LA PNL - UV2S | Université Virtuelle en Sciences du...

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LA PNL La programmation neuro-linguistique appliquée à l'optimisation de la performance sportive PAR G. MISSOUM La PNL est la dernière-née des métho- des de training mental. Elle nous vient des USA, créée par Richard Bandler et John Grinder dans les années 1970. Elle foisonne de techniques de changements rapides du comportement et elle est pour cette raison particulièrement adaptée à la pratique du sport où la recherche d'optimisations cognitivo- comportementales est souvent un objec- tif à court terme. Développée initialement dans l'univers de la thérapie, elle s'est très vite répan- due dans le monde de l'entreprise. Mais son contenu pratique et opérationnel en fait aussi un ensemble de concepts, de méthodes et de techniques parfaitement adapté à l'univers du sport. Avant d'en illustrer quelques applications sporti- ves, présentons les bases théoriques de la PNL. LES BASES THÉORIQUES DE LA PNL La PNL est traversée par des courants scientifiques puissants. Trois concepts-clés la fondent. P comme programmation La PNL emprunte en effet, au modèle cybernétique des machines intelligentes. Elle exploite l'analogie fonctionnelle entre ces machines et le fonctionnement du cer- veau, véritable bio-ordinateur doté d'une mémoire, qui programme ses actions à l'image d'un ordinateur puissant dérou- lant, avec logique, les diverses instructions de ses programmes. La PNL entre au coeur de la mécanique mentale et décrypte avec précision les stra- tégies anticipatrices de l'action. Ainsi le cerveau du grimpeur en escalade programme-t-il mentalement son algo- rithme pour choisir sa voie pendant les quelques minutes qui lui sont accordées avant de s'élancer sur la paroi de tous les dangers. N comme neurologie La PNL s'inspire des plus récentes décou- vertes en neurologie du cerveau. La pro- grammation de nos actions repose en fait sur nos capacités neurologiques à perce- voir l'environnement et à traiter l'informa- tion qu'il recèle. La PNL s'inspire tout particulièrement des recherches sur la spé- cialisation fonctionnelle des hémisphères cérébraux. L'hémisphère gauche jouerait un rôle majeur dans les phénomènes de réflexion intellectuelle et d'abstraction, dans les opérations mentales qui nécessitent un traitement de l'information analytique sé- quentiel et temporel, c'est-à-dire dans les mécanismes d'appréhension logique, mé- thodique et réfléchie des faits. Il joue également un rôle important dans la fonc- tion verbale, dans les fonctions propres au langage et à la cognition. EPS 230 - JUILLET AOUT 1991 77 Revue EP.S n°230 Juillet-Août 1991 c. Editions EPS. Tous droits de reproduction réservé

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LA PNL La programmation

neuro-linguistique

appliquée

à l'optimisation de la

performance sportive

PAR G. MISSOUM

La PNL est la dernière-née des métho­des de training mental. Elle nous vient des U S A , créée par Richard Bandler et John Grinder dans les années 1970. Elle foisonne de techniques de changements rapides du comportement et elle est pour cette raison particulièrement adaptée à la pratique du sport où la recherche d'optimisations cognitivo-comportementales est souvent un objec­tif à court terme. Développée initialement dans l'univers de la thérapie, elle s'est très vite répan­due dans le monde de l'entreprise. Mais son contenu pratique et opérationnel en fait aussi un ensemble de concepts, de méthodes et de techniques parfaitement adapté à l'univers du sport. Avant d'en illustrer quelques applications sporti­ves, présentons les bases théoriques de la PNL.

LES BASES THÉORIQUES DE LA PNL

La PNL est traversée par des courants scientifiques puissants. Trois concepts-clés la fondent.

P comme programmation

La PNL emprunte en effet, au modèle cybernétique des machines intelligentes. Elle exploite l'analogie fonctionnelle entre ces machines et le fonctionnement du cer­veau, véritable bio-ordinateur doté d'une mémoire, qui programme ses actions à l'image d'un ordinateur puissant dérou­lant, avec logique, les diverses instructions de ses programmes. La PNL entre au cœur de la mécanique mentale et décrypte avec précision les stra­tégies anticipatrices de l'action. Ainsi le cerveau du grimpeur en escalade programme-t-il mentalement son algo­rithme pour choisir sa voie pendant les quelques minutes qui lui sont accordées avant de s'élancer sur la paroi de tous les dangers.

N comme neurologie

La PNL s'inspire des plus récentes décou­vertes en neurologie du cerveau. La pro­grammation de nos actions repose en fait sur nos capacités neurologiques à perce­voir l'environnement et à traiter l'informa­tion qu'il recèle. La PNL s'inspire tout particulièrement des recherches sur la spé­cialisation fonctionnelle des hémisphères cérébraux. L'hémisphère gauche jouerait un rôle majeur dans les phénomènes de réflexion intellectuelle et d'abstraction, dans les opérations mentales qui nécessitent un traitement de l'information analytique sé­quentiel et temporel, c'est-à-dire dans les mécanismes d'appréhension logique, mé­thodique et réfléchie des faits. Il joue également un rôle important dans la fonc­tion verbale, dans les fonctions propres au langage et à la cognition.

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L'hémisphère droit jouerait quant à lui un rôle essentiel dans les fonctions non verba­les telles que la perception des formes dans l'espace en traitant l'information de façon globale et synthétique sur un mode analo­gique, corrélatif et concret. Son rôle est prédominant dans l'analyse visuo-spatiale, la mémoire des lieux et des visages, dans l'intégration des données sensorielles et dans la manifestation des phénomènes émotionnels et affectifs.

Enfin L comme linguistique

La PNL optimise la parole, celle qu'on adresse aux autres, mais aussi celle qu'on s'adresse à soi-même. La PNL réhabilite les mots, le discours, le langage, la com­munication verbale et non verbale.

On trouve aussi dans la PNL d'autres influences majeures : - l'approche ericksonienne (hypnose erick-sonienne), - l'approche systèmique inspirée par Bate-son et Watzlawick, - et enfin, l'approche cognitivo-comporte-mentale qui permet de modifier chez le sujet aussi bien le comportement externe que ses composantes émotionnelles et co-gnitives (images mentales, pensées, etc.). Le contenu de la PNL est tout à fait original et son application au contexte sportif, passionnant.

PNL ET OPTIMISATION DE LA PERFORMANCE SPORTIVE

Rapport et relation pédagogique

La première originalité de l 'apport « PLNiste » est dans le rapport. Etablir le rapport , c'est créer une relation de confiance et de reconnaissance mutuelle avec l'autre. Différentes formes de syn­chronisation verbale et non verbale per­mettent au pédagogue de se mettre en phase, sur la même longueur d'onde que l'élève ou le sportif. La synchronisation verbale peut porter sur le thème de la conversation naturellement, mais surtout sur les prédicats utilisés concrètement dans la discussion par l'élève ou le sportif. L'enseignant ou le coach repère dans le discours de son interlocu­teur, l'appartenance du vocabulaire à un registre dominant, soit visuel, soit auditif, soit kinesthésique, de façon à communi­quer avec lui sur le même canal. La synchronisation non verbale est le plus souvent posturale, vocale ou respiratoire.

Les systèmes de représentation sensorielle

de l'information

La PNL a mis en évidence chez les indivi­dus trois types dominants de représenta­tion sensorielle. Les uns sont plutôt des visuels et se fabriquent volontiers des ima­ges mentales. Les autres sont davantage auditifs et il est préférable en leur parlant de leur dire « écoute » plutôt que « re­garde ». Ils se parlent souvent à eux-mê­mes, leur dialogue interne est intense. Les

derniers enfin sont davantage kinesthési-ques, ils ressentent les mouvements et se rappellent volontiers de leurs émotions. La PNL s'intéressent à ces différents styles cognitifs. à ces différentes façons de traiter l'information sensorielle. Cet enseignement de la PNL est fonda­mental. Il permet au « trainer mental », au pédagogue, au coach, de guider dans la discussion, dans la conversation, l'élève sportif selon la nécessité, soit dans du visuel, soit dans de l'auditif ou du kines­thésique (photo 1). Didier joue au basket-ball dans une équipe de nationle 1. Il est très réceptif aux consi­gnes, durant les arrêts de jeu, s'il fonc­tionne en visuel, mais il est en difficulté s'il fonctionne en dialogue interne. Le sa­chant, son coach peut « shunter » son canal auditif en lui faisant brancher à la place sa vidéo mentale. Comment ? En le faisant visualiser tout en discutant avec lui et en prenant soin d'éli­miner dans son propre discours tous les prédicats auditifs qui pourraient amorcer le dialogue interne de Didier : « Tu vois le tir que tu viens d'effectuer, regarde ton déplacement et regarde ton replacement » (tout en pointant du doigt l'endroit du terrain où Didier a réalisé cette action). « Observe ce que tu vas faire contre ton vis-à-vis ». « Regarde ce que tu vas faire, c'est clair pour toi maintenant, tu vois bien comme c'est simple ». « Tu as une excellente vision de cet endroit du terrain ». Jean-Luc joue dans la même équipe. Pour être excellent, avant un match, il a besoin au contraire d'être branché sur des sensa­tions, des sensations fortes. Le sachant, le coach le conduira dans ces sentations lors du speech d'avant match : « On va se serrer les coudes ». « On se défonce dès le début du match ». « On va les taper ».

Une autre illustration où ce type de gui­dage soit dans du visuel (V), soit dans du kinesthésique (K), est indispensable, peut être empruntée à la compétition en boxe anglaise. En effet, le coach en boxe ne dispose entre chaque round de trois minu­tes que d'une seule petite minute au cours de laquelle il doit dans la conversation, soit amener son boxeur à changer de compor­tement, de technique ou de tactique car le résultat est négatif, soit à persévérer dans les mêmes sensations car le résultat actuel est positif. Dans le premier cas, il le conduira dans du visuel pour lui faire voir les modifications à effectuer : dans le se­cond cas, il intensifiera les sensations performantes du boxeur en termes kines-thésiques pour qu'il les amplifie (photo 2). Voici donc un moyen très efficace pour la PNL d'optimiser la communication. Un autre moyen ? Le Méta-modèle, outil lin­guistique précieux et puissant qui optimise l'entretien du « trainer », du pédagogue ou du coach et le rend tout à fait opérationnel, c'est-à-dire apte à recueillir des informa­tions précises, très proches de l'expérience vécue (1).

LES TECHNIQUES DE LA PNL La PNL dispose d'un véritable arsenal de techniques efficaces capables de générer chez le sportif des changements rapides du comportement, bénéfiques pour la perfor­mance. Cette abondance de techniques tient au fait que la PNL sait exploiter et tirer profit de tous les processus du fonc­tionnement mental ordinaire, les images mentales (vidéo mentale), les pensées (ra­dio mentale) et les sensations (simulateur mental). Les techniques de la PNL em­pruntent donc tous les canaux sensoriels disponibles : le canal visuel (V), le canal auditif (A) et le canal kinesthésique (K). Qu'est-ce donc qu'une performance spor­tive sinon le fruit d'une savoureuse combi­naison entre des comportements visibles.

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des sensations, des émotions, des images mentales et du dialogue interne (pensées) ? Les techniques PNL utilisent ces différents éléments selon des modalités variées. Nous avons ainsi distingué et nommé trois famil­les de techniques.

Techniques de changement de registre sensoriel

Ces techniques consistent à modifier un état négatif, c'est-à-dire une image mentale négative, ou une pensée négative, ou une sensation, une émotion ou un sentiment négatif à un autre registre sensoriel. Ainsi, une athlète qui se trouve dans un état mental négatif de stress (K-) visuali­sera une série d'images positives (V + ) d'elle-même dans une compétition précé­dente pour basculer immédiatement dans la confiance. Ces techniques saturent l'espace mental du sujet en positif et le vident du négatif qui y était initialement installé.

Techniques de commutation à l'intérieur du même registre sensoriel

Ces techniques ne font pas changer le sujet de registre sensoriel, elles le font commu­ter, dans le même registre, du négatif au positif. La technique de commutation du visuel négatif (V-) au visuel positif (V + ) s'appelle le « switch » en PNL. Le « switch » consiste à transformer une image mentale négative déclenchant un état mental perturbant en une image men­tale positive installant au contraire le sujet dans un état mental positif et confiant. Le switch est une technique de gestion effi­cace des images mentales négatives. La commutation peut également s'effec­tuer du kinesthésique négatif au kinesthé-sique positif (K- vers K + ). Il s'agit là d'une technique de transfert de sensation qui est utilisée dans la gestion de la douleur et de la souffrance (substitution sensorielle de la douleur) et qui consiste, au moment où la souffrance se manifeste, à localiser une sensation positive dans une autre partie du corps, hors de la zone douloureuse. Au moment où, à la fin du marathon, la douleur dans les cuisses de­vient trop vive, il est possible de trouver dans les épaules, dans la nuque ou dans le dos, une sensation positive sur laquelle focaliser son attention jusqu'à l'arrivée (procédé hypnotique).

Techniques de changement de locus de contrôle

Ces techniques consistent dans un même registre sensoriel, visuel, auditif ou kines­thésique à commuter du mode interne au mode externe. Ainsi une image mentale interne négative d'échec sera remplacée par la focalisation de l'attention sur un objet extérieur stimu­lant ou sur une personne de notre entou­rage immédiat. Un monologue interne négatif sera rem­placé par un cri bruyant ou par des paroles

positives prononcées à haute et intelligible voix. C'était la technique employée par Jack La Motta qui, avant de quitter le vestiaire pour se rendre sur le ring et pour chasser les pensées négatives qui pouvaient l'assaillir, se disait en boxant son image dans le miroir : « c'est toi le patron, c'est toi le patron, c'est toi le patron ! ».

Une sensation négative avant une compéti­tion sera remplacée par des gestes d'échauffement dynamiques et puissants (ex. : pompage des membres supérieurs emprunté à la sophrologie).

Les submodalités

Comme nous l'avons déjà vu, les techni­ques de la PNL utilisent les trois registres sensoriels fondamentaux : visuel, auditif et kinesthésique. L'intérêt des submodalités, c'est qu'elles permettent d'affiner le contenu de chacun de ces registres, le contenu de l'image, de la pensée et de la sensation. En détaillant ce contenu avec la plus extrême précision, les submodalités facilitent la conception de techniques sur mesure parfaitement adaptées au fonc­tionnement mental du sportif.

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Ainsi, Carlo est champion de canoë-kayak. Les submodalités lui permettent d'entrer plus aisément dans sa sensation plaisir. Le plaisir de naviguer est chez lui le résultat d'un savant mélange où se marient quatre sensations différentes : la sensation de glisse, la sensation d'accrochage de la pagaie dans l'eau, la sensation de vitesse gestuelle et la sensation mentale provo­quée par la certitude d'être sur la bonne trajectoire.

Les techniques associées et dissociées

De nombreuses techniques de PNL trou­vent leur efficacité dans le fait qu'elles placent le sujet soit dans un état mental associé, soit dans un état mental dissocié. Etre associé, c'est être personnellement et mentalement dans l'expérience, dans le match, complètement en contact avec les sensations de l'action qu'on visualise. S'il est associé à un effort physique intense, plusieurs fois répété mentalement, il sera effectivement éprouvé nerveusement et physiquement à la fin de la visualisation. C'est ce que nous appelons la VMA ou visualisation mentale associée. Etre dissocié, c'est au contraire être hors de l'expérience, c'est se voir ou voir ses ac­tions comme projetées à l'extérieur de soi sur un écran. Le sujet est le spectateur de la situation et il n'est donc pas en contact avec ses sensations. C'est ce que nous appelons la VMD ou visualisation mentale dissociée. Pour le « trainer », le pédagogue et le coach, le principe d'utilisation de ces états associés et dissociés est simple : associer l'élève ou le sportif à ses succès, à ses réussites pour renforcer la situation et faciliter son renouvellement ; le dissocier de ses défaites, de ses échecs pour appren­dre de la situation et faire différemment la prochaine fois. L'application idéale des états associés est

l'ancrage de ressource : elle permet à l'athlète de se mettre exactement dans l'état mental approprié au contexte de la situation et au moment de l'action (Pho­tos 3 et 4). Les techniques de dissociation sont quant à elles particulièrement adaptées à la maîtrise mentale des situations surgénéra­trices d'anxiété et de stress.

Le modelage

La technique du modelage, appelée en PNL générateur de comportements nou­

veaux, permet de programmer et d'implan­ter un comportement nouveau lorsqu'il y a nécessité d'acquérir un nouveau savoir-faire dans un contexte donné. En tennis par exemple, il existe un mode­lage indispensable, c'est celui du compor­tement du gagneur après un point perdu dans le match, au cours de la partie qui continue de se poursuivre. On trouve bien d'autres techniques dans la PNL comme les techniques cognitives qui permettent d'optimiser la parole, celle qu'on adresse aux autres, mais aussi celle qu'on s'adresse à soi-même. Nous pourrions citer également comme autres techniques, la négociation entre parties, le recadrage de sens, la métaphore ou le changement d'histoire de vie. Mais nous n'avons plus ici la place de les déve­lopper.

Pour conclure, présentons l'ensemble des objectifs que la PNL permet à l'élève, au sportif, à l'enseignant ou au coach d'at­teindre : - prendre conscience de son corps et affi­ner les sensations, - contrôler l'anxiété, - maîtriser l'émotivité, - améliorer le contrôle du stress, - contrôler la souffrance, gérer la douleur et la fatigue, - améliorer la capacité d'attention et de concentration, - renforcer la motivation, - accroître la combativité, - améliorer la confiance en soi, - contrôler les pensées négatives, - gérer les objectifs, - implanter de nouveaux comportements, optimiser et accélérer l'apprentissage, - améliorer la communication.

Guy Missoum Maître de conférences

à l'Université de Paris X (Nanterre) Master en PNL (1FPNL)

PHOTOS : TEMPSPORT

BIBLIOGRAPHIE MISSOUM (G), LHABOUZ (J.-M.) : Piloter sa vie en champion (PNL appliquée au sport) - Ed. Belfond, l'Age du Verseau, Paris 1990. MISSOUM (G.) : Guide du training mental - Ed. Retz, Paris. 1991. MISSOUM (G.), MINARD (J.-L.) : L'art de réussir, l'esprit du sport appliqué à l'entreprise - Editions d'Organisation, Paris, 1990. Deux ouvrages généraux sur la PNL : CAYROL (A.), de SAINT-PAUL (J.) : Derrière la magie. Interéditions, 1984. DILTS (R.), GRINDER (J), BANDLER (R), DELO-Z1ER (J.) : Neuro Linguistic Programming, vol. 1. Meta Publications, 1980.

N.B. : Guy Missoum organise des sémi­naires de formation en PNL appliquée au sport (contacter GERPSI. 26. rue du Clos d'Orléans - 94120 Fontenay-sous-Bois. tél. : 48 73 64 36).

(l)Pour en savoir davantage sur le Méta-modèle, se reporter au chapitre sur la PNL, dans le guide pratique du training mental. MISSOUM (G), Ed. Retz, Paris, 1991.

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