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Jeunes diplômés et pme

En ce mois de mars 2009, vous savez qu’il ne reste désormais plus que quatre mois avant la fin de vos études commerciales supérieures. Comme tous vos camarades de promotion, vous commencez à vous renseigner sur vos différentes possibilités de carrière à la fin de votre formation.

Vous êtes particulièrement intéressé par la fonction commerciale, dont vous avez eu un premier aperçu lors d’un stage dans une PME spécialisée dans les services informatiques.

Fort de cette expérience dans une petite structure, vous choisissez d’orienter votre recherche d’emploi vers les PME, qui selon vous sont susceptibles d’offrir des postes polyvalents.Vous souhaitez optimiser votre démarche de recherche d’emploi en la structurant par étapes et en précisant pour chacune d’elles les actions que vous comptez mettre en œuvre.

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1 - Présentez dans un tableau les étapes et les actions de votre démarche de recherche d’un emploi commercial dans les PME.2 - À l’aide des documents en annexe et de votre expérience, préparez un argumentaire rapide pour justifier lors de votre entretien de recrutement votre choix de privilégier les recherches dans les PME.

Quelques semaines après l’obtention de votre diplôme, vous intégrez la société S et B Conseil créée depuis deux ans dans la région parisienne. C’est une PME de 32 personnes qui réalise des études qualitatives et quan-titatives d’aide à la décision aussi bien pour des entreprises du secteur privé que des collectivités publiques (ministères, collectivités locales).Un mois après votre arrivée, vous êtes affecté en tant que consultant junior, au sein de l’équipe chargée du développement des nouveaux clients.Jean Delmont, votre responsable, vous informe qu’il souhaite répondre à un appel d’offres émanant du secrétariat d’État à l’Emploi*. Ce dernier souhaiterait lancer une étude afin d’identifier les attentes prioritaires des jeunes diplômés d’études commerciales supérieures pour leur premier poste, et la société S et B Conseil veut naturellement décrocher ce contrat.

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Votre responsable souhaiterait disposer d’une synthèse rapide (une page maximum) sur l’action du secrétaire d’État chargé de l’Emploi. Après avoir présenté brièvement l’organisation du secrétariat d’État et à l’aide des documents en annexe, vous devez présenter quelques actions menées par l’État pour favoriser l’emploi des jeunes.

* Le secrétaire d’État chargé de l’Emploi est placé auprès du ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi.Pour faciliter la lecture nous emploierons le terme secrétariat d’État chargé de l’Emploi.

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Quatre semaines après le dépôt de la proposition, Jean Delmont annonce à toute son équipe que le secrétariat d’État à l’Emploi a retenu l’offre de S et B Conseil !La mission identifiée par le secrétariat d’État à l’Emploi se décline précisément en trois points :• identifier les attentes prioritaires des jeunes diplômés des métiers commerciaux pour leur premier poste ;• quantifier les besoins des PME en jeunes diplômés commerciaux dans les trois ans ;• proposer les actions pertinentes, marketing et commerciales, à mettre en place pour rapprocher les deux populations (jeunes diplômés et PME).

Pour la première réunion de travail sur ce dossier, votre responsable vous demande de réfléchir aux méthodo-logies qui devront être appliquées :- pour identifier les attentes prioritaires des jeunes diplômés commerciaux pour leur premier emploi ;- pour quantifier les besoins des PME en jeunes diplômés commerciaux dans les trois ans.

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Quelles méthodologies proposez-vous ?(Précisez et justifiez les étapes et les techniques des méthodologies que vous proposez)

Il ressort des résultats que les jeunes diplômés attendent surtout des PME une meilleure visibilité sur les perspectives d’évolution au sein de l’entreprise, sur une meilleure formation interne… Ils veulent également une plus grande transparence au cours du processus de recrutement dans les PME.

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Votre responsable vous demande de concevoir trois propositions d’actions permettant d’améliorer l’image des PME auprès des jeunes.Chacune de vos propositions doit intégrer l’action partenariale des PME, des établissements de formation et des pouvoirs publics.Le secrétariat d’État à l’Emploi vous précise dans votre lettre de mission que le budget alloué à la réalisation de ces trois actions ne devra pas dépasser un million d’euros.

pOuR inFORmAtiOn

- Nous vous recommandons de répondre à toutes les questions.- Le barème de notation, sur 20, sera le suivant :

BAC + 2 BAC + 3/5

QUESTION 1 4 2QUESTION 2 4 3QUESTION 3 6 7QUESTION 4 6 8

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AnneXes

Le secrétariat d’État à l’EmploiOrganisation générale du ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi ........................................4Attributions déléguées au secrétaire d’État chargé de l’Emploi ............................................................ 5Deux actions du secrétariat d’État à l’Emploi ....................................................................................... 6Aides à la recherche d’emploi ............................................................................................................... 7

Les emplois et les jeunes diplômés (extraits d’études Apec et Oséo)Éléments déterminants dans un recrutement : regards croisés ............................................................... 9Éléments déterminants dans un recrutement : la taille de l’entreprise ................................................. 10Exigences relatives à l’emploi des jeunes diplômés et atouts des entreprises ..................................... 10Éléments importants pour attirer les jeunes diplômés selon la taille de l’entreprise ........................... 11Les jeunes diplômés en emploi : fonctions occupées ........................................................................... 11Part des salariés travaillant dans les PME indépendantes par secteur d’activité ................................. 12Répartition des salariés selon leur âge et la taille de l’établissement employeur ................................ 12Poids des PME dans l’emploi total en France ..................................................................................... 13Statut juridique des contrats de travail selon la taille de l’entreprise .................................................. 13

Revue de presseInterview de Laurent Wauquiez, secrétaire d’État chargé de l’Emploi, VSD, 17 décembre 2008 ....................................................................................................................... 14Les petites entreprises peinent à recruter les jeunes diplômés, La Tribune, 13 décembre 2007 ............................................................................................................ 17Les PME offrent une meilleure qualité de l’emploi que les grands groupes, La Tribune, 11 février 2008 ................................................................................................................. 18

DiversExemples de tarification presse quotidienne et radio ........................................................................... 19Exemples de tarification télévision ...................................................................................................... 20

AnneXes i : le secrétariat d’état à l’emploi

Le secrétaire d’État chargé de l’Emploi est rattaché auprès du ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi.L’organigramme ci-dessous présente :- en bleu, les services du ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi,- en vert, les services du ministère du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique,- en gris, les services communs aux deux ministères.

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Attributions déléguées au secrétaire d’État chargé de l’Emploi :

Laurent WauquiezNé le 12 avril 1975 à Lyon (Rhône).

Fonctions ministériellesSecrétaire d’État, porte-parole du Gouvernement, de mai 2007 à mars 2008.

Fonctions électivesMaire du Puy-en-Velay (Haute-Loire), depuis mars 2008Député de Haute-Loire, depuis 2004, membre de la commission des affaires culturelles et de la commission spéciale chargée de vérifier et d’apurer les comptes. Réélu en 2007.

décret n° 2008-300 du 2 avril 2008 relatif aux attributions déléguées au secrétaire d’état chargé de l’emploi

Le Président de la République,

Sur le rapport du Premier ministre et de la ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi,Vu le décret n° 2007-996 du 31 mai 2007 relatif aux attributions du ministre de l’économie, des finances et de l’emploi ;Vu le décret du 18 juin 2007 portant nomination du Premier ministre ;Vu le décret du 19 juin 2007 relatif à la composition du Gouvernement ;Vu le décret du 18 mars 2008 relatif à la composition du Gouvernement,

Décrète :

Article 1M. Laurent Wauquiez, secrétaire d’État chargé de l’emploi, connaît de toutes les affaires, en matière d’emploi et de formation professionnelle, que lui confie le ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, auprès duquel il est délégué.

Article 2Pour l’exercice de ses attributions, le secrétaire d’État chargé de l’emploi dispose, en tant que de besoin, des services placés sous l’autorité du ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi.

Article 3Dans la limite des attributions qui lui sont déléguées, le secrétaire d’État chargé de l’emploi reçoit déléga-tion du ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi pour signer, en son nom, tous actes, arrêtés et décisions.Il contresigne, conjointement avec le ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, les décrets relevant de ces attributions.

Article 4Le Premier ministre, la ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi et le secrétaire d’État chargé de l’emploi sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

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Deux actions du secrétariat d’État chargé de l’emploi : permis, Pôle emploi

pôle emploi : un nouveau service public de l’emploi

Avec le choix du nom de l’opérateur issu de la fusion ANPE-Assedic, c’est une étape symbolique qui a été franchie jeudi 16 octobre. Objectif : un service public de l’emploi modernisé et plus efficace pour mieux accompagner demandeurs d’emploi et entreprises.

Après avoir rappelé que pour les 45 000 agents du nouvel organisme, « changer de nom, c’est changer d’iden-tité, c’est une page qui se tourne », Christine Lagarde s’est félicitée de ce « premier signe des changements qui vont se mettre en place au profit des demandeurs d’emploi et des entreprises ».

Cette fusion doit en effet permettre une simplification des démarches pour les usagers, l’émergence d’une gamme de prestations rénovée pour tous les demandeurs d’emploi (indemnisés et non indemnisés), et un suivi renforcé, notamment pour les demandeurs d’emploi qui sont le plus en difficulté, grâce à la mutualisation des moyens qui permettra de déployer plus de personnes sur le terrain, au contact direct des usagers.

Changer de braquet à l’horizon de trois ansAprès avoir rendu hommage aux agents de Pôle emploi, « qui ont beaucoup fait depuis trois ans pour moder-niser le service public de l’emploi », Laurent Wauquiez n’a pas caché son ambition : « le nouvel opérateur va nous permettre de changer de braquet : à l’horizon de trois ans, la France doit bénéficier du service public de l’emploi le plus moderne et le plus efficace d’Europe ».

un permis pour l’emploi

Financer une partie du permis de conduire aux demandeurs d’emploi qui en ont besoin pour décrocher un emploi : c’est le sens de l’expérimentation sur les aides à la mobilité, lancée par Laurent Wauquiez au Havre le jeudi 23 octobre.

Pour le secrétaire d’État, « l’objectif n’est pas de faire un cadeau. Un demandeur d’emploi qui a une promesse d’embauche, mais qui n’a pas le permis de conduire et pour lequel le fait d’en financer un va lui permettre de retrouver un emploi, moi, plutôt que de lui verser une indemnité chômage, je préfère lui payer son permis ».

Un bilan début 2009Pour Djemila, l’une des bénéficiaires de l’expérimentation havraise, l’utilité de l’initiative ne fait aucun doute : « Dans le nettoyage, on ne nous propose que des trois heures par-ci, deux heures par-là, ou bien des postes sur la zone industrielle, là où il n’y a pas de bus. Dans ces cas-là on est obligé de refuser entièrement le poste. »

Deux autres expérimentations sont en cours à Aubagne et en Haute-Loire. Un bilan sera effectué début 2009 en vue d’une éventuelle extension, voire généralisation.

Laurent Wauquiez a affirmé sa volonté de doubler en 2009 le montant alloué par Pôle emploi aux aides à la mobilité (aides à la recherche d’emploi et aides à la reprise d’emploi), qui bénéficieront ainsi à plus de 150 000 demandeurs d’emploi.

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Les aides à la recherche d’emploi

Selon la délibération n° 2008/04 du 19 décembre 2008 du conseil d’administration de Pôle emploi, des aides à la recherche d’emploi destinées à participer directement ou indirectement à tout ou partie des frais engagés par certains demandeurs d’emploi dans le cadre de leur recherche d’emploi peuvent être attribuées.Ces aides peuvent prendre la forme de :- bons de déplacement : prise en charge des frais de déplacement (forfait kilométrique) ;- bons de transport : prise en charge totale de billets de train ou d’avion ;- bons de réservation : accès à un tarif privilégié train et avion pour tous les demandeurs d’emploi.

BénéficiairesLes bons de déplacement et les bons de transport sont accessibles aux demandeurs d’emploi inscrits en catégorie 1, 2, 4 « formation » ou 5 « contrats aidés » de la liste des demandeurs d’emploi, suivants :- les bénéficiaires de minima sociaux (revenu minimum d’insertion, revenu de solidarité active, allocation de parent isolé, allocation spécifique de solidarité, allocation aux adultes handicapés, allocation temporaire d’attente) ;- les demandeurs d’emploi non indemnisés (sauf bénéficiaires de l’aide au retour à l’emploi minimale).Les bons de réservation sont accessibles à l’ensemble des demandeurs d’emploi inscrits.

Conditions d’attributionLes bons de déplacement sont accordés lorsque le demandeur d’emploi doit se rendre à un entretien d’embauche ou à une prestation intensive ou participer à un concours public, situé(e) à plus de 60 kilomètres aller-retour de son lieu de résidence.Les prestations intensives susmentionnées sont notamment : Cible emploi, Stratégie de recherche d’emploi,…Les bons de transports et de réservation sont accordés lorsque le demandeur d’emploi doit se rendre à un entretien d’embauche ou participer à un concours public situé à plus de 60 kilomètres aller-retour de son lieu de résidence.Lorsque plusieurs aides peuvent être accordées, Pôle emploi peut choisir l’aide qui lui est financièrement la plus favorable.

Objet des aidesLes aides à la recherche d’emploi couvrent trois hypothèses :- les déplacements sont pris en charge pour partie sous la forme de bons de déplacement ;- les déplacements en train (SNCF) ou en avion (Air France), uniquement pour se rendre à un entretien d’embauche ou participer à un concours public en France métropolitaine, sont pris en charge (hors frais éventuels de réservation et taxes) sous la forme de bons de transport ;- un accès à des tarifs privilégiés pour des billets de train ou d’avion pour des déplacements en France métropolitaine est prévu pour l’ensemble des demandeurs d’emploi sous la forme de bons de réservation.Pour la mise en œuvre de ces aides, le directeur général de Pôle emploi pourra négocier et conclure des conventions avec les compagnies aériennes, les transports ferroviaires ou tout autre transporteur.

Formalités relatives à la demande d’aideLes aides à la recherche d’emploi peuvent être attribuées par le directeur d’unité du pôle emploi sur proposition du conseiller avant le déplacement.À titre exceptionnel et après examen de la situation particulière du demandeur d’emploi, le directeur d’unité peut accorder un bon de déplacement a posteriori, dans un délai de sept jours de date à date après l’entretien d’embauche, le premier jour du concours public ou le démarrage de la prestation.

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En cas de difficultés particulières de la SNCF ou d’Air France à délivrer un bon de transport, le directeur d’unité peut également, à titre exceptionnel, délivrer un bon de déplacement.Le demandeur d’emploi doit fournir à l’appui de sa demande :- la convocation à l’entretien d’embauche ;- la convocation à la prestation intensive ;- la convocation au concours public.

En cas d’annulation du déplacement, le demandeur d’emploi doit rapporter le bon de déplacement ou de transport non utilisé au pôle emploi qui l’a délivré.

MontantLes demandeurs d’emploi peuvent bénéficier de bons de déplacement et/ou de transport dans la limite d’un plafond annuel de 200 € dont le point de départ court à compter de la date à laquelle le directeur d’unité du pôle emploi accorde l’aide.Les aides à la recherche d’emploi compensent uniquement tout ou partie des frais qui ne sont pas couverts par d’autres financements de la part d’organismes extérieurs.Les bons de déplacement sont attribués sur la base d’un forfait kilométrique de 0,20 €/km.Le kilométrage aller-retour est inscrit dans le formulaire par le conseiller après vérification sur le site « via-michelin.fr ».Dans le cadre du suivi d’une prestation intensive visée au point 2 ci-dessus, l’aide est calculée de la façon suivante : 0,20 € X nombre de km AR X nombre de jours moyen par prestation.Le montant du bon de transport est négocié dans le cadre des conventions conclues par Pôle emploi avec les transporteurs et pris en charge par Pôle emploi. En revanche, les frais éventuels de réservation et autres taxes restent à la charge du demandeur d’emploi.Le bon de transport est accessible selon les termes de la convention avec le transporteur dans la limite des places disponibles au tarif conventionnel prévu par le transporteur.

PaiementPaiement des bons de déplacementSi la somme est inférieure à 150 €, les bons de déplacement font l’objet d’une avance en numéraire directe-ment auprès du Trésor public.Le bon de déplacement délivré pour une somme inférieure à 150 € doit être présenté au guichet du Trésor public dans un délai maximal de sept jours après la date de signature du bon par le directeur d’unité.Si la somme est supérieure ou égale à 150 €, elle fait l’objet d’un paiement par le pôle emploi après réception des justificatifs requis.

Dispositions communesQuel que soit le bon délivré (déplacement, transport ou réservation) et quelle que soit la somme du bon de déplacement, le demandeur d’emploi doit, dans un délai maximal de quinze jours après l’entretien d’embau-che, le premier jour du concours public ou le dernier jour de la prestation, faire parvenir à son pôle emploi les documents suivants :- l’attestation de présence remplie par l’employeur dans le cas d’un entretien d’embauche ;- la copie de l’état de présence en prestation dans dans le cas du suivi d’une prestation ;- l’attestation de présence à un concours public.

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Éléments déterminants dans un recrutement : regards croisés

AnneXes ii : les emplois et les jeunes diplômés (extraits d’études Apec et Oséo)

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AnneXes ii : les emplois et les jeunes diplômés (extraits d’études Apec et Oséo)

Éléments déterminants dans un recrutement : la taille de l’entreprise

Exigences relatives à l’emploi des jeunes diplômés et atouts des entreprises

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AnneXes ii : les emplois et les jeunes diplômés (extraits d’études Apec et Oséo)

Éléments importants pour attirer les jeunes diplômés selon la taille des entreprises

Fonction occupée par les jeunes diplômés en emploi (2006)

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Part des salariés travaillant dans les PME indépendantes par secteur d’activité en 2004 en %

Répartition des salariés selon leur âge et la taille de l’établissement employeur en 2003

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AnneXes ii : les emplois et les jeunes diplômés (extraits d’études Apec et Oséo)

(source : Étude Oséo 2008)

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AnneXes ii : les emplois et les jeunes diplômés (extraits d’études Apec et Oséo)

Poids des PME dans l’emploi total en France

Statut juridique des contrats de travail selon la taille de l’entreprise en 2004 (en milliers et %)

De la population active à l’emploi dans les PME indépendantes en 2003(en millions d’actifs)

Populationactive27,4

Chômeurs 2,7

Salariés publics4,8

Non salariés 2,7

Actifsoccupés

24,7Salariésdu privé

17,2Personnesoccupées

dans les PME8,9

2,9 20 à 249 salariés

10 à 19 salariés

1 à 9 salariés

0 salarié

1,1

3,7

1,2

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AnneXes iii : Revue de presseInterview de Laurent Wauquiez, secrétaire d’État chargé de l’Emploi, au magazine VSD, 17 décembre 2008

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AnneXes iii : Revue de presseInterview de Laurent Wauquiez, secrétaire d’État chargé de l’Emploi, au magazine VSD, 17 décembre 2008

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AnneXes iii : Revue de presseInterview de Laurent Wauquiez, secrétaire d’État chargé de l’Emploi, au magazine VSD, 17 décembre 2008

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les petites entreprises peinent à recruter les jeunes diplômésBéatrice Delamotte - La Tribune, 13 décembre 2007

Les cadres débutants préfèrent les grands groupes. Les PME présentent pourtant des avantages. Qu’elles ne savent pas assez mettre en valeur.

Alors que le monde du travail, comme la France, vieillit, les jeunes talents, et plus particulièrement les plus récents des diplômés, sont convoités par les entreprises. Mais ce sont les grands groupes qui savent le mieux les attirer, en leur promettant un plan de carrière, un salaire plus évolutif et nombre d’avantages sociaux. Ce n’est pas le cas des PME, et encore moins des TPE.

Les raisons de cette désaffection ? Principalement l’image négative des petites structures. D’après un sondage réalisé par l’Ifop pour la CGPME, seulement 32 % des jeunes de 15 à 25 ans interrogés déclarent souhaiter travailler dans une PME, la fonction publique exerçant toujours un attrait marqué. « Pour un diplômé de grande école, hésiter entre une PME et un grand groupe pour débuter une carrière, c’est comme choisir entre un sac Carrefour et une sacoche Hermès », s’amuse Antoine Morgault, président de Robert Walters France et Europe. Et pourtant, même si les grands groupes affichent des chiffres d’embauches annuelles élevés, les PME repré-sentent le premier gisement d’emplois pour les jeunes, diplômés ou non.

Ainsi, d’après une enquête réalisée par l’Agefos PME, près de la moitié des PME comptent embaucher des jeunes de moins de 26 ans au cours des prochains mois, ce qui, au total, représente des chiffres bien supérieurs à ceux annoncés par les grands groupes. Du coup, les PME doivent rivaliser d’imagination pour attirer, mais surtout fidéliser, les jeunes recrues. Une démarche de gestion des ressources humaines qu’encourage l’Agefos PME. « Il faut que les petites et moyennes entreprises prennent conscience qu’à l’avenir elles seront de plus en plus choisies par le salarié, explique Serge Geri. De plus, il faut prendre en compte les attentes exprimées par les nouveaux collaborateurs. Équilibre entre vie professionnelle et vie privée, reconnaissance du travail et de l’implication sont autant de nouveaux critères qui déterminent aujourd’hui le choix d’un emploi. »

LA SOUPLESSE, UN ATOUT

D’autant que les salaires proposés par les PME ne sont pas aussi attractifs que ceux offerts par les grands groupes, surtout pour les débutants. « Un bon recruteur ne doit pas se préoccuper de recruter », résume un responsable de centre Apec. Et là, la souplesse des PME peut être un atout : pas besoin de l’aval d’un « DRH groupe » pour muscler une rémunération et faire une proposition sur mesure lorsqu’il s’agit de récompenser ou de retenir un jeune cadre. Autre atout d’une PME, l’intérêt du poste : nombre de jeunes cherchent avant tout un travail qui les motive. Ici, l’avantage est aux PME car, face aux grands groupes, leur force est de proposer de l’autonomie, des responsabilités opérationnelles et polyvalentes plus tôt dans la carrière. Un véritable mar-keting des ressources humaines que trop peu de PME ont su mettre en place.

AnneXes iii : Revue de presse

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les pme offrent une meilleure qualité de l’emploi que les grands groupesFabien Piliu - La Tribune, 11 février 2008

Selon une étude exclusive d’Oséo, les PME, qui ont créé l’essentiel des emplois entre 1985 et 2004, peinent à séduire les jeunes diplômés. Malgré la qualité des emplois proposés.

C’est un portrait très précis de l’emploi dans les PME qu’Oséo dresse dans une étude publiée aujourd’hui et que La Tribune s’est procurée. D’abord, quelques chiffres : en 2004, les 2,4 millions d’entreprises comptant moins de 250 salariés recensées en France employaient 8,9 millions de personnes, soit 55 % de la population active du secteur privé (industrie, commerces et services). Elles produisaient 42 % de la valeur ajoutée de l’ensemble de ces secteurs.

Au-delà de ces chiffres, cette étude confirme avec précision quelques réalités du petit monde des PME. Tout d’abord, celles-ci sont les acteurs les plus dynamiques du marché de l’emploi. Entre 1985 et 2004, les PME ont augmenté de 35 % leurs effectifs tandis que la population active progressait de 10 %. Ce qui représente 2,3 millions d’emplois nouveaux, soit 89 % des créations de postes dans le secteur privé, la France ayant créé 2,58 millions d’emplois sur la période.

Autre enseignement de cette étude, dans certains secteurs, l’activité dépend essentiellement des PME. Ainsi, dans le commerce, le bâtiment-travaux publics ou encore les services à la personne, près de trois personnes sur quatre travaillent dans des PME. Les dix premières entreprises de services à la personnes ne rassemblent quant à elles que 7,9 % des effectifs de ce secteur. « À l’inverse, l’emploi dans l’industrie et les transports est plus concentré : un salarié sur trois seulement travaille dans une PME. Ce sont également des activités où le poids des groupes est le plus important et où les barrières à l’entrée, qu’elles soient capitalistiques ou technologiques, sont les plus élevées » constate Oséo.

MOINS SÉDUISANTES POUR LES JEUNES DIPLÔMÉS

Ce dynamisme s’accompagne d’une certaine qualité de l’emploi. Selon la batterie de dix indicateurs européens, dits de « Laeken » définissant la qualité d’un emploi en fonction notamment des perspectives d’ascension so-ciale et d’insertion, du niveau de qualification, de l’égalité homme-femme, de la sécurité et de l’équilibre vie privée-vie professionnelle, les PME devancent les grandes entreprises. « On note également de meilleures perspectives salariales, une sécurité de l’emploi dans les entreprises pérennes de taille moyenne, un dialogue social de meilleure qualité et un accès au marché du travail plus facile dans les PME » constate cette étude.

Seuls l’accès à la formation et la part des seniors dans l’emploi sont mieux notés dans les grandes entreprises.

Pourtant, confirmant un constat fait par les dirigeants d’entreprises (voir La Tribune du 31 janvier), les PME, notamment les plus petites d’entre elles, souffrent de ne pouvoir attirer les jeunes diplômés. En effet, selon cette étude, la proportion de diplômés mais aussi de personnels qualifiés augmente avec la taille de l’établis-sement, les jeunes talents étant principalement attirés par les grandes entreprises offrant des niveaux de rému-nération plus élevés.

AnneXes iii : Revue de presse

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AnneXes iV : divers

Exemples de tarification presse quotidienne et radio

Exemple de prix pour un spot de 30 secondes :

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Exemple de prix constatés pour un grand quotidien national (en €, HT) :

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AnneXes iV : divers

Exemples de tarification télévision

Tarif indicatif pour un spot de 30 secondes sur France 2 :

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