Les Alliances Emploi-EnvironnementA Bruxelles, entreprendre durABlement, c’est rentABle

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Construire une économie durable pour Bruxelles 3

Alliance Emploi-Environnement – axe Construction durable 4

Alliance Emploi-Environnement – axe Eau 5

Alliance Emploi-Environnement – axe Ressources et Déchets 6

Alliance Emploi-Environnement – axe Alimentation durable 7

Alliance Emploi Environnement – axe Economie circulaire 8

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construire une économie durable pour Bruxelles

Objectifs

Notre vision de la Ville durable passe notamment

par la transition de certains secteurs économiques

dits « verts » et les quatre axes de l’Alliance Emploi-

Environnement (construction durable, eau, res-

sources-déchets et alimentation durable) sont le fer

de lance de cette transition. Concrètement, nous

voulons atteindre :

• une diminution drastique de la consommation

énergétique des bâtiments et une augmentation

substantielle de l’utilisation de matériaux sains

(axe Construction durable, actif depuis 2010);

• un réseau d’égouttage et de canalisation irrépro-

chable ainsi qu’une gestion innovante de l’eau en

diminuant au maximum l’imperméabilisation de

la ville (axe Eau, actif depuis 2012);

• une gestion des ressources et des déchets en sti-

mulant les leasings de produits, le relooking en

vue du réemploi, la préparation au recyclage (axe

Ressources-Déchets, actif depuis 2013);

• un accès à l’alimentation la plus bio, locale, fraîche

et de saison possible pour tous et en particulier

dans les collectivités (axe Alimentation durable,

actif depuis 2013).

concept win win

Il s’agit d’une nouvelle méthode de travail. L’Alliance

Emploi-Environnement est en effet une démarche

participative et ouverte qui permet aux acteurs de

terrain, publics et privés, d’identifier les besoins de

leur secteur et de proposer ensemble des actions

concrètes pour y répondre. Il s’agit d’une véritable

alliance qui a pour objectif d’aider et de stimuler les

entreprises tout en permettant aux travailleurs, en-

treprises, demandeurs d’emploi et étudiants d’ac-

quérir des savoirs et des pratiques qui répondent

aux exigences énergétiques et environnementales

dans leur secteur.

Acteurs signataires

Les ministres impliqués dans la démarche, les fé-

dérations professionnelles, les syndicats, les ac-

teurs publics et privés de l’environnement, de l’ac-

tivation économique, de l’emploi, de la recherche

et de la formation.

Axe 1 : Construction durable- Sobriété énergétique lié au bâti- Durabilité des matériaux et des techniques

Axe 2 : Eau- Rénovation du réseau de Maillage Gris - Restauration du réseau hydrographique- Développement du Maillage Bleu*

Prévention Cycle de vie et durabilitéEmploi des bruxellois

> Assainissement des sols

> Utilisation des voies fluviales

> Gestion des boues

> Urbanisme intégrant les activités liées

au système alimentaire urbain

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> Matériaux durables

Déchets de construction

> Perméabilisation des sols et du bâti

> Utilisation d’eau de pluie

Axe 4 : Alimentation durable- Accessiblité à une alimentation de qualité- Diminution de l’empreinte alimentaire- Rééquilibrage des systèmes alimentaires

Axe 3 : Ressources & Déchets- Utiliser les ressources secondaires- Renforcer les activités liées à la réutilisation, la réparation et le recyclage

ces 4 secteurs verts sont une mine d’or pour

l’emploi. d’ici 2020, 10.100 nouveaux emplois

sont à créer dans ces secteurs.

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les ambitions de l’axe construction durable

Afin de faire face au défi démographique, notre Ré-

gion devra créer 70.000 nouveaux logements. Par

ailleurs, notre bâti existant est ancien et peu per-

formant en matière énergétique. Le Gouvernement

s’est donc fixé comme objectif d’accélérer le rythme

des rénovations afin d’en améliorer la qualité éner-

gétique, de réduire la facture des occupants et de

diminuer les émissions de gaz à effet de serre. De

nombreuses politiques (primes « énergie », normes

PEB, , …) ont donc été mises en œuvre, elles sont gé-

nératrices de développement économique pour le

secteur de la construction.

En vue de répondre à l’augmentation de la de-

mande stimulée par les politiques énergétiques et

environnementales, l’alliance Emploi-Environne-

ment vise à favoriser la transition des entreprises

du secteur de la construction vers les pratiques de

construction durable.

Quelques chiffres

3 années de mise en œuvre.

50 signataires publics et privés, 133 organismes

impliqués dans le processus (55% publics et 45%

privés).

8 ateliers se sont réunis en moyenne 4 fois par an.

64 actions, dont 15 terminées et 49 en cours.

10 nouvelles actions en projet.

12.200 m2 de centre de formation en construc-

tion durable.

184.000 heures de formation données de

2011 à 2013.

1.800 entreprises (dont l’économie sociale) ou

indépendants sensibilisés, accompagnés, soute-

nus ou impliqués à la construction durable.

Alliance emploi-environnement – axe construction durable

15 opérateurs de formation impliqués.

26 établissements scolaires impliqués dans au

moins une action de l’Alliance, soit la quasi-tota-

lité des établissements bruxellois concernés.

155 professeurs de l’enseignement et formateurs

formés ou impliqués dans des actions, soit plus de

la moitié des enseignants et chefs d’ateliers des sec-

tions d’enseignement « construction ».

1.915 jeunes impliqués dans l’Alliance dont in-

directement 1.600 jeunes au stade de la forma-

tion initiale initiés à la construction durable, soit

environ la moitié des promotions d’élèves 2012-

2013 et 2013-2014.

800 chercheurs d’emplois formés ou screenés.

100 donneurs d’ordre publics informés des nou-

velles clauses environnementales et sociales à in-

troduire dans les cahiers des charges.

59 laboratoires de recherche et 92 projets de

recherche recensés dans le domaine de la construc-

tion durable. 12 projets de recherche soutenus

dans le domaine de la rénovation durable.

Actions phares

Organisation de la semaine de la construction du-

rable en 2014.

La création d’une vingtaine de modules de forma-

tion « construction durable » à destination des

professionnels et des demandeurs d’emplois.

Soutien de Baticrea, coopérative d’activité dédiée

à la construction durable.

Lancement des Bourses entrepreneurs durables.

Lancement des chèques innovation.

en termes d’emploi, une récente étude

nous indique que plus de 500 emplois

ont déjà été créés grâce à l’Alliance em-

ploi-environnement - axe construction

durable. d’ici 2020, le potentiel est la

création de 4.300 emplois.

(Bâtiment Exemplaire 006) Rénovation basse énergie d’un bureau classé / Telex / Vivaqua / Boulevard de l’Impératrice – 1000 Bruxelles

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Alliance emploi-environnement – axe eau

les ambitions de l’axe eau

Le secteur est défini comme l’ensemble des technolo-

gies, procédés et équipements permettant de gérer

la ressource « eau ». La pérennité de cette essource

est garantie par son usage économe, en limitant sa

pollution et sa dégradation. Son cycle économique

est représenté ci-contre

Quelques chiffres

2.275 démarches d’information ou de sensibili-

sation vers les entreprises.

360 entreprises ont participé aux activités orga-

nisées dans le cadre de l’Alliance Emploi-Environ-

nement-Eau.

76 entreprises bruxelloises identifiées pour le

maillage bleu.

29 marchés sur 58 passés par des opérateurs de

l’eau ont été remportés par des sociétés bruxelloises.

10 communes activement impliquées dans la

simplification des démarches pour la planification

des chantiers.

14 inspections de chantier d’égouttage quant

aux règles relatives au détachement et à l’occupa-

tion des travailleurs en Belgique.

10 bâtiments « exemplaires dans l’utilisation ra-

tionnelle de l’eau » inventoriés.

3 universités et 28 centres de recherches impli-

qués dans la thématique « eau ».

Un portail web sur la veille technologique pour les

entreprises.

Collecte et traitement des eaux uséesRestauration de 30% du réseau

d’égoutage de la RBC

Utilisation/PréventionLutte contre les inondations

(bassin d’orage, toitures vertes…)

Prévention de l’usage de l’eau

Distribution etcontrôle de qualité

Restauration descanalisations

CaptageDépollution des sols

Traitement(potabilisation)

et stockage

Productionde l’eau

“propore”

Recyclage des eaux

uséestraitées

Protection,valorisation des “lieux” et sources de captage

Actions phares

Le Water Job day (salon de l’emploi) organisé par

Aquabru en avril 2014.

Intégration de technologies innovantes (eau de

pluie) par les institutions publiques, les asso-

ciations et urbanistes lors des tables rondes du

Groupe One et de Bruxelles-Environnement.

Formations sur la thématique Eau dans le cadre

des formations Bâtiment durable.

Participation de 70 entreprises à la conférence

de la Confédération Construction Bruxelles-

Capitale (CCBC) sur les investissements en eau.

Catalogue des réalisations exemplaires pour l’eau

de pluie dans l’espace public urbain.

Création et diffusion de fiches-outils : guide bâti-

ment durable (Bruxelles Environnement), fiches

techniques égouttage (CRR), outil de gestion de

l’eau à la parcelle.

Outils d’accompagnement « Eau » de BECI, Impulse,

CCBC,…

selon une récente étude réalisée par Bruxelles

environnement, les enjeux environnementaux

de l’eau à Bruxelles représentent un gisement

de l’ordre de 1.850 emplois, d’ici 2020 (de l’ou-

vrier aux bureaux d’étude), et même davan-

tage selon la réglementation future que pour-

rait prendre la région.

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les ambitions de l’axe ressources et déchets

L’Alliance Emploi-Environnement – Ressources et

Déchets poursuit divers objectifs :

Soutenir le développement de l’activité écono-

mique dans la collecte, le réemploi et le recy-

clage des déchets.

Mettre les entreprises bruxelloises en capacité

de capter les fruits du développement de nou-

velles filières économiques en croissance et qui

ont un important potentiel d’emplois.

Réduire la dépendance de l’économie régionale à

l’égard des importations de matières premières

et de combustibles.

Améliorer la productivité des entreprises bruxel-

loises, réduire leurs coûts de production et ren-

forcer leur compétitivité.

Assurer la protection des ressources naturelles

et préserver l’environnement par le développe-

ment des circuits courts.

Quelques chiffres

6 axes de travail : mieux connaître le métabo-

lisme urbain ; soutenir la structuration de nou-

velles filières ; développer l’offre en ressources

secondaires ; soutenir l’innovation stratégique

et technologique ; développer un contexte favo-

rable au développement des projets ; développer

les compétences.

Plus de 70 organismes publics et privés impliqués.

43 actions en cours.

Alliance emploi-environnement – axe ressources et déchets

Actions phares

Mettre en place un circuit de collecte et de recy-

clage des châssis et du verre plat.

Développer une plate-forme de réemploi des ma-

tériaux de l’industrie culturelle.

Soutenir le développement des repair-cafés.

Etudier l’écosystème industriel de la Région bruxel-

loise.

Stimuler l’utilisation de matériaux de réemploi

dans les marchés publics.

Organiser une filière de collecte des huiles végé-

tales usagées.

Augmenter la collecte des métaux.

Développer l’activité des entreprises d’écono-

mie sociale dans le recyclage des appareils élec-

triques et électroniques.

Développer la collecte et la valorisation des bio-

déchets.

Organiser la récupération de matériaux de construc-

tion avant démolition.

Développer l’enseignement du design écologique.

Créer des formations de valoristes.

lancée en juillet 2011, le processus

d’élaboration aboutit en novembre

2013, avec la signature de la charte.

On évalue un potentiel de 450 nou-

veaux emplois.

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les ambitions de l’axe Alimentation durable

L’Alliance Emploi-Environnement – Alimentation du-

rable vise un triple objectif :

L’ensemble des Bruxelloises et Bruxellois doivent

avoir accès, à prix raisonnables, à une alimenta-

tion saine et variée, en quantité suffisante et ce,

afin d’améliorer leur santé et leur bien-être.

L’impact environnemental du système alimen-

taire bruxellois doit être réduit et le système

dans son ensemble doit évoluer vers davantage

de durabilité.

Les entreprises bruxelloises doivent pourvoir ré-

pondre à la demande en augmentation pour une

alimentation de qualité et (re)localiser des filières

complètes d’activités pour créer de l’emploi.

Démarré en juin 2013, le travail d’élaboration abou-

tit en décembre 2013, avec la signature de la Charte.

Quelques chiffres

112 organismes publics et privés impliqués

dans le processus (37,5% publics et 62,5% privés).

4 axes de travail : Développer et structurer les

filières/Développer des outils de soutien écono-

miques, juridiques et d’accompagnement/Déve-

lopper les compétences et soutenir.

50 actions, dont 39 sont en cours.

Alliance emploi-environnement – axe Alimentation durable

Actions phares

Aide à l’installation d’agriculteurs urbains.

Former à l’agriculture urbaine.

Développement d’un pôle Alimentation durable

au neerpede.

Jard’inspiration à la Ferme Nos Pilifs.

Production et insertion en alimentation durable

sur le site Bellevue (Molenbeek-Saint-Jean).

Relocaliser la transformation alimentaire à Bruxelles.

Accroître l’offre de qualité différentiée à mabru.

Développer une plate-forme logistique pour les

GAsAp.

Améliorer la logistique pour une meilleure valori-

sation des invendus.

Mise en place d’une plate-forme d’approvisionne-

ment pour les épiceries sociales.

Réseau apprenant pour les entreprises du sec-

teur alimentaire.

Soutien à la création d’entreprises sur base de

business models innovants.

conserverie sociale : espace - test de transforma-

tion durable.

Soutenir l’offre en alimentation durable dans les

commerces de détail.

Solution logistique pour producteurs locaux en

circuits courts.

Recherche-action et intégration de l’agriculture

urbaine dans le cursus universitaire.

Programme de financement de la recherche « living

labs in Brussels ».

une étude récente indique que la

transition du système alimentaire

vers plus de durabilité pourrait sou-

tenir la création de plus de 3.500 nou-

veaux emplois, y compris pour les

plus jeunes et les personnes moins

qualifiées.

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Alliance emploi-environnement –axe economie circulaire

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »,

Lavoisier

les ambitions de l’axe economie circulaire

Les régions urbaines comme Bruxelles concentrent

une consommation importante de matières et

d’énergie. Nous souhaitons transformer notre éco-

nomie locale linéaire « extraire-fabriquer-consom-

mer-jeter » en une économie circulaire où les cycles

des matériaux seront fermés « réutiliser-fabriquer-

consommer-réutiliser » en extrayant et en jetant un

minimum. Notre vision va de pair avec la Stratégie

Europe 2020 (Resource efficiency) et le 7ème Pro-

gramme d’Actions pour l’Environnement 2014-2020

(Instaurer une économie circulaire).

la notion d’économie circulaire englobe :

(1) La réduction de déchets par l’éco-conception des

produits pour tendre vers le zéro pollution.

(2) l’échange de ressources entre entreprise par

l’écologie industrielle.

(3) Le remplacement de la vente de produits par la

location de service (économie de fonctionnalité).

(4) le réemploi qui permet de remettre dans le cir-

cuit économique des produits.

(5) la réparation où les biens en panne peuvent re-

trouver une deuxième vie.

(6) la réutilisation où certains déchets peuvent être

réparés ou démontés.

(7) le recyclage qui vise à réutiliser les matières pre-

mières issues des déchets, en boucle fermée (pro-

duits similaires) ou en boucle ouverte (utilisation

dans d’autres types de biens).

Sept axes pour un cycle vertueuxLe développement de l’économiecirculaire s’appuie sur une approche en sept points, qui peuvent se combineret sont générateurs d’emplois. Exemple concret avec les pneus.

01L’ÉCOCONCEPTION prend en compte au stade de la conception tous les impactsenvironnementaux sur l’ensembledu cycle de vie d’un procédé ou d’un produit. Par exemple,hausse de la durée de vie tout en réduisant la masse du pneu.

02L’ÉCOLOGIE INDUSTRIELLE est un mode d’organisationindustrielle mis en place parplusieurs opérateurs économiquesd’un même territoire et caractérisépar une gestion optimisée desressources (matière et énergie). Elle répond à une logique collective

de mutualisation et d’échanges(déchets, matières premières,énergie, services…). Les déchets des pneus des usines peuvent êtrevalorisés comme combustiblesalternatifs.

03 L’ÉCONOMIE DEFONCTIONNALITÉ privilégie l’usage à la possession et tend à vendre des services liés aux produits plutôt que les produits eux-mêmes. Par exemple : location de pneus avec garantie de distance parcourue (certains constructeurs le proposent déjà) plutôt que vente de pneus.

04 LE RÉEMPLOI permet de remettre dans le circuitéconomique les produits nerépondant plus aux besoins dupremier consommateur. Par exemple,la vente de pneus d’occasion.

05 LA RÉPARATION les biens en panne peuventretrouver une deuxième vie par le biais de la réparation(comme les pneus crevés parexemple) avec des pièces neuves ou d’occasion issues du processus de réutilisation.

06 LA RÉUTILISATION certains déchets peuvent êtreréparés ou démontés et les piècesencore en état de fonctionnementtriées puis revendues. Le rechapageprolonge ainsi la vie du pneu.

07 LE RECYCLAGE vise à réutiliser les matièrespremières issues des déchets, enboucle fermée (produits similaires)ou en boucle ouverte (utilisationdans d’autres types de biens),comme les terrains de sportfabriqués à partir de pneus recyclés.

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la notion de métabolisme urbain

Bruxelles-Environnement réalise actuellement

son « Métabolisme urbain : quantification des

flux et pistes de réflexion pour une optimisation

de l’usage des ressources en Région de Bruxelles-

Capitale ». L’objectif est de mettre en évidence

les grands flux de matières/énergie/eau entrant

en Région de Bruxelles-Capitale, les flux sortants

et, lorsque cela s’avère pertinent, les stocks in-

ternes, ainsi que les enjeux environnementaux

et urbanistiques associés. Cela permettra d’iden-

tifier les opportunités/stratégies politiques à

mettre en oeuvre pour promouvoir une meilleure

utilisation/circularité des ressources associées à

ces flux en Région de Bruxelles-Capitale.

Notre objectif est que le paradigme économique

change et que l’économie circulaire devienne le

courant dominant (mainstream). Il existe d’impor-

tants obstacles à cela. L’inertie étant le principal,

puisque l’ensemble de l’économie actuelle a été

fondée sur un système linéaire.

Fort heureusement, Bruxelles-Environnement peut

se baser sur des projets en cours : le projet d’éco-

conception de l’UCM, Turas (économie de fonction-

nalité), ResilientWeb (durabilité comme stratégie

d’entreprise), Irisphère de Citydev (écologie indus-

trielle), BSE Academy d’Impulse, les 4 axes de l’AEE,…

qui portent en eux les germes de cette future éco-

nomie circulaire bruxelloise.

© Apis Bruoc Sella

Duvigneaud, P., 1980.- La Synthèse écologique. 2e ed., Doin, Paris

Bruxelles Environnement : http://www.bruxellesenvironnement.be

Les Alliances Emploi-Environnement : http://www.aee-rbc.be/

Construction durablehttp://www.technologywatch.be/http://www.brusselsretrofitxl.be/about-the-platform/http://www.brusselssustainableresearch.be/http://cluster-ecobuild.com/ Ressources et Déchetshttp://opalis.be/

Editeurs responsables : Bruxelles environnement - Frédéric Fontaine - régine peeters Gulledelle, 100 - 1200 Bruxelles