Maud Vandekerchove Contrôle des modèles de prime pure et ...
LES CANCERS CUTANES CRETON Maud CERATI Frédéric JDV Dijon 2005 CRETON Maud CERATI Frédéric JDV...
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LES CANCERS LES CANCERS CUTANESCUTANES
CRETON MaudCERATI Frédéric
JDV Dijon 2005
INTRODUCTIONINTRODUCTION 280 000 cas de cancer par an 4 à 8,5 % seraient d’origine professionnelle Représentent 4 % des MP déclarées Carcinomes cutanés déclarés rares
3 types histologiques d’épithélioma cutanés :Carcinome spinocellulaireCarcinome basocellulaireMélanome
Succède le plus souvent à des lésions dermatologiques de contact remaniés au fil des ans
Caractère commun : long délai d’apparition (> 20 ans)
280 000 cas de cancer par an 4 à 8,5 % seraient d’origine professionnelle Représentent 4 % des MP déclarées Carcinomes cutanés déclarés rares
3 types histologiques d’épithélioma cutanés :Carcinome spinocellulaireCarcinome basocellulaireMélanome
Succède le plus souvent à des lésions dermatologiques de contact remaniés au fil des ans
Caractère commun : long délai d’apparition (> 20 ans)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (1)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (1)
Egalement appelé Carcinome Epidermoïde (CE) car il provient de la prolifération des cellules de la couche de Malpighi
Localisations principales : Zones photoexposées Zones exposées à l’agent causal professionnel Scrotum Muqueuses et semi-muqueuses
Age de découverte: > 60 ans dans la population générale Parfois plus tôt en cas d’exposition professionnelle (délai de
latence important)
Egalement appelé Carcinome Epidermoïde (CE) car il provient de la prolifération des cellules de la couche de Malpighi
Localisations principales : Zones photoexposées Zones exposées à l’agent causal professionnel Scrotum Muqueuses et semi-muqueuses
Age de découverte: > 60 ans dans la population générale Parfois plus tôt en cas d’exposition professionnelle (délai de
latence important)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (2)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (2)
Description (1): il s’agit typiquement d’une lésion croûteuse, brune jaunâtre, indurée, avec ulcération
centrale.
Description (1): il s’agit typiquement d’une lésion croûteuse, brune jaunâtre, indurée, avec ulcération
centrale.
CE ulcéré
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (3)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (3)
Description (2): La Maladie de BOWEN = dyskératose lenticulaire en disque
Correspond au stade de Carcinome In Situ du CE
Ne franchit JAMAIS la lame basale de l’épiderme
Elle se présente sous la forme d’une macule érythémateuse rosée ou brune, bien limitée, de caractère fixe, se situant au niveau de la peau glabre et des muqueuses
Description (2): La Maladie de BOWEN = dyskératose lenticulaire en disque
Correspond au stade de Carcinome In Situ du CE
Ne franchit JAMAIS la lame basale de l’épiderme
Elle se présente sous la forme d’une macule érythémateuse rosée ou brune, bien limitée, de caractère fixe, se situant au niveau de la peau glabre et des muqueuses
Maladie de Bowen de la jambeMaladie de Bowen
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (4)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (4)
Le CE survient le plus souvent sur une lésion chronique précancéreuse :
Les kératoses UV-induites comme la kératose actinique
Les radiodermitesLes brûluresLes plaies chroniquesLe lichen scléreux génital, le lichen érosif buccalCertaines lésions virales muqueuses liées à HPV
Le CE survient le plus souvent sur une lésion chronique précancéreuse :
Les kératoses UV-induites comme la kératose actinique
Les radiodermitesLes brûluresLes plaies chroniquesLe lichen scléreux génital, le lichen érosif buccalCertaines lésions virales muqueuses liées à HPV
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (5)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (5)
Les Radiodermites
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (6)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (6)
Les kératoses
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (7)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (7)
Le lichen érosif buccal non dégénéré
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (8)
CLINIQUE : LE CARCINOME SPINOCELLULAIRE (8)
Evolution : Locale dans un premier temps :
envahissement de proche en proche
Dissémination au bout de quelques mois/années :Voie hématogène : métastases viscéralesVoie lymphatique : métastases
ganglionnairesVoie nerveuses : envahissement régional
Evolution : Locale dans un premier temps :
envahissement de proche en proche
Dissémination au bout de quelques mois/années :Voie hématogène : métastases viscéralesVoie lymphatique : métastases
ganglionnairesVoie nerveuses : envahissement régional
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (1)
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (1)
Développé à partir de la couche de cellules germinatives de l’épiderme
Localisations principales : Zones photoexposées Zones exposées à l’agent causal professionnel Lésions palmo-plantaires et muqueuses RARES
Age de découverte : Pic de fréquence entre 45 et 60 ans dans la population
générale Parfois plus tôt en cas d’exposition professionnel (délai de
latence important)
Développé à partir de la couche de cellules germinatives de l’épiderme
Localisations principales : Zones photoexposées Zones exposées à l’agent causal professionnel Lésions palmo-plantaires et muqueuses RARES
Age de découverte : Pic de fréquence entre 45 et 60 ans dans la population
générale Parfois plus tôt en cas d’exposition professionnel (délai de
latence important)
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (2)
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (2)
Description : classiquement appelé « perle perle épithéliomateuse épithéliomateuse », le carcinome basocellulaire se présente sous l’aspect d’une lésion perlée, à type de papule arrondie translucide recouverte de télangiectasies
Description : classiquement appelé « perle perle épithéliomateuse épithéliomateuse », le carcinome basocellulaire se présente sous l’aspect d’une lésion perlée, à type de papule arrondie translucide recouverte de télangiectasies
CBC
Kératose actinique
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (3)
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (3)
Formes cliniques :
CBC nodulaireCBC sclérodermiformeCBC superficiel ou pagétoïdeCBC pigmenté ou tatouéCBC ulcéréUlcus Rodens
Formes cliniques :
CBC nodulaireCBC sclérodermiformeCBC superficiel ou pagétoïdeCBC pigmenté ou tatouéCBC ulcéréUlcus Rodens
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (4)
CLINIQUE : LE CARCINOME BASOCELLULAIRE (4)
Evolution :
Potentiel invasif local important, mais lent, pouvant aboutir à un Ulcus Rodens
Pas de dissémination sanguine, lymphatique ou nerveuse --> JAMAIS DE METASTASES
Séquelles fonctionnelles et/ou esthétiques importantes après ttt
Evolution :
Potentiel invasif local important, mais lent, pouvant aboutir à un Ulcus Rodens
Pas de dissémination sanguine, lymphatique ou nerveuse --> JAMAIS DE METASTASES
Séquelles fonctionnelles et/ou esthétiques importantes après ttt
CLINIQUE : LE MELANOME (1)
CLINIQUE : LE MELANOME (1)
Tumeur développée aux dépens des mélanocytes (cellules dendritiques de l’épiderme produisant la mélanine)
Difficulté de diagnostic différentiel entre un mélanome et un naevus (naevocytes)
Tumeur développée aux dépens des mélanocytes (cellules dendritiques de l’épiderme produisant la mélanine)
Difficulté de diagnostic différentiel entre un mélanome et un naevus (naevocytes)
CLINIQUE : LE MELANOME (2)
CLINIQUE : LE MELANOME (2)
Analyse morphologique de la lésion, selon la règle de l’ABCDaire :
A = AsymétrieB = Bords irrégulierC = Couleurs hétérogènesD = Diamètre > 6 mm ou ayant
augmenté récemmentE = Evolution récente, extension
Analyse morphologique de la lésion, selon la règle de l’ABCDaire :
A = AsymétrieB = Bords irrégulierC = Couleurs hétérogènesD = Diamètre > 6 mm ou ayant
augmenté récemmentE = Evolution récente, extension
CLINIQUE : LE MELANOME (3)
CLINIQUE : LE MELANOME (3)
Formes cliniques :
Mélanome superficiel extensif (60 à 70 %)
Mélanome nodulaire (10 à 20 %)Mélanome lentigineux :
Mélanome Acral (2 à 10 %)Mélanose de Dubreuihl (5 à 10 %)Mélanome des muqueuses (diagnostic difficile)
Formes cliniques :
Mélanome superficiel extensif (60 à 70 %)
Mélanome nodulaire (10 à 20 %)Mélanome lentigineux :
Mélanome Acral (2 à 10 %)Mélanose de Dubreuihl (5 à 10 %)Mélanome des muqueuses (diagnostic difficile)
CLINIQUE : LE MELANOME (4)
CLINIQUE : LE MELANOME (4)
• Evolution : sauf au stade de mélanome in situ (intra-épidermique), le patient atteint de mélanome est exposé au risque de récidive, de métastases locales ou régionales et de métastases viscérales. À titre d’exemple, la présence d’une adénopathie réduit l’espérance de vie à 50 % à 5 ans et à moins de 40 % à 10 ans.
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
Les cancers cutanés dus à l’arsenic sont EXCEPTIONNELS de nos jours.
Professions exposées:Viticulteurs,horticulteurs et pépiniéristes
Formes cliniques:Maladie de Bowen, CSC Lésions d’arsenicisme chronique à partir
desquelles se développent des cancers.
Les cancers cutanés dus à l’arsenic sont EXCEPTIONNELS de nos jours.
Professions exposées:Viticulteurs,horticulteurs et pépiniéristes
Formes cliniques:Maladie de Bowen, CSC Lésions d’arsenicisme chronique à partir
desquelles se développent des cancers.
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
•Prévention:•Sur le lieu de travail:
•Douches (arrêté du 03 oct 1985)
•Classification des travaux exposants a l’arsenic (4 avril 1995)
• affichage des risques (arrêté du 17 nov 1949)
•Interdiction de l’usage d’arsenic pour certaines opérations industrielles.
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
Prévention: Médicale:
Registre spécial,surveillance médicale spéciale, et recommandations pr les visites médicales.. (décret du 16 nov 1949)
Surveillance post professionnelle (arrêté 28 fév 1999)
INTERDICTION aux moins de 18 ans et aux femmes enceintes d’exercer un travail exposant a l’arsenic. (art R.234-20)
Prévention: Médicale:
Registre spécial,surveillance médicale spéciale, et recommandations pr les visites médicales.. (décret du 16 nov 1949)
Surveillance post professionnelle (arrêté 28 fév 1999)
INTERDICTION aux moins de 18 ans et aux femmes enceintes d’exercer un travail exposant a l’arsenic. (art R.234-20)
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
ETIOLOGIES RECONNUES : ARSENIC
+ 10 - D du RA
ETIOLOGIES RECONNUES : HOUILLE
ETIOLOGIES RECONNUES : HOUILLE
Activités à risque:Ramonage (cancer du scrotum induit par la suie chez
les ramoneurs )Brai de houille: étancheisation des
terrasses,asphaltes des routes, isolation cables électriques..
Goudron: revêtement des routes ,traitement du boisHuiles industrielles :mécanique industrielle ( la richesse de ces huiles en HYDROCARBURES
AROMATIQUES POLYCYCLIQUES explique leur pouvoir cancérigène).
Activités à risque:Ramonage (cancer du scrotum induit par la suie chez
les ramoneurs )Brai de houille: étancheisation des
terrasses,asphaltes des routes, isolation cables électriques..
Goudron: revêtement des routes ,traitement du boisHuiles industrielles :mécanique industrielle ( la richesse de ces huiles en HYDROCARBURES
AROMATIQUES POLYCYCLIQUES explique leur pouvoir cancérigène).
ETIOLOGIES RECONNUES : HOUILLE
ETIOLOGIES RECONNUES : HOUILLE
Diagnostic clinique:Lésions type acanthomes,papillomes,CSCLocalisation: Zones exposées au toxique
Prévention:Lieux de travail:
Douches(arrêté du 22 nov 1998) Classification en travaux salissants ( arrêté du 4 avr 1995)
et agents cancérogène (arrêté du 5 jan 1993)Médicale:
Surveillance médicale spéciale(arrêté du 11 juillet 89) ,post professionnelle.
Diagnostic clinique:Lésions type acanthomes,papillomes,CSCLocalisation: Zones exposées au toxique
Prévention:Lieux de travail:
Douches(arrêté du 22 nov 1998) Classification en travaux salissants ( arrêté du 4 avr 1995)
et agents cancérogène (arrêté du 5 jan 1993)Médicale:
Surveillance médicale spéciale(arrêté du 11 juillet 89) ,post professionnelle.
ETIOLOGIES RECONNUES : HOUILLE
ETIOLOGIES RECONNUES : HOUILLE
+ 35 bis du RA
ETIOLOGIES RECONNUES : DERIVES DU PETROLE
ETIOLOGIES RECONNUES : DERIVES DU PETROLE
+ 25 bis du RA
ETIOLOGIES NON RECONNUES : RADIATIONS
IONISANTES
ETIOLOGIES NON RECONNUES : RADIATIONS
IONISANTES
Professions à risque Dentistes Radiologues(notamment vasculaires) Assistants (dentaires et radio) Chirurgiens et médecins ayant recours aux
explorations radiologiques. travailleurs spécialisés (centrales nucléaires) (rare)
Professions à risque Dentistes Radiologues(notamment vasculaires) Assistants (dentaires et radio) Chirurgiens et médecins ayant recours aux
explorations radiologiques. travailleurs spécialisés (centrales nucléaires) (rare)
ETIOLOGIES NON RECONNUES : RADIATIONS
IONISANTES
ETIOLOGIES NON RECONNUES : RADIATIONS
IONISANTES
Clinique:CSC survenant sur des lésions de radiodermite
chronique.Critères d’imputabilité:
CSC + RADIODERMITE + ZONE IRRADIEE + MILIEU PROFESSIONNEL
Prévention:La réglementation actuelle est à l’origine de la quasi
disparition de ces cancers.Circulaire (3 aôut 1987) relative à la radioprotection en
milieu hospitalier.
Clinique:CSC survenant sur des lésions de radiodermite
chronique.Critères d’imputabilité:
CSC + RADIODERMITE + ZONE IRRADIEE + MILIEU PROFESSIONNEL
Prévention:La réglementation actuelle est à l’origine de la quasi
disparition de ces cancers.Circulaire (3 aôut 1987) relative à la radioprotection en
milieu hospitalier.
ETIOLOGIES NON RECONNUES : UVETIOLOGIES NON RECONNUES : UV
Professions à risque: Cultivateurs Marins pêcheurs,conchyliculteurs Montagnard,personnel des stations de sport d’hiver Soudeurs (arc électrique) Personnels exposés aux UV (lampes
germicides,laboratoires..)
Professions à risque: Cultivateurs Marins pêcheurs,conchyliculteurs Montagnard,personnel des stations de sport d’hiver Soudeurs (arc électrique) Personnels exposés aux UV (lampes
germicides,laboratoires..)
ETIOLOGIES NON RECONNUES : UVETIOLOGIES NON RECONNUES : UV
Clinique:CSC et CBC secondaires a une exposition
cumulative ds le temps.Mélanomes : survenue après expo
intenses aux UV avec brûlures solaires.
Prévention:Campagnes de dépistage, port du
chapeau pour les travailleurs en plein air.
Clinique:CSC et CBC secondaires a une exposition
cumulative ds le temps.Mélanomes : survenue après expo
intenses aux UV avec brûlures solaires.
Prévention:Campagnes de dépistage, port du
chapeau pour les travailleurs en plein air.
ETIOLOGIES NON RECONNUES : TRAUMATISME
ETIOLOGIES NON RECONNUES : TRAUMATISME
Les cancers cutanés secondaire à des traumas sont exceptionnels.
Origine: Brûlures thermiques:CSC Brûlures chimiques: ( à l’asphalte, aux goudrons)
Ex : cancer aigu des parties découvertes du goudronneux
Les cancers cutanés secondaire à des traumas sont exceptionnels.
Origine: Brûlures thermiques:CSC Brûlures chimiques: ( à l’asphalte, aux goudrons)
Ex : cancer aigu des parties découvertes du goudronneux
ETIOLOGIES NON RECONNUES : TRAUMATISME
ETIOLOGIES NON RECONNUES : TRAUMATISME
Clinique: Circonstances du trauma initial et sa localisation exacte. Aspect de CSC D ANATOMOPATHOLOGIQUE
Critères d’imputabilité : Lésion dans la zone du traumatisme Traumatisme identifié si possible par un médecin et
reconnu comme AT Zone indemne de lésions antérieures au traumatisme Délai variable (qq semaines à qq mois)
Clinique: Circonstances du trauma initial et sa localisation exacte. Aspect de CSC D ANATOMOPATHOLOGIQUE
Critères d’imputabilité : Lésion dans la zone du traumatisme Traumatisme identifié si possible par un médecin et
reconnu comme AT Zone indemne de lésions antérieures au traumatisme Délai variable (qq semaines à qq mois)
ETIOLOGIES NON RECONNUES : TRAUMATISME
ETIOLOGIES NON RECONNUES : TRAUMATISME
Prévention :
Surveiller régulièrement l’évolution de certaines cicatrices
Eviter les irritations locales permanentes liées à des micro-traumatismes répétés
Prévention :
Surveiller régulièrement l’évolution de certaines cicatrices
Eviter les irritations locales permanentes liées à des micro-traumatismes répétés
CONCLUSIONCONCLUSION
Les cancers cutanés d’origine professionnelle restent rares (par exemple 13 cas de cancers liés aux radiations ionisantes déclarés et reconnus en 1995, et 25 en 2001)
Ne sont reconnus et indemnisés comme cancers professionnels que les carcinomes primitifs provoqués par :
Houille : goudrons, brais, huiles et suies de combustion (tableau 16 bis du RG et 35 bis du RA)
Dérivés du pétrole (tableau 36 bis du RG et 25 bis du RA)
Arsenic (tableau 20 du RG et 10 du RA)
Les cancers ayant une autre origine professionnelle suspectée doivent passer devant le CRRMP
Les cancers cutanés d’origine professionnelle restent rares (par exemple 13 cas de cancers liés aux radiations ionisantes déclarés et reconnus en 1995, et 25 en 2001)
Ne sont reconnus et indemnisés comme cancers professionnels que les carcinomes primitifs provoqués par :
Houille : goudrons, brais, huiles et suies de combustion (tableau 16 bis du RG et 35 bis du RA)
Dérivés du pétrole (tableau 36 bis du RG et 25 bis du RA)
Arsenic (tableau 20 du RG et 10 du RA)
Les cancers ayant une autre origine professionnelle suspectée doivent passer devant le CRRMP
FINFIN
ANNEXE (1)ANNEXE (1)
ANNEXE (2)ANNEXE (2)
ANNEXE (3)ANNEXE (3)
ANNEXE (4)ANNEXE (4)
ANNEXE (5)ANNEXE (5)
ANNEXE (6)ANNEXE (6)
ANNEXE (7)ANNEXE (7)
ANNEXE (8)ANNEXE (8)
ANNEXE (9)ANNEXE (9)
ANNEXE (10)ANNEXE (10)
ANNEXE (11)ANNEXE (11)
ANNEXE (12)ANNEXE (12)
ANNEXE (13)ANNEXE (13)
ANNEXE (14)ANNEXE (14)