L'accessibilité économique des TIC

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Numéro 40 - Février 2015 - TechnoMag votre magazine gratuit des nouvelles technologies INFRASTRUCTURE La complexité des réseaux coûte cher aux entreprises En periode de seche- resse, le liquide est primordial Marché des serveurs : une dynamique constante PAGE 19 PAGE 28 PAGE 31 ENTREPRISE RAPPORT L'ACCESSIBILITÉ ÉCONOMIQUE DES TIC

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INFRASTRUCTURE

La complexité des réseaux coûte cher aux entreprises

En periode de seche-resse, le liquide est primordial

Marché des serveurs : une dynamique constante

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ENTREPRISE RAPPORT

L'ACCESSIBILITÉ ÉCONOMIQUE DES TIC

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Février 2015 www.TechnoMag.ma 3 NUMÉRO 40

EDITORIAL

Mounaim ELOUAZZANIDIRECTEUR DE LA [email protected]

Il serait faux de penser que les objets connectés n’ont fait leur apparition dans le monde de l’entreprise que très récemment. En eff et, certains secteurs industriels travaillent sur le sujet depuis près de 7 ans dans des domaines très spécifi ques : développement de compteurs

intelligents ou encore le pilotage à distance d’usine… Aujourd’hui, ce n’est plus l’industrie qui est concernée, toutes les entreprises le sont ou le seront à long terme, ce qui est le résultat de la transformation numérique qui s’opère depuis une dizaine d’années au Maroc et ailleurs. Mais dans un tel contexte, où se place la DSI, quel est son rôle en 2015 et pour les prochaines années ?

Hier, la DSI avait une fonction support : faire en sorte que le système d’information de l’entreprise fonctionne pour répondre aux besoins opérationnels de cette dernière en termes de disponibilité des applications et/ou des services.

Avec le virage digital, la DSI se retrouve au cœur de la transformation, dont l’internet des objets sera, à court terme, un élément majeur. Pour amener leur entreprise et les directions métiers vers ces changements, les DSI vont devoir prendre le lead pour entrainer les autres directions et les sensibiliser aux potentiels d’opportunités amenées par ces changements.Dans ce contexte, et en ce qui concerne les objets connectés, ils pourraient être amenés à jouer un rôle d’animateur de la « communauté technologique », en mettant en place des pilotes, et en eff ectuant et diff usant la veille technologique qui facilitera la compréhension des choses en interne. Par exemple :

- En ouvrant les notifi cations de certains systèmes et en les amenant sur les montres connectées : suspicion d’usurpation de son compte, commande supérieur à un montant,… les usages viendront des utilisateurs

- En utilisant les objets connectés de salariés pour capturer de l’information (avec leur accord), comme le niveau sonore ambiant des bureaux et en proposant des interfaces cartographiques pour explorer ces données moyennes

- En capturant de l’information contextuelle des activités des agents sur le terrain, comme la température, les distances parcourus, des chocs… qui peuvent enrichir les simples données d’activités.

Ces exemples montrent que les objets connectés peuvent s’inscrire dans l’amélioration continue des processus de l’entreprise et contribuer à la transformation de ces processus. 2015 devrait être une année charnière pour les objets connectés, non pas pour des déploiements intensifs, mais pour une meilleure sensibilisation des entreprises grâce, entre autres, à l’évangélisation réalisée par les DSI. Un travail qui leur permettra, par ailleurs, de valoriser leurs fonctions et leur rôle dans le virage stratégique qu’est la transformation digitale des entreprises.

Mounaim ELOUAZZANI

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Fév 2015N°40

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IMPRESSIONEdit - Casablanca

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Dépôt légal : 2011TE0019 - ISSN : 2028-473X

L’AVÈNEMENT DES OBJETS CONNECTÉS EN ENTREPRISE ET QUEL RÔLE POUR LE DSI ?

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S O M M A I R EACTUALITĖS5- Samsung introduit la 1ere imprimante exploité e par android6- Intel core vpro 5ème génération ; des processeurs plus puissants6- Toshiba annonce la plus haute densité de stockage au monde8- IBM fait passer l'entreprise à l'heure mobile avec mobilefi rst8- Dell lance la version 2.0 de ses appliances web-scale xc series10- Panasonic s’offre un nouveau showroom11- HP : 2 serveurs proliant gen 9 é conomiques11- Dropox ajoute 2 fonctions collaboratives à son application11- Dell ajoute une tablette, un pc portable, un projecteur et des services…

TÉLÉCOM14- Huawei dé voile des accessoires intelligents au mwc 2015

INFRASTRUCTURE16- Les imprimantes 3d sont encore trop chè res pour les entreprises18- L'importance de l'impression dans les salles de classe numé riques19- La complexité des ré seaux coû te cher aux entreprises

SÉCURITÉ20- Les DSI doivent ajouter « gestion des identité s » à leur vocabulaire22- Technologies é mergentes – la prochaine é tape en matiè re de sé curite24- Les principales menaces informatiques sont des failles dé jà connues

ÉVÈNEMENT26- Salon solutechq 2015

ENTREPRISE28- En periode de secheresse, le liquide est primordial 29- Les questions de sé curité que toute entreprise doit se poser

RAPPORTS30- IDC ré vè le les ré sultats de son rapport pour le 4è me trimestre de 201430- Smartphones : android, un é cosystè me pas si rentable que ç a !31- Marché des serveurs : une dynamique constante

WEB32- Criteo - une solution de publicité s dynamiques sur facebook mobile34- Un service en ligne gratuit pour analyser les performances de votre site web

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ACTUALITES

De nouveaux modèles conçus pour être indépen-dants, intuitifs et évolutifs pour les entreprises

Samsung Electronics Co., Ltd, a annoncé le lancement de dix nouvelles imprimantes multifonctions (MFP) dans la région MENA. Les MFP sont les premières impri-mantes dans leur genre avec Android comme système d’exploitation (OS) et elles sont conçues pour être plus indépendantes ; plus intuitives et plus évolutives pour les entreprises. Samsung se concentre actuellement sur le développe-ment de solutions d’impression qui s’intègrent facile-ment dans l’écosystème de l’IT et du ‘Smart offi ce’, et les nouvelles MFP Android seront équipées du Smart UX Center de Samsung qui permet de l’opérer indépen-damment sans PC ou adaptabilité d’applications, et avec une interface d’utilisateurs (UI) accessible. « Chez Samsung nous nous eff orçons de trouver des innovations pour les utilisations, et l’introduction des premières imprimantes MFP équipées du OS Android améliorera l’expérience ‘Smart Offi ce’ de Samsung pour les professionnels et mettra à leur disposition des tech-nologies d’impressions avancées et multidimension-nelles, » a dit M. Choong Ro Lee, Président, Samsung Moyen-Orient et Afrique du Nord. « Notre nouvelle imprimante est équipée du meilleur de la technologie IT et les appareils OA savent créer des produits plus innovants pour le nouveau marché de l’automation des bureaux. »Imprimer sans PCChacune des nouvelles Samsung Smart MultiXpress séries MFP est équipée d’un écran tactile 10.1 pouce avec un panel qui permet aux utilisateurs de chercher et d’imprimer directement depuis navigateurs, emails, cartes, images et autre genre de contenu - sans néces-sairement se connecter à un PC ou un serveur. L’écran tactile permet aussi d’apercevoir un document avant impression et même le modifi er ou annoter. « Alors que le style et le processus de travail de nos clients B2B s’accroit incessamment en mobilité, Sam-sung continuera d’off rir de nouvelles solutions d’im-pression équipées d’interfaces intuitives, d’une perfor-mance supérieure, et surtout, d’une amélioration de l’effi cacité et de la productivité d’un espace de travail mobile et rapide, » ajouta Mr. Lee. Connectivité étendue et sans limitesLe système d’exploitation Android équipe la nou-velle Smart MultiXpress des séries MFP d’application d’impression sans limite et évolutive- similaire à la technologie des Smartphone- et permet donc une libre connectivité via le Samsung Cloud Print, renforçant la connectivité et l‘évolutivité du champ couvert.

D’autant plus, l’ensemble des Smart MultiXpress des séries MFP sont compatibles avec le XOA de Samsung (Architecture ouverte et extensible), plateforme de solutions d’impression et qui peuvent aussi être ajus-tées afi n de répondre aux besoins spécifi ques des entreprises. Technologie d’impression NFC (Communication en champ proche) amélioréeLes nouvelles MFPs sont maintenant améliorées avec NFC Pro pour répondre aux besoins du marché B2B. En ajoutant accessoirement le nouveau Samsung NFC Pro (Disponible et vendu séparément) , les nouvelles MFPs facilitent l’accès aux Smartphones pour une impression mobile, un accès sécurisé et des fonctions administra-tives IT telles que la possibilité de ‘cloner’ facilement les mêmes paramètres de sécurité sur diff érents MFPs en cliquant sur l’accessoire NFC Pro. Haute qualité et technologie fi ableLe lancement du Smart MultiXpress de Samsung des séries MFP améliorera le rendement et la productivité des clients professionnels, ainsi qu’une performance d’impression rapide - jusqu’à 1.5 fois plus rapide que le CPU simple core précédent d’1GHz, grâce au CPU dual core de 1GHz. Les MFP permettront aux multiples utili-sateurs d’imprimer et de scanner de larges documents sans interruption. Mais encore, la Smart MultiXpress des séries MFP off re une meilleure durabilité des toners et tambours d’impression - augmente la durée de vie comparé à des modèles similaires - réduisant le coût total et confi rmant une excellente fi abilité. Modèles de Samsung Smart MultiXpress Séries MFPLa Smart MultiXpress des séries MFP comprend dix nouveaux modèles de nos quatre diff érentes catégories d’imprimantes : • Série MFP X4300, A3 Couleur: L’imprimante MFP X4300 A3 en couleur existe en trois modèles X4300LX, X4250LX et X4220RX avec une vitesse d’impression respective de 30, 25 et 22 pages par minute (ppm). La série X4300 est équipée de la technologie Dual-Scan ADF qui permet de scanner en double page jusqu’à 100

images par minute (ipm) en couleur et 120 ipm en mo-nochrome. Tous les modèles sont équipés de la techno-logie Samsung Rendering Engine for Clean Page (ReCP) de Toner Polymérisé pour de couleurs vives, brillantes et professionnelles. Les MFP du modèle X4300 ont une capacité d’impression qui s’élève à 85,000 pages par mois, avec 23,000 pages pour un toner noir et blanc et 100,000 pour le tambour. • Série MFP K4350, A3 Monochrome: L’imprimante MFP K4350 A3 Monochrome existe en trois modèles K4450LX, K4300LX et K4250RX avec une vitesse d’im-pression respective de 35, 30 et 25 ppm. Les MFP de la série K4350 sont équipées de la technologie Dual-Scan ADF qui permet de scanner en double page jusqu’à 100 ipm en couleur et 120 ipm en monochrome. Les MFP du modèle K4530LX ont une capacité d’impression qui s’élève à 85,000 pages par mois et 35,000 pages par toner. Le tambour d’impression peut rendre 200,000 pages. • Série MFP M5370, A4 Monochrome: L’imprimante MFP M5370 A4 Monochrome existe en deux modèles M5370LX et M4370LX avec une vitesse d’impression respective de 53 et 43 ppm. Les MFP de la série M3570 sont équipées de la technologie Dual-Scan ADF qui permet de scanner en double page jusqu’à 80 ipm. Les MFP de la série M5370 ont une capacité d’impres-sion qui s’élève à 300,000 pages par mois et 30,000 pages par toner. Le tambour d’impression peut rendre 100,000 pages.• Série MFP M4580, A4 Monochrome : L’imprimante MFP M4580 A4 Monochrome existe en deux modèles M4580FX et M43583FX avec une vitesse d’impres-sion de 45 ppm. M4590X se vend via le réseau OA et M4583FX via le réseau IT. Les MFP de la série M4580 ont une capacité d’impression qui s’élève à 300,000 pages par mois et 40,000 pages par toner. Le tambour d’impression peut rendre 100,000 pages.La nouvelle série d’imprimantes MFP Smart Mul-tiXpress de Samsung sera disponible dès Février 2015.

SAMSUNG INTRODUIT DANS LA RÉGION LA PREMIÈRE IMPRIMANTE AU MONDE EXPLOITÉE PAR ANDROID™

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ACTUALITES

Les derniers processeurs Intel Core vPro 5ème génération sont désormais disponibles pour les fabricants d'ordinateurs et de tablettes, et

apportent avec eux un nouveau lot de promesses en termes de performances et de connectivité.Ces nouveaux processeurs Intel sont évidemment cen-sés être plus rapides, plus performants, moins gloutons en énergie et off rir de nouvelles capacités sans-fi l, sans oublier des fonctions de sécurité intégrées. Leur design permettront aussi aux fabricants de concevoir des PC portables encore plus fi ns et encore plus légers.

Ils intègrent également la technologie Intel Pro WiDi pour s'aff ranchir des câbles lors des présentations et profi teront en option de l'Intel Wireless Docking per-mettant de se connecter automatiquement et sans fi l à un moniteur ou à diff érents périphériques USB. Et ce, avec une connexion rapide et fi able grâce à la techno-logie Intel Wireless Gigabit. Ces processeurs contribueront aussi à l'amélioration de la sécurité des données. Ainsi, en utilisant un SSD de la gamme Intel SSD Pro 2500, il sera possible de bénéfi -cier de capacités de cryptage intégrées et de simplifi er

l'authentifi cation des utilisateurs avec Intel Identity Protection.Enfi n, la gestion à distance de tous les terminaux (en réseau fi laire ou sans fi l) sera facilitée grâce à la tech-nologie Intel Active Management Technology, même lorsque le système d'exploitation est en panne, ou que l'équipement est éteint.Les premiers terminaux équipés de ces processeurs devraient être disponibles dès le milieu du mois février. Une douzaine de fabricants sont déjà sur le pied de guerre.

INTEL CORE VPRO 5ÈME GÉNÉRATION : DES PROCESSEURS PLUS PUISSANTS, PLUS CONNECTÉS ET MIEUX SÉCURISÉS

TOSHIBA ANNONCE LA PLUS HAUTE DENSITÉ DE STOCKAGE PAR UNITÉ DE SURFACE AU MONDE, POUR UN DISQUE DUR 2.5 POUCES

Toshiba est parvenu à atteindre une densité de stockage de 1 Térabits par pouce carré (1 Tbits/in2, soit environ 155 Gbits/cm2) dans un disque

dur 2.5 pouces. Cette innovation permet d'obtenir un disque dur 2.5 pouces de 15 mm d'épaisseur, off rant une capacité de 3 To, avec 750 Go par plateau, qui amé-liore la densité par unité de surface de 40% par rapport à la génération précédente de disques durs Toshiba.Toshiba se consacre à développer de nouvelles techno-logies pour améliorer les performances et les capacités de stockage dans le secteur de l'électronique grand pu-blic. Les nouveaux disques durs Toshiba bénéfi ciant de cette très haute densité de stockage, seront disponibles dans des produits livrables dès cette année.

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• Industrie • Btp • Tertiaire • Public • Santé

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ACTUALITES

IBM propose aux entreprises sa nouvelle plate-forme MobileFirst. Une solution dédiée au dévelop-pement et au déploiement d'applications mobiles.

Avec IBM MobileFirst, les entreprises pourront donc développer et déployer des applications mobiles, ou encore intégrer des applications créées avec des outils tiers.Cette plateforme est également optimisée pour les

développements natifs (HTML5 ou hybrides). Elle ga-rantit par ailleurs une gestion simplifi ée des itérations d’applications et des cycles de mise à jour, en collectant les commentaires des utilisateurs.Elle assure enfi n la protection des données de l’entre-prise grâce à une authentifi cation forte des utilisateurs et de l’application, l’encodage des données locales et le scan de l'application.

La marque Shiseido utilise déjà IBM MobileFirst pour développer et sécuriser une application professionnelle pour sa “Beauty Tablet”, et ainsi fournir à ses vendeurs un accès à de nouveaux services, et prendre en considé-ration les retours des clients afi n d’améliorer la qualité des produits et stimuler la collaboration.

IBM FAIT PASSER L'ENTREPRISE À L'HEURE MOBILE AVEC MOBILEFIRST

DELL LANCE LA VERSION 2.0 DE SES APPLIANCES CONVERGÉES WEBSCALE XC SERIES

Dell annonce la version 2.0 de sa gamme d'ap-pliances convergées Web-scale Dell XC Series. "Au vu de l’engouement suscité par nos pre-

mières appliances Dell XC Series, nous avons voulu placer la barre encore plus haut pour cette seconde génération" explique Alan Atkinson, vice-président et directeur général, Dell Storage.Ces nouvelles appliances Dell XC Series version 2.0 combinent donc des serveurs Dell PowerEdge de 13ème génération et les logiciels Nutanix, le tout cou-plé aux services d’assistance et de support Dell.Et avec cette version 2.0, les performances applicatives sont améliorées, la densité est multipliée par deux (16 To par unité de rack) et davantage de fl exibilité. Plusieurs modèles seront commercialisés dont le XC630 qui, dans un format compact 1U, supporte davantage

d’utilisateurs de bureaux virtuels que le modèle précé-dent (XC720xd).Quant au modèle XC730xd (2U), il off re une capacité de stockage 60 % supérieure (jusqu’à 32 To) à celle de

la génération précédente, idéale pour les projets de déploiement de charges de travail en Cloud privé ou de Big Data.La sortie est prévue le 10 mars.

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* Forecast data

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ACTUALITES

Un investissement stratégique qui témoigne de la foi et de l’ambition de la marque sur le mar-ché marocain.

PANASONIC, groupe japonais spécialisé dans l’électro-nique grand public, et la société AMTECH partenaire de la marque japonaise au Maroc ont procédé ce mardi 10 mars 2015 à Casablanca (Rond-point Badr, Racine Extension/Bourgogne), à l’inauguration offi cielle d’un nouveau showroom au Maroc. Ce showroom est certes le second à Casablanca depuis l’implantation de l’enseigne au Maroc, mais a la particularité d’être un showroom d’exception. En eff et, d’une superfi cie globale de 235 m² et établi sur deux niveaux, il off re à l’enseigne la possibilité de pouvoir exposer désormais l’intégralité de ses gammes de produits, contrairement à ce que servent habituellement les points de vente (exposer des échantillons ou une partie de la gamme).Ce nouveau showroom témoigne de la foi de PANA-SONIC dans le marché marocain. Mais il pose surtout les jalons d’une nouvelle dynamique de croissance, axée sur la proximité, la crédibilité et la compétitivité. Ils étaient plus d’une centaine de collaborateurs, par-tenaires, revendeurs, fournisseurs, clients et journa-listes à répondre présents à l’invitation conjointe de la marque et des deux actionnaires, Le groupe LOUKIL et le groupe MAMITA représentés respectivement par Messieurs Walid LOUKIL Directeur général adjoint du Groupe LOUKIL (Tunisie) et M. Mohamed Amine BEN-CHEKROUN, Membre du directoire d’AMTECH. La proximité et la crédibilité comme levier de crois-sance

Présente au Maroc depuis 2012 à travers AMTECH une entreprise spécialisée dans la distribution de produits électroniques, destinée tant au grand public qu'aux professionnels et détenue en majorité par le Groupe LOUKIL, PANASONIC marque, à travers cet investisse-ment stratégique, le point de départ d’une nouvelle phase dans sa dynamique de croissance.Ce nouveau showroom, qui met en valeur les deux marques commercialisées par AMTECH [1] (PANASO-NIC et ARIETE), devrait permettre le renforcement de la visibilité. Grâce à ce showroom qui générera une dizaine d’emplois directs, PANASONIC pourra four-nir des informations techniques et commerciales au consommateur au Maroc, l’orienter dans son choix en lui permettant de toucher voire tester le produit avant de l’acheter.« Au-delà du fait que le showroom est un nouveau canal de vente directe et indirecte, il apportera, sans aucun doute, plus de crédibilité à l’enseigne et per-mettra la proximité du consommateur », souligne M. Mohamed Amine BENCHEKROUN. Et à M. Walid LOUKIL de lui emboîter le pas, précisant que « ce showroom s’inscrit dans les axes stratégiques de notre politique de distribution, car il assure une meilleure visibilité au ni-veau des marchés B to B ». Au-delà de l’échelle locale, il s’agit pour le tandem Walid LOUKIL -Mohamed Amine BENCHEKROUN de renforcer la visibilité et la notoriété de la marque en s’appuyant sur ses qualités premières, connues à travers le monde. « En technologie, l’exper-tise japonaise parle d’elle-même. Et PANASONIC ne fait pas l’exception », souligne Walid LOUKIL. La marque résonne, selon Mohamed Amine BENCHEKROUN

« Technologie, Innovation, Qualité Garantie, et Grande Notoriété ».La vision de PANASONIC Worldwide, rappellent les deux hommes, « est d’améliorer les conditions de vie des clients en veillant toujours à placer l'individu au centre de nos activités. Pour cela, nous nous intéres-sons à la vie des hommes. Forts de notre technologie innovante dans le domaine de l'électronique, nous pourrons proposer un large éventail de produits, allant des produits électroniques grand public aux appa-reils ménagers. Nous nous eff orcerons d'améliorer les conditions de vie de nos clients dans diff érents lieux et domaines, notamment à leur domicile, au sein de leur communauté et de leur entreprise, au cours de leurs voyages et dans leurs véhicules, et continuerons à pro-poser une vie et un monde meilleurs à chacun d'eux ». Une vitrine supplémentaire pour ARIETE, le leader dans la production des râpes électriques et le net-toyage à vapeur.Pour ce qui est de la marque ARIETE, entre autres consi-dérée comme « le génie de la maison » cette qualité ne faillit pas. En eff et grâce à des produits hautement novateurs et connaissant un grand succès commercial, ARIETE a consolidé sa position sur le marché. D’Autant plus que le showroom off re ainsi à la marque du groupe De’Longhi, une opportunité pour consolider son lea-dership. A travers ce showroom, la clientèle peut dé-couvrir en un seul lieu toute la diversité de produits de la marque, laquelle diversité fait sa force, en plus de la créativité, de l’innovation et du Design.

PANASONIC S’OFFRE UN NOUVEAU SHOWROOM

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ACTUALITES

HP commercialisera début avril deux nouveaux serveurs ProLiant Gen 9 au format tour à destination des PME.

Deux nouvelles références à petit prix viendront donc s'ajouter au catalogue ProLiant HP : • le HP ProLiant ML10 v2, un serveur d’entrée de gamme évolutif qui s'avère idéal pour les applications d’usage général, tels que fi chiers et im-pressions. Son prix : à partir de 350 euros. • le HP ProLiant ML110 Gen9, un serveur plus puissant optimisé pour les

applications physiques ou virtualisées dans les PME. Son prix : à partir de 1 100 euros.Deux nouveaux serveurs économiques qui intégreront HP Integrated Lights-Out (iLO), un outil permettant de surveiller l'état du système, sa consomma-tion d'énergue et sa température.

Ils pourront également bénéfi cier des services HP Foundation Care et HP Proactive Care. Et des solutions de fi nancement sont disponibles auprès de HPFS.

HP : 2 SERVEURS PROLIANT GEN 9 ÉCONOMIQUES

DROPOX AJOUTE 2 FONCTIONS COLLABORATIVES À SON APPLICATION

Dropbox Entreprises ajoute à son application deux nouvelles fonctionnalités pour faciliter la collaboration : le Badge Dropbox et la publica-

tion de commentaires. Avec le Badge Dropbox, il est donc désormais possible de travailler en collaboration à l’intérieur même de do-cuments Offi ce, de voir qui est en train de consulter ou d’éditer le document, de rechercher les mises à jour les plus récentes et de tout mettre à jour en un seul clic, de générer un lien pour partager le document, et de voir les diff érentes modifi cations apportées sans quitter le document initial. Et grâce aux commentaires, la discussion autour des documents importants se fait plus facilement et de façon mieux organisée. Notez d'ailleurs que cette fonc-tionnalité peut être ajoutée à tous les liens partagés ou tout document présent sur la Dropbox, et être vu direc-tement sur Dropbox.com.

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ACTUALITES

Dell annonce l'arrivée de plusieurs nouveautés au sein de sa gamme de solutions dédiée au secteur de l’éducation dont la tablette Venue 10 Pro série 5000 et le Latitude 11 Education.

La Venue 10 Pro série 5000 est une tablette Windows 8.1 s'appuyant sur un écran tactile HD de 10,1 pouces (1366 x 768 pixels) et livrée avec un clavier détachable. La version de base abrite un processeur Intel Atom Z3775D, 2 Go de mémoire vive, 32 Go de stockage, le WiFi n, le NFC, une carte graphique Intel HD, un port USB 3.0, une sortie mini HDMI et un connecteur audio mi-cro-casque. Le tout avec une garantie contre les dommages accidentels et la version d'essai d'Offi ce 2013. Prix : à partir de 389 euros. Disponibilité : à partir de 23 février.

Dell ajoute aussi un PC portable de 11,6 pouces : le Latitude 11 Série Edu-cation. Un outil pensé pour les étudiants et confi guré spécialement pour les épauler dans leurs études. L'ordinateur est livré avec la suite logicielle Dell Data Protection préinstallée qui protège, entre autres, contre les menaces zero-day et qui garantit la sécurité des fi chiers sur tous les supports et dans le

Cloud. Il est par ailleurs conforme aux normes militaires américaines pour la pression, la température, les chocs et les vibrations. Son clavier et le pavé tac-tile sont même étanches. Quant à l’écran LCD et au socle, ils sont également protégés des éclaboussures par un revêtement étanche en caoutchouc. La commercialisation est prévue début mars, mais le prix n'a pas été annoncé.

Dell sort aussi la version 6.3 de son appliance Kace K1000 (pour l’adminis-tration des systèmes utilisés en classe) qui prend désormais en charge les Chromebook. Elle est proposée sous forme d'appliance physique, virtuelle ou hébergée.

Enfi n, notez l'enrichissement de l’off re ProSupport Plus (qui combine accès prioritaire aux services d’experts, réparation en cas d’accident et surveillance proactive pour prévenir, anticiper et résoudre tout problème éventuel) et la commercialisation du S510, un projecteur interactif off rant la possibilité de fractionner l’écran en 4 sections et de projeter simultanément jusqu’à quatre diapos de sources diff érentes. Son prix n'a pas été indiqué.

DELL AJOUTE UNE TABLETTE, UN PC PORTABLE, UN PROJECTEUR ET DES SERVICES À SON OFFRE EDUCATION

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TÉLÉCOM

HUAWEI DÉVOILE DES ACCESSOIRES INTELLIGENTS MOBILES AU CONGRÈS MOBILE MONDIAL MWC 2015

Inaugurant sa nouvelle vision « Les rêves inspirent la créativité », Huawei Consu-mer BG annonce une large gamme d’objets connectés à savoir une montre, un bracelet et des écouteurs

À la veille du Mobile World Congress (MWC) 2015, Huawei a dévoilé une série d’objets connectés, dont la Huawei Watch, le bracelet TalkBand B2 et les écouteurs TalkBand N1, pour permettre à chacun de rester connecté. Lors de la conférence de presse internationale, Huawei Consumer BG a également annoncé la nouvelle vision de la marque « Les rêves inspirent la créativité ».Richard Yu, Président-Directeur Général de Huawei Consumer BG, a déclaré : « En permettant à chacun de disposer d’un accès à Internet et d’un support de stockage de données personnelles et de contenus enregistrés, les objets connectés constituent un des plus importants tournants du marché dans la perspective de l’avènement du Big Data et du Cloud. L’annonce faite aujourd’hui sur les objets connectés témoigne de l’engagement de Huawei à inspirer la créativité et à créer des produits qui amé-liorent l’écosystème utilisateur. Ils doivent être connectés et synchronisés pour off rir ce qui se fait de mieux en termes de solutions intelligentes et de dispositifs de suivi personnel basés sur les besoins de chacun. Les « wearables » vont demeurer, j’en suis convaincu, l’une des grandes tendances du secteur. En s’appuyant sur la technologie et la capacité d’innovation de Huawei, Huawei Consumer BG entend devenir un lea-der dans l’univers des objets connectés ».

Huawei Watch – Fonctionnant sous Android Wear™, la Huawei Watch s’avère être un concentré de technologie sous un design circulaire intemporel

Huawei explore de nouveaux horizons dans l’univers des « wearables » en dévoi-lant aujourd’hui sa montre connectée, la Huawei Watch, fonctionnant sous Android Wear™. Cette montre circulaire dispose d’un écran tactile AMOLED 1,4 pouces, d’une lentille en cristal de saphir anti-rayures, d’un boîtier en acier inoxydable forgé à froid, et bénéfi cie d’un système de contrôle intégré de la fréquence cardiaque et de cap-teurs gyroscopiques de mouvement sur 6 axes. Il s’agit de la première smartwatch dans la gamme des objets connectés de Huawei.« Faisant écho au slogan « Make It Possible » de la marque, la Huawei Watch honore cette promesse et propose au consommateur une smartwatch haut de gamme et innovante sur le plan technologique », explique Richard Yu, PDG de Huawei Consu-mer Business Group. « Cette première smartwatch a été conçue et créée pour être l’alliée de nos clients au quotidien. »

Un design intemporel Conçue par une équipe d’horlogers riches d’une longue expérience dans la créa-

tion de montres esthétiques et intemporelles, l’attention portée aux détails dans la conception de la Huawei Watch se manifeste au premier regard avec l’écran étince-lant AMOLED de 1,4 pouces doté d’une résolution de 400 x 400 pixels en 286 ppi, pour un ratio de contraste élevé de 10 000 : 1 ; ce qui en fait la smartwatch Android Wear la plus enthousiasmante au monde.Intégrant plus de 130 composants, cette montre intelligente est équipée d’une cou-ronne, d’un cadre et de charnières réalisés dans un acier inoxydable de haute qualité, anti-rayures et forgé à froid, ce qui le rend 40 % plus résistant. Dotée d’un bouton pressoir en position 2 heures, cette montre off re les plus hauts niveaux de contrôle et de confort à l’utilisateur. La Huawei Watch est disponible en trois coloris : doré, argenté et noir.Pensée pour être personnalisable au gré des goûts et des envies de l’utilisateur, plus de 40 cadrans diff érents sont disponibles, ainsi qu’une large gamme de bracelets aux matériaux et styles variés. Elle disposera également d’une station de chargement magnétique pour plus de facilité d’utilisation.

Un « petit bijou » d’intelligence embarquée Fonctionnant sous Android Wear™, recevoir ses emails et SMS, consulter son calen-drier, accéder à ses applications ou encore consulter ses notifi cations d’appels n’aura jamais été aussi simple.Compatible avec les smartphones fonctionnant sous Android 4.3 ou ultérieure, la Huawei Watch bénéfi cie d’un puissant processeur Qualcomm 1.2 GHz, gage de per-formances exceptionnelles, dispose de 4GB de stockage, 512MB de RAM et d’une fonctionnalité Bluetooth 4.1. Les sportifs et les joggers, ou plus simplement ceux désireux de suivre leur activité physique au quotidien, apprécieront son cardio-fré-quencemètre, ses capteurs gyroscopiques de mouvement sur 6 axes et son capteur barométrique, qui détectent et analysent automatiquement et en temps réel si l’uti-lisateur est en train de marcher, de courir, de pédaler, de randonner ou de dormir. Ils peuvent suivre le nombre de calories brûlées, la fréquence cardiaque, le dénivelé, le nombre de pas eff ectués et la distance parcourue.

Ecosystème de santé HuaweiPour encourager les consommateurs à vivre une vie plus saine, Huawei a entrepris de mettre enplace un écosystème de santé et de bien-être qui aidera les utilisateurs à se fi xer des objectifs et à suivre leurs progrès. Après avoir signé plusieurs partenariats très encourageants, notamment avec Jawbone, l’écosystème de santé Huawei est amené à s’enrichir d’autres applications innovantes dans les domaines de la santé et du bien-être afi n d’encourager les utilisateurs à libérer tout leur potentiel.

Disponibilité et accessoiresLa Huawei Watch sera commercialisée dans plus de 20 pays, dont la France. La dis-ponibilité et les tarifs exacts seront communiqués à une date ultérieure pour chaque marché concerné.

Huawei TalkBand B2 – La combinaison parfaite entre l’oreillette Bluetooth et le tracker santéLa deuxième génération des produits TalkBand de Huawei, le TalkBand B2, se carac-térise par un design plus adapté au monde professionnel, des fonctionnalités plus intelligentes et plus précises pour le suivi des exercices de fi tness, ainsi que par une synchronisation améliorée avec l’appareil mobile de l’utilisateur. Doté d’une connec-tivité Bluetooth ultra rapide, le Huawei TalkBand B2 n’est pas seulement un dispositif

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TÉLÉCOM

adapté au suivi de sa santé, mais aussi l’alliance parfaite entre une oreillette Blue-tooth et un bracelet adapté à la pratique d’une activité sportive.Équipé de capteurs dernière génération 6-axes, le système de détection intelligent du TalkBand B2 peut automatiquement identifi er et enregistrer les mouvements avec précision, indiquer la durée du sommeil profond et du sommeil léger et donner aux utilisateurs des conseils santé pour améliorer le rythme de leur sommeil.Parfait compagnon des appareils mobiles des utilisateurs, TalkBand B2 est doté d’un double microphone, d’une technologie de réduction de bruit et d’une connectivité Bluetooth de qualité. De plus, il est également équipé d’une détection intelligente qui permet de savoir si l’oreillette Bluetooth est placée ou non sur le bracelet, de manière à recevoir automatiquement les contenus audio (musique/appels) sur le smartphone ou le bracelet B2. Le TalkBand B2 est également équipé d’un bipeur qui permet de chercher et localiser un smartphone grâce à des vibrations ou des alertes sonores, quel que soit le modèle.Conçu dans un esprit mode par l’équipe du Huawei Aesthetics Center à Paris, le de-sign minimaliste du Huawei TalkBand B2 se distingue avant tout par sa simplicité. Le TalkBand B2 est réalisé à partir d’un matériau aluminium à la fois très résistant et léger, similaire à celui utilisé en aéronautique. Equipé d’un écran tactile HD intuitif et ergonomique, le TalkBand B2 existe avec deux bracelets, l’un en TPU adapté à un environnement professionnel et l’autre en cuir luxueux, se transformant ainsi au gré des situations. Chaque bracelet se décline dans une large gamme de coloris.Le TalkBand B2 est doté d’une batterie aux capacités impressionnantes, lui conférant cinq jours d’autonomie, 6 heures de conversation en continu et 12 jours en veille. Le TalkBand B2 est compatible avec des appareils fonctionnant sous le système d’exploitation Android 4.0 et les iPhones équipés de l’iOS version 7.0 ou ultérieure. Il sera disponible en trois couleurs : noir, argent et doré et sera commercialisé au prix conseillé de 199 euros pour la version premium et 169 euros pour la version classique.

Huawei TalkBand N1 – Ecouteurs Bluetooth de grande qualité pour les ama-teurs de sport et de musiqueLe TalkBand N1 de Huawei est le premier système audio portable Hi-Fi et Bluetooth doté d’une capacité de stockage de 4Go pour les MP3, soit 1 000 titres, off rant la possibilité d’appeler en Bluetooth et permettant de suivre l’activité physique. Conçu avec des composants utilisés pour des enceintes de grande qualité, le TalkBand N1 off re aux utilisateurs une expérience incomparable : une qualité de son profession-nel, des écouteurs portables haut de gamme avec un excellent réglage du tuning. Grâce à une gamme de fréquences de 20-20KHz , le TalkBand N1 conjugue qualité de son et expressivité exceptionnelle. Le TalkBand N1, qui bénéfi cie de la technologie Bluetooth APTX de transmission de données sans fi l, permet aux utilisateurs de pro-fi ter d’un son de qualité CD via le casque Bluetooth.En association avec un smartphone, le TalkBand N1 sert également d’outil de suivi de la santé et de l’activité sportive. Il off re des fonctionnalités telles le comptage des pas eff ectuées, le calcul des distances parcourues et des calories brûlées, entre

autres choses. Il comporte également une fonction assurant la diff usion des noms ou numéros de téléphone des appels entrants de manière à ne manquer aucun appel en cours de déplacement.Grâce à son revêtement en caoutchouc souple TPU, le TalkBand N1 pèse à peine 18 grammes et affi che un indice d’étanchéité à la poussière et à l’eau de IP54, qui rend les écouteurs résistants à la transpiration, un avantage apprécié par les sportifs. De plus, le TalkBand N1 grâce à ses écouteurs magnétiques, il se transforme en collier et accessoire de mode. Le TalkBand N1 se décline en trois coloris tendance : argent, gris et rouge et sera commercialisé au prix conseillé de 129 euros.

« Quand le rêve inspire la créativité » : un monde aux possibilités infi niesLors du salon MWC 2013, Huawei avait introduit son nouveau concept de marque « Make it possible ». Grâce à ses nombreuses campagnes marketing dans le monde entier, qui se comptent par douzaines, et notamment au parrainage, depuis deux ans, de grandes équipes de football, Huawei est désormais un constructeur de smart-phones très célèbre auprès des consommateurs du mondeentier ; une relation émotionnelle s’est en eff et tissée entre la marque et ses utili-sateurs. En octobre 2014, Huawei est devenue la première société chinoise à entrer dans le Top 100 Interbrand des marques mondiales.« Nous entendons désormais mettre l’accent sur le « it » de notre « Make it possible », qui est au coeur de la relation émotionnelle entre la marque et ses utilisateurs » indique M. Shao Yang, Vice-Président du Marketing, Huawei Consumer BG. « Par le « it », nous faisons référence au pouvoir du rêve et de l’innovation. C’est pourquoi, à l’occasion du salon MWC 2015, Huawei a dévoilé une nouvelle vision pour sa marque : “Les rêves inspirent la créativité”, un slogan qui met l’accent sur les aspirations des utilisateurs. Cet idéal est une valeur commune qui nous lie à nos clients. Nous pen-sons que si chacun d’entre nous croyait dans le pouvoir des rêves et de la créativité, le monde serait meilleur ».Huawei concrétise ce passage de la Marque 1.0 à la Marque 2.0 en faisant évoluer sa vision depuis « Make it possible » vers « Dreams Inspire Creativity ». Stimuler l’inno-vation par le rêve, tel est l’idéal que Huawei souhaite partager avec ses utilisateurs ».Le monde devient de plus en plus complexe, les crises se succèdent l’une après l’autre. Le pessimisme et le doute s’installent et certains n’ont plus courage de rêver en grand et d’agir avec audace. Mener à bien ses rêves est un parcours semé d’embûches. Ambition et confi ance sont les maîtres mots pour réaliser ses rêves. Les consommateurs d’aujourd’hui attendent des marques qu’elles les inspirent, qu’elles les poussent à croire en leurs rêves. L’audace et l’esprit de compétition guident notre entreprise depuis 27 ans. C’est cet esprit qui a présidé à l’ensemble de nos réalisa-tions à ce jour et qui continuera de nous inspirer pour faire en sorte que l’impossible devienne possible pour nos clients.Fort de cet idéal de marque, Huawei Consumer BG continuera de proposer des pro-duits et services innovants off rant aux utilisateurs des expériences répondant à leurs attentes, les anticiper même.

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INFRASTRUCTURE

LES IMPRIMANTES 3D SONT ENCORE TROP CHÈRES POUR LES ENTREPRISES

D'après Gartner, 60% des entreprises affi r-ment que les coûts de départ trop élevés constituent le principal frein à l'investis-

sement dans l'impression 3D et à l'intégration de cette technologie au sein de leurs stratégies. Gartner a en eff et voulu savoir pourquoi les entre-prises souhaitaient investir dans l'impression 3D et ce qui freinait leurs décisions. Résultat, trois raisons incitent les entreprises à explorer cette voie : le prototypage (24,5%), le développement produit (16,1%) et l'innovation (11,1%). L'im-pression 3D permet, en eff et, de matérialiser des pièces ou des produits qui ne pourraient pas l'être avec les méthodes traditionnelles.

Gartner prévoit ainsi que d'ici 2018, près de la moitié des industriels utiliseront l'impression 3D pour produire certaines pièces des articles qu'ils consomment ou qu'ils vendent. Les professionnels sondés ont également estimé en majorité que l'utilisation d'une imprimante 3D au sein de la chaîne d'approvisionnement de l'entreprise permettait de réduire le coût des pro-cesssus existants, en particulier les coûts de R&D. "La réduction moyenne du coût des produits fi nis oscillerait entre 4,1 et 4,3 %" note Mr Basiliere de Gartner. "Cela montre que les early-adopters de cette technologie y voient des avantages évi-dents, qui sont d'ailleurs susceptibles d'accélérer

son adoption". Et quand on les interroge sur le choix d'une impri-mante 3D, 37% des répondants citent la qualité de la pièce fabriquée comme le principal critère de décision, alors que 28% se basent avant tout sur le prix. Seulement 9% s'attardent sur certaines don-nées techniques comme la vitesse d'impression, les matériaux compatibles, le volume d'iimpres-sion etc. Moralité : les revendeurs doivent maintenant uti-liser les arguments marketing montrant comment cette technologie peut être appliquée pour que l'entreprise devienne plus compétitive.

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INFRASTRUCTURE

L'IMPORTANCE DE L'IMPRESSION DANS LES SALLES DE CLASSE NUMÉRIQUES

Début février, Axelle Lemaire a annoncé que tous les collégiens en cinquième seront équipés d'une tablette numérique dès la

rentrée 2016. Avec les nombreux atouts qu'on lui connaît, le numérique a pris une place impor-tante dans notre société et investit maintenant les écoles.Pourtant, malgré une utilisation croissante de ces nouveaux objets, le besoin d'avoir des docu-ments imprimés reste très présent. Alors que cela peut sembler aller à l'encontre de l'évolution vers le tout-numérique, un indéniable besoin de documents en format papier subsiste. Les élèves doivent pouvoir imprimer leurs devoirs et les pro-fesseurs doivent avoir la possibilité d'imprimer les tests, les leçons et autres documents.

Immortaliser ses meilleures réussites, et assu-rer le suiviAu-delà du simple besoin d'imprimer, les élèves ressentent également un sentiment de satis-faction et de réussite lorsqu'ils voient leur dur labeur sous forme de document papier. Pensez à

cet élève qui a passé des heures à travailler sur ce rapport ou ce projet parfaitement réalisé et ima-ginez la fi erté qu'il ressent lorsqu'il voit le fruit de son travail sous format papier ou lorsqu'il reçoit le très fameux bon point de la part de son profes-seur. De la même manière, les tests sous forme papier permettent à bon nombre de parents de vérifi er la scolarité de leur progéniture sans avoir des connaissances en informatique.Pour les professeurs aussi, cela peut s'avérer utile : les tests écrits assurent que les élèves n'auront pas accès à internet via leurs terminaux mobiles, et permet de garder des traces « physiques » des cours.

Impression : ancien matériel, nouveau chal-lenge ?Mais l'impression via des appareils mobiles peut quelques fois poser problème : les logiciels téléchargés peuvent parfois être ineffi caces ou incompatibles, de plus de nombreux réglages sont parfois nécessaires. De plus, étant donné que la majeure partie des achats est consacrée

au matériel numérique, beaucoup d'écoles n'ont tout simplement pas les fonds nécessaires pour dépenser des dizaines de milliers de dollars dans l'achat de nouvelles imprimantes avec fonction d'impression mobile.

Pour les écoles, l'idéal serait de trouver une solu-tion qui permettrait d'utiliser les imprimantes d'origine sans pour autant avoir à passer par d'autres étapes complexes. Ce type de produits existe et faciliterait grandement la transition vers un environnement numérique. Dans le futur, l'intégration des standards de l'impression mobile supportera des fonctions d'impression avancées sur une fl otte numérique variée, que ce soit dans le domaine de l'éducation ou dans les secteurs industriels. À partir de ce moment-là, l'expérience de l'impression mobile sera semblable à celle de l'impression de bureau. Ce n'est plus qu'une ques-tion de temps.

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INFRASTRUCTURE

LA COMPLEXITÉ DES RÉSEAUX COÛTE CHER AUX ENTREPRISESLes vulnérabilités des réseaux traditionnels coûtent plus cher que prévu aux entreprises et pèse à la fois sur les fi nances, la croissance et l’emploi. Selon une enquête réalisée pour le compte d’Avaya, 81 % des professionnels interrogés en Europe ont connu une panne réseau causée par des erreurs du personnel informatique lors de modifi cations apportées à la confi guration du cœur de réseau. Une panne réseau sur cinq serait imputable à ce type d'erreur. Cette pro-portion varie cependant suivant les pays. Si elle dépasse un quart (26 %) en Scandinavie, elle atteint à peine 11 % en Italie.Plus préoccupant : 77 % des entreprises vic-times de ces pannes ont subi en moyenne un manque à gagner de 68 438 € sur une année. 44 % indiquent également une dégradation de la productivité et une perturbation de l’activité ou encore des retards touchant d’autres projets informatiques (40 %). 30 % ont même dû di-rectement subir une interruption de leur chaîne logistique.Près d’une entreprise sur cinq a par ailleurs licencié un membre de son personnel informa-tique après une panne réseau. Ce nombre est encore plus considérable dans certains pays, s’élevant par exemple à environ une sur quatre en Espagne et en Allemagne.L’enquête indique aussi que les entreprises en Europe patientent près d’un mois (29 jours en moyenne) avant de pouvoir apporter les modi-fi cations nécessaires à leur réseau. La moyenne européenne étant de 13 modifi cations par an.

Ce qui signifi e que les entreprises peuvent de-voir attendre près de 54 semaines, soit un peu plus d’un an, des améliorations susceptibles de contribuer à leur croissance, à l’augmentation de leur productivité et de leurs ventes ainsi qu’à optimiser leur capacité d’analyse. La Russie se distingue par la durée d’attente la plus longue (37 jours), à l’opposé de l’Espagne (14) et l’Alle-magne (16). Moins de 2 % des entreprises euro-péennes déclarent n’avoir jamais eu à attendre une fenêtre de maintenance adéquate, tandis qu’une écrasante majorité (98 %) fait état de retards aff ectant.

Au fi nal, 94 % des entreprises européennes sont pénalisées par la complexité de leur réseau, qui restreint les possibilités et les fenêtres de dé-ploiement. L'occasion pour Avaya de mettre en avant sa technologie et de révéler que le temps moyen de confi guration d’un réseau Fabric est de seulement 17 heures, d’où un déploiement des mises à jour près de sept fois plus rapide que sur un réseau classique. Sans compter que 70 % des clients Avaya Fabric Connect ont pu élimi-ner les pannes réseau causées par des erreurs humaines.

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SÉCURITÉ

Lorsque les DSI parlent de sécurité, ils utilisent souvent des termes comme « pare-feu » et « antivirus ». Pour quelles raisons l’environne-

ment technologique actuel requiert-il un autre lan-gage ?

Les entreprises modernes sont plus ouvertes que jamais, mais cela ne signifi e pas qu’elles sont plus sécurisées. De leur côté, les entreprises tirent parti du cloud en se focalisant sur leurs compétences internes et en externalisant ce qu’elles peuvent à des presta-taires tiers. Du côté du client, les employés équipés de périphériques demandent de plus en plus un accès fl exible et fl uide aux données en tout lieu.

Lorsqu’un DSI envisage la sécurité, il pense proba-blement « pare-feu » et « antivirus ». Bien que ces technologies de sécurité restent pertinentes, l’envi-ronnement technologique évoluant vers le cloud et le mobile oblige à présent les DSI à considérer un nouvel ensemble de solutions. Les professionnels de la sécurité doivent veiller à ce que le langage de chaque DSI intègre le concept d’identité.

L’identité est le nouveau périmètreL’approche classique de la sécurité d’entreprise s’est axée sur la protection des utilisateurs au moyen de pare-feu comme périmètre de sécurité. Aujourd’hui, la vague du mobile, du cloud et du SaaS submerge les entreprises, ainsi que les demandes d’accès de parte-naires et de clients, cette approche cesse alors d’être viable. Les entreprises doivent à présent valider les utilisateurs sur la base de l’identité et de certaines caractéristiques comme le rôle, les droits d’accès, le lieu et le périphérique, indépendamment de l’origine de la demande et où résident les données. Ainsi, les périmètres de sécurité classiques cèdent le pas à un environnement virtualisé dans lequel les identités fédérées façonnent un nouveau cadre.

Le cloud facilite la gestion des identitésLes DSI disposent désormais d’outils modernes de gestion des identités pour permettre une authen-tifi cation sur tous les terminaux mobiles, depuis n’importe où. Ils peuvent ainsi confi gurer les pro-cessus d’authentifi cation en tout lieu, puis les asso-cier à des utilisateurs dans un référentiel hébergé n’importe où, et enfi n les attribuer à une application on-premise ou cloud. Ils peuvent intégrer les sys-tèmes internes actuels de gestion des identités et

les annuaires d’utilisateurs fi naux à des services IAM dans le cloud. Cela permet aux entreprises d’externa-liser ces services IAM pour les groupes d’utilisateurs et les applications non stratégiques tout en gérant les identités et droits critiques en interne. Des fonc-tions comme l’authentifi cation multifacteur existent maintenant en tant qu’extensions dans le cloud, per-mettant ainsi une intégration facile et économique.

L’expérience utilisateur de l’authentifi cation doit être cohérente entre tous les canauxDe nombreuses entreprises investissent lourde-ment dans un système de sécurité qui fonctionne pour les applications Web, mais pas nécessairement pour celles mobiles. Les nouvelles normes d’identité comme OpenID Connect et OAuth 2.0 off rent une expérience cohérente pour l’authentifi cation des utilisateurs entre les applications Web et mobiles. OpenID Connect permet de centraliser l’authentifi -cation des utilisateurs pour superviser leurs activités en toutes circonstances. Vous pouvez ainsi appliquer complètement les outils de sécurité déjà mis en place. Les utilisateurs bénéfi cient d’une expérience similaire en tout lieu. En outre, les mêmes normes peuvent servir à sécuriser un accès à des applications via des API orientées identité.

Une expertise approfondie n’est plus nécessaireA l’origine, l’utilisation de l’authentifi cation unique

Single Sign-On (SSO) requérait ne certaine exper-tise car il était nécessaire de comprendre le langage SAML (Security Assertion Markup Language) ou faire appel à un spécialiste. Aujourd’hui, il existe l’option « assistant » qui permet maintenant à quiconque de se connecter rapidement en toute conformité.

Conformité et facilité d’utilisation vont de pairMettre en place un haut niveau de sécurité au sein de l’entreprise est devenue une condition sine qua non pour répondre aux exigences de conformité externes et réglementaires. S’assurer que les collaborateurs s’authentifi ent aux applications en toute sécurité permet à l’entreprise de protéger ses ressources au sein de l’entreprise. Les bénéfi ces sont multiples : les employés risquent moins de mettre en péril l’entre-prise en réutilisant leurs identifi ants professionnels dans le cloud, l’entreprise renforce la sécurité des informations en contrôlant tout accès d’un employé à une application cloud.Enfi n, les utilisateurs gagnent du temps en gestion des mots de passe et disposent d’un accès optimal aux applications.

La gestion des identités et des accès évolue sous l’eff et des tendances du cloud et du mobile. En com-prenant ces nouvelles réalités, les DSI vont améliorer leur prise de décisions au bénéfi ce de leurs entre-prises aujourd’hui et demain.

PAREFEU , ANTIVIRUS … POUR SÉCURISER UNE ENTREPRISE, LES DSI DOIVENT AJOUTER GESTION DES IDENTITÉS À LEUR VOCABULAIRE

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SÉCURITÉ

L’essence même du Bring Your Own Device (BYOD) est la possibilité d’accéder aux réseaux d’entre-prise de n’importe où et n’importe quand. Des ou-

tils tels que les ordinateurs portables, tablettes, smart-phones de plus en plus puissants et dorénavant les technologies émergentes telles que les Google Glass, qui permettent d’accéder à un large choix d’applica-tions d’entreprise et de communications, permettent cette connectivité constante. Le BYOD s’est considérablement développé au cours des dernières années et a causé d’importants problèmes aux départements IT lorsqu’il a fallu trouver un moyen de l’adopter en toute sécurité. Avant même que les or-ganisations en entendent parler, cette tendance a été rapidement et largement acceptée par de nombreux salariés qui utilisaient leurs appareils personnels au travail ou à des fi ns professionnelles – sans vraiment penser à la manière dont cela impacterait le réseau ou l’entreprise dans son ensemble. Cependant, alors que le BYOD est encore à l’ordre du jour, les ‘technologies émergentes’ arrivent au devant de la scène… comme les Google Glass et montres intelligentes, déjà sur le marché, ainsi que d’autres innovations à venir. Cela vient s’ajouter aux préoccupa-tions soulevées par le BYOD. Les organisations sont, de manière compréhensible, très inquiètes de ce qui nous attend. L’étude mondiale Fortinet, menée dans 20 pays auprès de 3200 salariés âgés de 21 à 32 ans, a constaté que 16% des sondés déclarent qu’ils utiliseront les techno-logies ‘wearable’ (technologies qui se portent sur soi) au travail ou à des fi ns professionnelles dès qu’elles seront disponibles et 33% lorsque les prix seront abor-dables. Seulement 8% de l’échantillon pense que ces technologies ne vont se répandre sur le lieu de travail. Ces conclusions indiquent que les organisations ne peuvent tout simplement pas ignorer l’impact que les technologies émergentes vont avoir. Evidemment, comme toutes nouvelles technologies qui arrivent sur le marché et gagnent rapidement en popularité, les préoccupations concernant les implica-tions en matière de sécurité ne sont jamais loin der-rière. Pour les responsables informatiques, l’utilisation des technologies émergentes mettra l’accent sur des questions similaires à celles des appareils mobiles, dont la plus importante est l’accès aux données d’en-treprise. Ici, la gestion de l’identité sera un élément clé d’une solution de sécurité réseau encore plus étendue. En eff et, l’utilisation des technologies émergentes pose un problème de confi dentialité des données. Les appa-

reils tels que les Google Glass, montres et perruques intelligentes permettent aux utilisateurs d’enregistrer tout ce qu’ils peuvent voir à travers les caméras inté-grées, conduisant à de potentielles violations de la pro-tection des données. Les responsables informatiques qui autorisent ces technologies sur le lieu du travail doivent également prendre en considération la sécurité sans-fi l. Actuelle-ment, les technologies émergentes utilisent soit leur propre capacité WiFi pour se connecter à un réseau soit le Bluetooth pour se connecter à une tablette ou un smartphone afi n d’accéder à Internet via un réseau 3G/4G. Il y a plusieurs aspects à considérer; le premier est l’utilisation des réseaux publics et non sécurisés. Comme ces appareils seront plus largement déployés, ils deviendront une cible pour la communau-té cybercriminelle tout comme les appareils mobiles d’aujourd’hui. Ces appareils ont une puissance de trai-tement limitée et il est peu probable que des fonction-nalités de sécurité comme un logiciel anti-virus soient un jour disponible pour eux. Ainsi, l’élément de sécurité devra reposer sur les mesures que les organisations ont mises en place afi n que les salariés y adhèrent. Pour s’assurer qu’elles soient suivies en toute sécurité et effi cacité, un programme d’éducation est nécessaire de sorte que les salariés aient des lignes directrices quant aux dangers potentiels d’eff ectuer des tâches sensibles sur les réseaux publics et de télécharger du contenu public. Sur le lieu de travail, ces appareils se connec-teront au réseau WiFi de l’entreprise. La sécurité doit donc être intégrée au sein du réseau avec un ensemble de règles et politiques communes qui déterminent le niveau d’accès des utilisateurs et la manière dont ils le connectent – accès fi laire, sans-fi l ou à distance. Les questions de sécurité soulevées par les techno-logies émergentes pourraient constituer une réelle

menace pour les entreprises, en particulier celles qui traitent des informations sensibles tels que les cabi-nets d’avocats, les institutions fi nancières ou gouver-nementales. Si une entreprise autorise l’utilisation de telles technologies à des fi ns professionnelles, elle doit développer une politique d’utilisation claire. Cette politique doit indiquer qui est autorisé à apporter les technologies sur le lieu du travail, à quelles parties du réseau elles peuvent accéder et à quelles procédures et protocoles de sécurité elles doivent se conformer. Il parait que de nombreuses formes de ces technologies dites émergentes deviendront un jour aussi courantes que les smartphones et tablettes. Les Google Glass, par exemple, sont conçues pour permettre à l’utilisateur d’accéder à Internet, fi lmer et prendre des photos, le tout en un clin d’œil. Il est vrai que ces caractéristiques augmenteront la productivité, mais à l’inverse, pourrait la diminuer, car cela pourrait être considérer comme une distraction pour l’utilisateur. Si les entreprises adoptent la technologie ‘wearable’, alors des limites seront nécessaires. Il est temps pour les entreprises de penser à la pro-chaine étape, car la technologie continuera d’évoluer qu’elle soit acceptée ou non dans le milieu profession-nel. Il faut comprendre que ces nouvelles technolo-gies ne remplaceront pas les téléphones, tablettes et ordinateurs portables; ce sont des appareils en plus, donc avoir la bonne solution en place pour sécuriser le réseau est primordial.Ce ne sont pas que des mauvaises nouvelles pour les entreprises. Si elles sont prêtes et relèvent de manière active les défi s des technologies émergentes en termes de politiques, sécurité, gestion et surveillance du réseau, alors elles seront fortement avantagées par rapport aux autres.

TECHNOLOGIES ÉMERGENTES LA PROCHAINE ÉTAPE EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ

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SÉCURITÉ

Des failles de sécurité déjà connues restent en bonne place parmi les menaces informatiques potentielles. Les 10 failles de sécurité les plus

utilisées par les hackers en 2014 exploitent en eff et des vulnérabilités de codes déployés dans des systèmes depuis parfois des dizaines d’années. Tel est le constat que l'on peut tirer de l’édition 2015 de l'étude annuelle ‘Cyber Risk Report” publiée par HP. Ce rapport donne un état de la recherche et une analyse en profondeur des problèmes de sécurité les plus sérieux auxquels les entreprises ont été confrontées en 2014. Il évoque éga-lement les tendances probables pour 2015.

Diligentée par HP Security Research, cette étude ana-lyse les données identifi ant les failles de sécurité les plus répandues qui laissent les organisations vulné-rables face à des attaques. Le rapport de cette année révèle que des failles de sécurité déjà connues et des erreurs de confi guration ont contribué aux menaces les plus importantes en 2014.

"Un grand nombre de risques de sécurité majeurs sont liés à des failles connues depuis des décennies, et qui laissent les organisations inutilement exposées", a déclaré Art Gilliland, Sénior Vice-Président et Direc-teur Général de la division HP Enterprise Security Pro-ducts. "Nous ne pouvons pas nous contenter de nous défendre contre ces vulnérabilités connues en atten-dant la prochaine solution technologique miracle. Les organisations doivent plutôt faire usage de tactiques de sécurité fondamentales pour contrer les vulnérabili-tés connues, et ensuite, éliminer des quantités impor-tantes de risque".

Faits marquants et résultats majeurs44 % des failles de sécurité connues sont liées à des vul-nérabilités identifi ées depuis 2 à 4 ans. Les attaquants continuent d’exploiter des techniques classiques pour réussir à s’introduire dans les réseaux et les serveurs. Chacune des 10 vulnérabilités les plus exploitées en 2014 s’est servie de faiblesses dans des lignes de code écrites depuis des années, voire des dizaines d’années.La première cause de vulnérabilité est une mauvaise confi guration des serveurs. Devançant de loin des vul-nérabilités comme le manque de confi dentialité ou la faible sécurisation des cookies, la mauvaise confi gura-tion des serveurs arrive en tête des failles de sécurité en 2014. Ce défaut permet aux hackers d’accéder aux fi chiers, et rend ainsi les entreprises vulnérables aux attaques.

Les objets connectés ouvrent de nouvelles portes aux

attaquants. En plus des risques de sécurités présentés par les objets connectés, 2014 a également vu une croissance des logiciels toxiques implantés sur les mobiles. Avec l’expansion croissante de l’éco-système participant aux traitements informatiques, les hackers vont pouvoir agir sur des points d’entrée au système d’information plus nombreux, tant que les entreprises n’auront pas pris de mesures de sécurité sur ce sujet.

Les principales causes d’exploitation des vulnérabilités sur les logiciels sont les erreurs, les bogues et les dé-fauts de logique dans le codage. La plupart des failles de sécurité ont pour origine un petit nombre d’erreurs courantes dans la programmation. Anciennes et nou-velles vulnérabilités des logiciels sont rapidement exploitées par les attaquants.

Recommandations principalesUne stratégie globale de déploiement des correctifs aux moments opportuns devrait être mise en place pour défendre le réseau et s’assurer que les systèmes sont à jour avec les dernières protections de sécurité en date afi n de réduire le risque de réussite des attaques.

La vérifi cation des confi gurations et des tests régu-liers de pénétration eff ectués à la fois par des équipes

internes et externes peuvent permettre d’identifi er d’éventuelles erreurs de confi guration avant que les hackers ne les utilisent à mauvais escient.

Atténuer les risques potentiellement introduits sur le réseau avant l'adoption de nouvelles technologies. Avec les technologies émergentes comme l'Internet des Objets (IdO), il est impératif pour les organisations de se protéger contre les failles de sécurité potentielles en prenant conscience de nouvelles possibilités d'at-taque avant qu'elles ne soient exploitées.

La collaboration et le partage d’informations est un facteur clé pour réagir aux menaces variées portant sur l'ensemble du secteur de la sécurité. Cela permet aux organisations de mieux comprendre les tactiques des adversaires, de constituer une défense plus proactive, de renforcer les protections off ertes par les solutions de sécurité, et de créer un environnement global plus sûr.

Une stratégie de protection complémentaire devrait être adoptée avec une philosophie d’ "acceptation des failles" continue. Il n'y a pas de solution miracle, et les équipes chargées de défendre le S.I. devraient mettre en œuvre un ensemble de tactiques complémentaires de sécurité pour assurer la meilleure défense possible.

LES PRINCIPALES MENACES INFORMATIQUES POTENTIELLES SONT DES FAILLES DÉJÀ CONNUES

Page 25: L'accessibilité économique des TIC

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Page 26: L'accessibilité économique des TIC

26 www.TechnoMag.ma - Février 2015 NUMÉRO 40

ÉVÈNEMENT

SALON SOLUTECHQ 2015

Solutechq, le salon des acteurs des solutions en Management Qualité, se tient pour sa 11ème édition sous le signe de la perfor-

mance.

Du 28 au 30 Mai 2015 - « Du Management de la Qualité au Management de la Performance par la Qualité » Depuis une décennie Solutechq s’est imposé comme l’événement professionnel incontour-nable du secteur, réunissant les acteurs de la qualité, et la certifi cation, du Management, de la RSE.... Ces approches sont indissociables en matière de compétitivité, de performance et de création de valeurs.

Quoi de plus naturel que notre rendez-vous bi-an-nuel orienté autour de la qualité et la certifi cation depuis 10 années, ne fasse un 360° pour boucler une réfl exion globale à la fois autour de la notion de Management Qualité et des besoins de l’entre-prise aujourd’hui ?

La performance a toujours été présente en toile de fond lors des débats Solutechq, mais comment la

défi nir aujourd’hui ? Celle-ci est souvent défi nie lorsqu’on évoque l’effi cacité ou l’effi cience d’une entreprise à savoir sa capacité à atteindre les objectifs fi xés et produire les meilleurs résultats possibles.

La performance par les résultats, est-ce le seul indicateur ? La notion de la performance est diffi cile à appré-hender car elle peut être mesurée par de très nombreux indicateurs et interprétée sous diff é-rents angles. Le résultat pour beaucoup d’experts, est mesurable, visible, palpable à l’aide d’outils adaptés...Il constitue un langage commun et universel qui permet de piloter des organisations, même les plus complexes.

De nouveaux angles de perception se profi lent, tel que celui du BPM (Business Performance Mana-gement et le lean Management ...) ; on peut au-jourd’hui globaliser les divers concepts du mana-gement de la performance. Le système de mesure et de pilotage en est une composante. La notion de « qualité » est encore aujourd’hui fortement marquée par l’héritage «du contrôle » propre à

l’industrie taylorienne.

Le système de management qualité mérite-rait aujourd’hui de contribuer pleinement aux approches actuelles d’amélioration de la per-formance globale. Comment peut-on mobiliser et faire partager des valeurs communes et impliquer les ressources internes dans des projets engageant la pérennité de l’organisation ? Telles sont les questions essentielles qui seront soulevées lors du SolutechQ.

Le salon Solutechq a accompagné depuis une décennie une génération de jeunes managers et de qualiticiens dans la réfl exion autour du management par la performance et notamment des risques par l’approche Qualité-Sécurité Envi-ronnement (QSE). Aujourd’hui, ce rendez-vous professionnel interpelle ces mêmes décideurs sur les nouveaux champs de réfl exion autour d’un management innovant, seule garantie pour une compétitivité et une performance durable pour toute organisation.

Page 27: L'accessibilité économique des TIC

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Page 28: L'accessibilité économique des TIC

28 www.TechnoMag.ma - Février 2015 NUMÉRO 40

ENTREPRISE

EN PERIODE DE SECHERESSE, LE LIQUIDE EST PRIMORDIAL

Cet article ne traite pas d’agriculture ou de météo-rologie ; quoi que une certaine forme de météo-rologie qui est celle de l’économie par le biais

d’un indicateur économique appelé « liquidité ». Dans un contexte économique incertain cette donnée est devenue essentielles. Comme les responsables des entreprises de taille moyenne sont plus attentives aux décisions d investir, c’est le bon moment de revenir sur les fondamentaux de l’économie des entreprises, com-ment les intégrateurs et revendeurs doivent prendre en compte ces paramètres afi n d’ouvrir les portes de l [email protected]

Marc est en charge de la distribution sur le maroc auprès d’un groupe de télécommunication inter-nationalTout d’abord défi nissons certaines notions ou indica-teurs qui sont souvent mis en relief dans les présen-tations pour justifi er ou non tel ou tel investissement.

Le CAPex et l’OPexLes dépenses d'exploitation (souvent abrégées en OPEX en anglais) sont les coûts courants pour exploiter un produit, des entreprises, ou un système. Les dépenses d'investissement de capital (CAPEX), se réfèrent aux coûts de développement ou de fourniture des pièces non-consommables pour le produit ou le système.Par exemple, l'achat d'un photocopieur est le CAPEX, et le coût annuel de papier et de toner consommé est l'OPEX. Pour de plus grands systèmes comme les entreprises, l'OPEX peut également inclure le coût des employés et des dépenses de service telles que le loyer et l'eau, le gaz, l'électricité, etcPar ailleurs, les nouveaux modèles technico-écono-miques comme le SaaS (Software as a Service) ou le Cloud Computing, à propos des équipements informa-tiques et télécom impactent directement les choix et décisions des entreprises. Ainsi, est-il plus économique d’acheter des serveurs et des équipements de stockage pour constituer son

propre centre de données (jouer le Capex) ou de payer à l’utilisation un ensemble de services « cloud » d’hé-bergement, de stockage… (choisir l’Opex) ?Dans une économie en crise, les entreprises auront plu-tôt tendance à se diriger vers l’opérationnel (Opex) car l’accès au fi nancement devient beaucoup plus diffi cile. Dans une économie en croissance, ce sera le contraire et les entreprises auront tendance à plus se diriger vers le Capex.Habituellement, les clients sont plus réceptifs sur les critères d’investissements CAPEX et demandent ainsi aux fournisseurs de baisser leur off res, oubliant par le même l’évaluation des coûts récurrents (OPex).

L’EQUATION TCO = CAPEX + OPEXLe Cout Total d ‘Acquisition (CAT, TCO en anglais), est un indicateur comptable et fi nancier qui aide des décideurs dans le choix des investissements d’équipe-ments. Cet indicateur suit des règles diff érentes suivant le contexte de l entreprise, qu’elle soit manufacturier ou dans le domaine du service, qu’elle dispose de plu-sieurs centres de production à l’étranger ou non.

Prenons l’exemple d’une PME de 50 employés.Celle-ci acquiert un système de communication pour environ 100 € par utilisateur d’investissement initial pour de la téléphonie classiques (routage intelligent,

boite vocale, service de mobilité.Les coûts récurrents de consommation, ie abonne-ment et trafi c par minute, se montent en moyenne à 20€ par mois et par utilisateur. Ce chiff re dépend des zones économiques, du profi l de l’utilisateur. Après une période de 10 ans, soit la durée d’amortissement du matériel investit (CApex), le cout récurrent (Opex) se monte à 120 mois x 20€ soit 2400€ par utilisateur. Ce chiff re est à comparer aux 200€ investit soit un rapport de 30/70%.

Conclusion: au lieu de se concentrer sur le poste comp-table des dépenses “CAPex”, les clients devraient prendre en compte l’ensemble des éléments regroupés autour du “TCO » et de constater si tel ou tel fournisseur est eff ectivement plus compétitif dans les choix courts termes mais aussi long terme.A titre d’exemple le fait de choisir un équipement capable de se raccorder en protocole SIP (Session IP Protocole) assure à l’entreprise un choix pérenne et économique dès lors que son fournisseur d accès (opé-rateur téléphonique) lui fournira cette capacité plus compétitive.

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Février 2015 www.TechnoMag.ma 29 NUMÉRO 40

ENTREPRISE

LES QUESTIONS DE SÉCURITÉ INFORMATIQUE QUE TOUTE PETITE ENTREPRISE DOIT SE POSER

Depuis 2013, de nombreuses attaques informa-tiques visant des entreprises aux profi ls très variés ont été révélées, soulignant la vulnéra-

bilité des systèmes informatiques face aux failles de sécurités. Tanguy de Coatpont, Directeur Général de Kaspersky Lab, expert mondial en sécurité informa-tique domestique et professionnelle, nous confi e ci-dessous les réfl exes à avoir en cas d’attaque.

Face à la prolifération des menaces informatiques, il est devenu crucial pour chaque entreprise de se protéger au mieux des attaques, mais les avis divergent sur la façon d’y procéder. Un informaticien aguerri vous don-nerait tellement de conseils techniques en tout genre que vous vous sentiriez perdu par la quantité d’infor-mations. Un informaticien moins bavard suggérera tout simplement de prendre un bon antivirus et de changer vos mots de passe régulièrement ; mais cela s’avérerait un peu trop léger.Il existe tout de même des méthodes simples à retenir sans se noyer dans le casse-tête de l’informatique.

Voici quelques points essentiels qui vous aideront à trouver la solution la plus adaptée à votre cas :

1. Où se trouvent mes données ?

Les données constituent l’enjeu principal. Qu’enten-dons-nous par “données” ? Copies de documents de travail, comptabilité, archives des conversations d’e-mails,... : ces données et leurs « conteneurs » sont cru-ciaux pour votre entreprise et ils doivent donc être bien protégés. L’un des problèmes majeurs se trouve dans le stockage des données, propice à la dispersion : sur les disques durs, les supports amovibles, les services de stockage sur internet,…, mais aussi les périphériques mobiles. Presque tous les utilisateurs de smartphones ou tablettes conservent des données personnelles et professionnelles sur le même appareil.Il est donc important de savoir quelles sont vos don-nées les plus sensibles et les plus susceptibles de créer des dommages graves à votre entreprise en cas d’attaque.

2. Quelle attitude adopter pour protéger mes don-nées ?La première étape consiste à comprendre ce que signi-fi e « protéger ». Il s’agit tout simplement de sécuriser l’accès tout en empêchant l’atteinte ou le vol de don-nées.Ensuite, il est nécessaire de se questionner sur les causes de ces invasions : s’agit-il de malwares ou d’attaques ciblées ? Les menaces ciblant le vol de docu-

ments de travail ou d’identifi ants de comptes bancaires ne doivent en aucun cas tomber entre de mauvaises mains. Compte tenu de la diversité des modes de stoc-kage, les solutions de sécurité doivent pouvoir couvrir tous types de terminaux (des ordinateurs aux périphé-riques mobiles) des malwares et tentatives d’attaques.La meilleure méthode (en d’autres termes, la seule) en cas d’attaque est d’utiliser une seule solution de sécuri-té multifonctionnelle, et non un mélange de diff érents antivirus ou de logiciels à action unique.

3. Comment m’assurer que mes données restent protégées ?De façon très simple, elles ne doivent pas quitter la « zone protégée ». Les données les plus sensibles doivent toujours se trouver à votre portée, sous votre contrôle et stockées avec un niveau de sécurité maximal, sans être copiées ailleurs. La conservation des données étant primordiale, les sauvegardes de secours doivent également être stockées à votre portée et sous forme cryptée, afi n que dans le cas où elles seraient volées, personne ne puisse les lire sans autorisation.Cette option est souvent négligée, mais le vieux pro-verbe « ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier » s’applique ici.

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RAPPORTS

IDC RÉVÈLE LES RÉSULTATS DE SON RAPPORT POUR LE 4ÈME TRIMESTRE DE 2014

• Le marché maghrébin montre une diminution annuelle en volumes et en valeur • Déclin annuel des importations Nord-Africaines de l’ordre de 16.1%, tandis que les revenues ont diminué de 4.7% pendant la même période. Le marché des périphériques en Afrique du Nord a connu une diminution de l’ordre de 16.1% et de 4.7% en volumes et en valeurs respectivement pendant le dernier trimestre de 2014. Cette performance est principalement due au déclin enregistré en Algérie, qui a été de l’ordre de 28.4% en unités et 23.6% en valeur. Le marché marocain a été caracté-risé par une augmentation en revenues de l’ordre de 5.4% en dépit de par une dimi-nution en volumes de 15.6%. Le marché Tunisien, quant à lui, a connu une évolution positive, que ce soit en quantités ou en valeur, selon l’étude trimestrielle publiée par International Data Corporation (IDC). Ce ralentissement qui a été relevé en Algérie est principalement dû à la réduction des dépenses en termes de périphériques de la part des deux secteurs publics et privés et plus précisément les périphériques d’impression. D’autre part, le marché Tunisien commence à reprendre de manière progressive et ce grâce à un nombre d’appels d’off res qui a été lancé et attribué pendant le même trimestre. Le Marché des imprimantes jet d’encre est toujours celui qui enregistre le déclin le plus important dans les trois pays. En eff et, cette technologie a enregistré des perfor-mances négatives respectives en volumes de -58.4%, -43% et -7.4% au Maroc, Algé-rie et Tunisie, correspondant à des déclins en revenues de 44.2%, -58.3% au Maroc et en Algérie, et une augmentation de 42,6% en Tunisie en comparaison avec la même période de l’année précédente.“ Ceci est expliqué par le fait que certains fabricants aujourd’hui focalisent de plus en plus leurs stratégies Marketing et commerciales sur les segments de prix les plus profi tables à la place des imprimantes d’entrée de gamme, chose qui expliqueégalement la croissance remarquable enregistrée dans les segments moyen et haut de gamme dans la région, et nous permet d’avoir également une indication que les stratégie marché que ces fabricants vont décliner en 2015 » Explique Imane Bel-habes, analyste Afrique du Nord et Afrique Francophone au sein de IDC. Comme c’est le cas pour le jet d’encre, les importations Maghrébines en imprimantes Couleur Laser ont également diminué annuellement de 9.1% en volumes totalisant un chiff re de 5000 imprimantes importées correspondant à un revenu de près de 6.6 Million de Dollars, ce revenu qui a augmenté par rapport au dernier trimestre de 2013 de l’ordre de 26.6%. Cette performance positive est due à l’augmentation re-

marquable atteinte sur les marchés Algérien et Tunisien avec 23.3% pour le premier et 19.8% pour le deuxième en volumes. Ces évolutions positives ont été enregistrées sur les segments d’imprimantes plus rapides (plus de 31 pages par minute), bien que les imprimantes de vitesse moyennesdominent toujours les importations en Laser Couleur. D’autre part, le marché maro-cain a eu une forte augmentation en revenues de 57.1%. Ce déclin en quantités im-portée est attribuable aux diminutions des importations d’imprimantes appartenant aux segments de vitesse d’entrée de gamme de la part des acteurs du marché afi n de se concentrer sur des périphériques de plus en plus performants, afi n de répondre aux besoins des utilisateurs fi naux qui sont en mutation permanente. Le segment Monochrome Laser est resté inchangé en termes d’unités importées, avec une régression de 8.9% en valeur dans la région, en comparaison avec la même période de 2013. Cette performance négative est plus accentuée en Algérie qui a régressé de -23.1% en volume et -26.5% en valeur. « Ce déclin qui a été remarqué dans tous les segments de vitesse est principalement dû au manque d’appels d’off res publics en Algérie à la fi n de 2014, étant donné que le secteur public reste la pre-mière source de demande en termes d’imprimantes Monochrome Laser d’entrée de gamme dans la région, et plus précisément en Algérie, où les ministères représentent près de 80% de la demande de périphériquesd’impression » explique Imane Belhabes.

SMARTPHONES : ANDROID, UN ÉCOSYSTÈME PAS SI RENTABLE QUE ÇA !

Il y aurait actuellement dans le monde, un peu plus de 2 milliards d'utilisateurs de smartphones. Ce qui veut dire qu'aujourd'hui un tiers de habi-

tants de la planète possède un smartphone. ‘Strategy Analytics fait le point sur le marché, à l'occasion de l'ouverture du Mobile World Congress de Barcelone.Le nombre de possesseurs de smartphones a pro-gressé de 37% l'an dernier pour dépasser les 2,1 millions d'utilisateurs. Et cette année encore, ce nombre devrait croître de nouveau pour atteindre les 2,5 milliards (+22%).

En fi n d'année, 35% de la population mondiale pos-sèdera un smartphone. "Le smartphone est devenu le produit électronique le plus répandu, souligne Neil Mawston, Executive Director chez Strategy Ana-

lytics. Le smartphone est omniprésent et il évolue rapidement pour devenir un hub central permettant de contrôler la vie quotidienne des consommateurs dans la maison, la voiture et même le bureau".

Global Smartphone Users in 2013 to 2015

Global Smartphone Users (Billions of Units) 2013 2014 2015

Total Smartphone Users 1.5 2.1 2.5

Total Population 7.0 7.1 7.2

Total Smartphone Users as % of Total Population 22% 29% 35%

Source: Strategy Analytics

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RAPPORTS

MARCHÉ DES SERVEURS : UNE DYNAMIQUE CONSTANTE

Au 4ème trimestre, les ventes de serveurs ont progressé de 4,8% en vo-lume et de 2,2% en valeur. Et ce, grâce à la dynamique des marchés MEA (+10,7%), Asie/Pacifi que (+9,1%) et Amérique du Nord (+7,6%).

Sur ce marché qui a généré 13,9 milliards de dollars rien qu'au 4ème trimestre, HP reste le numéro 1 incontesté avec 3,89 milliards de dollars de revenus (+1,5% par rapport à 2013) et 27,9% de parts de marché. Dell est le numéro 2 avec 2,4 milliards de dollars de chiff res d'aff aires (+16,9%).IBM, en revanche, accuse le coup avec un repli de 50,6% de son chiff re d'aff aires qui cale à 1,77 milliard de dollars. Á noter l'insolente performance de Lenovo dont le chiff re d'aff aires a progressé de 743% pour atteindre 1,1 milliard de dollars. C'est Cisco qui ferme la marche avec 772,2 millions de dollars de revenus (+19,5%).

Worldwide: Server Vendor Revenue Estimates, 4Q14 (US Dollars)

Company 4Q14 Revenue4Q14 Market Share (%)

4Q13 Revenue4Q13 Market Share (%)

4Q14-4Q13 Growth (%)

HP 3,897,668,666 27.9 3,839,527,072 28.1 1.5

Dell 2,425,147,102 17.3 2,074,167,350 15.2 16.9

IBM 1,788,907,117 12.8 3,662,900,853 26.5 -50.6

Lenovo 1,103,620,000 7.9 130,855,009 1.0 743.4

Cisco 772,200,000 5.5 646,100,000 4.7 19.5

Others 3,992,675,197 28.6 3,360,032,355 24.6 18.8

Total 13,980,218,081 100.0 13,673,582,640 100.0 2.2

Worldwide: Server Vendor Shipments Estimates, 4Q14 (Units)

Company4Q14 Shipments

4Q14 Market Share (%)

4Q13 Shipments

4Q13 Market Share (%)

4Q14-4Q13 Growth (%)

HP 642,007 23.7 721,032 27.9 -11.0

Dell 529,411 19.6 504,322 19.5 5.0

Lenovo 242,322 9.0 69,176 2.7 250.3

Huawei 117,911 4.4 91,433 3.5 29.0

Inspur Electronics 91,444 3.4 63,890 2.5 43.1

Others 1,082,985 40.0 1,131,960 43.8 -4.3

Total 2,706,080 100.0 2,591,812 100.0 4.8

Dans la zone EMEA, au cours de ce même trimestre, les ventes ont reculé de 0,7% (en volume) alors que les revenus ont progressé de 1,2% pour atteindre 3,6 milliards de dollars. HP domine toujours les débats aussi bien en volume qu'en valeur, loin devant Dell, Lenovo, Fujitsu, Cisco et les autres. Chez IBM, le chiff re d'aff aires a baissé de 57% sur cette période et le fabricant est même sorti du Top 5 en volume. Pour 2015 maintenant, Gartner s'attend à une croissance similaire, même si la persistence d'un dollar fort devrait contribuer à augmenter les prix et à res-treindre les dépenses dans la zone EMEA.

EMEA: Server Vendor Revenue Estimates, 4Q14 (US Dollars)

Company 4Q14 Revenue4Q14 Market Share (%)

4Q13 Revenue4Q13 Market Share (%)

4Q14-4Q13 Growth (%)

HP 1,349,742,231 37.50 1,227,689,485 34.5 9.9

Dell 582,324,225 16.2 488,845,100 13.7 19.1

IBM 393,464,384 10.9 915,632,505 25.7 -57.0

Lenovo 352,730,000 9.8 5,721,051 0.2 6.1

Fujitsu 232,977,606 6.5 252,090,555 7.1 -7.6

Others 688,399,132 19.1 668,413,359 18.8 3.0

Total 3,599,637,577 100.0 3,558,392,054 100.0 1.2

EMEA: Server Shipment Estimates, 4Q14 (Units)

Company4Q14 Shipments

4Q14 Market Share (%)

4Q13 Shipments

4Q13 Market Share (%)

4Q14-4Q13 Growth (%)

HP 237,712 39.0 241,385 39.4 -1.5

Dell 128,329 21.1 120,376 19.6 6.6

Lenovo 54,335 8.9 2,691 0.4 1.9

Fujitsu 30,544 5.0 33,362 5.4 -8.5

Cisco 16,002 2.6 14,054 2.3 13.9

Others 141,918 23.3 201,406 32.8 -29.5

Total 608,840 100.0 613,274 100.0 -0.7Source: Gartner (March 2015)

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WEB

Criteo, dont le chiff re d'aff aires a progressé de 68% en 2014 (par rapport à 2013) pour atteindre 745 millions d'euros, lance une

nouvelle solution publicitaire dynamique pour Facebook mobile.

Parce qu'aujourd'hui les internautes ont modifi é leurs habitudes de navigation et ont délaissé le PC pour les terminaux mobiles, les annonceurs Criteo ont désormais la possibilité de compléter leurs eff orts marketing sur Facebook Exchange en touchant également les consommateurs qui se connectent au réseau social en mobilité.

Pour ses publicités dynamiques, Criteo s’appuie

sur son puissant moteur algorithmique, afi n de fournir des recommandations et des campagnes d’enchères intelligentes sur tous les terminaux utilisés par les consommateurs pour se connecter à Facebook (smartphone, tablette ou ordinateur).

Menlook a été l’un des rares annonceurs invités à tester cette solution de publicité dynamique sur Facebook et les résultats du programme pilote ont monté que les ventes moyennes générées par les publicités dynamiques représentaient 6.2 % de toutes les ventes. Comparé à l’ensemble de toutes les autres campagnes mobiles, le « newsfeed » de l’app Facebook (le « fi l d’actualité ») a représenté 24.5% des ventes.

"L’application mobile Facebook est donc un lieu stratégique pour les commerçants afi n de tou-cher leurs clients" souligne Jonathan Wolf, chief product offi cer de Criteo. Et grâce aux solutions publicitaires dynamiques, Criteo peut adresser un message pertinent à ces clients, au bon moment, et ainsi transformer les clics en ventes et générer un fort retour sur investissement publicitaire pour ses clients.

Précisons enfi n que pour son exercice fi scal 2014, Criteo a réalisé 35 millions d'euros de bénéfi ces (en hausse de 1 million d'euros par rapport à l'exercice 2013).

CRITEO : UNE SOLUTION DE PUBLICITÉS DYNAMIQUES SUR FACEBOOK MOBILE

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34 www.TechnoMag.ma - Février 2015 NUMÉRO 40

WEB

Le spécialiste de la performance applica-tive Dynatrace propose aux entreprises le service Performance Test. Un outil en ligne

permettant d'analyser leurs sites du point de vue des utilisateurs mobile et web, et de com-parer leurs expériences avec les données des benchmarks Dynatrace.Disponible à cette adresse, ce service est très simple à utiliser. Il suffi t d'entrer l'URL du site mobile ou web ciblé, de choisir le lieu depuis lequel vous voulez eff ectuer les mesures et le secteur auquel vous souhaitez vous comparer. Un rapport est alors immédiatement généré et

évalue la qualité de l'expérience utilisateur du site par rapport à un site de référence sur votre marché. Ce "Performance Test" propose en eff et : • un rapport de performance avec le classe-ment du site par rapport à ses concurrents et une synthèse des écarts de temps de réponse et de taille des pages du site mobile ou web (tels que perçus par les utilisateurs) avec ceux des principaux concurrents du secteur.• un comparatif sectoriel des temps de réponse. Ce qui permet de classer le site par rapport à l'ensemble des sites de référence du

secteur.• une analyse de contenu avec 4 indicateurs clés pour le mobile et pour le we : le nombre d'hôtes auxquels le site se connecte, le nombre de connexions eff ectuées, le nombre de re-quêtes de contenus et le nombre d'octets récu-pérés.• une répartition du temps de réponse (sous forme de graphique) qui fournit une vue chro-nologique des temps de réponse du site et des performances de chaque interaction entre le navigateur et le site. Le service est gratuit.

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