Hitler Contre Juda - Dr. C. Nancy

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AVANT-PROPOS

HITLER CONTRE JUDA.

Par docteur C. Nancy

AVANT-PROPOS

Ce livre est ddi tous ceux, qui ont combattu sous l'emblme de la Croix Gamme, aux Germains, aux Latins, aux Slaves, aux Asiatiques, aux paens, aux Catholiques et aux musulmans, pour qui cette croix reprsente l'esprit et le culte du Sol Invictus et du feu, du renouveau cyclique de la Nature, de la tolrance religieuse, de l'indpendance de l'esprit et de la renaissance de l'me; de cette me qui en fait n'est que la Race vue de l'intrieur.

Il est ddi tous ceux, qui sont morts, pour que survive leur race, c--d notre chane de vies indo-europenne. A tous ceux, qui se sont engagS corps et mes pour combattre le Mal Absolu, l'Antchrist, la bte bolchevique immonde reprsente encore actuellement par le Mondialisme judo-maonnique et marxiste.

Il est ddi tous ceux, qui furent mes amis; l'crivain Marc Augier (plus communment connu sous le pseudonyme de Saint-Loup), l'ethnologue Jacques de Mahieu, mon trs intime Emile Mller, spiess la Sturmbrigade Wallonie, l'obersturmfhrer Roger de Goy, ce vritable gentilhomme, Vierendeels, cet autre untersturmfhrer mon ami et regrett Henri Simon de la Sturmbrigade FRANKREICH; ddi aussi aux deux commandeurs, que j'ai connus, au tribun Lon Degrelle et au modeste Jef Franois.

Ddi aussi tous ceux, qui survcurent, mais qui 50 ans aprs la dfaite de l'Allemagne continuent combattre pour leur idal tout en gardant leur foi dans l'homme exceptionnel, qui ft leur chef. A toute cette lite guerrire indo-europenne, qui malgr l'adversit vcut toujours spirituellement en faisant le Bien et en se dvouant pour les peuples d'Europe; de ce fait, elle n'a nul besoin du secours qu'apportent les sacrements aux ignorants, ni de la reconnaissante condescendance de la tourbe mdiocratique et dmocratique actuelle.

Ce livre pour expliquer aux jeunes gnrations, qui ne connaissent de ces temps hroques que la mdiocrit mensongre distille, jour aprs jour, par des mdias entirement subordonns au mondialisme, ce que fut rellement Hitler, le Fhrer, qui tous ces guerriers prtrent serment de fidlit jusque dans la mort. Ce chef exceptionnel, auquel les survivants restent encore fidles, malgr les perscutions inquisitoriales, que fait rgner sur eux la pieuvre mondialiste. Cette inquisition ne du judo-christianisme contre le monde paen et qui perscute sans piti tous les esprits libres et indpendants. Depuis Juda, c'est toujours la mme bte immonde, la mme pieuvre tentaculaire, qui opprime les cerveaux, et qu'il faudra bien finir par craser sans plus aucune piti. Car jusqu' ce jour elle a toujours bnfici de la navet, de la bont et de la tolrance de ses victimes; victimes qu'elle a mme le culot de taxer d'intolrance.

Ce livre doit actuellement rester anonyme cause des lois liberticides concoctes en France par les judo-maons Fabius et Gayssot et en Belgique par les frres maons juifs Moureau-Erdekens; en Allemagne par la scandaleuse loi sur les dlits dopinion et mme en Suisse, dans cette soi-disant dmocratie idale, par larticle 261 bis, qui obligea lhonnte chercheur historien Jrgen Graff a sexiler en Iran.Mais le moment est venu d'clairer la jeune lite indo-europenne, qui se lve, pour que tous comprennent le sens du combat de leurs ans et de leurs anctres contre la pieuvre malsaine du mondialisme apatride, qu'ils devront combattre leur tour s'ils veulent rester des hommes libres.

HITLER CONTRE JUDA

Chapitre I: Hitler tait-il antismite?

Chapitre II: Hitler homme et chef de croisades

Antibolcheviques.

Chapitre III: Hitler et l'conomie.

Chapitre IV: Hitler l'homme, le lgaliste.

Chapitre V: Hitler l'homme de paix.

Chapitre VI: Hitler victime, des dgnrs et des

corrompus.

Chapitre VII: Hitler chef de guerre.

Chapitre VIII: Hitler l'homme trahi.

Chapitre IX: Conclusions.

Chapitre I

HITLER ETAIT-IL ANTISEMITE ?

Hitler tait-il antismite? A cette interrogation nous pouvons sans crainte rpondre NON. N'en voulons pour preuves que sa protection constante, jusqu' sa mort, du grand Mufti de Jrusalem. Que son acceptation d'armer et d'introduire dans la Wehrmacht des auxiliaires arabes, principalement des Algriens et des Tunisiens et d'en incorporer aussi dans la Gestapo de France. Il accepta aussi d'incorporer dans la Waffen SS plus de 10.000 Bosniaques musulmans, qui vu leur nombre constiturent une division appele "Handschar". Cette unit s'illustra dans de trs durs combats sur le Vardar, sur la Drave (en liaison avec les Oustachis Croates), en Hongrie et dans le Burgenland d'Autriche o elle fut finalement anantie. Rappelons aussi qu'une petite unit de la Luftwaffe alla aider des rvolutionnaires Iraquiens, parmi lesquels un tout jeune militaire s'appelait Saddam Hussein, et qu'une bande de comploteurs militaires gyptiens (dans laquelle se trouvait le sous-lieutenant Nasser) tait prte se soulever contre les occupants anglais l'arrive de Rommel prs du Caire.

Lors du dferlement des troupes allemandes au printemps 1942 dans le Caucase de nombreuses ethnies musulmanes de ces rgions acclamrent les reprsentants d'Hitler comme des "librateurs". Des Tcherkesses, des Ouzbeks, des Azerbadjanais et surtout de nombreux Tchtchnes en profitrent pour s'engager dans la Waffen SS au service d'Hitler. Les Tchtchnes "collaborrent" tellement activement contre l'oppresseur sovitique, qu'en 1944, suite la rcupration de ces rgions par les bolcheviques, Staline ordonna de dporter dans les Goulags de Sibrie l'ensemble du peuple tchtchne. Les survivants ne purent regagner leur Caucase natal qu'aprs bien des souffrances et des morts, une partie sous la dictature de Kroutchev, une autre sous celle de Brejnev. Mais leur haine du bolchevisme resta encore si vive, que 50 ans plus tard, sous la "prsidence" du juif Eltsman (dit Eltsine) ils se rvoltrent nouveau en dclenchant la guerre russo-tchtchne de 1994 (guerre calme et cesse grande peine grce l'intelligence du gnral russe Lebed).

Rappelons enfin, pour faire fi de ce soi-disant antismitisme hitlrien, que dans son Testament politique Hitler prconisa l'alliance constante du National-Socialisme avec les peuples musulmans volus. Il reut toujours avec bienveillance de nombreux dirigeants arabes, comme le grand Mufti de Jrusalem, comme Bourguiba le leader tunisien, ou mme comme l'Aga Khan, qui lui rendit visite en octobre 1937. A cette occasion Hitler lui expliqua comment il esprait solutionner les problmes de l'Anchsluss, des Sudtes et de Dantzig. L'Aga Khan approuva avec une telle chaleur Hitler, que son traducteur Paul Schmidt (en ralit un anti-nazi comme la plupart des membres des Affaires Etrangres d'Allemagne de l'poque) en fut tonn au point de relater le fait dans ses mmoires. En outre dans son "Testament Politique" dict juste avant sa mort Hitler regretta de ne pas en avoir fait beaucoup plus dans le sens d'une vritable alliance hitlro-musulmane, mais qu'il en ft toujours empch cause de son alli Mussolini, colonialiste de la vieille cole. NON, Hitler n'a jamais t "antismite"; par contre, il devint progressivement antijuif, ce qui est tout diffrent.

L'on ne nat pas antijuif. Il n'existe pas de gne antijuif. On le devient. C'est une raction mentale acquise. Est-ce une altration mentale pathologique, ou au contraire une raction de rejet saine et motive? Cette tude historique ne cherche ni accuser, ni excuser. Elle cherche comprendre Pourquoi et Comment un homme d'tat, qui eut toujours le courage de s'exprimer et d'agir suivant ses convictions et d'y conformer tous ses actes politiques, devint progressivement antijuif. Aucun homme politique dmocrate tenu son clientlisme et son dsir primaire de se maintenir cote-que-cote la mangeoire politicienne, ne peut se vanter d'avoir, comme lui, toujours conform ses actes ses dires et ses paroles ses convictions. Mme de nombreux autocrates et dictateurs n'osrent se soumettre cette rgle d'honntet politique pour ne pas dire d'honntet tout court. Hitler si. Pourquoi et comment un homme intelligent (il suffit de lire "Mein Kampf" pour s'en rendre compte et de voir comment de rien il cra le parti politique le plus important d'Allemagne), volontaire, franc, droit et intgre (il fut toujours pauvre, sa seule richesse provenant de ses droits d'crivain) peut-il devenir si foncirement antijuif. C'est ce que je vais tenter d'expliquer.

Hitler naquit Braunau sur l'Inn le 20 avril 1889. Son pre, d'ascendance paysanne modeste, tait fonctionnaire des douanes dans cette petite localit autrichienne. Ensuite pre, mre et enfants vcurent Passau et Lambach. De l le petit Hitler fit ses tudes la "Realschule" de Linz. Pour ses condisciples, il tait assez solitaire et taciturne; pour ses matres, il tait veill et intelligent, mais irrgulier dans ses tudes. En fait, il restait rtif aux tudes qu'il n'aimait pas ou auxquelles ses professeurs ne parvenaient pas l'intresser, car il fut toujours trs affectif et trs slectif dans ses centres d'intrts. Par contre, il tait toujours dans les premiers en Histoire et en Gographie, l'inverse de ce qu'crit Joachim Fest dans son "Histoire d'Hitler", qui n'est qu'un tissu de mensonges haineux manant d'un "historien alimentaire". De par son engouement pour l'Histoire, Hitler garda toute sa vie une relle et profonde affection pour son professeur d'Histoire et de Gographie. Lors de l'Anschluss en mars 1938, lorsqu'il entra en Autriche la suite de ses troupes Hitler alla d'abord se recueillir sur la tombe de sa mre et ensuite il rendit visite son vieux professeur. L'on ne sait ce qu'ils se sont dits, mais il est certain qu'Hitler sortit de cette entrevue trs mu et les larmes aux yeux... Jamais Hitler ne dsavoua ses amitis et ses affections; ainsi, il resta toujours fidle ses anciens camarades de tranches, comme son adjudant Max Amman (un juif, qui devint diteur sous le 3me Reich), ou ses camarades du parti, malgr les frasques de certains (nous tudierons le cas de Rhm plus loin). Son caractre correspondait rellement son prnom d'Adolf (soit Edel Wolf, le loup fidle). Il possdait en outre un rel don pour le dessin, comme l'on peut encore s'en rendre compte dans le magnifique livre intitul: "A. Hitler als Maler und Zeichner" paru chez Amberverlag.

Son pre mourut d'une attaque crbrale alors que le petit Hitler n'avait que 13 ans. Mais tout en s'aimant l'un l'autre, pre et fils se disputaient souvent; chacun voulant imposer sa volont l'autre. Le pre voulait faire de son fils un fonctionnaire comme lui, le fils prfrait la vie au grand air et l'absence de contraintes de l'artiste indpendant. Plus grave pour lui fut la mort de sa mre des suites d'un cancer. Hitler adorait sa mre, et il se dvoua la dernire anne de la vie de celle-ci la soigner et tenir leur petit logis, ne rpugnant aucune besogne domestique, mme les plus ingrates. Ce dvouement filial fit l'admiration de tous ses voisins. Il n'empche qu'il se retrouva seul (sa sur et sa demi-sur avaient depuis longtemps quitt le foyer familial) et sans le sou l'ge de 15 ans; tout le petit avoir de la famille avait t dpens en soins pour sa mre et pour son enterrement.

Il est intressant d'ajouter ici un autre fait significatif du caractre d'Hitler; fait qui remonte cette poque. En effet, lors d'une promenade avec sa mre, une amie de celle-ci et son jeune fils, le petit Adolf g de 11 ans vit son petit camarade tomber l'eau. N'coutant que son courage et malgr son ignorance en natation le petit Hitler n'hsita pas se jeter l'eau pour sauver l'autre enfant de la noyade. Le fait fut si spectaculaire et si hroque, que les journaux locaux le relatrent avec force louanges, et que Adolf Hitler ft, bien qu'encore enfant, dcor de la mdaille du courage de l'Empire austro-hongrois. Naturellement les mdias actuels, tous aux ordres exclusifs de la mdiocrit dmocratique et de la mafia politico-financire cosmopolite "oublient" de rappeler ce fait authentique dans leur dsir impratif de diaboliser un tre d'exception.

Hitler reconnut plus tard avoir connu quelques commerants juifs Linz. Trs peu, car les petites villes de province intressent toujours peu ce peuple captieux, intrigant et l'entregent norme et sophistiqu. A cette poque Hitler les assimilait des Allemands parlant allemand, parfois mal certes, mais vtus comme des Allemands et vivant comme eux; bref, de vritables poissons nageant dans le peuple comme dirait Mao Ts Toung. Il rsulte de tout cela, que jusqu' ses 16 ans Hitler n'tait certainement pas antijuif. Ce vocable et cette attitude lui taient inconnus. (Lire ce sujet "Mein Kampf")

Orphelin donc 15 ans et se sentant dou pour le dessin, Hitler dcida d'aller tenter sa chance Vienne, la grande capitale. Il se prsenta au concours de l'Acadmie de dessin, mais il fut refus pour trop de classicisme. Dj cette poque l'art pictural tait dans des mains essentiellement juives, (lire ce sujet: "Isral destructeur d'empires" par Lon de Poncins) et de ce fait il tendait dsormais vers l'abstraction annonciatrice du cubisme, du dadasme, de l'impressionnisme, du surralisme etc... Vers tous ces "arts dgnrs", qui allaient bientt s'imposer partout. Cet chec fut une grosse dception pour Hitler, qui cependant n'associait pas encore sa msaventure l'influence judaque progressive sur les arts, et malgr que sur les 7 membres du jury, qui avaient refus son travail, 4 taient Juifs. Vu ses dessins d'une relle valeur artistique (comme je l'ai signal plus haut) on lui conseilla d'entreprendre des tudes d'architecture; mais sans argent, il y avait plus urgent; il fallait manger et pour cela accepter n'importe quel travail. Le voil donc transform en manuvre dans le btiment. Il y fait tous les petits mtiers lis la construction, constatant dj que dans cette socit multiraciale et multiculturelle, compose en majorit de divers groupes slaves (Polonais, Tchques, Slovnes, Croates, Hongrois, etc...) les Germains minoritaires taient de plus en plus brims et carts. L'tat autrichien n'avait plus de germanique que le nom, et il poussait une slavisation de plus en plus marque sous l'impulsion des conseillers de la cour, Juifs et Slaves, et sous l'influence grandissante de l'archiduc Franois-Ferdinand, dont la femme, comtesse tchque, hassait les Germains.

Comme ouvrier Hitler fait aussi connaissance avec les syndicats du monde du travail et avec la terreur et la violence, qu'ils font rgner sur le pauvre monde proltaire; connaissance aussi avec le chantage et l'exploitation financire, que ces syndicats imposent leurs adhrents. Voulant s'opposer cette exploitation honte de la misre, Hitler refuse de se syndiquer dans ces conditions et doit souvent abandonner son travail sous la menace et sous la promesse "d'accidents" de la part des brutes syndiques. A l'inverse de tous les politiciens socialistes actuels (politiciens de plus en plus mafieux au fil du temps, et en grande majorit d'origine bourgeoise, car rarissimes sont encore ceux d'origine rellement proltarienne de par le monde) Hitler connut la misre, le chmage, la faim et les lendemains incertains.

Autodidacte, intelligent et bon observateur, Hitler essaye de comprendre. Il lit beaucoup afin de savoir qui dirige les syndicats. Car si les tueurs sont la plupart du temps Slaves, parfois Germains, les dirigeants, eux, pour la plupart sont Juifs. Par ses lectures, il essaye aussi de comprendre pourquoi le monde bourgeois laisse faire. Et l aussi il constate, avec tonnement d'abord, que la plupart des journaux dits de droite de l'poque sont dirigs par des Juifs ( part quelques rares petites feuilles racistes), et bien souvent mme les articles y sont rdigs par une plthore de journalistes de la mme race. Il s'aperoit aussi, que toutes les maisons d'dition sont dans leurs mains (comme dans la France actuelle), et qu'en dfinitive les Juifs ont phagocyt tout autant les journaux socio-dmocrates (de droite parlementaire) que les journaux marxistes. Ce qui leur permet d'orienter l'opinion publique suivant leurs intrts et leur bon vouloir.

Vivant dans les quartiers pauvres vu son dnuement, et frquentant mme parfois les asiles de nuit pour dormir, Hitler s'aperoit aussi que la plupart des proxntes viennois sont Juifs. De mme d'ailleurs que beaucoup d'artistes, de rapins et de metteurs en scne surtout connus comme crateurs de pices "oses" (pour l'poque). A cette poque Vienne, ville de deux millions d'habitants, comptait 200.000 Juifs. Ce nombre leur permettait de se placer, petit petit, tous les postes de propagande et de commande, surtout depuis l'apparition du parlementarisme dmocratique. En ralit l'empire autrichien n'tait mme plus une royaut, mais une dmocratie parlementaire, le pire rgime qui soit. En effet la "dmocratie" possde trois grandes tares, c--d l'irresponsabilit des dirigeants, le clientlisme dmagogique ncessaire pour y tre lu et pour y rester dans la "mangeoire", et l'importance des groupes de pression (syndicats et journaux l'poque, lobbies, TSF et tlvision actuellement). Le corollaire d'un tel systme c'est la lutte des classes. Alors que pour qu'un pays progresse, toutes les classes doivent s'y soutenir et s'y entre-aider; ce que seul d'ailleurs un tat bas sur la race peut concevoir et organiser.

En outre dans certains quartiers de Vienne, cette grande ville cosmopolite aux 200.000 Juifs, Hitler rencontra pour la premire fois le Juif type, celui de la Bible, le Juif Hassidim, le vrai croyant, celui vtu d'un cafetan tout noir, coiff de tresses et de papillotes, sale, sentant mauvais, car c'est pour ce peuple du dsert un pch que de "gaspiller l'eau" se laver. C'est le Juif ternel, que nous pouvons encore toujours admirer dans nos grandes villes, Anvers comme Carpentras, Montpellier, Verdun, Tel-Aviv ou Jrusalem. Si beaucoup de Hippies et de trane-savates malpropres leur ressemblent actuellement en adoptant leurs us et coutumes, aucun Germain de l'poque d'Hitler n'aurait os s'accoutrer de la sorte; et tous les considraient comme une race de pouilleux indignes de faire partie de l'humanit civilise. Tous les vitaient, non seulement cause de l'odeur et de la malpropret gnratrice de miasmes, d'infections et de parasitoses, mais aussi pour leur aspect farouche et leur enttement fanatique facilement lisibles dans leurs yeux de braise.

Bien que trs pauvre Hitler possdait une soif d'apprendre et une passion, la lecture. Non seulement il dvorait tous les journaux de son poque, qu'ils soient de gauche ou de droite, mais en outre il prfrait bien souvent dpenser une grande partie de son maigre pcule acheter des livres et des fascicules, tout en se nourrissant des aliments les moins chers, c--d de lait et de pain. La viande des riches tait pour lui un festin rserv aux jours de ftes, trs rares d'ailleurs. Et par ses lectures qu'apprit donc Hitler? D'abord que les journaux marxistes prnaient la destruction des Etats par la lutte des classes, par l'attente d'une "internationale" haineuse et par le complet mlange des races. (C--d un systme qui est en voie de ralisation actuellement). Naturellement Hitler constata de suite, que ceux qui prnaient ces mlanges raciaux n'avaient qu'une ide en tte: Conserver la puret raciale de la race "lue". Cela suivant le bon vieux principe de: "Faites ce que je dis et non ce que je fais." Mais Hitler constata aussi, que de mme les journaux "dits de droite", les journaux socio-dmocrates, prnaient exactement la mme chose, la mme faon de dsorganiser et de dtruire les Etats, mais sur un ton mineur, par une mthode moins brutale, c--d par le parlementarisme. Car ce dernier consiste tout dsorganiser par la "loi du nombre", systme o la voix de chaque imbcile quivaut celle d'un homme intelligent, beaucoup plus rare; ou au minimum, o la voix d'un ignorant dans une matire dtermine quivaut celle d'un homme instruit dans cette matire prcise, et de ce fait lui aussi beaucoup plus rare. En outre les socio-dmocrates, qui tous poussaient la slavisation de l'empire austro-hongrois, prconisaient eux aussi le mlange des races.

Mais outre les journaux, Hitler se fora tout d'abord lire de bout en bout "Le Capital" de Karl Mordkay (dit Karl Marx), ce pav littraire que pratiquement aucun communiste ni aucun socialiste n'a lu en entier tellement il est indigeste et mal crit. Hitler le lut en entier et il comprit, qu'il consistait en un brlot destructeur de toute culture et de toute socit organise. Ce "Kapital" est une utopie pour simples d'esprit. Il lut de ce fait aussi le "Manifeste communiste" du mme Karl Mordekay, ce petit-fils de rabbin, et de son compre Engels, ce petit industriel juif anglais.

Il lut aussi les ouvrages de Ferdinand Lassalle, ce fils d'un industriel juif de Dsseldorf, franc-maon, radical-socialiste et quarante-huitard, qui lui aussi dans ses crits poussait au parlementarisme niveleur et la socit de "producteurs-consommateurs" abrutis par le suffrage universel. Au premier abord Lassalle paraissait moins destructeur que Marx, car il prconisait encore l'unit de l'Etat allemand. Mais il permit Hitler de subodorer pour la premire fois la perversit de ce "peuple lu", qui depuis les temps les plus reculs n'a toujours uvr qu' un seul but, la domination de la terre entire, comme l'enseigne et leur promet leur livre saint, le Talmud. En effet il y a le Juif communiste, celui qui ne cache ni son visage, ni son but, c--d dominer tous les autres; mais il y a son contraire, du moins en apparence, c--d le Juif dmocrate, celui de "droite" reprsent par les Lassalle, Krenski, Rathenau, Fabius, Debr, Gol, etc... L'on ne sait lequel est le plus pernicieux. Si Janus bifrons tait un dieu celte, la race juive en est son incarnation diabolique se disait Hitler.

Toujours fru d'histoire, car pour lui l'histoire du pass permettait de comprendre le prsent et surtout d'interprter le futur, Hitler s'intressa tout d'abord l'histoire de la rvolution de 1848. Rvolution qui clata "brusquement" au mme moment dans de nombreux pays d'Europe, comme si un "chef d'orchestre" l'avait organise. Hitler comprit facilement, que ce chef d'orchestre tait la race juive, avec l'aide de sa presse enjuive, de gauche comme de droite, et avec l'aide de l'ensemble de la Franc-Maonnerie. Cette main-mise de la juiverie sur la Franc-Maonnerie datait d'avant la rvolution franaise de 1789. En effet, ds 1786 le Juif Weishaupt, dans sa loge juive appele "Les Illumins de Bavire" planifia la mort de Louis XVI et la rvolution dite "librale" de 1789. La nouvelle rvolution "librale" de 1848 se propagea comme une trane de poudre travers de nombreux pays, comts et duchs d'Europe, tout comme brusquement en 1968 la rvolution judo-maonnique faillit renverser les Etats d'occident avec l'aide de nombreux groupuscules Juifs trotskistes, la tte duquel trnait le Juif Cohn-Bendit. Ainsi en 1848, Juifs et francs-maons mlangs tentrent de dstabiliser: Kossuth en Hongrie, Robert Blum Francfort, Polacky et le philologue Schapparick Pragues, Louis Gaj en Illyrie, Lamartine et sa bande de francs-maons en France, Mazzini et ses maons Carbonari en Italie, etc...

Ensuite, Hitler s'intressa la naissance du parti communiste russe fond en 1880 par trois Juifs (Lo Deutch, P. Axelrod et Vra Zazulich) et par un Russe nomm Pljanov. Cet avnement se droula sous le rgne du tsar Alexandre II, qui fut assassin en 1881 par le Juif Vra Fignez aid d'autres conspirateurs, tous Juifs. Cet assassinat fut d'ailleurs orchestr et prpar par un ensemble de journalistes juifs d'Odessa et de Saint-Petersbourg. Suite cet assassinat le ministre de l'intrieur de Russie tenta de recenser les Juifs du royaume, ce qui aboutit au nombre effarant de six millions. Mais il y en avait sans doute nettement plus, car les Juifs furent toujours rebelles tout recensement. Dj du temps des Romains les fanatiques Zlotes s'opposrent par le crime leur dnombrement, car cette statistique aurait dmontr, que la Palestine appartenait en majorit d'autres ethnies. En 1948, les Juifs revendiqurent abusivement la Palestine sous prtexte que cette terre tait la leur depuis des temps immmoriaux. Ils l'obtinrent grce aux soi-disant perscutions, qu'ils venaient de subir durant la seconde guerre mondiale et surtout grce leur cration onusienne, nid de Juifs et de francs-maons leur dvotion. Et cela en dpit qu'il est prouv que mme au temps de Salomon les Juifs n'taient qu'une minorit parmi tous les peuples de la rgion. Dans les campagnes, ils taient pratiquement absents (celles-ci tant peuples de Philistins, d'Hittites, d'Amorens, d'Idumens, de Cananens, etc...) Ils n'taient vraiment en nombre suprieur 50% que dans deux villes, Jrusalem et Hbron. Il faut lire ce sujet les "Mmoires" de Glub Pacha intitule "Soldat avec les Arabes" (dit Plon). Naturellement en bons commerants les Juifs revendiqurent toujours cette rgion de passages obligatoires sise entre trois continents et surtout actuellement depuis la dcouverte des richesses ptrolires. Mais revenons la Russie. Aprs le recensement de 1881 les assassinats des membres du gouvernement se multiplirent. Un Juif nomm Alexandre Illitch Oulianov, fils de la juive Blank, tenta sans succs d'assassiner le tsar Alexandre III et fut pendu pour cet acte de lse-majest. Mais son frre Vladimir Illitch Oulianov, le mari de la juive nomme "la Kroupskaa" russit, lui, en 1917 renverser le tsar Nicolas II et le faire massacrer avec toute sa famille par ses sbires Juifs et par quelques Lettons. A la suite de la rvolution russe Vladimir Oulianov se fit appeler Lnine.

La Russie a toujours intress Hitler, car fru d'histoire, il la considrait comme une terre d'expansion germanique, qui, tout en absorbant l'excdent de population allemande, viterait toutes frictions avec les puissances anglaise et franaise. Car en fait Hitler a toujours voulu la paix avec la France et avec l'Angleterre, bien qu'il considrait que la France enjuive aux mains des Juifs et des francs-maons restait l'ennemie du peuple allemand. Ces deux puissances enjuives le lui prouvrent en lui dclarant la guerre en 1939 sous l'impulsion du mondialisme juif. Pour Hitler, la Russie reprsentait et rappelait l'pope des Goths et des Vandales, ces peuples germaniques, qui y sjournrent longtemps au dbut de notre re, ainsi que les migrations importantes d'Allemands, entre autres du temps de la grande Catherine II ou de celui des chevaliers teuroniques.

Dans cette atmosphre russe de lutte des classes, d'anarchie et d'inscurit relative, un autre vnement d'importance attira l'attention de Hitler; vnement qu'il pu suivre pratiquement "en direct" suivant l'expression des mdias actuels. Il s'agissait tout d'abord de la fracassante dfaite de la flotte russe Tsushima lors de la guerre russo-japonaise de 1905. Il s'aperut cette occasion, que les troubles et les graves meutes, qui clatrent en Russie suite la dfaite de cette guerre lointaine taient partout foments, organiss et dirigs par les communistes et par leurs associations secrtes, dont la plus active s'appelait "Le Bund". Cette socit secrte uniquement juive tait ne Wilmo en 1887. Elle se dissocia rapidement en deux branches appeles "Polae Sion" et "Sionistas Socialistas". Ces deux branches donneront plus tard les "Bolcheviks" pour la premire dirige par le Juif Lnine, et les "Mencheviks" pour la seconde dirige par le juif Krenski. Quant au Bund lui-mme, ses dbuts il fut dirig par les Juifs Gershuni et Trotsky. Ce dernier, Bolchevik convaincu, tait mari la fille du plus important banquier juif de Russie nomm Giovatovsky. C'est par ce banquier que transitait l'argent venant des banquiers Juifs amricains. Lorsque plus tard Trotsky sera banni par le Juif Staline (de son vrai nom Jozef Djougachvili, c--d en gorgien Chvili qui veut dire fils et Djouga, qui signifie juive), le pactole venant des banques juives amricaines ne tarit pas et transita alors par la famille juive des Molotov, dont la femme Tchemtchoukhina Karp tait la fille du gros banquier Juif russe Karp. D'ailleurs, la femme du juif Staline tait-elle aussi juive. Elle s'appelait Rassa Kaganovitch, de mme que les beaux-frres Juifs de Staline, Michal, Aaron, Serge et Boris Kaganovitch, tous trs influents dans le rgime. Les plus proches collaborateurs de Staline taient, eux aussi, exclusivement Juifs (et cela malgr l'limination de certains pas assez disciplins), tel l'ambassadeur Maisky, les policiers Yeyov, Yagoda et Bria, qui successivement dirigrent le Gupou, tels Lev Z. Meklis directeur de la Pravda, l'organe du parti, Salomon Lozovski ministre des affaires trangres en 1951, Eugne Varga (alias Lippmann), conomiste, Youdine ministre des travaux publics, Kirchestein, Peter Livitsky, etc... Sans compter tous ceux qui changrent de nom pour mieux masquer leur origine et viter ainsi que l'on ne puisse parler de complot juif. C'est d'ailleurs partout une caractristique et une revendication constante et premire du peuple Juif de pouvoir changer officiellement de nom et de pouvoir jouir partout de double ou mme de triple nationalit.

Mais revenons-en au Bund, qui avait d'ailleurs organis et russi de nombreux assassinats, comme ceux des ministres tsaristes Sipyagni, Bogdanovich, Plhv, du gnral Dubrassov, du grand duc Serge, etc... Chaque branche du "Bund" prconisait certes une technique diffrente, tantt rude, tantt plus douce, mais le but tait toujours le mme, c--d renverser le tsarisme pour la plus grande gloire d'Isral. L aussi, il s'agissait du mme peuple avec deux visages. Naturellement, les vnements de Russie n'taient relats que de faon "dulcore" dans les journaux allemands, tous aux mains des Juifs. Cependant pour qui tait veill, conscient et "au parfum", comme commenait l'tre Hitler, les dductions des vnements coulaient d'elles-mmes, mme s'il fallait parfois lire entre les lignes. D'ailleurs lorsque l'on connat suffisamment l'histoire du peuple juif, l'on s'aperoit, que sa tactique est toujours la mme, quel que soit le pays sur lequel il jette son dvolu.

L'dulcoration des rapports journalistiques empche cependant la divulgation de la vrit parfois durant un certain temps. Des faits trop flagrants pour tre dvoil au grand public, sont souvent tus au dpart, mais appris plus tard. Mais ils ne firent que conforter Hitler dans sa philosophie politique antijuive. Ainsi voici un exemple d'un fait longtemps cach: Aprs la destruction de la flotte russe en mai 1905 Tsushima, les Japonais firent plusieurs milliers de prisonniers. Ces marins russes furent emmens en captivit au Japon. C'est alors que les grands banquiers juifs amricains Jacob Schiff et Rockefeller (alias Steinhauer) proposrent aux Japonais de rapatrier les prisonniers ses frais moyennant quoi ils lui taient permis de les endoctriner au marxisme. Avant de revoir leur patrie ces Russes devaient devenir de bons Bolcheviks. Ici nouveau, nous pouvons constater la duplicit du mondialisme juif; les plus grands financiers du monde (des Juifs amricains) propageant la doctrine marxiste et soutenant financirement leur frre de race luttant sur le terrain en Russie. Ce qui prouve suffisance, que marxisme et grand capitalisme mondialiste ne reprsentent que les deux bras de la mme pieuvre. D'autre part aprs les rvoltes et les meutes de 1905 en Russie, afin d'viter que de nombreux terroristes juifs ne soient poursuivis par la justice et par la police tsariste, les banquiers juifs amricains fournirent de nombreux passeports de "citoyens amricains" bon nombre de ces terroristes. Mais comme l'poque la police tsariste passait parfois outre dans les cas les plus flagrants, les banquiers juifs amricains, mens par Jacob Schiff, Jacob Furt, Louis Marshall, Adolphe Kraus, Bernard Baruch et Warburg rclamrent cor et cri des reprsailles srieuses contre la Russie. Avec l'aide du futur prsident Woodrow Wilson, franc-maon niais tout leur dvotion, ils obtinrent en 1911 la dnonciation du trait de commerce unissant la Russie et les USA. Cette manuvre fut fort bien dcrite par Henri Ford dans son livre intitul "Le Juif international".

Mais Hitler lisait aussi bien d'autres choses. Ainsi, il avait lu de nombreux pamphlets, comme les deux que j'ajoute cette tude, et qui sont d'une authenticit indiscutable. Il avait aussi lu les livres de Edouard Drumont sur les magouilles juives lors de la construction du canal de Suez et de Panama ensuite. Ce dernier scandale fut une des plus grandes escroqueries de la famille Rotschild, qui ruina ainsi sans vergogne de nombreux petits porteurs d'actions de France.

Trs vite Hitler comprit, que les Juifs aspiraient la domination mondiale, et qu'il tait vident, que pour arriver leur but ils utilisaient le monde ouvrier dirig en sous-main par des cratures leur solde la plupart du temps d'obdience maonnique, comme ils le faisaient dj dans les parlements et dans les gouvernements. En outre il comprit, ds 1920 que la SDN (qui deviendra plus tard l'ONU) n'avait pour seul but que d'assurer le triomphe d'Isral. Cette obstination des Juifs dominer le monde, ne ft toujours que le rsultat d'un fanatisme religieux outrancier bas sur la fameuse promesse de leur dieu Iaveh, qui proclama par la bouche de ses prtres: "Je te donnerai toutes les nations pour hritage, pour domaine les extrmits de la terre."

La preuve de ce fanatisme nous la retrouvons dans une lettre de Karl Marx son ami Baruch Lvy (lettre connue d'Hitler et que reproduit le grand savant George Montandon, mdecin et ethnologue de grand renom, dans son livre intitul: "Comment reconnatre un Juif" paru aux Nouvelles ditions franaises).Cette lettre de Karl Marx est un vritable aveu, bien qu'crite longtemps avant la guerre de 14-18. Il y crit: "...Dans cette organisation nouvelle de l'humanit les fils d'Isral rpandus ds maintenant sur toute la surface du globe deviendront sans opposition l'lment partout dirigeant, SURTOUT S'ILS PARVIENNENT A IMPOSER AUX MASSES OUVRIERES LA DIRECTION STABLE DE QUELQUES-UNS D'ENTRE-EUX. Les gouvernements des nations formant la REPUBLIQUE UNIVERSELLE passeront tous sans effort dans les mains isralites la faveur de la victoire du proltariat. La proprit individuelle pourra alors tre supprime par les gouvernants de NOTRE RACE JUDAQUE, qui administreront partout la fortune publique. Ainsi se ralisera la promesse du Talmud que, lorsque les temps de Mose seront venus, les Juifs tiendront sous leurs clefs les biens de tous les peuples du monde." Voila un texte, se disait Hitler, que l'on pourrait et devrait afficher dans toutes les mairies socialistes. Et si cela ne suffisait pas encore il faudrait leur mettre sous les yeux cet extrait du manifeste de la loge juive nomme "Les Sages de Sion" qui dit: "Notre but principal, la domination juive du monde n'est pas encore atteint. Nous l'atteindrons et notre victoire est plus imminente que les foules des Etats soi-disant chrtiens ne se l'imaginent. Le tsarisme russe, l'empire allemand, le militarisme s'crouleront; tous les peuples seront entrans dans une dbcle. C'est ce moment que commencera la domination relle du judasme." Ce manifeste parut en 1911 en France. Et qui en l'an 2.000 au vu de tous les vnements, qui se droulrent durant le 20me sicle, refuse de croire son authenticit est pour ma part un jobard indcrottable et ne mrite que la mort dans l'esclavage le plus pnible. Un peuple, qui ne possde plus la lucidit minimale pour sa conservation doit disparatre. Rappelons-nous la phrase prophtique de Paul Valry: "Les peuples disparaissent lorsque meurent leurs instincts." Et l'aube de l'an 2.000 beaucoup de peuples indo-europens d'occident, qui se laissent envahir sans raction par un nombre toujours croissant et anormal d'immigrs non-indo-europens en sont l. Ils y sont arrivs par la destruction de leurs lites vraies, par l'gosme de chacun et par l'anormalit de la plupart; par la pourriture engendre par l'or juif et par la tratrise des logeards et de tous les enjuivs gostes, qui pullulent comme des cellules cancreuses dans un corps autrefois sain.

Mais revenons Hitler, qui petit petit parvenait survivre honorablement Vienne en vendant ses toiles, dessins et esquisses. Ecur par le parlementarisme austro-hongrois et par le mlange de plus en plus pouss de la population de l'empire, par la slavisation progressive sous l'gide du prtendant au trne Franois-Ferdinand, cur enfin par le laisser-faire des bourgeois vis--vis du marxisme et de ses agitateurs Juifs, Hitler dcida de s'exiler Munich, o il esprait d'ailleurs pouvoir entreprendre ses tudes d'architecte. Et au printemps 1912 il dbarqua dans la capitale de la Bavire. L les journaux et les parlementaires ne cessaient d'abreuver le peuple de vains bavardages au sujet de la "Conqute conomique pacifique". C'tait le nouveau slogan de l'poque, caractristique d'un monde bourgeois affairiste, qui pouvait ainsi paratre nationaliste bon compte. Car, comme il le ft remarquer plus tard dans son "Mein Kampf": "Cette conomie pacifique et conqurante est un rel non-sens; car mme les Anglais utilisent la force de leur arme pour imposer et pour garder leurs conqutes conomiques." Le pacifisme fut toujours et est encore aujourd'hui trs la mode chez tous les sociaux dmocrates bourgeois. Mais comme le dit trs justement Hitler dans "Mein Kampf": "On ne meurt jamais pour des "affaires" mais pour un idal... Et les peuples sans honneur perdent tt ou tard leur indpendance." En Allemagne comme en Autriche-Hongrie les Juifs formaient un vritable Etat dans l'Etat, tout en faisant accroire aux braves Teutons, que les seules diffrences qui les sparaient des Germains, taient exclusivement religieuses, alors qu'il s'agissait en fait de diffrences raciales, c--d physiques souvent, mais essentiellement mentales et comportementales. Et Hitler ajoute: "La doctrine de Mose n'est rien d'autre que la conservation de la race juive." Avant de mourir, dans son "Testament politique" il ajouta mme: "La race juive est essentiellement une race mentale, une faon de penser, de juger, de concevoir le monde la politique, le beau et la culture." Cependant malgr ses constatations l'Allemagne tait encore un peu moins enjuive que l'empire austro-hongrois; bien que dj l'ensemble de la presse leur appartenait, que de nombreux Juifs sigeaient dj au parlement ou comme conseillers du Kaiser.

En juillet 1914 le Juif franc-maon Gavrilo Princip, aid d'autres Juifs et de francs-maons assassine les archiducs Franois-Ferdinand et sa femme Sarajevo pour le compte de la Serbie, prouvant par ce geste l'ingratitude coutumire des Juifs et des Slaves pour leurs bienfaiteurs. Parmi les instigateurs-commanditaires de ce crime nous trouvons: 1) Pachitch, premier ministre de Serbie, un franc-maon. 2) Le prince Alexandre hritier de Serbie et franc-maon. 3) Les grands ducs russes Nicolas et Pierre et leurs pouses des princesses montngrines, associs aussi aux ministres russes Sazonov et lmosky; tous taient francs-maons. 4) Le prsident franais Poincarr grand matre maon, ainsi que son compre l'ambassadeur de France Saint-Petersbourg, le Juif Palologue. 5) Quant l'Angleterre elle possdait dj son boutefeu ; il se nommait Churchill, et il tait aux ordres de ses protecteurs, les Juifs Zaharof (trafiquant d'armes), et Samie Japhet ainsi que Cohen, tous deux banquiers de la City.

Malgr l'assassinat la mise en route de la premire guerre mondiale dura un certain temps cause de l'opposition du tsar Nicolas II, qui tait un ami personnel du Kaiser et le mari dune princesse allemande. Mais pour finir les grands ducs aids de Sazonov menacrent le tsar de le tuer sance tenante s'il ne signait pas la dclaration de guerre. Forc celui-ci s'excuta, mais il venait ainsi de signer son arrt de mort. Pour bien comprendre toutes les manuvres secrtes, qui se droulrent alors, il faut absolument lire: "Le traquenard de Sarajevo" par Lon Degrelle.

Pour dfendre le germanisme et sa culture menace le jeune Hitler s'engagea avec enthousiasme dans cette guerre, qu'il subodorait cependant truque et impose par des forces obscures, dont cependant il ne souponnait pas encore l'norme puissance. Il arriva au front dans les Flandres en octobre 1914. Il s'y comporta durant toute la guerre en excellent soldat, brave et courageux, au point d'obtenir la croix de fer de 1re classe, distinction trs rarement accorde un simple soldat cette poque.

En septembre 1916 se dclencha l'offensive allemande de la Somme, et durant cette attaque, le 7 octobre, Hitler fut bless pour la premire fois. On l'vacua l'hpital de Beelitz prs de Berlin. Et l il assista impuissant aux discours dfaitistes des planqus de l'arrire. Plein de dgot, avant mme sa gurison, il demanda sa mutation Munich pour rejoindre le bataillon de dpt de sa division. Partout il voyait les bureaux de l'arrire bonds de secrtaires Juifs. Comme le reconnat Louis-Ferdinand Cline pour la France, de mme que l'crivain juif Jean-Paul Sartre (dans son livre "Rflexion sur la question juive") en Allemagne comme en France les Juifs taient fort rares au front, et peu d'entre-eux y perdirent la vie; quelques centaines dans chaque camp, en regard des millions de morts blancs Indo-Europens. Alors qu'ils furent les principaux instigateurs de cette guerre, sans doute se rservaient-ils partout pour le "grand soir marxiste" d'aprs-guerre. En outre ds l'hiver 1916-17 Hitler constata, que la presque totalit de la production allemande tait passe dans des mains juives et que la totalit tait sous le contrle de leurs finances. Les Juifs taient arrivs tre les seuls fournir aux armes, comme durant la rvolution franaise et sous l'Empire napolonien. Et pour couronner le tout, dans leurs journaux les Juifs excitaient les Bavarois contre les Prussiens et vice-versa, afin de prendre plus facilement le pouvoir la fin de la guerre. Diviser pour rgner, telle ft toujours leur devise. Les mouvements autonomistes Basques, Bretons, Occitans, Wallons, Flamands, etc... feraient bien de mditer l'histoire pour ne pas tre les dindons de la farce juive. D'ailleurs en y regardant de plus prs, l'on s'aperoit que tous les mouvements autonomistes de par le monde et surtout en Europe sont financs de prs ou de loin par les banques juives amricaines par l'intermdiaire d'associations diverses et mme de la CIA. Crer la zizanie, que ce soit entre les Etats, entre les ethnies, les communauts, les classes sociales, et mme entre les individus ne fortifie qu'une seule cause; celle des Juifs.

Au printemps 1918 la chute de la Russie tsariste (sur laquelle nous reviendrons) et la droute italienne dans le Trentin permettait d'envisager srieusement la victoire de l'Allemagne. Mais les plans des mondialistes taient tout autres. Aussi pour empcher les Allemands de vaincre, car les marxistes et leurs allis espraient transformer sans difficult l'Allemagne, juge mre, en une seconde "Russie des Soviets", les marxistes organisrent des grves sauvages dans les usines de munitions et d'armements de l'arrire. Ils dsorganisrent ainsi rapidement toute l'conomie allemande, afin d'tablir la domination du capital international et de ses troupes marxistes. Et lors de l'offensive franco-anglaise du 13 octobre 1918 Hitler fut gravement gaz au gaz moutarde, et il faillit d'ailleurs en perdre la vue. Il fut vacu sur l'hpital de Passewalk. L en novembre il assista impuissant la rvolution spartakiste. Il vit des groupes de matelots mutins arriver en automobiles afin d'inviter les blesss faire la rvolution avec eux. Hitler crira plus tard dans son "Mein Kampf": "Tous leurs chefs taient Juifs; aucun n'avait t au front."

Dgot Hitler quitta au plus tt l'hpital pour rejoindre Munich. La ville tait en complte effervescence. Le Juif Kurt Eisner (alias Salomon Kutchinsky), aid par les Juifs J. Jaff et Foester prit le pouvoir avec l'aide des "Soviets de Soldats" dirigs par Ernst Toller et Gustav Landauer. Ce dernier, juif aussi, prconise d'ailleurs l'accs l'universit pour tous partir de l'ge de 18 ans, mais surtout la suppression dfinitive de l'enseignement de l'Histoire, cette "ennemie de la civilisation". (En fait ennemie du pouvoir juif).Les Soviets de Munich pratiqurent tellement d'excs, de dprdations et de meurtres, que K. Eisner fut rapidement assassin. Cependant les vritables dirigeants de cette nouvelle et phmre "Rpublique Sovitique de Bavire" taient trois Juifs venus spcialement de Russie pour la circonstance et de ce fait appels "Les Russes" par la population. Il s'agissait de Towia Axelrod, Eugne Levin et Max Levien. Ils taient seconds pour les sales besognes par un nomm Fritz Steigel et par un chef des armes rouges de Munich nomm Rudolf Egelhofer. On massacra beaucoup, mais le massacre le plus crapuleux et le plus rpugnant que l'histoire retiendra, ft celui du lyce Luitpold, qui servait de prison et o fut viole, torture et fusille la comtesse Hella von Westarp, ainsi que ses amis du groupe Thul. Mais l'poque le reste de l'Allemagne ne valait gure mieux. Les marxistes Spartakistes se soulevaient partout, excits par les discours incendiaires de deux Juifs nomms Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht. Ces agitateurs professionnels furent heureusement assez vite apprhends et fusills par des hommes de la brigade Ehrardt. Leurs chefs morts, toutes les rvolutions locales mal coordonnes frent ananties, bien que les nombreux Juifs, qui les dirigeaient, possdaient une longue exprience d'organisateurs en ce genre. Ce qui fera dire plus tard Hitler: "Avec les Juifs il n'y a jamais pactiser, mais dcider; avec eux c'est tout ou rien."

A la suite de la reprise de Munich par les troupes rgulires, Hitler fut nomm "officier de propagande" (biltdungsofficier) avec mission de surveiller les nombreux petits mouvements de droite, qui fleurissaient Munich la suite de sa libration de la peste rouge. C'est ainsi, qu'il put s'immiscer dans un petit mouvement de 7 membres, qui deviendra plus tard le NSDAP. Mais cela est une autre histoire, que nous verrons plus tard. Notre but tant pour le moment d'expliquer les origines de son sentiment antijuif; et pour cela revenons quelque peu en arrire la rvolution russe et aux fameux "Protocole des Sages de Sion", qu'Hitler put lire en 1920.

* * *

Pour faire la rvolution, pour l'tendre au monde entier et surtout pour imposer une nouvelle conception politique, et pour tout dire une nouvelle culture des peuples blancs indo-europens habitus vivre dans l'honneur, dans la hirarchie, dans une libert limite par des freins librement consentis, dans le culte du beau et du bien, et pour remplacer tout cela par des cultes nouveaux; celui du profit, de l'conomie, de la rentabilit quelque soit le moyen employ, de l'absence d'honneur et d'une nouvelle hirarchie non plus naturelle mais cette fois base sur le culte de l'or et du compte en banque, il fallait trois choses, c--d:

1) Une organisation structure but prcis, base en un premier temps sur la dsorganisation totale des Etats et des organismes nationaux existants (comme les administrations, les armes, les polices, etc...) Ensuite il faudrait reprendre en main cette anarchie cre et imposer la nouvelle hirarchie, celle des "Elus", c--d celle du "Peuple Elu".

2) Proposer une propagande adquate et mondiale afin d'viter l'apparition de rflexes de dfense dans les pays choisis. (Russie et Allemagne pour commencer). Mais aussi d'viter ces rflexes dans les pays voisins capables de comprendre ce qui les attendrait ensuite et ainsi de venir en aide aux "Pays Choisis". Ce ft par exemple le cas en Russie, o les armes blanches furent au dpart aides par la France et par l'Angleterre, jusqu'au moment o l'ensemble des journaux occidentaux aux mains des Juifs dcrivirent longueur de jours et de pages Lnine, Trotsky et les autres Bolcheviks comme de braves bourgeois, qui s'efforaient juste redresser une situation anarchique; l'on doutait mme qu'ils fussent communistes. Car cette fois la conspiration visait le monde entier, afin de le livrer en totale exploitation au peuple lu comme l'a toujours promis Jhovah. Le mensonge est un art, ou comme le rptait Schopenhauer: "Les Juifs sont les grands matres du mensonge." Tous les organes de presse des pays industrialiss, les seuls qui comptaient l'poque taient solidement agripps dans les serres juives. Plus tard les radios et les tlvisions viendront s'ajouter leur puissance mdiatique.

3) Pour faire "marcher" tout cela il faut une norme propagande et une publicit constante associes l'achat des consciences de nombreux dirigeants des Etats; achat facilit par l'imposition partout du parlementarisme et de la "dmocratie" et bien sr par l'or des Juifs.

Pour mettre au point la tactique l'on cra deux options; savoir:

1) L'option rapide, qui correspond une prise de pouvoir sanglante base essentiellement sur la terreur.

2) Lorsque cette option choue, il reste la voie parlementaire, certes plus lente, mais la fin tout aussi efficace.

Ainsi en Russie la voie rapide bolchevique russit. Il ne restait alors plus qu' liminer les partisans de la voie lente, c--d les Menchviks de Krenski (alias Adler). Ce dernier s'exila avant la purge, car il tait Juif et au parfum, mais les nombreux crtins Russes, qui crurent en lui, pour la plupart des bourgeois, furent soit massacrs, soit emprisonns dans les Goulags nouvellement crs par Lnine. Notons ce sujet, que parfois des Juifs sont sacrifis par leurs frres pour le bien du peuple lu. Ainsi Staline sacrifia Trotsky, Kamnev (alias Apfelbaum), Zinoviev (alias Rosenfeld) Yeyov, Yagoda, etc... et de mme en 1952 le prsident juif Eisenhower dut-il sacrifier ses coreligionnaires les poux Rosenberg, qui en pleine guerre froide avaient fourni des secrets atomiques aux Sovitiques. Dans ce contexte Eisenhower devait absolument calmer son opinion publique. Sans regret les Juifs mondialistes sacrifient parfois certains des leurs pour le bien de leur peuple; comme en temps de guerre certains hommes sont sacrifis pour sauver une arme. Souvent mme les Juifs ainsi sacrifis acceptent sans haine leur sort, comme le dmontra les nombreux procs de Moscou mis sur pied par le Juif Vichinsky. Essentiellement racistes les Juifs savent qu'en fin de compte c'est pour le bien de leur communaut. Tous les peuples ont leurs martyrs. En Allemagne la mthode rapide bolchvico-spartakiste choua. Restait alors la voie lente parlementaire des sociaux-dmocrates. Voie que finit par faire avorter un homme gnial, Adolf Hitler. Pour cette raison il fallait absolument l'exterminer, car son exemple pouvait tre (et il le fut) contagieux.

La premire runion, celle qui devait planifier la tactique double, eut lieu lors du Congrs juif de Ble en 1897 sous la direction de Todor Erzl. Un certain Asher Ginzberg servit de secrtaire. Lors de ce Congrs l'on ractiva et modernisa les fameux "Protocoles des Sages de Sion", dont la premire mise au point remonte aux temps pharaoniques sous Joseph et ses frres. Mais la runion de Ble eut des fuites, et la police tsariste fut mise au courant en 1902. La preuve de ces fuites est confirme par une circulaire du comit sioniste de 1901, dans laquelle Todor Erzl se plaint de ces fuites, qui ont permis aux Gentils (c--d aux non-juifs) de connatre les secrets des "Protocoles". Un certain Serge Nilus en fit une publication rsume tellement drangeante, que la premire dition fut "rachete" en catastrophe par l'or juif. Ce n'est seulement qu'en 1919, en pleine guerre contre les Blancs, que ces fameux "Protocoles" commencrent circuler en Allemagne et en Europe. Cela commena faire tellement de bruit et tait devenu tellement plausible aprs la rvolution russe, qu'un comit juif tenta de les faire passer pour faux au tribunal de Berne vers les annes trente. Et le 14 mai 1935 le juge juif Meyer les dclara faux. Mais l'diteur suisse alla en appel et le 27 octobre 1937 les "Protocoles" furent dclars authentiques tout en motivant le jugement en dclarant, que la procdure en premire instance fut coupable d'irrgularits, de partialit et de ce fait d'illgalit. Naturellement dans tous les mdias du monde et encore aujourd'hui, l'on continue les dclarer comme un faux mont par la police tsariste. L'on ignore superbement le jugement d'appel afin de ne pas "rveiller" les peuples de leur assoupissement dmocratique de "producteurs-consommateurs". Et pour tre certain qu'aucun Goy (non-juif) ne viendra plus y fourrer son nez, il est actuellement presque partout interdit de republier ces fameux "Protocoles des Sages de Sion".

La seconde runion eut lieu le 14 fvrier 1916 New-York sous l'appellation de "Congrs des Organisations Rvolutionnaires Russes". Y participaient Trotsky, divers rvolutionnaires Juifs de Russie, et surtout les banquiers juifs amricains parmi lesquels Jacob Schiff, Khun, Loeb, Flix Warburg, Otto Khan, Mortimer Schiff et Olaf Asschberg. A nouveau ici nous pouvons constater la complte unit de vue et d'action de la haute finance juive avec les rvolutionnaires communistes les plus fanatiques. Ce sont les deux bras de la mme pieuvre. La consquence de cette runion, o furent mis au point les derniers dtails, avec le transfert de Lnine travers l'Allemagne, fut l'explosion de la rvolution communiste en Russie le 7 novembre 1917.

Le Tsar fait prisonnier, la premire loi dicte par le gouvernement rvolutionnaire fut:

1) Tous les Juifs sont citoyens sovitiques, et 2) Toutes les restrictions politiques des Juifs sont supprimes. Lors de la rvolution franaise le point 1) mit plus de 3 ans avant d'tre admis. Ce simple fait permet de juger de l'immense progression de l'influence juive de par le monde. En juillet 1918 en Russie un nouveau dcret condamnait tout acte dsobligeant envers les Juifs. Et immdiatement la morgue des Juifs, matres incontests du pays, n'eut plus de borne; tel point qu'une rvolte clata dans l'arme de Boudiny et 138 cosaques communistes furent condamns mort et fusills pour antismitisme. (Fait relat par l'crivain juif Salmon Resnick). Tout soldat rouge avait le devoir de dnoncer l'antismitisme et mme de tuer tout antismite. Quant au Tsar et sa famille, ils furent d'abord dposs Ekaterineburg sur les ordres du commissaire juif Sverdlov. Gards par des Juifs et quelques Lettons toute la famille subit de nombreuses et coutumires vexations dont la moindre tait de cracher dans leur soupe et dans leur nourriture. Ils furent ensuite tous massacrs de faon ignoble par le Juif Yurovsky et douze soldats, dix Juifs et deux Lettons.

Dans son livre: "Le Juif International" Henry Ford crit: "En 1923 en Russie 90% des commissaires politiques sont Juifs. Le pourcentage fut quasi semblable en Hongrie lors de la sanglante rvolution de Bela Khun (alias Cohen), qui heureusement ne dura que quelques mois." Dans "La grande conspiration juive" de Trian Romanescu le pourcentage calcul la tte de l'URSS est le mme. Et l'historien mexicain dans son livre intitul: "Derrota Mundial" donne, lui, encore plus de dtails. En effet il y crit: "Le gouvernement bolchevik fut divis en 37 dpartements, la tte desquels il y avait 459 Juifs et 43 Russes. Les principaux dpartements taient: 1) Le conseil des commissaires du peuple avec 22 fonctionnaires dont 17 Juifs, 2) Le dpartement de la guerre avec 43 fonctionnaires dont 33 Juifs, 3) Le commissariat des affaires trangres avec 16 fonctionnaires dont 13 Juifs, 4) L'intrieur avec 30 fonctionnaires dont 24 Juifs, 5) La justice avec 30 fonctionnaires dont 24 Juifs, 6) L'instruction publique avec 53 fonctionnaires dont 42 Juifs, 7) Le secours social avec 6 fonctionnaires tous Juifs (ce qui permettait d'aider en priorit les Juifs), 8) Les dlgus aux provinces avec 23 fonctionnaires dont 21 Juifs, 9) Propagande et journaux avec 41 fonctionnaires tous Juifs, 10) Economie gnrale o l'on trouve 55 commissaires dont 44 Juifs, 11) A la tte des principaux soviets d'ouvriers et de soldats o sur 119 dlgus 95 sont Juifs le Haut commissariat de Moscou o sur 50 commissaires 44 sont Juifs." Si avec cette composition certains veulent encore nier, que la rvolution bolchevique russe n'est pas une rvolution juive, on peut vraiment les traiter d'imbciles pensait Hitler.

D'autant que, en 1920 la population totale de l'URSS tait d'environ 160 millions d'habitants et de 3 millions de Juifs. C--d que les Juifs y reprsentaient 1,77% de la population. Naturellement et comme je viens de l'crire plus haut le recensement de 1881 des Juifs de Russie parlait de prs de six millions; c'est exact, mais la suite des nombreux attentats du "Bund", des rpressions svres et des pogroms poussrent de nombreux Juifs de Russie migrer principalement en Allemagne, en Pologne, en Autriche, en Tchquie, en Hongrie, en Roumanie et surtout aux USA. Dans ce dernier pays l'on recensait en 1910 1.562.000 Juifs dont 93,8% provenaient de l'Europe orientale, principalement de Russie. Tous ces chiffres proviennent d'tudes srieuses faites en compilant les Isvestia, la Gazette Rouge, le Trolos Guda et les publications de "L'Association pour l'Unit de la Russie" sise en 1920 au 121 East, 7th street New-York. Elles furent aussi reprises par le grand ethnologue, George Montandon dans son livre intitul: "Comment reconnatre un Juif" (aux Nouvelles Editions Franaises).

Salvador Borrgo conclut: Au fond, la rvolution russe naquit de la conjonction de deux facteurs: 1) L'utopie de Karl Marx blouissant les crtins, et 2) Le mysticisme de l'me russe. Ds 1920, lorsque le rgime fut bien implant, que les divers mutins, comme ceux de Cronstadt, furent fusills et que les armes blanches furent crases, la lutte antireligieuse commena; les purges aussi. Ainsi en novembre 1923, c--d six ans aprs le dbut de la rvolution on pouvait dnombrer ceci: Sur 900 couvents, 722 taient rass, les autres servant d'entrepts ou d'curies. En outre furent massacrs 29 archevques, 1219 curs, 6.000 professeurs, 9.000 mdecins, 54.000 officiers, 260.000 soldats, 70.000 policiers, 355.000 intellectuels, 193.000 ouvriers, 816.000 paysans, 12.000 propritaires, et curieusement pour une rvolution qui se clame proltaire, 50 banquiers; encore ces 50 taient-ils tous Russes. Aucun banquier juif ne fut inquit. Ensuite, il y eut le massacre des Koulaks, ces petits propritaires terriens, qui moururent soit fusills soit de faim et qui taient plus de 30 millions. Le tout fut encore suivi par les purges de 1937-38. Tous ces gens furent massacrs, mais aussi souvent torturs de la pire faon mettant en vidence le sadisme inhrent au peuple juif. Les Juifs de la Gupou avaient mme organis des "concours de tortures" avec l'aide de Chinois venus spcialement de Mongolie. Il faut lire ce sujet le livre de l'abb Auguste Rhling intitul: "Le Juif Talmudiste." Et pendant ces massacres l'or des banquiers juifs de New-York coulait flot afin de soutenir les Soviets et la propagande prosovitique dans le monde entier. Mais malgr tout, la description de toutes ces horreurs filtrait petit petit grce aux tmoignages des rfugis et des Russes Blancs exils. De telle sorte qu'en 1926, lors de la parution de "Mein Kampf" Hitler tait devenu srieusement antijuif.

Mais son sentiment antijuif s'est encore renforc la lecture des clauses du trait de Versailles et de ses exigences. D'autant que les parlementaires allemands, o les Juifs taient nombreux et faisaient la loi, acceptaient sans protester cette ignominie. Les renoncements successifs devant les exigences des Allis et leurs connivences, entre parlementaires juifs des deux camps et marxistes, aboutiront d'ailleurs l'assassinat de leur leader en 1922 par les anciens du Baltikum. Ce leader juif, Walter Rathenau, qui se vantait de connatre intimement les 200 familles, qui dj cette poque dominaient le monde, mrite qu'on s'y arrte un instant, car par ses dires, ses actes et ses crits il dmontre lui aussi la ralit des "Protocoles des Sages de Sion". Pour bien le connatre il faut lire le livre de son secrtaire Harry Kessler intitul: "Rathenau." En une seule gnration, donc certainement malhonntement, son pre lui lgue un trust gigantesque estim en 1907 15 milliards de marks or. Ce trust l'AEG (lectricit d'Allemagne) possde 307 succursales, dont 188 trangres incluant, outre la puissance des usines lectriques, d'autres de gaz et de tlphone, des fabriques de locomotives et de wagons, des usines lectromcaniques, de chimie, etc... Durant la guerre, Walter dirige l'office des matires premires, et il put ainsi saboter loisir l'approvisionnement militaire dans le sens des intrts du mondialisme. Aprs la guerre, il fut tout d'abord un temps ministre de la reconstruction, ce qui lui permit de nouveaux sabotages et surtout d'encaisser de plantureux pots-de-vin! En juillet 1920, aprs le putsch de Kapp le ministre des finances de la rpublique de Weimar, un juif nomm Wirth, le nomme ministre des affaires trangres. Et c'est lui, Rathenau, qui signe le trait de Rapallo avec son secrtaire Harry Kessler (juif), le ministre Wirth et le gnral von Seeckt pour le ct allemand, et avec son compre juif sovitique Tchitchrine pour l'URSS. En outre, Rathenau oblige l'Allemagne faire des emprunts afin soi-disant de faire face aux obligations du trait de Versailles (la mme technique qu'appliquent les ministres Juifs, enjuivs et francs-maons actuels vis--vis du trait de Maestricht pour mieux piller les biens des Europens).

Rathenau rsume sa doctrine (que nous voyons maintenant entirement ralise peu avant l'an 2.000) de cette faon: "Les nations, les frontires et les armes doivent disparatre. L'conomie se doit de liquider toutes ces squelles du Moyen-ge, car l'industrie est le premier pas vers les temps futurs. Fini l'hritage, la richesse et les diffrences de classes, car la voie doit s'ouvrir une rglementation de la proprit par l'ETAT en vue de l'galisation des fortunes. Fini la patrie, le pouvoir, la culture. Un ordre nouveau doit se substituer l'anarchie millnaire. Les nations doivent se transformer en socits anonymes, dont l'objet primordial sera de satisfaire les besoins essentiels de l'individu. La proprit sera totalement dpersonnalise et les collectivits humaines obiront une autorit suprieure plus puissante que tous les pouvoirs excutifs, puisqu'elle disposera de l'administration conomique du monde." Nous pouvons constater, que cette dclaration reprend et rsume les penses et les buts inscrits dans les "Protocoles des Sages de Sion". Il renforce l'ide de leur vracit et dmontre la conception juive de la domination des nations. A sa conception base sur l'anonymat des dirigeants, sur l'galit (toute thorique car comme en URSS il y aura bien sr une Nomenklatura) et sur le profit, Hitler et les corps francs opposaient une thique fonde sur l'autorit bien visible, sur la hirarchie naturelle et sur le sacrifice. Dj, les corps francs rptaient: "Nous ne luttons pas pour que le peuple soit gras et heureux, mais pour lui imposer une destine."

Aprs la fuite en Hollande du Kaiser, le nouveau gouvernement du Reich tomba entirement sous la coupe des Juifs. Il y avait Rathenau, Schiffer et Wirth successivement aux finances et Preuss l'intrieur. En Prusse le cabinet tait totalement juif. En Bavire svissait Kurt Eisner et sa clique juive. En Hongrie le peuple tait martyris par Bela Khun (alias Cohen), etc... Lors de sa prise de pouvoir en Hongrie Bela Khun (Cohen) recruta naturellement son personnel parmi ses coreligionnaires et parmi les logeards. Sur 26 commissaires du peuple 18 taient Juifs. Rappelons ici, que la Hongrie, pays de 21 millions d'habitants possdaient peine 1 million de Juifs. Parmi ces commissaires du peuple juifs deux se signalrent par leurs atrocits rptes et par leurs crimes. L'un s'appelait Otto Klein, manipulait un ouvrier nomm Guzi qui lui ne dirigeait que nominalement le "Service de Recherche Politique". En fait le chef du service tait Klein. L'autre Tibor Szamuely tait commandant d'arme. En Angleterre la plupart des prposs la confection du trait de Versailles taient eux aussi des Juifs. En France Juifs et francs-maons se partageaient le pouvoir sous la houlette du prsident Clmenceau grand matre maon. Quant la dlgation allemande de paix Paris, elle ne comprenait gure que des Juifs, parmi lesquels nous trouvons Oscar Oppenheimer, et Max Warburg, de la famille du banquier juif amricain Jacob Schiff. En magouillant en famille, tous s'arrangeaient pour empcher le relvement conomique des Etats belligrants, au profit des banquiers cosmopolites, les prteurs, et cause des importantes reconstructions ncessitant des prts. Dj enrichis par la guerre et la vente d'armes et dtenteurs des rserves financires du monde les banquiers cosmopolites, pratiquement tous Juifs, s'engraissaient toujours plus. A cette poque le grand quotidien anglais, le "Morning Post" fit paratre sous le titre: "The Cause Of World Unrest" une srie d'articles fonds sur les textes des "Protocoles des Sages de Sion" et sur des documents dcouverts ultrieurement. Ces articles dmontraient que c'tait aux Juifs qu'il fallait attribuer le malaise mondial prolongeant les difficults politiques et financires issues de la guerre.

Suite ce qui prcde ne soyons donc pas surpris de voir, que Hitler devenait de plus en plus antijuif tout en tant farouchement oppos aux "rparations" du trait de Versailles, ainsi qu' la fameuse SDN (la Socit Des Nations, anctre de l'ONU) ne de ce trait. D'autant qu'Isral Sangwill, crivain propagandiste de la cause sioniste de Todor Erzl (le modernisateur des Protocoles) venait de dclarer, que la socit des Nations tait d'inspiration essentiellement juive. De mme un certain Lucien Wolf, dlgu des associations juives, n'hsita pas affirmer de son ct, aprs avoir assist Genve l'une des premires assembles de la ligue, que cette "Socit" tait en harmonie avec les nobles et les plus saines traditions du judasme, et que tous les Juifs devaient considrer comme un devoir sacr de la soutenir par tous les moyens possibles.

Mais en rsum, que contiennent ces "Protocoles", qu'Hitler avait lu lui aussi? En fait, on y discerne trois lments essentiels souvent enchevtrs. Soit 1) Une critique philosophique du libralisme et une apologie d'un rgime autocratique. 2) L'expos d'un plan de campagne, mthodiquement labor pour assurer aux Juifs la domination du monde. Et 3) Des vues prophtiques sur la ralisation prochaine des parties essentielles du plan. Nous y relevons aussi, que pour les Juifs il n'y a de droit que la force. Que le libralisme et la dmocratie ont dtruit chez les Goyim la religion et l'autorit. Que l'or est aux mains d'Isral, et que grce cet or il s'est empar de la presse et de ce fait de l'opinion qui commande aux gouvernements dmocratiques. Que les loges maonniques sont diriges par les Juifs, qui en orientent les manifestations et la propagande. Que les peuples chrtiens finiront par tre tellement dsempars, qu'ils accepteront un super gouvernement universel manant des Sages de Sion. Qu'Isral dchanera si ncessaire de grands conflits mondiaux, afin de hter et d'asseoir son rgne. Qu'un impt progressif sur le capital et des emprunts d'Etats achveront de ruiner les chrtiens, et qu'alors sonnera l'heure du roi des Juifs, qui rgnera sur la terre avec son peuple. Etc... La plus tonnante des dispositions des Protocoles est son audace dcrire l'limination de la religion chrtienne, lorsque le rgne du "peuple lu" sera officialis. Il y est dit clairement que toutes les religions seront limines, et mme celle qui cours dans les loges maonniques. Mais il est plus tonnant encore de voir actuellement l'approche du vingt et unime sicle avec quel zle de nombreux chrtiens, se croyant progressistes, et la majorit des francs-maons ardents aident les Juifs, qui disent clairement vouloir les liminer (mme physiquement) plus tard. Il est vrai, que dans le rgne animal l'on lve des boucs et des moutons mener des cheptels l'abattoir; ce qu'ils font facilement en pensant certainement chaque fois chapper eux-mmes la mort; qu'ils finissent tout de mme par avoir aprs de nombreuses tratrises. Comment des humains peuvent-ils tre aussi inconsquents? Car enfin la haute direction des chrtiens et les Maons de haut rang connaissent l'existence des "Protocoles"! Et ceux-ci offrent tous les signes de la vraisemblance. Ils les offraient dj en 1937 lors du procs de Berne. Que dire alors en 1996 avec l'ONU, les accords de Maestricht, le Gatt, les peuples martyriss, dont l'Irak tout d'abord, parce qu'il s'oppose la main-mise d'Isral sur tout le Proche-Orient, ensuite la Bosnie, o l'ONU laisse faire volontairement afin de mieux dmontrer la ncessit d'un gouvernement mondial fort et afin d'imposer partout sa garde prtorienne aux brets bleus. Mais aussi avec les martyrs du Rwanda, de Somalie, de Gorgie, de Tchtchnie, et bien avant du Katanga et mme de l'ancienne Russie. Crer l'anarchie pour mieux dominer ensuite, comme dans les "Protocoles". Qui n'a pas encore compris est un demeur mental; qui s'en dsintresse est un goste indcrottable indigne de s'appeler "Homme". Les Protocoles dcrivaient dj en 1887 l'effondrement de la Russie, l'utilisation des clauses anormales du trait de paix de Versailles, la cration d'un super gouvernement appel "Socit des Nations" (actuellement ONU), l'tablissement du judasme Jrusalem, l'utilisation des mdias et de la terreur physique et surtout intellectuelle contre les "Gentils, les Goyim" afin de les soumettre. Tous ces lments dcouverts en 1902 par la police tsariste dans une loge Bnai'Brith (c--d exclusivement juive) constituent la plus clatante dmonstration de la ralit du plan de conqute arrt par les Sages de Sion.

* * *

Le peuple juif est raciste, car il sait que c'est dans l'unit de sa race, malgr la dispersion (cette diaspora qui fut essentiellement volontaire) qu'il puise sa puissance et son indpendance. Cette puissance est encore dmultiplie par ses privilges exorbitants rclams perptuellement et depuis les temps immmoriaux (dj dans la Rome antique Cicron fustige cette faon d'obtenir des privilges dans son discours "Pro Flacco") souvent sous de faux prtextes de soi-disant perscutions leur encontre; ensuite la plupart du temps ils finissent par les obtenir par concussions. Pour exemple le privilge de la double ou mme triple nationalit, ou celui des "rparations" souvent abusives pour faux dommages de guerre. En effet l'Allemagne vaincue en 1945 a dj pay plus de 100.000 milliards de dollars Isral; et Auschwitz est l pour rappeler la "dette inpuisable" du monde envers Isral. C'est aussi pour rappeler cette DETTE ETERNELLE, que s'est droul en Italie tout rcemment le procs des "fosses ardatines", et que se droulrent en France les procs successifs de Barbie, de Touvier et de Papon. A leur suite le prsident Chirac (lu aux dernires lections prsidentielles grce au soutien de la juiverie de France) reconnut la "responsabilit" de tout le peuple franais envers les Juifs cause de Vichy. Depuis lors l'Eglise de France, monseigneur Lustiger (juif) en tte demanda PARDON aux Juifs; mieux mme la police de France fit le mme "mea culpa" et vint demander pardon aux Juifs, car Papon fut l'un des leurs. Et maintenant en Belgique se dessine la mme accusation de "crime contre l'Humanit" envers l'Eglise de Belgique coupable de ne pas avoir lev la voix lors des dportations des Juifs par les Allemands, et envers la police d'Anvers, qui aida l'poque la police allemande pour "rafler" des Juifs apatrides vivant Anvers sous l'occupation. Mme la diaspora est favorable au peuple lu ( condition naturellement, qu'il veille jalousement son unit raciale), car elle lui permet de former partout des Etats dans les Etats.

Mais en 1919 apparut un trublion. Un homme spcialement intelligent et totalement intgre; un homme qui avait compris la soif d'hgmonie mondiale du peuple juif; un homme qui avait assimil sa tactique et sa stratgie, ainsi que compris l'origine de sa force, c--d le racisme. Et il avait saisi, que la seule parade efficace opposer tait la cration d'un Etat raciste. Etat raciste germanique d'abord, mais blanc indo-europen ensuite. De toute faon le retour la communaut raciale pouvait seul dsamorcer le marxisme et sa philosophie de la lutte des classes, qui minait tous les peuples et toutes les races de la terre, sauf une, la race juive.

Tout alla si mal et l'anarchie presque totale qui rgnait en Allemagne, finit par porter cet homme au pouvoir. L, ds 1933 il librait son peuple de l'emprise du mondialisme conomique et des banques cosmopolites en crant une conomie autocentre, mais ainsi il devenait un exemple pour d'autres peuples. La pieuvre du mondialisme sentait ses proies lui chapper; de telle sorte qu'en mars 1934 le Congrs Mondial Juif tenu New-York dclara la guerre totale l'Allemagne hitlrienne. Guerre essentiellement conomique d'abord, mais aussi militaire le plus tt possible. Mais pour en arriver l il fallait absolument diaboliser Hitler. Et tous les mdias juifs du monde entier et de l'poque se mirent en branle. Mais le mensonge est tellement norme et l'entreprise tellement alatoire, que 50 ans aprs la fin de la seconde guerre mondiale ces mdias ne cessent de continuer nous le prsenter comme le diable en personne, alors que le vritable Antchrist c'est la pieuvre mondialiste.

Pour appuyer le boycott commercial et financier de l'Allemagne un article du "Dailly Express" tirant plus de 4 millions d'exemplaires tira sur la une en aot 1933: Les Juifs dclarent la guerre l'Allemagne. Les Juifs du monde entier s'unissent. Boycott des marchandises allemandes et manifestations de masses. Et l'article prcisait: "Tous les Juifs de par le monde s'unissent pour dclarer une guerre conomique et financire l'Allemagne... Des dispositions ont t prises par le monde juif des affaires visant couper partout toute relation commerciale avec l'Allemagne... L'Allemagne est un gros emprunteur sur les marchs financiers, sur lesquels les marchs juifs ont une influence considrable... Un boycott concert des acheteurs Juifs pourrait causer de grands dommages aux exportations allemandes..."

En rponse cela Jacob Rosenheim, au nom des Juifs allemands qualifiait cette mesure de "crime contre l'humanit" et traitait ses instigateurs de dpourvus de clairvoyance.

Constatant un tel dferlement de haines et de mensonges son gard, Hitler se dcida enfin bien timidement mettre en pratique sa philosophie antijuive. Et ce n'est qu'en septembre 1935 au congrs de Nuremberg, qu'il proclama de timides lois antijuives. En gros elles se limitaient deux choses, savoir: 1) Plus de serviteurs germaniques aux et dans les familles juives, et 2) Plus aucune profession librale juive ne pouvait s'occuper de Germains. Les mdecins et avocats juifs ne pouvaient plus se consacrer qu'aux soins ou la dfense de leurs coreligionnaires. De mme dans la mesure du possible pour les commerants. Les Juifs allemands pouvaient toujours fonder des associations, ils possdrent mme leur journal jusqu' la fin de la guerre en 1945, ils conservaient des hpitaux et des maternits, mme des camps d'entranement pour leur jeunesse jusqu'en 1939 (nous dvelopperons cela plus loin), mais ils devaient s'efforcer de vivre entre-eux. Quant au port de l'toile il ne fut impos qu'en juillet 1941 aprs le dbut de la guerre avec la Russie. Si des Juifs furent interns dans des camps de concentration avant 1940, ils le furent toujours pour des menes marxistes, et non cause de leur appartenance raciale. D'ailleurs un bureau d'migration prconisant le retour des Juifs allemands en Palestine s'tait ouvert dbut 1937, dirig par Eichman. Ce bureau travaillait la main dans la main avec les organisations terroristes juives de Palestine, l'Irgoun principalement, mais aussi la Haganah.

Au vu de l'ensemble de ces faits historiques incontestables et incontests, jamais dmentis, Hitler avait-il raison de devenir antijuif et de prconiser pour son peuple un tat raciste? A sa place auriez-vous raisonn comme lui? La rponse est d'autant plus aise actuellement que depuis 1945 tous les vnements historiques survenus sur notre plante corroborent l'emprise du mondialisme Juif et sa nuisance.

Chapitre II

HITLER HOMME DE CROISADES

ANTIBOLCHEVIQUES.

Afin de bien comprendre pourquoi Hitler se lana en politique en 1919 il nous faut nouveau faire un retour en arrire. Et commenons tout d'abord par l'analyse de l'entre en guerre des Amricains fin mars 1917.

Le prsident des USA, Woodrow Wilson, ce grand franc-maon que l'on fait toujours passer pour un pacifiste absolu, ne l'tait en fait que trs modrment. N'en voulons pour preuve, que sous son rgne et sous ses ordres les USA, sous le fallacieux prtexte de dfendre les intrts amricains, envahirent Hati en 1915, Le Nicaragua, le Honduras, Saint-Domingue et le Mexique en 1916. Dans ce dernier pays les troupes du gnral Pershing s'illustrrent d'ailleurs par des pillages et de nombreuses exactions sur la population. En fait W. Wilson tait pacifiste dans la mesure o les intrts des banquiers amricains n'taient pas menacs, et le respect des droits des peuples disposer d'eux-mmes n'tait qu'un slogan de plus brandi pour se donner bonne conscience. En effet en 1917 pour faciliter leurs transports les USA avaient achet aux Danois les trois les Vierges de Sainte-Croix, de Saint-Thomas et de Saint-John sans demander aucunement l'avis des habitants. Et si suite au coulage provoqu (par Churchill alors Lord de l'Amiraut et par les marchands de canons amricains, qui avaient bourr les cales du navire d'armes et de munitions) du Lusitania en mai 1915 W. Wilson avait cependant encore refus d'entrer en guerre avec l'Allemagne, c'est bien parce que l'opinion amricaine fortement isolationniste n'tait pas encore mre. Et cela malgr la propagande intensive et belliciste des mdias juifs et de ses conseillers privs, tels le colonel House (alias Edouard Mandell), le juge suprme le juif Brandeis et le financier Warburg (ce dernier fut d'ailleurs le conseiller priv et trs cout de tous les prsidents des USA depuis Wilson jusqu' Eisenhower).

Voyant le peu d'entrain du peuple amricain et de son prsident entrer en guerre, les bellicistes Juifs, colonel House en tte, montrent en janvier-fvrier 1917 une mise en scne avec un faut tlgramme soit disant envoy par le ministre juif allemand Zimmermann au gouvernement mexicain pour une ventuelle alliance contre les USA. Ce tlgramme fut soit disant intercept par l'amiraut britannique (c--d Churchill) et transmis l'acolyte de House, le Juif Franck Polk. Grce ce tlgramme envoy soi-disant dbut janvier 1917 et qui ne fut officialis en Amrique que 40 jours plus tard, tlgramme que l'on ne vit jamais, mais qui associ une bonne propagande finit par pousser l'Amrique en guerre contre l'Allemagne en mars 1917.

Ensuite survint la rvolution russe en novembre 1917. Pour viter d'tre cras par les "Blancs", Lnine proposa la paix aux Allemands, mais esprant entraner aussi la rvolution en Allemagne, car sa thorie tait que la rvolution bolchevique devait pour russir associer les masses slaves la technicit allemande, Lnine ordonna ses ngociateurs de faire traner la signature dfinitive du trait, bien que les combats aient depuis longtemps cess contre les troupes allemandes. Ce trait de Brest-Litowsk ft enfin sign en mars 1918. Pendant ce temps Wilson avait fait un grand discours le 8 janvier 1918 au Congrs amricain, proposant tous les belligrants une paix blanche en 14 points, dont les plus saillants taient l) Libert totale de circulation sur toutes les mers cela en douce afin d'aider les Anglais au bord de la droute en mer ( cause de la guerre sous-marine, et comme le reconnaissait l'amiral Jllico). 2) Une paix sans aucune annexion territoriale (qu'il savait un mensonge car les Allis s'taient dj dans les grandes lignes partags toutes les anciennes colonies allemandes, et parce que les peuples slaves, Tchques en tte avec Massaryk et Bnes ngociaient sans relche pour obtenir des territoires en se basant sur le troisime point du discours de Wilson, c--d: 3) Le droit des peuples tre indpendant et disposer d'eux-mmes. Ce droit des peuples de choisir leur destin tait dj inscrit dans les fameux "Droits de l'Homme" de 1789, mais fut et est encore toujours bafou; il n'est d'application, que lorsqu'il sert les intrts des financiers cosmopolites. Dans ses "Mmoires" Massaryk le leader tchque explique, que ds 1916 il fut puissamment aid par les francs-maons, car lui et Bnes en taient, et par de nombreux Juifs, ce qui expliquait ses dires la diffusion rapide de ses ides d'indpendance car: "Les Francs-Maons taient les ennemis dclars du clricalisme autrichien, et reprenaient volontiers son gard la formule de Voltaire: "Ecrasez l'infme." Quant aux Juifs ils n'avaient pas oubli l'affaire HILSNER, Juif qui en 1899 fut accus d'un meurtre rituel sur une chrtienne. Comme partout j'eus en Amrique l'appui des Juifs. Parmi ceux-ci je citerai M. Brandeis, juge la cour suprme. Il connaissait bien le prsident Wilson, dont il avait circonvenu la confiance. A New-York l'un des chefs sionistes tait M. Mack et aussi Sokolov. En Amrique comme en Europe les Juifs ont une grande influence dans la presse et ils nous furent prcieux." Conclusion de ces dires: La guerre 14-18 ne fut faite que pour craser dfinitivement l'empire CHRETIEN d'Autriche, pour le dmanteler et pour le remplacer par des entits aux mains des Juifs et des Francs-Maons, afin d'instaurer au plus tt le rgne de Juda.

Les propositions de paix du prsident W. Wilson facilitrent grandement l'extriorisation du ras-le-bol des populations allemandes et autrichiennes, qui souffraient des restrictions alimentaires savamment organises par les Juifs de l'arrire, qui orchestraient tout, mme les grves dans les usines d'armements aux mains de Rathenau. De telle sorte que militaires et civils allemands conseillrent au Kaiser d'abdiquer, et que les hostilits cessrent par manque de ravitaillement des troupes et malgr les fortes chances de vaincre que l'Allemagne avait possdes au printemps 1918. Ensuite, lorsque l'Allemagne fut compltement dsorganise les Francs-Maons franais avec Clmenceau, Poincar, Briand, Pichon, Jules Cambon, Ph. Berthelot etc... imposrent l'Allemagne des clauses de paix draconiennes au trait de Versailles; clauses o les 14 points de paix de Wilson n'taient plus que lettre morte, et cela avec l'accord des ngociateurs amricains mens par le colonel House (alias Mandell).

De telle sorte qu' la suite du trait de Versailles, l'Allemagne, le pays d'adoption de Hitler tait mutil. Il avait perdu 70.580 Kilomtres carrs, (soit plus de deux fois la superficie de la Belgique), ainsi que 6.475.000 habitants, Allemands de souche, forcs de devenir Polonais, Tchques, Yougoslaves, Belges, Franais, etc... Le droit des peuples disposer d'eux-mmes tait totalement bafou et remplac par un hypocrite "Droits de l'Homme" n dans les loges de la rvolution franaise de 1789. En ralit ces fameux "Droits de l'homme" ne sont que de la poudre jete aux yeux des crdules et des imbciles, car ils sont et seront toujours perptuellement bafous par les "Dmocraties" suivant leurs intrts. Car il est bien vident, que si l'on refuse un homme son droit le plus lmentaire, c--d celui de choisir la communaut laquelle il veut appartenir suivant son sang et son hrdit, il est vident, dis-je, qu'on lui refuse tout droit individuel. Et pour ceux, qui ne seraient pas encore convaincus du cynisme et de l'hypocrisie des militants dfenseurs des droits de l'homme, il suffit d'tudier ce qui se droula lors du trait de Saint-Germain. En effet si l'Allemagne subissait le trait de Versailles, l'Autriche, elle, devait rpondre et signer un autre trait de paix, celui de Saint-Germain. Or dcoupe et morcele, comme elle l'tait, l'Autriche devenue ainsi essentiellement agricole tait dcemment invivable. C'est pour cette raison qu'avant de venir pour signer le trait de paix les dirigeants autrichiens avaient organis un vaste rfrendum en faveur d'un rattachement (Anschluss) avec l'Allemagne. Mais immdiatement les Allis refusrent d'en tenir compte et au chancelier autrichien Renner, qui protestait devant ce dni de justice, et qui faisait remarquer, que les Tchques, les Slovaques, les Ruthnes, les Croates, etc... avaient eux tous pu s'autodterminer, on lui rpondit schement, que ce droit ne pouvait en aucun cas s'tendre aux vaincus, et que c'tait la volont des vainqueurs Franais, Anglais et Amricains qui en avait dcid ainsi.(Ah ces grands dmocrates!)

Suite cette guerre "fratricide" de 14-18 l'Allemagne perd aussi plus de 3 millions de Kilomtres carrs de colonies. Celles-ci sont immdiatement partages par les vainqueurs avides, qui se disputent mme parfois comme des chiffonniers mafieux pour un bout de terre. Exemples: Les Yougoslaves se disputent avec les Italiens, les Roumains et les Hongrois, les Polonais avec les Tchques pour le district de Techen, les Japonais avec les Amricains pour les les allemandes du Pacifique, les Franais et les Anglais en Syrie, etc... Mais outre ces pertes territoriales pleines de richesses la France franc-maonne et enjuive, qui avait tout fait pour que cette guerre commence, (lire ce sujet "Le traquenard de Sarajevo" et "Les Tricheurs de Versailles" par Lon Degrelle) exige 90.000 millions de marks or de rparation. Avec ces exigences et aprs ce dpeage immdiat, la nouvelle Rpublique de Weimar, qui ne compte plus que 472.000 kilomtres carrs et 68 millions d'habitants, est virtuellement ruine. D'autant que les vainqueurs ne se gnent pas pour emporter chez eux machines industrielles, trains, wagons, etc... C'est le rgne du pillage organis, comme le pratiqueront en 45 les troupes sovitiques au dpend des pays "librs" de l'Est europen. En pratiquant de cette faon en 14-18 et en 45 les dmocrates allis ne pensent qu' s'enrichir, les Juifs qu' crer au milieu de l'Europe une rgion tellement appauvrie qu'elle acceptera sans trop de difficults le judo-marxisme.

Mais pour l'Allemagne dfaite, il y a encore plus grave. C'est l'anarchie organise et installe par les marxistes partout en Allemagne. Et l les agitateurs Juifs sont la fte. A Berlin nous trouvons Karl Liebknecht et Rosa Luxembourg, Landsberg et Haase, Scheidemann et Eischorn; A Munich Kurt Eisner (alias Salomon Kutchinsky), Lipp, Landauer, Toller, Lwien, Lvin, Axelrod et Wadler-Krakau; En Saxe Fleissner, J. Brandeis, Kegel et un certain Vlker; A Magdebourg s'illustre Brandes; Dresde les Juifs Lipinsky, Geier et Fleissner; dans la Rhr Markus et Lvinshon; A Bremershaven et Kiel les Juifs Khon et Grnewald; dans le Palatinat Lielienthal et Heine; au Landtag de Prusse Hirsch et Heine, etc... Sans oublier tout ce qui se passe hors d'Allemagne, avec Bela Khun (alias Cohen) en Hongrie, le juif Ulmanis en Lettonie; l'agitateur juif Adler Vienne, et le juif Borodine en Chine. Sans oublier tous les Juifs sovitiques, qui commencent faire la loi en Russie. En voici quelques noms non limitatifs parmi les plus marquants: Au comit central bolchevique nous trouvons outre Lnine Staline et Trotsky, Kamnev et Zinoviev, Radek, Dzerzinski ( la GUEPEOU) remplac plus tard la suite de purges par les Juifs, Yagoda, Yeyov, Bria; en outre Rykov, Molotov, Chtykgold, Vassiliev, Netchaev, Schmidt, Fichtelen, Joff, Smilga, Sapronov, Rakovsky, Smirnov, Evdokimov, Bakaev, Ter-Vaganian, Matchkovsky, Reingold, Vichinsky, les frres Kaganovitch, Sujanov, Saguerky, Bogdanov, Uritsky, Riazanov, Abramovich, Kamkov, Gametsky, Meshkovsky, Parvus, Lapinsky, Babrof, Ortodox, Garin, etc... Dans l'arme rouge outre Trotsky nous trouvons les Juifs suivants: Slyanski, l'adjoint de Trotsky, Egorov, Kork, Gamarnik, Efrmov, Eidemann, Feldmann, Snetchine, Zichovitch, Goutor, Zantchovsky, Sitine, Klembovsky, Jloba, Boutch-Boutcevitch, Sivers, etc... Boguslavsky, Drobnis, Piatakov, Poutna, Yakir, Sokolnikov, Mouralov, Serebriakov, Ouborvitch, Frounz, Kocjubinski (affaire militaire d'Ukraine) et enfin Blcher (alias Galen). Et la police politique, c--d la Tchka nous retrouvons entre autre les Juifs suivants: Djerzinski, Latsis, Menjinski, Messing, Moroz, Peters, Trilasser, Unchlicht, lagoda, Abramovitch, Ouritzski, Karl Lander, Serge Ordjenikidze, Gopner, Smirnov, N. Rosental lacob Golden, Gal Pernstein, Woinstein, Voguel, Blumkin, Meichman, Koslowski; et la justice en 1919 le juge suprme Steinberg (lire ce sujet: "La terreur rouge en Russie" par Serge Melgounov).

Heureusement en Allemagne les exactions communistes sont trop brutales, et le peuple allemand rpugne tant de sang et de haine. Ce qui pouvait convenir des Slaves assez rustres ne pt s'appliquer un peuple civilis. L'arme allemande, quoique bien dsorganise, a vu monter en elle un important rflexe nationaliste, et petit petit elle nettoya partout la pourriture internationale, qui sert de bras arm aux "Protocoles des Sages de Sion". Mais fidle sa tactique habituelle le mondialisme juif, qui naturellement aurait prfr cette prise de pouvoir rapide et brutal, se reporta sur la mthode douce du parlementarisme; et cela malgr que dans les annes vingt le peuple lu s'tait cru l'aurore des temps nouveaux et mettait le paquet pour faire basculer le monde dans l'horreur de l'esclavage judo-maonnique. Mais l'heure du "grand soir" et de la nuit des Sages de Sion n'avait pas encore sonn. Tout d'abord cause ou plus exactement grce aux corps francs allemands du Baltikum, qui luttaient contre les Bolcheviques en Lettonie et en Lithuanie. Mais voyant leurs succs militaires, les puissances allies firent pression sur le nouveau gouvernement rpublicain allemand pour qu'il cesse de leur fournir des armes et des munitions. Alors que ces volontaires antibolcheviques ne luttaient mme pas pour dfendre des terres allemandes, mais bien pour protger l'Europe. Cette dcision absurde n'tait naturellement pas exige par les peuples anglais et franais, bien loin de se douter du pril bolchevique, mais par leurs dirigeants soit Juifs, soit dj fortement soumis aux