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Direction des systèmes d’information Retraite complémentaire16-18 rue Jules César - 75592 Paris Cedex 12

Tél. : 01 71 72 12 00 - www.agirc-arrco.frwww.agirc-arrco.fr/qui-sommes-nous/projets-informatiques

Modèle de coûts

informatiques RC

Collection les Essentiels

Comprendre et piloter

les coûtsinformatiques

de la Retraite complémentaire

Le modèle d’analyse

Développement des mutualisations Agirc-Arrco

Réduction du poids de l’informatique dans la gestion

Optimiser

Benchmarking interne Agirc-Arrco et externe

Regard entre le prévisionnel et le réalisé

Comparer

Présentation homogène des coûts informatiques

Langage unique et commun

Comprendre

Les avantages du nouveau modèle :

Une communication facilitée entre :

Les administrateurs des institutions et les fédérations

Les opérationnels et les financiers

Les documents indispensablesInstruction n° 2011-119 DSI-RC du 26/10/2011 « Déploiement du modèle de coûts informatiques Retraite Complémentaire ».

Instruction n° 2011-150 DSI-RC du 30/12/2011 « Transmission des dépenses informatiques prévisionnelles sous le modèle d’analyse Agirc-Arrco ».

Instruction n° 2012-48 DSI-RC du 21/03/2012 « Coûts informatiques 2011 ».

Instruction n° 2012-115 DSI-RC du 24/08/2012 « Déploiement du modèle de coûts informatiques RC - macro planning et accompagnement ».

Déjà paru dans la collection :• Vers la Retraite 4 G+Le schéma directeurde l’informatique RC

• Le Data Center Agirc-Arrco

En application de la résolution n° 6, approuvée par les instances en décembre 2010 sur la maîtrise des coûts de gestion, ce modèle d’analyse a pour objectif de connaître les coûts informatiques prévisionnels Agirc-Arrco et de comprendre et analyser les services rendus par l’informatique. Il constitue une base de travail pour dégager les axes de réduction des coûts informatiques et affecter les ressources nécessaires au SI-RC.

PersonnelPersonnelPersonnel FormationFormationFormationPrestationsPrestationsPrestationsPrestationsPrestations

externesProductionProductionProductionProduction

immobiliséeimmobiliséeimmobiliséeimmobiliséeMatérielsMatérielsMatériels

informatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesLogiciels

informatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesinformatiquesTélécom

Fraisstructure

AcquisitionAcquisitionAcquisition BureautiqueBureautiqueBureautiqueBureautiqueBureautique HébergementHébergementHébergementHébergementHébergementHébergementHébergementHébergement ExploitationExploitationExploitationExploitation Sécurité SupportMaintenanceMaintenanceMaintenanceMaintenanceMaintenanceMaintenance

corrective

AutresEtude,

conceptionconceptionconception

BureautiqueBureautiqueBureautiqueBureautiqueBureautiqueBureautiqueMiseMiseMiseMiseMise

à dispositionà dispositionà dispositionà dispositionà dispositionà disposition

des Servicesdes Servicesdes Servicesdes Services

Run

ProjetsProjetsProjets

TechniquesTechniquesTechniquesProjetsProjetsProjetsMétiers

Build

LES DIFFÉRENTS POSTES DE COÛTS DE LA DSI

VENTILATION

Critères de répartition

(ex : consommation

ordinateur, surfaces

utilisées…)

FACTURATION

Unité d'œuvre

(Volumes

métiers, nombre

d’utilisateurs,

nombre PC…)

LES 4 FAMILLES DE SERVICES

FACTURATION AUX GROUPES PARITAIRESDE PROTECTION SOCIALE

AFFECTATION

Clés de répartition(ex : compte-rendu

d’activité)

Ressources =

LES TÂCHES OPÉRATIONNELLES DE LA DSIActivités =

Le choix du modèleLa mise en place d’un modèle économique SI doit s’appuyer sur une méthode éprouvée et un référentiel reconnu de la profession informatique.

S’est construit avec les contrôleurs de gestion des groupes et des plates-formes informatiques et est opérationnel depuis 2010.

S’articule sur des données à la fois financières et techniques et constitue un outil de communication et de gestion partagé.

Doit faire l’objet d’un déploiement dans l’ensemble des DSI (groupes et plates-formes). En effet, l’efficacité du modèle est maximale si les outils (contrôle de gestion, suivi de l’activité, achats, immobilisations…) sont alignés, évitant ainsi des manipulations successives.

Pourquoi un modèle de coûts informatiques ?

Le pilotage de la performance d’une DSI se fonde sur une bonne connaissance des coûts des services délivrés par l’informatique ainsi que des activités (tâches opérationnelles) nécessaires à la fourniture de ces services.

Il nécessite de disposer d’une déclinaison des coûts informatiques selon deux visions complémentaires qui permettent de se poser des questions « simples » :

• Le coût des activités : ce que je fais coûte-t-il trop cher ?

• Le coût des services : ce que je fais est-il utile pour mes clients et à un prix acceptable pour eux ?

Cela permet également de refacturer les coûts des services de façon claire et transparente.

Le montant des coûts informatiques retraite complémentaire, qui représente en 2011, 485 millions d’euros sur un total de 1 777 millions d’euros de charges de gestion administrative, nécessite un pilotage au plus près.

La méthode ABC

Elle construit un lien de causalitéentre les postes de dépenses et les services, en complément de la comptabilité analytique classique qui fonctionne par destination(service comptable, serviceproduction, service achats…) et de la comptabilité générale par nature (approche fiscale). Elle permet de disposer d’une vision des coûts déclinée à trois niveaux.

Des services (ce qui est délivré) s’appuient sur des activités (quotidien opérationnel des équipes), qui elles-mêmes, consomment des ressources(ce qui est dépensé pour faire).

Le référentiel CIGREF

Le Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises (CIGREF) a mis en place un modèle d’activités génériques structurées en processus, adapté à tout type de DSI, indépendamment de son organisation.

Le modèle d’analyse des coûts informatiques Retraite Complémentaire

Avoir adapté la méthode analytique du Cigref aux spécificités de la retraite complémentaire permet désormais d’évaluer et d’analyserles coûts informatiques mis en œuvre pour la gestion des régimes, selon des modalités normalisées et un cadre homogène entre tous les GIE et entités de moyens informatiques. C’est l’utilisation de la notion du coût d’un service rendu par l’informatique qui constitue un des apports significatifs du modèle.

Bureautique 34 7Mise à disposition de services 228 47Projets métiers 192 40Projets techniques 31 6Total 485 100

Famille de services en millions d’euros en %

Les 4 familles de services

Bureautique : concerne la mise à disposition des équipements à destination des utilisateurs (dans leur environnement proche «  physiquement »).

• Postes de travail, imprimantes, postes téléphoniques.

Mise à disposition des services : concerne la mise à disposition récurrente des services ( logiciels applicatifs) nécessitant des ressources de l’informatique.

Ces deux familles de services constituent ce que l’on appelle le « Run ».

Projets techniques : concerne les projets dont le demandeur est la DSI elle-même, visant à pallier l’obsolescence du SI

• Projets d’infrastructure, projet technique de refonte d’une application sans évolution fonctionnelle, etc.

Projets métiers : concerne tous les projets dont la maîtrise d’ouvrage est située dans les directions métiers de la retraite complémentaire.

Ces deux familles de services constituent ce que l’on appelle le « Build ».

En 2011, et par rapport au total de 485 millions d’euros, le poids relatif des familles est le suivant :