la SCIC R2K

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Coopérative R2K Entreprise du numérique solidaire

Transcript of la SCIC R2K

Coopérative R2KEntreprise

du numérique solidaire

Nous et notre projet…

La SCIC R2K est une initiative d’un groupement d’acteurs dont l’objet est d’accompagner les publics en difficulté .

Notre but est de mettre en place des actions solidaires face à une urgence sociale grandissante, avec pour priorité l’accès à l’emploi, l’insertion et la formation, la lutte contre une société à deux vitesses en nous appuyant sur le numérique, symbolisant la société d’aujourd’hui et de demain.

Les fondateurs de la SCIC R2K sont les salariés de :

Réseau 2000 : centre de formation dans le numérique et spécialiste de l’accès à l’emploi, aide au montage de projets

L’Atelier des Réseaux : Espace Public Numérique orienté vers les personnes à faible revenu

La Ville des Gens : site internet participatif pour l’animation du Nord/Nord –Est parisien, initiation des séniors au numérique

Réseau 19 : première entreprise d’insertion en France dans l’infogérance informatique

Pourquoi une coopérative SCIC…

Le projet s’appuie sur le décloisonnement entre ces différents acteurs du territoire, sur la mutualisation des moyens, des compétences de ces acteurs, leur mise en réseaux et la mise en place de synergies collaboratives utiles aux plus défavorisés.

Nos sociétaires se divisent en quatre grandes catégories : les fondateurs (ceux qui ont participé à la création de la SCIC) les salariés les bénéficiaires (associations, entreprises, collectivités…)

les usagers (tous ceux qui bénéficient directement ou indirectement des services de la SCIC)

La SCIC R2K est une coopérative à gestion désintéressée qui associe les acteurs pour produire des services d'intérêt collectif. Elle fonctionne selon le principe coopératif « une personne = une voix » et est basée sur la démocratie participative.

L’organisation de la SCIC

C’est la cadre légal propre aux SARL qui s’applique : Les sociétaires dont le nombre se situe entre 2 et 100, sont

responsables financièrement à hauteur du montant de leurs parts Les sociétaires se réunissent en assemblée générale

Un gérant est salarié et désigné par les membres du conseil Un commissaire au compte est désigné pour certifier les comptes

chaque année

Outre son principe de fonctionnement de coopérative, la SCIC est juridiquement une SARL. Le capital est divisé en part d’une valeur de 25 euros chacune.

Deux organes sont prévus pour administrer la SCIC : Un conseil d’évolution sur les orientations stratégiques Un comité de gestion pour assister le gérant et/ou les co-gérants pour validation des

prévisions budgétaires

Collège des Salariés et Fondateurs

(constitution du capital initial)

Collège des Bénéficiaires :

Personnes morales (droit public ou privé)

Collège des Usagers :Utilisateurs des

services de la SCIC

2 administrateursSalariés

2 administrateursBénéficiaires

2 administrateursUsagers

Option: 3 cooptations

nomme

Coopérative R2K

3 administrateursFondateurs

nomme

nomme

50% survote final

30% sur vote final

20% sur vote final

Se réunit au moins 1 fois par trimestre en Assemblée Générale Ordinaire désigne un Président à travers ses pairs (la voix de celui-ci est prépondérante en cas d’égalité des

voix) pour un premier mandat de 3 ans 3 membres peuvent être cooptés par le conseil pour 1 an

Président

Les sociétaires Le Conseil

Coopérative R2K

LE CONSEIL D’EVOLUTION

Il délibère sur la stratégie générale de la société qui est soumise à son approbation.

LE COMITE DE GESTION

Il se réunit régulièrement pour assister le gérant et/ou

les co-gérants pour validation des prévisions budgétaires.

UNE ORGANISATION PAR PÔLE D’ACTIVITE

Les « SERVICES LOCAUX »

L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »

L’ ACCOMPAGNEMENT DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI

Le Pôle a pour mission d’accompagnement les publics les plus éloignés de l’emploi, développer leur employabilité. Il s’adresse de façon prioritaire : aux jeunes sortis prématurément du système scolaire aux travailleurs en situation de handicap aux chômeurs longue durée aux personnes en situation fragile (monoparentalité, en besoin d’alphabétisation, …)

UNE ORGANISATION PAR PÔLE D’ACTIVITE

Des prestations basées sur plusieurs dynamiques : La mobilisation L’orientation

L’accès à l’emploi et à la qualification L’accès à la culture artistique & scientifique L’accès aux droits

L’ ACCOMPAGNEMENT DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI

L’ ACCOMPAGNEMENT DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI

L’UFA – cursus de formation en alternance aux métiers du numérique

Chaque année, nous amenons environ 20 jeunes non diplômés, sortis prématurément du système scolaire, vers des métiers d’avenir (community manager, documentaliste numérique, …) et leur permettons d’entrer sur le marché du travail avec une expérience significative de deux années et un titre professionnel homologué par l’Etat de niveau Bac+1.

Nos partenaires de l’UFA:

-L’APROGED (association des professionnels du numérique),-L’ANSA (Association Nationale des Solidarité Active)-Le CFA PAE-Les entreprises d’accueil des apprentis : Generali, Banctec, Areva, PC Presse, SSII SNCF….

La formation en partenariat avec la Région Ile-de-France

PAVE (Parcours d’accompagnement vers l’emploi) dans l’Assistance et la Maintenance informatique

Cette formation débouchant sur le Titre Professionnel du CATIC – Conseiller Assistant en TIC(homologué niveau Bac) inclut une période d’immersion en entreprise de 7 à 8 semaines en fin de formation.

Chantier-Ecole dans le Multimédia : Production, diffusion et gestion de contenu numérique

L’objectif étant de mobiliser les capacités des stagiaires pour une réalisation collective définie au préalable, de les mener vers un premier niveau de professionnalisation tout en garantissant un suivi socio-professionnel individualisé.

L’ ACCOMPAGNEMENT DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI

L’ ACCOMPAGNEMENT DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI

Des dispositifs sous convention

Un référent PLIE

Le référent PLIE coordonne les parcours des personnes en situation précaire, et travaille en collaboration avec les services sociaux et les professionnels de l’emploi.

Le Pôle Ingénierie de l’Insertion par l’Activité Economique aura pour mission : L’appui aux structures d’insertion : aide au montage ou reprise de chantier / entreprise

d’insertion Services de mutualisation de l’accompagnement social, de la comptabilité, de la gestion des

ressources humaines

UNE ORGANISATION PAR PÔLE D’ACTIVITE

Des prestations basées sur 2 dynamiques : L’expertise en IAE de nos équipes Les partenariats dynamiques et la mutualisation des compétences et

moyens permis par le concept de SCIC

L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »

Expertise et aide au montage de projets sur la base d’un chantier d’insertion

C’est grâce à l’expertise de Réseau 2000 que la Ville des Gens a vu le jour, un site internet associatif et participatif, pour l’animation du Nord et du Nord-Est Parisien. Fruit d’un chantier d’insertion, la Ville des Gens est devenu pérenne et a depuis diversifié ses activités : initiation des séniors au numérique, mise en ligne du journal local Quartiers Libres, construction du premier Mémorial de la Résistance numérique…

Reprise de chantiers ou entreprises d’insertion

Réseau 2000 a repris en 2011 et pérennisé l’Association d’Insertion « La Licorne », spécialisée dans le bâtiment second œuvre et qui travaille essentiellement à la rénovation de parties communes dans les logements sociaux de la Ville de Paris.

L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »

L’ ACCOMPAGNEMENT DES JEUNES DESCOLARISES

Mutualisation des services d’accompagnement social, comptabilité, ressources humaines :

La coopérative proposera à ses sociétaires (associations, entreprises, professions libérales) de bénéficier de support sur les fonctions d’accompagnement social, mais aussi sur la gestion comptable, financière, des ressources humaines.

Création de structures pour développer l’économie locale :

Réseau 2000 a créé Réseau 19, une SSII (Société d’Ingénierie Informatique) qui emploie des salariés en contrats aidés. Réseau 19 propose des services d’infogérance et de réparation de matériel informatique à des associations, à des collectivités (Les PLIE, le 104, ACV, le théâtre de la Bastille, la Fédération des Centres sociaux…..). Depuis 2011, Réseau 19 a ouvert une boutique accessible aux habitants ayant besoin de matériel ou de réparation informatique à un tarif peu élevé.

L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »

Des services locaux seront proposés à tous : Aux habitants : espaces publics numériques pour tous, pour les séniors, services de proximité Aux créateurs d’entreprises : espace de co-working et ressources partagées Aux entreprises : appui et conseil en formation et recrutement dans le cadre des politiques

de diversité et d’engagement sociétal

UNE ORGANISATION PAR PÔLE D’ACTIVITE

Les « SERVICES LOCAUX »

Aux habitants

L’Atelier des Réseaux : un espace public numérique

L’Atelier des Réseaux est un EPN créé par Réseau 2000 qui a pour vocation d’initier et former les personnes au numérique. Notre préoccupation première reste un accès pour tous, avec une participation financière très modérée pour les plus démunis.

Un Espace Public Numérique pour les séniors

Depuis 2010, La Ville des Gens a initié et formé des séniors à l’informatique. Nous souhaitons poursuivre cette initiative qui a rencontré un vif succès en ouvrant un espace de partage, d’échange et d’apprentissage qui leur sera exclusivement dédié.

Des services de proximité

Lors de nos interventions dans notre quartier, nous recueillons des demandes d’habitants qui ne trouvent pas certains services correspondant à leurs besoins et à leurs moyens financiers (courses, garde d’animaux, démarches administratives…). Nous proposerons des services qui viendront en aide à ces personnes et qui auront également pour vocation de créer du lien social.

Les « SERVICES LOCAUX »

Aux créateurs d’entreprise

Un espace de travail en co-working et l’accès à des ressources commune

L’espace de travail se situe dans nos locaux, il prévoira un poste de travail avec internet et des équipements mis en commun (une imprimante, un photocopieur, une ligne de téléphone, salle de réunion…) Un espace ressources sera mis en place (accès à notre réseau d’entreprise, d’associations… et informations sur la création /gestion d’activité)

Un service comptable et un hébergement du siège social

Nous fournirons un cadre légal et comptable à l’entrepreneur pour ses démarches administratives et la tenue de sa comptabilité.

Une politique de formation

Les créateurs d’entreprise bénéficieront des formations que nous proposons par ailleurs, notamment dans le numérique, l’accès aux droits.

Les « SERVICES LOCAUX »

Aux entreprises

La gestion des ressource s humaines

Nous souhaitons nous engager auprès d’entreprises partenaires pour les assister dans leurs besoins en matière de recrutement et de formation.

La mise en réseau de nos bénéficiaires et des employeurs

Nos activités nous amènent à côtoyer un volant important de jeunes en recherche d’emploi, que nous avons par ailleurs formés, et qui constitueront une base de recrutement pour les employeurs

Les « SERVICES LOCAUX »

La Place du projet

La une somme d’initiatives individuelles prises sur un territoire ne suffit pas à créer un mouvement durable. Il faut pour cela un projet d’ensemble, appuyé sur un groupe de partenaires qui l’incarne, une stratégie et des outils.

Le projet est un ensemble d’objectifs à long terme, donnant une perspective aux forces vives d’un territoire. Il doit intégrer les dimensions culturelles et sociales autant qu’économiques, valoriser les ressources humaines au niveau local. Il peut devenir alors facteur essentiel d’identités collectives. Son élaboration demande du temps, un effort de formation et de communication.

La stratégie est la traduction du projet en termes de programmes, d’opération et de processus. Elle s’élabore à partir d’un diagnostique du territoire avec ses ressources, et ses points faibles, ainsi que des opportunités traduites en projets précis et opérationnels.

« Le développement local»

La Place du projet

Le point de départ de la dynamique locale pourra être de nature économique, mais aussi sociale ou culturelle, le caractère global de la démarche n’étant réalisé que progressivement, par approches successives, et partant d’opportunités réelles. Chaque initiative est donc évaluée en fonction du projet d’ensemble.

Le territoire pertinent est celui où peut s’instaurer une telle dynamique. Ses limites peuvent être différentes de celles du bassin d’emploi, et a fortiori, de l’arrondissement ou du département

« Le développement local»

Comment ils définissent le développement local

« Ni mode, ni modèle, le développement local est une dynamique qui met en évidence l’efficacité des relations non exclusivement marchandes entre les hommes pour valoriser les richesses dont ils disposent. »BERNARD PECQUEUR « Un processus de diversification et d’enrichissement des activités économiques et sociales sur un territoire à partir de la mobilisation et de la coordination de ses ressources et de ses énergies. »XAVIER GREFFE « Le développement local est fondé sur la mobilisation des ressources et des savoir-faire, et met l’accent sur le développement des initiatives locales, le renforcement des solidarités intercommunales et les prises en compte des aspirations et des besoins de la population dans les domaines économiques, social et culturel. »Région Alsace, n° 7, juin 1988

« Le développement local»

Comment ils définissent le développement local

“[…] construction of a “better” society where “better” is defined by the people who are part of it and who become consciously and actively involved in helping to bring this “better” society about.”E. A. CEBOTAREV « […] Le développement local vise à recréer un espace structuré par des pôles, relativement autonomes, capables de négocier avec l’extérieur. L’objectif du développement local est de créer, ou de faire exister à nouveau, un partenaire avec des atouts de négociation dans le jeu économique, social et culturel de la société globale. »JACQUELINE MENGIN

« Le développement local»

Comment ils définissent le développement local

« […] le développement local […] une intervention structurée, organisée, à visée globale et continue, dans un processus de changement des sociétés locales en proie à des déstructurations et des restructurations. »DATAR « Le défi le plus important du développement local, c’est sa capacité à changer les mentalités, à passer des mentalités d’échecs et d’assister à des mentalités d’acteurs sociaux et économiques, à des mentalités de créateurs. »PIERRE NARDIN

« Le développement local»

« Dans la pratique, introduire les préoccupations du développement durable conduit à prendre en compte de façon croisée : 4 dimensions (ou clefs d'entrée thématiques) l'économie plurielle - c'est-à-dire une approche économique prenant en compte des différents types d'acteurs impliqués dans la création de "richesses" (qu'elles soient monétaires ou non, qu'elles se situent en termes de revenus, d'emplois, de bénéfices sociaux et environnementaux), soit : le marché (échanges financiers), l'Etat (redistribution), la société civile (réciprocité) ;

la cohésion sociale - faire de la cohésion sociale l'un des fils conducteurs des projets, ce qui passe par la reconnaissance de la diversité (culturelle, sociale, …) des individus et des groupes, le développement des solidarités et du principe d'équité ;

« Le développement durable»

la mise en valeur et la sauvegarde de l'environnement – Protéger et revitaliser les ressources naturelles, favoriser les fonctions productives environnementales (quand protéger l'environnement devient source d'activité et de richesses"), promouvoir la qualité de la vie (cadre de vie et santé dans et par le logement, l'activité, l'espace public, …) ;

la gouvernance, c'est-à-dire l'organisation du débat entres les différentes parties prenantes, de la coopération, de la "confrontation bienveillante", voire de la contractualisation entre les différentes parties prenantes (ex. pouvoirs publics, acteurs économiques, autres composantes de la société civile).

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« Le développement durable»

6 principes complémentairesla précaution (analyser les incertitudes, par exemple scientifiques, et tenter d'éviter les risques) ;La prévention (anticiper les risques pour les réduire autant que faire se peut ; se préparer à gérer les éventuelles situations de crise) ;

l'optimisation des ressources et des moyens (utiliser de façon économe et optimale les "biens" du territoire) ;

la responsabilité - faire en sorte que chaque acteur anticipe les conséquences de ses actes et prenne en charge les impacts directs et/ou indirects de son intervention – Illustration : appliquer le principe "pollueur-payeur" dans tous les domaines

la subsidiarité - négocier une répartition des rôles et compétences (juridiques, fonctionnelles, professionnelles, …) qui soit cohérente, lisible et la plus efficiente possible

la réversibilité - prédéfinir pour chaque intervention à conduire les conditions qui garantissent, en cas, que la situation obtenue, en cas d'arrêt de l'action ou à son achèvement, sera au moins équivalente, et si possible meilleure, qu'avant l'intervention (c'est-à-dire qu'aucun dommage ne sera constaté en termes d'atteinte aux ressources naturelles ou humaines, au cadre de vie, aux capacités de coopération, … )

la prise en compte de 6 conditions sine qua non (sans lesquelles "cela ne marche pas" !)le partenariat (lisibilité des systèmes d'acteurs et renforcement des coopérations)

la transversalité (décloisonnement des "cultures" et des organigrammes, dans une logique "balle de flipper")

l'articulation des échelles (géographiques, temporelles,…)

le droit à l'initiative (pouvoir "oser" et faire ses preuves par l'action)

le pilotage de projet (être en capacité de procéder aux ajustements nécessaires)

l'évaluation et la capitalisation Il ne s'agit pas de substituer les logiques verticales (notamment hiérarchiques), par des pratiques horizontales, mais de favoriser des rencontres interdisciplinaires, interhiérarchiques, …

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« Le développement durable»

trois vocations s’articulent (certes à des degrés différents en fonction de la nature de l'activité, des projets ou du statut) à savoir:1. une vocation "d'intérêt de service public" (services collectifs et/ou à la personne, services liés à l’environnement, aux transports, à l'éducation, …), traduite par des missions de proximité territoriale, qui doivent pouvoir faire l'objet de contractualisation (à leur juste prix) entre les entrepreneurs de la société civile et les politiques publiques (ce qui reste encore parfois difficile à obtenir),2. une vocation "d'insertion sociale et professionnelle", que les politiques contractualisent plus aisément, quel que soit le statut de l’entreprise. 3. une vocation "commerciale", qui passe par la vente de produits ou de services aux particuliers, aux collectivités ou aux entreprises, … l'acte commercial pouvant se réaliser au prix du marché ou en élargissant l’accès à des clientèles moins solvables. Et c'est bien le CARACTÈRE INDISSOCIABLE DES TROIS VOCATIONS qui fait l’originalité de l’économie solidaire, qui "fait sens" et permet de s'inscrire dans la revendication d'une économie plurielle.

« L’entreprise solidaire»