Jeux Coquins Avec Un Inconnu Dans Le TGV

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1 Jeux Coquins avec un Inconnu dans le TGV Mourad (mon mari) devait se rendre dans la capitale durant deux jours pour son job. Ayant rendez- vous le lundi matin assez tôt, il avait décidé de partir le dimanche après-midi. C’est alors que la semaine précédant son départ, je lui proposais de passer le week-end ensemble à Paris en partant même le vendredi matin ce qui nous allongerait notre petit séjour. Mourad dû s’organiser dans son emploi du temps, modifier les dates de son billet aller et me prendre un billet. Malheureusement nos billets en première classe pris tardivement nous n’avions pas de place côte à côte, moi j’avais une place sur un siège isolé face à face et Mourad avait un siège coté couloir à deux rangées du mien, mais nous nous faisions face. Notre TGV partait de Montpellier à 9h20 pour arriver à la capitale peu après midi trente. Mourad m’avait mis au défi de séduire un homme durant le trajet. Alors que je m’habille Mourad me dit : – Farida pour le soutif blanc en tulle brodé très sexy, le chemisier crème léger et la jupe gris foncé tout juste mi-cuisse et un brin translucide c’est parfait, mais ton collant sans couture marron foncé même porté sans rien dessous c’est moins sexy ! – Tu verras, mon chéri, l’utilité du collant le moment venu… je pense que tu apprécieras ! Ma tenue se complète par une paire d’escarpins à talons fins de 7 ou 8 cm de haut et d’un petit blouson court et cintré. Dès notre arrivée à la gare je décide de ne pas me tenir près de toi, ainsi pour que tous les autres voyageurs ne nous voient pas comme un couple. Mourad entre en premier dans le train, j’entre à mon tour juste que deux petites minutes avant le départ. Je rejoins ma place, j’enlève mon blouson, sort un roman de mon sac à main et je m’assois face un homme d’une quarantaine d’année bien physiquement, déjà occupé à pianoter sur le clavier de son ordi portable. Il me salue poliment et replonge sur l’écran de son ordi. Le train vient de quitter la gare et prend lentement sa vitesse de croisière, j’ai ouvert mon livre et laissé replié sur le plan central le rabat de la table. Je constate, satisfaite, au vu des regards masculins ou féminins sur mes cuisses des quelques personnes passant dans l’allée, que la table ne gêne en rien la vision sur mes cuisses. Mourad, juste à quelques petits mètres de moi, me fait signe d’ouvrir d’un bouton de plus mon chemisier. Je lui fais un signe négatif de la tête, je trouve mon décolleté suffisamment profond jusqu’au creux de mes seins, les revers de mon chemisier laissant apparaître la lisière brodée et le fin tulle des bonnets de mon soutif. Tout en lisant, je remarque le manège du regard de mon voisin se portant soit sur mon buste, c’est vrai que la broderie de mon soutif ne passe pas inaperçue sous le fin coton de mon chemisier, tantôt en se reculant au plus loin que le permet son siège, je remarque le regard partir sous la tablette. Ah enfin ! me dis-je, je désespérai de le voir attiré par mes atouts. Ca fait bien à présent presque une petite heure que le TGV file dans la campagne, nous avons attrapé la ligne à grande vitesse qui débute après Nîmes et on plonge vers la vallée du Rhône. Mon voisin range son ordi dans sa housse, puis rabat à son tour sur le plan central le rebord de la tablette amovible. Je pose mon bouquin, j’actionne le bouton de mon siège pour le mettre en position inclinée, je décroise mes jambes pour les recroiser dans inversement, dans le mouvement je touche du bout de mon escarpin la jambe de mon voisin. Il lève les yeux de son écran de téléphone qu’il venait de prendre, je lui souris et me rend mon sourire, je laisse mon regard partir au travers de

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Une femme mariée cocufie son mari avec un inconnu dans les toilettes du TGV.

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Jeux Coquins avec un Inconnu dans le TGV

Mourad (mon mari) devait se rendre dans la capitale durant deux jours pour son job. Ayant rendez-vous le lundi matin assez tôt, il avait décidé de partir le dimanche après-midi. C’est alors que la semaine précédant son départ, je lui proposais de passer le week-end ensemble à Paris en partant même le vendredi matin ce qui nous allongerait notre petit séjour. Mourad dû s’organiser dans son emploi du temps, modifier les dates de son billet aller et me prendre un billet.

Malheureusement nos billets en première classe pris tardivement nous n’avions pas de place côte à côte, moi j’avais une place sur un siège isolé face à face et Mourad avait un siège coté couloir à deux rangées du mien, mais nous nous faisions face. Notre TGV partait de Montpellier à 9h20 pour arriver à la capitale peu après midi trente. Mourad m’avait mis au défi de séduire un homme durant le trajet.

Alors que je m’habille Mourad me dit :

– Farida pour le soutif blanc en tulle brodé très sexy, le chemisier crème léger et la jupe gris foncé tout juste mi-cuisse et un brin translucide c’est parfait, mais ton collant sans couture marron foncé même porté sans rien dessous c’est moins sexy !

– Tu verras, mon chéri, l’utilité du collant le moment venu… je pense que tu apprécieras !

Ma tenue se complète par une paire d’escarpins à talons fins de 7 ou 8 cm de haut et d’un petit blouson court et cintré.

Dès notre arrivée à la gare je décide de ne pas me tenir près de toi, ainsi pour que tous les autres voyageurs ne nous voient pas comme un couple. Mourad entre en premier dans le train, j’entre à mon tour juste que deux petites minutes avant le départ.

Je rejoins ma place, j’enlève mon blouson, sort un roman de mon sac à main et je m’assois face un homme d’une quarantaine d’année bien physiquement, déjà occupé à pianoter sur le clavier de son ordi portable. Il me salue poliment et replonge sur l’écran de son ordi. Le train vient de quitter la gare et prend lentement sa vitesse de croisière, j’ai ouvert mon livre et laissé replié sur le plan central le rabat de la table.

Je constate, satisfaite, au vu des regards masculins ou féminins sur mes cuisses des quelques personnes passant dans l’allée, que la table ne gêne en rien la vision sur mes cuisses. Mourad, juste à quelques petits mètres de moi, me fait signe d’ouvrir d’un bouton de plus mon chemisier. Je lui fais un signe négatif de la tête, je trouve mon décolleté suffisamment profond jusqu’au creux de mes seins, les revers de mon chemisier laissant apparaître la lisière brodée et le fin tulle des bonnets de mon soutif.

Tout en lisant, je remarque le manège du regard de mon voisin se portant soit sur mon buste, c’est vrai que la broderie de mon soutif ne passe pas inaperçue sous le fin coton de mon chemisier, tantôt en se reculant au plus loin que le permet son siège, je remarque le regard partir sous la tablette.

Ah enfin ! me dis-je, je désespérai de le voir attiré par mes atouts. Ca fait bien à présent presque une petite heure que le TGV file dans la campagne, nous avons attrapé la ligne à grande vitesse qui débute après Nîmes et on plonge vers la vallée du Rhône.

Mon voisin range son ordi dans sa housse, puis rabat à son tour sur le plan central le rebord de la tablette amovible. Je pose mon bouquin, j’actionne le bouton de mon siège pour le mettre en position inclinée, je décroise mes jambes pour les recroiser dans inversement, dans le mouvement je touche du bout de mon escarpin la jambe de mon voisin. Il lève les yeux de son écran de téléphone qu’il venait de prendre, je lui souris et me rend mon sourire, je laisse mon regard partir au travers de

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la vitre contempler la paysage qui défile. Puis mon regard fait un tour circulaire du wagon, croise celui de Mourad pour finit vers la fenêtre opposée.

J’attends d’une oreille discrète les bips du téléphone de mon voisin quand il touche con écran tactile, je ferme les yeux me laissant bercer par le doux roulis du train. J’entrouvre les paupières, je vois mon voisin qui manipule toujours son téléphone, parfois l’inclinant, il a dû trouver comment désactiver les bips car je ne les entends plus.

Mon regard repart par ma fenêtre avant de se baisser sur mes cuisses, je constate que ma jupe au fur et à mesure de mes mouvements a fini par reculer assez haut sur mes cuisses n’en couvrant que le début. Et je comprends le fait que je n’entende plus le bip-bip du téléphone quand mon voisin touche son écran, il doit me prendre en photo !

Loin de me révolter par le fait d’être prise en photo à mon issu, cela me rassure enfin que mon voisin s’intéresse à moi, je commençai à désespérer. Je décide de franchir une étape.

Je décroise mes jambes, au passage j’effleure à nouveau son tibia en contournant ses jambes... sourire de ma part valant d’excuse, auquel il répond, et je lui dis :

– Ça ne vous dérange pas si je place mon pied contre la cloison, je commençai à avoir des crampes dans cette position.

– Mais absolument pas, je vous en prie !

Mon pied repose à présent sur le petit rebord qui se trouve en bas de la carrosserie et le plancher des TGV, l’autre jambe étant restée presque parallèle juste un peu de biais vers le couloir, créant ainsi une certaine ouverture de mes cuisses.

Mon voisin reprend son manège avec son téléphone, je referme les yeux (enfin presque) le coude sur l’accoudoir et le menton reposant dans la paume de ma main. Je laisse passer quelques minutes, durant lesquelles me croyant dans les bras de Morphée, mon voisin, continue à me photographier, surtout mes cuisses n’hésitant pas à abaisser son téléphone jusque sous la table. Quelques minutes plus tard, je décide d’intervenir, sans modifier ma position je lui dis :

– La luminosité est-elle assez suffisante ?

Il fait celui qui ne comprend pas, mais je vois bien son trouble, il me répond pour le moins hésitant :

– De quelle luminosité vous parlez ?

– Eh bien, pour les photos !

Là, je le vois se décomposer, du genre enfant pris sur le fait en train de faire une bêtise. Il bredouille sans qu’un seul mot ne sorte. Je m’amuse de la situation, mais je ne souhaite pas le ridiculiser et j’ajoute.

– J’ai vu que vous preniez mes jambes en photo, elles vous plaisent vraiment !

Voyant que je n’ai pas trop l’air de m’offusquer, il reprend timidement confiance pour me dire :

– Je peux vous assurer que vous avez de fort belles jambes, et pas que les jambes d’ailleurs, vous êtes adorable !

– Merci, c’est très gentil. Je peux même vous retourner le compliment. Mais pour en revenir aux photos je suppose que vous allez les faire voir à vos copains, si ce n’est pas déjà fait par texto, en lui disant « regarde avec quoi je voyage ».

À nouveau je vois son trouble.

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– Pas du tout, c’était juste pour avoir un souvenir personnel.

– J’ai du mal à vous croire, mais ce n’est pas grave, en fait j’en suis flattée, même si j’avais préféré que vous me le demandiez. Je peux voir les photos comme elles rendent ?

Devant mon sourire, il ne mis pas longtemps à me tendre son téléphone, je fais défiler les poses une à une, pour m’apercevoir qu’en effet peu de photo du haut de mon corps, et que les trois quart des vues étaient de mes jambes, avec les dernières cuisses plus ouvertes laissant visible mon intimité.

Tout en visionnant les photos le téléphone se mit à vibrer et affiche un message reçu, sans en demander la permission j’ouvre le message pour lire : « Toi t’es verni, putain quel lot ! J’attends la suite. »

– Ben voilà, j’avais raison, les photos ne sont pas que pour votre souvenir, pour les copains aussi !

Et je lui tends le téléphone ouvert sur le message. Et je dis tous défaisant un bouton de mon décolleté :

– Cette situation commence bien à m’exciter !

Comprenant que je suis consentante, il fait une photo de mon visage avec le buste.

Ensuite lentement j’écarte bien plus la cuisse coté couloir en disant :

– Je pense que celle-là, vos copains apprécieront, ne la loupez pas !

La photo prise qui a dû être doublée ou triplée, tout en discutant quelques minutes nous échangeons nos prénom, lui c’est Pierre. Puis le regardant dans les yeux et de ma voix la plus suave je lui dis :

– Est-ce que vous êtes à l’étroit dans votre pantalon ?

Tout en disant cela je déchausse mon pied de son escarpin, et au moment où il me répond par l’affirmative, je pose mon pied sur son entrejambe en lui massant doucement sa virilité tendue, et j’ajoute façon très chatte :

– J’ai très envie de toi !!! Viens, suis-moi aux toilettes.

Je me lève en lui précisant de ne pas oublier son téléphone, et je me dirige vers les toilettes, il me suit, je le sais. Au passage j’échange un regard complice avec Mourad.

Par chance les toilettes sont libre. J’ouvre la porte et je me retrouve propulsée à l’intérieur par Pierre, pressé de refermer derrière nous. Comme dans toutes les toilettes de train, celles-ci ne font pas exception à la maladresse de ces messieurs n’ayant même pas pris soin de relever la lunette avant de se soulager, les abords de la cuvette sont constellés de petites flaques d’urine ! Mais je ne suis pas là pour faire un constat des lieux, j’ai juste le temps de poser mon sac à côté du lavabo, et Pierre m’enlace soudant sa bouche à la mienne, nos langues s’enroulent et entame une danse grisante.

Une main presse mon sein, l’autre pelote plus qu’elle ne caresse mes fesses. Je passe un bras derrière sa nuque que je caresse tendrement, mon autre main agrippe ses fesses que presse contre moi, contre mon ventre je sens sa virilité tendue, cela me donne des frissons de plaisir.

– Tu sens comme tu me fais bander ?!

– Oui, je sens bien et j’aime ça.

À nouveau nos bouches se soudent, je vois Pierre tenant son téléphone à bout de bras prendre notre baiser en photo. Puis il commence à déboutonner mon chemisier, j’en profite pour enlever ma

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jupe, le tout va rejoindre mon sac à main sur le lavabo. Pierre se recule autant que le permet l’étroit espace, il me demande de reculer tout contre le WC, il prend plusieurs photos, le tulle brodé de mon soutif ne cachant pour ainsi dire rien de mes seins, comme le collant qui laisse bien voir le petit triangle brun de ma toison. Tout le temps qu’il met à prendre ses photos, je me caresse les seins et ma fente qui suinte de plus en plus !

Il s’avance vers moi, tout en ouvrant le zip de son pantalon, en me disant d’un ton qui ne supporte pas la contestation :

– Suce-moi !

Je sors non sans mal son sexe tendu, alors que de ses mains il exerce une forte pression sur mes épaules tout en me poussant en arrière. Je me retrouve assise sur la lunette de la cuvette dégoûtante, je sens les mailles de mon collant et ma peau se mouiller d’urine sale, mais je n’ai pas le temps de réfléchir que Pierre m’attrape par les cheveux pour coller ma bouche contre son pieu dressé.

Doucement j’entrouvre ma bouche, ma langue entoure et contourne le gland tourne autour, tandis que ma main glisse sur le long de la hampe que je sens frémir entre mes lèvres. Puis ma bouche descend le long du membre pour remonter et redescendre, tout en accélérant les vas-et-viens.

Maintenant c’est Pierre de sa main qui m’impose la cadence, tandis qu’il me filme de son autre main. Puis me tenant ma tête fixe fermement de sa main, il se met à me baiser la bouche à grand coups de bassin, s’enfonçant dans ma gorge autant qu’il le peut, mes lèvres finissant par s’écraser contre son pubis, de la bave s’échappe de ma bouche, dégouline sur mon menton pour finir par tomber sur le sol, filmant toujours et m’encourageant avec des « allez, suce salope » ou des « tu pompes comme une reine, une vrai pute ».

Au bout de trois bonnes minutes, je le sens pas loin de jouir, le sentant aussi il se retire de ma bouche, se recule d’un pas, s’accroupit en me disant :

– Écarte bien tes cuisses, que je prenne ta chatte en photo.

Après deux ou trois clichés, je me lève et lui dit :

– Baise-moi maintenant j’ai trop envie de sentir ta queue en moi !

– Je n’ai pas de préservatif, en as-tu ?

– J’en ai pas, mais je te rassure je n’ai aucun problème de santé, si pour toi il en est de même, on peut fort bien s’en passer.

– Dans ce cas pas de problème, je te fais confiance comme tu peux le faire aussi.

Je me tourne face à la cloison, je baisse mon collant à mi-cuisses et je me penche en avant au-dessus du WC tout en me cambrant.

Me tenant d’une main à la hanche, je sens Pierre qui promène son gland tout le long de ma vallée intime, glissant le bout de son gland entre mes lèvres, puis sur mon clito.

Ma respiration s’accélère, je gémi doucement. Je le sens à nouveau se déplacer vers l’entrée de ma grotte plus qu’humide, il avance, écarte lentement mes chairs, je m’ouvre sur son passage, il avance encore et encore, quel délicieux supplice de le sentir s’enfoncer au plus profond de moi. Je sens mon ventre se liquéfier, je dois inonder son pieu de mes sécrétions. Une fois bien en moi, il savoure sa possession.

Me tenant fermement aux hanches, il commence les vas-et-viens, d’abord doucement puis plus rapidement, je l’accompagne en ondulant de la croupe... Oh que c’est bon !!

Ses mains glissent sur mes fesses jusqu’à ce que les pouces se rejoignent au creux de ma raie, puis il lentement il écarte mes globes jumeaux pour découvrir mon petit œillet. Un de ses pouces vient le

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caresser tendrement, avant d’en forcer l’entrée qui cède sous la pression. Je ne peux pas étouffer le soupir de plaisir qui sort de ma gorge et le dis :

– Si mon cul te fais envie, surtout ne te gêne pas !

– Oh que oui, je vais t’enculer, ma salope !

À peine a-t-il fini de parler, qu’il se met à cracher sur ma rosette, sors de ma chatte et positionne son gland contre mon œillet, pousse un peu, je sens que je cède et m’ouvre sous la poussée, il pénètre puis se retire en disant :

– Je vais d’abord prendre ton cul en photo, avec ma bite à quelques centimètres de ton trou entrouvert !

De ses mains il écarta mes fesses, avança son gland contre mon étroit conduit qu’il força à s’ouvrir libérant le passage à toute la hampe. Je lâche un cri plaintif sous la surprise de cette pénétration rapide qui m’occasionne une douleur, comme si on me vrillait mes entrailles. Il ne me laisse pas le temps de récupérer que déjà il me lime à grands coups de bassin. La douleur s’estompe et laisse place à une vague de plaisir qui déferle au travers de mon corps, je sens ma chatte s’inonder et ma cyprine s’écouler hors de moi. Pierre me laboure l’anus à une cadence effrénée durant trois bonnes minutes, sans crier gare il sort en disant :

– Faut que je prenne une photo de ton cul béant, tu es trop bandante ainsi ouverte !

– Prends toutes les photos que tu veux, mais je veux que tu me baise de nouveau et que tu te vides au fond de ma chatte.

– Tes désirs sont des ordres ma salope !

Pierre réinvestit ma chatte trempée et se met en devoir de limer rapidement, ses couilles viennent taper contre mon clito hyper sensibilisé, je ne tarde pas à jouir emportée par la vague de plaisir, mes jambes me portent à peine. J’espère que personne ne se tient dans le couloir, car je n’ai pu être discrète. Pierre me suit de près et lâche son flot de sperme en de puissants jets successifs se mêlant à mes sécrétions internes. Une autre vague m’emporte dans le bonheur jouissif.

Dès que Pierre ressort de mon ventre, je réajuste mon collant à la taille, comme Pierre demeure là planté comme une statue, je m’assois sur la cuvette et prend son sexe encore gonflé en main, j’approche ma bouche du gland qui disparaît petit à petit entre mes lèvres. Je goûte la saveur de son sperme, puis je le suce tout en nettoyant la moindre trace de son plaisir pour le mien.

– Oh que c’était bon Farida, j’ai pris un putain de pied comme jamais, tu es divine !

Tout rajustant mon collant correctement, et en finissant de rhabiller, je réponds :

– Moi aussi j’ai bien aimé, bon retournons à nos places, si quelqu’un attend que les WC se libèrent, il doit trouver le temps long.

Et tous les deux de partir dans un fou rire incontrôlé. Je fini de boutonner mon chemisier que je laisse bien décolleté, laissant apparaître le début du tulle brodé de mon soutif, nous sortons, le couloir est désert et nous marchons vers nos places. Je sens venir s’imprégner dans les mailles du collant le mélange de nos fluides qui s’écoulent de ma grotte.

Une fois assise, je demande à Pierre s’il veut bien aller nous chercher un café à la voiture bar. Ce qu’il fait bien volontiers. Je croise le regard de Mourad, je lui souris, personne ne semble regarder dans ma direction, alors j’ouvre mes cuisses dans la direction de mon chéri pour lui montrer mon entrejambe et le collant qui le voile, barbouillé du sperme de mon amant. Mourad me sourit en me faisant un clin d’œil, qui me fait son effet au creux de mon ventre. Je referme mes cuisses et je reprends la lecture de mon bouquin en attendant le retour de Pierre.

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Je le vois entrer dans le wagon, je desserre un peu mes cuisses tout en posant mon livre, en s’asseyant je ne loupe pas son regard qui s’en va vers mes cuisses. Tout en buvant le café, je déchausse un pied de son escarpin et je le pose sur l’entrejambe de Pierre qui me dit :

– Tu sais, rien qu’en te regardant je bande, alors avec ton pied là, je crains de me laisser aller dans mon boxer !

Je lui souris. Il rajoute qu’il aimerait qu’on se voit sur Paris. Je lui explique que j’habite Montpellier et que je ne passe que 4 jours sur la capitale. Devant son insistance et sa mine de cocker battu, j’accepte d’échanger nos numéros de téléphone, et je lui dis que si je sors ce week-end sur Paris je l’appellerai. Les minutes passent, il est presque midi, nous ne sommes plus loin de Paris, quand Pierre me dit:

– Farida, j’ai encore très envie de ton cul !

– Hhumm oui, j’en ai aussi envie de te sentir entre mes fesses, mais avons-nous assez de temps ?

– Mais oui, nous avons plus d’une grosse demi-heure, viens suis-moi, pour faire plus discret allons vers la voiture bar.

Il se lève, et j’emboîte ses pas. Manque de chance le lieu est occupé et nous devons attendre, au bout de cinq petites minutes Pierre me dit qu’on va aller à celles de la voiture suivante, nous devons traverser le wagon bar, quelques regards me déshabillent sur mon passage.

Pierre ouvre la porte et j’entre à sa suite sans me soucier si les personnes du bar nous ont observés. Je constate que le WC est encore plus sale que le précédent, le sol est trempé et l’odeur qui y règne ne trompe pas sur la teneur du liquide qui couvre le sol, je me dis que la voiture bar toute proche ne doit pas être étrangère à l’état des lieux.

Pierre ouvre mon chemisier caresse mes seins en sort un de son enveloppe de tulle brodé et se met à sucer et téter le téton le mordillant parfois. Je me tourne retrousse ma jupe sur mes hanches baisse le collant à mi-cuisses, et je me penche en avant tout en me cabrant.

Pierre pénètre dans ma grotte à nouveau trempée, tout en faisant quelques allers-retours, de son pouce il masse ma rosette, puis crache dessus et fait entrer son pouce dans mon anneau plusieurs fois. Il sort de mon ventre, se positionne contre mon œillet qu’il force doucement.

La tête de son mandrin passée, il ressort crache abondamment sur ma rosette replace son pieux et cette fois investit mon anus d’un seul coup lent, mais régulier, jusqu’à ce que son pubis butte contre mes fesses. Une longue plainte empreinte de plaisir s’échappe de ma gorge, j’adore cet instant où cette brûlure douloureuse se mêle à l’onde de plaisir qui m’envahit de me sentir possédée, remplie. Pierre commence ses vas-et-viens tout en me tenant fermement d’une main à la hanche, l’autre triturant malaxant et caressant un sein, me pinçant le téton, et me dit qu’il va me casser le cul et ensuite me l’inonder de son foutre, je soupire et feule de plaisir sous ses assauts, je l’encourage de la voix.

– Oh oui ! C’est bon continue plus fort, encule-moi comme une chienne !

Un premier orgasme me traverse au moment où il me répond :

– J’aime ton cul ! Tu es une salope bonne à enculer ! Dis-le moi ce que tu es !

Il m’est impossible de sortir un quelconque mot pour l’instant.

– Allez petite pute, dis-le, je veux t’entendre !

Une claque s’abat sur mes fesses, puis une seconde et encore deux autres. Ce sont des paroles mêlées de râles jouissifs que je prononce :

– Oui, je suis une salope bonne à enculer !

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– Et quoi d’autre ?

Entre ce pieu qui me pourfend si merveilleusement les reins, le doux supplice des doigts sur mon sein et ces mots crus qui m’excitent et font grimper mon plaisir, juste avant qu’un autre orgasme me terrasse, je souffle :

– Je suis une chienne de pute qui aime se faire défoncer le cul !

Et je jouis bruyamment ! Il n’en faut pas plus pour que Pierre dans une voix rauque dise :

– Ah oui, ça y est salope, j’envoie mon foutre dans ton cul !

Il s’immobilise tout au fond de moi, je sens les spasmes de sa colonne de chair, et d’un coup la libération déferlante de son plaisir me remplir et me procurer un tourbillon de plaisir, je jouis une fois de plus.

Nous reprenons nos esprits, Pierre se retire, je remonte et réajuste mon collant, referme mon chemisier, je tire sur ma jupe le temps que Pierre rectifie sa tenue. Nous pouvons sortir, dans le couloir un homme attendait son tour, il nous regarde d’un œil sévère, qui quelques pas plus loin nous fait sourire.

Nous regagnons nos places, par les fenêtres j’aperçois les premiers immeubles parisiens, dans quelques minutes nous serons arrivés. Entre deux wagons, nous nous embrassons lèvres soudées, le baiser est ardent, je promets à Pierre de lui téléphoner si je sors durant mon séjour. Je récupère mon petit blouson, le bouquin, mon bagage et je vais vers la sortie, obligée de rester debout, car je sens le sperme de Pierre s’écouler doucement entre mes fesses.

Le TGV s’immobilise le long du quai, me voilà sur le quai un peu à l’écart du flot des voyageurs qui descendent du ventre de ce ver de fer. Mourad vient me rejoindre, je vois qu’il est impatient que je lui raconte, le trajet en métro jusqu’à l’hôtel va lui paraître bien long, mais au combien excitant !

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