La Question des Dalles Interalliées Parœentier et la...

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DlftBGTAUR PROPRIG J 411. IMPRIMEUR Clémeut Magloire BUIS VflHNA i*#8, Hue AméviMUa* .NUMERO/, 2Q CtfNTIMfitf Qu0Mkm La médaille numaiV a deux fa- tes. L'une porta écri ors mais : f*Ji' t indulgence, respect de la MiMesse, fraternité*, justice, et amour ; sur Je i < vera on i : «ruant.', bassesse, noirceur, là* cherté, trima. Tiltitri TÉLÉPHONE N'M£ l&ms ANNEE N" 54M FORT AU-PR1NOE 3 FJCTRJ POLITIQUE ÉTRANGÈRE La Question des Dalles Interalliées Paroeentier et la Pomme de terre petite chronique NouTeHe» Etranger i la DAMMA JA U«Mi Paa* Cbabi» La questioa des dattes inter- alliée? est intimament liée à tans les problème» économiques al financiers actaals : elle pèse lourdement sur toutes les solu- tions envisagées. Et somme elle est très délicate, on ne se décide au i en aborder officiellement l'examen. Il est d'aillears pres- que impossible de lui trouver un éfliment «qui a île a*au que l'on ne sache de façon certaine i l'Allemagne paiera les répa- rtions et dans quelle ^mesure 'le paiera.| L adoption du plan Dawe* a irmis d'espérer d'espérer ulement le paiement par l'Allemagne. Ce plan comporte YalHeurs une réduction de créan e que la France n'a acceptée a'Ivec l'espoir de voir, d'autre part, sa dette envers les Alliés luite également. Mais de cela on n'a pas parlé fort clairement à li Conférence de Londres. Li question des dettes inter- alliées est délicate, parce qu'il est difficile, pour un pays dé»:- teur.de demander au pays créan cier, son ami, ds renonssr à tout ou partie de sa créance, tt difl île de rappeler lui-même qu'il a dépensé, DOIT servir la cause csmmuae, 1 argent qui lui lût prêté... Les dettes* de gaerre, propre- ment dites les emprunts faits par les nations européennes en Amérique après la guerre sont des opérations financières ordi- naires se chiflraient ainsi en 1922 : par la Grande-Bretagne aux Etats Unis vu par la France aux Etats-Unis par la France à la Grande-Bretagne par lltalM à le Grande-Bretagne par la Belgique à la Grande-Bretagne | Du par la Serbie à la Grande-Bretagne iD'une part, donc, la Grande reagne est grosse créancière la France, d'autre part elle «rosse débitrice des Etats- us auxquels la France doit aucoup d'argfnt, elle auss : . I rrance est créancière, de son •ir «k Ru8S ' e Pour prés de Milliards de francs ; de la Bel- ne pour DIQS de 3 milliards Km-, de fa Roumanie de a Jce, la Pologne, de l'Ila- la** la Tchéco-Slovaquie.Mais P. 4.166 millions « 2-^50 « L. S. L.S. L. S. L.S. 557 47ti 103 'U f de l'Allemagne; elle était aussi prête naturellement, à annuler cette créance, si les Iv as Unis annulaient la leur. Mais les Etats-Unis ne veu- lent pis entendre parler d'une telle so'ution. Et les Alliés d'Eu rop< ne peuvent insister, étant donné 1) caractère, qu'eut lie- terveniion de r.tats-Unis. En 1922» la G an 1 -Bretagne a été amenée à conclura un arrange- ment avec le gouvernement de £ m.Plu. quejiSi. « ce W^oneiTcZ^lr le° «t, de la dette rusae en- France, que de la dette i?. ra ''»°D8 de livres 1rs 1 Angleterre. moment fnt rédigé le de Versailles, il parut qi.a 'rance et le3 autres pays {raient s'acquitter de leurs A iW 1 J a Gra nde-Brela- â lai Je des paiements de rationa de l'Allemagne et Insi Grande - Bretagne Irait payer les Etals-Unis, [la t rance s'acquitterait de le envers ceux-ci. l'Allemagne n'a payé Nu de chose La France a apporter la lourde charge reconstruction de ses ré- dévastées. E'Ie a dire à pierre et aux Etals Unis : lierai quand ou me paie paiement de sa dette. Dès lors, devant s'acquitter elle-même et subissant, de ce faii, de lourdes charges, elle a rappelé aux Al- liés, notamment à la France, qu'ils lui devaient de l'argent. 'KHIt cela est très compliqué. Mais il y a d'autres com^lica tions encore. L'opinion aux Etats-Unis, en ce qui concerne le paiement des dettes par l'Eu rop \ est assez confuse Elle veut un règlement. Elle serait prête à aider l'Europe, mais si celle- ci renonçait à ses armements coûteux.Dautre part.Etats-Unis et Angleterre savent que si les nations européennes devaient commencer m ML tenant le paie- ment de leura d ttes, elles sc- «her lecteur, je voue yoie très triste. De quoi soaffrez veii ? Ce a me l'autre du mal politieju* •an» deule ||<| aa ; n , , fai . gaez-veuspasde perdre la traaoa- taae. Lee arrête du Deatio sont iaepéaétrai»les;«a ne p au ( les ton- attire ,.'» Icare effets. D'abord l'a usa me tu fait pat If s événements. Il faut induhitab a ateat, irrévocablement qu'il» te produisant dan» toutes leurs pha- ses eu ce monde, jusqu'à la cou sommation des siècles ou des nom mes, peur arriver a une II i ou a des lias qui échappent à notre «on eepliea. Ecoute/. Pour vous distraire Je vais vous conter une petite histoi- re .c'est la meilleure fa«>n de dissiper ecs pensées nuagueuses qui envahissent vetre cerveau. Il s'agit de la pomme de terre (sela- num tubero-um ) Des observations du célèbre président de la Société royale de Londres, sir Joseph Banaks, on constate que la pom- me de terre fut introduite pour la première lois, en Europe, par les colons que eir W aller Meleig en- voya, en vertu d'eue patente de la reine Elisabeth, peer déeouvrir et cultiver en Amérique des een* tréee non en possession des ehré. tiens, et par les Espagnols qui occupaient les par i-e mentueoses de l'Amérique méridionale dans le voisinage de Ouilo. Gomme la pomme de terre ap. partient à la famille dee solaoées, les savaote français de l'époque disaient : « Cette racine de quel. que manière qu'on l'apprête, est tonjeor» daag.reuee et fade; on ae pou-M jamais la compter au ring des a'imente agréables*. P»r conséquent le peuple l'avait an pr vent on. Lo euisiner fût co i mi» un atte repréh'oeibic «'il en eut se vi s son maître. Parmentier, quolidiennemfV, eombaitii, avec véhémence, l'ouï, ion des savants et chercha le moyen de gagner le peuple p r la persuasion. Il avait beaucoup à lutter. Dans une assemblée popo aire, on allait au scrutin pour ui.e place a I . «. elle l'estime publ que semblait le porter lorsqu'un orateur de fau- bourg, dans toute sa iougue, s'é- crie : «Ne la lui donne/ pas; il ne noue ferait manger que des pom- mes de terre; e est lui qui les a inventées.» Malgré tentes les attaques diri- gées contre lui Parmenlier. géné- ralisa dans la France entière celle importante eu turc. Il demanda et obtint pour ses plantations la plai. ne des sablons jusqu'alors iacult». Le roi, malgré les intrigue s des courtisans, accorda sa protection i cette nouvelle eul.ure: et le jour d'une fête solennelle, devant toute «a cour, il se présenta portant à sa boutonnière un bouquet de fleurs de pommes de ferre. Dès ce jour la vogue de ce végétal fut as- surée au grand applaudissement des savants eux-mêmes qui, com- me nous en ce moment, en raan- geaient êgréabkmmt. Le gouverm ment envova des se- mis dans les provins 8' les plus élo ; gnée»; et la reconnaissance pu- blique a donné è ce tubercule le nom de solaaée parmenlière: sug- gestion de M. le comte Français de V iiftbateau. Si, mon cher lecteur, il vous faut le jambon, la langue de veau, le poulet trieassé, la dinde rétif, le bif- teck, aux pommes de terre, on bu- vant a voire gré d* iempien temps, un Villejeiet, un Itarbao ourt, un R y uBUaetjeas de vingt...p ..,oa un Médoe ou un Sauternes; Vite : aa Grand Hùlel de l'ianee, chez Dereii; •t bientôt à i'Mft cl Belle VUP, car Henri y sera Ah J l'eau vous vieot S la beuehe. C'est l'argent qui manque le plus. Eh bien, con lente/va U8 , fM «j # J a morue g #i renne»* de tirre rabeugriee de nos sachons rurales ea attendant que M. Fftemina nous fasse en av ir Je met ho liquemeat cultivée». N: al n pae laae lee reslauian s s'il voua est i n possible d'acquitter la nota illico. Souvenez-vous, que nous ne e >mra s plus » l'époque eu è Kl i ca- se, à répio, à Vilain, à Armai, a madame Gervais, a Mamle, à Grosnon, Blane ou an bou viens père Dupitemp'e, après le déjeu ner, en client s Ivable, loi disait | No z C'est pour moi. L iculus LE0 JL'HIIIT Au Banque» dea Juurna listes républicains, f. Doiiiutti-(,jue lait eiejs dé- clarations PARIS— W. Doumergue, prési dent de h Répub ique, a déclaré au banquet de l'association des journalistes réouVi.;»iV. que 'a France c'est eltbreée et s e'iereera d'améliorer ses fimnees, d'équili- brer son budget de fortifier les liens d'amitié qui lunissent à ses alliés et d'assurer l'exécution strie te du Traité de Versailles. Lia amis de la France, dit-il, doivent soogar à ses ruines. 1 l'insufiisan ce de la sé:urilé de lendemain A es Iourtes chîrges Ils doivent eompreo Ire avec justice la gran deui de se9 dfricullés. £n Grèce LVxjnilsion du patriarahe a créé une agitaiioa près que gètaéiraJe ATHENES, 1 L'archevêque a adressé à tous les chefh des égli- ses d'Europe et d'Amérique un légrarame de protestation contre 1 expulsion du patriarche. Le gou vernement enverra incessamment à Angora une note énergique cou lignant la violation flagrante des traitée. Il a décidé de maintenir ou» le» drapeau s les soldats de la ClaSKS IWl L«. munui r .|,u,,| N associations la'qiiec et les cemmu liantes religieusee de la (îréce en lière ont protesté contre l'expiil s on du patriarche tt demi, dent salisfaclion. L'eflerveseeoce règne dans la presse, l'armée et le» par lia politiques. Alkanie, TIRANA— L'assemblée conel' tuaatc albanaise a élu & l'unanimi Ahmed iogou président de la république penr 7 ans. Ahmed gou était à la tète du m avtmeat q»i a renverse demièremiat le gouvernement g* Mgr Koile. Autour aie fateord com- meraial franao-alit mand UEMLIN—Le cabinet a ordooré au Dr Trendelenlurg de pcmrtti >re les négociatioBs de I acceid commercial avec la France. 11 de via chercher i obtenir le trai a ment da la naliou la plue fàVQll sée pour l'exportation. Conann.nl i'AlitiiM^ne SJD« tend réfier •• obliga» lioiiA cJavanl el d'après* fuerre BEHUN— Les obligalairee d'à vaut guerre du gouvernement ulle mand seront imitée da la mante macière que les détcnlrers elle meads quaud aura lieu la rôvalua lion, c'est ce que le gouvernement a annoncé. En nuaun cas, les tenteuix ne ponirunt s'illt-udre è ce qu'oa les rachète è laor valeur nominale parce ijue t' Vll«meg«e **\ ' »PP*uvi-ie ei si eaJettée par suite de'sa défaite, qu'un pareil rachat B'gniNcrait le hacnfee de toute sa richesse natiouale. Le geu vernetnenl évalue les ohlifstioa» fl avan. B>oa^i«a |,u«.. u »_; .. par lee gouvernements fédéral, provinciaux et urbains à 140 mil lione de mark-. la «ilualion ouvrière et la vie chère Italie eura , :Ano\lïôr~râ «•" ""^ K"°' raieot ^"ement appauvries qu'« ' elle a fa t PnifnS" tf ° P e,le9 ne Pourraient plus acheter fJk mSàSÎSK: enA °8 ,el erre et en Amérique •i OéSï $VK à " 5 l que '* ,iluttion économique t laaierL è i. F ï aBce du m0Dde en ,erait d «f «u- i la sienne a la charge sèment aggravée.... lu |e?pect des Saints .lieux il Il est regrettable qu'on ait i re lever de pareils faite de la part de jeunes gens dont l'instruc besoin de le rappeler? t,0B e « l'éducation ont été des plus ». église», à quelque culte ^goéen et aucune mesure de ri Ppartiennentetquellesque **"•"/ ? u ' on pourra prendre contre •s croyances religieusee de '• jeunes irrespectueux pour les plu» profond respect f ? ire rentrer dana l'ordre et la dis r^gle pour tons. Or il 0, P^ue ne sera trop torle. heureusement à remarquer I Dimanche, à la messe de f, certains jeunes gens font Pgiiset le point terminus I bombe'' du Samedi et, éc'ats de voiz, leurs pro mr tenue irrévérencieuse, II IofF(, e divin en mtme '• la prUrs dis pieux fi e "«, viennent implorer « non poitt r i re et g - a m Mi Feutre et Paille f| 0 « Chez H- Ralloni fils Autour de l'oeuvre baj>- tiiteJljledeliGesâTe Quelquespr^ci ions utiles St.Marc, le 1 février Id25. Monsieur Clément Magloire Directei'r de « Le Malin s Tortau-Prince. Monsieur le Directeur, Ave/ l'obligeance de me per mettre de faire une mise au point en publiant ma présente. La de vos correspondants a mis une note sur loetivre de Mr le pa-- teur ll.nis à la Gonave dans Je N" de voire journal du i6 jaavicr écoulé. Cet aimable corresponJant a été mal renseigné. Il^conoalt comme moi ces paroles d'u Maître: < Kendee à César ce qui eet à Cé- sar et ce dicton : rf On ne doit pas découvrir Si -Pierre pour cou- vrir St Paul ». L'ouvre Baptiste de la teatoe n'est pas aussi récente que votre correspondant le croit et n'est point dn tout le résnltat de l'acti- vité de Mr le pasteur Marris. Ella a été fondée depuis plu* de 15 ara. par Mr Sainvilu» Sainvil de l'ïgli- *e Baptiste de Jaomel Avant même l'arrivée de Sainvilus Sain. petite atalioa.— Peu de temps après la création de celte autre le pasteur Lnérisaon q, i se pen vail s'occuper sérieuaement d'une station ai éloignée de Jaemel l'a paasée è l'Fgliae, de St Marc. Ont dea» travaille avant Mr Marris à la Genève nos pasteura Delatire Lyane et Archibald. En arrivant ici en ltfii comme pasteur de notre Eglise Mr Huns a trouvé nos stations de la Gonave très florie santés. M se fait que récolter ce que d'autres ont <• semé cl « ar- rrsé .. Et paie, il n'a pas eu, une centaine de baptêmes en novem- bre. Votre correspondant ayant Pis teation de revenir aur ta question, je suis è sa disposition, peur le renseigner, car c'est un ihomme qui veut savot-. », Agréez, Monsieur le Directeur, mes salutations empressées et mes plus vils remerciements pour 1 hospitalité que vous avez SI gré CHUS,meut donnée è ma présente. Dr Hector PAL L'1 HE Secrétaire de 1 Eglise Baptiste de St-Maia BOME-p', } r/.dr f .t.ti, tlquf . olliciellee, le nombre de sans tra J»' 1 •njtah» atteignait In 1014 180.445, fin neveutbiu 181.788 I augmentation eer. i | due uniaué me»t à la saison d'hiver. D après ie journal faseisle, ua grand nom brade travaux par différents co miles sont en.oe i achever L'an nonce quelepiii du pain serait »igm me à pirt r d.main pio oque un mécoulcnli nient coi si «rab.e , le pain de qualité itfé Heure pa»seia d 2 in a If à t li re» 3S par kilo, la qualité eupé ri'.ure passera de * lires 15 S i li res 60 et la qu:.lilé extra de S li- res 45 à 1 lires 70.L'augmentat« B est dùçèceque depuis une quin zame de jours le prix du blé est passé de 185 lires a 2«0 lire» le quintal et que la tendance est due è une nouvelle hausse. L'inllucfiza .sévit avet vio- lente eu aiiij'elerre LONDRES— L'influen/a eause de sérieuses iaquiéludes en Angle jarre ; leê décès sont nombreux bien qu un peu inférieurs à ceux de l'année dernière. Cependant dans les principales villes le total des morts at.eint prés de 200 1 épidémi sévit a- ec une v el». ce paitiuuliére dans Midlandr, Vor shue et Laneastershire. Beaucoup d écoles sont fermées. U drapeau franaais a reiapparii en Russie M08COI' Le drapeaa trico'are a fat UB rrrnuèrt •(> ritia-i «a Russie d pais rr k ma tiMiate., Aux Hocems de la « alar^eil.alse •' louée par l'oreh stie da l'Opé.e, le drapeau français a été ki» è s r 1 imu.eufci- occupe pat- la mission de secours Xausea qui servira du quai lier général temporaire à 4'am basaade de l'rance. Aucune nota bililé oflcielle ou étrangère «* sislait à la cérémeaic mi ellei Dit erses •'ARla— Interviewé par le «Ma ta», Measiear Bratiano a inj aiale sur le d\nger .le la politique agressive dea Soviels cea binée avec la complicité allemande D'a- piès l'Echo de Paris M. Douruer gue irait ea I ulegue en avril ; il a ensuite été dém«nti que M I)os mergue irait eu Pologne aucuu vo yage officiel è l'élraager n'est pré va. WASHINGTON— M. Oeonnor, président du bhippisg Board an aoace que dans quelquea je».s, celte organisation melirail ea vea te toute sa lotte. Lee oifree de vront être faites sur deux basée : les navires vendu» pourront être nm en service sans restrictions eu ave certaines reslrialioao . dans ce dernier cas le pris de vente ae ra réduit, mais l'acheteur devra prendre quelquee engHgemeuts terminés. PAkiS— Ls commission des g nancos a volé une proposition (en dant a augmenter da 70 o|o lee pensions de guerre. l'arisiana, ura (Grimace Malri Entr'esclave» », vil à la Soa.'iae l'Pi ise de Port- au-Prince avait dans cette lie une A 8 heures h lieu la reprise de moniale < et de L'Entrée génénle " e 9 | H'une gourde et non de deux gourdes comme l'a annoncé " Le Nouvel- liste 1 ' d liier. Lufrin Lubin Llle irlnni. «kl ciSarmante, l'idée d'olirir un llaeaa des uariaen, d^aatant plut «ue c'est du IDWH. In «•»« ejaas leataa ie| kenaes maisons.

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  • DlftBGTAUR PROPRIG J 411.

    IMPRIMEUR

    Clmeut Magloire BUIS VflHNA

    i*#8, Hue AmviMUa*

    .NUMERO/, 2Q CtfNTIMfitf Qu0Mkm

    La mdaille numaiV a deux fa- tes. L'une porta cri ors mais : f*Ji't indulgence, respect de la

    MiMesse, fraternit*, justice, et amour ; sur Je i < vera on i : ruant.', bassesse, noirceur, l* chert, trima. Tiltitri

    TLPHONE N'M

    l&ms ANNEE N" 54M FORT AU-PR1N 3 FJCTRJ

    POLITIQUE TRANGRE

    La Question des Dalles Interallies Parentier et la Pomme de terre petite chronique NouTeHe Etranger i la DAMMA JA UMi Paa* Cbabi

    La questioa des dattes inter- allie? est intimament lie tans les problme conomiques al financiers actaals : elle pse lourdement sur toutes les solu- tions envisages. Et somme elle est trs dlicate, on ne se dcide au i en aborder officiellement l'examen. Il est d'aillears pres- que impossible de lui trouver un fliment qui a le a*au que

    l'on ne sache de faon certaine i l'Allemagne paiera les rpa- rtions et dans quelle ^mesure 'le paiera.| L adoption du plan Dawe* a

    irmis d'esprer d'esprer ulement le paiement par

    l'Allemagne. Ce plan comporte YalHeurs une rduction de cran e que la France n'a accepte a'Ivec l'espoir de voir, d'autre

    part, sa dette envers les Allis r luite galement. Mais de cela on n'a pas parl fort clairement li Confrence de Londres.

    Li question des dettes inter- allies est dlicate, parce qu'il est difficile, pour un pays d:- teur.de demander au pays cran cier, son ami, ds renonssr tout ou partie de sa crance, tt difl le de rappeler lui-mme qu'il a dpens, DOIT servir la cause csmmuae, 1 argent qui lui lt prt...

    Les dettes* de gaerre, propre- ment dites les emprunts faits par les nations europennes en Amrique aprs la guerre sont des oprations financires ordi- naires se chiflraient ainsi en 1922 :

    D par la Grande-Bretagne aux Etats Unis vu par la France aux Etats-Unis U par la France la Grande-Bretagne D par lltalM le Grande-Bretagne D par la Belgique la Grande-Bretagne

    | Du par la Serbie la Grande-Bretagne

    iD'une part, donc, la Grande reagne est grosse crancire

    la France, d'autre part elle rosse dbitrice des Etats-

    us auxquels la France doit aucoup d'argfnt, elle auss:. I rrance est crancire, de son

    ir k Ru8S'e Pour prs de Milliards de francs ; de la Bel- ne pour DIQS de 3 milliards Km-, de fa Roumanie de a Jce, d la Pologne, de l'Ila- la** la Tchco-Slovaquie.Mais

    P. 4.166 millions 2-^50

    L. S. L.S. L. S. L.S.

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    de l'Allemagne; elle tait aussi prte naturellement, annuler cette crance, si les Iv as Unis annulaient la leur.

    Mais les Etats-Unis ne veu- lent pis entendre parler d'une telle so'ution. Et les Allis d'Eu rop< ne peuvent insister, tant donn 1) caractre, qu'eut lie- terveniion de r.tats-Unis. En 1922 la G an 1 -Bretagne a t amene conclura un arrange- ment avec le gouvernement de

    m.Plu. quejiSi. ce W^oneiTcZ^lr le t, de la dette rusae en-

    France, que de la dette i?. ra''D8 de livres 1rs 1 Angleterre.

    moment o fnt rdig le de Versailles, il parut qi.a

    'rance et le3 autres pays {raient s'acquitter de leurs

    A iW1 Ja Grande-Brela- lai Je des paiements de

    rationa de l'Allemagne et Insi h Grande - Bretagne Irait payer les Etals-Unis, [la t rance s'acquitterait de le envers ceux-ci. p l'Allemagne n'a pay Nu de chose La France a apporter la lourde charge

    reconstruction de ses r- dvastes. E'Ie a d dire

    pierre et aux Etals Unis : lierai quand ou me paie

    paiement de sa dette. Ds lors, devant s'acquitter elle-mme et subissant, de ce faii, de lourdes charges, elle a rappel aux Al- lis, notamment la France, qu'ils lui devaient de l'argent.

    'KHIt cela est trs compliqu. Mais il y a d'autres com^lica tions encore. L'opinion aux Etats-Unis, en ce qui concerne le paiement des dettes par l'Eu rop \ est assez confuse Elle veut un rglement. Elle serait prte aider l'Europe, mais si celle- ci renonait ses armements coteux.Dautre part.Etats-Unis et Angleterre savent que si les nations europennes devaient commencer m ML tenant le paie- ment de leura d ttes, elles sc-

    her lecteur, je voue yoie trs triste. De quoi soaffrez veii ? Ce a me l'autre du mal politieju* an deule ||n de dissiper ecs penses nuagueuses qui envahissent vetre cerveau. Il s'agit de la pomme de terre (sela- num tubero-um ) Des observations du clbre prsident de la Socit royale de Londres, sir Joseph Banaks, on constate que la pom- me de terre fut introduite pour la premire lois, en Europe, par les colons que eir W aller Meleig en- voya, en vertu d'eue patente de la reine Elisabeth, peer deouvrir et cultiver en Amrique des een* tree non en possession des ehr. tiens, et par les Espagnols qui occupaient les par i-e mentueoses de l'Amrique mridionale dans le voisinage de Ouilo.

    Gomme la pomme de terre ap. partient la famille dee solaoes, les savaote franais de l'poque disaient : Cette racine de quel. que manire qu'on l'apprte, est tonjeor daag.reuee et fade; on ae pou-M jamais la compter au ring des a'imente agrables*. Pr consquent le peuple l'avait an pr vent on. Lo euisiner ft co i mi un atte reprh'oeibic 'il en eut se vi s son matre.

    Parmentier, quolidiennemfV, eombaitii, avec vhmence, l'ou, ion des savants et chercha le moyen de gagner le peuple p r la persuasion.

    Il avait beaucoup lutter. Dans une assemble popo aire, on allait au scrutin pour ui.e place a I . .elle l'estime publ que semblait le porter lorsqu'un orateur de fau-

    bourg, dans toute sa iougue, s'- crie : Ne la lui donne/ pas; il ne noue ferait manger que des pom- mes de terre; e est lui qui les a inventes.

    Malgr tentes les attaques diri- ges contre lui Parmenlier. gn- ralisa dans la France entire celle importante eu turc. Il demanda et obtint pour ses plantations la plai. ne des sablons jusqu'alors iacult.

    Le roi, malgr les intrigue s des courtisans, accorda sa protection i cette nouvelle eul.ure: et le jour d'une fte solennelle, devant toute a cour, il se prsenta portant sa boutonnire un bouquet de fleurs de pommes de ferre. Ds ce jour la vogue de ce vgtal fut as- sure au grand applaudissement des savants eux-mmes qui, com- me nous en ce moment, en raan- geaient grabkmmt.

    Le gouverm ment envova des se- mis dans les provins 8' les plus lo;gne; et la reconnaissance pu- blique a donn ce tubercule le nom de solaae parmenlire: sug- gestion de M. le comte Franais de V iiftbateau.

    Si, mon cher lecteur, il vous faut le jambon, la langue de veau, le poulet trieass, la dinde rtif, le bif- teck, aux pommes de terre, on bu- vant a voire gr d* iempien temps, un Villejeiet, un Itarbao ourt, un R y uBUaetjeas de vingt...p ..,oa un Mdoe ou un Sauternes; Vite : aa Grand Hlel de l'ianee, chez Dereii; t bientt i'Mft cl Belle VUP, car Henri y sera Ah J l'eau vous vieot S la beuehe. C'est l'argent qui manque le plus. Eh bien, con lente/vaU8 ,fM j# Ja morue g#i renne* de tirre rabeugriee de nos sachons rurales ea attendant que M. Fftemina nous fasse en av ir Je met ho liquemeat cultive.

    N: al n pae laae lee reslauian s s'il voua est i n possible d'acquitter la nota illico.

    Souvenez-vous, que nous ne e >mra s plus l'poque eu Kl i ca- se, rpio, Vilain, Armai, a madame Gervais, a Mamle, Grosnon, Blane ou an bou viens pre Dupitemp'e, aprs le djeu ner, en client s Ivable, loi disait | No z C'est pour moi.

    L iculus LE0 JL'HIIIT

    Au Banque dea Juurna listes rpublicains, f. Doiiiutti-(,jue lait eiejs d- clarations

    PARIS W. Doumergue, prsi dent de h Rpub ique, a dclar au banquet de l'association des journalistes rouVi.;iV. que 'a France c'est eltbree et s e'iereera d'amliorer ses fimnees, d'quili- brer son budget de fortifier les liens d'amiti qui lunissent ses allis et d'assurer l'excution strie te du Trait de Versailles. Lia amis de la France, dit-il, doivent soogar ses ruines. 1 l'insufiisan ce de la s:uril de lendemain A es Iourtes chrges Ils doivent eompreo Ire avec justice la gran deui de se9 dfriculls.

    n Grce

    LVxjnilsion du patriarahe a cr une agitaiioa prs que gtairaJe

    ATHENES, 1 L'archevque a adress tous les chefh des gli- ses d'Europe et d'Amrique un t lgrarame de protestation contre 1 expulsion du patriarche. Le gou vernement enverra incessamment Angora une note nergique cou lignant la violation flagrante des traite. Il a dcid de maintenir ou le drapeau s les soldats de la ClaSKS IWl L. munuir.|,u,,|N associations la'qiiec et les cemmu liantes religieusee de la (rce en lire ont protest contre l'expiil s on du patriarche tt demi, dent salisfaclion. L'eflerveseeoce rgne dans la presse, l'arme et le par lia politiques.

    E Alkanie, TIRANA L'assemble conel'

    tuaatc albanaise a lu & l'unanimi t Ahmed iogou prsident de la rpublique penr 7 ans. Ahmed I gou tait la tte du m avtmeat qi a renverse demiremiat le gouvernement g* Mgr Koile.

    Autour aie fateord com- meraial franao-alit mand UEMLINLe cabinet a ordoor

    au Dr Trendelenlurg de pcmrtti >re les ngociatioBs de I acceid commercial avec la France. 11 de via chercher i obtenir le trai a ment da la naliou la plue fVQll se pour l'exportation.

    Conann.nl i'AlitiiM^ne SJD tend rfier obliga lioiiA cJavanl el d'aprs* fuerre BEHUN Les obligalairee d'

    vaut guerre du gouvernement ulle mand seront imite da la mante macire que les dtcnlrers elle meads quaud aura lieu la rvalua lion, c'est ce que le gouvernement a annonc. En nuaun cas, les d tenteuix ne ponirunt s'illt-udre ce qu'oa les rachte laor valeur nominale parce ijue t' Vllmege **\ ' PP*uvi-ie ei si eaJette par suite de'sa dfaite, qu'un pareil rachat B'gniNcrait le hacnfee de toute sa richesse natiouale. Le geu vernetnenl value les ohlifstioa fl avan. B>oa^ia |,u..u _; .. par lee gouvernements fdral, provinciaux et urbains 140 mil lione de mark-.

    la ilualion ouvrire et la vie chre e Italie

    eura , :Ano\lr~r " ""^ K"' raieot ^"ement appauvries qu' ' elle a fa t PnifnS" tfP e,le9 ne Pourraient plus acheter fJk mSSSK: enA8,elerre et en Amrique i OS $VK r" 5l que '* ,iluttion conomique

    t laaierL i.FaBce du m0Dde en ,erait df u- i la sienne a la charge sment aggrave....

    lu

    |e?pect des Saints .lieux

    il

    Il est regrettable qu'on ait i re lever de pareils faite de la part de jeunes gens dont l'instruc

    besoin de le rappeler? t,0B e l'ducation ont t des plus . glise, quelque culte ^goen et aucune mesure de ri Ppartiennentetquellesque **""/ ?u'on pourra prendre contre s croyances religieusee de 'jeunes irrespectueux pour les

    plu profond respect f?ire rentrer dana l'ordre et la dis l r^gle pour tons. Or il 0,P^ue ne sera trop torle. heureusement remarquer

    I Dimanche, la messe de f, certains jeunes gens font Pgiiset le point terminus

    I bombe'' du Samedi et, c'ats de voiz, leurs pro

    mr tenue irrvrencieuse, II IofF(,e divin en mtme ' la prUrs dis pieux fi

    e", viennent implorer non poitt rire et g-a

    m Mi Feutre et Paille f|0

    Chez

    H- Ralloni fils

    Autour de l'uvre baj>- tiiteJljledeliGesTe Quelquespr^ci ions utiles

    St.Marc, le 1 fvrier Id25.

    Monsieur Clment Magloire Directei'r de Le Malin s

    Tortau-Prince.

    Monsieur le Directeur,

    Ave/ l'obligeance de me per mettre de faire une mise au point en publiant ma prsente.

    La de vos correspondants a mis une note sur loetivre de Mr le pa-- teur ll.nis la Gonave dans Je N" de voire journal du i6 jaavicr coul. Cet aimable corresponJant a t mal renseign. Il^conoalt comme moi ces paroles d'u Matre: ritia-i a Russie d pais i rrk ma tiMiate., Aux Hocems de la alar^eil.alse ' loue par l'oreh stie da l'Op.e, le drapeau franais a t ki s r 1 imu.eufci- occupe pat- la mission de secours Xausea qui servira du quai lier gnral temporaire 4'am basaade de l'rance. Aucune nota bilil oflcielle ou trangre * sislait la crmeaic

    mi ellei Dit erses 'ARla Interview par le Ma

    ta, Measiear Bratiano a inj aiale sur le d\nger .le la politique agressive dea Soviels cea bine avec la complicit allemande D'a- pis l'Echo de Paris M. Douruer gue irait ea I ulegue en avril ; il a ensuite t dmnti que M I)os mergue irait eu Pologne aucuu vo yage officiel l'lraager n'est pr va.

    WASHINGTON M. Oeonnor, prsident du bhippisg Board an aoace que dans quelquea je.s, celte organisation melirail ea vea te toute sa lotte. Lee oifree de vront tre faites sur deux base : les navires vendu pourront tre nm en service sans restrictions eu ave certaines reslrialioao . dans ce dernier cas le pris de vente ae ra rduit, mais l'acheteur devra prendre quelquee engHgemeuts d termins.

    PAkiS Ls commission des g nancos a vol une proposition (en dant a augmenter da 70 o|o lee pensions de guerre.

    l'arisiana, ura (Grimace Malri Entr'esclave ,

    vil la Soa.'iae l'Pi ise de Port- au-Prince avait dans cette lie une

    A 8 heures h lieu la reprise de moniale < et de

    L'Entre gnnle " e9| H'une gourde et non de deux gourdes comme l'a annonc " Le Nouvel- liste1' d liier.

    Lufrin Lubin Llle

    irlnni. kl ciSarmante, l'ide d'olirir un llaeaa des

    uariaen, d^aatant plut ue c'est du IDWH. In ejaas leataa ie| kenaes maisons.