La lettre du mois - e-MEDICINimage · La lettre du mois • avril 2014 2 CALENDRIER DE PUBLICATION...
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La lettre du mois La Lettre du mois e-MEDECINimage est éditée par GIPSE e-learning Tél : 05 62 17 39 25 Email : [email protected] - site web : www.e-medicinimage.eu édito La e-formation au plus près des besoins n°63 Erasmus building Rotterdam avril 2014 Derniers dossiers e-H 14.04 e-P 14.02 e-M 14.02 Actualité du DPC L’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) vient de publier son rapport définitif intitulé « Contrôle de l’OGDPC et évaluation du DPC des professionnels de santé ». Ce document de 123 pages sera certainement l’objet de nombreuses analyses et entrainera probablement des in- flexions sensibles. Nous y reviendrons ultérieurement. En attendant, nous tenons à rappeler à certains d’entre vous quelques conseils qui leur éviteront des surprises, des déceptions, voire des colères ! En exergue L e Larousse dit que l’exergue se situe en dehors du travail lui-même (ex-ergon). Celui d’une statue se situe sur le socle, celui d’un livre en préambule. Parlons aujourd’hui d’exergues qui pourraient concerner le travail de ces acteurs de santé que sont les biologistes et les techniciens. Ce sont des citations que nous faisaient inscrire nos maîtres, sur la première page de nos cahiers. Elles devaient nous soutenir dans notre travail. Elles sont apparues à quelques années d’intervalle. La première dans les petites classes était : « Chercher à s'élever toujours ». Il y avait là de quoi toucher un enfant confronté à l’appren- tissage du savoir et du savoir être. Le maître nous préparait à faire le grand saut dans le secondaire. La seconde se situe à la fin du secondaire. Le professeur de maths faisait inscrire : « En somme de quoi s’agit-il ? ». Bonne question pour des élèves qui parfois tentaient de trouver solution à des problèmes dont ils n’avaient pas bien lu l’énoncé. Dans la période actuelle, tourmentée par le double impéra- tif de la modernité et de l’économie, ces deux citations semblent adaptées aux acteurs de la biologie médicale : - ne pas cesser d’améliorer son savoir (le DPC s’en oc- cupe) et la façon de se comporter (à l’égard des patients mais aussi au sein de la profession) pour la première, - ne pas perdre de vue ce qui constitue l’essentiel du métier (la prise en charge d’êtres humains) pour la se- conde. Mais, de qui sont ces citations qui étaient en exergue de nos cahiers ? La première est de PASTEUR, parfaitement appli- cable à notre biologie médicale moderne. La seconde du Maréchal FOCH, qu’il assénait en réunion d’État-Major lorsque le propos s’égarait. Question bien utile dans le combat que l’on doit mener dans notre société vraiment lo- gorrhéique. Pr. Joël X. CORBERAND Président de GIPSE e-Learning Remerciements à messieurs Blancafort, instituteur de la classe de Sep- tième et Lauga, professeur de mathématiques des classes de Première et Terminale, dans les années 19… Asthénie et anémie chez un homme âgé de 74 ans. Un enfant de 8 ans avec des douleurs abdominales Desquamation de la plante des pieds chez un homme de 56 ans, d'origine angolaise. Ces trois programmes sont accrédités OGDPC Biologistes libéraux : votre forfait ! l’OGDPC assure la prise en charge de vos formations. Mais cette prise en charge est plafonnée. Son dépassement entraîne un refus de prise en charge de tout ce qui est au-délà. Dans ces conditions, c’est vous qui devrez personnellement assurer le paiement des formations déjà faites. C’est à vous de veiller à ne pas dépasser votre forfait en consultant la rubrique « Mes forfaits » sur votre compte DPC et en vérifiant le montant qui vous est alloué.
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La lettre du mois
La Lettre du mois e-MEDECINimage est éditée par GIPSE e-learning Tél : 05 62 17 39 25 Email : [email protected] - site web : www.e-medicinimage.eu
édito
La e-formation au plus près des besoins
n°63
Erasmus building Rotterdam
avril 2014
Derniers dossierse-H 14.04
e-P 14.02
e-M 14.02
Actualité du DPCL’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) vient depublier son rapport définitif intitulé « Contrôle de l’OGDPCet évaluation du DPC des professionnels de santé ». Cedocument de 123 pages sera certainement l’objet denombreuses analyses et entrainera probablement des in-flexions sensibles. Nous y reviendrons ultérieurement. Enattendant, nous tenons à rappeler à certains d’entre vousquelques conseils qui leur éviteront des surprises, desdéceptions, voire des colères !
En exergue
Le Larousse dit que l’exergue se situe en dehors dutravail lui-même (ex-ergon). Celui d’une statue sesitue sur le socle, celui d’un livre en préambule.
Parlons aujourd’hui d’exergues qui pourraientconcerner le travail de ces acteurs de santé que sont lesbiologistes et les techniciens.
Ce sont des citations que nous faisaient inscrire nosmaîtres, sur la première page de nos cahiers. Elles devaientnous soutenir dans notre travail. Elles sont apparues àquelques années d’intervalle.La première dans les petites classes était :
« Chercher à s'élever toujours ».Il y avait là de quoi toucher un enfant confronté à l’appren-tissage du savoir et du savoir être. Le maître nous préparaità faire le grand saut dans le secondaire.La seconde se situe à la fin du secondaire. Le professeur demaths faisait inscrire :
« En somme de quoi s’agit-il ? ».Bonne question pour des élèves qui parfois tentaient detrouver solution à des problèmes dont ils n’avaient pas bienlu l’énoncé.Dans la période actuelle, tourmentée par le double impéra-tif de la modernité et de l’économie, ces deux citationssemblent adaptées aux acteurs de la biologie médicale :
- ne pas cesser d’améliorer son savoir (le DPC s’en oc-cupe) et la façon de se comporter (à l’égard des patientsmais aussi au sein de la profession) pour la première,- ne pas perdre de vue ce qui constitue l’essentiel dumétier (la prise en charge d’êtres humains) pour la se-conde.
Mais, de qui sont ces citations qui étaient en exergue de noscahiers ? La première est de PASTEUR, parfaitement appli-cable à notre biologie médicale moderne. La seconde duMaréchal FOCH, qu’il assénait en réunion d’État-Majorlorsque le propos s’égarait. Question bien utile dans lecombat que l’on doit mener dans notre société vraiment lo-gorrhéique.
Pr. Joël X. CORBERANDPrésident de GIPSE e-Learning
Remerciements à messieurs Blancafort, instituteur de la classe de Sep-tième et Lauga, professeur de mathématiques des classes de Premièreet Terminale, dans les années 19…
Asthénie et anémie chez un homme âgé de 74ans.
Un enfant de 8 ans avec des douleursabdominales
Desquamation de la plante des pieds chez unhomme de 56 ans, d'origine angolaise.
Ces trois programmes sont accrédités OGDPC
Biologistes libéraux : votre forfait !l’OGDPC assure la prise en charge de vos formations.
Mais cette prise en charge est plafonnée.Son dépassement entraîne un refus de prise en charge
de tout ce qui est au-délà.Dans ces conditions, c’est vous qui devrez personnellement
assurer le paiement des formations déjà faites.
C’est à vous de veiller à ne pas dépasser votre forfaiten consultant la rubrique « Mes forfaits » sur votre compte
DPC et en vérifiant le montant qui vous est alloué.
La lettre du mois • avril 2014
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CALENDRIER DE PUBLICATION DES DOSSIERSDe quoi prévoir quand vous aurez vos dossiers
Bibliographie d’accès facileSe tenir au courant de ce qui avance sur les plansscientifique et technique suppose d’avoir desdocuments de qualité et d’accès facile.
De façon générale, les connaissances scientifiques dulecteur, la langue et leur présentation conditionnentl’accessibilité aux revues. En accord avec les éditeurs, nousvous proposons chaque mois les sommaires d’articlescorrespondant aux spécialités prises en charge par e-MEDICINimage (hématologie, mycologie, parasitologie).
Volume 72 – Numéro 2 (Mars-Avril 2014)Pages 141-145 : Stabilité pré-analytique des para-mètres de la coagulation : revue des données dispo-nibles.Pages 147-152 : Place des explorations urinaires dansle diagnostic et le suivi des gammapathies monoclo-nales en pratique quotidienne.Pages 153-177 : Les cellules tumorales circulantes : unnouveau challenge pour la biologie clinique oncolo-gique.Pages 185-192 : Surveillance biologique des antago-nistes de la vitamine K chez le patient âgé.Pages 231-235 : Comparaison de la centrifugation surMPA C10 (Roche Diagnostics) et de la centrifugationselon les préconisations du Groupe d’étude del’hémostase et de la thrombose pour les analyseursd’hémostase du quotidien.Pages 236-240 : Un syndrome d’hyperperméabilitécapillaire idiopathique révélant une maladie de Wal-denström.Pages 241-244 : Syndrome d’activation macropha-gique révélateur d’un lymphome T hépatospléniquechez une patiente atteinte de leucémie lymphoïdechronique.
Numéro 505 (31 mars 2014)Pages 18-19 : Hepcidine : aspects analytiques et inté-rêt clinique.Numéro 506 (15 Avril 2014)Page 11 : Hémochromatose et risque de cancer hépa-tique.
Numéro 462 (Mai 2014)Pages 25-38 : Physiologie des polynucléaires neutro-philes humains.Pages 39-46 : Fc récepteur et polynucléaire neutro-phile.Pages 47-58 : Le polynucléaire neutrophile dans lesvascularites associées aux ANCA.Pages 59-63 : Nétose et autoimmunité.Pages 65-71 : Altérations phénotypiques et fonction-nelles des polynucléaires neutrophiles au cours desétats septiques sévères.Pages 73-85 : Le polynucléaire éosinophile : nouveau-tés en physiologie et implications diagnostiques.Pages 87-94 : Polynucléaire éosinophile et parasitoses.Pages 95-105 : Le polynucléaire basophile : nouveau-tés en physiopathologie et implications diagnostiques.
MOIS e-HEMATimage e-PARASITimage e-MYCOimage
Janvier
Février
Mars
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Mai
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Pas de publication
Pas de publication
Les lignes surlignées en gris indiquent que les dossiers sontpubliés le même jour pour tous les programmes
Biologistes libéraux : la première étape !Selon les exigences du DPC, nos programmes sont
structurés en "étapes" de 2 dossiers.La prise en charge financière par l’OGCPC
ne se fait que si 2 dossiers au moins ont été faits.Si vous ne franchissez pas ce cap, vous ne serez pas pris encharge par l’OGDPC et nous vous en adresserons la facture.
Si vous ne réalisez pas la totalité du programme, vousn'aurez pas l’indemnité forfaitaire.
Soyez vigilants !
La lettre du mois • avril 2014
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Volume 33 – N° 206 (Janvier-Février-Mars 2014)Pages 29-35 : Actualités sur la toxoplasmose.Pages 37-43 : Diagnostic biologique du paludisme.Pages 45-50 : Diagnostiquer les mycoses invasives auquotidien dans un laboratoire de microbiologie : lespopulations de patients à cibler et les examens biolo-giques à mettre en œuvre.Pages 51-54 : Myases cutanées furonculeuses : Rap-pels à propos d’un cas.
Conseil technique (mycologique)Comment prélever une lésion
évoquant une mycose superficielleLe prélèvement en « Mycologie » est l’étape pré-ana-lytique indissociable du diagnostic biologique.Quelques règles s’imposent aux biologistes confron-tés aux mycoses superficielles.Les précautionsIl doit être réalisé avant tout traitement antifongique.En cas de topique antifongique déjà institué, ilconvient de le stopper et de réaliser une "fenêtre thé-rapeutique" d'au moins 15 jours (pour un traitementlocal), et d'environ 2 mois (ou mieux 3 mois si ce sontdes ongles) en cas de traitement antifongique per os.
En pratique courante on peut décrire 3 possibilités :1-Hypothèse d'une dermatophytie• de la peau glabre, le prélèvement se fait enpériphérie de la lésion au niveau du bourreletvésiculeux,• des plis, on prélève au niveau de la partie la pluspériphérique et non au fond du pli,• des ongles, pour des lésions distales ou disto-latérales le prélèvement se fait au niveau de lajonction ongle sain ongle malade. Sur des lésionssuperficielles (leuconychies) le prélèvement consisteà "raboter" la partie lésée de la tablette supérieure.Enfin sur des lésions proximales le prélèvementporte sur le bourrelet unguéal,• du cuir chevelu, à ce niveau le prélèvementconsiste à racler (à l'aide d'une petite curette) lazone d'alopécie et à récupérer les squamesparasitées et les cheveux cassés, ensuite on frotte lazone malade à l'aide d'un écouvillon préalablementhumidifié,• des poils (folliculites, kérion du cuir chevelu, de labarbe ou de la moustache), dans ces cas leprélèvement consiste à arracher à l'aide d'une pinceà épiler les poils issus de ces lésions, ensuite onécouvillonne les zones suintantes pour absorber lessérosités.
2-Hypothèse d'une candidoseLes candidoses cutanées sont souvent secondaires
aux candidoses des muqueuses (oro-pharyngées ouvulvo-vaginales). Elles siègent habituellement au ni-veau des plis.Le prélèvement doit être essentiellement dirigé sur lefond du pli. L’utilisation d’écouvillons suffit largementpour recueillir les sérosités.De nombreux plis peuvent être touchés : plis buccaux(perlèche), plis des intertrigos interdigitaux palmaires(fréquents), plis axillaires, sous-mammaires, ingui-naux, cruraux, inter-fessier, plus rares plis interdigi-taux plantaires.Il convient d'examiner tous ces territoires et éven-tuellement d’y effectuer des prélèvements en cas delésions suspectes.Il existe également des folliculites à Candida, locali-sées au niveau du cuir chevelu, de la barbe ou de lamoustache. Elles sont souvent douloureuses et sur-viennent plus volontiers chez les héroïnomanes.
3-Hypothèse d'un Pityriasis versicolorLes lésions siègent essentiellement au niveau du couet du tronc (thorax, dos). Ce sont des macules fine-ment squameuses (signe du copeau, après grattage)qui siègent essentiellement sur le cou, et le tronc(thorax, dos). Ces lésions sont soit achromiques (surpeau noire ou bronzée), soit de couleur chamois. Leprélèvement consiste à gratter les lésions à l'aide d'unvaccinostyle et à recueillir les squames détachées. Ilpeut se faire aussi avec un ruban de cellophaneadhésive transparent qui sera appliqué sur les lésionspuis ensuite collé sur une lame de verre (technique du« Scotch-test »).
Annonce de réunion
Petites annonces« La Lettre du Mois de e-MEDICINimage » souhaiteconstituer un lien entre tous les utilisateurs de pro-gramme de la collection. Cette rubrique est ouverte àtous ceux qui chercheraient ou proposeraient quelquechose. Bien évidemment c’est gratuit et ça touche plu-sieurs milliers de professionnels. Profitez-en !
LES SÉMINAIRES DE
L’INSTITUT NATIONAL DE LA TRANSFUSION SANGUINE
À l’occasion de laJournée mondiale de la drépanocytose
L’AVENIR THÉRAPEUTIQUE DE LA DRÉPANOCYTOSELe Jeudi 19 juin 2014
à l’INTS 6 rue Alexandre-Cabanel 75015 ParisEntrée libre sur inscription
Cliquez sur ce lien pour accéderau programme détaillé et vous inscrire :
http://www.e-medicinimage.eu/Ressources/Divers/fr/pdf/sem-drepanocytose.pdf/
La lettre du mois • avril 2014
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Le chiffre du mois
100Il y a 100 ans éclatait la première guerre mondiale. Iln’est pas question de reprendre ici ce qui a été déjàrappelé, raconté et montré dans les media en ce dé-but d’année. Il s’agit simplement de faire le lien avecles quelques lignes de l’éditorial où est rappelée unecitation revenant à FOCH (En somme, de quoi s’agit-il?), l’un des acteurs de cette période noire de l’histoirede l’humanité et, pourquoi pas, de vous inciter à lire leroman de Pierre LEMAITRE (« Au revoir là-haut ») quilui a valu d’être primé par le Goncourt. Mérité.
Note de lectureFer et Parkinson
Le fer ne s’occupe pas seulement des hématies.
Une équipe du CHU de Lille vient de publier dans unerevue internationale (Antioxidants & Redox Signaling1)les résultats encourageants d’une étude concernantl’utilisation d’un chélateur du fer (le défériprone) surl’état fonctionnel de patients atteints de maladie deParkinson. Rassurez-vous nous n’avons pas l’intentionde vous imposer de la neurologie, mais nous ne pou-vons pas nous désintéresser de ce que peut faire cefer essentiel à la vie, via la synthèse de l’hémoglobinepour une vie aérobie.Le défériprone (Ferriprox®) est indiqué dans le traite-ment de la surcharge en fer chez les patients qui pré-sentent une thalassémie majeure et pour lesquels untraitement par la déféroxamine est contre-indiqué ouinadapté. Il s’avère qu’il exerce un effet neuroprotec-teur par inhibition du métabolisme de la dopamine. Eneffet, les travaux de l’équipe de Lille (Dr David DEVOS)y font référence, le fer labile aggrave le stress oxydantet provoque la mort neuronale.Il ne s’agit là que d’une première indication, ouvrantsur un espoir sérieux, et de nouvelles études sont encours sur une période prolongée. Par ailleurs, ilsemble bien que ce ne sera pas le défériprone qui se-ra la molécule employée, en raison de risques d’effetssecondaires graves (atteinte des muscles squelet-tiques, agranulocytose). Affaire à suivre…
1David Devos et al. “Targeting chelatable iron as a thera-peutic modality in Parkinson’s disease”.
Conseil technique (informatique)Minimiser le risque de se faire pirater !
Comme nous vous l'avions annoncé novembre 2013("Lettre du Mois" n°59), Microsofta cessé depuis le 8 avril les misesà jour du système XP. Celui-cicontinue bien entendu de fonc-tionner mais se trouve désormaisplus exposé aux hackers en raison
des failles de sécurité que ces derniers pourront trou-ver pour prendre le contrôle de votre PC.
Si vous souhaitez cependant continuer à utiliser cesystème, nous vous recommandons de ne plus utiliserInternet Explorer comme navigateur (rappelons quec’est le navigateur Web développé par Microsoft) maisd'en installer un autre tel Mozilla Firefox ou GoogleChrome (ou tout autre de votre choix) qui présentemoins de risque et continue à être mis à jour réguliè-rement.
Nouvelles de GIPSEConvention avec la Chine
Du 11 au 14 Avril, GIPSE est allé à SHANGHAI pourmettre la dernière main à la mise en place de lastructure chinoise qui, avec le Pr Jian-Qing MI, animedorénavant le programme e-HEMATimage en Répu-blique Populaire de Chine. Affaire à suivre….
De gauche à droite : Wenyan YU, Shumin XIONG, Bing CHEN, JoëlX. CORBERAND, Rong LI, Jian-Qing MI et Xiaomu JIN au CHU Rui-Jin de SHANGHAI.
Revue des FAQSi vous avez des problèmes avec nos programmes,quels qu’ils soient, consultez les FAQ à partir de notresite : www.e-medicinimage.eu... avant de faire appelà nous. Pour vous stimuler, nous faisons ci-dessousune présentation de ces FAQ :
14. Il me manque des numéros de la Lettre du moisde MEDICINimage : que faire pour les consulter ?Pour consulter toutes les lettres du mois publiées,vous pouvez les télécharger sur le site www.e-medicinimage.eu, rubrique "Lettres du Mois" et vouscliquez sur le mois correspondant.
17. Pouvons-nous suivre les formations à plusieurs ?Rappelons que l'obligation de formation est indivi-duelle. Les formations sont individuelles et nomina-tives, mais rien n’empêche de les faire à plusieurs. Lesattestations sont délivrées individuellement. Nousmettons à la disposition des utilisateurs d’un mêmelaboratoire des outils (dans le logiciel e-MEDICINi-mage) leur permettant de comparer dans le détailleurs réponses, base d’un débat formateur.
Et pour finir...Vous venez de parcourir cette «Lettre du Mois de e-MEDICINimage». Aidez-nous à l’améliorer en adressantun message pour dire ce que vous appréciez et ce quevous aimeriez modifier à :
