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Laboratoire MixteinternationaL

LMi - LaPSeadaptation des Plantes et des microorganismes associés

aux Stress environnementaux

LMI Adaptation des Plantes et des microorganismes associés aux Stress Environnementaux (LAPSE)

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Pr Ibrahima NDOYE (UCAD) Dr Laurent LAPLAZE (IRD) ibrahima1.ndoye@ucad.edu.sn laurent.laplaze@ird.fr ibrahima.ndoye@ird.fr

Laboratoire Commun de Microbiologie IRD/ISRA/UCAD (LCM) Centre de Recherche de Bel-Air

BP 1386 CP 18524 Dakar

Sénégal Partenaires institutionnels : Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), AfricaRice, Université de Thiès

Equipes : UMR Diversité Adaptation et Développement des plantes (IRD/UM2), UMR Laboratoire des Symbioses Tropicales et Méditerranéennes (IRD/UM2/Cirad/SupagroM), Laboratoire Commun de Microbiologie (IRD/ISRA/UCAD), Laboratoire Campus de Biotechnologies Végétales (UCAD), Unité de Recherche en Culture In vitro (ISRA), AfricaRice Sahel Station (St Louis), Centre National de Recherches Forestières (ISRA), Centre d’Etude Régional pour l’Amélioration de l’Adaptation à la Sécheresse (ISRA/Université de Thiès) Priorités thématiques : « Productions et sécurité alimentaires » « Écosystèmes et biodiversité » Disciplines : VI.13.1 Biologie et physiologie de la production végétale VI.14.1 Microbiologie VI.17.1 Ecologie terrestre animale et végétale

RESUME En ce début de 21ème siècle, l’Afrique de l’Ouest doit faire face à un double défi. D’une

part, sa population est en forte croissance et d’autre part, un ensemble de facteurs environnementaux et anthropiques mettent en péril la capacité de la région à nourrir cette population. Parmi les facteurs les plus importants on peut citer les sécheresses liées à la baisse régulière des précipitations et la dégradation des sols (Bai et al., 2008). Cela se traduit par une perte de biodiversité, une diminution de la productivité agricole et au final un accroissement de l’insécurité alimentaire et ses effets (migrations, conflits…). Pour faire face à ces problèmes, il devient urgent de développer de nouvelles stratégies pour exploiter la diversité des plantes et des microorganismes symbiotiques associés en vue d’améliorer la production agricole et réhabiliter de façon durable les écosystèmes dégradés.

LMI Adaptation des Plantes et des microorganismes associés aux Stress Environnementaux (LAPSE)

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Pr Ibrahima NDOYE (UCAD) Dr Laurent LAPLAZE (IRD) ibrahima1.ndoye@ucad.edu.sn laurent.laplaze@ird.fr ibrahima.ndoye@ird.fr

Laboratoire Commun de Microbiologie IRD/ISRA/UCAD (LCM) Centre de Recherche de Bel-Air

BP 1386 CP 18524 Dakar

Sénégal Partenaires institutionnels : Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), AfricaRice, Université de Thiès

Equipes : UMR Diversité Adaptation et Développement des plantes (IRD/UM2), UMR Laboratoire des Symbioses Tropicales et Méditerranéennes (IRD/UM2/Cirad/SupagroM), Laboratoire Commun de Microbiologie (IRD/ISRA/UCAD), Laboratoire Campus de Biotechnologies Végétales (UCAD), Unité de Recherche en Culture In vitro (ISRA), AfricaRice Sahel Station (St Louis), Centre National de Recherches Forestières (ISRA), Centre d’Etude Régional pour l’Amélioration de l’Adaptation à la Sécheresse (ISRA/Université de Thiès) Priorités thématiques : « Productions et sécurité alimentaires » « Écosystèmes et biodiversité » Disciplines : VI.13.1 Biologie et physiologie de la production végétale VI.14.1 Microbiologie VI.17.1 Ecologie terrestre animale et végétale

RESUME En ce début de 21ème siècle, l’Afrique de l’Ouest doit faire face à un double défi. D’une

part, sa population est en forte croissance et d’autre part, un ensemble de facteurs environnementaux et anthropiques mettent en péril la capacité de la région à nourrir cette population. Parmi les facteurs les plus importants on peut citer les sécheresses liées à la baisse régulière des précipitations et la dégradation des sols (Bai et al., 2008). Cela se traduit par une perte de biodiversité, une diminution de la productivité agricole et au final un accroissement de l’insécurité alimentaire et ses effets (migrations, conflits…). Pour faire face à ces problèmes, il devient urgent de développer de nouvelles stratégies pour exploiter la diversité des plantes et des microorganismes symbiotiques associés en vue d’améliorer la production agricole et réhabiliter de façon durable les écosystèmes dégradés.

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LaPSe Laboratoire Mixte internationaL

En ce début de 21ème siècle, l’Afrique de l’Ouest doit faire face à un double défi. D’une part, sa population est en forte croissance et d’autre part, un ensemble de facteurs environnementaux et anthropiques mettent en péril la capacité de la région à nourrir cette population. Parmi les facteurs les plus importants, on peut citer les sécheresses et la dégradation des sols. Cela se traduit par une perte de biodiversité, une diminution de la productivité agricole et au final un accroissement de l’insécurité alimentaire et ses effets (migrations, conflits…). Pour faire face à ces problèmes, il devient urgent de développer de nouvelles stratégies pour exploiter la diversité des plantes et des microorganismes symbiotiques associés en vue d’améliorer la production agricole et réhabiliter de façon durable les écosystèmes dégradés.

Le Laboratoire Mixte international adaptation des Plantes et des microorganismes associés aux Stress Environnementaux (LAPSE) fédère une combinaison unique de chercheurs en biologie végétale et microbiologie travaillant à plusieurs échelles (du gène à l’écosystème) pour développer une approche intégrative visant à mieux exploiter la biodiversité des plantes et des microorganismes pour améliorer de façon durable la production agricole et réhabiliter les écosystèmes dégradés. Leurs travaux sont réalisés en étroite collaboration avec des équipes de recherche de la sous-région.

Les objectifs scientifiques :

• Identifier les déterminants génétiques de l’adaptation des plantes et des microorganismes associés aux contraintes abiotiques ;

• Mieux comprendre la dynamique des interactions entre plantes et microorganismes associés et leur impact sur la résilience des agro- et écosystème aux changements globaux.

Des moyens mutualisés en appui aux projets de recherche :

Une plateforme technologique à vocation régionale pour mettre en commun des outils et expertises en : - Biologie Cellulaire - Génétique moléculaire végétale - Génomique fonctionnelle - Microbiologie

Appui à la formation universitaire à vocation régionale :

• organisation de modules de cours pour l’ecole Doctorale Sciences de la Vie, de la Santé de l’environnement et des Masters de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) : MIBioT, BIOVEM, Biomathématique-Bioinformatique.

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• Atelier de formation régional annuel pour jeunes chercheurs.• Soutien à la mise en place d’enseignements dans des domaines

peu ou pas enseignés dans la région (génomique, bioinformatique, biosécurité,…).

• Accueil et encadrement des chercheurs de la région.

Valorisation de la Recherche :

L’objectif du LMi est d’utiliser une approche intégrée pour développer de nouveaux outils pour contribuer à réhabiliter les éco- et agrosystèmes dégradés et assurer la sécurité alimentaire en afrique de l’ouest en s’appuyant sur l’incubateur d’entreprises innoDeV (Production d’inoculum de microorganismes symbiotiques par exemple).

Résultats attendus :

• Soutenir les grands programmes de revégétalisation et réhabilitation des sols (Grande Muraille Verte, réhabilitation des sols salés, …),

• Sélectionner de nouvelles variétés de plantes alimentaires mieux adaptées aux contraintes environnementales (sécheresse, salinité,…) rencontrées en afrique de l’ouest, et,

• Proposer de nouvelles pratiques culturales impliquant l’utilisation de microorganismes bénéfiques pour accroître la production agricole

Les différentes équipes ont une longue expérience du transfert de leurs recherches vers les producteurs. Par ailleurs, le LAPSE soutient la mise en place du laboratoire national de référence pour la détection d’OGM (LCBV/FST/UCAD) financé par l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA).

Ce LMI s’inscrit dans les priorités scientifiques de l’IRD « Productions et sécurité alimentaires » et « Écosystèmes et biodiversité ». Il s’intègre dans les Programmes Pilotes Régionaux « Sociétés Rurales Environnement Climat » et « Forêt Tropical Humide ».

Plantation Casuarina // Scierie

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PARtenAiRes institutionneLs :

Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), AfricaRice, Université de thiès

equiPes :

UMR Diversité Adaptation et Développement des plantes (IRD/UM2), UMR Laboratoire des Symbioses tropicales et Méditerranéennes (irD/UM2/Cirad/SupagroM), Laboratoire Commun de Microbiologie (IRD/ISRA/UCAD), Laboratoire Campus de Biotechnologies Végétales (UCAD), Unité de Recherche en Culture In vitro (ISRA), AfricaRice Sahel Station (St Louis), Centre National de Recherches Forestières (ISRA), Centre d’Etude Régional pour l’Amélioration de l’Adaptation à la Sécheresse (ISRA/Université de Thiès).

PRioRités thémAtiques :

« Productions et sécurité alimentaires »

« Écosystèmes et biodiversité »

DisciPLines :

VI.13.1 Biologie et physiologie de la production végétale

VI.14.1 Microbiologie

VI.17.1 Ecologie terrestre animale et végétale

Laboratoire de la Station Sahel d'AfricaRice (St Louis) riz

Mil

Bois Casuarina

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PRoJets De RecheRche :

> Mécanismes d’adaptation des Casuarinaceae aux sols dégradés.

> rôle des populations végétales mycotrophes et des microorganismes symbiotiques dans l’établissement d’Acacia seyal et de Prosopis juliflora sur des sols salés

> impact des champignons ectomycorhiziens sur la régénération naturelle des forêts dégradées

> impact de l'introduction d'essences exotiques sur la capacité de résilience écologique des agro- et écosystèmes des milieux arides et semi-arides

> adaptation et amélioration du riz au stress salin

> adaptation des céréales sèches aux variations environnementales

> Mécanismes d’adaptation du niébé aux stress abiotiques

> Mécanismes d’adaptation du palmier dattier aux stress hydrique et salin

Bois Casuarina Atelier Formation

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La Représentation de l’IRD au Sénégal se trouve au centre ville de Dakar et abrite les services administratifs et l’Agence comptable secondaire. Le dispositif scientifique et les laboratoires sont situés sur des campus communs et interdisciplinaires : le campus UCAD-IRD de Hann (Communication, SHS et Santé), le centre commun ISRA/IRD de Bel-Air (Agriculture et Agronomie), le Centre IRD de Mbour en mutation avec le lancement du Centre International de Recherche et d’Enseignement de Mbour (CIREM) qui abrite également AIMS-Sénégal. Les stations centrées sur la santé et la démographie sont situées à Niakhar, Dielmo et Ndiop. Une évolution récente du partenariat a conduit à l’installation de chercheurs irD dans des laboratoires communs chez les partenaires à l’IFAN-CAD, à l’hôpital de Fann et au CRODT (ISRA).

L’irD au Sénégal et dans les pays de la sous région conduit des recherches au service du développement en partenariat avec les universités, et les instituts de recherche publics ou privés (par exemple AIMS-Sénégal). La collaboration s’intensifie avec les ONG et les entreprises privées (Club des investisseurs européens au Sénégal – CIES) qui sont à la fois partenaires et utilisateurs de la recherche.

L’irD structure son action dans le cadre des nouveaux instruments de partenariat co-instruits et managés avec les partenaires autour :

• des Programmes Pilotes Régionaux (PPR), programmes pluridisciplinaires à dimension régionale correspondant à une thématique prioritaire et définie par l’IRD et ses partenaires au Sud ;

• des Laboratoires Mixtes Internationaux (LMI), structures opérationnelles de recherche et de formation implantées chez les partenaires ;

• des équipes de recherche rattachées à des Unités Mixtes de recherche (UMR), Unités Mixtes Internationales (UMI) et Unités de Service (US) de l’IRD.

Pour répondre aux objectifs du Millénaire, les activités de recherche de l’irD au Sénégal et dans la sous-région se regroupent autour de 5 pôles relevant de la Direction générale déléguée à la Science (DGDS) :

• le pôle « Écosystèmes et Ressources », • le pôle « Environnement »,• le pôle « Santé »,• le pôle « Sociétés »,• le pôle « Observatoires et Modélisation ».

L’irD au Sénégal UNE RECHERCHE EN PARTENARIAT

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15 Unités Mixtes de Recherche, 3 Unités Mixtes Internationales et 1 Unité de Service

41 expatriés (23 chercheurs, 2 post-doc, 10 ITA et 6 VIA)

103 agents locaux (95 CDI et 8 CDD)

4 Laboratoires Mixtes Internationaux

3 Masters Internationaux 60 thèses soutenues en 10 ans

chiffRes cLefs

Représentation de l’IRD au Sénégal - Le Campus International UCAD/IRD de HannLe Centre commun Isra-IRD de BeI-Air - Le Centre IRD de Mbour - La Station de Niakhar

Coordonnées de la Représentation de l’IRD au Sénégal

Immeuble mercure, 3ème étageRue Wagane Diouf x georges Pompidou

BP : 1386 CP 18524, Dakar - SénégalTél. : +221 338 49 83 30Fax : +221 338 49 83 48Email : senegal@ird.fr

Web : http://senegal.ird.fr/

La Représentation au SénégalInstitut de recherche pour le développement

2012

MIN

I

GUIDE La Représentation au Sénégal

Institut de recherche pour le développement

2012

MINIGUIDE

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contacts au sénégal

Pr Ibrahima NDOYE (UCAD)ibrahima1.ndoye@ucad.edu.sn

ibrahima.ndoye@ird.fr

Dr Laurent LAPLAZE (IRD)laurent.laplaze@ird.f

Laboratoire Commun de Microbiologie IRD/ISRA/UCAD (LCM)Centre de Recherche de Bel-Air

bP 1386CP 18524 Dakar - Sénégal

© IRD/Sénégal/DIC - 2012