Infos N° 21 - SIC Mag/SIC-21-RED.pdfUrbaines S.E.M. Mustafa Kamal Mad-bouly. Le Mémorandum...

I n f o sN° 21

Magaz ine T r imest r i e l de l a Soc ié té Immob i l i è re du Cameroun Janvier - Février - Mars 2015

Journée Internationale de la femme

En phase avec Beijing 95

Vœux 2015

Le MINHDU en « émergence »

Les cités SIC en mutation

Bonamoussadi en habits neufs

2 sommaire

Magazine trimestriel de la Société Immobilière du Cameroun

Avenue de l’Indépendance BP 387 YAOUNDE CAMEROUN

Tel. : (237) 222 23 01 59 Fax : (237) 222 22 51 19

Website : www.sic.cme-mail : [email protected]

Directeur de Publication

Gabriel BENGONO

Conseiller à la Rédaction

Faustin Clovis NOUNDJEU

Rédacteur-en-Chef

David Eliezer MVONDO

RédactionMartial NDOE ESSONO,

Ernest WOUAGNIA KAMDEM, Laure SOLLO TSALA,

Jean François ENGOLO,NANA TOULOU,

Bernadette NGAZOA, Jeanne ATEBA ENOBO

Mise en page et impression

SOPECAM

N° 21

EDITO

............................La volonté de mieux vous loger

........The desire to better meet your lodging needs

ACTU

......................................Vœux 2015 au MINHDU

...................Coopération aux pieds des pyramides

.................................................................FUN 1

...........RHF au XVème sommet de la Francophonie

.....Conseil d’Administration : Le Budget 2015 pourl’investissement

.....................................Concertation au sommet

..................La SIC en attraction à PROMOTE 2014

..........................Partenariats pour les projets SIC

........SIC 2025 : le plan stratégique en élaboration

.................Un code d’éthique pour la performance

.......Arbre de Noël 2014 : Les avancées pour 2015

......................Journée internationale de la femme

.....................De nouveaux responsables à la DFC

.............................Etetak déménage la Cité verte

............................................Lady Ponce à la SIC

....................................Elles reviennent d’Abidjan

DOSSIER

....................................Les cités SIC en mutation

......................................A la « Une » des médias

....................Les explications du Directeur général

TRIBUNE

............La plateforme d’actions de Beijing à la SIC

................................Les réseaux sociaux et nous

LE SAVIEZ – VOUS ?

................Les bonnes façons de bouger en interne

COIN CLIENT

....................Règlement d’habitation des cités SIC

CARNET

....................NDENGUE Edmond Marie nous quitte

...............................................Naissances/Décès

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3edito

Magazine Trimestriel de la Société Immobilière du Cameroun

L’amélioration du cadre de vie dans nosensembles immobiliers est une constante denotre action. C’est avec une détermination

sans faille que nous œuvrons, depuis de nom-breuses années, pour mobiliser les ressourcesnécessaires à la réhabilitation de notre patri-moine, dont certaines réalisations remontent àl’aube des indépendances.

Pourquoi maintenant ? Parce que le temps et lecontexte ont changé.

Les contraintes qui pèsent sur la SIC sont tou-jours aussi nombreuses mais, les lignes bougentet c’est tant mieux car, demain ne sera pluscomme hier.

La signature du Contrat-Plan entre l’Etat et la SICa matérialisé l’expression d’une volonté partagéesur le principe d’avancer ensemble. A la faveurde l’appui financier découlant de cet engage-ment, nos cités retrouvent progressivement descouleurs et leur éclat d’antan.

Le changement est là, il est visible sur lesfaçades des immeubles.

Mais, le plus innovant n’est pas seulement leravalement des façades car, les travaux concer-nent également d’autres fonctionnalités :

• la réfection de toutes les plomberiesendommagées ainsi que les colonnesmontantes défectueuses ;

• la rénovation de l’ensemble des menuise-ries et des gaines techniques des partiescommunes ;

• la réfection des garde-corps des cagesd’escaliers ;

• la remise en fonctionnement de l’éclairagepublic.

Cette campagne de réhabilitation est effective

dans les Cités de Mendong, Cité verte, résidencedes Manguiers et la Cité de Messa pour la ville deYaoundé. A Douala, le changement est déjà visi-ble à Makèpé et Bonamoussadi, en attendant letour imminent de Kotto.

Cependant la réussite de cette opération résidemoins dans l’ampleur et la qualité des travaux,que dans l’aptitude des usagers à préserver ceprécieux acquis.

Les Pouvoirs Publics et la SIC ont fait leur part detravail. A vous résidents des Cités SIC, de fairele vôtre. Notre disponibilité à vous accompagnerest acquise d’avance.

Nous ne cessons de le dire, la démarche parte-nariale est au cœur de nos aspirations.

Le partenariat est le seul moyen de relayer effi-cacement sur le terrain les actions entreprises.

Cette opération est une occasion idoine pourrenouer le fil du dialogue avec vous, partenairesautour du logement. Ce dialogue doit donc s’or-ganiser, se formaliser et s’intensifier dansl’intérêt bien compris de tous.

La campagne de réhabilitation en cours a com-mencé par Yaoundé et Douala.

A terme, cette opération concernera l’ensemblede nos cités sur l’étendue du territoire national.En effet, la volonté de préserver la qualité de lavie, dans le cadre d’un environnement sain, doitbénéficier à tous, sans discrimination.

Des études récentes n’ont-elles pas classé lesCités SIC dans la trame des constructionsmodernes ?

Les années passent, la SIC reste fidèle à sa mis-sion originelle, concrétiser, contre vents etmarées la volonté de mieux vous loger, en atten-dant la montée en puissance de l’offre.

Gabriel BENGONODIRECTEUR GENERAL

La volonté de mieux

vous loger

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Improving living conditions in our real estatecomplexes is a constant drive in ouractions. We have been working for many

years, with relentless determination, to mobi-lise the resources necessary for therehabilitation of our heritage, some achieve-ments of which date back to the dawn ofindependence.

Why now? Because time and circumstanceshave changed.

The constraints weighing on SIC are still nume-rous, but the times are changing and so muchthe better because the past is gone while thefuture lies ahead.

The signing of the Framework Contract bet-ween the government and SIC is a translationof the shared determination, in principle, toface future challenges together. Owing to thefinancial support resulting from this commit-ment, our towns and cities are gradually butsurely regaining their former splendour.

Change is here; it is visible on the facades ofour buildings.

But then, our most innovative endeavours goway beyond cleaning the facades of our buil-dings; ongoing works also cover other aspects,which include:

• Repairing all the damaged plumbingsystems and defective ascending pipes,

• Renovating all the woodwork and sharedtechnical ducts,

• Repairing the staircase railings, and

• Re-establishing public lighting.

This rehabilitation exercise is currently ongoingin the SIC Mendong, Cité Verte, Manguiers and

Messa apartment blocks in Yaounde. In Douala,the change is already visible in Makepe andBonamoussadi and the turn of SIC Kotto is inthe offing.

However, the success and sustainability of thisoperation lies less in the magnitude and qualityof the work accomplished, than in the ability ofthe users to preserve this valuable asset.

The government and SIC have done their partof the work; it is now up to you, the occupantsof SIC houses, to do yours. You can, of course,count on us to accompany you, always.

We can never say it enough: the partnershipapproach is at the heart of our aspirations.

Partnership is the only way to effectivelyconcretise the actions undertaken on theground.

This is an ideal opportunity for us to resumedialogue with you, our partners in the housingsector. Together, we must therefore organise,formalise and intensify this dialogue in the bestinterest of all.

The ongoing rehabilitation exercise has startedin Yaounde and Douala.

Ultimately, it will reach all the SIC housesnationwide. Indeed, the desire to preserve thequality of life, in a healthy environment, shouldbenefit all, without exception.

Have recent studies not classified SIC housesas modern buildings?

As the years go by, SIC remains true to its ori-ginal mission: to translate into concrete reality,against all odds, the desire to better meet yourlodging needs, while waiting for an increase insupply.

Gabriel BENGONOGENERAL MANAGER

The desire to better

meet your lodging needs

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Vœux 2015 au MINHDU

La cérémonie a débuté avecl’arrivée du Ministre et duSecrétaire d’Etat, accompa-gnés des Directeurs générauxde la SIC, du FEICOM, et desreprésentants des Délégués duGouvernement auprès desCommunautés urbaines deYaoundé et de Douala.Après l’exécution de l’hymnenational, le Secrétaire généraldu MINHDU, M. Amadou Sar-daouna a présenté le bilan desactivités du Ministère au coursde l’année 2014, essentielle-ment portées sur la poursuitede la construction et la com-mercialisation des logementsdu programme gouvernemen-tal à Olembé (Yaoundé) etMbanga Bakoko (Douala), ainsique le lancement des travauxde l’Autoroute Yaoundé-Nsima-len, et les aménagements desvoiries dans certaines villes,sans oublier l’appui et l’accom-pagnement des promoteursprivés dans le secteur de l’im-mobilier.Dans sa réponse, le Ministre ad’abord remercié le personnelpour les vœux présentés à lui-même et au Secrétaire d’Etatpar le Secrétaire général,avant d’inviter l’assistance àdonner une « standing ovation» aux éléments des forces dedéfense qui combattent sur lefront contre Boko Haram pourla protection de l’intégrité duterritoire national et la sécuritéde nos populations.Poursuivant son propos, leMinistre a rappelé que l’année

2015 se situait au terme de lapériode d’expérimentation dubudget programme 2013-2015, et à ce titre commandaitun surcroît d’effort pour l’exé-cution des programmesretenus sur cette période ;après avoir prescrit les qualitésque chaque personnel duMINHDU et des organismessous tutelle devrait intégrerdans l’exercice de ses fonc-tions, il a promis de tout

mettre en œuvre pour comblerles attentes du personnel quipeut déjà se réjouir d’avoirintégré le cadre moderne etrutilant de l’« Immeuble del’Emergence » qui abrite dés-ormais les services centrauxdu Ministère. Des médailles ontpar ailleurs été octroyées àcertains personnels au rangdesquel Madame ChendjouoFairouz, Conseiller TechniqueN°2 et Administrateur à la SIC.

Les vœux de la délégation SIC

Le SG MINHDU pendant son discours

L’esplanade arrière du complexe ministériel N°1, anciennement connu sous la sinistre dénomination «

immeuble de la mort », a servi de cadre à la traditionnelle cérémonie de présentation des vœux au Minis-

tre de l’Habitat et du Développement urbain (MINHDU), M. Jean Claude Mbwentchou, ainsi qu’à Mme

Marie Rose Dibong, Secrétaire d’Etat au MINHDU chargé de l’Habitat, le jeudi 22 janvier 2015, en pré-

sence des responsables et personnels de ce ministère, de la Société Immobilière du Cameroun et des

programmes placés sous la tutelle du MINHDU.

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Après des échanges avec son collègueégyptien sur le contenu du documentà signer et qui était traduit en fran-çais, en anglais et en arabe, ladélégation a été reçue en audiencepar le Premier Ministre Egyptien,S.E.M. Ibrahim Mahlab, en présencedu Ministre du Logement, des Ser-vices Publics et des CommunautésUrbaines S.E.M. Mustafa Kamal Mad-bouly.

Le Mémorandum d’Entente signé parles parties porte sur les points cités enson article 1er, à savoir :

• la recherche scientifique et tech-nique appliquée dans le domainede l’Habitat et du Développe-ment Urbain ;

• l’utilisation des nouvelles techno-logies ;

• la conception, construction,exploitation, gestion et entretiendes infrastructures et des loge-ments ;

• les échanges d’information etrapports techniques ;

• l’organisation de voyagesd’études ;

• la coopération entre les entre-prises camerounaises etégyptiennes.

En marge de la cérémonie, se sontgreffées d’autres activités, notam-ment des visites à caractère techniqueet des échanges culturels. C’est ainsique la délégation a été reçue à laGeneral Organization for PhysicalPlanning (Autorité générale de l’Amé-nagement du Territoire) établissementpublic, créé en 1973 et responsablede l’élaboration de la politique de pla-nification urbaine et du suivi de samise en œuvre cohérente tant auniveau national, régional que local quia récemment mené une réflexion surle développement de l’habitat dans cequi est appelé le « nouveau Caire »,intégrant tous les équipements collec-tifs et les services, en évitant lapollution engendrée par les industries.Elle a ensuite visité la station de trai-

tement d’eau potable d’Al-Oboursituée à 70 km de la ville du Caire, etconçue pour produire 600. 000 m3d’eau par jour, comprenant le captagede l’eau ; la station de traitement del’eau potable, les canalisations derefoulement et les points de pom-page, dont la station de traitement del’eau potable a été réalisée par l’en-treprise Arab Contractors, en ce quiconcerne le génie civil et par l’entre-prise Bamag Mena pour ce qui est dela partie électromécanique. Ces visitesse sont poursuivies par les opérationsd’aménagements urbains de « SheickZayed City » et du « 6 octobre »visant à observer deux exemplesd’aménagement foncier dans l’exten-sion de la ville du Caire, dans unezone située à 15 km au Nord du Caire,devant abriter une population de 500000 habitants. Enfin, le Départementdes Etudes de l’entreprise ArabContractors a permis de prendreconscience du potentiel et des outilsmodernes dont dispose cette unitédans l’appui à la réalisation des mis-sions d’études, de conception et decontrôle dévolus à l’entreprise fondéeen 1955 par Osman Ahmed Osman, etqui compte parmi les plus grandesentreprises de génie civil, bâtimentset travaux publics au Moyen-Orient eten Afrique.

Les échanges à caractère culturel ont

porté sur la visite du Bazar antique «Khan Al Khalili » et du site touristiquede Gizeh, sur la rive gauche du Nil, oùse dressent les grandes pyramides deChéops, Chéphren et Mykérinos ainsique le Sphinx, l’une des sept mer-veilles du monde selon les historiens.La visite du Musée national de la civi-lisation égyptienne (NMEC) a eu lieule jour où le Premier Ministre inaugu-rait l’aile orientale rénovée avec lesoutien financier de l’UNESCO et del’Union Européenne.

La mission a été dense et fructueusedans la mesure où l’Egypte (environ85 millions d’habitants, dont 24 mil-lions dans sa capitale le Caire), paysdu Proche Orient et d’Afrique, a entre-pris de relever le défi de l’améliorationdes conditions de vie de ses popula-tions, par le développement urbain etde l’habitat. La Coopération engagéepar les deux pays (Cameroun etEgypte) dans ces deux domaines,peut permettre à notre pays de dispo-ser des outils permettant uneplanification du développement urbainplus cohérente et porteuse de résul-tats concrets, et d’envisager unecollaboration dans le sens de laconception/réalisation de projets SICsous l’option du PartenariatPublic/Privé, selon des modalités àdéfinir d’accord parties.

Coopération aux pieds des pyramides

Le Ministre de l’Habitat et du Développement Urbain a conduit du 12 au 18 décembre 2014, au Caire en Répu-

blique Arabe d’Egypte, une mission officielle à laquelle prenait part le Directeur général de la SIC, à l’effet de

signer un Mémorandum d’Entente entre le MINHDU et le Ministère Egyptien du Logement, des Services Publics

et des Communautés Urbaines, en présence du Chargé d’Affaires de l’Ambassade du Cameroun au Caire.

Signature du Memorandum

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La participation de laSociété Immobilière duCameroun à ces assises acommencé dès la phasepréparatoire où de nom-breuses réunions ont ététenues pour une implica-tion effective, qui devaitse décliner par l’animationd’un stand dans le hallprincipal du Palais desCongrès, la présentation

d’un exposé en séanceplénière par le Directeurgénéral et la tenue d’unesession spéciale SIC-CAM-TEL.

Le stand SIC situé en têtede file de l’exposition pré-sentait les missions de lasociété, ses réalisations etses projets, sous forme dedépliants, plaquettes,affiches et reportage

vidéo sur écran plasma,accompagnés des explica-tions données par uneéquipe commerciale expé-rimentée. Dans la mêmeveine, l’exposé en plénièredu Directeur général sur «La production en massedes logements au Came-roun » a pu donner toutela mesure de l’expériencede la SIC dans cedomaine. La session spé-ciale SIC-CAMTEL a donnélieu à des échanges enri-chissants surl’aménagement des villesavec un accent particuliersur l’habitat et ses com-modités.

La rencontre a été aussimarquée par la densité etla diversité des communi-cations, qui ont permisaux participants de faire letour des questions liées et

de dresser une liste derecommandations, dontl’une porte sur la néces-sité d’un agenda urbain,pour remodeler le visagede nos villes.

Afin que ces recomman-dations ne restent paslettre morte, Jean ClaudeMbwentchou a attiré l’at-tention des participants,parmi lesquels on notaitun grand nombre demagistrats municipaux, deprofessionnels du secteuret autres acteurs de lasociété civile sur la néces-sité d’envisager « demanière réaliste » leurtransformation « en pland’actions pouvant être misen œuvre à court etmoyen terme, pour pas-ser effectivement desidées aux actes ».

FUN 1, contribution remarquée de la SIC

C’est sur un sentiment de satisfaction générale que se sont achevés les travaux du 1er Forum Urbain

National (FUN 1), organisés du 12 au 15 octobre 2014 au Palais des Congrès de Yaoundé, par le Minis-

tère de l’Habitat et du Développement Urbain, et placés sous le très haut patronage du Président de la

République. Prononçant le discours de clôture, le Ministre Jean Claude Mbwentchou, représentant du

Premier Ministre, Chef du Gouvernement, a affirmé sans ambages, que les objectifs ont été « atteints ».

Un sentiment renforcé par la présence de 706 participants, alors que seuls 300 étaient attendus à ce ren-

dez-vous dont le thème était : « Planification et maîtrise du développement Urbain : passer des idées

aux actes ».

Le PCA et le DG dans le stand de la SIC

Le DG SIC expose en pleinière

La session spécial SIC - CAMTEL

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Présent depuis 25 ans sur la scèneinternationale, le Réseau Habitatet Francophonie est le réseau desprofessionnels francophones del’habitat social et du développe-ment urbain. Le Réseau Habitat etFrancophonie a pour but de déve-lopper un réseau international decoopération entre organismesd’habitat social et organismeschargés de participer à la mise enœuvre des politiques d’aménage-ment urbain et de logementséconomiques à caractère social,dans la perspective de rendre pluseffectif l’exercice du droit au loge-ment pour tous.

Le Réseau, dont le Siège social estsitué à Paris, compte une cin-quantaine de membres dans unequinzaine de pays francophonesen Afrique, en Amérique et enEurope. Il permet à ses membresd’optimiser leurs pratiques etd’accroître leurs performancesgrâce aux échanges d’expé-riences. Le Réseau Habitat etFrancophonie joue également unrôle à l’échelle internationale devalorisation de l’habitat social etcontribue dans ce cadre auxréflexions mondiales sur le déve-loppement urbain. En effet, lasensibilisation des gouvernementset des instances internationalesapparaît capitale pour garantirl’accès au logement du plus grandnombre et ainsi répondre à cebesoin fondamental, condition dudéveloppement et de l’épanouis-sement de chacun. Dans cetteoptique, RHF a organisé un sémi-naire au Sénégal le 16 octobre2014, en préparation du XVèmesommet de la Francophonie.

Ce séminaire dont le thème était« La contribution des politiques dulogement et du développementurbain à l’exercice des droits desfemmes et des jeunes dans lemonde », avait pour objectif dedémontrer que l’accès à un loge-

ment décent, pour les femmes etles jeunes, est primordial pour lacohésion sociale, la paix et lasécurité.

Il était donc question pour RHF depréparer une déclaration relative àla problématique du logementdécent en faveur des femmes etdes jeunes qui étaient les ciblesdes travaux de la XVème Confé-rence des Chefs d’Etat et deGouvernement des pays ayant lefrançais en partage, prévue àDakar (Sénégal) les 29 et 30novembre 2014.

A l’issue de ce séminaire qui s’estdéroulé sous la conduite de Mon-sieur Mamadou Bocar SY, PrésidentRHF, la déclaration proposée parRHF a été introduite au paragraphe44 de la Déclaration finale de Dakardont la teneur suit :

«1 .Nous, Chefs d’État et de Gou-vernement des pays ayant lefrançais en partage, réunis les 29et 30 novembre 2014, à Dakar, àl’occasion du XVème Sommet dela Francophonie

44. Encourageons l’expressiond’une vision francophone dans laperspective de la Conférence desNations unies sur les établisse-ments humains (Habitat III) en2016, afin d’y promouvoir l’adop-

tion d’une stratégie intégrée deplanification et de construction àlong terme des villes et des éta-blissements humains. Nousengageons à renforcer la concer-tation aux niveaux national etlocal, à favoriser la mise en œuvrede plans intégrés de développe-ment urbain durable innovants quipermettent la résilience au chan-gement climatique et privilégientdes modèles alternatifs adaptésaux ressources locales. Appelonsà une meilleure prise en comptedu rôle des femmes et des jeunesdans les politiques urbaines etreconnaissons que l’accès à unlogement décent leur offre desconditions propices à la réussite eta un impact positif en matière desanté et d’éducation.

Soutenons la protection et la valo-risation du patrimoine cultureldans la perspective d’un aména-gement équilibré des espacesurbains, indissociable du dévelop-pement durable et créatif desvilles. Demandons à l’Associationinternationale des maires franco-phones (AIMF) de continuer àaccompagner les responsableslocaux dans la définition de leurpolitique urbaine ».

Ernest WOUAGNIA KAMDEM

Le Réseau Habitat Francophonie (RHF) au XVème Sommet de la Francophonie

Le pannel à l’ouverture

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Conseil d’Administration,

le budget 2015 pour l’investissement

Le Conseil en images

La 196ème session du Conseil d’Administration de la Société Immobilière du Cameroun (SIC)

s’est tenue le 11 décembre 2014 à Yaoundé dans la salle des Actes de la SIC, sous la présidence

de Monsieur Adji Abdoulaye Haman, Président dudit Conseil.

Monsieur Gabriel Bengono, Directeur Général, assisté de Monsieur Faustin Clovis Noundjeu,

Directeur Général Adjoint, rapportait les points inscrits à l’ordre du jour portant essentiellement

sur l’examen du plan d’actions et du projet de budget de l’exercice 2015.

Après avoir pris connaissance du rapport d’activités et de l’état d’exécution du budget de l’exer-

cice 2014 présentés par le Directeur Général, le Conseil d’Administration a examiné le plan

d’actions et le projet de budget de l’exercice 2015.

Au terme d’un débat franc, empreint de sérénité et de convivialité, le Conseil d’Administration

a adopté le plan d’actions de l’exercice 2015 et voté le budget y afférent qui s’équilibre en res-

sources et en emplois à la somme de 16 952 406 000 F CFA (seize milliards neuf cent cinquante

deux millions quatre cent six mille) F CFA, soit 6 080 000 000 F CFA en Fonctionnement et 10

872 406 000 F CFA en Investissement.

Le Conseil d’Administration a enfin félicité et encouragé la Direction Générale pour la qualité

et la clarté des documents présentés lors de cette session.

Fait à Yaoundé, le 11 décembre 2014

Le Président du Conseil d’Administration,

ADJI ABDOULAYE HAMAN

Le PCA Pendant les travaux

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Les Délégués du Personnels - C’est ainsique le Directeur général a reçu le 21 octobre2014, à la salle de conférence du siège, l’en-semble des Délégués du personnelsrésidents à Yaoundé, qui lui ont présenté lesattentes pressantes du personnel, à savoir lamise en application de la grille des salairesprévue par la Convention collective du Com-merce, l’automatisation des avancements dupersonnel et la remise des médailles d’hon-neur du travail au personnel. Au cours decette rencontre à laquelle assistait le DRHMGet le CSCDRP, le Directeur général a promisde consulter le MINTSS sur la grille de salaireà appliquer compte tenu de la diversité desmétiers à la SIC , et de tout mettre enœuvre pour la remise des médailles d’hon-neur du travail au personnel au courant del’exercice 2015. En ce qui concerne les avan-cements du personnel, ils continuerontd’être traités dans le cadre d’une commis-sion qui permet l’examen objectif desdossiers du personnel au cas par cas.

Le Personnel féminin - Les Femmes de laSociété Immobilière du Cameroun ont pré-senté leurs vœux de nouvel an 2015 à M.Gabriel Bengono, Directeur Général de laSIC et à M. Faustin Clovis Noundjeu, Direc-teur Général Adjoint, au cours d’unecérémonie sobre et empreinte de convivia-lité, le vendredi 6 Février 2015. Lareprésentante des femmes, Madame Miche-line Alinga, dans son intervention, aremercié la Direction générale pour lesnombreux efforts entrepris pour l’améliora-tion des conditions de vie des agents, etparticulièrement la confiance faites auxfemmes par leur présence à davantage depostes de responsabilité. En retour, le Direc-teur Général a appelé le personnel, lesfemmes en particulier, à encore plus d’ar-deur au travail, car c’est la compétence et lemérite qui sont primés.

Le Personnel retraité - Dans la mêmeveine, le Directeur général a accordé uneaudience aux membres du Club des retrai-tés de la Société Immobilière duCameroun (CRESIC), association régie parla Loi 90/053 du 19/12/1990, représentéspar le bureau conduit par la Présidente,Mme Odette Ndzana Zogo. A cette occa-sion, les retraités ont présentés les statutsde leur association et le récépissé dedéclaration délivré par la Préfecture duMfoundi. Au cours de cette audience, lesretraités ont réaffirmé leur attachement àla SIC et à ses activités, avant de présen-

ter leurs doléances. Il en ressort que lesmembres du CRESIC souhaitent êtreinformés des activités de la SIC, maiségalement participer aux activités sociales(deuils, JIF, Fête du travail, etc) auxquellesils souhaitent être invités, afin que le lienentre les anciennes et les nouvelles géné-rations du personnel soit entretenu aubénéfice de la culture SIC ; ils souhaitentégalement que leur progéniture intègreles effectifs de la SIC. Après leur avoir

remis des publications sur les activités dela SIC, le Directeur général a dit toute sonappréciation de cette initiative et a promisd’intégrer les retraités autant que possibledans les activités sociales de la société,tout en indiquant que le recrutement deleur progéniture ne sera possible qu’à tra-vers les profils retenus par le pland’organisation des effectifs en cours d’éla-boration dans le cadre du Contrat-planEtat-SIC.

Concertation au sommetDans le cadre de la concertation permanente avec les corps sociaux qui composent la société, le directeur général a

récemment reçu les délégués du personnel, les retraités et les femmes, pour une meilleure collaboration dans la

recherche de solutions aux problèmes qui se posent à chacun de ces groupes.

Les délégués du personel

Les femmes

Les retraités

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La 5ème édition du SalonInternational de l’Entre-prise, de la PME et duPartenariat, PROMOTE2014, s’est dérouléecomme les précédentes àl’esplanade du Palais desCongrès de Yaoundé du06 au 14 décembre 2014.La Société Immobilière duCameroun, partie pre-nante depuis les toutes1ère Journées CEMAC(ancêtre de PROMOTE),s’est donnée pour motd’ordre d’être toujoursprésente à ces rendezvous économiques lesplus importants en AfriqueCentrale. L’intérêt pour-suivi par sa participationà cette édition 2014, était

de repréciser la SIC danssa stature de N°1 de l’Im-mobilier au Camerounauprès des autoritéspubliques, des parte-naires, des investisseurset du grand public à tra-vers des visuels et desgadgets innovants, pourune vitrine attractive.

La SIC animait cetteannée un stand de 18m2,situé à l’entrée nord duPalais des Congres, dansla zone 2 qui regroupaitles entreprises en chargedu bâtiment et des tra-vaux publics (BTP), bienen face du stand de satutelle technique, le Minis-tère de l’Habitat et du

Développement Urbain(MINHDU).

A l’entrée de la zone 2 sedressait l’imposant visuelde 6x3m présentant laSIC avec comme refé-rence la résidence leDjoungolo. Ce visuel parson caractère innovanantest devenu la principaleattraction de la zone pourles visiteurs qui y pre-naient des photossouvenir. Ensuite sur ladroite, le stand propre-ment dit affichait undesign simple et soignéque beaucoup de visiteursont apprécié. Les hôtessesretenues pour l’événe-

ment ont assuré leur rôleavec professionnalisme ;accueillantes souriantes etdisponibles, elles don-naient des orientations etdes informations aux visi-teurs, sur les produits encours de commercialisa-tion et sur les projets,sous la supervision desencadreurs de la DCM,suivant un calendrierd’animation élaboré surune base consensuelle.Même le personnel d’ap-pui (chauffeur et agentsd’entretien) commis en

renfort remplissait sonrôle.

En se référant au registreouvert pour l’événement,près de 300 visiteurs,toute qualification profes-sionnelle et origine socialeconfondues, y compris leMinistre du Commerce, leDirecteur général de laBICEC et de nombreuxautres qui n’ont pas sou-haité s’identifier, sansoublier le Directeur géné-ral de la SIC et la plupartde ses proches collabora-teurs. la majorité desvisiteurs reçus sollicitaientdes logements soit envente, soit en location,

certains se plaignant del’entretien des logementsSIC et du manque delogements sociaux dispo-nibles pour les couchesde la population les plusdéfavorisées.

La SIC a définitivementquitté le site de PROMOTEle lundi 15 décembre aumatin en se donnant ren-dez-vous pour laprochaine édition qui setiendra dans deux ans etnon plus dans trois anscomme auparavant./.

La SIC en attraction à PROMOTE 2014

Le stand SIC

DG, DPP et DCM au stand SIC

L’équipe SIC devant le visuel avec le DG

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Shelter Afrique - Le Directeurgénéral de Shelter Afrique, orga-nisme panafricain basé à Nairobi(Kenya), M. James Mugerwa, quivisitait le Cameroun pour la premièrefois depuis sa nomination lors dudernier Conseil d’Administration tenuà Abidjan, a été reçu par le Directeurgénéral de la SIC qu’entourait sesproches collaborateurs. Au cours decette visite, notre hôte a réaffirmé lavolonté de son organisme de conti-nuer à financer les programmes de laSIC, après avoir rappelé la conduiteheureuse des deux précédentes opé-rations qui ont permis la productionde 192 logements à Yaoundé (160 àMfandena et 32 à l’Hippodrome). Il ad’ailleurs tenu à visiter l’immeuble«Résidence le Djoungolo» où il a puapprécier la qualité des travaux etfélicité la SIC pour le remboursementanticipé du prêt octroyé à cet effet.Le Directeur général de la SIC aquant à lui rassuré Shelter Afriqueque la SIC présentera dans les pro-chains mois, de nouveaux projetspour financement. Le Directeurgénéral de Shelter Afrique a égale-ment été reçu par le Ministre del’Habitat et du Développementurbain et par le Directeur général duCrédit Foncier du Cameroun.

Arab Contractors – Une équipetechnique de l’entreprise égyptienneArab Contractors a été reçue récem-ment à la SIC par le Directeurgénéral. Cette visite fait suite à lamission effectuée en Egypte (voirp.6) au cours de laquelle descontacts de haut niveau ont pu êtrenoués avec les principaux dirigeantsde cette entreprise spécialisée dansle génie civil et les travaux publics,en vue de partenariats pour laconstruction de logements au Came-roun. La séance de travail qui a suivi,a permis à la partie égyptienne deprésenter leurs propositions de colla-boration qui seront étudiée par lesarchitectes et ingénieurs de la SICavant que la collaboration se traduiseen projets concrets.

Partenariats pour les projets 2015

Dans le cadre de la recherche de partenaires pour la réalisation des projets SIC, le Directeur général a récemment

tenu des séances de travail avec des investisseurs intéressés.

Le DG de Shelter Afrique reçu à la SIC

Visite de la Résidence le Djoungolo

Séance de travail avec Arab Contractors

13actu


En rappel, la Direction Généralesouhaitant disposer d’un outilstratégique d’orientation, decadrage et de planification deses activités au cours des dixprochaines années, a commisune étude qui s’exécute sousforme d’une assistance tech-nique. L’objectif principal étaitde se doter d’un instrument depilotage de son action à moyenet à long terme, en cohérenceavec les directives du DSCE spé-cifiées dans la stratégie dusous-secteur urbain. La métho-dologie qui a guidé les travauxde l’atelier et même de toutel’étude était une approche parti-cipative, intégrant lerenforcement des capacités dupersonnel de la SIC par l’appro-priation des techniques deplanification.A la suite d’une vaste recherchedocumentaire et des interviewscomplétées par une enquêteauprès des clients, partenaireset responsables de la SIC, lesconsultants ont élaborés undiagnostic et formulé des choix

stratégiques au plan institution-nel, organisationnel, humain etsocio culturel. Les échanges ontainsi tourné autour de cecontenu afin d’enrichir et decompléter le rapport produit. Au final, une vision redéfinie,une formulation du plan SIC2025 validée, un plan d’actionsprioritaires mis en place. Toutceci dépendant évidemment deconditions, hypothèses et

risques qui ont été égalementdéfinies au cours des travaux.Apres cette phase de choix stra-tégiques, suivra une étaped’opérationnalisation avec laquantification des couts des pro-jets qui aboutira à la mise enplace d’un calendrier pratique etdes indicateurs de suivi pourl’évaluation.

NANA TOULOU

SIC 2025, le plan stratégique en élaboration

Du 24 au 25 février 2015 s’est tenu au Monastère des Bénédictins du Mont Fébé à Yaoundé un atelier

de validation du plan stratégique de la SIC, regroupant les principaux responsables de la SIC et l’équipe

de consultants chargée de conduire l’étude : CAMERCAP (Centre d’Analyse et de Recherche sur les poli-

tiques Economiques et sociales). Dans un cadre très convivial surplombant la capitale, où la nature

fusionne avec le spirituel, il était question de valider le draft du rapport produit au terme des travaux

effectués depuis quelques semaines par les consultants.

La Société Immobilière du Cameroun (SIC), organisation citoyenne qui adosse ses activités sur des valeurs posi-

tives, de nature à promouvoir la culture d’entreprise, s’est dotée depuis le 20 janvier 2015, d’un code d’éthique,

qui sans être exhaustif rassemble en 14 points, certains principes d’action, en rappel de bonnes pratiques devant

sous-tendre les actions au quotidien du personnel.

Pour la Direction Générale, le personnel devrait se rappeler que ses comportements empreints de probité, de

loyauté et de dignité au sein et en dehors de l’entreprise, rejaillissent sur la perception que l’opinion a de la

SIC. C’est pourquoi, elle exhorte l’ensemble du personnel à s’approprier ce Code d’Ethique et à le vulgariser

en le diffusant auprès des clientèles et des partenaires de la Société. (Voir Code d’Ethique en pages 31 et 32)

Un Code d’éthique pour la performance

Le Top Management conçoit l’avenir de la SIC

14 actu


Arbre de Noël 2014 en images

Accueil du DG La table d’honneur

On joue… On danse…

Le public captivé Les enfants recompensés

15actu


Arbre de Noël 2014 : des avancées pour 2015

Comme il est de coutume, la cérémonie de l'arbre de Noel s’est déroulée dans toutes les représentations de la SIC, à

Douala le 22 décembre 2014, et le lendemain à Yaoundé et dans les autres villes où le personnel SIC et leurs familles

résident. A ces occasions, le Directeur général a annoncé d’importantes mesures portant sur l’amélioration de la condi-

tion du personnel.

A Douala, la cour du Secteurd'exploitation de Makepe a servide cadre aux cérémonies prési-dées par le Directeur général,entouré du DRHMG, du DRD etdu Chef de service de la gestiondu personnel qui y assistait pourla première fois en cette qualité.Les animations des humoristeset la remise des cadeaux par lePère Noël ont encore permis auxenfants de fêter les attentions deleurs parents.A Yaoundé, la cour arrière de ladélégation de la Chambre deCommerce, de l'industrie, desMines et de l’Artisanat (CCMIA),mitoyenne du siège de la SIC aabrité la cérémonie. Fixée à 14h,les activités de cette journée deréjouissance ont débuté commeprévu, les enfants ont ayant étéinstallés une demi heure plustôt. Arrivé à 14h précises, LeDirecteur Général, accompagnédu Directeur général adjoint, aété accueilli par un bouquet defleurs remis par une vaillante fil-lette choisie parmi les enfants du

personnel.Au programme, pour le plaisirdes tout-petits, l’animation assu-rée par la compagnie « ThéâtreInternational l’Ardoise » dirigéepar Bosco le clown rythmait laremise des cadeaux par le PèreNoel, la prestation relevée d’ungroupe de danse sur un air à lamode a permis de décrisper lestimides qui se sont volontiersprêtés à un concours de danseet à des questionnaires dont lesvainqueurs ont été primés par leDirecteur Général. Dans son allocution de circons-tance, Monsieur GabrielBengono, a tout d’abord sou-haité un joyeux Noël auxenfants, avant de servir au per-sonnel SIC, parents des enfantsprésents, leurs cadeaux sousforme d'annonces des avancéesque la Direction générale entendmettre en œuvre en leur faveur.Ainsi, sous un tonnerre d'ap-plaudissements, le Directeurgénéral a annoncé la mise enapplication dès janvier 2015 de

la nouvelle grille de salaireapprouvée par la convention col-lective du secteur del'immobilier, la programmationde la cérémonie de remises demédailles d’honneur du travailaux employés méritant audeuxième semestre de l’année2015 , et la reconduction de l’As-surance maladie en faveur dupersonnel pour la deuxièmeannée consécutive, dans l’op-tique de garder la ressourcehumaine et leurs familles enbonne santé afin d’obtenir unmeilleur rendement.Les échos venus des différentesreprésentations de la SociétéImmobilière du Cameroun dansles capitales régionales tellesque Bertoua, Garoua et Marouaà l’image de celle de Yaoundé etde Douala, permettent de retenirque 441 enfants de moins de 10ans ont reçu des cadeaux offertspar la SIC selon un usage bienétabli à travers leurs parents, etpartout le personnel et lesfamilles ont pu partager desmoments de détente et deconvivialité, grâce à la magie deNoël, une tradition qui a traverséles clivages religieux et culturelpour devenir un cadre de retrou-vailles pour les parents etenfants de la grande famille SICautour du Directeur général etde ses collaborateurs.

Laure SOLLO TSALA

Le Père Noël, l’arbre et les cadeaux

16 actu


Journée Internationale de la Femme en images

Accueil du DG La prière de bénédiction

A nous la fête La représentante des femmes (assise)

Le Karaoké Les dames retraitées étaient invitées

17


actu

Belles, élégantes et majestueuses, les femmes de la Société Immobilière du Cameroun, ont marqué de leur empreinte

la 30ème édition de la Journée Internationale de la Femme ce 08 mars 2015. Elles ont dignement commémoré cet

évènement ponctué par un défilé au boulevard du 20 mai sous la présidence de Mme Marie Thérèse Abena Ondoa,

Ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille, Représentante personnelle de la première dame et un

repas dans un restaurant de la place à Yaoundé, tandis qu’à Douala le défilé s’est déroulé pour la première fois à

la nouvelle place des fêtes de la Besseke, avant le repas offert par les femmes au siège de la DRD.

Placée sous le thème « Mise enœuvre de la plate forme d’ac-tions de Beijing au Cameroun :Bilan et perspectives », la partieprotocolaire a effectivement com-mencé à 10h avec l’arrivée de lareprésentante personnelle de MmeChantal Biya au boulevard du 20mai. Les 12 points critiques adoptésau terme de la conférence mondialede Beijing en 1995, ainsi que leseffigies du chef de l’Etat et de sonépouse ouvrent la marche suivi desdames exerçant dans les ministèresde souveraineté, l’administrationgénérale et financière, l’enseigne-ment, la formation et la recherche,la communication , la culture, lajeunesse, le sport et les loisirs, lasanté, les dames des ambassadesetc..Vêtues de kaba taillés dans lepagne de la JIF 2015 et de foulardsbeige-bleu, ensembles gracieuse-ment offerts par la Directiongénérale, le passage des dames dela SIC a été accompagné par desapplaudissements nourris, car ladiscipline était de mise dans lesrangs, composé de trois carrés dedouze femmes chacun, précédé dequatre amazones portant fièrementle drapeau national, la pancarte etla banderole marquant l’évène-ment. La suite des festivités a été mar-quée par les retrouvailles autourd’un repas copieux offert pour lapremière fois dans un restaurant dela place, en présence du Directeurgénéral, du Directeur généraladjoint, de leurs proches collabora-teurs et des femmes retraitées de

la SIC. Avant l’ouverture du buffet,la Représentante du personnelféminin, Mme Micheline Alinga aremercié la Direction Générale de laSIC pour l’application et la mise enœuvre des recommandations deBeijing par la promotion desfemmes à des postes de responsa-bilité dont la grande première est lanomination d’une dame au poste deDirecteur des Programmes et Pro-jets, et a promis au nom desfemmes de porter plus haut leflambeau de la société par le res-pect du Code d’éthique, l’ardeur autravail, en sortant des cercles demédisances, de calomnie et dejalousie qui font germer la suspi-cion et déteignent sur le travail. En réponse, le Directeur Général,M. Gabriel Bengono a rappelé auxfemmes leur rôle primordial dans leredressement et le développementde la société qui connait des diffi-cultés financières depuis quelquesannées. Il a appelé les femmes àplus de conscience et de responsa-bilité qui devraient se manifesterpar l’assiduité, le sérieux, et l’abné-gation au travail, car c’est à ce prixque le nombre de femmes aux

postes de responsabilité va s’accroi-tre, sans oublier que la compétenceest déterminante dans la promotiondu personnel. A compétence égale,a-t-il dit, les femmes seront préfé-rées aux hommes ! Ceci étant, ilimporte que le personnel soit soudéautour du même objectif, celui duprogrès de l’entreprise, pour conti-nuer à remplir sa noble mission quiest celle de loger les familles à fai-bles revenus, et principalement lesfemmes et les jeunes qui consti-tuent les cibles prioritaires desNations Unies.La fête s’est poursuivie de fort bellemanière avec la découverte detalents insoupçonnés parmi lesdirigeants et le personnel, fémininou non ; danseurs (ses), chanteurs(ses) et « faroteurs ». La présenceremarquée des dames retraitées etdes collègues hommes a rajouté àl’ambiance dans une communionparfaite. Rendez vous est donc prispour le 08 mars 2016, pour un nou-veau bilan de la situation desfemmes de la SIC, une nouvellecélébration avec un rendementencore meilleur des femmes.

Laure SOLLO TSALA

Journée Internationale de la Femme, la SIC en phase avec Beijing 95

Sur le boulevard du 20 mai 1972

18


actu

Par décision du Directeur Général du 09 janvier

2015, Monsieur Mouaffo Nzogoum Patrice, titulaire

d’un Master en Comptabilité et Finances obtenu à

l’Université Catholique d’Afrique Centrale est nommé

Sous Directeur Comptable à la Direction Financière

et Comptable et de Monsieur Mbarga Etoundi Jean

Bertrand titulaire d’une Maîtrise en Sciences de Ges-

tion, nommé le 26 novembre 2014 au poste de Sous

Directeur Financier.

De nouveaux responsables à la DFC

Mouaffo Nzogoum Patrice

Mbarga Etoundi

Jean Bertrand

Les responsables des services centraux de la

SIC (Sous Directeurs, Chefs de services et as-

similés) ont récemment pris part, au Monastère

des Bénédictins du Mont Febé à Yaoundé, à un

séminaire sur le Rédaction administrative et

l’éthique. L’objectif du séminaire était de

contribuer à l’amélioration des aptitudes ré-

dactionnelles et administratives des partici-

pants à travers des techniques appropriées et

adaptées à des situations rédactionnelles pré-

cises. A l’issue de ce séminaire, les participants

ont pu se familiariser avec les caractères du

style administratif, identifier les types de lettres

et mieux les rédiger, mieux rédiger les comptes

rendus, les procès-verbaux, les rapports, rédi-

ger des notes (administrative et de service) et

étudier les dossiers. L’animation du séminaire

était assurée par l’enseignant Michel FON-

KOU

Le DG avec les séminariste et les formateurs

Rédaction Administrative et Ethique

Depuis le dimanche 15 mars 2015, le site qui

abritait les locaux du Secteur d’exploitation

est entièrement terrassé, en vue du démar-

rage effectif des travaux de construction d’un

immeuble de 15 appartements, « La Rési-

dence Etetak », du nom du village qui jouxte

l’ensemble immobilier aujourd’hui connu

sous le nom de Cité verte. Afin de libérer le

site les bureaux du secteur d’exploitation ont

déménagé, et se retrouvent provisoirement

recasés dans le logement F 58 où les loca-

taires se rendent désormais pour s’acquiter

de leurs loyers et soumettre leurs requêtes.Les bureaux du secteur Cité Verte

Etetak déménage la Cité Verte

19actu


Elles reviennent d’Abidjan

Du 21 novembre au 1er décembre 2014 à Abidjan en Côte d’Ivoire, Mesdames Ngazoa Bernadette, Rose Dada

épouse Sipowo et Gabrielle Ketchakeu épouse Yonkeu, ont participé au colloque organisé par la LIS (Ligue ivoi-

rienne des secrétaires), sur le thème « Le secrétariat d’hier à aujourd’hui dans la vie d’une nation ». Cette

rencontre a regroupé près de 700 secrétaires d’une dizaine de pays africains (Bénin, Burkina Faso, Cameroun,

Congo Brazzaville, Côte d’Ivoire, Guinée Conakry, Mali, Sénégal, Tchad et Togo). La délégation camerounaise

constituée de 27 membres était conduite par Mme Joséphine Nzengue, Présidente Nationale de l’Organisation des

secrétaires et assistants de direction du Cameroun (OSAD).

Placée sous le haut patronage deM. Mambe Beugré, Gouverneur duDistrict d’Abidjan, et présidée parMme Massandje Toure Litse, Di-recteur Général du Conseil duCafé-Cacao, la cérémonie d’ouver-ture a été ponctuée par les allocu-tions de Mmes Assale Catherine,Présidente du Comité d’Organisa-tion, Diarassouraba KeletiguiAgnès, Présidente de la Ligue Ivoi-rienne des Secrétaires, JoséphineNzengue, Représentante des délé-gations de la FASAAD, et Prési-dente OSAD Cameroun, lesinterventions du Comité scienti-fique, et les discours des repré-

Les Secrétaires de la SIC avec S.E. M. l’Ambassadeur du Cameroun en Côte d’Ivoire

Lady Ponce à la SIC

Dans le cadre du partenariat entre la SIC etles Ets NAR dont elle est la promotrice, l’ar-tiste Lady Ponce a été reçue par le Directeurgénéral le vendredi 27 Mars 2015 à soncabinet. L’audience faisait suite à la 2e édi-tion de la SEFEDI (Semaine de la femme endiamant), manifestation organisée par lesEts NAR du 1 er au 8 Mars 2015 dans lecadre de la Journée internationale de lafemme. L’entretien a porté essentiellementsur les échanges de services où la SIC pour-rait bénéficier de l’image de l’artiste pourla promotion de ses produits, en échanged’un soutien en faveur des œuvres socialesdes Ets NAR. Les deux parties se sont enga-gées à poursuivre des échanges en vue de laformalisation de ce partenariat. L’artiste aégalement profité de cette audience pourannoncer la désignation du Directeur géné-ral comme membre d’honneur del’association « Cœurs unis » qu’elle préside.

Accueil par le Directeur Général

20 actu


sentantes du Directeur Généraldu Conseil du Café-Cacao de Côted’Ivoire, Présidente du colloque, etde M. Beugre Mambe, Gouverneurdu District d’Abidjan, parrain ducolloque. Un déjeuner « Akwaba »(bienvenue), a clôturé cette par-tie.

Le colloque international sur lessciences secrétariales a prévu enplus des deux conférences, dix(10) modules d’échanges en vuedu renforcement des capacitésmanagériales des secrétaires pourrelever les nouveaux défis du se-crétariat. La première conférenceinaugurale donnée par DanielAnikpo, Président du ComitéScientifique, Consultant Forma-teur, a permis de dresser un étatde lieux de la fonction de secré-taire. L’on constate que jadis, lafonction principale détenue par lasecrétaire était celle de dactylo-graphier et de produire des docu-ments pour son patron avec samachine à écrire ; ses fonctionssecondaires étaient : la gestiondes appels téléphoniques, la ges-tion du calendrier et de l’Agendadu Patron, l’accueil des clients, ladocumentation, le classement etl’archivage etc. A ce jour ce rôleconnait une crise identitaire assezsignificative, avec l’avènement denouvelles technologies ; la secré-taire doit s’adapter ou disparaitre.

La deuxième conférence dont lethème est « Professionnels du se-crétariat, nouvelles missions, nou-velles identités, quellesconséquences sur le métier ? »animée par Dorothée BAZIN,Consultante-Formatrice (France)relève que les facteurs de change-ment et les compétences à déve-lopper, les innovations continuesdu monde du travail modifient enpermanence les métiers du secré-tariat. A cet effet, de nouvelles

compétences sont nécessairespour s’adapter et maintenir sonemployabilité.

Le séminaire proprement dit aporté sur le thème : « la pratiquedu secrétariat, management etstratégie d’amélioration de la per-formance », les échanges ontporté sur des points aussi variésque l’éthique et les principesdéontologiques, l’environnementde travail adéquat du profession-nel du secrétariat, la coordinationdes activités administratives desorganisations (atouts du secretprofessionnel, de la confidentialitéet de la discrétion pour la sécuritéet la protection du manager et del’organisation), la gestion du re-lationnel et de la communication,la mission de relation publique etle protocole, la gestion de l’infor-mation et la sécurité des donnéesliées aux technologies de l’infor-mation (utilisation des réseaux so-ciaux, cybercriminalité),secrétariat et leadership, la ges-tion électronique des données etdu courrier et l’art de la conver-sation. Les travaux ont été mar-qués par une ambiance empreintede fraternité et de convivialité.

En marge des travaux du Col-loque, s’est tenue une réunionstatutaire de la FASAAD, qui aadopté des résolutions concernantnotamment, l’adhésion à la FA-SAAD(une seule association parpays), l’harmonisation des taux departicipation des membres à 150000 F CFA, la désignation des pro-fessionnels du secrétariat (Secré-taire/Assistant de gestion a étéretenu), le choix du lieu de la pro-chaine rencontre de la FASAAD aporté sur le Cameroun qui fêteraégalement les 30 ans du mouve-ment des Secrétaires en 2015.

La cérémonie de clôture du 2eColloque International sur les

Sciences Secrétariales a eu lieu levendredi 28 novembre 2014 de9h30 à 13 h à l’Hôtel Belle Côtesous la présidence de la Représen-tante de Madame le Directeur Gé-néral du Conseil du Café-Cacao deCôte d’Ivoire, Présidente du col-loque. Cette cérémonie a été mar-quée par la remise desattestations après la lecture desmotions, résolutions et recom-mandations du Colloque. Les Pré-sidentes Fédérale et de la LIS sesont réjouies de la qualité des dé-bats, ont souhaité bon retour auxdélégations en les invitant à pré-server les acquis de la formationreçue pendant le Colloque. La re-présentante de la présidente duColloque, après avoir félicité lesparticipants, s’est félicité de cesassisses qui vont contribuer, sansnul doute, au développement de lacorporation de Secrétaires. Elle aréitéré l’engagement du Gouver-nement Ivoirien à contribuer àl’amélioration des conditions detravail des Secrétaires d’Afrique.Le 2e Colloque International surles Sciences Secrétariales a prisfin en beauté par un dîner-specta-cle qui a vu la participation du Di-recteur Général de l’ENA, desmembres du corps diplomatique.

L’Ambassadeur du Cameroun enCôte d’Ivoire, S.E. M. Alfred Nguinia reçu la délégation camerounaiseconduite par la Présidente natio-nale de l’OSAD-CAMEROUN. Acette occasion, il a apprécié laqualité des débats et a félicité lesSecrétaires pour le travail qu’ellesabattent au cours des journées detravail, avant d’encouragerl’OSAD-CAMEROUN à aller del’avant en leur promettant sonsoutien ferme.

NGAZOA BELINGA Bernadette Léa

21dossier


Les cités SIC en mutationLa SIC créateur d’espaces urbains au Cameroun depuis 1992, a toujours mis un point d’honneur sur la qualité

de vie des habitants de ses cités. A cet égard, la maintenance de son parc immobilier est une préoccupation

constante de ses dirigeants. Malheureusement, depuis la fin des années 80, la forte crise économique qui a secoué

le Cameroun tout entier, s’est fortement ressentie à la SIC par la baisse des loyers, ordonnée par les pouvoirs

publics, pour accompagner la chute des revenus des agents publics, générant à une importante perte des recettes

de la SIC. Les loyers SIC dont la moyenne actuelle se situe à 40.000 F CFA/mois, ne permettant plus l’entretien

du parc immobilier, le Gouvernement de la République a décidé d’apporter un appui à la SIC, à travers le Contrat

–Plan signé en 2013, par la réhabilitation des logements SIC, entre autres.

Cette opération qui a débuté au4e trimestre 2014 par les Citésde Mendong (Yaoundé) et Bona-moussadi (Douala) comprennentdes travaux de menuiseries(remplacement des portes, fenê-tres et placards) de plomberie(tuyauterie, colonnes montanteset évacuation des eaux usées) etde peintures (ravalement des fa-çades et des cages d’escaliersdes immeubles) afin de redon-ner à ces logements leur lustreinitial, et d’améliorer durable-ment le confort d’habitation desrésidents.

Parallèlement, les ressourcespropres de la SIC sont mises àcontribution dans l’ensemble descités pour la salubrité (désher-bage des abords des logements,enlèvement des épaves) et l’em-bellissement des cités (en ga-zonnage, en fleurissement desallées), complétant ainsi la nou-velle physionomie des ensem-bles résidentiels SIC.

Ce programme lancé à Yaoundé

et Douala est appelé à s’étendreprogressivement sur l’ensembledes localités où sont situés lesensembles SIC (Maroua, Ga-roua, Bertoua, Édéa, Buea,Limbe).

Les entreprises retenues à lasuite d’un appel d’offres ont 4mois pour livrer les travaux.Ainsi, pour la première phaseconcernant Mendong, Makepe et

Bonamoussadi qui a débuté enfin 2014, les réceptions sontprévues au mois d’avril 2015, etla seconde phase qui débute enMars 2015, pour la Cité verte,Résidence des Manguiers (Bas-tos), Grand Messa et Kotto seterminera au courant du mois deMai 2015. Le coût prévisionneldes travaux engagés est de 335101 683 F CFA pour ces deuxphases. Conformément à la rè-glementation en vigueur, desmaitres d’œuvre privés assurentla défense des intérêts de la SICau stade de l’exécution et de laréception des prestations desmarchés passés sous la supervi-sion de la commission internedes marchés de la SIC.

Afin de préserver le parc immo-bilier ainsi remis à neuf, les oc-cupants des logements sontinvités à plus de civisme et deresponsabilité dans l’usage qu’ilsfont des espaces et équipementscommuns.

Les logements et alentours relookés

Déploiement de moyens pour l’efficacité

22 dossier


A la « Une » des médias

A la faveur la campagne de réhabilitation et de ravalements des façades des logements SIC à Douala

et Yaoundé qui a débuté en octobre 2014, une campagne médiatique relayée par les principaux medias

nationaux s’est déployée, à l’effet de rendre compte de cette opération de remise en état des logements

que les résidents et le grand public n’avaient pas connu depuis plusieurs décennies.

Des professionnels de la communi-cation et les principaux media àaudience nationale ont été mis àcontribution, et un plan d’actions aété mis sur pied sur la période du04 février au 28 mai 2015, à l’effetde mettre en exergue les objectifsvisés par la campagne de réhabilita-tion des logements et présenter uneimage positive de la SIC qui, avecl’appui de l’Etat, déploie des effortspour mettre des logements décent àla disposition des populations. Ceplan d’actions se décline en troisphases, la conception des mes-sages, la réalisation despubli-reportages radio –TV, desflyers et des banderoles, et la diffu-sion sur les medias présélectionnés.

Fidèle à ce plan d’actions, les pre-mières actions ont consisté en lapose de banderoles au niveau desdifférents chantiers à Douala (Bona-moussadi, Makepe, Kotto) et àYaoundé (Mendong, Cité verte, Bas-tos), des flyers distribués auxlocataires, pendant qu’il était pro-cédé aux prises de vues et de son,pour la réalisation des publi-repor-tages radio et TV qui ont été diffusésur les antennes de la Crtv et deCanal 2 à des heures de forteaudience, notamment les différentsjournaux télévisés. Ces publi-repor-tages montraient les travaux encours à Yaoundé et à Douala, avecdes explications sur la consistancedes travaux, les délais et les coûts,données par les prestataires, tandisque les Directeurs régionaux et lesresponsables de la communicationrelevaient l’implication de l’Etat etprodiguaient des conseils aux loca-taires pour une pérennisation del’éclat redonné aux 92 immeublesconcernés par cette opération. Parla suite, la presse écrite a pris lerelais par des articles d’informationpubliés par Cameroon Tribune (Deskde Douala), Le Jour et L’Action qui

ont sillonné les différents chantierspour se rendre compte de l’effecti-vité du travail, et ont interrogé lesbénéficiaires sur leur sentiment.C’est par ces réactions qu’il est éta-bli que cette cure de jouvenceredonne le sourire aux habitantsdes différentes cités SIC.

Dans une réaction au journal ‘’L’Ac-tion’’ du 04 mars 2015, MmeMarguerite Mbia, accueille le projetavec beaucoup de satisfaction etsouligne que depuis deux décenniesqu’elle habite la cité de Mendong,les logements n’avaient jamais étéréhabilités « Depuis 24 ans, que jevis ici, c’est la première fois que laSIC fait un travail aussi impression-nant et c’est vraiment beau. Jesouhaite donc que ce soit un débutde solutions à tous les autres pro-blèmes que nous connaissons dansces maisons notamment les pro-blèmes liés aux sanitaires ». Dansles colonnes du quotidien ‘’Came-roon Tribune’’ du 18 février 2015,M. Valentin Menchou, locataire àBonamoussadi souligne « Je com-mence ma 18ème année à la SIC,

nous sommes contents d’avoir nosbâtiments rajeunis parce que avecles couleurs et tout, il fait bon vivredans ce milieu». Dans ces mêmecolonnes Mme Lydienne Monthe,locataire SIC depuis 11 ans se dittrès satisfaite et attendait ces tra-vaux depuis très longtemps, cartous les mois le gazon est désor-mais tondu « avant nous payions lesfrais d’entretien et ne voyions rien». Une autre locataire dit avoir éga-lement retrouvé le sourire et afièrement permis au reporter duquotidien Le Jour d’effectuer le tourdu propriétaire dans son apparte-ment, et le relate dans sa livraisondu 17 mars dernier. La campagneva se poursuivre par des insertionspublicitaires dans les principalespublications écrites (Cameroon tri-bune, L’Action, Le Jour, Mutations,Le Messager, The Spark et The Post)et sur le site web de la SIC(www.sic.cm), avant de retrouverles écrans de télévision à la fin de laseconde phase de la réhabilitationdes logements prévue en la fin dumois de Mai 2015.

Le Directeur Régional de Yaoundé face aux médias

23


dossier

SIC INFOS : Monsieur le DirecteurGénéral, l’on peut remarquer quecertains immeubles SIC reçoivent uncoup de peinture. De quoi s’agit-il ?

Gabriel BENGONO : Il s’agit d’une cam-pagne de réhabilitation du patrimoinedans les cités de Yaoundé (Mendong, Citéverte et Résidence Manguiers à Bastos) etDouala (Bonamoussadi, Makèpè, Kotto),visant à redonner à ces logements leuréclat initial, avec l’aide de l’Etat, à la suitede la signature d’un Contrat-Plan en 2013.La campagne s’effectue en deux phases ets’étendra progressivement sur l’ensembledes logements SIC. La qualité de vie deshabitants est une préoccupation constantede la SIC, mais les engagements n’ontpas pu être tenus en raison de la criseéconomique qui a frappé de plein fouet lesménages, entrainant la baisse drastiquedes salaires et des loyers ; et des difficul-tés de recouvrement ne permettant plusde faire face aux charges d’entretien selonles règles de l’art.

SI : Quelle est la consistance des tra-vaux en cours, les coûts et les délais ?

GB : Les travaux concernés par cettecampagne se déclinent en deux volets :premièrement des de travaux préalablesà l’intérieur des logements et dans lesespaces communs (cages d’escaliers,alentours des immeubles), consistant enréfection des menuiseries (remplace-ments des portes, fenêtres et placards),de plomberie (tuyauterie, colonnes mon-tantes et évacuation des eaux usées). Ensecond lieu, il est procédé au ravalementdes façades et des cages d’escalier desimmeubles (décapage, réduction des fis-sures et application des nouvellespeintures). Le coût prévisionnel des tra-vaux engagés est de 335 101 683 F CFA,et concerne 92 immeubles à Douala etYaoundé, pour les deux première phasesprogrammées en 2014 et 2015. Il importede préciser que conformément à la règle-mentation en vigueur, des maitresd’œuvre privés assurent la défense des

intérêts de la SIC au stade de l’exécutionet de la réception des prestations desmarchés.

Les entreprises retenues à la suite desappels d’offres ont 4 mois pour livrer lestravaux. Ainsi, pour la première phaseconcernant Mendong, Maképé et Bona-moussadi qui a débuté en décembre2014, la réception est prévue en mars2015, et la seconde phase qui débute enfévrier, pour la Cité Verte, Manguiers (Bas-tos) et Kotto se terminera durant le moisde Mai 2015.

Parallèlement, la salubrité est restauréepar le désherbage régulier des abords desimmeubles, l’enlèvement des épaves devéhicules sur les parkings et l’embellisse-ment général des cités parl’engazonnement des espaces verts etl’entretien des fleurs des allées pour les-quels la SIC met à contribution sesressources propres. Les occupants deslogements devraient eux aussi s’impliqueren respectant les clauses contenues dansleur contrat de bail et le règlement d’habi-tation qui leur est remis à leur entrée dansles logements.

SI : La maintenance des logementspourra-t-elle être soutenue durable-ment au vu des faibles loyerspratiqués par la SIC ?

GB : Le Contrat- Plan passé entre l’Etat et

la SIC est un ensemble d’engagementsréciproques qui visent la réhabilitation dela SIC en tant qu’agence d’exécution de lapolitique du logement définie par les pou-voirs publics. L’un des axes de ceContrat-Plan suggère l’harmonisation desloyers, afin de donner à la SIC les res-sources financières nécessairespermettant un entretien de qualité et larégulation des prix du marché immobilier.

La maintenance efficace des logements nepourrait être soutenue durablementqu’avec la mise en œuvre d’un train demesures qui ne sont pas du seul ressortde la SIC. Il s’agit d’optimiser les res-sources d’exploitation, notamment par lasuppression d’un certain nombre de pra-tiques qui favorisent les fraudes et lesdéperditions des loyers, notamment lasous location induite par la bonification de50% accordée aux fonctionnaires, la faci-litation des procédures de recouvrementet d’expulsion des locataires malhonnêtes.Enfin, un relèvement progressif des prixdes loyers, qui sont les plus bas du mar-ché, serait un levier fort pour permettreun entretien optimal durable du parcimmobilier. Il importe aussi de solliciter leconcours des occupants des logements àqui il est demandé plus de civisme et deresponsabilité, dans l’usage qu’ils font deséquipements et espaces communs.

Propos recueillis par Laure TSALA

Les explications du Directeur Général

Le DG explique

La SIC est régulièrement interpellée dans les médias et ailleurs, au sujet de la salubrité des cités et de leur embellis-

sement, confortant l’image selon laquelle les cités SIC ont toujours été des modèles d’espaces de vie modernes et de

qualité dans lesquels une frange majoritaire de la population s’est souvent projetée. Depuis le mois d’octobre 2014,

les habitants des cités de Mendong (Yaoundé), Bonamoussadi et Makèpè (Douala) reçoivent la visite d’équipes de

techniciens, et certains immeubles commencent à se recouvrir de peinture fraiche, à la satisfaction des occupants de

ces logements qui n’avaient pas eu droit à un tel déploiement depuis plusieurs années. SIC INFOS a rencontré le

Directeur Général de la SIC, M. Gabriel BENGONO, pour en savoir plus.

24


A la 4ème conférence mondialedes femmes à Beijing (Chine) en1995, 189 Etats membres del’ONU au rang desquels le Came-roun, ont adopté la plate formed’Action en se fixant 12 objectifsstratégiques. 20 ans après, lemoment est venu pour la Came-roun de dresser un bilan et de seprojeter vers l’avenir. D’où lechoix du thème de cette année :Mise en œuvre de la plateforme d’action de Beijing :bilan et perspectives. AuCameroun en général, l’applica-tion de cette plate forme connaitdes avancées palpables sur cer-tains axes comme lascolarisation de la jeune fille, laprise en charge des femmesdans le domaine de la santé,accès aux postes de responsabi-lité et partage du pouvoir… Pourle cas particulier de la SIC,qu’est ce qui est fait pour la miseen œuvre des recommandationsde Beijing en faveur de sesemployées ?

En prenant uniquement encompte les objectifs qui touchentla femme en tant que employée,à savoir : favoriser l’égal accèsdes femmes à l’éducation et à laformation, encourager le partagedu pouvoir et la prise de déci-sion, soutenir les mécanismesde promotion de la femme,assurer le respect des droits fon-damentaux des femmes, il y alieu de relever que la Directiongénérale, sensible à l’épanouis-sement de ses employées,consent des efforts afin d’assu-rer la mise en œuvre de cesobjectifs stratégiques.

C’est ainsi que:

1. Dans le cadre de la formationprofessionnelle, les dames

ont accès, aux différentes for-mations organisées à la S.I.C.

2. Le partage du pouvoir, bienque timidement perçu par lamajorité des dames, est toutde même une notion chère àla Direction générale. A titred’illustration, pour la pre-mière fois dans l’histoire del’entreprise, une femme estnommée à la tête de sa plusimportante direction, laDirection des Programme etProjets, et des services stra-tégiques tels le Service duCourrier et des Archives, dela Gestion du Personnel, leService des Assurances, leService des Affaires Géné-rales, le Service de laPublicité et des Actions Pro-motionnelles, le Service de laClientèle dans les servicescentraux et les ServicesAdministratifs et Financiersdes deux Directions régio-nales (Yaoundé et Douala)sont dirigés par des dames,sans oublier qu’une d’ellesest à la tête du Secteur Nordà Garoua, tandis que plu-sieurs autres sont des Chef

de Brigade de Recouvrementou de bureaux .

3. Les mécanismes de promo-tion de la femme sontsoutenus à travers la libertéde fonctionnement de l’asso-ciation des femmes, la SicWomen’s Club.

4. Les droits fondamentauxsont assurés au quotidien parle respect du congé dematernité et des heures detêtée.

Afin de confirmer son engage-ment envers les femmes, ladirection générale a mis à leurdisposition, comme chaqueannée, l’ensemble des moyensnécessaires à l’organisation de la30ème édition de la JIF, avec lesinnovations et le succès que lesobservateurs ont pu noter.

Ces quatre objectifs stratégiquesramenés dans le contexte de laSIC, démontrent à suffisanceque la mise en œuvre de la plateforme de Beijing est une réalitépalpable.

Jeanne ATEBA ENOBO

24 tribuNe

La plateforme d’action de Beijing à la SIC

Le 8 mars 2015 à Douala

25


tribuNe

« Logements à vendre à Nkolon-dom, Yaoundé 1er » Ce bout dephrase a été lu en mi-février sur lapage Facebook d’un responsablede la SIC. La phrase était accompa-gnée d’une magnifique photo decette cité. Signe des temps, modeou nécessité ? Les réseaux sociauxfont de plus en plus partie de notrevie, qu’elle soit privée ou profes-sionnelle. Qu’est-ce que c’est ?Sont-ils nécessaires pour les indivi-dus ou pour la société? Quelle estl’ampleur du phénomène ? Qu’enest-il à la SIC ?

Un réseau social c’est un ensemblede personnes regroupées à traversun lien dit social et s’échangeantdiverses informations à travers unespace notamment sur internet. Eneffet, les médias sociaux en général,Facebook en particulier a introduit denouveaux comportements dans leshabitudes des africains. Il s’agit d’unréseau qui permet aux Africains decommuniquer et échanger plus facile-ment entre eux. Les réseaux sociauxdeviennent de plus en plus populaireset occupent un nombre croissant depersonnes et d’entreprises. Tenez :

• Depuis le lancement officiel en2006 Facebook compte près d’unmilliard quatre cent millionsd’utilisateurs actifs ; YouTubeenviron un milliard ; Twitter etGoogle + environ cinq cent mil-lions chacun.

• Chaque jour dans Facebook, prèsde 4,5 milliards de « Likes » dis-tribués ; 4,5 milliards decontenus partagés et 10 milliardsde messages envoyés

• Environ 100 millions d’utilisa-teurs Facebook en Afrique dontun million au Cameroun.

Et la SIC alors dans tout ça. Unecinquantaine d’agents SIC inscrits etenviron une trentaine régulièrementactifs sur ces réseaux. Les respon-sables évidemment sont très peuintéressés (deux ou trois directeurs

seulement), une page de la sociétépas active. Les autres réseaux sociauxrestent flous dans l’esprit des agentsSIC. Beaucoup de cadres ne connais-sent même pas l’existence des nomstwitter, LinkedIn et Instagram ils ontpeut être entendu parler de Facebookmais ne savent pas exactement ceque c’est. L’une des principales raisonest que les uns et les autres considè-rent que ces « gadgets » sont plusludiques qu’autre chose. « Vos his-toires de Facebook là c’est toujourspour chercher les blancs » avons-nousentendu d’une collègue.

Les réseaux sociaux sont évidem-ment ludiques, des milieux de jeuxet surtout des groupes de rencon-tres existent, mais pas que ça. Leschiffres que nous avons donnés plushaut montrent à suffisance combienon peut toucher des milliers de per-sonnes sans frais. Un formidableoutil de communication. L’une despages les plus visitées au monde estcelle d’une marque de boissongazeuse bien connue, ce qui n’estpas du tout un hasard. Le seul outilau monde où on peut adresser desmillions de personnes en quelquessecondes et facilement. On peut yretrouver des compétences, desopportunités. Un excellent outildidactique des milliers de cours enligne s’y trouvent quelque soit ledomaine.

Ils permettent aux entreprises d’avoirun contact direct avec leurs clients. Laplupart des entreprises ont leur propre

page Facebook ou compte Twitter oùils peuvent informer les clients desnouveaux produits ou des offres spé-ciales ainsi que de recevoir lescommentaires des clients. Lesréseaux sociaux offrent aux entre-prises une grande publicité, à monavis, ce type de publicité est l’avenir!

Ces réseaux ont malheureusementaussi des inconvénients. Il y existedes sites et pages très peu recom-mandables, il y a des risquesd’addiction et surtout le risque demettre en péril son image et partantcelle de la société. Un problèmeinquiétant avec les réseaux sociauxest la cybercriminalité et la cyberintimidation. Des utilisateurs tien-nent des propos offensants surd’autres utilisateurs. La prudences’impose ainsi couplée à une bonneinformation pour bien utiliser lesréseaux sociaux.

Notre société gagnera sûrementavec la mise en ligne prochaine desa page Facebook et compte twitterqui va communiquer sur ses offres,son actualité et ses activités. La SICcontinue dans sa marche vers lamodernité, ceci passe bien sûr parla définition d’une bonne politiqued’identité digitale.

C’est vrai, il y a des inconvénientsdans les réseaux sociaux, mais s’ilssont utilisés correctement et avecmodération, ils sont amusants ettrès utiles.

NANA TOULOU

Les réseaux sociaux et nous

26


le saviez-vous ?

Grimper dans la hiérarchie n’est plus laseule option pour faire carrière dans uneentreprise. La mobilité horizontale per-met elle aussi d’acquérir compétences etresponsabilités.C’est le modèle de carrière par excel-lence, celui qu’on nous a vendu quandnous étions plus jeunes : gravir un à unles échelons et accéder au statut de N++tant valorisé. Seulement voilà : à moinsd’avoir été identifié comme un hautpotentiel par son entreprise, dès qu’onatteint les 35-40 ans, le moteur de l’as-censeur a tendance à se gripper. «Tropde cadres se disent qu’ils vont êtrereconnus pour leurs compétences etattendent qu’on vienne les chercher,commente Marie-Catherine Beltran, ducabinet Transition Carrières. Or, ne nousleurrons pas, plus on monte, plus lapyramide se rétrécit.De surcroît, les entreprises attendent dessalariés qu’ils se prennent en main.»Autrement dit, si vous voulez grimperdans la hiérarchie, commencez par lefaire savoir à vos supérieurs et aux RH.Evident ? Oui, mais combien de salariésle font réellement ? Gardez aussi à l’es-prit que pour sortir du lot, bien faire sonjob est une condition nécessaire maispas suffisante : il faut le petit quelquechose en plus qui donnera envie à l’en-treprise de vous faire monter, vous,plutôt qu’un autre.

En faire plus. Ainsi la curiosité, est-elletrès valorisée. «Celui qui reste en veillesur son secteur et garde le goût d’ap-prendre par lui-même, en animant unblog, par exemple, me séduira d’em-blée», observe Fabien Rochette,directeur technique du groupe publici-taire Fullsix. La capacité à en faire un peuplus que demandé est également appré-ciée. «Se porter volontaire pour accueillirun stagiaire ou pour expliquer l’utilisationdes réseaux sociaux internes à ses col-lègues jouera aussi en votre faveur, carcela traduit des compétences relation-nelles et une ouverture auchangement», ajoute Mickaël Hoffmann-Hervé, directeur délégué aux RH dugroupe Randstad.Autres occasions à saisir, les projetstransverses, qui se multiplient dans lesentreprises. Idéal pour vous rendre plusvisible, y compris auprès d’autres mana-gers. «Nous concluons régulièrementavec des start-up des partenariats surlesquels nos ingénieurs peuvent, s’ils lesouhaitent, travailler parallèlement à leurjob, confie Fabien Rochette. L’un d’euxnous a bluffés : on le savait talentueux,mais il a surpris tout le monde en sedonnant à fond. Depuis, je le voiscomme un futur directeur technique.»

Voie horizontale. Ce qui sera décisifpour grimper, c’est la passion dont vousserez animé. «J’ai besoin de collabora-teurs qui aiment les froufrous, leshopping, qui soient prêts à passer deux

heures sur le choix d’une teinte de rose,témoigne Marie Schott, la DG d’Etam lin-gerie et prêt-à-porter. Je fonctionne aucoup de cœur : je peux prendre une col-laboratrice RH pour monter une équipemarketing si j’ai perçu cette motivationen elle.»Aujourd’hui, faire carrière ne passe doncplus par la seule voie hiérarchique. Criseet mutations technologiques obligent, lesentreprises sont de plus en plus ouvertesà la mobilité horizontale de leurs salariés(vers d’autres départements, voire d’au-tres filiales). «C’est le cas notammentdes sociétés dont l’activité se transformeet qui ne veulent pas recourir au recru-tement externe pour des questions decoût mais aussi de paix sociale»,confirme Claude Bodeau, associé chezKurt Salmon. Dans la banque, par exem-ple, les enjeux du big data modifientprofondément les métiers. «Les com-merciaux qui ont déjà fait de lastatistique ont tout intérêt à en informerles ressources humaines», poursuit-il.Autres secteurs où les opportunités sontnombreuses : l’énergie, où la montée enpuissance du renouvelable crée un appeld’air pour les ingénieurs maison, et lestransports. Avec l’internationalisationd’entreprises comme la RATP ou la SNCF,un cadre des fonctions support qui auradonné satisfaction pourra très bien sevoir confier la direction d’une filiale àl’étranger.Chez l’avionneur Airbus, où la majoritédes 6 000 mobilités annuelles est hori-zontale, un collaborateur qui maîtrise70% des compétences requises pour unposte – techniques mais aussi relation-nelles et personnelles – est un candidatlégitime. «On l’accompagne en le for-mant ou en le détachant sur des projetsponctuels», explique Kerrie-Ann Stein-Goujon, la responsable emploi d’Airbuset d’Airbus Group.Un objectif à la fois. Mais avant de bou-ger en interne, il s’agit de bien identifierses besoins. «Est-ce que le salarié veutchanger d’air, de collègues – on pourraalors lui proposer de partir dans une

autre filiale –, ou est-ce qu’il souhaiteplutôt acquérir de nouvelles compé-tences et donc changer de métier ?interroge Mickaël Hoffmann-Hervé. Ilfaut se poser la question en amont, carpoursuivre les deux objectifs à la fois estdifficile.» Pour aider ses collaborateurs deRanstad à se déterminer, il a conçu unoutil : une cible sur laquelle on positionnele métier du salarié, les fonctions qui luisont proches et celles qui sont plus éloi-gnées. Si le poste visé est proche, il peutchanger d’entité.S’il est trop éloigné, mieux vaut envisa-ger au début une mobilité en demeurantdans la même entité. Kerrie-Ann Stein-Goujon, d’Airbus, se montre moinscatégorique. Pour elle, les doubles mobi-lités – fonctionnelles et entre divisions –sont certes plus rares mais pas impossi-bles. «L’une de nos ingénieures,précédemment employée chez Astrium(satellites) sur un poste très technique,dirige aujourd’hui une équipe d’Airbus.»Reste qu’un changement de filiale s’ap-parente presque à un recrutementexterne. «Il faut signer un nouveaucontrat de travail, auquel peuvent êtreattachées une nouvelle convention col-lective, une autre grille de salaires»,avertit Claude Bodeau, de Kurt Salmon.Et s’adapter, aussi, à une autre culture

d’entreprise. Malgré tout, si elle est bienmenée, la mobilité horizontale est uneaubaine pour l’entreprise et le salarié.«Passer sur d’autres fonctions ou filialespermet de faire circuler les bonnes pra-tiques, poursuit MickaëlHoffmann-Hervé. Et c’est un excellenttremplin pour accéder à des fonctions auniveau du groupe.» Car la mobilité hori-zontale n’exclut aucunement la mobilitéverticale (lire l’encadré ci-contre). Unebonne nouvelle pour les jeunes généra-tions, qui montrent moinsd’enthousiasme pour les carrières mana-gériales pures et rêvent de menerplusieurs vies professionnelles en une.

(C) Laure CAILLOCEJournaliste, Chercheur au CNRS, in Capital

Les bonnes façons de bouger en interne

27coiN clieNt


Règlement d’habitation des immeubles des cites SIC

Dans l’intérêt de la sécurité, de l’hygiène et de la bonne tenue des immeubles, le locataire s’oblige dans

le cadre du contrat de bail qu’il a signé avec la SIC, à respecter les prescriptions suivantes :

1. Ne pas déverser les eauxusées, les restes de nourri-ture, les orduresménagères à travers lesfenêtres, les balcons ou lespipettes destinées à l’écou-lement des eaux pluvialesdes balcons et des buande-ries.

2. Ne pas déposer d’objetsencombrants dans lescages d’escalier, les gainestechniques, les balcons, lescours, couloirs et jardins etsur le bord des fenêtres.

3. Ne pas sécher le linge ail-leurs qu’aux endroitsréservés à cet usage :séchoirs dans les buande-ries ou à confectionnerdans les salles d’eau et évi-ter autant que faire se peutde l’étendre aux fenêtres,loggias ou balcons.

4. Ne pas utiliser d’appareilsbruyants, dangereux ouincommodes, ou détenirdes produits explosifs ouinflammables autres queceux destinés à un usagedomestique courant ouautorisés par les règle-ments de sécurité.

5. Veiller à transporter lesordures ménagèresjusqu’aux emplacementsréservés à cet effet et lesvider à l’intérieur les pou-belles collectives.

6. Ne pas casser ou fendre dubois, piler sur les dallageset terrasses ou se livrer àtoute autre activité domes-tique pouvant provoquer lanuisance des voisins.

7. Ne pas faire du feu de boisà l’intérieur de l’immeuble.

8. Veiller à ce que les enfantsne jouent que dans lesespaces réservés à cet effetet non dans les couloirs etcages d’escalier.

9. Ne posséder d’animauxdomestiques dans lesappartements que dans lamesure où leur présence neprovoque pas de réclama-tion de la part des voisins ;les animaux ne peuvent cir-culer à l’extérieur dulogement que s’ils sonttenus en laisse par leurpropriétaire.

10. Ne pas entreprendre desactivités pouvant souillerles peintures extérieuresde l’immeuble (collagedes affiches, etc…).

11. Ne pas pratiquer les cul-tures vivrières dans lesespaces verts.

12. N’utiliser les parkings quepour le stationnementtemporaire des véhiculesde tourisme en état demarche à l’exclusion descars, bus et camions.Pour les véhicules station-nés pendant plus d’unmois, la SIC se réserverale droit, après mise endemeure puis constatd’huissier, de faire procé-der à l’enlèvement duvéhicule pour dépôt dansune décharge publique, letout aux frais du proprié-taire dudit véhicule.

13. La responsabilité de laSIC ne pourra être

recherchée :

a) Pour les troubles dejouissance ou actes délic-tueux dont serait victimeun locataire de la partd’autres locataires ou detiers ;

b) Pour aucun acte, fauteou négligence commispar les représentants dela SIC lorsque ceux-cin’auront pas agi en cettequalité ;

c) Pour les accidents noncouverts par sa compa-gnie d’assurancesurvenus aux usagersdes terrains de jeux, lasurveillance des jeuxincombant aux parents etaux personnes aux-quelles ceux-ci auraientconfié leurs enfants ;

d) Pour les accidents résul-tant de l’obturation, parle locataire, des disposi-tifs d’aération conformesà la réglementation envigueur, placés dans lescuisines et les sallesd’eau.

14. Le locataire ne pourraréclamer aucune indem-nité de loyer poursurvenance de cas fortuitou de force majeure, noncouverts par la compa-gnie d’assurances de laSIC, notamment en casd’interruption dans lesservices de distribution del’eau et de l’électricité,quelles qu’en soient lescauses.

28 carNet


Edmond Marie Ndengué nous quitte !

La nouvelle du décès du Chef de service des Affaires Foncières de la SIC a déferlé comme un tsunami

aux premières heures de ce jeudi 9 octobre 2014, semant d’abord le doute, puis la consternation et enfin

l’effroi auprès du personnel, tellement M. Edmond Marie Ndengué semblait plein de vie et promis à un

avenir radieux, au regard des épreuves et de la souffrance qu’il avait connu, quelques années auparavant.

Retour sur le dénouement tragique d’un parcours convivial.

Titulaire d’un Diplôme d’IngénieurGéodésiste obtenu à l’Université deTachkent en Ouzbékistan (exURSS), après un cursus secondairesanctionné par un Bacc D, M. Nden-gué Edmond Marie est recruté à laSociété Immobilière du Camerounle 1er Mars 1995, et affecté à laDirection Technique (DT). Il vaoccuper les fonctions d’Adjoint auChef de Service de la Maintenancedans les Délégations Régionales deYaoundé et de Douala entre 1998 et2001, puis est nommé Chef de ser-vice de la Maintenance à laDélégation Régionale de Yaoundé le11 septembre 2001, jusqu’à ce fati-dique 22 Février 2006 où soncontrat de travail est suspendu, enmême temps que ceux de sesautres collègues interpellés dans lecadre de l’ Affaire MP et SIC contreBelinga et autres. A la suite delongues procédures au Tribunal deGrande Instance de Yaoundé et à laCour d’Appel du Centre, M. Nden-gué est enfin acquitté en mars2011, puis réintégré dans les effec-tifs de la SIC le 4 Août 2011,comme Ingénieur Géodésiste à laDirection de la Production (DP),avant d’être nommé Chef de Ser-vice des Affaires Foncières à la toutenouvelle Direction des Programmeset Projets (DPP), le 17 Juillet 2013.Rétabli dans ses droits, « Tabaritch», comme l’appelaient affectueuse-ment ses amis et proches, formaitde nouveaux projets pour lui-mêmeet sa famille (éducation de sesenfants, finitions de sa résidence duvillage et régularisation de sa situa-tion religieuse entre autres), ainsique pour une substance profession-nelle à son rôle d’Expert foncier à laSociété Immobilière du Cameroun,notamment par des formationscomplémentaires et l’acquisitiond’équipements de pointe.

La dernière fois qu’il a été aperçu ausiège de la SIC le mercredi 8 Octo-bre 2014 en fin de matinée, il étaitplein de vie et souriant comme àson habitude, rien ne laissant pré-sager que sa silhouette avenanteallait s’effacer de notre vuequelques heures seulement plustard. La nouvelle tombera d’abord àla Cité verte où il habitait, vers 2hdu matin, puis se répand commeune trainée de poudre auprès dupersonnel et de tous ceux qui l’ontconnu : Edmond Marie Ndengué estdécédé dans la nuit du 8 au 9 Octo-bre 2014, des suites d’un accidentde la circulation survenu sur la routeMbalmayo-Yaoundé ! Que d’interro-gations, de pleurs et de regrets,mais la grande faucheuse avaitfrappé là où on l’attendait le moins.Le nombre et la qualité des per-sonnes qui ont assisté auxdifférentes phases de ses obsèques,que ce soit lors des recueillementsdu soir à son domicile, ponctués parune messe du personnel SIC enprésence du Directeur Général lemardi 28 octobre, culminant avec laveillée du Jeudi 30. La mise en bièredu vendredi 31 octobre a été unmoment d’intense émotion pour lesenfants, les familles, les collègues et

proches qui découvraient le corpsinerte de celui qu’ils ne verront plusen vie. Le denier acte qui a eu pourdécor son village natal à Ekombapar Nanga Eboko, sous la prési-dence de S.E. Antoine Zanga, sonfrère, Ambassadeur du Camerounauprès du Saint Siège, a donné l’oc-casion de témoigner sur cette viequi nous quittait.Pour le Directeur Général de la SIC: « la ponctualité, la convivialité,l’assiduité, la disponibilité, le respectde la hiérarchie et l’amour du travailont marqué la vie de ce travailleurdévoué », qui avait reçu une pro-motion exceptionnelle le 22 juillet2014. Pour le top management dela SIC, « le vide que laisse la dispa-rition de notre cher collègueNdengué Edmond Marie, uniquedans son métier, sera d’autant plusdifficile à combler que c’était unecompétence rare, jalousement gar-dée ». Avec le Directeur GénéralAdjoint et les Directeurs, une fortedélégation du personnel SIC a fait ledéplacement d’Ekomba pour rendreun dernier hommage à leur col-lègue. Ad patres, Tabaritch !

David-E. MVONDO

Edmond Marie Ndengué

29carNet

DECES

• Monsieur NDJOMO AYISSI Christophe, Agentd’entretien SIC retraité, décès survenu le 30Août 2014 des suites de maladie.

• Monsieur KOUMETIO Marcous, père deMonsieur KUETE Anatole, Agent d’entretien àl’antenne d’exploitation de MBANDA – Edéa,décès survenu le 14 septembre 2014 àDSCHANG, des suites de maladie.

• Monsieur OLINGA EYAMO Grégoire Placide,caissier à l’Antenne d’Exploitation d’Angale-Ebolowa, décès survenu le 22 septembre 2014à Ebolowa des suites d’une courte maladie.

• Monsieur MAGRAVO Rémi, père de MadameDIWIYA Rosette veuve MOUSSA SAMBO,Caissière à l’Antenne d’exploitation SICMENDONG, décès survenu àDOUVANGAR/Maroua le 27 septembre 2014des suites de maladie.

• Monsieur NDENGUE Edmond Marie, Cadre,Chef de Service des Affaires Foncières à laDirection des Programmes et Projets, survenule 10 octobre 2014 des suites d’un accident decirculation.

• Madame YANZE née NOUKEPEP Suzanne,mère de Madame TCHIENGANG Rose épouseGARBA, Chef de Service Administratif et desAffaires Générales à la DRY, est décédée le 13novembre 2014 des suites de maladie.

• Madame ZEBAZE Sabine, mère de MonsieurDOGMO Paul I, Chauffeur du Directeur généraladjoint, décédée le 27 décembre 2014.

• Mademoiselle MAMA MEKONGO AudreyEugénie, fille de Monsieur MAMA Philémon,Agent de recouvrement au Secteurd’exploitation de Mendong, est décédée le 31

décembre 2014, des suites d’un accident de lavoie publique.

• Mademoiselle APOUH DOKO Line, fille deMonsieur DOKO Michel, Chauffeur à laDirection régionale de Douala, est décédée le09 février 2015 à l’hôpital de Log Baba(Douala), des suites de maladie.

Sincères condoléances aux familles éprouvées

NAISSANCE

• Mademoiselle Noémie Raphaëlla W. DJUITAMA'A, fille de Mme Annick Ruisselle NGOUDJO,Chef de Bureau DES Plans médias à la DirectionCommerciale et du Marketing, est née le 08Janvier 2015 à Yaoundé. félicitations

Jean François ENGOLO


Obsèqu

es

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corresPoNdaNce

Nos lecteurs écrivent

Des personnalités ont continué de nous livrer leurs impressions sur notre Magazine. Une selection vous

est proposée. Nous les en remercions sincèrement.

b.P. : 387 YAOUNDE CAMEROUN - tel. : (237) 222 23 01 59 - 222 22 92 84 - Fax : (237) 222 22 51 19

Website : www.sic.cm -e-mail : [email protected]

societe immobiliere du camerouNCameroon real estate CorporatIon



conscious of the fact that the future of the Cameroon Real Estate Corporation depends on trust that

the company inspires in its staff, customers, shareholders, public and private partners and the State,

convinced that the development of the Cameroon Real Estate Corporation can only be guaranteed by

fair and honest dealings with all stakeholders.

the staff of the Cameroon Real Estate Corporation hereby adopts a set of common values and policy

principles set forth in a code oF etHics and undertakes to:

• Scrupulously abide by this code of ethics, as well as other organic instruments (laws,

regulations, agreements, policies, strategies, procedures, etc.) applicable to the Cameroon Real

Estate Corporation;

• Espouse a culture of results and performance;

• Ensure the best return on investment for its shareholders;

• Defend the interests and promote the image of the Cameroon Real Estate Corporation everywhere

and under any circumstances;

• Work with professionalism, loyalty and in strict confidentiality;

• Avoid conflicts of interest and reject any present that could influence its objectivity;

• Desist from any action that may harm the interests of the Cameroon Real Estate Corporation;

• Exercise discipline, responsibility and integrity in the discharge of its duties;

• Deal with users and colleagues with dignity, fairness and without any discrimination whatsoever;

• Fight against corruption in all its forms;

• Ensure civility and mutual respect in interpersonal relationships with its customers and partners;

• Show proof of exemplary behaviour within and outside the company;

• give pride of place to professional competence in the management of human resources; and

• Contribute to environmental protection and sustainable development.

these policy principles are the foundation on which our corporate culture is built, the primary goal of

which is to provide decent and affordable housing to the greatest number of people and to contribute to

the emergence of our country’s economy while respecting human dignity.

code oF etHics

societe immobiliere du camerouNCameroon real estate CorporatIon



code d’etHiQue

conscient que l’avenir de la SIC repose sur la confiance que l’organisation inspire à son personnel,

à ses clients, à ses actionnaires, à ses partenaires publics ou privés et aux pouvoirs publics,

convaincu que le développement de la SIC ne sera assuré que par un comportement équitable

et honnête envers tous les acteurs.

le personnel de la SIC adopte un ensemble de valeurs communes et de principes d’actions

déclinés en code d’etHiQue, et s’engage à :

• respecter scrupuleusement le présent code d’ethique, ainsi que les autres textes (lois,

règlements, conventions, politiques, stratégies, procédures, etc…) applicables à la SIC ;

• intégrer une culture du résultat et de la performance ;

• assurer la meilleure rentabilité des investissements des actionnaires ;

• défendre les intérêts et promouvoir l’image de la SIC en tout lieu et en toute circonstance ;

• travailler avec professionnalisme, loyalisme et en toute confidentialité ;

• éviter tout conflit d’intérêt et refuser tout présent susceptible d’influencer son objectivité ;

• renoncer à toute action pouvant nuire aux intérêts de la SIC ;

• faire preuve de discipline, de responsabilité et de probité dans l’exercice de ses fonctions ;

• traiter les usagers et les collègues avec dignité, équité et sans discrimination aucune ;

• lutter contre la corruption sous toutes ses formes ;

• veiller à la courtoisie et le respect mutuel dans les relations inter-personnelles avec la

clientèle et les partenaires ;

• avoir un comportement exemplaire dans l’entreprise et à l’extérieur ;

• privilégier la compétence professionnelle dans la gestion des ressources humaines ;

• contribuer à la protection de l’environnement et au développement durable.

ces principes d’action sont le fondement de notre culture d’entreprise et ont pour objectif

principal la mise à la disposition des populations de logements décents et accessibles au plus

grand nombre, afin de contribuer à l’émergence de notre pays et au respect de la dignité humaine.

Infos N° 21 - SIC Mag/SIC-21-RED.pdfUrbaines S.E.M. Mustafa Kamal Mad-bouly. Le Mémorandum...

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