend la dénomination

de :Société

des Établissements J. DARD

A rticle 4.La durée de la Société est fixée a

dix années qui commencerontdujour de sa constitution définitive, saufdissolution anticipée ou prorogation comme on le verra ci-après.

Article S.Le siège de la Société est à Gou

I vieux, près Chantilly, rue Victor- Hugo. Il pourra être transféré dans tout autre lieu par décision du Conseil d’Administration.

Aht. 2.

Etude de SI* O s c a r S A V A R Y .avoué a Senlis.

V E N T E S U R LICITATIONL’adjudication aura lieu le D im a n ­

c h e 1 8 J u in 1 9 2 2 . à quinze heures, en la Mairie de Pontpoint.

Ier Lot. 9 a r e s 8 8 c e n ­t ia r e s d e t e r r e , sis à Roberval, lieu dit le Fond de Fontmaillet. — Section D, n° 16.

Mise à prix : 1 0 0 francs.2* Lot. — 2 5 a r e s 0 2 c e n ­

t ia r e s d e t e r r e , terroir de Pont­point, lieu dit la Marinière. — Sec­tion D, u* 287.

Mise à prix : 2 5 0 francs.3" Lot. — 6 a r e s 1 3 c e n t ia r e s

d e b o is , terroir de Roberval, lit u dit le Taillis du Croquet. — Section C, n 08 228 p et 229 p.

Mise à prix : 6 0 francs.

Ladite vente aura lieu en exécu­tion d’un jugem entrendu sur requêle par le Tribunal civil de Senlis, le 28 mars 1922, enregistré.

A la requête de : 1" Mme Louise- Estelle-Angélina Marchois, veuve de M. Eugène Havy, demeurant à Ver­neuil.

2° Mme Marie - Jeanne - Mélanie Marchois, épouse de Auguste Bréha- mel, inanouvrier, et ledit M. Bréha- mei, demeurant ensemble à Verneuil.

3° Mme Désirée-Victoire dite Clara Marchois, veuve en l ' cS noces de Paul Gillet et en 2 8 noces de Emile- Léon Polie, demeurant à Verneuil.

4° Mme M arie-Clqdilde-Angèle Chevalier, demeurant à Verneuil, tutrice naturelle et légale de Louise- Pauline Marchois, sa fille mineure.

5" M. Kléber-Félix Marchois, de­meurant à Verneuil.

Il est déclaré, conformément à la loi du 19,.mars f917, quetous ceux du chef desquels il pourrait être pris inscription d’hypothèque legale sur les immeubles sus-désignés, devront requérir cette inscription avant la transcription du piocès-verbai d’ad­judication.

Fait à Senlis, le 20 mai 1922.Signé : 0 . SAVARY.

Enregistré.

S’adresser pour les renseigne­ments à M' S a v a r y , avoué, et M* B o i le t , notaire à Pont-Sainte- Maxence. 3565■■ ■nHiai i

Art. 3.

Suivant acte s. s. p. en date à Senlis du 15 mai 1922, enregistré.

M. Alfred PRÉVOST, chaudronnier- plombier, demeurant à Senlis, 5, rue du Four.

A vendu son f o n d s d e c h a u ­d r o n n ie r -p lo m b ie r sis à Senlis, 5, rue du Four.

A M. et Mme Georges LEFÈVRE, dem eurant à Senlis, rue aux Fro­mages.

L’entrée en jouissance est fixée au 15 mai 1922.

Pour les oppositions dans les dix jours de la seconde insertion dans le fonds de commerce vendu où domi­cile est élu.3574 PRÉVOST et LEFÈVRE.

AGENCE DE PERSAN BEAIMONTV e n te e t A c h a t

Fonds de Commerce - Industries PROPRIÉTÉS

A lb e r t F I N E T(18- ANNÉE)

P E R S A N (S .-et-O .)T é lé ph o n e 3 3 83

A p p o r t s .A rticle 6.

Monsieur Joseph DARD fait apport à la Société du fonds de commerce d’école ù’équilatiou, de location et de vente de chevaux et c'e voilures qu’il exploite à Gouvieux, rue Victor- Hugo, ensemble la clientèle, le ma lériet et le droit au bail, te! qu’il résulte d’un .acte reçu par M VIDY, notaire à Chantilly, contenant bail au profit de Monsieur DàRO par M adame la B f.ronne de R othschild ,

[du local situé rue Victor-Hugo, à Gouvieux, où Monsieur DARD ex­ploite le fonds de commerce apporié avec promesse de vente dudit local, Monsieur DARD déclarant expressé­ment faire apport à la Société des droits qui peuvent résulter à son profit de la dite promesse de vente, le tout représentant une valeur nette de passif de francs : quarante-quatre mille.

La Société entrera en jouissance du fonds de commerce et des biens et droits apportés à dater du premier mai mil neuf cent vingt deux. Elle prendra ces biens dans l’état où ils se trouveront à la dite date sans recours, ni répétition entre rappor­teur et lui remboursera tous les loyers d’avance versés par fui. Elle prendra à sa charge les frais du bai) notarié ci-dessus énoncé; à partir du premier juin mil neuf cent vingt- deux, elle assumera toutes les char­ges grevant les dûs biens telles que : impôts, polices d’assurances, taxes d’eau, gaz, électricité, impôts divers et en fera son affaire de manière que Monsieur DARD ne puisse jamais être inquiété à ce sujet.

Elle paiera les loyers jusqu’à la fin du bail et fera son affaire de la remise en état des lieux au proprié­taire, le cas échéant.

Elie prendra à sa charge le per­sonnel attaché à l’établissement ap­porté.

En représentation dudit apport, il est attribué à Monsieur Joseph DARD quatre oent quarante (440) actions d’apport entièrement libérées de cent francs chacune.

F on d is s o c ia l . — A c t io n s .

Article 7.Le capital social est fixé à quatre-

vingt-dix mille francs (90.000) re semés par 900 actions de cent francs chacune, dont quarante-quatre mille francs (44 000) en actions d’apport attribués à Monsieur DARD en repré­sentation de ses apports, le solde étant à souscrire et libérer entière­ment eu numéraire.

Article 8.La Société pourra augmenter son

capital, en une ou plusieurs fois, par l’émission d’actions nouvelles à souscrire en espèces ou à attribuer en représentation d’apport.

Ces actions pourront être soit des actions de priorité, soit des actions ordinaires.

Aucune augmentation ne pourra avoir lieu qu’en vertu d’une décision de l’assemblée générale ordinaire.

En cas d’augmentation du c a p ita l par l’émission d’actions payables en numéraire, un droit de préférence à la souscription de cinquante pour cent de toutes actions nouvelles, à émettre, sera réservé aux proprié­taires des actions existantes lors de chaque émission au prorata du nom­bre de titres possédés par chacun d’eux.

L’assemblée générale extraordi­naire fixera le taux d’émission des actions nouvelles.

Le Conseil d’administration fixera les conditions et délais dans lesquels les droits de préférence pourront être exercés.

L assemblée générale extraordi­naire saisie dans les conditions lé­gales, peut aussi décider, aux condi­tions qu’elle détermine, la réduction du capital pour quelque cause que ce soit, notamment au moyen d’un rachat d’actions, d’un échange de nouveaux titres, d’un nombre équi­valent ou moindre, ayant ou non le

Article 10.A défaut par les actionnaires d’ef­

fectuer les versements appelés, ils seront passibles, d’un intérêt de retard au taux de six pour cent l’an, sans qu'il soit besoin d’une demande en justice à compter du jour fixé pour le versement.

La Société peut, huit jours après une simple sommation par lettre recommandée adressée au souscrip­teur, faire procéder à la vente des actions non libérées des versements exigibles et après avis inséré quinze jours avant la date de la vente dans un journal d ’annonces légales du siège social:

Cette vente peut être faite aux mises à prix et sous les conditions fixées par le Conseil d’administration,

la Bourse de Paris, par le minis­tère d’un agent de change, si les titres sont cotés, et en l’étude et par le ministère d’un notaire, s’ils ne le sont pas.

Dans les deux cas, la vente s’opère aux risques et périls de l’actionnaire en retard, sans qu’il soit besoin d’autorisation judiciaire et sans autre mise en demeure que celle men­tionnée ci-dessus.

Au moyen de cette vente, lesjtitres se trouvant entre les mains de fac­tionnaire deviennent nuls de pleiu droit, et il en est délivré ue nouveaux aux acquéreurs, sous les mêmes numéros, comme libérés des verse ments dont le défaut aura motivé cette exécution.

Tout titre qui ne porte pas mention régulière des versements exigibles cesse d’être admis à la négociation, au transfert et au vote dans les assemblées.

Le prix provenant de la vente de l’action, déduction faite des frais, s'impute dans les termes de droit sur ce qui est dû à la Société par l’ac­tionnaire exproprié qui reste passible de ia tiifférence s’il y a déficit, mais qui profite de l’excédent s’il en existe.

Article 13.Chaque action donne droit, dans la

propriété de l’a tif social et dans le partage des bénéfices, à une part proportionnelle au nombre des ac tions existantes.

La cession des titres nominatifs a lieu par une déclaration et une acceptation dû transfert signées : 'une par le cédant et l'autre par le

cessionnaire, et remise à la Société qui inscrit l’opération sur un registre.

La Société peut exiger que la s i­gnature et la capacité des parties soient certifiées par un officier public.

L es fra is du tra n s fe r t son t à la charge du cessionnaire.

A rticle 16.Les intérêts ou dividendes de toute

action sont valablement payés au porteur du titre ou du coupon.

Tout dividende qui n’est pas ré clamé dans les cinq ans de son exigi­bilité est prescrit au profit de la Société.

A d m in is tr a t io n d e l a S o c ié t é

A rticle 17.

La Société est administrée par un Conseil composé de trois membres au moins et de cinq membres au plus, pris parmi les actionnaires, ils sont nommés et révoqués par l’assemblée générale.

A rticle 18.Les administrateurs doivent être

propriétaires, pendant toute la durée de leur mandat, chacun de dix actions.Il n’est pas nécessaire que les admi­nistrateurs possèdent ces actions au moment de leur nomination, il suffit qu’ils ies acquièrent au moment de leur entrée en fonctions.

Ces actions sont affectées à la ga­rantie de tous les actes de la gestion. Elles sont nominatives inaliénables, frappées d’un timbre indiquant leur inaliénabilité et déposées dans la uissê sociale.

Article 19.Les administrateurs sont nommés

pour six ans, sauf l’effet du renou­vellement partiel dont il va être parlé.

Le Conseil se renouvelle à raison d’un membre chaque année, en alter­nant s’il y a litu, suivant le nombre de ses membres, de façon que le renouvellement soit complet et aussi régulier que possible dans chaque période de six années.

Les membres sortant peuvent être réélus.

En cas de vacances par décès, démissions ou tout autre cause, et en général quand le nombre des admi­nistrateurs est inférieur au minimum ci-dessous fixé, le Conseil peut pour- voir^provisoirement au remplacement ou s’adjoindre de nouveaux membres dans les limites de l’article 17, jusqu’à la prochaine assemblée qui procède à l’élection définitive.

Si la nomination d’un administra­teur laite par le Conseil n’était pas ratifiée par l’assemblée générale, les actes accomplis par cet administra­teur pendant sa gestion n’en seraient pas moins valables.

Dans le cas où le nombre des ad­ministrateurs serait descendu au dessous de trois, ceux restant seraient tenus de se compléter à ce nombre minimum.

L’administrateur nommé en rem placement d’un autre, dont le mandat n’était pas expiré ne demeure en fonctions que pendant le temps à courir de l’exercice de son prédé cesseur.

Article 2.0.Chaque année le Conseil nomme

parmi ses membres un Président.En cas d’absence du Président, le

Conseil désigne celui de ses mem bres qui doit remplir se3 fonctions.

Le Conseil peut choisir un Secré­taire même en dehors des action naires.

Article 21.Le Conseil d’Administration se

réunit aussi souvent que les besoins de la Société l’exigent, sur la convo­cation du Président ou de deux autres membres, soit au siège social,

A rticle 22.Les délibérations du Conseil d’Ad­

ministration sont constatées par des procès-verbaux qui seront poriés su r i un registre spécial tenu constam-v ment au siège de la Société et signé par deux au moins des Administra­teurs qui y ont pris pari, ou p arle Président.

Les copies ou extraits à produire en justice et ailleurs sont certifiés par le Président Ou Conseil ou par deux des administrateurs.

La justification du nombre des administrateurs en exercice et de la qualité d’administrateur, résultera valablement vis-à-vis des tiers de la seule énonciation au procès-verbal du nom des administrateurs présents et du nom dés administrateurs absents.

Article 23.Le Conseil d’Administration est

investi des pouvons les plus étendus pour l’administration de toutes les affaires de la Société.

Il a notamment les pouvoirs sui­vants :

Il établit toutes succursales, tant en France qu’à l’E-ranger, partout où il jugera opporiun.

Il nomme et révoque tous et employés de la Société, et déter­mine leurs attributions et leurs pou­voirs, il fixe leurs salaires, leurs émoluments et leurs gratifications s’il y a lieu, le tout soit d’une manière fixe ou autrement.

Il fixe les dépenses générales de l’administration et pourvoit à l’em ploi des fonds disponibles et des réserves

Il statue sur toutes les opérations faisant l’objet de la Société, décide tous achats, il passe tous traités et marchés et décide toutes entreprises.

Il autorise les achats d’immeubles et les reventes de ceux qui seraient jugés inutiles, ainsi que tous baux et locations soit comme bailleur, soit comme preneur.

Sauf pour les émissions d’obliga­tions qui doivent être autorisées par ’ Assemblée générale composée et délibérant comme il est dit à l’articie 37, il peut contracter tous emprunts fermes ou par voie d’ouverture de crédit, aux conditions qu’il jugera convenables et conférer toutes garan tins mêmes hypothécaires.

Il autorise et do me tous caution­nements.* Il décide, s’il y a lieu pour la Société

d’intenter toutes actions en justice et d’y défendre, il peut transiger ei compromettre.

Il touche toutes les sommes dues à la Société à quelque titre que ce soit, il fait tous retraits de titres el valeurs, il donne toutes quittances et décharges.

11 signe et accepte tous billets traites, lettres de change et endos et effeis de com m erce.

Il consent tous désistements de privilèges, hypothèques, actions réso­lutoires et autres droits de toute nature et donne main-levée de toutes inscriptions, saisies, oppositions et autres empêchements, le tout avec ou sans paiement, il consent toutes antériorités.

Il autorise tous retraits, transferts, cession et aliénation de fonds ren tes, biens et valeurs quelconques appartenant à la- Société et ce, avec ou sans garantie, il consent toutes subrogations, il ouvre et fait fonc­tionner tous comptes de banque.

Il arrête les comptes qui doivent être soumis à l’Assemblée générale, fait un rapport sur ces comptés et sur la situation des affaires sociales et propose la répartition du divi­dende.

Il convoque les Assemblées géné­rales.

Les pouvoirs ci-dessus sont énon- ciatifs et non limitatifs, le Conseil devant avoir ies mêmes pouvoirs que le gérant le plus autorisé d’une Société en nom collectif.

Le Conseil d’administration repré­sente la Société en justice, en consé­quence c’est à sa requête ou contre lui que doivent être intentées toutes actions judiciaires tant en deman dant qu’en défendant, il fait toutes élections de domicile.

f a * ™ConseU(d’AdmfniVs? lr t Ie rapp(m d» »e bilan «L , ™ s,rat(on> présentant« 7 aires d e Y c ^ p te ? ° U d“ C° m'

doit êtrp1faitCalion k cetle réunionl ’avance e t au moiDS seize jours à gnés nni.r i13 Un journaux dési- L V A les annonces légales du tteu du siège social.

Laconvoeat.on à une autre as- sejtiDlée ordinaire ou à une assem- DlCe générale extraordinaire, doit

faite au moins cinq jours à ’Hlce par un avis de môme na­

ture.'Lesdélais de convocation ne com­

prennent ni le jour de la convoca­tion, éi le jour de la réunion.

Toutes assemblées autres que l’As­semblée annuelle (y compris les as semblées constitutives) seront vala­blement constiliées sans qu'il soit question de pubicité ou de délai si l’unanimité des actionnaires trouve présente tu représentée.

Artùle 31.

Les assemblée» générales ordinai­res se composen de tous les action­naires possédait deux actions au moins libérées dis versements exi­gibles.

Tous propriéaires d’un nombre d’actions inféritur à deux, peuvent se réunir pour former le nombre nécessaire et le faire représenter par l’un d’eux tu par un membre de l’assemblée.

Toutefois das les assemblées gé­nérales extraorlinaires, tout action­naire quel que -oit le nombre de ses actions, peut fare partie de l’Assem­blée, prendre ptrt aux délibérations et aux votes

Nul ne peut se faire représenter aux assemblées générales que par un mandataire, membre lui-même de rassemblée, jl'uutefois y seront valablement

fepréjeutées, ies Sociétés en nom collectif et en commandite simple ou par actions et anonymes par un as­socié ayant la signature soeiale'ou par un délégué du Conseil d’Admi­nistration, les femmes mariées par leurs maris s’ils ont l’administration de leurs biens, les mineurs et inter­dits par leurs tuteurs sans qu’il soit nécessaire que l’associé, le délégué, le mari ou le tuteur soient person- ellemem actionnaires ; l’usufruitier

et le nu-propriétaire y sont repré­sentés par l’un d’eux, muni du pou­voir de l’autre ou par un mandataire commun

La forme des pouvoirs est déter­minée par le Conseil d’Administra- lion.

Article 32.Les propriétaires d’actions nomi­

natives _ qui n’ayant pas le nombre nécessaire, veulent user du droit de réunion prévu au paragraphe 2 de 'article31, sont assujettis à la même

obligation de dépôt -u tout au moins doivent dans les mêmes condilions justifier de leur groupement et fournir leurs pouvoirs.

Il est remis à chaque déposant, une carte d’admission pour l assent blée générale ; cette 'carte est nomi­native et personnelle.

i,es certificats de dépôt mentionnés l’ar icle 2, donnent droit pour le

dépôt de deux acLions au moins à la remise de cartes d’admission à Ras­semblée générale, pourvu que le dépôt des titres ait lieu plus de seize jours avant l’époque fixée pour l’as­semblée générale.

Toutefois le Conseil d’Administra- ion a toujours la faculté de réduire

ce délai de seize jours et d’accepter les dépôts en dehors de cette limite aussi bien pour les propriétaires au porteur que pour les titulaires de certificats ou les propriétaires d’ac­tions nominatives.

Les propriétaires d’actions nomi­natives doivent, pour avoir le droit d’assister à Rassemblée générale, être inscrits sur les registres de la Société seize jours au moins avant ’époque fixée pour la réunion.

ou représentés possèdent ou repré­sentent ensemble les trois quarts au moins du capital social..,,P“ S tous Jes cas où il s’agit de I t é r e r sur des modifications ouch fn . l 10p Sh-a.UtPe® qU® CelleS ,0U-*.ot)Jet ou a Ja forme de la bomété si, sur une première convo cation, 1 assemblée n’a pu réunir les rois quarts du capital social, une

nouvelle assemblée peut être convo­quée au moyen de deux insertions à quinze jours d’intervalle

fixes ou proportionnelsn rn V i1311’,^01,8 de leur souscription, ont été entièr-------huit personneréellement etsouscripteur, une somme égale au

-------------- dans unjournal d annonces légales du siège social et au bulletin annexe du Journal Officiel.

Cette convocation reproduit l’ordre du jour et indique ta date et le ré­sultat de la précédente assemblée.La seconde assemblée délibère vala- blement si elle est composée d’aetiounaires représentant la moitié du i npil. hapiuu,. i„ A ------------------capital social. Si cette seconde as-1 L ai- i ! L h J ! ^ S6rasemblée n’a ,-as réuni la moitié du H e ! Servespécial et les autres fonds créés en

allocationsdes directeurs ou adm inistrateurs,. , , -,constituent les bénéfices. I ont été entièrement oua, mno8 „ar

prélevé6-8 bénéflces annuels- 11 es t|r t« n f« ™ “ n“ ! L T î ,H a étë .versd

,, * fi 0/0 pour le fonds de réserve legale jusqu’à ce qu’il ait atteint u n .cu n dixième du capital social, après quoi I soit

cesse d être obligatoire m a ta l/j i reprend son cours si vient à être entamée.

2° La somme nécessaire pour payer aux actions 6 0/0 des sommes dont elles sont libérées et non amorties, sans que si les bénéfices d’une année ne permettent pas ce paiement, les actionnaires puissent le réclamer sur le bénéfice des années subséquentes.

souscrites par n é s c i q u il a é t é ve ‘

réellement en espèce, par chaque . . . — somme é£ ’quart du montant nominal de cha-

[ cune des actions par lui souscrite, m a is ia i Koor tot?1 une somme de

cette somme | [rancs ra ° CS)’ ° nze mille cinq centsA cet acte est annexée une liste

contenant toutes les énonciationsvoulues par la loi.

I I IA s s e m b lé e s c o n s t i t u t i v e s

dun,td °a copies

Article 33.Quinze jours au moins avant la

réunion de rassemblée générale, lout actionna/re peut prendre au iège social, communication de l’in­

ventaire et de la liste des actions et se faire délivrer copie du bilan ré­sumant l’inventaire, ainsi que du rapport du ou des commissaires.

Article 24.

Le Conseil peut déléguer tels de ses pouvoirs qu’il juge convenables à un ou plusieurs administrateurs, ou à un ou plusieurs directeurs pris en dehors de son sein.

Le Conseil détermine et règle les attributions du ou des administra­teurs délégués ou Directeurs, et fixe s’il y a lieu, le chiffre des actions que ces derniers devront posséder, et dont les titres resteront déposés dans la caisse sociale.

Il détermine le traitement fixe ou proportionnel à allouer aux adminis trateurs délégués ou Directeur.

Monsieur J. DARD est d’ores et déj désigné comme Directeur statu­taire poùr CINQ années. Ses appoin­tements seront déterminés par le Conseil d’administration.

Le Conseil peut aussi conférer des pouvoirs à telle personne que bon lui semble, par mandat spécial ou pour un objet déterminé. Il peut autoriser ses délégués administra­teurs ou autres à consentir des substitutions partielles de pouvoirs.

A s s e m b lé e s g é n é r a le s

Article 29.L’Assemblée générale régulière­

ment constituée, représente l’univer­salité des actionnaires.

Les délibérations prises conformé­ment aux statuts, obligent tous les actionnaires, mêmes absents inca­pables ou dissidents.

Article 30.Le Conseil d’Administration con-

voque les actionnaires en Assemblée Générale, il fixe dans la convocation, le jour, l’heure et le lieu de la réu­nion.

L’avis de convocation doit indiquer d’une manière sommaire, l’objet de la réunion.

Les assemblées générales, autres que les asse mblées constitutives sont qualifiées d’ordinaires, si les déci­sions qu’elles ont à prendre se rap- poitent à des faits de gestion ou d Administration ou à un fait quel­conque d’application ou d ’interpré­tation des statuts.

. as réuni la moitié du capital, il peut être convoqué dans les formes ci-dessus une troisième assemblée qui délibère valablement si elle se compose d’un nombre d’actionnaires représentant le tiers du capital social.

Dans toutes les assemblées extra­ordinaires appelées à voter sur une modification statutaire, les résolu lions pour être valablement obtenues devront réunir les deux tiers des voix des actionnaires présents ou représentés.

Article 39.Les assemblées générales ordi

naires ont à statuer sur toutes les questions qui excèdent la compé­tence du Conseil d’Administration ; elles confèrent à ce dernier les auto­risations nécessaires pour tous les cas où les pouvoirs à lut attribués seraient insuffisants et déterminent souverainement la conduite des affaires de la Société.

Elles peuvent notamment décider 'amortissement total ou partiel des

actions ; en ce cas, l’amortissement se ferait soit par voie de tirage au sort, soit par distribution égale entre toutes les actions, soit autrement, dans les formes et aux époques dé terminées par l’assemblée générale sur ia proposition du Conseil d’Ad­ministration. Les numéros des ac­tions désignées par le sort seront

ubliées dans uu journal d’annonces égales de Paris.

En échange des actions amorties, il sera délivré des actions de jouis­sance qui, sauf le droit du premier divi tende de six pour cent stipulé sous l’article 44 et au rembourse­ment stipulé sous l'article 46, confé­reront aux propriétaires tous les droits attachés aux actions non amorties dans la même catégorie.

L’assemblée générale annuelle doit notamment entendre le rapport du ou des Commissaires sur la situa­tion de la Société, sur le bilan et sur les comptes présentés par les Admi­nistrateurs.

Elle discute et, s’il y a lieu, ap­prouve les comptes ; la délibération approbative des comptes est nulle, si elle n’a pas été précédée de la lecture du rapport du ou des Com­missaires.

Elle fixe les dividendes à répartir sur ia proposition du Conseil d’Ad­ministration.

Elle nomme les Administrateurs et le ou les Commissaires.

L’assemblée générale ordinaire peut statuer sur les emprunts par émission d’obligations.

Elle délibère sur les propositions portées à son ordre du jour et ren­trant dans les limites de l’adminis­tration ou dans les limites de l’inter­prétation ou de l’application des tatuts.

Article 40.Les assemblées générales extra­

ordinaires sont des assemblées exceptionnelles ; elles ont à statuer ûr les propositions qui auraient

pour résultat d’apporter une modifi­cation aux statuts.

Ces propositions ne peuvent éma­ner que du Conseil d’Administration ou de la personne qui aurait convo­qué l’assemblée.

L’assemblée générale extraordi­naire possède les pouvoirs les plus I étendus notamment pour apporter aux statuts toutes modifications, ces modifications peuvent même porter] sur l’objet de la Société, notamment j sur la restriction ou son extension, mais sans pouvoir la changer ni l’atérer dans son essence.

Elle ne peut non plus changer la nationalité de la Société ni aug­menter les engagements des action-1 naires.

vertu des dispositions ci-dessus.Le solde, sauf la formation de

toutes réserves et fonds d’amortisse­ment spéciaux, amortissement de par­ticipation financière dans des entre­prises similaires ou non, ou amortis­sement ces actions, gratifications ou rémunérations spéciales du person nel que pourra décider l’assembléegénérale sur la proposition d u . . • — -------------Conseil d’administration, est attribué 11®? fondateurs de la Société des Eta- comme suit : I blissements J. Dard, suivant acte reçu

15 0 /0 au Conseil d’administra-1 ?l*..yid ^ - ? ota-‘,re a „c *iant*dy> letion;

ne cen*' vingt-deux, des délibérations des deux assemblées constitutives, tenues par les action­naires de la Société anonyme, dite S o c ié t é d e s E t a b l is s e m e n t s J . D a rd , il appert :

1° Du premier de ces procès-ver­baux, en date du vingt avril mil neuf cent vingt-deux, que l’assemblée a notamment, après en avoir pris connaissance, reconnu sincères et véritables les déclarations de sous­cription et de versement faites par

85 0 /0 aux actionnaires.

D is s o lu t io n , — L iq u id a t io n . ]A rtic le 43.

A cette époque et dans toutes |

Article 34.L’urrlre du jour est arrêté par le

Conseil d'Adminisiration ou la per­sonne qui effectue la convocation.

Il n’y est porté que les propositions émanant du Conseil d’Administra­tion.

Il ne peut être mis en délibération aucun objet que ceux portés à l’ordre du jour.

Article 35.L’assemblée générale est présidée

par le Président du Conseil d’Admi­nistration et en son absence par un administrateur.

Les deux plus forts actionnaires irésents et acceptants sont appelés à remplir les fonctions de scruta­teurs.

Le Bureau désigne le Secrétaire qui peut être pris en dehors des ac­tionnaires.

Article 36.Les délibérations sont prises à la

majorité des voix des membres pré­sents.

Les actionnaires ont autant de voix qu’ils possèdent de fois deux ac­tions.

Mais dans les assemblées généra­les extraordinaires prévues aux ar­ticles 30, paragraphe 40, chaque actionnaire a autant de voix qu’il possède d’aclions quelle que soit la

m aître de ces actions.

Article 37.Toute assemblée générale ordi­

naire est régulièrement constituée lorsque les membres présents ou représentés, formnet le quart du fonds social

Si une première assemblée ne se reumt pas en nombre, il en est con­voquée une autre, suivant les formes prescrites à l’article 30 , et elle déli­béra valablement quelle que soit la portion du capital représenté, mais seulement sur les objets à l’ordre du jour de la première réunion.

Cette deuxième assemblée doit avoir lieu à quinze jours d’intervalle au moins de la première, mais les convocations peuvent n’être faites que dix jours à l’avance.

Article 38.Toute assemblée générale extra

ordinaire est régulièrement consti­tuée lorsque les membres présents

dix-neuf avril mil neuf cent vingt- deux et nommé un commissaire à 1 effet d’apprécier la valeur des apports en nature faits à la Société, la rémunération de ces apports, ainsi que les avantages particuliers pou­vant résulter des statuts et de faire à

circonsiances, l’assemblée générale, I ce Sl,j.e un rapport à la deuxième constituée comme il est dit à l’ar-1 as-'emblée générale constitutive, ticle 38, peut sur la proposition du I 28 Et du deuxième de ces procès- Conseil d’administration prononcer I verbaux, en date du vingt-sept avril la dissolution de la Société. mil neuf cent vingt-deux, que l’assem-

T'ous les actionnaires, quel que I générale a notamment : soit le nombre de leurs actions, I 1° Adopté les conclusions du rap- seront appelés à faire partie de cette I P°rt du commissaire nommé comme assemblée. |H est dit plus haut, approuvé les

Eu cas de perte de la moitié du n pP °l!.s ,ei? nature faits à la Société fonds social, cette assemblée, com-1 es Etablissements J. Dard, et les posée de la même façon et délibérant I avantages particuliers, dans les mômes conditions, sera 2° Approuvé les statuts de la So- obligatoirement convoquée par le J ciété, dite Société des Etablissements Conseil d’administration à l’effet de | J- Dard, tels qu’ils résultent de l’acte

annexé à la déclaration de souscrip­tion et de versement, reçue par M’ Vidy, notaire à Chantilly, le dix- neuf avril mil neuf cent vingt-deux.

3° Nommé :

Article 41.Les délibérations des assemblées

g é n é ra le s sont constatées par des procès-verbaux inscrits sur un re­gistre spécial et signés par des membres du bureau.

Une feuille de présence contenant les noms et domiciles des action­naires présents et représentés et le nombre d’actions dont chacun est propriétaire et certifiée par le bureau est annexée au procès-verbal.

Les copies où extraits à produire ! en justice ou ailleurs des délibéra tions de l’assemblée générale sont signés par le Président clu Conseil d’Administration ou par deux autres Administrateurs.

Après la dissolution de la Société et pendant la liquidation, ces copies ou extraits sont certifiés par les liquidateurs ou l’un d’eux.

Les délibérations prises confor­mément à la loi et aux statuts obli­gent tous les actionnaires même absents, incapables ou dissidents. En toute circonstance la majorité impose sa volonté à la minorité.

I n v e n t a i r e . — B é n é f ic e s .F o n d s d e c o m m e r c e .

Article 42.L’année sociale commence le pre­

mier juillet et fiait le trente juin de chaque année.

Le premier exercice comprendra le temps écoulé entre la constitution de la Société et le trente juin mil neuf cent vingt trois.

Article 43.Il est établi à la fin de chaque au

née soeiale un inventaire contenant l indication des valeurs mobilières el immobilières et en général de tout l’actif et le passif de la Société. Dans cet inventaire, on fera subir aux divers éléments de l’actif social la diminutien de valeur correspon­dant à leur dépréciation et les amor­tissements qui seront jugés conve­nables par le Conseil d’Administra tion.

Cet inventaire est mis à la disposi­tion des Commissaires quarante jours au moins avant l’assemblée géné­rale ; il est présenté à cette assem­blée.

Article 44.Les produits nets, déduction faite

de toutes les charges ou am ortisse­ments y compris tous traitements ou

statuer sur la question de savoir s’il y a lieu de prononcer la dissolution de la Société.

l5ans le même cas, à défaut de convocation par le Conseil d’adminis­tration, le ou les commissaires peuvent réunir la même assemblée et même tout actionnaire sans atten­dre la convocation, peut demander en justice ia dissolution.

La résolution de l’assemblée es; dans tous les cas rendue publique.

Article 46.A l’expiration de la Société ou en

cas de dissolution anticipé, l’assem­blée générale, sur la proposition du Conseil d’administration, règle le mode de liquidation et nomme, s’il y a lieu, le ou les liquidateurs dont elle détermine les pouvoirs.

Pendant tout le cours de la liqui­dation et jusqu’à expresse décision contraire, tous les éléments de l’actif social non encore répartis continuent à demeurer la propriété de l'être moral et collectif. Les pouvoirs de 'assemblée continuent comme pen­

dant l’existence de la Société ; elle ■iprouve les comptes de la liquida­

tion et donne décharge aux liqui­dateurs.

Les liquidateurs ont mission de réaliser, même à l’amiable, tout l’actif mobilier et immobilier de la Société et d’éteindre le passif, sauf les restrictions que l’assemblée générale pourrait y apporter; ils ont a cet effet, en vertu de leur seule qualité, les pouvoirs les plus étendus d après les lois et usages du com­merce, y compris ceux de traiter, transiger, compromettre, conférer toute garantie, même hypothécaire, s’il y a lieu, consentir tout désiste­ments et mainlevées avec ou sans paiement.

En outre, avec l’autorisation de assemblée générale, ils peuvent

faire le transport ou la cession à tout particulier ou à toute autre So­ciété, soit par voie d’apport, soit autrement de tout ou partie des droits, actions ou obligations de la Société dissoute, et ce contre des titres ou des espèces.

Le solde du produit de la liquida­tion, après extinction du passif, sera versé aux actions.

Article 47.Toutes les contestations qui

peuvent s’élever entre les action­naires sur l’exécution des présents statuts sont soumises à la juridiction des tribunaux compétents du siège social.

De convention expresse et dans l’intérêt collectif, tout, actionnaire déclare renoncer au droit d’action séparé qu’autorise l’article 17 de ia loi du 24 juillet 1867,

En conséquence, ies contestations louchant, l’intérêt général et collectif delà Société ne peuvent être dirigées contre le Conseil d’administration ou ’un de ses membres qu’au nom de la masse des actionnaires et en vertu d’une délibération de l’assemblée générale.

Tout actionnaire qui veut provo­quer une contestation de cette na- ure doit en faire, un mois avant la

prochaine assemblée générale, l’ob­jet d’une communication au P rési­dent du Conseil d’administration, qui est tenu de mettre la proposition à 'ordre du jour de cette assemblée.

Si la proposition est repoussée par l’assemblée, aucun actionnaire ne peut la reprendre en justice dans un intérêt, particulier ; si elie est accueillie, l’assemblée générale dé­signe un ou plusieurs commissaires pour suivre la contestation.

Les significations auxquelles donne lieu la procédure sont adressées uniquement aux commissaires; au­cune signification individuelle ne peut être faite aux actionnaires.

En cas de procès, l’avis de l’as­semblée devra être soumis aux tri­bunaux en même temps que la demande elle-même.

En cas de contestation, tout action­naire sera tenu de faire élection de domicile dans le ressort des tribu­naux du siège social et toutes les notifications et assignations seront valablement faites au domicile par lui élu, sans avoir égard au domicile réel.

A défaut de domicile, les notifica­tions seront valablement faites au Parquet du Tribunal civil du siège social.

I IAux teçmes d’un acte reçu par

M° Vidy, notaire à Chantilly, le dix- neuf avril mil neuf cent vingt-deux, les fondateurs de la Société anonyme, dite S o c i é t é d e s E t a b l i s s e ­m e n ts J . D a rd , ont déclaré qu les quatre cent soixante actions (460) de cent francs chacune faisant partie du, capital social et qui étaient à souscrire en numéraire et â libérer

Administrateurs de la Société : Monsieur Pierre RODOGANACHI,

banquier, à Parts, 29, rue Tronchet.Monsieur Louis ARVERS, ingé­

nieur, 111, avenue Victor-Hugo, à P aris/i Monsieur Joseph DARD, directeur

d’Ecole de dressage, à Gouvieux, et Monsieur Paul ROBERT, expert- comptable, 6, rue du Louvre, à Paris.

4° Constaté- l’acceptation de ces fonctions d’administrateurs par les sus-nommés présents ou représentés a t’assemblée générale.

5° Nommé comme commissaire ti­tulaire de comptes du premier exer­cice social dans les termes des statuts :

Monsieur Sébastien Dubois, rédac­teur de la Bourse, 300, rue de Beile- vdie, à Paris, et à son défaut, Mon­sieur Maurice Dorange, armateur, 47, avenue de l’Opéra.

6° Constaté l’acceptation de ces fonctions de commissaire titulaire et suppléant des comptes par les sus­nommés présents à l’assemblée.

7° Déclaré la Société anonyme, dite Société des Etablissements J. Dard, définitivement constituée, toutes les formalités légales ayant été remplies.

Expéditions entières des actes, pièces et délibérations sus-visés ont été déposées à chacun des Greffes du Tribu­nal de Commerce de Senlis, le quinze mai mil neuf cent vingt- deux, et de la Justice de Paix de Creil, le treize mai mil neuf cent vingt-deux.

Pour avis :Le Conseil d ’Adm inistration.3551

Art. 5.

Société des Établissements J. DardPREMIÈRE PUBLICATION

D’un acte sous signatures privées, en date à Chantilly, du 17 avril 1922, déposé au rang des minutes de M* VIDY, notaire à Chantilly, le 19 avril 1922, contenant les Statuts delà Société des Etablissements J. Dard, lesquels ont été approuvés définiti­vement, aux termes d’une Assemblée Générale des actionnaires de la dite Société, en date à Chantilly, du 27 avril 1922, il résulte que Monsieur Joseph DARD, directeur d’Ecole de dressage, demeurant à Gouvieux, rue Victor-Hugo, à fait apport à la Société Anonyme des Etablissements J. DARD, d ’u n f o n d s d© c o m m e r c e d ’E c o le d ’é q u ita i io n , d e l o c a ­t io n e t d© v e n t e d e c h e v a u x e t d e v o it u r e s , qu’il exploite h Gouvieux, proche la Gare de Chan­tilly, rue Victor-Hugo.

Conformément à l’article 3 de la loi du 17 mars 1909, les oppositions seront reçues au siège de la Société des Etablissements J. DARD, rue Victor-Hugo, à Gouvieux, dans les dépendances de Chantilly, où domi­cile est élu à cet effet, dans les dix jours qui suivront la deuxième insertion.

Pour extrait :3555 Le Conseil d ’Adm inistration.

A rt . 6.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

S Y N D I C A T

Les créanciers de la, faillite de la dame Marcelle MOITIÉ, épouse de JAGENI, marchand tailleur à Senlis sont invités à se trouver le Ven dredi 26 Mai 1922, à d ix heures et demie du m atin au Greffe du Tri­bunal de Commerce de Senlis, place Saint-Pierre, pour la nomination du syndic définitif.

Le Greffier du Tribunal, 3*72 MIGNOT.

Art. 7.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

R ed d itio n d e C om p tes.

■ Les orfnociers de ,a liquidation du sieur BACH, ancien marchand de vins en gros à Chantilly, sont invités a se trouver le Vendredi 26 Mai 1922, à d ix heures et demie du m atin , au Griffe du Tribunal de Commerce de Senlis, place Saint- Pi rre, pour recevoir et arrêter le compte de la gestion du syndic et dé­libérer sur 1 excusabilité du débiteur. -

Le Greffier du Tribunal. 3573 MIGNOT.

ï'ift c o u r r ie r h'*® L’OISE'

A r t . 8 .

E tude de M* G a s to n L O IR ,avoué à Senlis,

3, rue Saint-Yves-à-1 Argent.

Purge d ’Hypothèques Légales

en cinq

Suivant exploit du m inistère de M* Lenoir, h u issier à Senlis, en date du seize mai mil neuf cen t v ing t-deux , en reg istré.

Notification a été faite à Mon sieu r le P rocu reu r de la R épu­b lique p rès le Tribunal civil de p rem ière instance do Senlis.

A la requête de M onsieur E rnest Jean-G abriel Lesur, filateur, de­m euran t à Cires-lcs-Mello.

P our lequel dom icile es t élu : S enlis, 3, rue Sain t-Y ves-à-l’Ar gen t, en l’Etude de M* Gaston Loir avoué p rè s le T rib u n a l civil de la dite ville .

De l ’expédition dûm ent en forme d’un acte dressé au Greffe du Tri bunal civil de Senlis le cinq avril 1922, en reg istré , constatan t le dé­pôt fait le dit jo u r au d it Greffe par M* Gaston Loir, avoué du requé­ran t, de la copie dûm ent tim brée, collationnée, signée e t enreg istrée de l’expédition d ’un acte reçu nar M' M eliottée, notaire à Mello, tre n te décem bre 1921. enregistré contenant vente par Madame Mar the-M arie M arest, fabricante de sacs à papier, dem euran t à Cires les-Mello, rue des U sines, veuve de M. C am ille-E ugène-A uguste Catel.

Au profit du requéran t.D’une proprié té située à C ires-

les-Mello, en la rue Neuve du Che min de F er ou des U sines, proche la gare, com prenant ;

U ne m aison d’habitation bou r­geoise, élevée sur terre-plein , di­visée :

Au rez-de-chaussée, en quatre g randes p ièces, dont une d errière à usage de cuisine avec évier ; à gauche desdites p ièces, vestibule, salle de bains, à droite au tre ves­tibu le e t cabinet, quatre vérandahs v itrées au-dessus des portes des vestibu les devant la cuisine et du cab inet derrière .

Au prem ier étage, en tro is cham ­bres e t cinq cabinets. Pompe dans un cabinet am énagé en cuisine avec évier. •*

Au deuxièm e étage pièces.

Le to u t couvert en ardoises.G our et ja rd in p lan tés d ’arbres

fru itie rs e t d ’agrém ent devant, d e rriè re et à gauche de la maison avec grande porte, deux petites portes e t g rille en fer e t m ur d’ap­pui su r ce tte rue.

Allée pavée en face de la grande

Eorte en fer, en tre la maison e t le âtim en t ci-après.B âtim ent longeant ce tte allée à

droite, com prenant :Grande pièce d ’habitation bor­

dan t la rue , couverte en zinc. »R édu it passage conduisant à la j

cour ci-après et hangar à la su ite f ^ couvert en pannes.

B âtim ent à la suite divisé en deux pièces au roz-de-chaussée e t une pièce au p rem ier étage cou­v e r t en pannes. .Pompe devant ce bâtim ent.

Lavoir su r la riv ière couvert en zinc ; hangar à côté aussi couvert en zinc adossé au bâtim en t qui précède.

E scalier d’accès à la rivière.A utre cour à droite des diffé­

ren ts bâtim ents sus-désignés avec grande porte en bois su r la rue, m ur d’appui avec grille en fer sur la riv ière. A utre esca lier d ’accès à la riv ière .

Ceps de vignes e t arb res fru i­tie rs en espaliers sur les m urs des différents bâtim en ts ci-dessus.

B âtim ents dans ce tte cour divi­sés en rem ise e t espace autrefois à usage d’écurie couverts en zinc.

L ’ensem ble de to u t ce qui p ré­cède d ’une contenance de onze ares hu it cen tiares, tie n t par de­van t la rue la térale au chem in de fer, par d errière un b ras de la r i­v ière Le T hérain , d ’un côté Poulat, m ur m itoyen en tre , e t d’au tre côté Cocbu, m ur m itoyen entre.

E t au-delà de la riv ière su r la­quelle il existe un pont de bois, ja rd in fru itie r e t d ’agrém ent, p ra i­rie, le to u t d’une contenance de sep t ares quatre-vingt-douze cen­tia re s environ, ten an t d’un côté et des deux bouts l ’acquéreur et d ’au tre côté un b ras de la riv ière le Thérain.

La to talité de cette propriété contenant environ d ’après les t i­tre s dix-neuf ares, doit ê tre cadas trée sous les num éros 1610 p. lieu d it l ’Ancien P resby tère , e t 1541 p . ,

1540 p. e t 1553 p. lieu dit les Au- naies cle la V ille, le to u t de la section B.

E t ce m oyennant, ou tre les charges, le prix principal de tren te m ille francs.

Avec déclaration à M onsieur le P rocu reu r de la République : 1°Que la dite notification lui était ainsi faite conform ém ent aux p res­crip tions de l’art. 2194 du Code civil, pour qu ’il eu t à p rendre dans le délai de deux mois te lles ins­criptions d ’hypothèque légale qu ’il av iserait, que faute par lui de ce faire dans le dit délai e t icelui passé, l ’im m euble dont s ’ag it sé-

Pierre-Louis-M athieu Desnosse;C harles-A rm and Desnosse ;D em oiselle Louise-C larisse D.es-

nosse ;M athilde-Isabelle-C larisse Des­

nosse, épouse de A lphonse-Louis H ubert ;

Com m unauté D esnosse-Lam ou- che ;

A ntoine-N oël-H ubert M ercier et Adèle Noël, son épouse ;

F erdinand-A lexandre Lesage et dam e E m élie-E sther S en tie r, son épouse ;

François-E ugène P arm en tie r e t dam e Prudence-G élestine Lesage, son épouse ;

A uguste-A lexandre Lesage et dam e M arie -E rnestino -V icto ire Lefèvre, son épouse ;

Ju les-E tienne Lesage et dam e F lorine Bailly, son épouse ;

J e a n -B a p tis te -D é s iré B re to n e t dam e L o u ise -A lp h en s in e L esage , son ép o u se ;

Zacharie-A lexandre Lesage ;M arie-M adeleine B rebant, épouse

de M arie-Alexandre Lesage ;N icolas B rebant ;Louis B rebant et dam e Marie-

E lisabeth D aguenet, son épouse ;Edouard P ierre , d irec teu r de la

Société anonym e de Peignage e t F ilature de laine de Mello ;«

Auguste F lam en te td am e Louise- Clém entine T isseran t, son épouse;

A lphonse-Em ile-C onstant R ous­sel et dam e M arie-Alphonsine Bra- chard, son épouse ;

E sther-A ngélique -E u la lic Of- froy, épouse de Louis-Constant R oussel ;

M arie-M arguerite-Eulalie V ail­lant, veuve de Louis-M arie-Joseph Boilleaux ;

Société anonym e de Peignage et F ilature de laine de Mello ;

E rnest-Jean-G abrie l Lesur et dam e Jeanne-M arie-Louise Van- dendriessche, son épouse ;

Antoine-Auguste-Fernand Billet e t dame M arguerite-Aimée Pon- celet, son épouse ;

L ouis-V ictor I’oncelet e t dam e l1 rançoise, dite H enry, restée sa veuve ;

Ju lie-E ugén ie Galleux, veuve de P ie r re -S ta n is la s Labbé ;

M arie-Anne-Julie M artin, épouse de M arie-Fleury Galleux ;

M arie-Anne-Elisabeth M auber- tin , veuve de N icolas-V incent Martin.

3° E t que tous ceux du chef des­quels il pourra it ê tre pris des inscrip tions d’hypothèque légale n ’é tan t pas connus du requéran t, il fera it publier la présen te notifi­cation dans un jou rna l d ’annonces jud ic ia ires, conform ém ent à l’avis du Conseil d ’E ta t des 9 m ai et P r ju in 1807.

P our insertion légale : (Signé) G. LOIR.

Etude

Ar t . 9.

de M* L A C R O IX , notaire à Précy-sur-Oisc.

Société Agricole Electrique

4 ’i n t é r ê t c o l l e c t i f d e l a r é g i o n

d e P r é c y - s u r - Q i s e

SO C IÉ TÉ A N O N YM E à capital variable

C apital in itia l : 75 .000 francs

Siège Social à Précy-sur-Oise en la Salle des Fêtes

- I -

Aux termes d’un acte sous signa­tures privées en date à Précy-sur- Oise du 21 avril t922, enregistré. MM. Louis-Léon COEURDEROY. in­dustriel, demeurant à Précy-sur-Oise, Geurges-Albert BERNIER, agricut-

commune), par simple décision du Conseil d’administration et partout ailleurs en vertu d’une délibération de l’assemblée générale.

TITRE IIC a p ita l s o c ia l . — P a r t s .

V e r s e m e n t s .Article 6. — Le capital initial est

fixé à la somme de soixante-quinze mille francs et divisé on quinze cents parts de cinquante francs chacune.

Ce capital est variable. 11 est sus­ceptible d’augmentation au moyen soit de l’adjonction de nouveaux membres, soit de la souscription de nouvelles parts faite par les socié­taires, et de diminution par suite de reprises d’apports résultant de dé­mission, exclusion, décès, interdic­tion, faillite ou déconfiture d’as­sociés.

Lorsqu 'un so c ié ta ire v ient îi dé­céder, a donner sa démission, à être exclu, interdit, en faillite, en état de déconfiture, la Société n’est pas dis­soute, elle continue de plein droit entre les autres associés, les héri tiers du défunt, l’interdit; le failli ou ses créanciers, le sociétaire en état de déconfiture ne font pas partie ou cessenl de faire partie de la Société.

Article 7. — Au cours du premier exercice, le Conseil d’administration aura le droit de porter en une ou plusieurs fois le capital social au total de 200.000 francs, au moyen de souscriptions nouvelles postérieures à la constitution de la Société. Ii avisera comme il l’entendra au meil­leur moyen de se procurer des sous­criptions, mais ne sera nullement tenu, en ce qui concerne le capital nouveau, d’attendre qu’il soit sous crit en totalité et réalisé dans la pro poriion de un quart comme pour le capital initial.

Le capital pourra ensuite être augmenté d’année en année par dé­libération de l’assemblée générale décidant l’émission de nouvelles parts.

Les parts seront chacune de la va'eur fixée au premier alinéa de l’article précédent.

Article 8. — La somme au-dessous de laquelle le capital social ne pourra être diminué par ’es reprises d’apports prévues à l’article 6, est des trois quarls du capital initial.

Dans le cas où le capital viendrait à être augmenté, il ne pourrait être réduit de plus du quart du maximun atteint

Lorsque, conformément à la loi du 5 août 1920, la Société aura reçu une avance de l’Office National du crédit agricole représentant l’Etat, le capital ne pourra, sous aucun pré­texte, être réduit au-dessous du montant qui aura servi- de base à ladite avance.

Article 9. — Chaque part est paya' ble un quart en souscrivant et le surplus à l’appel du Conseil d’admi nistration avec quinze jours de préavis.

Les parts peuvent être libérées par anticipation.

Les versements en retard seront passibles d’un intérêt de 6 0/0 l’an Passé le délai de trois mois et après une mise en demeure préalable par lettre recommandée, te sociétaire sera considéré comme démission naire.

Les sociétaires ne sont engagé conformément à la loi que jusqu concurrence du montant des parts dont ils sont titulaires, sauf ce qui sera spécifié à l’article 54 ci-aprè en ce qui concerne les avance consenties par l’Office National du Crédit Agricole représentant l’Etat

Article 10. — Les parts seront toujours nominatives. La propriéi des parts sera constatée par les reçus des sommes versées et Tins cription sur les registres de la So ciété. Après libération complète des parts, les reçus partiels pourront être échangés contre reçu unique Il ne sera pas délivré de titres aux sociétaires. Chacun d’eux recevra un livret contenant le texte des statuts et portant en tête son nom et numéro d’ordre de son compte dans la eomptabi.’âA de la Société.

Le taux .Xie remboursement des

sident, de deux vice-présidents d’un secrétaire et d’un secrétaire-adjoint

Article 2 3 . - LeConseitd’Adminis-trat.on se réunit au siège social, aussi souvent que l’intérôt de la Société 1 exige, au moins une fois tous les six mois, sur la convocation du président, ou en cas d’empêche­ment sur celle d’un des vice-présidents ou encore toutes les fois que la moitiéde ses membres en feront ta demande.

vigueur vous

tPiir riprm iirant à Prar>v cnr niou icmuuuiseuiuiu uusRené François-Félix BERs"oN^gri- parts ne pourra, en aucun cas, même culteur, demeurant a Yillers-sous- Saint-Leu, Georges TROENDLE, di­recteur d’usine, demeurant à Monta- taire, Joseph HOBIGAND, agriculteur, demeurant à Blaincourt-les-Précy,Victor-Jules LAURENT, agriculteur, demeurant à Blaincourt-les Précy, ont établi les statuts d’une Société anonyme à capital et personnelvariables, qu’ils se proposaient de fonder, et dont il est extrait littéra­lement ce qui suit :

TITRE PREMIERF o r m a t io n — D é n o m in a t io n

O b je t — M u rée S iè g e S o c ia l

Article Premier. — Entre les sous cripteurs des parts du capital initial et ceux qui adhéreront par la suite aux présents statuts, il est constitué dans la forme des sociétés anony­mes à capital et personnel variables, une Société Anonyme Agricole Elec­trique d’intérêt collectif, régie par la loi du 8 août 1920, et en dehors des P”escriptions particulières de celle- ci par les lois des 24 juillet 1867, l»r août 1893 et 22 novembre 1913.

Les associés entendent en outre placer cette Société sous le régime de toute loi ultérieure modifiant la

en cas de dissolution, excéder leur valeur initiale.

Aucun dividende ne sera attribué au capital ou aux fractions de capital.

L’intérêt servi au capital versé sur les parts et fixé à 5 0/0 et peut être modifié annuellement par l’As­semblée générale, sans qu’il puisse jamais dépasser 6 0/0

Article 11. — Les parts des mem­bres sortant de la Société pour une cause quelconque sont annulées. Les sommes qu’elles représentent sont assimilées aux créances ordinaires, sous réserve des dispositions de l’article 16 ci-après.

Les dispositions sont également applicables au cas décès d’un so­ciétaire.

y ' Ufkl W V~-y JL vV IX JvX V VJ V/ XJ. U ( I f I p Q —— * 1 - ,

ra it e t dem eurerait aux m ains du I r u. ® a * des *°*s TU1 <____________+ : ...........................................m n m h e ra ie n t . ar lnic o-Znarolncreq u é ran t définitivem ent purgé e t libéré de tou tes hypothèques de ce tte nature non inscrites.

2° Que les anciens p roprié ta ires du dit im m euble, outre les ven­deurs, é ta ien t ;

Veuve Catel, née M arest ;M ineur P ierre-G uy Catel ;Cam ille-Eugène-A uguste Catel

e t Mme M arthe-M arie M arest, son épouse restée sa veuve ;

M aric-O ctavie-D ésirée Berton, veuve de P ierre-Louis-A lphonsc Langlois ;

E tienne-Is idore Berton

modifieraient les lois générales ci- dessus énumérées

E douard-A lphonse Thom ann et, Madame M arie-R ose l ’oirot, son épouse ;

Charles-A chille Thom ann e t Mr- dam e M aria V iollet, son épouse ;

Madame M arie-B arbe-Josôphe D ufourt, veuve de Jacques Tho­m ann ; /

Paul-A ugustin Delanoye e t Ma­dam e C laire-Françoise D esnoyers, son épouse ;

Com pagnie des Chem ins de F e r du Nord ;

M arie-Jeanne-A nto inette Ché- ron , veuve de M. Jean-M arie Le- leup ;

Succession Jean-H enri Chéron ;Denis Grison ;F rançoise-Ju lia P etit, veuve de

Joseph-H ila ire Lesage ;Marie C larisse Lam ouche, veuve

de P ierre-V in cent Nicolas D es- jiosse ;

Article 2. — Cette Société prend la dénomination de S o c ié t é A g r i­c o l e E le c tr iq u e d ’In té r ô t C o lle c t i f de la région de Précy- sur-Oise, constituée dans la forme des sociétés anonymes à capital et personnel variables.

Sa circonscription territoriale com­prend Précy-sur-Oise, Villers-sous- Saint-Leu, Blaincourt-ies-Précy et les communes limitrophes.

La Société demandera son affilia tion à la Caisse locale de Crédit

f Agricole Mutuel de Creil.Article 3. — Cette Société a pour

objet l’électrification des communes ci-dessus indiquées.

Elle fait toutes les opérations con formes à son but.

L’objet de la Société peut être modifié par décision de l’Assemblée générale ayant pouvoir pour reviser les statuts. Toutefois, il ne saurait être porté atteinte à son caractère de Société d’intérêt collectif agricole régie par la loi du 5 août 1920, et les lois subséquentes en la matière

Article 4. — La durée de la So­ciété est fixée à cinquante ans compter du jour de sa constitution définitive sauf prorogation ou disso­lution anticipée.

Article 5. — Le siège social es< etabü à Précy-sur-Oise, en la salle des fêtes.

Il peut être transféré en lout autre lieu de la môme ville (ou de la même

TITRE IVA d m in is tr a t io n

Article 18. — La Société est administrée par un Conseil composé de douze membres pris parmi les sociétaires et nommés par rassem ­blée générale.

Article 19. — Les administrateurs doivent être chacun propriétaires de six parts pendant toute la durée de leur mandat. Ces parts sont affectées à la garantie de tous les actes de la gestion même de ceux qui seraient exclusivement personnels à l’un des administrateurs. Elles sont inalié­nables.

Les administrateurs sont respon­sables, conformément aux règles du droit commun, individuellement ou solidairement suivant le cas, envers la Société ou envers les tiers, soit des infractions aux dispositions d . la loi, soit des fautes qu’ils auraient commises dans leur gestion, mais ils ne contractent aucunej§ obligation personnelle ni solidaire relativement aux engagements de la Société, sous réserve de ce qui est dit à l’article 54, en ce qui concerne les avances de 1 Office National du Crédit Agricole représentant l’Etat/

Article 20 . — Les administrateurs sont nommés pour six ans ; le Conseil se renouvelle par sixième chaque année. Les cinq premières séries sont désignées par le sort, le renouvellement se fait ensuite à j l’ancienneté. Les administrateurs sortants sont toujours rééligibles.

Article 21. — En cas de vacances par décès, démission ou autre cause, d’un ou plusieurs administra­teurs, ils peuvent être provisoire­ment remplacés par le Conseil, dont le choix aoit être soumis à la ratifi­cation de la plus prochaine assem­blée générale. Le membre ainsi nommé achève le temps de celui qu’if a remplacé.

Article 22. — Chaque année le Conseil nomme parmi ses membr- s on bureau, composé : d’un pré-

Les délibérations sont prises à la majorité absolue des membres pré sents En cas de partage la voix du président est, prépondérante.

Nul ne peut voter par procuration dans le sein du Conseil.

Article 24. — Les délibérations du Conseil sont constatées par des nro- cès- verbaux portés sur un registre spécial e t signés par le président et par le secrétaire qui y ont pris /= n

L e s c o p ie s ou extraits d e s léliD»- rations à produire en jus/me ou ailleurs sont certifiés par le président du Conseil, ou l’un des tice-pré- sidents.

Article 25.— Le Conseil d’Adminis- tration a les pouvoirs les plus éten­dus pour agir au rom de la Société et faire ou autonsir tous les actes et opérations relatif! a son effet.

11 a notamment les pouvoirs sui vants, qui sont smiement indicatifs et non limitai ifs ;

U établit et mit en règlements intérieurs.

U nomme et ré'oque tous agents et employés de laSociété, détermine leurs attributions traitements, sa laires, remises, gratifications et secours.. I* dse les dépeises d’administra­

tion, règle les ajprovisionuements de toutes sortes.

Il touche les sonmes dues à la Société, en donne quittance et paie celles qu’elle doit.

Il souscrit, entbsse, accepte et acquitte tous les efets de commerce.

11 fait dresser les projets de tra­vaux, les appro'iveeten décide l’exé cution à la charge le la Société, sauf s’ils dépassent le montant de tren e mi le francs, auquel cas il devra obtenir l’assentiment de l'Assemblée générale. U fait exécuter ces travaux e i totalité ou en partie et dans l'ordre adopté p a r lui et en règle leiiüïU.

Il statue pour tous traité - et mar­chés rentrant dans l'objet de la So­ciété.

Il fait toutes soumissions adminis­tratives et autres et toutes entre­prises k forfait ou autrement.

U consent et accepte tous baux, contrats d’affermage et toutes entre­prises a forfait ou autrement.

Il consent et accepte tous baux, contrats d’affermage et toutes pro messes de ventes et ce moyennant les prix et conditions qu’il avise, même pour une durée excédant neuf années

Il acquiert, échange ou vend tous immeubles après autorisation de l’assemblée générale, fait tous tra­vaux, toutes constructions, appro priations ou installations.

Il cède ou achète tous biens droits mobiliers aux prix, charges et conditions qu’il détermine.

Il accepte toutes donations et legsIl peut à charge d’en rendre compte

à la plus prochaine assemblée géné­rale, contracter tous emprunts pour les besoins de la Société, consentir toute délégation de transport avt ou sans garantie au profit de tout prêteur sur lès sommes pouvant être dues il la Société, constituer toutes hypothèques et autres garanties sut les biens sociaux. Toutefois l'émis sion d’obligations doit être autorisée par l’assemblée générale, ainsi que tout emprunt au-dessus de cinqua mille francs.

Il détermine le placement et l’em­ploi des fonds disponibles et règl également l’emploi des fonds réserve.

Il autorise tous retraits, transferts et aliénations de fonds, rentes valeurs appartenant à ia Société.

Il donne et autorise tous acquies cements et désistements, ainsi que toutes maimevées d'inscriptions,, saisie, oppositions et autres droits avec ou sans paiement.

Il décide l’exercice de toutes actions judiciaires, tant en deman dant qu’en défendant, il peut provo quer toutes résolutions de ventes tra ite r, composer, oompromettre transiger en tout état de cause

Il arrête les états de situation, les inventaires, le bilan et les comptes qui doivent être soumis à l’assem­blée générale, il statue sur toutes propositions à lui faire et arrête Tordre du jour.

Il gère généralement toutes les affaires et pourvoit à tous les inté­rêts sociaux.

Le président du Conseil d’Afôni nistration représente la Société en justice tant en demandant qu’en dé­fendant, en conséquence c’est à sa requête ou contre lui que doivent être intentées toutes actions judi­ciaires.

le.

annuel dont la quotité est arrêtée i Article 42. — L’Assemblée céné parle Conseil d administration, qui j raie délibérant comme il est du ci-

après et convoquée au moins huit jours à l’avance, peut modifier les statuts, proroger la durée de la Société ou la dissoudre avant le terme fixé et décider sa fusion avec

détermine aussi les autres avantages qui peuvent lui être accordés.

Article 30. — Le directeur repré­sente le Cons ni d’administration vis-

vis des tiers dans la limite des pouvoirs qui lui ont été confiés.

TITRE VI

C o m m iss io n d e s u r v e i l la n c e

Article 31. — Conformément à l’article 32 de la loi du 24 juillet 1867, un ou plusieurs commissaires, membres ou non de la Société, mais pris en dehors du Conseil d’adminis­tration, seront désignés chaque année par l’Assemblée générale. Ils sent rééligibles et peuvent être rétri­bués par décision de l’Assemblée générale

En cas d ’em p êch em en ts de Tu des commissaires, celui ou ceu x qui restent peuvent procéder seuls.

Le ou les commissaires ont droit, à toute époque i t toutes les fois qu’ils le jagent convenable dans l’intérêt social de prendre communi­cation des livres et d’examiner les opérations de la Société.

Ils peuvent toujours en cas d’ur­gence convoquer l’Assemblée géné­rale.

TITRE VII

Assem blée gén éra leArticle 32. — L’Assemblée

raie régulièrement constituée, repré­sente l’universalité des sociétaires Ses décisions sont obligatoires pour io u s , même pour tous les absents dissidents ou incapables.

L’Assemblée générale se compose de tous les sociétaires à jour de leurs versements.

Les convocations sont faites par une lettre adressée a chaque socié

une autre société. Elle ne peut toute­fois changer la nationalité de la So­ciété, ni augmenter les engagements des sociétaires, ni porter atteinte aux dispositions fondamentales énumé­rées à l’article 60 oi-après.

Dans les assemblées générales qui ont à délibérer sur les modifica­tions aux statuts, tout sociétaire quel que soit le nombre de parts dont il est propriétaire peut prendre part aux délibérations avec un nombre de voix égal aux parts qu’il possède sans limitation.

Les assemblées qui ont t> délibé­rer sur les modificaiions louchant à lobjel ou à ta lorme de la Société, ne sont régulièrement eonstiiuées et ne délibèrent valablement qu’autant qu’elles sont composées d’un nombre de sociétaires représentant les trois quarts au moins du capital social. Les résolutions pour être valables, doivent réunir les deux tiers au moins des voix des sociétaires pré­sents ou représemés.

Dans tous les autres cas que ceux prévus par le précédent paragraphe, si une première assemblée ne rem­plit pas les conditions ci-dessus fi xées, une nouvelle assemblée peut être convoquée dans les formes sta tutaires et par deux insertions à quinze jours d’intervalle dans le bul­letin annexe du Journal Officiel et dans un Journal d’annonces légales du lieu ou la Société est établie. Cette convocation reproduit Tordre du jour en indiquant la date et le résultat de la précédente assemblée. La seconde assemblée délibère vala­blement si elle se compose d’un nombre de sociétaires représentant la moitié au moins du capital social. Si cette seconde assemblée ne réunit

.. a _______taire ou par insertion dans un jour­nal d’annonces légales de l’arrondis- ____________sement de Senlis. sous réserve d la Pas la moitié du capital, il peut être forme exigée pour certaines Assem- convoqué, dans les formes ci-dessus, blées prévues à l’article 42 ci-après, une troisième assemb ée. qui délibère

Article 26. — Les fonctions de membre du Conseil d’administration sont gratuites. Les membres du Conseil d’administration auront seu­lement droit au remboursement de leurs débours.

Article 27. — Le Conseil peut dé­léguer ses pouvoirs à un Comité de direction, composé de trois mem­bres.

Si besoin est, le Conseil nommera, en outre, un directeur qui pourra être une personne étrangère à la Société et qui exercera ses fonctions sous le contrôle du Conseil d’admi­nistration.

Le Comité de direction ou à son défaut, le bureau du Conseil est chargé, par délégation du Conseil d’administration, de la gestion de la Société et de son bon fonctionnement, il doit veiller à l’exécution intégrale des statuts et approuver, après véri­fication, toutes les opérations qui auront été faites, il se réunit une fois par mois sur convocation de son président et toutes les fois que le président ou deux de ses membres le jugent nécessaire.

L’avis de convocation relate Tordre du jour.

L Assemblée générale doit être convoquée dans les déiais prescrits;, s u iv a n t les d i f fé r e n te s c a t é g o r i e »I a s s e m b lé e s , par les a r t i c l e s 39 , 40. 41 et 42 ci-aptôs.

Article 33. — E tc ...Article 35. — Nul ne peut repré

senter un sociétaire à l’Assemblée générale s’il n’est lui même mem bre de la Société. Exception e t faite pour les personnes morales et pour les incapables, dont le délégué ou le mandataire peut n’être pas associé.

Article 36. — Les délibérations sont prises à la majorité relative des voix des membres présents ou repré sentés,-sauf dans les cas visés l’article 42. Eu cas de partage égal des voix, celle du Président est pré pondérante.

Chaque membre n’a droit qu’à une voix quelque soit le nombre de parts qu’il possède, sauf ce qui est prévu à l’article 42, deuxième alinéa, pour les assemblées générales appelées a modifier les statuts.

L’associé mandataire dispose en outre de sa voix personnelle, d’une voix par sociétaire qu’il représente mais il ne peut avoir plus de vingl cinq voix, la sienne comprise, quand Tetlectif de la Société ne dépasse pas mille membres, ni plus de cinquante voix, la sienne compriseq u a n d le n o m b r e d e s s o c i é t a i r e s es tsupérieure à mille sauf ce qui est prévu à l’article 42.

Article 37. — Il est tenu une feuille de présence, elle contient les

oms et domiciles des associés et le nombre de parts dont chacun d’eux est propriétaire. Cette feuille certifiée par le bureau do l’assemblée est déposée au siège social et doit être commtmiquée à tout requérant

Les délibérations de l’assemblée générale sont constatées par des procès-verbaux inscrits sur un re gistre spécial et signés par les mem bres du bureau.

Les copies ou extraits de ces déli bérations à produire en justice ou ailleurs sont signés par deux mem bres du Conseil d’administration.

Article 38. — L’assemblée géné­rale est ordinaire, extraordinaire ou modifleative des statuts.

Article 39. — L’assemblée gé­nérale ordinaire est convoquée une fois par an, avant le 1 " février, dans le premier trimestre qui suit t’inven taire, aux lieu, jour et heure dési­gnés par le Conseil d’administration dans l’avis de convocation.

Cette convocation doit être faite au moins vingt jours avant la réunion.

L’assemblée générale annuelle entend le rapport dss commissaires sur la situation de la Société, sur le bilan et sur les comptes présentés par les administrateurs ; elle discute et, s’il y a lieu, approuve les comptes ; elle fixe le montant de la ristourne à répartir entre les socié­taires et la valeur des parts d’après l’inventaire.

La délibération contenant appro­bation du bilan et des comptes est nulle si elle n’a été précédée du rap­port du ou des commissaires.

L’Assemblée générale nomme les administrateurs à remplacer et les commissaires chargés de la surveil­lance pour l’exercice suivant.

Sur la proposition du Conseil d’ad­ministration elle décide, s’il y a lieu, d’augmenter le capital social, elle constate les augmentations et dimi­nutions du capital effectuées.

E le délibère sur toutes les autres propositions portées à Tordre du jour.

Enfin elle prononce souverainement sur tous les intérêts de la Société. Elle confère au Conseil d’administra­tion les autorisations nécessaires ^our tous les cas où les pouvoirs ui attribués seraient insuffisants.

Article 40. —• L’Assemblée géné­rale extraordinaire est celle qui est convoquée en dehors de l’assemblée annuelle, soit par le Conseil d’admi­nistration, chaque fois qu’il juge utile de prendre Lavis des associés

valablement si elle se compose d’un nombre de sociétaires représentant le tiers du capiial social. Dans toutes ces assembiees les résolutions pour être valables devront réunir les deux t i e r s d e s voix d e s s o c i é t a i r e s pré­sents ou repré entés.

TITRE VIII f t a t d e S itu a t io n I n v e n ta ir e

Article 43. — LVxereice commen­ce le 1er janvier et finit le 31 décem­bre, par exception le premier exerci­ce comprend le temps écoulé entre la constitulion définitive de la So­ciété et le 31 décembre 1922.

L’intérêt à servir aux propriétaires de parts, ne co nmence à courir qu’à partir au l ' T janvier ou du l 'f avril ou du 1« juillet ou du i " ociobr 1922.

TITRE IXR é p a r t it io n

d e s e x c é d e n t s a n n u e lsArticle 45. — Si lors de l’inven­

taire annuel, déduction faite des charges, amortissements de toute nature et frais généraux, il existe un excédent de recettes, il est prélevé, sur cet excédent :

D’abord 5 0/0 pour constituer la réserve légale ;

Ensuite une somme suffisante pour payer aux propriitsires de parts un intérêt fixé conformément à l’article 10.

Si la Société est débitrice d une ou de plus ur- avances à elles consen­ties par l'Office Naiional du Crédii Agricole représentant l’Etat, l’excé­dent de recettes après le double prélèvement susvisé, sera intégrale­ment affecté au remboursement anti­cipé desdites avances, il sera ouvert à cet effet un compte dénommé « Réserve Spéciale » (article 19 du décret du 9 février 1921).

Lorsque les avances auront été complètement remboursées, l’excé­dent annuel, après prélèvement pour la réserve légale et l’intérêt du capi tal, sera versé :

Dans la proportion de 10 0/0 à une réserve supplémentaire.

Et de 40 0/o à un compte appelé « Fonds collectif de développe ments. »

Le surplus sera laissé à la disposi­tion de l’Assemblée générale qui décidera, sur la proposition du Con­seil d’administration, s’il sera égale­ment affecté en totalité ou en partie au fonds collectif de développement ou employé k parer à toutes éventua­lités ou a effectuer certains amortis­sements ou réparti entre les socié­taires, cette répartition ne pouvant être effectuée qu’à titre de ristourne proportionnellement aux opérations effectuées par eux avec la Société.

Article 46. — En cas d’insuffisance pour le paiement de l’intérêt aux propriétaires de parts, le complé­ment sera pris sur les fonds de réserve supplémentaire.

Dans le cas où l’inventaire revèle rait des pertes, le montant de ces pertes serait prélevé d’abord sur le fonds de réserve supplémentaire, puis sur le fonds collectif de déve oppement, en cas d’insuffisance sur

les produits disponibles des exerci­ces suivants et avant le prélèvement des intérêts du cap tal social.

Article 47. — Etc...

pouvoirs de l’assemblée générale se

S h t e S T ' pe"llan' ‘'e" reicoR,J.0Utî Sr leAS valeurs do la Société sont réalisées par les liquidateursnh!o°at, ,iC6t effet les Pouvoirs les HoHûr c ? ’ après Paiement desdettes sociales et remboursement duRffai.z’ x Surplus f)e l’actif est affecté à. une institution d’intérêtfffnZrif SUP éci8ion de l’assemblée générale approuvée par le ministre de 1 Agriculture et, à défaut de cotte décision, désignée par le ministre après avis de l’Office National du Crédit agricole, le tout dans les conditions déterminées pour les Caisses de Crédit agricole mutuel par 1 article 20 de la loi du 5 août 1920 et l’article 5 au décret du 9 février 1921

En aucun cas cet actif ne pourra être réparti entre les sociétaires.

TITRE XII

TITRE XF o n d s d e r é s e r v e

e t d e d é v e lo p p e m e n tsArticle 49. — Lorsque le fonds de

A rt ic le 28 IT*r « Cnn-Pii ri’ns* ft'd ’obienir un complément d ê poavofr^ Article 28 . Le Con.,eU d adrni- ou lorsqu’elle lui est dem anüée pour

des motifs bien déterminés par le quart au moins des associés, soit d’urgence par le ou les commissaires de surveillance.

Le délai de convocation pour cette assemblée est réduit à huit jours.

Article 41. — L’Assemblée générale délibère valablement dans tous les cas autres que ceux prévus à l’article 42. lorsqu’elle est composée d’un nombre de sociétaire représentant le quart au moins du capital alors existant.

Si cette condition n’est pas remplie, il est fait une nouvelle convocation c o n f o r m é m e n t â l’article 3 2 , huit jours a l’avance, et la délibération qui n e peut porter que sur les objets

nistration peut en outre conférer des pouvoirs à telle personne que bon lui semble, par mandat spécial et pour un ou plusieurs objets déter" minés, avec faculté dè substituer.

Le Conseil fixe s’il y a lieu la ré­munération de ses délégués.

TITRE V

D ir e c t io nArticle 2 9 . — Le Comité de dire

tion et sous son autorité, le direc­teur, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’execution des dé­cisions du Conseil d'administration et de la gestion des affaires les. socia-

placéLe personnel salarié est sous les ordres du directeur.

Le directeur reçoit un traitement

réserve légal aura atteint le dixième du capital social initial ou augmenté, le prélèvement affecté à ce fonds cesse de lui profiter et sera versé au compte de réserve supplémentaire.

Lorsque la réeerve supplémentaire aura atteint le quart du capital initial ou augmenté, le prélèvement affecté à sa constitution cesse de lui profiter et sera versé au fonds collectif de de développement.

En aucun cas, les réserves, quelle que soit la dénomination ni le fonds collectif de développement, ne pour­ront être répartis entre les socié­taires.

TITRE XI D is s o lu t io n . — L iq u id a t io n

TITRE XIII D is p o s it io n s g é n é r a le s

Article 54. — La Société est enga­gée sur l’ensemble de ses biens au remboursement des avances qu’elle reço t de l’Office National du Crédit agricole, réprésentantl Etat. en appli­cation de la loi du 5 août 1920.

Les sociétaires s’engagent solidai­rement pour garantir le rembourse m ‘nt de toute avance qui pourra être ainsi attribué à la Société.

Il est rappelé d’autre part que l’ar- ticlê 29 de la loi du 5 août 1920, confère à l’Etat, représenté par l’Of­fice National du Crédit agricole, un privi ège pour toutes les sommes qui lui seraient dues à raison des avances consenties sur chacune des parts constituant le capital de la Société.

L’amortissement de ces avances se fera co iformément aux instructions données par 1 Office National .du Gré dû agricole.

Toutefois cette responsabilité soli­daire ne s’applique pas aux com munes et établissements publics qui, en vertu de l’article 12 peuvent faire partie de la Société. Ces communes et établissements ne sont respon­sables vis-à-vis de l’Office National du rédit agricole que du montant des p a rts qu ’e lle s on t so u scrites .

Article 55. — La Société doit se soumettre aux opérations le contrôlé et de surveillance ordonnées, soit par le Ministre de l’Agriculture, soit par l’Office Naiional du Crédit agricole ou par la Cais e régionale de Crédit agricole mutuel, qui aura présenté la dema ide d’avance à long terme formeé par la Société.

Elle doit faire approuver son règle­ment intérieur par l’Office National du Crédit agricole.

Article 56. — La comptabilité doit être tenue conlormément aux pres­criptions du code de commerce et aux instructions de l’Office National du Crédit agricole.

Article 57. — Les modifications aux statuts ou la dissolution de la Société ne pourront être considérées comme acquises que lorsque l’Office National du Crédit Agricole aura notifié qu’il n’y fait pas d’objections à raison des conditions dans lesquel­les l’avance a été consentie.

Article 58. — Dans le cas où la Société n’aurait pas observé les con­ditions d’attributions de l’avance con­sentie par ,’Offiee National du Crédit agricole, le remboursement de cette avance deviendrait immédiatemente x ig ib l e . E u o u t r e , l a S o c ié té s e r atenue de verser à l’Office National du Crédit agricole la différence entre Fin érêt réduit à 2 0/0 et un in érêt de 6 0/0 calculé de ta date de l’en­caissement de l’avance à celle de son remboursement.

Les dispositions du paragraphe précédent seraient applicables, no­tamment au cas où la Société vien­drait à céder ses installations à un industriel, à un commerçant ou une société d’actionnaires.

Article 59. — Les dispositions dés articles 54, 55, 56, 57 et 58 ci-des­sus. ne seront obligatoires pour la Société qu’autant que celle-ci aura obtenu une avance dans les condi- lions prescrites par la loi du 5 août 1920.

Article 60. — Sont considérées comme fondamentales et par suite ne pourront être modifiées, les dis­positions des présents statuts dési­gnées ci-après, qui forment la base et la raison d’être de la Société.

Article 3 (dernier alinéa) caractère de société d’intérêt collectif agricole régie par la loi du 5 août 1920 et les lois subséquentes en la matière.

Article 10 (avant dernier alinéa) interdiction d’attribuer des dividen­des au capital.

Article 36 (deuxième alinéa) une seule voix par sociétaire pour son compte personnel.

A l’article 45, le principe de la ristourne proportionnelle en cas de répartition d’excédent entre les sociétaires.

Article 49 (dernier alinéa) inter­diction de partager entre les socié­taires les fonds de réserve et de développement.

Article 51 (deux derniers alinéas) attribution de l’actif en cas de disso-1 lution.

9" M. Joseph IIOBIGAND, agricul­teur à Blaincourt-les-Précy.. 10* M; yictor LAURENT, «gricul- teur à Blamcourt-tes-Précy.

11 M Paul LELEU fils, agricul­teur à Blaincourt-les-Précy.

12° M. Eçiile DUBIN, agriculteur a Blaincourt-les-Précy.

Elle a nommé pour commissaires :.1* M. Georges COUTURE, indus­

triel à Précy-sur-Oise., .?! Adolphe VAYER, propriétaire à Blaincourt-les-Précy.. *M,vEugène YOGOURT, indus­triel à Villers-sous-Saint-Leu.

Les administrateurs et les commis­saires ont déclaré accepter leurs fonctions.

En conséquence, la Société s’est trouvée définitivement constituée le 28 avril 1922 date de cette assemblée.

- IV -Une expédition de l’acte de

Société de la déclaration des fondateurs, ensemble de la liste des actionnaires qui y est jointe et de la délibération, a été déposée le 12 mai 1922, à chacun des Greffes du Tribunal de Commerce de Senüs et de la Justice de Paix de Creil.

3563Pour extrait :

LACROIX.

tri. 10

R o b e r t DEUGNIER

Négociations Industrielles Immobilières et Commerciales

21, rsa de Gonstantiitople, PARIS (8") Téléphone W nyram 23-03

DEUXIÈME INSERTION

Suivant conventions verbales à réaliser par acte s. s. p., le 7 j u i n 1922.

Monsieur et Madame Georges BER­TRAND, demeurant à Coye (Oise), 11, rue Blanche.

Ont vendu l e f o n d s d e c o m -m e r c o d e v in s e t liq u e u r sq u ’üs ex p lo iten t à l’a d re sse c i-d essu s.

A Monsieur et Madame MOUGEOT, demeurant â Viarmes, 106, rue de Paris, et cédé le droit au bail des lieux ou s’exploite ledit fonds.

L’entrée en jouissance est fixée au sept juin mil neuf cent vingt, deux.

Pour les oppositions dans les dix jours de la présente insertion, chez M“ GUETIN, huissier à Chantilly (Oise), ou au cabinet du soussigné. 3544 R. DEUGNIER.

Akt. 11.

VENTE & ACHATDE

Fonds de BoulangerieCabinet fondé en 1898

R u e d e s B o u r d o n n a is , 8 8 à P A R IS

Téléphone : Central 92-57

BoDloiie, Garry et TaulierMembres du Syndicat professionnel

des Courtiers en Fonds de Boulangerie

du département de la Seine

DEUXIEME PUBLICATION

Suivant acte s. s. p., en date à Chantilly (Oise), du 4 mai 1922.

Madame Berthe CHAMBON, bou­langère, demeurant à Chantilly (Oise), rue de Paris, n° 6, veuve de Mon­sieur Germain SENECHAL.

A vendu s o n f o n d s d e b o u ­la n g e r ie , sis à Chantilly, rue de Paris, n ' 6, et cédé le droit au bail des lieux où est exploité le dit fonds.

A Monsieur Georges CHAVIGNY et Madame Adrienne LAPLACE, son épouse, demeurant ensemble à Pom- poane (Seine-et-Marne).

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues au domicile de M. CHAVIGNY, acquéreur, où domicile est élu, dans les dix jours de la présente publi­cation.

BONHOMME, GARRY & TOULIER.3545

Etudes de Me G e o r g e s M O RAND, avoué à Senlis,

M* L u c ie n CH ASTAING , avoué à Senlis,

M» L o u is B A R B IE R , notaire à Creil,

M» M a r c e l VID Y, notaire à Chantilly.

«ENTE SDK LICITATIONDE

IISuivant autre acte passé devant

ledit M« Lacroix, le 28 avril 1922, enregistré, les fondateurs de cette Société anonyme, ont déclaré que les 1500 parts avaient été intégralement souscrites, et qu’il a été versé par chaque souscripteur une somme égale au quart du montant des parts par lui souscrites et ils ont représenté, à l’appui de cette déclaration, un état contenant les noms, prénoms, qua­lités et domiciles des souscripteurs, le nombre des actions souscrites et| l’état des versements effectués. Cette pièce certifiée véritable, est demeurée annexée audit acte.

- III -Aux termes d’une délibération de I

l’Assemblée générale des action­naires, en date du 28 avril 1922, dont une copie conforme a été déposée à M* LACROIX, suivant acte reçu par lui, le 4 mai 1922, enregistré, l’As-1

à usage de com m erce s i s e à C H A N T IL L Y

rue de Paris, n° 1

Une M aisonsise à CHANTILLY

rue de Gouvieux, n* 20

sise à CHANTILLYrue Saint-Laurent, n° 6

EN 3 LOTS

Article 50. — En cas de perte des semblée à nommé, pour composer le trois quarts du capital social, les Conseil d’administration : administrateurs sont tenus de pro-1 1“ M. Louis CQERDEROY, indus-voquer la réunion de l’assemblée l triel à Précy-sur-Oise. générale de tous les sociétaires à j 2° M. Georges BERNIER, agricul-

’ teur à Précy-sur-Oise.3° M. André BI.ONDEL,

à l’ordre du jour de la première réu­nion est valable quel que soit le nombre des membres présents et la portion du capital représentée.

l’effet de statuer sur la question de savoir s’il y a lieu de prononcer la dissolution de la société

La résolution de l’assemblée est, dans tous les cas, rendue publique.

Article 51. — A l’expiration de la Société ou en cas de dissolution anticipée pour quelque cause que ce soit, l’assemblée générale extraor­dinairement convoquée règle le mode de liquidation, elle nomme un ou plusieurs liquidateurs ou confie

pro­

liquidation aux administrateurs en exercice. Pendant la liquidation, les

entrepre­neur à Précy-sur-Oise.

4° M. Henri ELUIS, cafetier à | Précy-sur-Oise.

5° M. Paul BACHEVILLIER, priétaire â Précy-sur-Oise.

j 6° M. Georges TROENDLÉ, direc-1 i teur d’usine à Montataire.! 7* M. René BERSON, agriculteur à

la j ViLers-sous-Saint-Leu.M. Ferdinand MAHIEUX, pro-

priétaire à, Viliers-sous-Saint-Leu.

L’adjudication aura lieu le SAM EDI 1 0 JUIIY 1 9 2 2 , à quatorze heures, en l’Etude et par le minis­tère de M’ VIDY, notaire à Chan­tilly, commis à cet effet, en pré­sence de M* BARBIER, notaire à Creil.

S ’adresser p o u r les renseigne­m en ts :

A M' G e o r g e s M oran d , avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M‘ L u c ie n C h a s ta in g , avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M' L o u is B a r b ie r , notaire à Creil ;

Et à M' M a r c e l V id y , notaire à Chantilly, rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Etude de M" F é l ix L o u â t , notaire à Senlis (Oise),

A vendre à l’amiable

U N E M A T S O Nd’Habitation

S i s e à S e n t is , rue du Four, n* i