ISPAT January 2012 Newsletter N°33

POUR TOUT CONTACTPOUR TOUT CONTACTPOUR TOUT CONTACTPOUR TOUT CONTACT : DR FRANCOIS BERNARD SENIOR ADVISOR [email protected] DR SELCUK ÖNDER SENIOR ADVISOR [email protected] M.UTKU BAYRAMOGLU ADVISOR [email protected]

NEWSLETTER NO.33 JANVIER 2012

A

AGENCE NATIONALE TURQUE POUR LE SOUTIEN ET LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS (ISPAT)

� � � � 55, Avenue Marceau FR- 75016 PARIS � � � � +33 146 946 725 Fax +33 170 248 761

TURKEY BUSINESS & INVESTMENT NEWSLETTER N°33 JANVIER 2012

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«««« INVEST IN TURKIJEINVEST IN TURKIJEINVEST IN TURKIJEINVEST IN TURKIJE »»»» IS DE TURKSE OFFICIËLE INSTANTIE DIE DE LEIDING VAN DE STEUN EN VAN DE BEVORDERING VAN DE INTERNATIONALE INVESTERINGEN

WE KUNNEN JULLIE HELPEN TER WERELD, MET NAME IN FRANKRIJK, IN BELGIË EN IN HET LUXEMBURGSE OM TE INFORMEREN. ALS JULLIE WILLEN ONS KENNISMAKEN, KUNNEN JULLIE ONS BEREIKEN MET VERSCHILLENDE WIJZE. VOOR EEN PERSOONLIJK EN VERTROUWELIJK BIJEENKOMST, KUNNEN JULLIE BEREIKEN DE PERMANENTE VERTEGENWOORDIGER VOOR FRANKRIJK, BELGIË,LUXEMBURG. MOBIELE : 00 33 631 272 572 (AFGEROEPEN EERST EN VOORAL) ADRES : 55 AVENUE MARCEAU 755116 PARIJS FAX: 00 33 170 248 761

CHIFFRE DU MOIS

Les ventes automobiles en Turquie ont augmenté de 13,61 pour cent en 2011, totalisant 864 439 unités selon Mustafa Bayraktar, président Association des concessionnaires automobiles (ODD)

13,61% LES EXPORTATIONS TURQUES EN 2011 ATTEIGNENT UN NIVEAU RECORD DE 134,6 MILLIARDS DE DOLLARS US

03.01.2012

Zaman – Les exportations de la Turquie au cours de l’année passée ont atteint un volume historique malgré la crise de l’endettement en Europe et celle qui touche les pays voisins au Moyen-Orient, deux marchés clé pour les produits fabriqués en Turquie. Les exportations turques en 2011 ont totalisé 134,6 milliards de dollars US, soit 18,2 pour cent d’augmentation par rapport au chiffre 2010 et des revenus jamais atteints historiquement en Turquie.

Les exportations turques ont affiché une augmentation

constante sur la dernière décennie, malgré un léger recul

lors des années marquées par la crise, en 2009 et 2010.

Le pays vise pour ses exportations un total de 500

milliards de dollars US d’ici 2023, année centenaire de la

République.

ISTANBUL A ACCUEILLI 8 MILLIONS DE VISITEURS

ETRANGERS EN 2011 Dunya – La ville transcontinentale turque, haut lieu du tourisme, a

attiré plus de 8 millions de visiteurs étrangers l’an dernier, d’après

les données du département de la Culture et du tourisme

d’Istanbul.

Le nombre d’arrivées en 2011 a augmenté de 16 pour cent par

rapport au chiffre de 6,9 millions enregistré l’année précédente.

Les visiteurs les plus nombreux sont les Allemands, suivis des

Russes, des Américains, des Italiens et des Français.

« En dépit de la crise financière en Europe et des

bouleversements politiques au Moyen-Orient, Istanbul a enregistré

une excellente année sur le plan du tourisme. Les 16 pour cent

d’augmentation du nombre de visiteurs étrangers représentent un

résultat remarquable dans de telles circonstances », a déclaré le

directeur de la Culture et du tourisme d’Istanbul, Emre Bilgili.

Avec plus de 30 millions de visiteurs étrangers en 2011, la Turquie

est la 7e destination touristique la plus populaire au monde

M. LAZARIDIS , PDG DE RIM : LE PROJET TURC FATIH EST UN INVESTISSEMENT POUR L’AVENIR

Milliyet – L’initiative turque d’éducation haute technologie, le projet

Fatih, est un investissement pour l’avenir, indique le fondateur et

PDG de la société canadienne d’équipement mobile Research in

Motion (RIM), réputée pour ses téléphones Blackberry.

« Porter l’enseignement à un niveau supérieur à l’aide de la haute

technologie implique un investissement à l’épreuve du temps », a

déclaré Mike Lazaridis lors de la Conférence turque pour

l’innovation organisée par l’Assemblée des exportateurs turcs dans

sa ville natale, Istanbul. « La Turquie reste à l’avant-garde des

technologies mobiles utilisées à bon escient.

La première utilisation de l’application bancaire mobile de RIM a

eu lieu dans une banque turque ».

« L’accent mis sur l’innovation et l’éducation inspire confiance

dans l’avenir de la Turquie. Voilà pourquoi je suis ici aujourd’hui

Le projet Fatih, d’un montant de 7,5 milliards de dollars US, prévoit

la distribution de millions de tablet PC aux élèves des écoles

primaires dans toute la Turquie. La Turquie compte produire

localement des tablet PC et autre matériel éducatif haute

technologie via des partenariats entre des entreprises turques et

étrangères.



POUR LE DIRECTEUR DE PSA TURQUIE, LE MARCHE TURC DE L ’AUTOMOBILE NE PEUT ETRE IGNORE

02.01.2012

Hurriyet – Les nouvelles mesures d’encouragement de la Turquie, dont la mise en application est prévue pour les premiers mois de l’année 2012, amènent à nouveau de nombreuses sociétés internationales à envisager le pays comme base de production. Parmi ces sociétés, on peut citer le groupe automobile français PSA (Peugeot-Citroën) qui avait présélectionné la Turquie comme destination d’investissement en 2008, puis avait finalement choisi d’augmenter ses capacités dans l’une de ses usines européennes, suite à la crise financière mondiale. « Au 1er janvier, Peugeot a désigné la Turquie comme marché en pleine croissance de la zone Méditerranée, au même plan que le Brésil, la Russie, la Chine et l’Inde. La société va organiser son programme d’investissement en fonction des nouvelles mesures d’encouragement du gouvernement turc, car le marché automobile turc ne peut plus être ignoré », a déclaré Marc Bergeretti, le nouveau directeur de Peugeot Turquie. Les producteurs locaux Tofas et Karsan fabriquent trois types différents de véhicules commerciaux légers (VCL) pour le groupe PSA dans leurs usines de Bursa, au Nord-Ouest de la Turquie. « La Turquie se place en tête parmi les pays auxquels s’intéresse le groupe PSA en cas de problèmes de capacité dans ses usines européennes. Le groupe PSA a recours aux fournisseurs turcs pour la production de VCL, ainsi que pour les pièces détachées, qui représentent 90 millions d’euros par an ; autrement dit, notre siège en France connaît parfaitement l’importance de la Turquie », a expliqué M. Bergeretti, avant d’ajouter que la position de la Turquie dans le bassin méditerranéen avait considérablement changé au cours de la dernière décennie et que les produits fabriqués en Turquie étaient très réputés en termes de qualité. « Peugeot va continuer à surveiller de près le marché automobile turc et à développer ses projets en conséquence », a-t-il souligné. Les sociétés automobiles présentes en Turquie, dont Ford, Renault, Toyota, Hyundai et Honda, ont produit plus de 1,2 millions de véhicules en 2011. HONDA, QUI VISE LE MARCHE NORD-AFRICAIN , PRODUIRA LA CIVIC EN TURQUIE

09.01.2012

Star – Le constructeur automobile japonais Honda cherche à accroître ses exportations en Afrique du Nord suite à la modernisation de sa ligne de production et à la transformation du modèle dans son usine turque, un investissement de 75 millions de lires turques (environ 40 millions de dollars US). En fabricant la nouvelle version de sa populaire berline Civic en Turquie, Honda compte atteindre une capacité de production de 50 000 véhicules par an dans son usine de Kocaeli. Le constructeur cherche en effet à surmonter l’impact des catastrophes naturelles qui ont frappé le Japon et la Thaïlande, ainsi que les conséquences de la crise financière mondiale. L’entreprise prévoit de produire 25 000 berlines Civic dans son usine turque en 2012, une légère augmentation par rapport à la moyenne des trois dernières années qui se situe entre 18 000 et 20 000 unités, mais d’après Hideto Yamasaki, directeur général de Honda Turquie, des négociations avec le siège au Japon seraient en cours en vue d’un accroissement de la capacité. « L’ajout d’un nouveau modèle dans l’usine turque de Honda est également envisagé », a déclaré M. Yamasaki lors de la cérémonie de lancement de la nouvelle Civic, non sans mentionner que l’entreprise avait déjà initié les exportations de la nouvelle berline vers la Russie, la Pologne, Israël et l’Égypte. Les pays d’Afrique du Nord devraient aussi être ajoutés à la liste des pays destinataires du modèle Civic fabriqué en Turquie. « La Turquie est l’un des producteurs clés de la berline Civic et les accords de libre échange qu’elle a passés avec de nombreux pays d’Afrique du Nord constituent un atout qui facilitera considérablement nos exportations dans la région », a affirmé M. Yamasaki.

Automotive



FORD ENVISAGE DE PRODUIRE DES VOITURES DE TOURISME EN TURQUIE

11.01.2012

Hurriyet – Ford Motor Company envisage d’étendre sa gamme de production en Turquie aux voitures de tourisme, d’après William Clay Ford Jr., président exécutif de l’entreprise. La société est passée l’an dernier en tête des ventes de véhicules motorisés en Turquie, avec plus de 141 000 véhicules vendus au terme d’une des années les plus prospères du secteur automobile turc concernant les ventes et les exportations. « Ford considère la Turquie comme une base de production pour ses véhicules commerciaux et comme un marché en croissance constante », a affirmé M. Ford Jr., en marge du salon automobile de Détroit, à propos de la production de véhicules commerciaux légers (VCL) dans l’usine turque de Ford. Interrogé sur la probabilité d’une reprise de la production des véhicules de tourisme, le président exécutif de Ford a indiqué qu’ils y réfléchissaient et que c’était tout à fait possible. Ford a cessé la production de véhicules de tourisme en Turquie en 1999 et se dédie depuis exclusivement à la production de véhicules commerciaux. Le président directeur général de Ford Motor Company, Alan Mulally, a réitéré les propos de M. Ford Jr. concernant la production de voitures de tourisme en Turquie. « Ford envisage sérieusement de produire des voitures de tourisme en Turquie. Nous évaluons actuellement les possibilités et les opportunités », a-t-il indiqué. Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan avait invité Ford à accroître ses investissements en Turquie suite à une réunion avec Alan Mulally l’an dernier, lors du salon professionnel Cebit à Hanovre, en Allemagne. L’unité turque de Ford, Ford Otosan, une coentreprise entre le groupe Koc et Ford Motor Company, conçoit et fabrique différents types de VCL actuellement commercialisés dans une cinquantaine de pays dont les États-Unis, pays d’origine de Ford.

RECORD DES VENTES AUTOMOBILES AVEC UNE HAUSSE DE 13,61 POUR CENT EN 2011

12.01.2012

Today’s Zaman – Mustafa Bayraktar, président de l’Association des concessionnaires automobiles (ODD), a révélé lundi que les ventes automobiles avaient augmenté de 13,61 pour cent en 2011, totalisant 864 439 unités. C’est le chiffre de ventes le plus élevé jamais enregistré dans ce secteur.

D’après M. Bayraktar, 270 920 de ces ventes concernent des véhicules commerciaux légers (LCV). Si l’on y ajoute 45 000 utilitaires lourds, les ventes totales de véhicules avoisinent les 910 000 unités.

« En 2011, 84 pour cent des ventes concernaient des voitures appartenant aux catégories A, B et C, c’est-à-dire peu taxées », a indiqué M. Bayraktar. Il a également précisé que les ventes avaient augmenté de 76,6 pour cent au premier trimestre et de 36,9 pour cent au deuxième trimestre. Suite au ralentissement prévu au troisième trimestre, on observe une croissance de 11,7 pour cent sur les trois derniers mois de l’année. Les voitures d’une cylindrée inférieure ou égale à 1 600 cm3 arrivent en tête avec 529 135 unités vendues cette année, soit 89 pour cent du total des ventes. Les véhicules d’une cylindrée comprise entre 1 600 et 2 000 cm3 se placent en deuxième position avec 9 pour cent.



FORD CONSTRUIRA UNE NOUVELLE USINE DE PRODUCTION DE VCL EN TURQUIE

20.01.2012

Zaman - Ford Otosan, une coentreprise entre la société américaine Ford Motor Company et le groupe turc Koc Holding, a annoncé son projet de construire une nouvelle unité de production automobile en plus de son usine actuelle à Kocaeli, au Nord-Ouest de la Turquie. L’entreprise fabrique en Turquie des véhicules commerciaux légers (VCL) et des camions légers et exporte vers 70 pays du monde entier. Le coût d’investissement de la nouvelle usine, qui portera à 400 000 véhicules la capacité de production annuelle de Ford en Turquie, avoisine les 250 millions d’euros (environ 323 millions de dollars US). La troisième usine Ford en Turquie fabriquera un nouveau modèle de VCL, encore en phase de conception, et créera 1 500 emplois. Le centre de recherche et développement de Ford Otosan à Kocaeli sera utilisé pour concevoir un nouveau véhicule dont la production devrait être lancée en 2013. Dans le cadre de son projet prévoyant plusieurs investissements sur 10 ans, Ford investira 1,2 milliards d’euros (environ 1,55 milliards de dollars US) en Turquie, 4e marché de la grande distribution en Europe après le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie. L’entreprise a vendu plus de 141 000 véhicules motorisés en Turquie et la marque se place en tête des ventes automobiles depuis 10 ans. L’unité turque de Ford se situe en première position concernant les ventes de VCL dans le pays, occupant presque 30 pour cent du marché. Ford Otosan exporte le modèle Transit Connect dans le monde entier, y compris aux États-Unis, sous différentes configurations

Le marché automobile turc parmi les 5 premiers d’Eu rope d’ici la fin de l’année 2011

26.12.2011

Hurriyet - Avec un volume de ventes annuelles de 900 000 voitures prévu à la fin de l'année, le marché automobile turc pourrait clore l'année au 5ème rang européen. Ce secteur a bénéficié de plus de 10 milliards de dollars US d'investissements au cours des dix dernières années, ce qui a propulsé les niveaux de production à 1,2 millions d'unités en 2011 (271 000 en 2001). Les exportations du secteur automobile ont également quadruplé pour atteindre 825 000 unités en 2011 (202 000 en 2001), ce qui représente environ 20 milliards de dollars US sur le volume total d'exportations de 135 milliards prévu pour le pays. Les exportations automobiles de 2010 représentaient 17,4 milliards de dollars US. Forte d'une prospérité grandissante grâce à la croissance économique qui bat des records (la Turquie a enregistré une croissance de 10,2 pour cent au premier semestre de l'année), et au regard de son faible pourcentage de véhicule par habitant, le pays est l'un des plus prometteurs d'Europe. Aujourd'hui à la 6ème place derrière l'Espagne en termes de ventes automobiles en novembre, la Turquie devrait occuper la 5ème place d'ici la fin de l'année. En effet, son marché automobile enregistre une forte activité à cette période, alors que les chiffres de vente ont chuté en Espagne. Le secteur automobile turc vise une capacité de production de 2 millions d'unités dans les 4 à 5 années à venir, un objectif partagé par le gouvernement et les constructeurs automobiles, qui espèrent exporter 1,5 millions de leur production.

FORD PRESENTERA LE MODELE TRANSIT FABRIQUE EN TURQUIE AU SALON AUTOMOBILE DE GENEVE

23.01.2012

Milliyet – Le modèle d’utilitaire Transit de Ford dévoilera cette année sa toute nouvelle ligne lors du salon de l’automobile de Genève, en Suisse. Le nouveau Transit, l’un des principaux lancements de l’entreprise américaine lors de cet événement, entrera en production à la fin de l’année, dans l’usine turque de Ford à Golcuk, Kocaeli.



Le nouveau Transit, dont la conception et le développement ont été réalisés en grande partie par l’unité locale de Ford, Ford Otosan, exigera un investissement de 630 millions de dollars US et deux versions seront proposées. Le premier modèle sera de la même taille que son prédécesseur, tandis que le second présentera des dimensions et des caractéristiques différentes. La production annuelle de ce modèle dans l’usine turque de Ford devrait atteindre 300 000 véhicules, dont la plupart seront destinés aux marchés extérieurs. Ford a annoncé la semaine dernière son projet de construire une troisième usine en Turquie pour produire un nouveau modèle véhicule commercial léger (VCL). Cet investissement de 320 millions de dollars US portera la capacité de production totale du constructeur à 400 000 véhicules par an.

VW ENVISAGE D’INVESTIR EN TURQUIE

30.01.2012

Hurriyet/Sabah – Le constructeur automobile allemand Volkswagen (VW) envisage d’investir en Turquie et publiera un rapport

préliminaire sur les opportunités d’investissement qu’offre le pays dans le secteur automobile. C’est ce qu’a annoncé le premier

distributeur de la marque en Turquie, Dogus Otomotiv.

« Pour qu’un investissement soit viable, il faut atteindre un niveau de production annuel d’au moins 150 000 véhicules. Une usine

qui fabrique plusieurs modèles de véhicules et dotée d’une capacité de production annuelle de 200 000 à 250 000 unités sera plus

efficace », a précisé Aclan Acar, le président de Dogus Otomotiv, à propos des projets d’investissements de VW en Turquie,

ajoutant que l’entreprise envisageait sérieusement d’investir en Turquie et qu’elle publierait un rapport sur ce sujet au mois de

mars, après l’introduction du nouveau train de mesures incitatives du gouvernement.

Ali Bilaloglu, membre du Conseil d’administration de Dogus Otomotiv, a déclaré que Dogus Otomotiv et l’Agence turque pour la

promotion et le soutien à l'investissement (ISPAT) travaillaient ensemble à ce projet. « La volonté du gouvernement et l’introduction

de nouvelles mesures incitatives ont donné un nouvel élan à nos efforts de construction d’une nouvelle usine VW en Turquie », a

affirmé M. Bilaloglu. « Même s’il est encore trop tôt pour parler des conclusions du rapport, un étude minutieuse est en cours.

L’essor des ventes et le potentiel croissant de VW sont aussi des facteurs positifs », a-t-il fait remarquer.

LA TURQUIE CHERCHE A ATTIRER LES INVESTISSEURS DANS LES HAUTES TECHNOLOGIES , D’APRES LE PRESIDENT DE L ’ISPAT

12.01.2012

Milliyet – Les politiques mises en œuvre par la Turquie pour inciter les étrangers à investir dans le pays se tournent vers une approche plus sectorielle, visant directement les projets de haute technologie et axés sur l’exportation, a déclaré le président de l’agence de promotion de l’investissement officielle du pays. Les entrées d’IED en Turquie en 2011 devraient atteindre 13 milliards de dollars US, a indiqué aux journalistes le président de l’Agence turque pour la promotion et le soutien à l'investissement (ISPAT), Ilker Ayci, lors d’une conférence de presse sur les récents succès de cet organisme et ses objectifs futurs. M. Ayci s’est déclaré « prudemment optimiste » vis-à-vis de la situation en Europe, région dont provient des sommes importantes d’IED. « Étant donné la volatilité de l’environnement économique en Europe, notre objectif pour 2012 est d’atteindre au moins le résultat de l’an dernier », a-t-il expliqué, sans avancer de montant prévisionnel exact concernant les IED. Fournissant un aperçu des efforts de l’Agence pour attirer les projets d’investissement à valeur ajoutée et de haute technologie, M. Ayci a précisé que l’organisme avait adopté une approche plus sectorielle, centrée sur le transfert technologique et la réduction des importations.

High Tech / R&D



« Nous sommes en contact avec des entreprises proposant des produits de haute technologie qui pourraient enrichir la gamme des exportations de la Turquie. Notre objectif est d’attirer des investissements prévoyant de produire localement des produits et matériaux jusque là importés. L’Agence a décidé de cibler en priorité les constructeurs automobiles et les producteurs pétrochimiques, puis bientôt le secteur minier », a indiqué M. Ayci, ajoutant que 35 sociétés étrangères des secteurs de l’automobile, des pièces détachées et de la pétrochimie figuraient sur la liste des investisseurs potentiels.

À propos des récents succès de l’Agence, le président de l’ISPAT a signalé que l’investissement conjoint de Dow Chemical et d’Aksa Akrilik pour produire de la fibre de carbone en Turquie constituait un apport majeur pour l’industrie pétrochimique du pays. Le montant total de l’investissement effectué dans le cadre de ce partenariat a été annoncé le mois dernier : il atteindra 1 milliards de dollars US dans les cinq prochaines années. L’Agence a aussi annoncé que le fabricant indien de textile Aditya Birla comptait investir 500 millions de dollars US à Adana dans un tout nouveau projet de construction d’une usine intégrée de fibranne viscose (VSF). Le président de l’ISPAT a indiqué que le dernier projet d’investissement traité par l’Agence s’élevait à 20 millions d’Euros. Il s’agit de l’installation, dans la province égéenne de Manisa, d’une nouvelle usine de production pour un fournisseur allemand de pièces automobiles.

LA TURQUIE PRESENTE LE POTENTIEL D ’UNE BASE REGIONALE – PDG DE NCR

23.01.2012

Sabah – L’entreprise technologique américaine NCR a sélectionné la Turquie comme base régionale, d’après son PDG Bill Nuti. NCR, qui produit des solutions de distributeurs automatiques et de bornes interactives, a sélectionné des domaines d’investissement en Turquie. C’est ce qu’a annoncé hier le PDG de l’entreprise en prélude à sa visite en Turquie prévue au printemps prochain. « Des investissements sont prévus dans les domaines de l’ingénierie et des centres d’appels. Pour pouvoir proposer à ses clients de nouvelles solutions plus performantes, NCR investit des sommes considérables à l’échelon local dans le domaine de l’ingénierie. D’autre part, l’entreprise a besoin de centres d’appels pour gérer les services et l’assistance qu’elle offre à ses clients européens en Turquie », a-t-il indiqué. Signalant que NCR recherchait aussi activement des opportunités d’investissement en Turquie dans des domaines autres que l’ingénierie et les appels d’offres, M. Nuti a souligné que la jeunesse et le bon niveau d’éducation de la population turque conféraient au pays un avantage important. « NCR prévoit d’investir dans le secteur des services. La Turquie pourrait être choisie comme centre régional en raison de sa valeur stratégique. Nous pensons aussi à la Turquie pour investir dans la production en raison de certains facteurs comme les incitations, la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée, le potentiel du marché intérieur et des marchés environnants », a expliqué le PDG de NCR, ajoutant que tôt ou tard, l’entreprise investirait en Turquie. HUAWEI ACCELERE LA R&D EN TURQUIE

25.01.2012

Zaman – Le fournisseur chinois d’équipements de télécommunications mobiles Huawei souhaite développer ses activités de

recherche et développement (R&D) en Turquie. Pour son 10ème anniversaire, la société chinoise prévoit d’étendre ses efforts de

développement logiciel dans le pays, actuellement menés par son laboratoire R&D d’Istanbul, pour devenir l’un des principaux

exportateurs de logiciels de Turquie.

Le site d’Istanbul est le deuxième laboratoire R&D parmi les 20 que compte la société hors de la Chine ; il emploie 350 ingénieurs

en développement logiciel, précise Kamil Sahin, directeur de Huawei Turquie.

« Huawei Turquie met l’accent sur des solutions logicielles novatrices pour les opérateurs mobiles, ainsi que sur les services de

support proposés aux clients de Huawei dans le monde entier », a expliqué M. Sahin. « Notre développement logiciel est axé sur

l’amélioration des offres opérateurs mobiles via des services à valeur ajoutée et des systèmes de support professionnel. Nous

menons également des recherches pré-produit en matière de réseaux sociaux et de technologies d’appel intelligentes, en

coordination avec d’autres laboratoires R&D de Huawei », a-t-il souligné.



Fort d’une équipe jeune et talentueuse de 350 ingénieurs et d’un personnel auxiliaire de 150 personnes, le centre R&D de Huawei

bénéficie des ressources R&D de qualité du pays et de sa position géographique favorable, à l’intersection de l’Europe, l’Asie et

l’Afrique. Huawei propose ses services à 45 des principaux opérateurs de télécommunications mondiaux et compte des utilisateurs

dans plus de 140 pays.

LES ACCORDS DE FUSION-ACQUISITION EN TURQUIE ATTEINDRONT 20 MILLIARDS DE DOLLARS US EN 2012

16.01.2012

Dunya - Les accords de fusion-acquisition (F&A) prévus cette année en Turquie devraient atteindre un volume de 20 milliards de dollars US. Suite au succès de 2011, où 11,1 milliards de dollars US d’investissements étrangers ont été injectés dans des entreprises turques dans le cadre d’accords de F&A, on prévoit cette année un essor des activités et une augmentation des investissements étrangers grâce au caractère de plus en plus attractif des PME turques et aux actuels programmes de privatisation des centrales électriques et des réseaux de distribution du pays. En 2012, comme dans les trois dernières années, les fonds privés d’investissement vont rechercher activement des accords sur le marché turc des F&A, surtout dans les secteurs de la santé, de l’énergie, de la distribution et du commerce électronique. Les accords de F&A en Turquie dans les trois dernières années ont atteint 25 milliards de dollars US, avec des opérations de grande envergure comme le rachat du fabricant de spiritueux Mey Ickı par Diageo, le partenariat avec l’Espagnol BBVA dans Garanti Bank et la privatisation de la société de ferries d’Istanbul (IDO). L’année dernière, le volume des accords de F&A a atteint 15 milliards de dollars US pour un total de 241 transactions, dont 74 pour cent (11,1 milliards de dollars US) impliquaient des parties étrangères. Les analystes prévoient qu’en 2012, 12 milliards de dollars US d’investissements étrangers seront injectés au total dans les entreprises turques, tandis que les privatisations à grande échelle rapporteront environ 8 milliards de dollars US

NESTLE MET EN SERVICE UNE USINE DE CEREALES EN TURQUIE ET MET LE CAP SUR L ’EXPORTATION

09.01.2012

Hurriyet – Le géant suisse des produits de confiserie et aliments emballés Nestlé cherche à conquérir de nouveaux marchés avec la mise en service d’une nouvelle usine de céréales dans la province de Bursa, au Nord-Ouest de la Turquie. L’investissement de 85 millions de lires turques (environ 45 millions de dollars) dans le district de Karacabey permettra à Nestlé non seulement d’approvisionner le marché intérieur, mais aussi d’exploiter le potentiel des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, un marché de 200 millions de personnes. Officiellement inaugurée par le ministre turc de l’Alimentaire, de l’agriculture et de l’élevage, Mehdi Eker, et par le président du Conseil d’administration de Nestlé Turquie, Hans-Ulrich Mayer, l’usine de céréales achète aux fournisseurs locaux les ingrédients nécessaires à la production. Presque toute la vaste gamme des produits Nestlé actuellement commercialisés en Turquie est produite localement.

Banques & finances

Industries



Annoncé en mars 2011, le projet d’une usine de céréales Nestlé en Turquie a été mis en œuvre avec l’aide de l’Agence turque pour la promotion et le soutien à l’investissement (ISPAT). ADITYA BIRLA VA INSTALLER UNE USINE VSF EN TURQUIE POUR 510 MILLIONS DE DOLLARS US

30.12.2011

Hurriyet – Le groupe indien Aditya Birla, premier producteur mondial de fibranne viscose (VSF), va installer une usine de production au Sud de la Turquie, pour un investissement de 510 millions de dollars US sur une période de cinq ans. La nouvelle usine, qui sera située dans la zone industrielle organisée d’Adana dans la province du même nom, aura une capacité de 180 000 tonnes métriques par an, et devrait être opérationnelle d’ici 2014. Ce nouvel investissement permettra de créer 550 nouveaux emplois. Le projet a été annoncé par Zafer Caglayan, ministre turc de l’Économie, Ilker Ayci, président de l’Agence turque pour la promotion et le soutien à l’investissement (ISPAT), et K.K. Maheshwari, membre du Conseil d’administration du groupe Aditya Birla, lors d’une conférence de presse conjointe organisée à Istanbul. L’usine répondra d’une part à la demande nationale en VSF pour l’industrie textile turque, et d’autre part permettra d’exporter cette matière stratégique. Pour son industrie textile, la Turquie a été dépendante des importations de VSF, lesquelles ont atteint près de 200 000 tonnes cette année pour un coût de 800 millions de dollars US. « L’investissement d’Aditya Birla va contribuer, avec plus de 1 milliard de dollars US, au commerce extérieur de la Turquie en réduisant les exportations », a déclaré M. Caglayan lors de cette conférence de presse. « L’ISPAT a été présente à chaque étape de la décision d’investir d'Aditya Birla », a précisé son président M. Ayci aux journalistes lors de l’annonce, avant d’ajouter que l’Agence serait prête à soutenir la société dans ses futurs investissements en Turquie. « Le projet d’Aditya Birla illustre bien les efforts soutenus de l’ISPAT pour drainer vers la Turquie des investissements de haute technologie, créateurs de valeur ajoutée. Cet investissement est également important puisqu’il permet de réduire les importations du pays », a ajouté M. Ayci. Pour choisir la destination de son investissement, la société indienne a évalué un groupe de pays ; la Turquie en est ressortie en tête de liste grâce à son emplacement stratégique, son vaste marché intérieur et un secteur textile extrêmement développé. Le pays est le 4ème consommateur mondial de VSF. La société Aditya Birla, qui représente 35 milliards de dollars US, est présente dans 36 pays et emploie plus de 133 000 personnes.

DOW-AKSA AKRILIK SIGNE UN ACCORD DE COENTREPRISE DE 1 MILLIARD DE DOLLARS US POUR LA PRODUCTION DE FIBRE DE CARBONE

21.12.2011

Milliyet/Sabah - Dow Europe, la division européenne du fabricant américain de produits chimiques Dow Chemical, et le producteur turc de fibres synthétiques Aksa Akrilik ont uni leurs forces pour établir un partenariat de production de fibres de carbone, un matériau clé principalement utilisé dans l’industrie automobile, dans le secteur de la construction et de l’aéronautique. Ce partenariat 50-50 va représenter un investissement de 1 milliard de dollars US dans l’usine d’Aksa située à Yalova au Nord-Ouest de la Turquie, et ainsi permettre de créer 1000 emplois. Accompagné d’une cérémonie à laquelle participaient Nihat Ergun, ministre turc de la Science, de l’industrie et de la technologie, Ilker Ayci, président de l’Agence turque pour la promotion et le soutien à l’investissement (ISPAT), Heinz Haller, vice-président directeur de Dow Chemical, et Mehmet Ali Berkman, PDG du groupe Akkok et président d’Aksa, l’accord de coentreprise inclut le développement et la commercialisation de produits en fibre de carbone et de services techniques pour l’industrie des produits composites. « Le montant initial de l’investissement, calculé aux alentours de 500 millions de dollars US, a été porté à 1 milliard après intervention personnelle du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan », a déclaré M. Ergun lors de la cérémonie. Attirant l’attention sur l’augmentation des investissements étrangers directs (IED) en Turquie, il a souligné que le total atteindrait 12,5 milliards de dollars US d’ici la fin de l’année.



« Le partenariat entre Dow et Aksa va favoriser de manière significative les exportations de notre pays », a commenté le PDG du groupe Akkok Mehmet Ali Berkman au sujet de l’accord. Heinz Haller, vice-président directeur de Dow, a également précisé que les produits haute technologie issus de l’unité intégrée à grande échelle seraient commercialisés dans le monde entier, pour les besoins des plus grandes industries de la planète. Le président de l’ISPAT Ilker Ayci a souligné la nature à forte valeur ajoutée de l’investissement et a déclaré que le partenariat allait jouer un rôle majeur pour répondre à la demande mondiale de produits en fibre de carbone et leurs dérivés. « L’accord offre d’importantes opportunités pour accroître les exportations turque à valeur ajoutée », a indiqué M. Ayci, avant d’indiquer que l’investissement reflète aussi le nouvel attrait de la Turquie aux yeux des investisseurs américains. Les sociétés américaines ont investi 650 millions de dollars US en Turquie sur la période janvier-novembre 2011, soit une augmentation de 147 pour cent par rapport à l’année précédente.

18 SOCIETES INTERESSEES PAR LE PROJET DU TROISIEME PO NT SUR LE BOSPHORE POUR 5 MILLIARDS DE DOLLARS US

04.01.2012

Star – Le projet d’autoroute Nord-Marmara, qui inclut la construction d’un troisième pont sur le détroit du Bosphore, prend forme : en effet, 18 des 33 sociétés intéressées ont reçu le cahier des charges officiel de l’appel d’offres afin de soumettre leur candidature. Pour la moitié d’entre elles, il s’agit de sociétés étrangères d’ingénierie et de construction, dont quatre japonaises, deux russes, une espagnole, une autrichienne et une italienne. La date de clôture de l’appel d’offres mené par la Direction générale des autoroutes, rattachée au ministère des Transports, a été reportée au 10 janvier sur demande des sociétés candidates. Le projet d’autoroute Nord-Marmara se compose de 414 km d’autoroutes reliant Adapazari côté asiatique de la région de Marmara au quartier Tekirdag côté européen. Le troisième pont sur le détroit d’Istanbul, également équipé d’une voie ferrée, est également inclus dans le projet de 5 milliards de dollars US, qui devrait être réalisé selon le modèle BOT (construction-exploitation-transfert).

LES AEROPORTS TURCS ONT ACCUEILLI 118 MILLIONS DE PASSAGERS EN 2011

04.01.2012

Milliyet – Les transports aériens en Turquie ont atteint de nouveaux records en 2011, avec 118 millions de passagers qui ont décollé depuis les aéroports du pays. Les Turcs empruntent en effet de plus en plus ce mode de transport tandis que des sociétés privées arrivent sur le marché, ce qui signifie pour les passagers des vols à moindre coût. Selon la Direction générale de l’Administration nationale turque des aéroports (DHMI), les 45 aéroports de Turquie ont accueilli plus de 118 millions de passagers en 2011, ce qui représente une augmentation de 14,4 pour cent par rapport à 2010. Quelque 58 millions de personnes ont emprunté des vols domestiques l'année dernière, tandis que 59 millions ont voyagé vers l’étranger. Le nombre de passagers en transit excédait 1 million de personnes.

Real estate-infrastructure



UNE SOCIETE AMERICAINE INVESTIT 36 MILLIONS DE DOLLARS US DANS LA CONSTRUCTION D ’UN CENTRE COMMERCIAL DANS LE SUD-OUEST DE LA TURQUIE

17.01.2012

Hurriyet Daily News – Il est plus rentable d’investir en Turquie qu’en Chine, d’après Martin Carver, directeur exécutif d’une société américaine qui a investi récemment 36 millions de dollars US dans un centre commercial, un parc aquatique et un hôtel dans la province de Mardin, au Sud-Est de la Turquie. « Après avoir rencontré des chefs d’entreprise locaux à Mardin, j’ai décidé d’investir dans le projet », a déclaré M. Carver, directeur de MG Consulting, au Hürriyet Daily News lors d’une interview récente à Istanbul. « Je n’observe aucune croissance économique sur les marchés européens. C’est pourquoi je préfère investir en Turquie », a-t-il expliqué. Movapark, un projet de centre commercial à Mardin, occupera une superficie de 54 000 mètres carrés sans compter le parc aquatique. « Une fois le projet de centre commercial et de parc aquatique terminé, nous lancerons aussi la construction d’un hôtel cinq étoiles de presque 300 chambres », a-t-il indiqué. Suite au décès de son père Roy J. Carver, fondateur de la chaîne américaine de pneus Bandag, Martin Carver a fait partie du conseil d’administration de l’entreprise de 1981 à 2007. L’entreprise a été vendue à Bridgestone en décembre 2006 pour presque 1 milliard de dollars US et M. Carver a alors commencé à investir dans des projets prometteurs dans différents pays dont la Chine, le Brésil, la Corée du Sud, Singapour et enfin la Turquie.

LE SECTEUR PRIVE VA CONSTRUIRE UN DEUXIEME AEROPORT DANS LE SUD DE LA TURQUIE

30.01.2012

Hurriyet – La décision finale a été rendue pour le projet d’aéroport régional de Cukurova au Sud de la Turquie, deuxième aéroport

du pays dont la construction est assurée par le secteur privé. Destiné à desservir les provinces d’Adana et de Mersin, ainsi que la

région agricole de Cukurova, cet aéroport pourra accueillir 30 millions de passagers chaque année.

Le consortium d’aviation privée de Sky Line et Zonguldak investira 357 millions d’euros dans la construction du projet, soumis à

appel d’offres par la direction générale de l’Administration nationale turque des aéroports. Le contrat confère aux constructeurs les

droits d’exploitation de l’aéroport pendant 9 ans et 10 mois.

ISTANBUL EN TETE DU MARCHE IMMOBILIER EUROPEEN

30.01.2012

Sabah – La ville d’Istanbul s’est rapidement imposée comme un site lucratif pour l’investissement immobilier, surpassant d’autres

villes comme Rome, Londres et Paris et constituant aujourd’hui le marché immobilier le plus dynamique d’Europe sur le plan de la

croissance, d’après une étude de PricewaterhouseCoopers (PwC) et de l’Urban Land Institute (ULI).

Le rapport prévisionnel sur les nouvelles tendances de l’immobilier en 2012 (Emerging Trends Real Estate-2012), qui repose sur

les opinions de 600 experts du secteur, place la métropole turque en tête des catégories « développement et investissement ». Le

fort essor économique, les bonnes perspectives et la jeunesse de la population ont permis à la ville de se hisser en première

position.

Istanbul est arrivée en tête du classement dans les catégories « performance des investissements existants », « nouvelles

acquisitions immobilières » et « perspectives de développement ». Munich, Varsovie, Berlin et Stockholm figurent derrière Istanbul

au palmarès des marchés immobiliers. Affectés par la crise financière en Europe, des marchés traditionnellement forts comme

Paris, Londres et Madrid ont dégringolé respectivement à la 6e, à la 10e et à la 21e place du classement.



En outre, l’attrait d’Istanbul en tant que premier marché européen de l’immobilier devrait monter en flèche avec la nouvelle loi qui

abolit les conditions de réciprocité et permet aux étrangers d’acheter des biens immobiliers en Turquie. Le projet de loi qui lève le

principe de réciprocité est actuellement débattu au parlement.

LA TURQUIE DEVIENT LA BASE D ’APPROVISIONNEMENT DES GEANTS MONDIAUX DE LA DISTRIB UTION

13.01.2012

Dunya – Diverses grandes enseignes internationales de la distribution font de plus en plus appel aux produits fabriqués en Turquie pour se réapprovisionner. En effet, le pays offre un emplacement privilégié et des capacités de production qui en font une base d’approvisionnement idéale pour les commerces de détail d’envergure régionale. Les entreprises telles que Tesco, IKEA et le groupe METRO, qui possèdent des magasins populaires dans toute la Turquie, contribuent aussi aux exportations du pays en achetant des marchandises et des produits aux producteurs locaux pour les mettre en vente dans leurs chaînes de magasins dans d’autres pays. L’un des distributeurs de renom en Turquie, le groupe allemand de vente en gros METRO, a choisi d’installer l’un de ses 5 centres d’approvisionnement en produits agroalimentaires dans la province méditerranéenne turque d’Antalya. Le groupe METRO a acheté en Turquie l’an dernier pour 35 millions de dollars US de produits agricoles pour les revendre dans ses magasins à l’étranger. La société britannique Tesco, qui opère en Turquie sous l’enseigne Tesco-Kipa, s’est également adressée aux fournisseurs turcs pour des catégories de produits non alimentaires. L’entreprise a négocié avec l’Assemblée des exportateurs turcs (TIM) le mois dernier en vue d’enrichir sa gamme de produits grâce à des produits textiles, électroménagers et à usage domestique « fabriqués en Turquie ». Les achats effectués par Tesco-Kipa auprès des fournisseurs turcs ont atteint 300 millions de dollars en 2011. Le distributeur de produits d’ameublement IKEA est une autre multinationale qui prévoit d’accroître ses approvisionnements en Turquie. IKEA, qui possède désormais cinq magasins en Turquie, a exporté depuis le pays pour un demi-milliard de dollars en 2011. Dans les cinq prochaines années, l’entreprise compte doubler son volume d’approvisionnement en Turquie.

AMAZON INVESTIT DANS UN COMMERCE TURC DE VENTE DE FL EURS EN LIGNE

22.12.2011

Hurriyet – Le géant du commerce électronique basé à Seattle, Amazon, est entré sur le marché turc via l’acquisition de parts de la société de vente en ligne de fleurs, Ciceksepeti.com. Grâce au partenariat minoritaire du premier détaillant en ligne mondial avec Ciceksepeti.com, la start-up turque va pouvoir développer ses ventes d’articles-cadeaux. « La maturité d’Amazon en termes de technologie et de commerce en ligne bénéficiera à notre croissance en 2012 », a commenté le directeur général de Ciceksepeti.com Emre Aydin à propos de l’accord de partenariat, sans toutefois en dévoiler les détails financiers. « Outre l’injection de liquidités, le transfert de technologie et de savoir-faire contribuera de manière significative à notre activité », a-t-il ajouté. Ciceksepeti.com vise la première place du commerce de vente en ligne de fleurs et de cadeaux. Les participations dans les sociétés Internet turques ont prouvé leur attrait auprès des investisseurs étrangers en 2011, si on en juge par le volume réalisé dans le pays en transactions d’e-commerce (10,5 milliards de dollars US au cours des 11 premiers mois de l’année 2011). Plusieurs sites turcs d’e-commerce, notamment des clubs privés de

Services & Distribution



shopping, des marchés d’achats groupés et des fournisseurs de services de blogs/médias, ont signé des accords de partenariats ou convenu de vendre des parts à des investisseurs étrangers.

INVENTEUR DU BRIC : LA TURQUIE PARMI LES PAYS LES PLUS INFLUENTS DES DIX PR OCHAINES ANNEES

29.12.2011

Aksam – Jim O'Neill, directeur de la gestion d’actifs chez Goldman Sachs et inventeur du terme BRIC (abréviation de Brésil-Russie-Inde-Chine, ou les premières économies émergentes au monde), prédit que les pays du BRIC laissent leurs meilleurs jours derrière eux et que la décennie à venir verra apparaître d’autres puissances émergentes, dont la Turquie. Dans une interview accordée à Deutsche Welle, M. O’Neill pronostique que la carte de la croissance mondiale va subir d’importants changements au cours des dix années à venir. « Si un nouveau G-8 (groupe des 8 nations les plus industrialisées au monde) devait avoir lieu aujourd’hui, sur des critères de puissance économique et non d’influence politique, je recommanderais d’ajouter aux pays du BRIC le Mexique, l’Indonésie, la Corée du Sud et la Turquie », a déclaré M. O’Neill. « La Turquie sera l’un des pays les plus influents de la prochaine décennie en termes de contribution à l’économie mondiale. Istanbul est l’une des villes les plus séduisantes et intéressantes en Europe, si ce n’est dans le monde », a-t-il précisé, avant d’ajouter que les nations européennes doivent favoriser l’accession de la Turquie à l’UE.

GLAXOSMITHKLINE VA DIRIGER SES OPERATIONS REGIONALES DEPUIS ISTANBUL

16.01.2012

Zaman – La capitale financière de la Turquie abritera le centre de gestion régional du groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK), s’imposant face à Dubaï pour la gestion des opérations de l’entreprise au Moyen-Orient et en Afrique. GSK rejoindra d’autres fabricants de médicaments tels que Roche et Novo Nordisk, qui ont également installé leur siège régional à Istanbul, ville transcontinentale de Turquie qui compte plus de 12 millions d’habitants. Le siège régional d’Istanbul gèrera les opérations de GSK dans 30 pays. « Le statut de puissance émergente de la Turquie et l’essor d’Istanbul en tant que pôle important de transport aérien ont incité l’entreprise à relocaliser son centre de gestion régional à Istanbul », a expliqué Abbas Huseyin, directeur de GSK pour l’Asie-Pacifique et les marchés émergents. « Turkish Airlines propose des vols directs vers nos marchés cibles depuis Istanbul, ce qui nous permet d’accéder facilement aux 30 pays de GSK dans le groupe Moyen-Orient et Afrique », a-t-il précisé. 50 multinationales, dont Coca-Cola, Pepsi, Microsoft et Unilever, ont installé leur siège régional à Istanbul, d’où elles gèrent leurs opérations en Europe de l’Est, en Asie centrale, au Moyen-Orient et en Afrique.

FROST & SULLIVAN : LA TURQUIE, CLE DE LA CROISSANCE MONDIALE EN 2012

27.12.2011

Stratégie



Zaman – La Turquie va jouer un rôle clé pour la croissance mondiale de l’année à venir, pronostique Philipp Reuter, directeur de la branche turque du cabinet de recherche et de conseil Frost & Sullivan. Les sociétés turques devraient conclure des accords de partenariats extrêmement favorables, a déclaré M. Reuter dans un rapport de prévision sur les performances économiques de la Turquie en 2012. « La Turquie a enregistré d’excellents résultats dans divers secteurs, notamment l’automobile, la défense et les énergies renouvelables, malgré la volatilité financière observée sur l’année 2011 », peut-on lire dans l'analyse de M. Reuter. Le secteur automobile a bâti de solides fondations sectorielles en 2011 et la demande devrait être importante du côté des fournisseurs en 2012. Le secteur turc des énergies renouvelables a franchi une étape essentielle en 2011 et pourrait devenir un moteur important de la croissance en 2012, tandis que les programmes turcs concernant la défense ont également suscité un intérêt accru de la part des investisseurs étrangers. La réémergence de l’industrie textile du pays a contribué à la croissance constante du secteur de la distribution, précise le rapport. Ces progrès pourraient inciter les professionnels turcs installés à l’étranger à revenir chez eux et à occuper des postes élevés dans les entreprises locales ; la structure salariale et le pouvoir d’achat de la Turquie pourraient ainsi atteindre ceux des pays développés. D’après le rapport, les compétences et l’expérience rapportées par les

professionnels rapatriés permettraient de contribuer à des projets d’urbanisation stratégiques.

LA TURQUIE PRODUIRA 20 000 MW D’ENERGIE EOLIENNE EN 2023

18.01.2012

Haberturk – La Turquie, qui dispose de nombreuses sources d’énergie renouvelable, prévoit d’utiliser ce potentiel pour satisfaire la demande croissante d’électricité de son économie en plein essor. L’énergie éolienne représentera d’ici 2023 une part considérable de la capacité installée de la Turquie, le pays prévoyant de produire 20 000 MW d’électricité d’origine éolienne, d’après le ministre turc de l’Énergie et des Ressources naturelles, Taner Yildiz. Lors d’une réunion entre des industriels et des organismes publics, organisée conjointement par son ministère et par l’Association turque de l’énergie éolienne (TUREB), M. Yildiz a affirmé que malgré son entrée relativement tardive dans le groupe des 86 pays producteurs d’énergie éolienne, la Turquie se plaçait aujourd’hui en 15e position grâce à des investissements à grande échelle dans ce secteur. « La loi sur les énergies renouvelables approuvée en 2005 a permis une expansion rapide du secteur. La Turquie dispose actuellement d’une capacité éolienne installée de 1 750 MW. Cette capacité atteindra 10 000 MW avec les licences déjà accordées ou sur le point de l’être », a indiqué le ministre. M. Yildiz a aussi mentionné les efforts mis en œuvre au niveau local pour développer et produire des turbines et des aérogénérateurs. Un projet d’une valeur de 50 millions de lire turques, dirigé par le Conseil de recherche scientifique et technique de Turquie(TUBĐTAK), vise à proposer une turbine éolienne de 2,5 MW d’ici 2014. Pour le centenaire de la République en 2023, le pays compte disposer d’une capacité éolienne installée de 20 000 MW.

STATKRAFT CONSTRUIT UNE CENTRALE HYDROELECTRIQUE EN TURQUIE

10.01.2012

Zaman – La société énergétique norvégienne Statkraft, connue pour ses projets en matière d’énergie renouvelable, a organisé lundi dernier une cérémonie de présentation de son investissement dans la centrale hydroélectrique de Kargi, actuellement en construction dans la province turque de Corum, sur la mer Noire. Cette centrale de 102 MW, dont la construction coûtera 250 millions d’euros, devrait être mise en service en 2013.

Energie



Le Premier ministre norvégien Jens Stoltenberg, le ministre turc de l’Énergie et des ressources naturelles Taner Yildiz et le PDG de Statkraft Svein Aaser ont participé à la cérémonie de présentation par liaison vidéo, les mauvaises conditions climatiques interdisant tout transport aérien entre Ankara et Corum. Une fois en service, la centrale électrique sur la rivière Kizilirmak produira 470 GW d’électricité, assez pour alimenter 150 000 foyers, et créera directement et indirectement 500 emplois. Statkraft est la première société européenne dans le secteur de l’énergie renouvelable et l’une des plus grandes du monde, a déclaré le PDG de Statkraft, Svein Aaser, à l’occasion de la cérémonie. « Nous travaillons dur pour devenir l’un des premiers producteurs d’énergie de Turquie, un pays qui progresse à grands pas dans l’exploitation de son vaste potentiel hydroélectrique », a remarqué M. Aaser, mettant l’accent sur la croissance constante du pays, conformément ses objectifs. « Nous nous intéressons en premier lieu aux projets hydroélectriques en Turquie, domaine dans lequel nous avons effectué des investissements de long terme, mais Statkraft a aussi de l’expérience dans l’énergie éolienne. Nous somme prêts à investir en Turquie dans le secteur de l’énergie éolienne si une opportunité se présente », a affirmé le PDG de Statkraft. Statkraft compte en Turquie une centrale hydroélectrique en service et deux en construction. La centrale hydroélectrique de Cakit à Adana, d’une capacité de 20 MW, a rejoint le réseau en juin 2010, tandis que la construction de la centrale hydroélectrique de Cetin dans la province de Siirt, au Sud-Ouest du pays, a débuté fin 2011. Au total, Statkraft a investi en Turquie 1,2 milliards de dollars US dans trois centrales hydroélectriques qui devraient générer près de 2 TWh par an. Le marché turc de l’énergie, l’un des plus dynamiques d’Europe sur le plan de la croissance, devrait attirer 20 milliards de dollars US d’investissement dans les ressources renouvelables dans les cinq prochaines années.

UNE SOCIETE CHINOISE S’INTERESSE A UN ACCORD DE CENTRALE NUCLEAIRE AVEC LA TURQUIE

25.01.2012

Sabah – La future deuxième centrale nucléaire de Turquie qui doit être construite à Sinop sur la mer Noire intéresse un autre

candidat : le groupe public chinois Guangdong Nuclear Power Holding Co., Ltd. (CGNPC). Cette société a officiellement exprimé

son intérêt pour le projet de 20 milliards de dollars US, qui deviendrait le plus gros investissement unique jamais réalisé en Turquie.

Acteur majeur de ce secteur dans son pays, le groupe CGNPC construit 17 centrales nucléaires dans le monde, pour une capacité

combinée de 40 000 MW. La société exploite également une centrale nucléaire en Chine, d’une capacité de 4000 MW.

La Turquie souhaitant un accord inter-état pour ses projets de centrale nucléaire, elle va directement négocier avec la Chine le

projet de 20 milliards de dollars US. La proposition chinoise de construire la deuxième centrale nucléaire de Turquie souligne la

confiance du groupe dans l’économie turque puisque la Turquie n’offre aucune garantie financière pour ce projet. La Turquie a

signé un accord de coopération avec la Russie pour la construction en 2010 de sa première centrale nucléaire à Akkuyu (Mersin),

sur la côte méditerranéenne.



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ISPAT January 2012 Newsletter N°33

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