Hitler Lélu Du Dragon 1987 - Jean Robin

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newsoftomorrow.org http://newsoftomorrow.org/ufologie/ombre/jean-robin-hitler-lelu-du-dragon-1987-resume Walther Rathenau L’ouvrage de René Alleau Jean Robin – Hitler, l’élu du Dragon (1987) – Résumé (Par Jsf) P.11 : Assassinat de Walther Rathenau qui avant sa mort évoque « les Soixante-Douze » qui gouvernent le monde. P.13-17 : Présentation des approches que les historiens et ésotérismes ont du nazisme : quelque chose n’est pas rationnel dans le nazisme. P.18 : Universaux de Platon et courants de pensée inconscients collectifs qui peuvent influer sur les peuples. Manipulation de ces courants. P.19 : Le nazisme est une doctrine « pseudo-spiritualiste » et donc « antéchristique ». Guénon : d’abord du matérialisme pour enfermer la conscience, ensuite des courants néo-spiritualistes pour percer par le bas de la coquille et dissoudre. P.20: Hitler « avatar » partiel de l’archétype antéchristique. Il répond à un plan diabolique. P.21 : René Alleau : « Hitler et les Sociétés secrètes « , très bon livre. P.22 : Ceux qui ont fait ce plan remontent beaucoup plus avant 1945, dans l’histoire de l’Allemagne. Plan pangermaniste date de 1895. P.23 : La France restant passive, les pangermanistes remanièrent leur plan pour l’étendre : plan de 1911 : grand confédération germanique. P.24 : Ce plan est le fait des agents de l’Union pangermaniste. P.25 : L’Allemagne surfe sur le mythe du Madhi en communiquant au monde islamique. Hitler est le Madhi attendu (cf. John Buchan et Golden Dawn) Sebottendorf (société Thulé : contenant Hess, Rosenberg, Hitler), a été initié en Turquie chez les Bektashi (il parle de l’alchimie dans un opuscule). P.26 : Hitler honore Napoléon car en 1806 Napoléon contraint l’empereur d’Autriche François II a abandonner les titres du Saint- Empire, rendant un immense service aux Hollenzollern de Prussie. P.27 : Hitler utilise le mythe du Madhi/Roi endormi/Imam caché/empereur Frederic : « Fredericus Rex » tant attendu. P.28 : Saturne n’était qu’endormi dans les régions hyperboréennes. Sous Auguste, les prophéties annonçaient un roi venu du ciel, ou du soleil, et Horace, tout comme Virgile, espérait en la proche venue de l’Apollon hyperboréen, thème du Gog et Magog. Magag roi actuel de Shamballah. P.29 : Thème du prêtre Jean, associant pouvoir spirituel + temporel… son royaume fluctue en Inde, Asie centrale Mongolie, on ne sait pas trop. Le Saint-Empire est « mandaté » par le prêtre Jean. P.30 : Un « Fuhrer » est attendu parmi les masses, … K. Hesse écrit Feldherr Psychologos, prophétise un Messie allemand, un « directeur des âmes, le Maréchal Psychologos », « chacun l’acclamera, lui obéira ».

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Résumé

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Walther Rathenau

L’ouvrage de René Alleau

Jean Robin – Hitler, l’élu du Dragon (1987) – Résumé

(Par Jsf)

P.11 : Assassinat de Walther Rathenau qui avant sa mort évoque « lesSoixante-Douze » qui gouvernent le monde.

P.13-17 : Présentation des approches que les historiens et ésotérismesont du nazisme : quelque chose n’est pas rationnel dans le nazisme.

P.18 : Universaux de Platon et courants de pensée inconscients collectifsqui peuvent influer sur les peuples. Manipulation de ces courants.

P.19 : Le nazisme est une doctrine « pseudo-spiritualiste » et donc« antéchristique ». Guénon : d’abord du matérialisme pour enfermer laconscience, ensuite des courants néo-spiritualistes pour percer par le basde la coquille et dissoudre.

P.20: Hitler « avatar » partiel de l’archétype antéchristique. Il répond à unplan diabolique.

P.21 : René Alleau : « Hitler et les Sociétés secrètes« , très bon livre.

P.22 : Ceux qui ont fait ce plan remontent beaucoup plus avant 1945,dans l’histoire de l’Allemagne. Plan pangermaniste date de 1895.

P.23 : La France restant passive, les pangermanistes remanièrent leurplan pour l’étendre : plan de 1911 : grand confédération germanique.

P.24 : Ce plan est le fait des agents de l’Union pangermaniste.

P.25 : L’Allemagne surfe sur le mythe du Madhi en communiquant aumonde islamique. Hitler est le Madhi attendu (cf. John Buchan et GoldenDawn) Sebottendorf (société Thulé : contenant Hess, Rosenberg,Hitler), a été initié en Turquie chez les Bektashi (il parle de l’alchimiedans un opuscule).

P.26 : Hitler honore Napoléon car en 1806 Napoléon contraintl’empereur d’Autriche François II a abandonner les titres du Saint-Empire, rendant un immense service aux Hollenzollern de Prussie.

P.27 : Hitler utilise le mythe du Madhi/Roi endormi/Imamcaché/empereur Frederic : « Fredericus Rex » tant attendu.

P.28 : Saturne n’était qu’endormi dans les régions hyperboréennes.Sous Auguste, les prophéties annonçaient un roi venu du ciel, ou dusoleil, et Horace, tout comme Virgile, espérait en la proche venue del’Apollon hyperboréen, thème du Gog et Magog. Magag roi actuel de Shamballah.

P.29 : Thème du prêtre Jean, associant pouvoir spirituel + temporel… son royaume fluctue en Inde, Asie centrale,Mongolie, on ne sait pas trop. Le Saint-Empire est « mandaté » par le prêtre Jean.

P.30 : Un « Fuhrer » est attendu parmi les masses, … K. Hesse écrit Feldherr Psychologos, prophétise un Messieallemand, un « directeur des âmes, le Maréchal Psychologos », « chacun l’acclamera, lui obéira ».

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Blason de la Maison deHohenzollern

P.31 : Hess et Goebbels attendaient cette personne. Ils la décrivent trèsexactement cet autoritariste-Messie dans des documents.

P.32 : le 11 novembre la nuit, Hitler a un « miracle » dans sa chambre d’hôpital« des voix lui enjoignent de sauver l’Allemagne, et la vue lui est rendue . » Ilpromet alors « de devenir un politicien« . Cette même voix le sauve d’un accident,et parfois il est même en transe ou extase, « il a une mission spéciale« , à 17 ansen voyant l’opéra de Wagner. Encore une fois, lien très puissant entre Hitler etNapoléon. Hitler n’est pas le « meneur », il se « laisse diriger », c’est un rêveur.

P.33 : Charbonneau-Lassay dit que le mythe du Graal n’est pas mort, mais actif.Rôle politico-mystique Charbonneau-Lassay faisait partie de la « fraternité deschevaliers du divin paraclet » et aussi de « l’estoile internelle« . Chateaubriand enfaisait aussi partie : et il écrit sur Hitler : « il est plein et pur comme un tuyaud’orgue. L’une de ses caractéristiques est une immense bonté. Oui. Hitler est bon.Il est immensément bon. »

P.37 : Hitler – chevalerie noire – parodie de la Table ronde Himmler réunit ces chevaliers. C’est un occultiste etastrologue. Hitler fonde l’ordre des Burgs (Ordensburger). Quatre chateaux pour enseigner aux « élites ».

P.38 : Vision mystique de la féminité, transformation de la conscience par la kundalini. Le Roi du monde dort sousterre. Le Mahachohan, l’homme cosmique dort, l’empereur endormi comme dans un sépulcre. Synésius,patriarche néo-gnostique en 1908, rappelle le thème des trois ères, « il reste celle de l’Esprit » à accomplir pourle salut définitif : ce qui correspond à la Sophia / le féminin de la divinité, etc…. => messie féminin ? (Voir cettepage)

P.40 : Otto Rahn envoyé à Montsegur.

P.41 : Grand Monarque ou « roy perdu » : prophétie de saint Rémi au baptême de Clovis : destin de la France

« Ce mythe du Grand Monarque régnant sur une France « élargie » aux dimensions de l’ancien Empire romain, etdont on retrouve la trace jusque dans l’antique liturgie gallicane, fut accrédité, de siècle en siècle, par un nombrerespectable de saints. Or ce courant prophétique s’est « condensé » en deux hauts lieux géographiques : Stenay,dans les Ardennes, et Rennes-le-Château, au sud de Carcassonne. »

Jean Robin fait un résumé de l’ouvrage de Gérard de Sède sur les Mérovingiens (qui seraient à la base juifs).C’est pourquoi les nazis ont torturé Mgr Pierre Mangin, curé doyen et maire provisoire de Stenay. A Stenay, unepetite ville, s’établit Guillaume II, qui fit passer un interrogatoire à Mgr Mangin.

« Mais devant la résistance imprévue du prélat, « touchant à des points historiques capitaux », le Kromprinz« entre dans une rage soudaine et ordonne de maintenir le prisonnier dehors en plein soleil afin de le faire parler.Durant toute la journée, Mgr Mangin, privé de boisson, garde obstinément le silence. A bout de force, victimed’insolation, il rend le dernier soupir en cette soirée du 9 septembre 1914.«

Cf. Vazart : Dagobert II et le mystère de la cité royale de Stenay

P.43 : Obsession d’Hitler : construire un ORDRE DU SANG PUR.Swastika : Guillaume II en avait déjà fait son emblème personnel.

C’est l’emblème du Roi du Monde régnant sur l’Agharta, selon Saint Yves d’Alveydre (synarchie) – Symboledes Frères initiés de l’Asie – ordre rosicrucien du XVIIIe siècle – ordre né a Vienne. Heinrich von Ecker undEckoffen => Charles de Hesse – chateau de Gottorp. Selon G. van Rijnberk : Les frères initiés de l’Asievéhiculaient une doctrine bouddhique. (G. Van Rijnberk. Épisodes de la vie ésotérique, 1780-1824, extraits de lacorrespondance inédite de J. B. Willermoz, du prince Charles de Hesse-Cassel et de quelques-uns de leurscontemporains)

Jean-Pierre Giudicella souligne que l’ordre était dirigé par SOIXANTE-DOUZE frères.

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Saint Yves d’Alveydre

La Lance du Destin à Vienne

Vienne disputée par slaves et germains. Germainsl’emportent : les Habsbourgs sortent de là. Universalitéde la ville : devise des ducs d’Autriche composée devoyelles, AEIOU.

P.46: Note de Jean Robin :

« — Nous eûmes personnellement l’honneur, en 1976,d’exposer à l’Archiduc Otto de Habsbourg, l’actuel héritierdu Saint-Empire, la tradition mérovingienne du « sangsacré », à laquelle sa famille avait été anciennementmêlée. Il devait nous confier dans une lettre en date du25 février 1976, que cette histoire, qui l’avait beaucoupintéressé, « rentre bien dans le génie d’une partie de la France, où les choses mystérieuses ont toujoursjoué un rôle considérable ». Son frère cadet l’ArchiducRodolphe d’Autriche, avec qui nous fûmes égalementen correspondance, devait d’ailleurs se rendre à Rennes-le-Château ainsi qu’à l’évêché de Carcassonne. »

P.48 : Errance d’Hitler dans les bas fonds viennois, début du thème du complot juif.

P.49 : Walter Johannes Stein, conseiller de Churchill qui avait bien connu Hilter, parle d’un livre d’Eschenbachcouvert de notations d’Hitler qui démontre une grande connaissance des sciences secrètes – visionpangermaniste radicale. Graal = Troisième oeil.

Les notes comparent les personnages à des gens réels du (9ème?)siècle. Klingsor/Hitler était donc Landolf II de Capoue, qui avait étéinitié à la magie et à l’astrologie arabe en Egype – il s’était allié auxmahométans, ce qui sauva son chateau de Sicile

P.50 : Stein grâce à ce volume annoté retrouve Hitler. Il le décritdevant la Sainte Lance de la Hofburg, comme EN TRANSE.

« Fruit de nombreuses années d’études de l’histoire occulte dunazisme, menées sous l’égide du Dr Johannes Stein, La Lance dudestin est un projet romanesque bien singulier pour ne pas dire plusentrepris par Trevor Ravenscroft. Son titre renvoie à la Lance deLonginus, avec laquelle cet officier romain perça voici 2000 ans leflanc du Christ crucifié. Son propos est triple, puisqu’il s’agit d’établirla vérité historique de la sainte Lance, de définir l’étendue de sespouvoirs occultes, et de raconter comment Adolf Hitler, dès qu’il lavit dans un état de transe dans la salle du Trésor de la Hofburg deVienne, fit tout pour se l’approprier afin d’assurer la réussite de satentative de conquête mondiale.«

P.50 : Jung dit qu’Hitler avait l’air d’un robot contrôlé. Hitler avait unepuissance/aura que les personnes autour de lui ressentaient :possession ? Effet de ses discours et de ses intonation de voix surles auditoires.

P.51 : Jean Robin cite Otto de Habsbourg qui retourna d’un coup parsa magie tout un groupe de communistes déchaînés. Noyau dunational-socialisme : Drexler (serrurier), Eckart (poète ivrogne,assise spirituelle), Feder (économie), Roehm. Goering a eu des contacts avec le groupe Edelweiss, professantun occultisme des plus nébuleux Rudolf Hess a appartenu au cénacle théosophique des « Veilleurs » Himmlers’est pris pour la réincarnation d’Henri Ier l’Oiseleur

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Sebottendorf

Le Baron de Knigge

P.52: Guénon sur la théosophie :

« N’y aurait-il pas, derrière tous ces mouvements, quelque chosed’autrement redoutable, que leurs chefs ne connaissent peut-être pas,et dont ils ne sont pourtant à leur tour que les simples instruments ?«

Jean Robin retient uniquement ces personnages : Sebottendorf (Thulé),Haushofer (Société du Dragon Vert) <=> lien organique avec la GoldenDawn.

P.53 : A propos de Rosenberg : pathos… ridicule… Il voulait une églisenationale allemande (ce que ne voulait pas Hitler). Hitler critique Rosenberg.

P.55 : Jean Robin revient sur les Illuminés de Bavière pour casser le mythe: Weishaupt commença avec quatre étudiants, il se surnomma Spartacus etles étudiants Osiris, Odin, Tamerlan… Ce n’était pas du tout subversif.Initiation parfois en forêt. Un grade : minervaux, sagesse = chouette deMinerve. Problèmes d’organisation de l’Ordre, manque de connaissance deWeishaupt, peu de sérieux des dirigeants.

P.59 : Weishaupt se fait donc initier à la franc-maçonnerie pour voir ce qu’ilpouvait copier. Le Baron de Knigge est recruté, et fait un excellentrecruteur. Mais quand il voulut connaitre les hauts grades, Weishauptlui raconta qu’il avait tout inventé et qu’ils n’existaient pas. Knigge s’estensuite servi de l’Ordre en maintenant cette optique mystificatrice.L’Ordre voulait des changements lents des mœurs, pas une révolutionviolente.

P.61 : Knigge finit par se brouiller avec Weishaupt et démissionner.

P.62 : Il n’empêche que le complotisme anti-maçon anti-jésuite anti-pape était florissant, malgré la disparition totale de l’ordre en 1790.Weishaupt durant la fin de sa vie ne chercha qu’à « sauver sonhonneur », était doctrinaire pédant et autoritaire coupé des réalités del’existence.

P.63 : Jean Robin contre René Alleau quand il dit que l’ordre a étéréveillé en 1906 par Engel à Berlin. Pas de rapport avec les originesdu nazisme.

P.65 : Retour sur la piste de Thulé. Jean Robin évoque la méthodedivinatoire/arithmétique complexe pour obtenir des réponses à des questions, qu’un ermite à transmise à MarioFille en 1908 (à 50 km au sud de Florence). Menace de mort si divulgation. Mario Fille en parle à CesareAccomani, qui en 1918 selon l’oracle, aurait regagné l’Himalaya…

P.66 : Fernand Divoire organisa dans les bureaux de son journal en 1930 des séances avec cette méthode. Yassistèrent Jean Marquès-Rivière, Jeanne Canudo et Vivian Postel du Mas (auteurs du Pacte synarchiqued’Empire), Jean Dorsenne et René Guénon (qui se désolidarisa plus tard du groupe après avoir discerné lanature ténébreuse des influences derrière l’oracle). Mario Fille publia ensuite un livre sur cette méthode : AsiaMysteriosa. Guénon rédigea une préface mais la retira pour les raisons décrites.

« Comme l’avait affirmé le père Julien, l’Oracle de force astrale était une étrange méthode arithmétique censéemettre en rapport avec de non moins étranges « Petites Lumières », elles-mêmes liées aux « Trois Sages », quel’on ne manqua pas de rapprocher d’autres triades plus ou moins légendaires : les Trois Sages de l’Atlantide,les Trois Druides qui créèrent le Ciel et les Dieux, les Trois Vieillards qui recueillirent la parole de Brahma,les Trois Sages qui se prosternèrent devant le berceau de Krishna, et, bien sûr, les trois « chefs » del’Agarttha : le Brahâtmâ, le Mahâtmâ et le Mahânga. Vers 1925, l’Oracle commença à prédire la venue de «

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Savitri Dêvi Mukerji

Meyrink

Celui qui Attend » — un Occidental qui n’était autre que le chef suprême des » Polaires », ces derniers vivant« dans des cavernes aménagées en cryptes depuis des siècles ». Asia Mysteriosa reproduit la demande faiteà l’Oracle par un « savant ésotériste » qui n’est manifestement autre que Guénon, ainsi que les commentairesque lui inspira la réponse : « Dem. — Celui qui attend est-il le dernier Avatâra ou le futur Manu ? Rép. — Il nepeut être ni l’un ni l’autre. La petite Lumière Unam vous le fera peut-être pressentir… » Ce que Guénoncommentait ainsi : « Le dernier Avatâra est la manifestation du Verbe à la fin du Cycle ou Manvantara actuel,manifestation représentée sous la figure symbolique du Cheval Blanc dans les Purânas et dans l’Apocalypse. »

P.67 : Accomani et Fille créent la « Fraternité des Polaires« … de laquelle devra sortir un homme puissant. Ilsprennent des personnages liés au Pape ou à l’église gnostique mais ne trouvent pas de Grand Maitre l’ordresemble tomber en disgrâce.

P.68 : Jean Robin évoque Savitri Dêvi Mukerji, « lamissionnaire du paganisme aryen » qui part en Inde en1932 et reçoit une révélation sur les dieux Aryens. Ellevoue à culte à l’idéal aryen et étudie Bâl Gangâdhar Tilak,brahmane, érudit, mathématicien, qui conçoit une originepolaire des Aryens (Thulé).

« Parmi ces amis de Savitri Dêvi, le Pandit Rajwade, dePoona, considérait le Führer comme « le RoiChakravartin d’Europe » venu pour rétablir l’ordrevéritable, et il prédit toutes les victoires de l’Allemagne,les défaites, la trahison de certains généraux, la dernièrelutte et, finalement, l’écroulement et la mort du Führer.Tout ceci, estimait-il, était dans la logique des choses, carHitler était seulement « une incarnation » et non pas «l’Incarnation suprême »

P.70: Meyrink décrit comme source des causes profondes de laguerre « un homme d’une race inconnue », « il était très grand et trèsmince »

« Six pieds de haut (=2m), d’une minceur extraordinaire, imberbe,un visage aux reflets olivâtres, les yeux obliques etextraordinairement écartés. L’épiderme des lèvres et du visagecomme de la porcelaine ; les lèvres acérées, rouge vif, et sifortement serrées, en particulier aux commissures, comme dans unsourire implacable, qu’on aurait dit des lèvres peintes. Il avait sur latête un curieux bonnet rouge.«

Lien entre Himalaya et société Thulé donc. Société Thulé : fondée le17 aout 1918 par Rudolf von Sebottendorf (Adam Alfred RudolfGlaner). Fils d’un chauffeur de locomotive, né en Saxe, parti enAustralie, puis en Turquie, prend la nationalité turque en 1911.

« Le 7 mars 1918, le Munichois Anton Drexler, serrurier aux cheminsde fer (1884-1942), créa à Munich ce qu’il appelait un comité libredes travailleurs pour une paix juste, section munichoise du comitéantisémite des travailleurs pour une paix allemande qui existait àBrême depuis août 1916. Le 2 octobre 1918 eut lieu à Munich, salleWagner, la première manifestation publique de ce comité... En août 1918 avait été fondée l’association Thulé,groupement antisémite d’extrême droite, sur l’initiative du baron von Sebottendorf… Harrer avait été chargé parla Thulegesellschaft de se rendre à la réunion organisée le 2 octobre 1918 par Drexler. Le 5 janvier 1919, AntonDrexler et le chauffeur de locomotive Michael Coster, fondaient le parti ouvrier allemand (D.A.P.)… Drexler etHarrer, un ouvrier et un journaliste délégués par une organisation bourgeoise relativement petite mais puissante,

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La Bactriane vers 320 av. J.-C.

Khizr Khan

représentèrent les organisations d’extrême droite jusqu’à l’apparition de Hitler. A partir de la fin juillet 1921,il n’y eut plus au N.S.D.A.P, (tel était le nom du D.A.P, depuis le printemps 1920) qu’un chef à l’autorité dedictateur : Adolf Hitler. »

P.71 : Thulé était en principe le « cercle intérieur » du Germanenorden, l’Ordre des Germains. Sebottendorfquitte la Bavière en 1919, il n’a plus de rôle important, se limite à l’astrologie, et repart en Turquie. Il proclamepourtant (1933) « avoir semé ce que le Führer avait fait lever ». P.72:

« La clef de l’énigme réside dans le véritable message — fort éloigné des fumeuses rêveries néo-païennes— que Sebottendorf lui-même finit par délivrer publiquement dans Die Praxis der alten TiirkischenFreirnaurerei (Leipzig, 1924 ; trad, française) : « La pratique opérative de l’ancienne Franc-Maçonnerieturque », éd. du Baucens. Braine-le-Comte, 1974), Livre auquel le fondateur de Thulé accordait uneimportance quasi testamentaire, si l’on en juge par ce passage quelque peu déclamatoire »

Sebottendorf dit qu’il a rédigé ce texte sur l’ordre des chefs del’Ordre soufi des Bektashî. P.73 : il s’agissait de reconstituer unordre raciste religieux et militaire d’initiés rassemblés autour d’un‘‘Guide’’ divinisé. Cet ordre a été fondé par Hâjî Baqtâsh au14ème siècle (ou Hâjî Bektash). Hâjî Baqtâsh a été initié parAhmad Yasavî Balkhî, originaire de l’antique Bactriane.

Les Bektashî sont attachés aux Saiyids, descendants de la familledu prophète (turban vert, pierre autour du cou). Sebottendorfparle d’un ermite nommé Ben Chasi qui enseigna Mahomet BenChasi remit à Mahomet une tablette de métal recouverte de formules… Transmiseplus tard au 1er calife, Abû Bakr. « Origine de la filiation de la gnose de la franc-maçonnerie orientale »

Bektashî focalisés sur la science des lettres (29 lettres isolées dans les sourates duCoran)… raisons de ces lettres développées dans le livre de Sebottendorf :

Michel Vâlsan, grand spécialiste d’Ibn Arabî et traducteur des Ta’wîlâtulQur’ân d’Abdu-r-Razzâq al-Qâchâni (Études Traditionnelles n° 380, nov.-déc. 1963),affirme en effet que la science des lettres « connue extérieurement surtout par desapplications divinatoires dans l’ordre politique », s’accompagne selontoute vraisemblance d’une « technique opérative » étroitement liée à la venue duMahdi, à la fin des temps… Or. Sebottendorf décrit bel et bien une « techniqueopérative » basée sur la répétition de certaines syllabes durant des périodes déterminées par les lunaisons,et associée à des « passes » manuelles et à des signes évoquant les mudras hindous. Ceci dans le dessein de« capter les plus subtiles radiations de la force originelle afin de les intégrer au corps humain et d’en spiritualiserla matière par l’énergie universelle (…) Une fois parvenus à la fin de notre entraînement, nous sentons notrecorps terrestre nous devenir de plus en plus étranger. Nous croissons au-delà de lui ; Nous voyonsdistinctement qu’il est devenu poussière et cendres. C’est le point le plus bas qui puisse être atteint, celui où lesténèbres de la mort et leurs terreurs nous enveloppent. »

« Il se trouve justement que ce même Michel Vâlsan — diplomate roumain en exil — nous confia en 1971,lorsque nous l’allâmes visiter dans sa villa d’Antony, en banlieue parisienne, qu’Hitler n’était autre qu’unepréfiguration du Mahdi ! »

P.74 : Jean Robin cite l’explorateur Seabrook qui parle de Sept Tours qu’il croyaient « aussi mythiques que leroyaume souterrain des chinois« .

« Bâties sur des pics isolés, ces sept tours formaient une chaîne qui s’étendait à travers l’Asie, du nord de laMandchourie au Kurdistan, en passant par le Thibet et la Perse. Et dans chacune d’elles siégeait en permanenceun prêtre de Satan, qui, en projetant d’occultes vibrations, régissait l’action du mal dans le monde . »

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Michel Vâlsan

Goebbels

Cette histoire de vibrations projetées est mentionné dans le livre« Démasqué » de van Rijkenborgh.

Depuis 1934 avec Hitler, cette tour semble avoir une forte activité.Guénon commente Seabrook en disant que les Yezidis ne sont pasforcément satanistes mais qu’ils laissent passer des forces incontrôlées etignorées… rôle dans la contre-initiation.

« Celles-ci [les tours] semblent plutôt disposées suivant une sorte d’arcde cercle entourant l’Europe à une certaine distance : Une dans larégion du Niger, d’où l’on disait déjà, au temps de l’Égypte ancienne, quevenaient les sorciers les plus redoutables ; Une au Soudan, dans unerégion montagneuse habitée par une population «lycanthrope»d’environ 20 000 individus (je connais ici des témoins oculaires de lachose) ; Deux en Asie Mineure, l’une en Syrie et l’autre en Mésopotamie[à l’est de Mossoul en Irak] ; Puis une du côté du Turkestan (…) ; Il devraitdonc y en avoir encore deux plus au nord [pour que soit complété,comme nous le verrons, le symbole des «sept têtes du Dragon»] , versl’Oural ou la partie occidentale de la Sibérie, mais je dois dire que,jusqu’ici, je n’arrive pas à les situer exactement. »

P.75 : Robin pense que Sebottendorf a transmis ces techniques / pratiques au nazisme originel, il a « semé ».

P.76 : Karl Haushofer père de la géopolitique et membre de l’Ordre du Dragon Vert prophétise la montée de lapuissance arabe.

P.77 : Lien islam-nazisme : Himmler gardait un Coran sur son bureau. Si Mein Kampf était rédigé en versets, ilressemblerait aux sourates du Coran.

P.80: Contre le capitalisme et le communisme, Hitler avait rétabli une bonne économie en Allemagne. Il avait sortile pays d’une très grave crise – et inflation – en 1923.

P.81 : Goebbels : totalement charmé par Hitler,« mystique diabolique » – Hitler ouvre sur un « véritablechristianisme » selon lui.

P.82 : Hitler place la faute de la « corruption » del’enseignement de Jésus sur SAINT PAUL (le contrairedes Cathares donc qui pensaient que St Paul était leChrist).

P.83 : Lien avec l’Eglise / Vatican qui soutenait Hitler pourcela.

P.84 : l’institut de statistique Bucarest (selon Parvulesco)avait un père Michel Avramesco qui dirigeait des« recherches sur l’astrologie avancée et la cosmobiologieocculte« . <=> relation entre cet institut et les Jésuites etle Pape Pie XII.

P.85 : L’archevêque d’Albi dénonce en 1914 cespersonnalités qui utilisent la presse et la délation pourleur pouvoir occulte – la Sapinière. Ces attaques sontsurtout dirigées envers la France, l’église en France. LaSapinière permet d’ouvrir le champ au « Christ »allemand Hitler.

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Koutiepof

Hanussen

P.87 : mort du cardinal Ferrata et de Pie X.

P.89 : Jean Robin parle du livre de Teddy Legrand (qui a étéempoisonné) : LES SEPT TETES DU DRAGON VERT(1933). Dans le livre il est question d’une rencontre avec unmage tibétain en Allemagne à Berlin. Celui-ci avait fait desprédictions étonnantes aux nazis.

P.90: Le mage porte des gants verts presquephosphorescents, quand il parlait ses levres ne bougeaientpas, ses yeux non plus, pourtant il parlait clairement :

« Il nous restait à soutenir le rôle écrasant, formidable, dontnous venions de nous charger, sous le prétexte de négocierune entente entre la Grande Banque anglosaxonne — cetensemble d’intérêts complexes qu’on désigne d’un motsymbolique : la « City » — et ceux qui avaient animé ou biensupprimé, tour à tour, l’archiduc François-Ferdinand, lefameux staretz Raspoutine, le dernier tsar NicolasII, l’Israélite Rathenau, le patriarche œcuménique Basile III, le général Koutiépoff, le financier IvarKreuger... combien d’autres, de moindre importance . »

P.91 : Cela nous rappelle les « 72″ évoqués par Rathenau. Il sont cités par TeddyLegrand qui dit que les « Verts » sont 72

Nous sommes le premier, avons-nous la faiblesse de penser, à avoir révéléquelle réalité se dissimulait derrière ce vocable des « 72 » — le nombrelégendaire des compagnons du dieu Seth. Le fait que nous en ayonsdéveloppé, dans Seth, le dieu maudit, la justification métaphysique, ne nousempêchera pas, ici, de mettre en lumière l’aspect terrible et destructeur desmystères séthiens dans le domaine temporel. Et cette apparente contradictionn’étonnera que ceux qui ignorent ou négligent la théorie traditionnelle del’ambivalence des symboles. Il s’agira donc ici, en somme, de l’ombre de Seth, deson « double de ténèbres ».

P.92 : Le Mage Hanussen (Hermann Steinschneider) est présenté à Hitler parl’écrivain fantastique Hanns Einz Ewers (auteur de Mandragore).

Hanussen : on dit qu’il était descendant d’un maître du Hassidisme.C’est l’astrologue d’Hitler, il lui prédit le succès mais qu’il doit trouver unemandragore dans la cour d’un boucher de sa ville natale à la clarté de la pleinelune…

Ami de Helldorf, chef des sections d’assaut de la capitale allemande Hanussenfonde un « Palais de l’Occultisme« , et à l’inauguration devant Helldorf etc,Prophétise dans un état second l’incendie du Reichstag le 7 avril 1933, il estassassiné

P.94 : Selon « La dernière perfidie de la race perfide : Hitler instrument d’Israël »trouvé par Evola, les véritables « Sages de Sion » se servent de l’antisémite Hitlerpour déclencher le sionisme

P.93 : autre personnage plus inquiétant et puissant qu’Hanussen : le hongrois TREBITSCH-LINCOLN.Il est juif comme (probablement) Hanussen.Aagent de la contre-initiation selon Guénon « l’un des 72″ selon Robin.C’est Trebitsch qui suggère d’envahir les pays de l’Est et la Russie initié au Tibet en 1930, devient « le vénérable

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Ignatius Timothy Trebitsch-Lincoln

Braunau-sur-Inn en Bavière

Chao King ».Il annonce une nouvelle ère en Chine : il joue un rôle dans laformation du Mandchoukouo au Japon et la guerre sino-japonaise.Il conseillait une alliance Chine-Japon pour lutter contre Angleterre.

En 1939, il prophétise en ces termes, dans une brochure rédigée enfrançais, en allemand et en anglais :

« Le Roi du Monde, qui vit au Tibet, déclenchera contre vous,sans préjugé, prédilection ou faveur quelconque, des forces etdes puissances dont l’existence même vous est inconnue etcontre lesquelles vous serez sans recours… Les chefs d’État nesont que des êtres humains, donc sujets à toutes les imperfections dela nature. Seuls les maîtres suprêmes bouddhistes, par leurconnaissance infinie et illimitée des secrets de la nature, par leuraptitude à utiliser certains pouvoirs, échappent à ces limitations etpeuvent décider du sort de la terre… »

Jean Robin : « On ne s’en intéressera que plus au séjour que fitTrebitsch en 1929 à la célèbre « Villa Bleue » de Nice, rendez-vousde tous les occultistes et pêcheurs de lune de France et d’Europe,accueillis par une richissime Suédoise, la comtesse P… On y retrouvait de « grands adeptes » qui ne vivaient passeulement aux crochets de son compte en banque, s’il est permis de s’exprimer ainsi, mais qui émargeaientégalement aux fonds secrets de dix pays, les servant ou les trahissant, tour à tour, suivant leurs lubies ou leurintérêt immédiat. »

P.96 : Robin cite un ami qui a rencontré Trebitsch. Il dit qu’il peut faire changer d’avis n’importe qui en le regardant(comme Hitler ?).Trebitsch s’appelait Dordji-Den (initié à Séra près de Lhassa).

Hitler est né à Braunau-sur-Inn en Bavière, ville desmédiums, voyants et occultistes – coin très étrange deBavière autrichienne !! « Braunau serait un catalyseur deforces psycho-telluriques« .

La médium Mme Stokhammes est également née là.Le baron Schrenk-Nozing des années 1890-1910recrutait ses sujets psi à Braunau.Le plus talentueux était Willy Schneider : il avait la mêmenourrice qu’Hitler !!

P.97 : Hitler était masochiste, il payait des prostituéespour être fouetté : c’est l’anti-chevalier.Il a écrit un poème a 16 ans avec des idées masochistes !!Il assiste plus tard à des matchs de boxe féminine.

« Les Gy-ei [les femmes du royaume souterrain] sont supérieures aux Ana [les hommes] en force physique (…),Par-dessus tout, les Gy-ei ont un pouvoir plus prompt et plus énergique sur ce fluide ou agent mystérieux[le vril] qui contient un si puissant élément de destruction (…). »

(Comme le rapporta le docteur Willy Ley, spécialiste des fusées, après sa fuite en 1933, Haushofer appartint, àBerlin, à une « Société du Vril » dont l’idée était née très précisément du roman de Bulwer-Lytton.)

P.98 : La femme en rougeJean Robin dit que la « Femme écarlate » de l’apocalypse qui réveillera le « roi qui dort ».Elle est censée dominer ce roi dans le cycle à venir, elle « domine la Bête de la Terre » = la femme en rouge est

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Ernst von Salomon

la bête à sept têtes.L’Antéchrist lui est subordonné.Elle est assimilée à Ishtar / Esther // « dame au lotus » => déesse Kouan-Yn de Chine.

P.101 : Irma Straub, la compagne de Rathenau, parle des 72 : point capital.C’était un agent secret qui était devenu maîtrisse de Rathenau sur ordre du Kaiser, mais qui s’est mise à l’aimer.Rathenau était dirigeant d’un des plus grands trists allemands – la Société Générale d’Electricité.Rathenau qui avait découvert les causes secrètes du malaise mondial voulait redresser et reconstruire l’Europe.

« Il avait pris la direction du très petit groupe clairvoyant qui s’opposait à l’action des 72, ou des Verts,ainsi qu’il n’hésitait pas à les nommer, en particulier, dans son discours de Washington du 4 mars 1919, etdans son livre : Ecoute Israël.«

P.102 : Un des assassins de Rathenau, Ernst vonSalomon, était fasciné par un de ses livres, « Des chosesfutures » 1917.

Seth selon Guénon, ne signifie pas destruction, maisstabilité et restauration de l’ordre.Seth est comme Caïn vis à vis d’Abel.

Les 72 compagnons du Seth égyptien — que les Grecsappelèrent Typhon — sont les héros éponymes de cettelignée que Guénon désigna comme la Contre-Initiation, etdont nous avons déjà évoqué certains moyens d’action.Fruit de la perversion de la civilisation atlantéenne (cetteAtlantide où selon Rauschning « tout Allemand a un pied») qui avait elle-même contaminé l’Égypte, l’origine de laContre-Initiation est décrite symboliquement dans laBible par l’union des « fils de Dieu » — représentantsd’une lignée spirituelle déviée — et des « filles deshommes », Et selon la Genèse, les crimes des géantsnés de cette union — qui s’accompagna, à en croirele Livre d’Hénoch, de la divulgation illégitime decertains « secrets » — provoquèrent précisément lecataclysme qui engloutit l’Atlantide. Ce qui est confirmépar Platon dans le Critias : « Mais quand vint à se terniren eux [les Atlantes], pour avoir été mélangé, et maintesfois, avec maint élément mortel, le lot qu’ils tenaient duDieu (…), le Dieu des Dieux, lui qui règne au moyen deslois et dont la qualité est d’être capable d’observer ce genre de choses, songeant à quel point de dépravation enétait venue une race excellente, prit le parti de lui imposer un châtiment (…). »

Mais avant que l’Atlantide ne fût engloutie , la « lignée » contre-initiatique, nous l’avons dit, avait fait soucheen Égypte, où elle était « animée » et inspirée par les mystères de l’Ane rouge (forme sous laquelle le dieu Sethétait le plus souvent représenté), dont Guénon nous dit encore qu’il s’agissait d’« une des entités les plusredoutables parmi toutes celles que devait rencontrer le mort au cours de son voyage d’outre-tombe, ou,ce qui ésotériquement revient au même, l’initié au cours de ses épreuves ; ne serait-ce pas là, plus encoreque l’hippopotame, la « bête écarlate » de l’Apocalypse ? En tout cas, un des aspects les plus ténébreux

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des mystères « typhoniens » était le culte du « dieu à latête d’âne » (…) ; Nous avons quelques raisons de penserque, sous une forme ou sous une autre, il s’est continuéjusqu’à nos jours, et certains affirment même qu’il doitdurer jusqu’à la fin du cycle actuel. » (Symbolesfondamentaux de la Science sacrée.)

Or, 72 resta le nombre des initiés — ou plutôt des « contre-initiés » séthiens — qui maintinrent au cours des âges leurredoutable tradition. C’est ainsi que selon Werner Gerson (leNazisme, société secrète), l’initiateur « occidental » deTrebitsch-Lincoln, Harold Beckett, déclara au futur lama qu’ily avait « seulement soixante-douze Hommes Véritablespar génération ». Mais justement, quelle est l’origine de cenombre ?

P.104 : Robin reprend le mythe de Seth, l’assassinat d’Osirisdans un cercueil…

P.105 : Isis ne retrouve pas le phallus d’Osiris symbole de lalance du Graal.Influence séthienne chez les Bektashî , véhiculé par legermano-turc Sebottendorf.

P.106-107 : Robin cite le livre de Bersone :

Écoutons pour cela le témoignage de Clotilde Bersone,alias comtesse de Coutanceau, fille d’un diplomate français en poste enTurquie et qui fut à Paris, de 1877 à 1880, la maîtresse de J.-A. Garfield, élu en1880 président des États-Unis, et assassiné en 1881… Elle devait se convertir etse faire religieuse sous le nom de sœur Marie-Amélie. Les lignes que nouscitons relatent sa visite, le 17 décembre 1874, à la « loge » très spéciale àlaquelle était affilié son père à Constantinople. Le passage est un peu long,mais nous avons tenu à le donner dans son intégralité car il s’agit d’un documentde première importance :

« Je m’avisai (…) assez vite que l’étage où mon père me faisait pénétrer n’étaitqu’une partie du local, l’endroit le plus banal de la maison. Au-dessus et au-dessous s’étendaient sans doute les appartements réservés aux vrais mystères— ceux qu’on n’ouvre qu’un à un aux adeptes. « Quoi qu’il en fût, une premièrepièce s’offrit à mes regards comme une vaste salle d’attente : c’est ce qu’onappelle en Orient l’Avly, peut-être par réminiscence de l’ancienne aula romaine.

« A droite, le Cabinet noir où le candidat à l’affiliation, me dit mon père, subit sesépreuves, (…)

« Entre le Cabinet noir et le Vestiaire, enfin, une sorte de vestibule dont toutes les portes à tambour et les mursmême sont capitonnés et étouffent tous les bruits, si perçants qu’ils soient, qui peuvent venir de la salle desséances. — Oh ! Ne pus-je m’empêcher de dire en riant à mon père, voilà bien des précautions pour protéger lesinnocents plaisirs de gens qui s’amusent. « Il mit en souriant lui aussi un doigt sur ses lèvres, pour éviter derépondre, et nous pénétrâmes dans la loge même (…).

« A deux mètres environ de la porte d’entrée se dressait un squelette ; Cette idée macabre me fit sourire commeune invention de Guignol tragique destinée à effrayer les grands enfants.

« Par contre, au milieu de la loge, je tombai soudain en arrêt, malgré mon père qui s’efforçait de m’en détourner,

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devant un animal étrange, en marbre blanc, étendu sur un piédestal, dans une attitude menaçante. Un sceptre etune couronne brisés sous ses pattes de devant, une tiare sous ses pattes de derrière, il a sept têtes, àfigure presque humaine. Plusieurs me semblèrent d’un lion, sans d’ailleurs se ressembler ; Plusieurs étaientornées de cornes, [Il s’agit à l’évidence d’une effigie de la « Bête de l’Apocalypse »...]

« Une vie étrange, indéfinissable, émanait de ce monstre, dont le multiple regard semblait s’être attaché au mienet me fascinait.

— C’est le Dragon, dit mon père d’une voix sourde. Celui qu’on appelle ici Idra (…).

« Il m’arracha presque de force à l’inexplicable attrait qui me clouait devant cette bête, et je ne m’avouai pas àmoi-même l’étrange et subit empire de cette effigie sur mon esprit et sur mes sens. La statue était médiocrecomme œuvre d’art, et personne, en ce temps-là, n’était plus rebelle que moi au symbolisme compliqué de cesvieilles figures hermétiques où semblent s’être amalgamées les superstitions et les chimères d’un chaos decivilisations aujourd’hui éteintes. Je n’avais plus, hélas ! L’ombre d’une disposition à croire au surnaturel, divin oudiabolique, aux évocations, à la magie, à une entité quelconque, étrangère à l’esprit de l’homme et supérieure, auciel ou dans les enfers, aux prises de la science moderne.

« Et pourtant une sorte de coup de foudre s’était abattu sur mon cœur et l’étreignait comme une proie, à lamanière de serres vivantes, contre lesquelles se révoltaient en vain mon orgueil et ma passion d’indépendance.(…) »

(Mémoires présentés anonymement sous le titre l’Élue du Dragon [éd. « Les Étincelles », Paris, 1929] d’après lemanuscrit authentique daté de 1885, copié et enrichi de notes critiques par un jésuite, le R.P. Harald Richard.)

Le très érudit abbé Paul Boulin devait écrire en 1933 : « L’authenticité des Mémoires de Clotilde Bersone n’estguère contestable (…), L’existence et la vie d’intrigue d’une soi-disant comtesse de Coutanceau, nous avaient étéattestées par M Juliette Adam [femme de lettres dont le salon fut fréquenté par les littérateurs et les hommesd’État les plus marquants]. De nombreux détails sur Garfield, sur d’autres personnages et sur d’autres scènesextraordinaires de ce récit se sont amassés depuis. (…) Sans doute bien des esprits ont hésité à admettre enparticulier, les tragiques manifestations en loge du Dragon, et je ne saurais leur en faire grief. C’est l’endroit quinous a fait le plus longtemps hésiter. Mgr Jouin et moi. Nous n’avons franchi le pas qu’après avoir consulté desthéologiens. »

P.107 : Guénon accrédite Bersone :

« Il y a ici, derrière El-Azhar [l’université du Caire], un vieux bonhomme qui ressemble étonnamment aux portraitsque l’on donne des anciens philosophes grecs, et qui fait d’étranges peintures. L’autre jour, il nous a montréune espèce de dragon avec une tête humaine barbue, coiffé d’un chapeau à la mode du XVI siècle, et sixpetites têtes d’animaux divers sortant de la barbe. Ce qui est tout à fait curieux, c’est que cette figureressemble, presque à s’y méprendre, à celle que la R.I.S.S, [Revue Internationale des Sociétés Secrètes] adonnée il y a un certain temps, à propos de la fameuse « Élue du Dragon », comme étant tirée d’un vieux livre,(…) Mais le plus fort, c’est que le bonhomme prétend avoir vu lui-même cette drôle de bête et l’avoir dessinéetelle quelle ! » :

« A propos de la tête d’âne, on raconte ici [au Caire] des histoires sur un diable très redoutable, nommé El-Mârid :Il prend la forme d’un âne qu’on rencontre errant seul dans les rues la nuit ; Si on monte sur son dos, il semet à grandir démesurément, puis revient brusquement à sa taille ordinaire, si bien que l’imprudent est projeté àterre et se tue ; Cela semble bien avoir encore quelque rapport avec l’âne de Typhon. » L’Égypte, après tout,n’était-elle pas le centre historique des mystères séthiens ?…

P.108 : Les 72, « inspirant » directement la société du Dragon Vert, s’étaient manifestés en Russie et MaîtrePhilippe, comme Rathenau en Allemagne, avait su voir clair dans leur jeu — ce qui lui valut d’ailleurs d’êtrebientôt supplanté par Raspoutine Basile III patriarche orthodoxe de Constantinople dit sur son lit de mort que« Maitre Philippe fut un instrument précieux« .

P.109 :

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Maître Philippe

« Les mauvais bergers sont vêtus de la dépouille des brebis. Une têtecoupée, deux têtes repoussent. Raspoutine, marionnette maudite !Haine à l’Europe, haine à celui qui voulait la paix perpétuelle. Du sangsur la tunique blanche ! Les deux fous de Sarajevo. Nul n’a compris quel’Hydre verte avait armé le bras du Serbe (…), Le cerveau est aux terresglaciales, si les tentacules s’étendent et se ramifient sur le monde…Sainte Russie, barrière de l’Europe, soutien de l’Église, si tu cèdes, lescavales de Tamerlan se baigneront aux rives de Bretagne.« Merci. Seigneur, je ne verrai pas le temps d’abomination (…).« L’Anglais, s’il arrive, la Russie ébranlée retrouve une armée et lavague germanique se brise. Mais l’abîme s’est entrouvert. Les forces dumal sont déchaînées. Rien ne peut plus les arrêter.« Si, pourtant, un homme, ce Juif, ce Rathenau qui voulait faire l’alliancefrancoallemande. Nous avons conféré longuement. Il voyait clair… Maisils l’ont tué. Et le temps approche où l’Europe tremblera sous leséperons acérés de L’Homme aux deux Z.Rappelons que cette troublante prophétie délivrée par le patriarchemourant date de 1929, et fut publiée pour la première — et à notreconnaissance pour la seule fois en 1933 — par notre vieilleconnaissance, l’agent français du Deuxième Bureau qui signait sessouvenirs Teddy Legrand (aidé en l’occurrence par Ibrahim Bey, de la Sûreté ottomane).

Le baton Otto von Bautenas était sous l’influence des 72, chef du mouvement fasciste des Loups d’Acierpropriétaire d’un yacht à trois mâts : l’Asgärd.Un invité : Ivar Kreuger, instrument pour saper l’économie de l’Europe (effondrement de la livre).

P.110 : Hitler et Staline ayant en effet été liés 666 jours. » [La durée dupacte germano-soviétique]Nazis et communistes s’allient parfois.Hitler admirait Staline, Staline adorait Hitler – parent entre national-socialisme et bolchévisme.

P.111 : alliance au « sommet » pour la survie de quelques initiés – viaViktor Abakoumov.

Emil Rasche, chargé de la surveillance de la presse internationale et enrapport constant avec Heinrich Müller : « Staline se conduit comme s’ilétait inspiré par les lamas tibétains » (cf. Philippe Aziz, les Sociétéssecrètes nazies, éd. Idégraf, Genève, 1978)

P.112 : Guénon situe deux « tours du diable », vers l’Oural ou la partieoccidentale de la Sibérie

« Je me rappelle que j’avais remarqué autrefois des choses singulières surles points où les bolcheviks avaient établi leurs principaux ‘‘noyaux’’d’influence, notamment du côté de l’Asie Centrale. »

Localisation dans la région du fleuve Ob – presqu’île des Samoyèdes. Note de Jsf : Un lien avec lesénigmatiques structures de la vallée de la mort ?Robin cite Jacques Bergier (« La guerre secrète de l’occulte« ) qui pense qu’il y a un groupement mystique ausein du parti communiste « Fraternité du Vril ».

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Le fleuve Ob est au centre de la carte

P.115 : Robin aborde le thème du sang, « feu liquide » il cite Michel Lamy qui a écrit un livre sur Jules Vernes,initié et initiateur : aspect le plus dérangeant du nazismes : anciennes croyances relatives au sang, vampirisme,sacrifices aux dieux : Le nazisme est-il une réactualisation de ces sacrifices offerts aux forces noires ?

P.116 :

Jean-Paul Bourre (Dracula et les vampires, éd. du Rocher, 1981). Il rapporteen effet qu’au château de Krasznahorka, dans le nord de la Hongrie , onexhibe le cadavre intact d’une ancienne maîtresse des lieux. Zsòfia Serédy,qui « dort » depuis plus de 200 ans, « De temps en temps, la robe tombe enpoussière, et on la revêt d’une nouvelle robe noire, mais elle-même estimpérissable. Il est aussi curieux de remarquer que son avant-bras droit est unpeu soulevé, et qu’elle fait signe du doigt. (…) C’est à ce signe que l’onreconnaît les adeptes de la vieille magie turque à laquelle faisaitréférence von Sebottendorf, grand maître de la société Thulé. L’indexdressé correspondait au feu. » Von Sebottendorf précise en effet queconjugué au A — qui fait naître l’élément liquide — le I — qui s’obtient l’indextendu — permet au disciple de franchir les limites de la mort sans perdreconscience. D’atteindre l’immortalité. »

On peut rapprocher ces infos avec « L’Ile rouge » de Géraud de Barail !Extrait :

« D… découvrit ensuite que Walter Darré, ancien responsable de la politiqueagricole du Reich, mettait au point, « à partir du sang allemand le meilleur, issu de croisements concertés aucours des générations, le type le plus pur de l’Allemand nordique afin de produire un haut élevage, au senslittéral du terme. » [...]

Ces points ne sont généralement connus des historiens spécialisés dans les aspects occultes du phénomènenazi. En revanche, ce qui n’a encore jamais été dit que que découvrit D… c’est quelle était la finalitéultime de cet immense dispositif !

Ce que dissimulait cette volonté de doter le pays d’un sang pur, ce qui se cachait derrière « le culte des mèresallemandes », chez des êtres qui n’avaient que mépris pour la femme en tant que telle, était un réalité d’une autre

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ampleur et d’une toute autre nature.Il ne s’agissait pas seulement de préparer la victoire d’une Grande Allemagne ni de sauvegarder une quelconqueou imaginaire « race Aryenne », non, cela était (on comprendra pourquoi) mais rêvait une importance secondaire.La conviction de D… et c’est la mienne aujourd’hui, était que tout cela constituait l’organisation même d’unegigantesque réserve énergétique à l’échelle planétaire dont la fonction première, égoïste et pour tout direunique, serait de nourrir une ENTITE AFFAMEE EN TRAIN DE SE REVEILLER D’UN LONG SOMMEILMILLENAIRE. [en majuscules dans le texte]«

Jean Robin dit que le « Vert » des 72, c’est le vert des dragons, gardiens duseuil, éternelle jeunesse, c’est aussi le « rayon vert », secret destemples égyptiens, secret de la transmutation des cellules, force vitalede la nature.

Bulwer-Lytton de la Societas Rosicruciana in Anglia qui donnera naissance àla Golden Dawn parle du vert dans La race qui nous exterminera.

L’entité la plus ésotérique de l’islam, El-Khidr = le verdoyant : parallèle avecles Supérieurs Inconnus

P.117 : Coomaraswamy dit qu’El-Khidr a pour royaume l’hyperborée, le plusau nord.

Ces lignes de Jean Parvulesco (op. cit.) :

« Dans un texte initiatique fondamental, puisqu’il s’agit des instructionsd’Abdoul Fazl à Hassan, fils de Sabbah, ce dernier plus connu comme leVieux de la Montagne, grand maître caché de l’Ordre des Assassins (…), il est écrit : « T’en souviens-tu ? Je t’aiparlé d’une montagne tout au Nord. Je vais te dire comment t’y rendre. Il faudra que tu marches longtemps. Maisavant même que tu y sois, les vrais maîtres de l’Iran seront prévenus, et t’attendront. » Les « vrais maîtres del’Iran » ou, plutôt, les vrais maîtres du monde (…).

El-Khidr

Les mystères séthiens ou typhoniens, en qui Guénon voyait la source et l’inspiration des courants ténébreux quitraversent notre histoire, établissent donc un lien direct entre le sang, L’immortalité… et le Pôle. (N’oublionspas en effet que pour Plutarque, comme d’ailleurs pour la tradition grecque, la Grande Ourse [Arktos] est lademeure de Seth-Typhon.) L’Arcadie ?

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Première édition de Dracula, 1897

Dans Dracula de Bram Stoker, le héros commence sa quête dans l’Hotel des Quatre Saisons, Maximilianstrasseà Munich, là même où la société Thule installera son siège.

P.118 : Robin parle du double, de sa capacité de matérialisation – et aussi desdangers de rompre l’âme du corps, comme l’averti Stanislas de Guaita.Et aussi des dangers si une entité prend sa place dans le corps => destind’Hitler ?

« Une personne de son entourage m’a dit qu’il s’éveillait la nuit en poussantdes cris convulsifs. Il appelle au secours. Assis sur le bord du lit, il est commeparalysé. Il est saisi d’une panique qui le fait trembler au point de secouer le lit.Il profère des vociférations confuses et incompréhensibles. Il halète comme s’ilétait sur le point d’étouffer.

« La même personne m’a raconté une de ces crises avec des détails que je merefuserais à croire, si ma source n’était aussi sûre. Hitler était debout, dans sachambre, chancelant, regardant autour de lui d’un air égaré, « C’est lui ! c’estlui ! il est venu ici ! » Grommelait-il. Ses lèvres étaient bleues. La sueurruisselait à grosses gouttes.

« Subitement, il prononça des chiffres, sans aucun sens, puis des mots, des bribes de phrases. C’étaiteffroyable ; Il employait des termes bizarrement assemblés, tout à fait étranges. Puis de nouveau, il étaitredevenu silencieux, mais en continuant de remuer les lèvres.

« On l’avait alors frictionné, on lui avait fait prendre une boisson. Puis subitement il avait rugi : «Là, là ! Dans lecoin ? Qui est là ?» Il frappait du pied le parquet et hurlait. On l’avait rassuré en lui disant qu’il ne se passait riend’extraordinaire et alors il s’était calmé peu à peu. » N’était-ce pas l’« entité » qui avait pris possession de lui-même qui le terrorisait ainsi en s’extériorisant partiellement ?

General Haushofer et Rudolf Hess

P.120 : Le fils de Karl Haushofer participa au complot pour tuer Hitler. Il écrivit avant d’être décapité que son pèreavait « brisé le sceau » et lâché le démon par le Monde…

Puis Robin parle de l‘Ordre du Dragon :

« Sa première apparition officielle remonte à 1418, date à laquelle Sigismond de Luxembourg, roi de Hongrie en1387 et empereur d’Allemagne de 1411 à 1437, crée… l’Ordre du Dragon — tout simplement ! — dont la «

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couverture » ou le prétexte était la défense de la chrétienté contre les Turcs. Ce qui revêt a posteriori, on enconviendra, un certain piquant ! On comprendra un peu mieux de quoi il s’agissait réellement si l’on sait que leprince Vlad IV de Valachie en fit partie. Mais encore ? Vlad IV, également connu sous le nom de Vlad Tepez, oul’« Empaleur », passa à la postérité sous celui de Dracula ; C’est-à-dire le Fils du Dragon. Ce Dragon (vert) quisymbolise l’Astral inférieur et est le gardien du sang éternel, du fluide vital. Dans la saga nordique en particulier.Siegfried tue le Dragon pour s’approprier, avec son sang, des pouvoirs nouveaux, et même l’immortalité. L’Ordredu Dragon transmettait ces mystères de Seth-Typhon auxquels la tradition prédit un triomphe passager, à la findes temps. Sa « bible » (dont la version française a été publiée aux éditions Bussière) était un traitéintitulé la Magie Sacrée d’Abramelin — qui peut se traduire par « Père des sables ».

N’oublions pas que Seth, le dieu égyptien à la tête d’âne, régnait sur le Désert. De fait, c’est en Égypte quel’auteur anonyme de la Magie Sacrée (et initiateur de l’empereur Sigismond) vint s’instruire. Voici, tels qu’il lesrapporte, les propos que lui tint son maître Abramelin : « (…) Je te donne et te permets de pratiquer cette ScienceSacrée que tu devras acquérir en respectant les lois de ces deux petits livrets, sans en omettre la moindre chose,si inimaginables qu’ils puissent paraître. Tu te serviras de cette Science Sacrée pour retrouver tes ancienspouvoirs et redevenir un dieu immortel, vainqueur de la Vie et de la Mort. Alors, l’Ombre ne pourra rien contre toi,car tu seras devenu le maître de l’Ombre et tu entreras dans la chaîne des Ombres qui peuplent l’Éternité. N’offrecette Science qu’à ceux qui portent le signe [le « signe de la Bête » apocalyptique], à ceux dont le regard peutaffronter l’obscurité sans trembler, à ceux dont le cœur est assez fort pour soutenir l’immensité sans ployer sousle fardeau.

« (…) D’autres viendront qui reprendront le flambeau pour le porter toujours plus loin, à travers tous les mondes,au nom du Seigneur suprême porteur de la pierre sacrée [l’émeraude «graalique» de Lucifer], Que la curiosité nete pousse pas à savoir les causes de tout cela, à moins que ton cœur soit assez ferme pour accueillir la vie infiniedans ses plus vastes limites. Alors figure-toi que nous sommes si méchants que notre secte est devenueinsupportable, non seulement à tout le genre humain, mais aux dieux vénérés par les hommes. »

P.121 : Le traité d’Abramelin le Mage est retrouvé à Venis au 16ème s et se trouve à la bibliothèque de l’Arsenal.

Le livre d’Abramelin le Mage

Abramelin, dit le Mage ou le Magicien, était un juif de Wurtzbourg (Bavière, Allemagne). Décédé en 1460, ilserait né en 1362, ce qui lui donne une vie de 98 ans. Abramelin était un expert de la Kabbale. Il s’en est d’ailleursabondamment inspiré pour composer de nombreux livres de Magie, qui auront beaucoup plus tard une grandeinfluence sur Aleister Crowley et Alexander Sanders. Abramelin prétendait détenir son savoir des anges, quilui auraient appris la manière d’invoquer et d’asservir les démons. Il prétendit également avoir aidé, par magie,l’Électeur de Saxe Frédéric au combat, mais aussi le comte de Warwick lors de son évasion, ainsi quel’antipape Jean XXIII (1410-1415) lors du concile de Constance.

Paracelse a appartenu à l’Ordre du Dragon.Ce traité est utilisé par la Golden Dawn.La Golden Dawn est liée à la Société Thulé par Aleister Crowley, Bram Stoker et Mathers Sebottendorf les aconnus à Londres.Hitler était fasciné par le livre Dracula.Hitler est fasciné par le LOUP : adolf=vieux loup, « herr wolf » son pseudo = « monsieur loup », sonquartier général = la tanière du loup, et QG en prusse = Le Fort du Loup… poste de commandement enRussie = Werwolf.

Lien entre BEKTASHÎ, Ordre du Dragon et Golden Dawn => 72 Gardiens de Seth

P.122 : A Paris, l’Imperator Mathers avait dans l’ordre la femme la plus mystérieuse du siècle selon AristideBriand, une allemande : Anna Sprengel.C’est elle qui avait les pouvoirs et les procédures pour contacter les « Intelligences extérieures » ;« galactiques » ou « interstellaires », « dont le séjour supra-polaire se situe loin au dehors des dernièreslimites concevables de ce monde ».

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« La civilisation est une conjuration… Voyez-vous, les plus grands esprits sont en dehors de

ce que l’on nomme civilisation ». A n’en pasdouter, Leithen a mis le doigt sur un complot

mettant en péril l’équilibre du monde moderne :la « Centrale d’Energie » dont parle Lumley estune sorte de confrérie – la plus audacieuse detoutes – qui tente de s’approprier dans un butsacrilège la part pensante de l’impondérable

destinée humaine… (Source)

On ne s’étonnera plus dès lors que pour l’ Adeptes Exemptus John Buchan (Cf. la Centrale d’énergie), « les plusgrands esprits » soient « en dehors de ce que l’on nommecivilisation » et qu’ils rêvent de ramener le monde à « l’âge deSaturne». Aussi, ces « intelligences anonymes, souterrainement àl’œuvre », se révèlent-elles de temps à autre par quelque «manifestation catastrophique ».

MATHERS : (voir aussi cette page et… aujourd’hui leur vidéo deprésentation)

« (…) Quant aux chefs secrets de l’Ordre auxquels je fais allusion etde qui j’ai reçu la sagesse du Deuxième Ordre [qui rappelle de bienprès « l’esprit de la Seconde Hiérarchie » que l’auteur de la MagieSacrée donna jadis à l’empereur Sigismond] je ne puis rien dire à leursujet. Je ne connais même pas leurs noms terrestres. Je lesconnais seulement par certains hiéronymes secrets, et je ne les aivus que très rarement sous leurs espèces physiques ; En ces raresoccasions ils me donnaient rendez-vous astralement et merencontraient en chair et en os à une heure et en un lieu fixés aupréalable.

« Pour ma part, je crois qu’ils sont humains et qu’ils vivent sur cetteterre ; mais qu’ils possèdent des pouvoirs terribles et surhumains. «Quand un de ces rendez-vous avait lieu dans un endroit très fréquenté,il n’y avait rien dans leur apparence personnelle ou leurs vêtements quiles distinguât en quoi que ce soit des gens ordinaires, excepté uneapparence et une impression de santé et de vitalitétranscendantes (qu’ils eussent l’aspect de personnes jeunes ouâgées) ; C’était leur caractéristique invariable ; En d’autres termes, ilsavaient l’apparence physique que la possession de l’Élixir de Vie est traditionnellement censée conférer(…).

« Mais mes rapports personnels avec eux, en ces rares occasions, m’ont prouvé combien il était difficile pour unmortel, si avancé soit-il en occultisme, de supporter la présence d’un Adepte… Je ne veux pas dire que, lors deces rencontres matérielles, j’aie ressenti l’épuisement physique intense qui suit une forte décharge demagnétisme ; J’avais au contraire l’impression d’être en contact avec une force si terrible que je puis lacomparer seulement à l’effet continu de ce que ressent momentanément une personne près de laquellese produit un éclair pendant un violent orage ; À cela s’ajoutait une difficulté à respirer analogue à lasensation de demi-étouffement causée par l’éther : et si tel était le résultat produit sur quelqu’un d’aussientraîné que moi dans l’œuvre occulte, je ne puis imaginer qu’un initié beaucoup moins avancé soitcapable de supporter une telle tension, même pendant cinq minutes, sans que mort s’ensuive. »

Cela rejoint le fait qu’Hitler dit qu’il a « vu le surhomme et qu’il est parmi nous ».

P.123 : Hitler voyage à Londres fin 1912 début 1913 : est-il allé voir la Golden Dawn et ces « surhommes » ?

P.125 : Robin parle de Nemrod, descendant des Veilleurs, fondateur de Babylone. Robin assimile Nemrod àSeth. La divinité Seth ou Shesh est connue partout, en Palestine par exemple.Symbole du tigre, léopard, et âne rouge (renard ?!)

P.126 : Nemrod/Seth/etc est celui qui est caché et qui remontera aux derniers jours… thème de l’Imam caché :

[Les C's disent (940930) qu'Hitler "dort", et qu'il "reviendra à l'incarnation" dans le futur. Ils disent aussi (941009)qu'Hitler avait rencontré des projections d'humains aryens dûs aux Lézards. Ils disent ensuite (960831) qu'Hitlerétait sous l'influence des Blonds (Orions SDS) car la "Société Thulé avait initié le contact" Ils disent que la "racemaître" est en développement sous le pôle Sud. Ils disent que les SS étaient une expérience des Antaréens visant

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Karl Dönitz

à la réintroduction des nephalim. Les Antaréens sont une lignée Orion. Le contact avec les Antaréens fut initié parla Société Thulé. Ils disent (961012) que les Antaréens étaient le nom donné à des groupes de 4èmedensité en contact avec la Société Thulé avant et pendant la Première Guerre Mondiale. Les C's parlentaussi d'un grand nombre d'allemands capturés et utilisés comme travailleurs dans cette base en Antarctique. -"Nous vous l'avons déjà dit : l'expérience Nazi était un "galop d'essai" et maintenant vous voyez les similitudes,n'est-ce pas ?"]

Robin dit :

« Les O. V. N. I. sont de plus en plus nombreux dans le ciel de notremonde. Or, et tous les témoignages en attestent, ils sillonnentdavantage les régions andines que toutes les autres, et plusspécialement celle de Colombie. Ces engins volants viennent-ils d’enhaut ou d’en bas ? »

Certains hauts personnages du nazisme contribuèrent à alimenter le «mythe » de la survie. Et d’abord l’amiral Dönitz, qui déclarait en 1943:

« …La flotte sous-marine allemande est fière d’avoir construit unparadis terrestre, une forteresse inexpugnable pour le Führer,quelque part dans le monde… » Ce « quelque part » a été souventlocalisé dans l’Antarctique, ainsi que le confirme cette déclarationd’un général S.S. rapportée par Saint-Loup (op. cit) :

« La défaite militaire est un accident. L’avenir du national-socialismeest de toute manière assuré. Nous avons aménagé de longue mainune base secrète dans l’archipel de la Terre de Feu. Les hommessur lesquels repose l’avenir idéologique sont installés là-bas, et aussi protégés que le Dresden après la batailledes Falkland. »

Un curieux épisode que rapporte entre autres Roger Delpey dans Adolf Hitler, l’Affaire, semble accréditer cetteétonnante déclaration :

« Le 25 septembre 1946, la presse mondiale plongea ses lecteurs dans l’ahurissement en publiant lecâblogramme suivant :

« …Un an après la défaite allemande, un événement surprenant s’est produit en haute mer, entre les ÎlesFalkland et la banquise antarctique. A l’improviste, la baleinière Juliana II, inscrite au registre de navigation deReykjavik, capitaine Christian Hecla, a été arraisonnée par un submersible de gros tonnage, un U-Boot, de lamarine allemande, arborant un drapeau rouge à larges bandes noires.

« Lorsque les sommations d’usage furent faites, l’équipage du sous-marin au complet se trouvait au poste decombat, les hommes revêtus uniformément d’une cape grise. Leur capitaine se rendit à bord de la Juliana II enfaisant usage d’un bateau pneumatique, piloté par des marins.

« S’adressant au commandant Hecla, courtoisement, mais sur un ton qui n’admettait pas la réplique, il exigea lalivraison, sur-le-champ, d’une partie de l’approvisionnement en naphte de la baleinière. Son interlocuteurs’exécuta et l’Allemand, tirant alors de sa poche une bourse bien remplie, paya largement le carburant en dollars.Il poussa même la prodigalité jusqu’à remettre une prime de dix dollars aux cinq hommes de l’équipage. Tandisque s’effectuait l’opération de transvasement du précieux liquide, l’officier allemand, qui s’exprimait en un anglaisparfait, donna des renseignements au capitaine Hecla sur la position des bancs de baleines, renseignements quis’avérèrent exacts puisque, au retour, la Juliana II harponna deux cétacés.

« Interrogé à Santa-Cruz sur son aventure, le capitaine Hecla, à qui on demandait s’il avait prévenu par radio labase navale des Falkland de sa mystérieuse rencontre, se contenta de répondre : «J’étais parti à la chasse à labaleine et non à la chasse aux sous-marins». »

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A Paris, précise R. Delpey, un quotidien du soir qui rapportait cette information ajouta le commentaire suivant :

« …Ceci confirmerait les rumeurs de la présence de vestiges de la marine de guerre allemande dans leseaux de la Terre de Feu et les zones inexplorées de l’Antarctique. » Ainsi le thème de la survie se voyait-iloctroyer une dimension supplémentaire : Par la disgrâce d’un véritable « renversement des pôles », lalégendaire Thulé boréale, initiatrice de la mythologie aryenne, se retrouvait ainsi aux antipodes, en unesorte de polarisation négative de l’archétype originel.

P.128 : Jean Robin parle ensuite d’une rencontre qu’il a faite en 1983 avec un ancien militaire très au fait descoulisses de ce monde. Jean Robin a discuté avec lui à Toulouse; Ce militaire a aussi écrit un livre (voir ci-contre).

Il parle d’une base dans la région des grands lacs canadien, reliée à la baseen Antarctique, par des escales secrètes sur la cote sud américaine.

Des horoscopes secrets avaient annoncés pour Hitler la chute mais unerésurgence en 1948. Alleau commente ces horoscopes en disant qu’il estquestion de technique arabe ancienne… élection du choix des momentsfavorables.

Un document affirme qu’Hitler voulait maitriser les ondes telluriques despôles pour créer une arme absolue/ Il est aussi question de tests d’OVNIsdans les Andes… dont à Cali, en Colombie – OVNIs dans le sud del’Argentine

Dans le livre Les Intra-Terrestres, Ils Existent, Je Les Ai Vus! dePaolantoni, il est question d’un explorateur qui trouve sous les Andes unesuccession de grottes… des milliers de km de galeries, cavernes, lacs etrivières.

P.134 : Les soucoupes volantes nazis, détails..

P.135 : Jung sur les OVNIs :

Il précisait encore — en s’excusant presque de soumettre au lecteur des réflexions qui « seront probablement trèsmal vues » — que ces nouveaux événements qu’il prophétisait étaient en relation avec le passage du pointvernal dans le signe du Verseau. S’il se compromet de la sorte, c’est, nous dit-il, qu’il se sent, « à franchementparler, profondément soucieux du sort de tous ceux qui seront surpris par les événements et qui, fauted’y être préparés, leur seront livrés, pieds et poings liés, et les subiront sans le secours d’aucunecompréhension »

Quoiqu’il en soit les OVNIs ne sont pas que subjectifs

Jung, bien qu’il se refusât à l’admettre, pour les raisons exposées plus haut, n’en avait pas moins entrevu lanature véritable du phénomène — la seule solution possible, en fait : « L’opinion selon laquelle il pourrait s’agird’un quelque chose de psychique équipé de certaines qualités physiques semble encore plus improbable ; Card’où viendrait une telle chose ? » C’est bien en effet cette origine extérieure à la psyché humaine que Jung nepouvait accepter, car elle sapait radicalement les fondements de sa théorie.

P.138-139 : Robin cite abondamment Jacques Vallée sur la manipulation de la conscience

« Admettons, comme point de départ, qu’un ou plusieurs groupes aient appris à maîtriser certains processusphysiques par des moyens habituellement qualifiés de « magiques ». (…) Supposons qu’ils aient élaboré destechniques pour projeter des images à distance, pour contrôler et amplifier les capacités psychokinétiques dessujets humains ; Ou pour fabriquer des entités analogues aux « tulpas » du folklore tibétain, ces entités palpablesavec lesquelles M Alexandra David-Neel fit des expériences rapportées dans ses livres. Fantaisie ? Peut-être.Toujours est-il que dans l’Allemagne nazie, plusieurs centres me de recherche travaillèrent sur ce problèmependant une dizaine d’années [...]. »

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Îles d’Argentine

P.140 : Documentation retrouvée en Russie sur Haushofer, Hess et Hielscher.Les Nazi avaient mené des recherches très vastes sur les textes sanscrits etruniques et sur l’antiquité ancienne, à la recherche de pouvoirs spéciaux DESINITIES TIBÉTAINS qui se sont immolés à la chute du IIIe Reich, avaient étéramenés au SIEGE DE L’AHNENERBE.

P.141 : Robin cite David Néel sur les Tulkous : énergie subtile qui reste après lamort d’un humain ou démon/dieu, qui devient le noyau d’un nouvel être. Celui-cipeut rejoindre un être existant et s’associer.

P.142 : La base en Antarctique s’appelerait Asgärd, comme le yatch du baronOtto von Bautenas.Un néo-Führer s’appelerait Siegfried.

Les cadres de l’ordres se réuniraient dans l’ancien pénitencierd’une île déserte argentine : peut-être ILE DE LOS ESTADOS.

« Une énigmatique légende veut que le Saint Graal, la mystiquepierre de lumière symbolisant la tradition vivante de l’Occidentmédiéval, ait été transféré d’Espagne — du Montsalvat deSauveterre — en Bavière et, enfin, au Tyrol. À Innsbruck, dans la‘‘Chapelle d’Argent’’ on trouve, parmi les statues des ancêtreslégendaires du ‘‘dernier chevalier européen’’, Maximilien I », la statuedu roi Arthur, chef de la Table Ronde et des chevaliers du Graal.Quelque chose de cet héritage profondément enfoui semble s’êtreperpétué au Tyrol, fût-ce sous l’aspect fermé et raide propre à touteréalité résiduelle. » Une fois de plus, la logique de l’inversion exigeaitde la région où allait s’occulter un aspect du mystère nazi, une «prédisposition » particulière.

P.143 : De Gaulle aurait formé 45 personnes.. Compagnons… pourqu’après sa mort ils s’opposent au réveil d’un FREDERICUS REXparodique.

Bataille d’archétype entre de Gaulle et Hitler ? (Jean Robin reparlerade ces Compagnons dans « Veilleur, où en est l’apocalypse? « , endisant qu’ils sont infiltrés).

P.144 : c’est MAINTENANT que la menace atteint son paroxysme.Des secrets pourraient être enclos dans la correspondance entreVâlsan et De Gaulle.

Dernier avatar du mythe de l’« Empereur endormi », le Führer du IV Reich serait-il celui dont Adolf Hitlern’avait été que le précurseur ?…

P.145 : Un trésor cathare aurait été transféré dans le Tyrol… Evola :

« Une énigmatique légende veut que le Saint Graal, la mystique pierre de lumière symbolisant la tradition vivantede l’Occident médiéval, ait été transféré d’Espagne — du Montsalvat de Sauveterre — en Bavière et, enfin, auTyrol. À Innsbruck, dans la ‘‘Chapelle d’Argent’’ on trouve, parmi les statues des ancêtres légendaires du‘‘dernier chevalier européen’’, Maximilien I », la statue du roi Arthur, chef de la Table Ronde et des chevaliers duGraal. Quelque chose de cet héritage profondément enfoui semble s’être perpétué au Tyrol, fût-ce sous l’aspectfermé et raide propre à toute réalité résiduelle. » Une fois de plus, la logique de l’inversion exigeait de la régionoù allait s’occulter un aspect du mystère nazi, une « prédisposition » particulière.

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