Degrelle Léon - Le Fascinant Hitler

download Degrelle Léon - Le Fascinant Hitler

of 96

Transcript of Degrelle Léon - Le Fascinant Hitler

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    1/96

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    2/96

    LON

    EGRELLE

    L

    FASCINANT

    HITLER

    DITIONS DE LTOILE MYSTRIEUSE

    KLOW, SYLD VIE

    2 6

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    3/96

    CHAPITRE PREMIER

    HITLER, QUEL

    HITLER

    ?

    DEPUIS 1945 le

    seul fait de parler objectivement d'Hitler - celui-l

    mme qui, entre

    1939

    et

    1942

    ava

    it balay l'Europe depuis Narvik

    jusqu'au Ploponnse, depuis

    le

    Golfe de Finlande jusqu'aux som

    mets du Caucase et amen sous son pouvoir quatre cents millions

    de personnes - vous vaut d'tre vou instantanment la plus

    tapageuse des excrations.

    I.:Adolf de Berchtesgaden ne peut plus apparatre que sous les

    tra its d un brigand griffu, d un asservisseur appt de sang,

    d un

    reste de gibet.

    Si vous avez

    notamment

    l'audace impie de mettre en doute les

    chambres gaz hitlriennes, dclares monuments de la conscience

    universelle, une horde de contestataires, rauquant comme des ti-

    gres, vous saute dessus, vous trane, par

    le

    ceinturon ou par

    les

    savates, devant

    des

    tribunaux de rpression. Racisme irrmissible

    1

    Vous tes la honte de la civilisation

    Le

    cas rcent des avatars posthumes du plus grand philosophe

    allemand du xx' sicle,

    Martin

    Heidegger, est exemplaire.

    Il

    a suffi,

    pour

    qu'il ft vomi, qu'on dcouvrt

    la

    dclaration qu'il avait pro

    nonce en

    1933

    lorsqu'on lui avait offert, en Allemagne, une chaire

    duniversit:

    Pour moi , il est clair que, mettant de ct tout

    motif

    personnel, j entends

    c

    o

    mplir la mission qui me permettra de servir de l meilleure faon le

    travail d'Adolf Hitler.

    Une fois dmasqu comme un hitlrien de

    1933

    le c lbre Hei

    degger, lou partout la

    vei

    lle par la gauche unanime, devint, sur

    l' heure,

    un

    rebut de la philosophie Son infamie, aussitt, fut cor

    ne par toute

    la

    presse de l'univers.

    7

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    4/96

    LE FASC INAN T HITLE R

    Comme

    on a pu le lire dans le

    Figaro Magazine

    du

    f

    avri l 1

    989,

    sous la

    sig

    natu

    re

    d'Henri Amouroux:

    Les Allemands ne pouvaient pas avoir ison parce

    qu'i

    ls taient en-

    nem i et que l

    'e

    emi ne pe

    ut

    jamais avo

    ir

    ra

    ison.

    fo r

    ce

    de submerge r Hitler

    so

    us les accusations de liquidation

    au gaz de mi

    ll

    ions - toujours croissa

    nt

    s - de Jui fs, Auschwitz

    ou ai

    ll

    eurs, les aboyeurs taient convaincus qu' ils empc heraie

    nt

    dfinitivement l

    es

    foul

    es

    de connatre quoi que ce ft d 'authen

    tique sur Hitler ; s

    ur

    son access ion au po uvoir, hiss, po

    urt

    ant, et

    constamment, s

    ur

    les pau les du peuple a llemand (il obtiendrait

    91 fo d

    es

    vo ix, sous con /rle alli, dans la Sarre en 1935 ), sur sa r

    fo

    rme soc iale d'avant 1939; sur l'pop

    e

    que fut, de 1939 1945, la

    plus fantas tique guerre s

    ur

    terre, s

    ur

    mer, dans l

    es

    air

    s,

    que connut

    jamais notre plante.

    C'est pour ce

    tt

    e raison qu'avant de pa rler de

    ce

    t Hitler-l -

    le

    vrai

    - ,

    il est indispensable de soumettre l'examen

    le

    s accusa tions

    sous lesqu elles une propaga

    nd

    e furibonde l'a presque en

    se

    veli ,

    aprs la victoire de Staline, des

    Juif

    s et de leurs mentors amricains

    le 8 mai 1945.

    Av

    ec

    le te

    mp

    s, qu elques historiens libr

    es

    d'esprit, renifl ant des

    exagrati

    ons dans le batta

    ge

    ga nt de l Holocauste et de

    ses

    vingt

    succdan

    s mlo

    dr

    amatiques, crurent dcent de faire

    face sc

    ientifi

    qu ement aux

    ava

    leurs de charre

    tt

    es et gra

    tt

    er un peu le terrain sous

    le soc des cha

    mbr

    es gaz

    ".

    Apr

    s

    1945 les propagandistes des dmoc rati

    es

    avaient in

    ten

    s

    ment dbit leur

    dr

    ogue. Longtemps on put croire qu e les

    chercheurs indi

    sc

    rets ne

    se

    maient

    qu

    e sur le

    sa

    bl e.

    Ce

    nt tmoins

    - un cur compris - ava ient vu, de leurs ye ux vu , ces chambres

    gaz

    1

    Il

    s l

    es

    avaient parcourues le jo

    ur

    , la nuit , dans tous l

    es

    se

    ns,

    Dac hau, Bu chenwald, Mauthausen.

    Dr

    agons de ve rtu, ils les

    avaient dc rites jusqu'

    au

    dernier remc hement dans d' innombra

    bles livres apoca lyptiques .

    8

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    5/96

    LE FASCINANT

    HITLER

    - .

    Or, ces fameuses chambres gaz de Dachau, de Buchenwald

    et

    d'une

    srie d'autres camps du Reich n'avaient - c'est

    maintenant

    officiellement tabli -jamais exist.Vous trpignez de fureur lire une

    telle affirmation? .. Calmez-vous. Cette affirmation, c'est le plus

    faro uche des intellectuels antinazis de l'aprs-guerre qui la mise.

    E

    ll

    e a t prononce par le D' Martin Broszat, celui-l mme qui

    a

    ll

    ait devenir le directeur du fameux Institut jr Zeitgeschichte. Cet

    Institut d ' histoire contemporain

    e

    est

    le

    trs puissant organisme

    charg

    par

    la Rpublique fdrale d A llemagne de dissquer les

    restes du Reich.

    Et

    voil le D' Broszat, fleur de l'antifascisme,

    a bien d dclarer, le

    9

    aot 1960, dans le journal

    Die

    Zeit en des

    termes on ne peut p

    lu

    s formels, qu'aprs quinze annes d'tudes,

    d'ana lyses et de confrontations, il lui fa llai t conclure qu'aucune

    chambre gaz n'avait fonctionn dans quelque

    camp

    que ce ft sur

    toute la superficie du territoire de l'ancien Reich.

    Pas possible vous crieriez-vous. Prenez vos lunettes et

    li

    sez le

    texte exact du D' Broszat:

    Ni Dachau,

    ni

    Bergen-Belsen,

    ni

    Buchenwa ld, des

    Juifs ou d'autres

    dtenus n on t t gazs.

    Le

    D'

    Broszat fut

    on

    ne peut

    plus net dans

    un

    e autre lettre, en

    date du 17 juillet

    1961,

    envoye

    un

    correspondant sudois et pu

    blie

    par

    le rvisionniste sudois Ditlieb Felderer dans Auschwitz

    Exil

    quand

    il prcisa :

    [... J non plus que dans les autres camp s de concentration de l

    a

    ncien

    Reich [fron

    ti

    res de 1937 J

    1.

    Au

    procs d Ernst

    Zndel

    Toronto

    (Canada), le professeur

    Raul

    Hilb

    erg,

    auteu r d un volumineux

    travail

    intitul The estruction o he European Jews

    re-

    connut que telle tai t bien la conclusion de son co llgue Martin

    Broszat

    (Tran

    s-

    c

    ripti

    on stnographique

    du pr

    ocs, 7 j

    anv

    ier

    1 9B5 p

    1223).

    9

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    6/96

    LE FASC INANT

    HITL

    E

    R

    Alors enverrez-vous sous les verrous et dclarerez-vous inligibl e

    ce lui qui rpandra ce texte

    se

    nsationnel son compte?

    Ce rt

    es, le

    D' Broszat avait limit

    1 ancien Reich allemand

    [frontires de

    [937]

    ses dngations absolument catgoriqu

    es

    de

    l'existence des chambres gaz. JI s'tait abstenu d'mettre des affi r-

    mations similaires au s

    uj

    et des gazages dans les ca mps situs hors de

    la ncien Reich, notamment dans la Pologne, conqui

    se

    par Hitler en

    septembre

    939

    puis passe sous la botte de Staline en [945.

    donc, Hitler aurait pu

    se

    fourvoyer, draper dans un gno

    cide. Mme l

    es

    chnes sont parfois dvors par leurs chniers.

    Alors, Auschwitz? .. On connat la vaste polmique suscite

    ce

    sujet aussi bien en France qu'en

    All

    emagne, en Angleterre,

    au

    Canada, aux tats-Unis.

    Ce lui qui dclencha l'norme bagarre des chambres gaz a t,

    en tout premier lieu, en

    950,

    Paul Rassinier, ancien dport, ancien

    dput socialist

    e.

    Ensuite, sur

    sa

    lance, apparut, en [9

    74,

    le professeur Robert

    Faurisson,

    un

    chercheur mrite de l'universit de Lyon. Lui aussi,

    comme le professeur Heidegger, avait t remarqu jadis par la

    grande pres

    se

    Le Monde, notamment)

    pour

    la valeur

    sc

    ientifique

    et littraire de ses tudes de textes, qu'elles eussent t consacres

    Rimbaud (1961) ou bien Lautramont (1972).

    Le 29

    dcembre 1978,

    il publia, dans eMonde prci

    s

    ment, un article intitul Le pro

    blme des chambres

    gaz

    ou

    La

    rumeur d'Auschwit

    z

    l

    L'homme de

    la

    rue, videmment, ne dispose pas des moyens de

    recherches que

    po

    ssde un

    prof

    esseur d universit. JI ne peut pas

    consacrer dix ans des investigations. Mais, faisant rflexion, cha

    cun pouvait nanmoins, aprs avoir lu Faurisson, se

    po

    se r quelques

    questions de bon sens :

    l ) Pourquoi, s'i l tait si simple de ga zer des millions de Juifs

    avec

    le

    seul emploi de granuls de Zykl

    on

    B,

    pas plus gros qu'une

    2 Cet article fut

    suivi , le 6

    janvier 1979. d'une lettre

    de

    rponse

    au

    formidable

    tir de barrage

    dclench

    par

    son re tentissant article.

    O

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    7/96

    L FASCINANT HITL

    ER

    aspirine, pourquoi les A

    ll

    emands nava ient-

    il

    s pas uti lis sur

    pl

    ace

    ces moyens, tou t simples, dans les pays mmes o vivaient ces Juif

    s,

    en Hongrie, en Serbie, en Grce, en France, etc., au lie u de trimba

    ler

    in

    te rmina

    bl

    em

    ent

    ces Ju i

    fs

    dans d

    es

    mi

    lli

    ers de trains encom

    brants, cote ux, t ravers toute lEurope, parmi les comp lications

    inoues des rseaux fe rroviaires surchar

    gs de 1942

    1944 ...

    ,0) Alors que les Allema

    nd

    s, prci

    s

    men t, manquaient de mat

    riel ro

    ul

    ant tel point que le

    ur

    s millions de so ld ats tardaient de 21

    3 jou rs po

    ur

    arrive r, en wagons bes ti aux, au front de lEs t, pou

    r

    quoi auraient-

    il

    s dtourn de leur foncti on militaire, po

    ur

    charrier

    des Jui

    fs

    ,

    ce

    nt mille wagons et six mille l

    oco

    motives dont leurs

    armes prouva ient un besoin ex trme? . .

    Le transbahutage des Jui fs en qu es tion a reprsent au long des

    annes de guerre des millions de kilomtres de parcours. Si c ta it

    pou r amener ces Isra li tes sur le territoire alle

    mand

    dans le se ul

    but de les liquider, pourquoi les Allemands nutilisa ie

    nt

    -ils pas sur

    place ces granuls si peu encombrants de Zykl on au lieu de recou

    rir d

    a

    u

    ss

    i intermina

    bl

    es

    dplacements pa r voie ferre?

    3) Les Allemands, privs de le

    ur

    s travaille

    ur

    s, partis comme

    so ld ats au front sovitique, devaient amener grands frais des

    millions d tran

    ge

    rs afin que fussent maintenues en activit le

    ur

    s

    usines. Alors pourquoi, dans un tel cas de ncessit, eusse nt-

    il

    s t

    se priver, en la gazant, de l

    imm

    ense ma in -duvre juive, gr

    at

    uite

    ce lle-l ? ..

    4) Pourquoi en outr

    e,

    alors qu ils prou

    va

    ient,

    un po

    int si

    harc

    el

    ant,

    un

    besoin de collaboration manue

    ll

    e dans le

    ur

    s indus

    t

    ri

    es de guerre, pourquoi les Allemand

    s,

    or

    ga

    nisate

    ur

    s patents,

    eussen t-

    il

    s, en affa mant ou maltraitant ce tte main-

    d

    uvre, ou en

    la gazant, commis la stupidit de rduire

    ri

    en le rendement de

    ce tte rserve de trava

    il

    qui, de toute v id ence, et pu t re consid

    ra

    bl

    e . .

    5

    ) Enfin , s il est exact que tous les Jui fs d E urope, ou peu s en

    fa

    ut, ont p

    ri

    gazs dans l

    es

    ca

    mp

    s a

    ll

    emand

    s,

    co

    mm

    ent est

    -il

    ex

    p

    li

    ca bl e qu

    a

    pr

    s

    la dfaite du Reich en 945 aient pu arri

    ve

    r tout

    frtillants dans le nouve l tat d I sr

    a

    l quelque deux millions dex

    loca taires jui fs des ca mps d Hitler

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    8/96

    LE

    FASC

    INANT

    HITLER

    Certes, les 75000 dports isralites

    li

    vrs par la France aux Al

    lemands pendant

    la guerre n'avaient auc

    un

    motif de retourne

    r, un

    e

    fois libres, dans

    le

    pays qui

    les

    avait si mal traits; Isra l prsentait

    beaucoup p

    lu

    s d'attraits. Mais

    il

    s taient accompagns de tribus de

    toute l'Europe dite libre, notamment de centai nes de milliers de

    Juifs provenan t de Hongr

    ie

    et d'un million - oui un million - de

    Juifs de Pologne, prfrant mi lle fois Isral au retour leur ancien

    gte, o les communistes vainqueurs se livraient dj de nouveaux

    pogroms

    S'

    il

    s taient tous, ou peu

    pr

    s tous, morts chez Hitler, co

    mment

    arrivaient-ils si nombreux, aprs 1945 aux rivages de Tel Aviv ?

    Revenons maintenant au professeur Faurisson.

    Celui-ci n a rien d un naz

    i.

    Il avait t , au contraire, un ant inazi

    dclar tout au long

    de

    la Seconde Guerre mondiale . Il tait le

    fil

    s

    d'une co

    ss

    ai

    se.

    Absolument rien ne le prd ispo

    sa

    it donc, on

    le

    voit, retirer du pied des Alle

    mand

    s de

    1945

    l

    'norm

    e dard des

    chambres gaz .

    Ce n'est qu'apr

    s

    avoir pas

    s

    intelligemment au crible

    de

    la

    re-

    cherche mthodique les preuves , et avoir tudi pierre par pierre

    l

    es

    camps polonais, que

    le

    professeur frana

    is,

    stupfait de ce qu'il

    dcouvrait, eut l'honntet de reconnatre publiquement qu'il avait

    donn dans un attrapoire.

    Avant de prononcer

    ce confiteor

    le

    prof

    esse

    ur

    Faurisson avait

    soupes chaque accusation, visit les chambres gaz partout et

    dans tous les sens.

    A

    Au

    sc

    hwitz, tout spcialement, il avait

    sc

    rut

    chacune d

    es

    constructions de ce qui tait prsent comme une

    ~ h m b r e

    gaz en l tat d

    o

    rigine ou

    l

    tat de ruines.

    Il

    ava

    it

    so

    upes mticuleusement l'ensemble d

    es

    documents exposs

    au

    Mu

    se du ca mp et il avait pu mettre la main sur des pices que

    l

    es

    autorits dudit Muse s'taient bi en ga rdes de publier, en par

    ticu

    li

    er certains plans de crmatoires o figuraient sous leur forme

    originelle et sous leur vraie dnomination ( dpositoire

    , a

    bri an

    tiarien )

    le

    s locaux bapti

    ss

    aprs la guerre du

    nom

    de chambres

    gaz homicides. Par-dessus tout, il montrai t, par comparaison

    12

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    9/96

    LE FASCINANT HITLER

    avec les procdures de gazage employes soit pour la ds in fec tion

    des vtements, so it pour l'excution des condam ns mort dan s

    les pnitenciers amricains, que l'existence des chambres gaz

    d'Hitler

    se

    heu rtait une impossibilit radicale, d'ordre physique

    et

    chimique.

    Ses conclu sions furent formelles. Faurisson et pu les taire.

    Il

    se ft pa rgn

    ce

    nt bagarres, des procs, des ag ress ions sauvages.

    Il

    rpta son verdict en

    '

    979 la tlvision

    su

    isse italie

    nn

    e. Po

    ur lu

    i,

    t

    out

    tait clair: les gaz d'Hitler n'taient que du

    ve

    nt.

    Brava nt alors, dj, les poursuites judiciaires

    mont

    es par une

    nue d'organisations juives riches millions, il apparut devant les

    micros d'Europe N Ile 8 dcembre

    980.

    Et l

    ,

    au cours de l'mis

    sion Expliquez-vous du

    Juif

    Ivan Leva,

    il

    pel

    a,

    mot mot, la

    phrase suivante:

    Les

    pr

    tendues cham

    br

    es

    gaz hitlriennes et le

    pr

    tendu gnocide des

    ui s forment un seul et mme mensonge historique qui a permis une

    giga

    ntes qu

    e

    escroquerie

    politico-

    fin

    anci re, dont les principaux bn

    fi-

    c

    iair

    es so

    nt

    j t at dIsral et le sionisme international et dont les prin

    ci-

    pa

    l

    es

    vi

    ct

    im

    es so nt

    le

    peup

    le a

    ll

    emand - m is non

    p s ses dirige nts - et

    le

    peuple palestinien tout entier.

    Une te lle affi rmation ta it norme. Elle heurtait, de plein front,

    la

    fabuleuse propagande d

    bordant

    travers tout l'univer

    s.

    Fauris

    son ne dsarma point. dix repri ses il rcidiva. Appel tmoi

    gner au premier procs Zndel devant le tribunal de Toronto, au

    Canada, en fvrier 985, et au second procs Zndel en avril '988,

    il reprit pour la nime fois, mot mot, sa dclaration d'Europe

    r

    Le chariva ri fut immense, car la puissance des Isralites sur les

    mdias est immense. Et, aussi, sur les partis. D o, en France par

    exemple, la l

    g

    islation d'exception qui, depuis

    sa

    publicat ion au

    1]

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    10/96

    LE FAS C INANT

    HITLER

    journal

    officiel de la

    publique

    ranaise

    le

    '4

    juillet

    990,

    dcide de

    l'Histoire, au lieu des historiens. Le professeur Faurisson n tait

    qu une fauvette

    li

    vre la traque des mille chats-huants. Il n tait

    qu'u.n homme d

    't

    ude, un spc ialiste universitai

    re

    de l examen

    d

    es

    t

    ex

    t

    es

    .

    Il

    avait

    comm

    is le crime de

    sc

    ruter minutieu

    se

    me

    nt

    un

    vnement historique; il donnait des co nclusions, comme la fin

    d'un sminai re scientifique. C hac un restait libre de le croire ou de

    ne pas le croi re.

    Apropos d innombrables vnements qui

    se

    sont produits au

    long de milliers d'annes, on a pu souve nt mettre de fortes suspi

    cions ou des dngat ions radicales. Tout doit tre cent

    fois

    remis en

    ca

    u

    se

    lorsque l on

    re

    cherche la

    v

    rit historique. Douter n est pas

    seulement

    un

    droit, mais un devoir de tout historien srieux qui

    entend faire un tri entre les bobards et les faits rels.

    la presse qui l'interrogeait avec hargne, le professeur Fauri s

    so n rpondit tout simplement:

    Aucun des mots de cette dclara

    ti

    on ne m

    a

    t inspir

    par

    une opinion

    politique quelconque Je ne suis ni anti smite, ni mme an tisioniste.

    Le dbat et pu

    se

    limiter

    un

    e baga

    rr

    e vio lente. Au contraire,

    il

    allait, en quelques annes , aboutir une v ritable guerre de religion.

    Faurisson, sans lavoir voulu, fit cole : vingt autres professeurs, sa-

    vants, historiens mthodiques

    ont

    tenu ana lyser strictement ses

    tr

    avaux.

    Il

    s provenaient de pays trs diffrents.

    Il

    s comprenaient

    non seul ement des Franais mais des Ita liens, des Hongrois, des

    Canadiens, des Nord-Amricains, des Japonais. Beaucoup ont

    abouti

    d

    es

    co nclusions

    id

    entiqu

    es

    ce ll

    es

    de Fauri

    ss

    on, tel, en

    Allemagne, lancien mag istrat Wilhelm Staglich, la uteur de Der

    uschwitz My/hos tel, aux tats-Unis, le professeur duniversit

    Arthur R. Butz, qu i avait publi en 976, avant mme l

    es

    publica

    tions de Faurisson, The

    Hoax

    of he

    Twentieth

    Century (LImposture

    du xx sicle) .

    Te

    l le gra nd spcia

    li

    ste d

    es

    cham br

    es

    gaz amri

    caines, Fred Leuchter.

    Il ya peu encore, un Franais, M. Henri Roques,

    dan

    s une thse

    de doctorat en histoire, prsente devant un jury de lun iversit de

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    11/96

    LE

    FASCINANT

    HITL E R

    Nantes, dmonta

    les" Confessions"

    d'une des grandes vedettes de

    la propagande juive sur les" cham bres

    gaz

    ,

    Kurt Gerstein.

    Cet Allemand Gerstein, tomb aux mains de la po lice allie

    en 1945

    ,

    tait

    un

    individu bizarre,

    un

    S5 de bureau, que nul n'avait

    jamais vu

    la guerre. Il avait rdig sous l'injoncti

    on

    de

    la

    police

    franaise, aprs la dfaite a llema

    nd

    e, une succession de dclara

    tions d ' hallucin, se perdant dans ses contradict ions, tellement

    in vra isembl ables qu'il se sui

    cida"

    en aot de l

    'a

    nne mme,

    la prison militaire du C herche-Midi de Paris. Suici d? ou liquid

    si lencieuseme

    nt

    dans sa ce llule? aprs qu'on eut constat que ses

    rvlat ions

    n'avaient

    ni

    queue

    ni

    pattes et ne formaient qu 'un

    magma d'incohrences

    ... En

    tout cas, le suicid

    e

    ve nait bien

    po int.

    Le cas avait t exemplaire.

    Le

    tribunal de Nuremberg, peu difficile, on le sait, en matire

    de preuves (n'importe quel ragot de tmoin suffisait

    J

    avait lui

    mme ren

    cl

    devant les prtendues rvlations de Gerstein.

    A

    'en croire, les Juifs

    qu

    ' il prtendait avoir vu voluer dans des

    chambres

    gaz"

    de Pologne grouillaient dans celles-ci

    32 per

    sonnes au mtre carr, ce qui quivalait

    192 Juif

    s entasss s

    ur

    une

    J. C'est sur un ragot du tmoin Wilhelm

    Hat

    ti que le tribunal osa, dans

    son jugement, avancer le chiffre des Six Mi

    ll

    ions de victimes juive s (Dbats et

    do uments, tome l, p. 266 et }

    1I

    Le 4 dcembre 1945. avocat de Kaltenbrunner

    avait demand, mais en vain, au tribunal la omparution du tmoin pour

    terrogatoire et

    o

    ntre-interrogatoi re sur le contenu de sa stupfia nte dclaration

    c

    rit

    e.

    W. Hatti tait

    porte

    de ma

    in dans

    la

    prison mme de

    Nuremberg o

    il

    travaillait pour le co

    mpt

    e des pro cureurs amricains (i l devait par la su i

    te

    rv ler

    que, mme pendant la guerre, il avait travai ll pour le co mpte d

    es

    Amricain s

    ).

    Le

    tribunal

    luda

    la demande et

    se pe rm

    it

    plu

    s tard , dans son jugement

    du r

    oc

    tobre 1946, d'attribu er Eichmann en personn e un chiffre qu'en ra lit W. Ht

    tl

    disait avoir recuei ll i

    de la

    bouche d'Eichmann, Budap

    es

    t, en .. aot

    1944

    En

    1961

    lor

    s de l'instruction de son procs

    Jrusa lem, Eic

    hm

    ann se v

    it

    soumettre

    par le capitaine isralien Le ss

    la

    dclaration de W. Httl ; Eichmann protesta

    vivement contre

    ce

    qu'il dcrivit comme

    un

    sa lmigondis

    de

    c

    hif

    fres

    qu

    e

    ce

    type s'tait f

    ourrs dans

    la tte . W. Ht

    tl

    vi t encore auj ourd'hui en Autriche .

    Interrog

    sur

    sa dposition c rite, il cherche en minimiser

    la va

    leur et prtend

    qu'Eichmann ta

    it

    i

    vre

    le jour o

    il

    lui avait

    fa

    it

    ce tt

    e

    dclara ti

    on qu'i l n'au r

    ait

    pas

    fa

    llu prend re

    trop au

    s ri eux.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    12/96

    LE

    FASCINANT HITLER

    table de ping-pong de 2 mtres sur 3 mtres, ou 6Juifs perchs en

    quilibristes appliqus sur une lunette troite de wc.

    Ces contasseries de Gerstein

    ava

    ient d'ailleurs t amplement

    am

    li

    ores dans l' information que publia le quotidien parisien

    L clair

    le

    4

    dcembre

    1945

    :

    Les

    chambres

    gaz avaient une capacit d'environ 45 mtres cubes. Dans

    une d'entre elles 5 Juifs furent effroyablement entasss et attendirent

    24 heures le

    mom nt

    de leur mort.

    L clair ajoutait:

    Selon le propre tmoignage

    de

    Kurt Gerstein, le nombre

    de

    Juifs et de

    dports d'Europe centrale massacrs par les nazis dans les camps d'ex-

    termination

    s

    l

    ve 5

    millions.

    La haine, vraiment, leur brouillait tous la cervelle.

    Vingt-c inq millions, cela faisait neuf millions de plus de Juifs

    qu'il n'en existait

    cette poque s

    ur

    la terre entire.

    Mme si Hitler n'avait pas lais

    s un

    seul Juif survivre sur

    la

    pla

    nte,

    neuf

    millions de Juifs auraient

    d

    bel et bien mourir chacun

    deux fois

    Quant

    aux

    5000

    Juifs gazs dans

    45

    mtres cubes, acceptons

    mme que Gerstein et

    le

    rd

    ac

    teur de

    clair,

    peu cals en math

    matiques, aient confondu en

    1945 les

    mtres cubes et les mtres car

    rs. Soyons bons princes et admettons qu'il

    se

    soit agi de

    45

    mt res

    carrs et non de

    45

    mtres cubes. Cela dit, qu'on fasse

    le

    calcul:

    5000

    Juifs, diviss par

    45

    mtres carrs,

    donne lU

    Juifs dans une

    seule cabine tlphonique ou

    les

    superposer

    300 dan

    s

    un

    taxi,

    ou 3000 dans

    un

    autobus 1

    Un grand journal de Paris,

    clair,

    pouvait se permettre, en

    dcembre 1945, de claironner

    ce

    chiffre fou de Gerstein: III Juifs

    au mtre ca rr

    ( )

    sans que nul lecteur ne s'tonnt L'et-il fait,

    il

    se

    ft retrouv, deux heures aprs,

    les

    yeux pochs,

    le

    nez en com

    pote, dans un cachot puant de la prison de Fresnes, pour outrage

    la

    vrit

    16

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    13/96

    LE FASCINANT HITLER

    Il

    fallut attendre plus de quarante ans avant que soit prsente

    une thse universitaire annihilant

    les

    barbotements de ce mirifique

    Gerstein,

    si

    apprci par L clair. Ces multiplications vertigineuses

    avaient t utilises mille fois entre-temps par les intrpides cabrio

    leurs de la propagande isralite.

    Prsente par Henri Roques, devant un jury de l'universit de

    Nantes, celui-ci proclama l'auteur docteur en histoire, avec la men

    tion Trs bien

    Hurlements - aprs prs

    d'un

    an de

    si

    lence organis

    pour

    tenter

    de trouver la parade - de tous les alpinistes de la

    Propaganda

    taffil

    isralite Celle-ci exera de telles pressions que,

    pour

    la premire

    fois dans l'histoire des uni versits de France, on vit le ministre

    de l'ducation nationale, un certain Devaquet, se dclarer abso

    lument certain que l'lasticit des Juifs

    32

    ttes de pipe au mtre

    carr, relevait de la doctrine mathmatique la plus irrfutable: aussi

    ann

    ula-t-il

    d'un

    coup de plume

    ve

    ngeur

    ce

    doctorat iconoclaste

    Que chacun, dsormais,

    se

    le rpte: ou vo

    us

    croyez aux 32 H

    breux au mtre carr de M. Gerstein, ou mme, selon

    L clair,

    aux

    fils d'Isaac parfaitement l'aise dans une cabine tlphonique

    d'un mtre sur un mtre, ou vous serez catapult dans la stratos

    phre avec votre beau diplme

    La dernire rvlation au sujet des gazages produits par les pi

    lules de M. Hitler a t rapporte, en

    1988

    et en 1989 par le grand

    spcialiste amricain des chambres gaz, le spcialiste Fred A.

    Leuchter, de Boston (Massachusetts).

    Des chambres gaz existaient,

    en

    effet, officiellement, comme

    instrument de mise mort, dans la moiti des prisons des tats

    Unis.

    Cet expert amricain, contact par Faurisson sur la demande

    d'E. Zndel, croyait comme tout le monde aux chambres gaz

    d'Hitler mais ne s'tait jamais demand

    quoi elles pouvaient res-

    17

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    14/96

    L FASCINANT HITLER

    sembler. Faurisson lui dcrivit ce qu'il avait vu Auschwitz,

    Bir-

    kenau et Majdanek, lui montra ses documents, lui exposa ce qu'il

    considrait comme " les impossibilits physiques et chimiques de

    la

    magique chambre gaz hitlrienne . Leuchter, intrigu par ces

    histoires de millions de gazs juifs ayant voltig comme des nues

    de spectres de coloptres entre 1942 et 1944 dans

    le

    ciel polonais,

    se rendit Auschwitz, Birkenau et Majdanek afin d' tudier sur

    place le phnomne.

    Il

    tait accompagn de deux techniciens de choix, M. Howard

    Miller, dessinateur industriel, et M. Jrgen Neumann, cinaste,

    ainsi que d'une secrtaire et d'un interprte.

    Avec rigueur, en s en tenant

    des examens d ordre exclusive-

    ment scientifique, ces Amricains tudirent

    le

    s camps fameux.

    Ils regagnrent les tats-Unis le 3 mars 1988. Le rapport conte

    nant

    la

    synthse de leurs recherches ainsi que l'analyse d'chan

    tillons prlevs dans les" chambres gaz " et comportant, avec

    ses annexes, 93 pages, fut dit aux tats-Unis, puis en France.

    Riposte) Rfutation) Vous tes bien naf Le rapport fut reu dans

    un si lence spulcral. Oui le silence des spulcres Silence ton

    nant

    car ici, sous

    la

    plume de M. Leuchter,

    il

    ne s'agissait plus

    d'un

    reportage de presse plus ou moins bcl mais de conclusions s'ap

    puyant sur des faits, sur des calculs mathmatiques, sur des prlve

    ments de matriaux soumis des examens prcis d'un prestigieux

    laboratoire amricain : Alpha Analytical Laboratories, Ashland,

    Massachusetts.

    Un tel ta lage de preuves, si celles-ci n'taient pas exactes, devait

    tre rfut mthodiquement,

    sc

    ientifiquement. Et sans attendre

    Le furent-e

    ll

    es?

    C'tait essentiel pourtant, car ce rapport est, presque certaine

    ment, le document

    le

    plus important qui ait t consacr jusqu' ce

    jour au problme des" chambres gaz" endosses Hitler.

    Il

    n

    'e

    mpche. L'immense propagande juive aux trompettes qui

    retentissent partout, tout bout de

    champ

    plus bruyantes encore

    qu' Jricho, est reste

    tonnamment

    muette, part

    les

    injures clas

    siques ou une vague tentative de rfutation par un vieux

    Juif

    du

    nom de Georges Wellers, bard de titres mais dpourvu de tout

    diplme. Ces instruments tapageurs restrent si lencieux. Et

    pour

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    15/96

    LE FASCINANT HITLER

    cause comme s'ils

    se

    trouvaient devant un dsert roussi et infini,

    o nul rabbin ne pouvait mme plus expdier

    un

    infortun bouc

    missaire

    Ce livre de l'Amricain Leuchter marquait

    le

    renversement

    de

    l

    mare.

    On

    v

    voir en quoi

    il

    consiste.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    16/96

    CHAPITRE

    II

    LES GAZ

    DU

    III REICH

    IL

    ne nous es t pas possible, videmment, de reproduire ici in ex

    tenso l

    es

    1

    93

    pag

    es

    du rapport de Fred Leuchter, car le texte de

    ce

    spcia

    li

    ste amricain est bourr dune quantit d'annota tions

    sc

    ientifiqu

    es,

    souvent obtuses.

    La

    construction des phrases laisse,

    aussi, parfois dsi rer. .

    Cette tude de

    te

    ch nicien - que ce

    tt

    e ca ractristique soit note

    ds l abord - ne contient pas la moindre allusion la politique.

    Dans son tude, l ingnieur yankee s en

    ti

    ent, de franc jeu, rigou

    reuse

    ment

    aux faits, aux seuls faits .

    Pas

    de pass ion

    non

    plus dans le

    style employ. Un spcialiste hautement qualifi a dissqu scien

    tifiquement un sujet. Il conclut. Un point, c est tout. Au lecteur de

    braquer

    ses

    lunette

    s.

    Rien ne donne le repos

    qu

    e

    la

    recherche sincre de la vrit

    ,

    avait, trois sicles plus tt, crit Pasca l.

    Au

    sc

    hwit

    z, le

    s

    gazages se

    faisaient, sel

    on

    le s accu

    sa ti

    ons,

    surtout au

    Zy

    klon

    B.

    Que doit pen

    se

    r de ce produit le lecteur non averti?

    Sous les co te s 6.000, 6.004 et 6.005 de son tude, l'expert ap

    porte l-dessus des prcisions qui - nous nous en excusons - sont

    d une lecture plutt ardue. Elles nont rien, en tout cas, du savoi r

    enrouill des pontifes pdants de la propagande juive. Mais les pr

    cisions sont exemplaires:

    6.000

    Le gaz

    cyanhyd

    riqu

    e

    (HCN,

    ou acide cyanhydrique) a t utilis

    comm

    e

    gaz

    de

    dsinfection ds avant la premire guerre mondiale. Les tats

    Unis et leu s alli

    s

    ont utili

    s

    en concu ence avec la vapeu d'eau et

    21

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    17/96

    LE FASCINANT

    HITLER

    l

    air

    chaud et, pendant la seconde guerre mondiale, en concurrence avec

    le

    DDT.

    6 DP4

    Le

    Zyklon

    B

    est une prparation commerciale qui contient

    de

    l a

    cide

    cyanhydriqu e. Le n

    om

    Zyklon

    B

    est une marque dpose.

    Le HCN

    tait fabriqu l usine et li

    vr

    sous une forme dans laquelle

    le

    HCN tait

    absorb par un e matire poreuse, soit de

    la

    pulpe de bois, soit une

    terre

    diatomace (craie).

    Il

    tait livr sous forme de disques ou de pastilles

    ou de granuls. Cette prparation tait scelle dans une bote herm

    tique dont l ouverture

    se

    faisait avec un ouvre-bote spcial. Sous cette

    forme, le Zyklon B/HCN

    re

    sta it sr et facile manier. Le gaz manant du

    Zyklon

    B

    tait du

    HCN.

    Les

    disques, l

    es

    pastilles ou

    le

    s granuls devaient

    tre

    rpandus

    su

    r

    le

    sol de la zone fumiger ou utiliss dans une chambre

    o

    l air

    tait ventil et chauff une temprature suprieure 257 c . Si

    on lutili

    se

    dans un btiment, dans un bateau ou sous des tentes pour

    la

    fumigation des arbres et de leurs produits,

    la

    zone doit tre chauffe

    une temprature qui dpasse

    257 C,

    point d bullition du

    HCN.

    Faute de

    cette temprature ,

    le

    rsultat est beaucoup plus long ve nir. La fumiga-

    tion

    prend au

    minimum Z4

    48

    heures.

    6.005

    Aprs

    la

    fumigation,

    la ve

    ntilation de

    la

    zone doit prendre un mllli-

    mum de

    1

    heures, selon l

    es

    dimensions et

    le

    volume des lieux, et plus

    longtemps si le btiment n est pas pourvu

    de

    fentres ou

    de

    ventilateurs

    d vacuation. L

    es

    zones traites doivent tre alors testes

    par

    des moyens

    chimiques

    pour

    dceler l ventuelle prsence de gaz avant que l on y

    entre. [ .. ]

    Les

    portes -

    joute

    notre

    spci liste

    -

    doivent tre pourvues

    de

    joints

    d'tanchit; [l installation] doit avoir un gnrateur de gaz ou un sys-

    tme de distribution du Zyklon

    B

    qui doit souffler de la ir chaud sur le

    Zyklon B [ ] ; [ ]la chambre ou la structure doit avoir les moyens n-

    cessaires

    pour

    lvacuation du mlange empoisonn air/gaz [ .. ] ; [cette

    dernire] doit se faire distance de scurit au-dessus de l in

    sta

    llation,

    l o les courants d air peuvent disperser le gaz. La hauteur normale est

    d environ mtres au-dessus de la

    st

    ructure mais doit

    tre

    suprieure

    si

    ladite structure est abrite du vent. [ .. ]

    La

    temprature des murs ainsi

    que

    de

    lair lintrieur

    de

    l in sta llation et

    de

    l

    air

    introduit doit tre

    maintenue au moins

    ao

    au-dessus

    du

    point d bullition de l acide cya n

    hydrique.

    22

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    18/96

    LE FASCINANT HITLER

    [ .. ] Le Zyklon n est pas recommand pour les chambres gaz

    d excution en raison du temps qu il faut pour faire sortir le gaz de son

    support inerte.

    Aprs avoir crit

    main

    pose sept pages

    de documentation

    au

    sujet de ces constructions, F A Leuchter en vient une premire

    conclusion:

    La

    construction dune chambre gaz requiert la prise en considration de

    nombreux problmes compliqus.

    Une

    erreur sur l un d eux pourrait, et

    probablement devrait,

    causer

    la mort ou blesser tmoins et techniciens.

    Ces dtails techniques une fois dsentortills, l auteur du rap

    port amricain expose, point par point, mtre par mtre, sous le

    titre PLANS

    ET

    PROCDURES D EMPLOI DES PRSUMES CHAMBRES

    GAZ D EXCUTION

    ", le rsultat des examens mens par lui dans

    les

    diffrents btiments censs avoir servi de chambres gaz d ex

    cution

    de

    1941

    1944

    dans

    les camps d Auschwitz

    et

    de Birkenau

    (situs sur

    un

    territoire rattach au Grand Reich) et dans

    le camp

    de Majdanek (situ sur le territoire du

    Gouvernement

    gnral de

    Pologne) :

    U DOO

    D aprs une enqute portant sur les documents historiques consults et

    sur les installations elles-mmes,

    il

    semble que

    la

    plupart des prtendues

    chambres

    gaz aient t la transformation de btiments qui avaient t

    conus et construits dans un autre but que celui de servir de chambres

    gaz

    . Seules les chambres que l on appelle exprimentales Majdanek ont

    t, dit on, spcia lement construites comme installations de gazage.

    12.001

    Les bunkers n

    05

    l et 2 sont dcrits dans les documents du Muse d tat

    d Auschwitz comme

    des fermes reconverties dotes de plusieurs cham-

    bres

    o

    les fentres auraient t scelles. Elles n existent plus dans leur

    condition d origine [ ..

    J

    Les Kremas I, II, Ill, IV et V sont dcrits dans ces documents

    comme

    tant des morgues reconverties, ce que notre inspection a confirm,

    re-

    23

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    19/96

    LE FASC IN A NT HITLER

    lies aux crmato

    ir

    es et installes dans le mme btiment qu

    e

    ux. L in s-

    p

    ec

    tion s

    ur place de ces

    con

    struct

    ions indique

    que la

    conception

    de

    ces installations aura it t extrmement mauva ise et dange

    reu

    se si e lles

    ava

    ient

    se

    r

    vir

    en tant qu e ch

    ambres

    gaz d excution. Rien n

    y est

    pr

    ; u pour des portes dotes de joints ou des fentres dotes de joints ou

    des

    conduits dvacuation; les bti me

    nt

    s ne sont

    pa

    s enduits de go ud

    ro

    n

    ou d autre couche imperm a bilise pour empcher les fuite s ou labsorp -

    tion

    des

    g

    az

    par l

    es murs.

    L

    es

    crm

    ato ires

    qui so

    nt

    proches re

    pr

    sente

    nt

    un

    dan

    ge rpotentiel de

    xp

    losion. Les

    br

    iques et le mortier poreux exposs

    Jaction des gaz aur aient accumu l le H N et rendu ces insta

    ll

    atio ns

    dangereuses pour les hommes pendant plusieur s annes. Le Krema est

    ad

    j

    ace

    nt

    lhpital

    SS

    d Auschwitz et il est dot de drains de ca nalisa

    tions qui

    se

    jettent dans le principal gout du camp, ce qui

    au

    ra

    it

    p

    er

    mis

    au gaz de sinfiltrer dans tous les btiments du camp. Il ny avait pa s de

    systme d ex traction pour ventiler les gaz aprs usage, p

    as

    de mcanisme

    pour chauffer et diffuser le gaz Zyklon introduire U faire vaporer.

    On dit que le Zyklon

    B

    tait jet depuis

    de

    s ou

    ve

    rtur

    es

    pratiques dans

    le toit et

    travers les fentres, ce qui ne permet pas une distributi

    on

    homogne du gaz U des granuls .

    Le

    s insta llations sont continuelle-

    ment humides et ne sont pas chauffes. omme nous lavons indiqu ci-

    d

    ess

    us

    l humidit et

    le

    Zyk

    lon

    B

    ne

    so

    nt

    pa

    s compatibles.

    Les

    chambres

    sont trop petites pour contenir

    le

    nombre d occupants quon leur attribue

    et

    le

    s portes s ouvrent toutes

    vers

    l intrieur, ce qui ne pourrait que gner

    l enlve ment de s corps. Les chambres tant compltement remplies par

    les occupants, il n y a

    ur

    ai t pa s de circul

    at

    ion du HCN lintrieur de la

    pi

    ce. En outr

    e

    si le gaz avait ventue

    ll

    ement rempli la pice pendant

    une longue priode de temps, ceux qui auraient jet le Zyklon par les

    ouvertures

    pr

    atiques dans le toit et vrifi la mort des occupants

    se rai

    ent

    morts galement par suite de leur expositi

    on

    au HCN.

    Prc isions assez impressionnantes que nous co nfions au juge

    me

    nt

    des

    magistrat

    s

    promi

    s brusquement,

    par

    des lois d exception,

    des fonct ions imprvues de contrleurs scientifiques.

    I.:

    e

    xpert

    amricain

    passe ensuite, sous les cotes

    '5

    .

    001

    et

    15.0

    02

    l

    '

    tude du premier des Kremas d Auschwitz, le Krema l , propos

    duquel, so

    ulignons

    -le,

    d'norme

    s affabulations avaient t dmuse

    les d

    j

    par

    le

    professeur Fauris

    son et son

    quipe.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    20/96

    LE

    FASCINANT

    HITLER

    Voici les

    concl

    usions de F. Leuchter:

    5

    1

    Dans la

    zo

    ne de la morgue on trouve quatre ouvertures de venti lation

    et

    un

    co

    nduit de chem ine . Le conduit de chem ine est ouvert et rien

    ne montre qu il

    ai

    t jamais t ferm. Les ouvertures dans le toit sont

    dpourvues de joints d tanchit et une boiserie neuve indique qu elles

    ont t rcemme

    nt

    reconstruites. Les murs et le plafond sont fa its de stuc

    et le sol est en ciment. La surface au sol est de 44 pieds carrs

    (78

    m

    ).

    Le

    plafond comporte des pou tr

    es

    et on peut voir au sol la

    tr

    ace de murs

    d abri antia rien qui ont t dmolis. Le systme lectrique ntait pas et

    nest toujours pas protg contre les exp los io n

    s. 11

    y a des canali

    sa

    tions

    dans le sol de la chambre qui sont relies au sys tme principal dgout

    du camp. Si l on suppo

    se

    qu

    il fa

    ut n

    euf

    pieds carrs par personne pour

    permettre au gaz de circuler, ce qui

    re

    ste tr s se

    rr

    , on pourrait faire

    entrer dans cette pi ce en mme temps un maximum de 94 personnes.

    D aprs les textes, la pice

    pa

    sse pour avoir contenu

    600

    [et mme 800 ]

    personnes la fois .

    15.

    002

    Comme nous lavons dj dit, cette prsume chambre gaz d excution

    na

    pa

    s t conue pour tre utilise

    cette fin.

    Il

    ny a aucun lment

    montrant la prsence d un systme d ex

    tra

    ction de l air ou de ventilateur

    d

    a

    ucune so

    rte.

    Le systme de venti la

    ti

    o n de ce tte prsume chambre

    gaz

    co

    nsistait simplement en quatre ouvertures carres dans le toit d-

    passant de

    se

    ulement 60 cm de la s

    urf

    ace du toit. Ventiler du gaz HCN de

    cette faon rsulterait sa ns aucun doute dans l

    e

    mpo isonnement par ce

    gaz des abords de

    l h

    pi tal

    5S

    qui

    se

    tro

    uv

    e

    une

    fai

    ble distance de l

    a

    utre

    ct de la chausse et la mort des patients et du personnel de cet hpi-

    tal. tant

    donn

    que le btiment ne

    co

    ntient aucun lment d tanchit

    pour prveni r les fuites,

    pa

    s de portes

    com

    portant des joints d tanchit

    pour empcher le gaz d atteindre les crmato ire s, des cana

    li

    sa tions, en

    revanche, qui auraient permis au gaz d atteindre chaque btiment du

    camp, aucun systme de chauffage, au cun systme de c irculation d air,

    aucun systme d extraction ou de

    pri

    se d

    a

    ir permettant la ventilation,

    aucun systme de distribution du gaz, une humidit constante, aucu ne

    possibilit

    po

    ur le gaz de circuler en raiso n du nombre de gens qui se se-

    raient trouvs dans la chambre et aucun

    mo

    yen satisfa i

    sa

    nt d introduire

    le Zyklon

    B,

    il aurait t un pur suicide d essayer d utiliser cette morgue

    en tant que chambre

    gaz d excutio

    n. II

    en serait rsult une explos ion

    o u des fuites qui auraient tu par

    le

    gaz le camp tout entier

    25

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    21/96

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    22/96

    LE

    FASCINANT HITL

    ER

    au hasard d'une nuit: 95 des dputs s'taient clipss ce so ir-l

    et avaient assez lchement confi

    la

    clef de leur a

    pp

    are

    il

    voter

    quelques co

    ll

    gues, courant, affairs,

    d une

    bote

    l'

    au

    tre afin

    d'obtenir, tout de mme, une majorit, tout en escamotant l

    es

    r

    es

    ponsabilit

    s

    d

    es

    fuyards.

    L'imposition

    d une

    loi

    ce

    point sectair

    e

    dans une te

    ll

    e ab

    sence de coura

    ge

    civique, n'avait, en

    fai

    t de riposte

    d

    es

    constats

    sc

    ientifiques rien de bien convaincant ni, surtout, d 'difiant.

    Aux mag istrats franais - promus si soudainem

    en

    t

    Pic

    de la

    Mir

    andole

    col d'hermine, tout

    la fois ingnieurs chimiste s et

    historiens - no

    us

    laissons le soin de faire r

    fl

    exi

    on

    et de soupeser

    chacune des constatations livr

    es

    au grand public par le spcia

    li

    ste

    amricain dont nous poursuivons ci

    -a

    prs les conclusions.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    23/96

    CHAPITRE

    III

    L EXPERT U TRAVAIL

    PRS Auschwitz, l Amricain Fred A. Leuchter et ses techniciens

    taient alls mener leurs

    in

    vestig

    at

    ions au camp de

    Majdanek

    (Lu

    blin). Ce

    lles-ci ont

    t

    tr

    anscr

    ites

    aux

    cotes

    U

    002 et

    U OO} de leur

    rapport:

    [2 002

    [ ..] les installations de Majdanek ne sont pas en mesure d atteindre le but

    qui, dit-on, leur ta it fix . On y trouve d abord un crmatoire reconstruit

    accompagn

    ,

    dit-on, d une chambre gaz.

    Les

    seu les parties

    de

    l

    d ifice

    qui existaient avant la reconstruction taient

    le

    s fours crmato

    ire

    s. On

    prtend que ce btiment a t reconstruit d aprs des plans qui n existent

    pas.

    Le

    btiment est con

    str

    uit de telle sorte que le gaz ne pourrait pas

    avo

    ir

    t

    contenu

    lint

    ri

    eu r

    e

    la

    chambre

    gaz et

    la

    cham

    bre

    }

    elle-mme est trop petite pour avo ir contenu le nombre de victimes qu on

    lu i attribue. Le btiment est trop humide et trop froid pour un usage

    efficace du gaz Zyklon B. Le gaz aurait atteint l

    es

    fours et, aprs avoi r

    tu le s techniciens, il aura it provoqu une explosion qui au rait dtruit le

    btiment. En

    out

    re

    , le

    btiment, en c

    im

    e

    nt, est radica

    l

    eme nt

    diffrent

    des

    autres constructions

    de

    l installation. En bref, le btiment

    ne

    pouvait pas

    tre

    utilis dans le but qu on lui attribue et

    ne

    correspond mme pas

    aux

    ncessits minimales

    de

    la construc

    ti

    on d une c

    hambr

    e gaz.

    U OO}

    La deuxime installation Majdanek apparat sur l

    es

    plans comme un

    btiment en forme de u [ . .].

    Le

    Zyklon aura it t plac

    la

    main sur

    le sol. Il est

    clair

    que cette pice n

    est

    pas une chambre d excution. L air

    peut y circuler mais il n y a pas de dpart d un conduit d aration. Tout

    comme les autres installations, cette pice

    n a pas t

    conue et

    n a

    pas

    pu

    tr

    e utilise comme ch

    ambre

    gaz

    pour

    des

    excutions.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    24/96

    LE

    FASCINANT HITLER

    Le camp de

    Majdanek disposait

    aussi, a-t-on affirm, de

    deux

    chambres gaz exprimentales .

    L encore, les investigateurs amricains accumulrent leurs re-

    cherches, sans

    luder un

    e seu

    le

    interrogation.

    u oo4

    A arrire de ce btiment

    se

    trouvent les prsumes chambres gaz ex-

    primentales. [ .. ]

    A ce qu on prtend,

    ces

    deux chambres taient utilises [indiffrem

    ment] pour le Zyklon B ou le monoxyde de carbone. Ceci

    ne

    peut pas

    tre

    vrai

    .

    12005

    De ces deux pices, l une n a jamais t termine et n a jamais pu serv ir

    l uti lisation de monoxyde de

    ca

    rbone. Elle n est pas non plus conue

    pour l utilisation du

    HCN [

    . . .

    ] .

    En dpit de l crit

    ea

    u plac sur la porte,

    qui indique exprimentale , cette chambre n aurait pas pu servir

    des excutions par le

    co

    en rai son

    du

    besoin de produire

    4

    ppm

    (l

    a

    concentrat ion mortelle)

    la pression ncessaire de 2,5 atmosphres. Les

    deux pices ne rpondent pas aux ncessits de ventilation, de chauffage,

    de circulation d air et d tanch it. Les briques, le stuc et les mortiers

    ne sont nulle part revtus de produit tanche, ni t>intrieur ni lext-

    neur.

    6

    L un des aspects les plus remarquables de ce complexe est que les cham

    bres sont entoures sur trois cts par un trottoir de bton qui se situe en

    contrebas. Ceci est tota lement incompatible avec une utili

    sa

    tion ration-

    nelle des gaz vu que toute fuite de gaz s>accumulerait dans cette

    tranche

    et, tant l abri du vent,

    ne

    se

    dissiperait pas. Ceci transformerait toute

    cette

    zo

    ne en un pige mortel, particulirement avec le

    HCN.

    L auteur en

    co nclut donc que cette insta llation na jamais t prvue pour un usage,

    mme limit,

    du

    HCN

    F.

    Leuchter

    a not sc

    rupul

    euse

    ment

    sous

    le

    s cotes

    qooo 17.001

    [7.002 [7.004 qo05 qo06

    ce

    qui

    lui a

    paru particulirement

    inac

    ceptable

    scientifiquement.

    noter ses

    remarques sur

    les

    stations

    O

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    25/96

    LE FASCINANT

    HITLER

    d'pouillage et de dsinfec tio n, simples insta llations d ' hygine

    qui,

    seule

    s, auraient pu prter conf

    usi

    on,

    dans

    l'esp

    rit des dpor-

    ts, avec de fantomatiques cha

    mbre

    s

    gaz .

    '

    On trouve Majdanek plusieurs

    in

    stallations qui nous intre ssent: le

    cr

    mato ire or

    igin

    al, aujourd 'hui d truit; le crmatoire avec la chambre

    gaz pr

    s

    um

    e,

    aujourd'hui reconstruit ; le btim e

    nt

    de Bains et de D

    -

    sinfec tion n 2, qui tait apparemment une installation d'poui llage, et le

    btiment de Bains et de D si

    nf

    ect ion nO qui

    co

    ntenait une dou che, une

    pice d 'pouillage, une pice de stockage et, ce qu'on dit , les chambres

    gaz

    ex

    primentales au

    co

    (monoxyde de

    ca

    rbone et au

    HCN .

    ] 001

    [

    ..

    ] En ce qui concerne le btiment de Bains et de D sin fection n

    2

    qui

    est actuellement ferm, une inspection par le s fentres

    co

    nfirme qu'il n'a

    serv i qu l pouillage, de la mme manire

    que

    ce ux de Birkenau.

    Le cr-

    matoire et

    la

    prtendue chambre

    gaz reconstruits, dont nous avons dj

    parl, feront de nouveau l'objet ici de brves considrations.

    Le

    s fours

    sont

    la

    se ul e partie de l'installation qui n'ait pas t rebtie. La structure

    de base semble tre en bois,

    comme

    le sont le s autres installations de

    Maj danek (except les chambres exprimentales).

    17-002

    La zone d'pouillage et de stockage dans le btiment de Bains et de D-

    sinfection n est une pice en forme de L avec une cloi son intrieure en

    bois et une porte.

    Ell

    e comprend un volume de quelque 7

    6 7

    pieds cubes

    et

    une surface

    de 806

    pieds carrs. [ .. ] Il semblerait, d'aprs

    le

    plan, qu'il

    s'agi

    ssa

    it d'une pice pour l' pouillage ou pour le stockage du matriel

    dsinfect. Les ouvertures dans le toit ne peuvent procurer qu'u ne ara-

    tion lente des matriels entreposs. Les portes sont dpourvues de joints

    et ne sont pa s conues pour

    tre

    tanches.

    La

    pice ne

    co

    mpor

    te

    ni l'in-

    trieur ni l'ext e

    ur

    de revtement tanche. Il y a plusie

    ur

    s zones dans

    le b timent qui sont fermes en permanence et que nous navon s pa s pu

    visiter. Cette pice n'tait v idence pas une chambre d'excution et ne

    rpond aucun des critres que nous avons dcrit

    s.

    [ . . ]

    JI

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    26/96

    LE

    FASCINANT

    HITLER

    Pas un seul endroit du camp n cha

    pp

    a aux investigateurs am-

    rIcains

    :

    17.004

    La

    chambre

    nO

    a la place pour une ventilation dans le toit mais

    il

    ne

    semble pas qu on ait jamai s perc ce to it. La chambre n

    1

    a un systme

    de cha

    u

    age et de circulatio n de J

    air

    qui n est pas

    o

    nu correctement

    (l ad

    mi ss

    ion et l exp

    ul

    sion sont trop proches) et na

    ri

    en pour effectuer

    la venti lati on. Les murs sont en pl t re , le to it et le sol sont en ciment,

    et tous sont entire ment dpourvus dlment d tanchit.

    Il

    y a deux

    systmes de rchauffement d a

    ir

    qui sont dans d

    es

    ca ban

    es

    adjacen tes,

    l ext

    ri

    eur, lun pour la chambre n 1 et l autre pour une autre pice dans

    le btiment de Bains et de D

    s

    inf

    ection , devant, [

    ..

    ) mais aucun d

    es

    deux nest conu

    orr

    ectement et aucun systme nassu

    re

    la ventilation et

    lext racti

    on

    de l a ir.[... )

    17-05

    Bien qu premire vue ces installations par aissent dune conception nor-

    male,

    il

    s en faut qu ell

    es

    rpondent tous l

    es

    critres n cessa ir

    es

    une

    chambre gaz d excution ou une installat ion d pouillage. D abord,

    il

    n

    y

    a pas d tanchit s

    ur

    les surfaces intrieures ou extrie

    ures

    .

    En

    second

    li

    eu, le trottoir en contrebas est un pige potentiel pour le gaz

    N ce qui rend le btiment extrmement dangereux. La chambre n 2

    n est pas finie et

    n

    a probablement jamais t utilise.

    La

    tuyauterie est

    in complte et la ventilation n a jamais t ouverte dans le toit . Bien que

    la chambre n soit oprationnelle

    pour

    l emploi du monoxyde de ca r-

    bone, elle est peu ve ntile et ne pourrait pas fonctionner avec du H

    N

    .

    Le circulateur d air chaud n est pas

    bi

    en in stall. Il

    n y

    a ni ventilation ni

    chemin e d

    a

    ratio

    n.

    7

    006

    Aussi l opinion de j

    a

    uteur de ce rappor

    t,

    au mieux de ses connaissances

    techniques,

    es t-

    elle que

    le

    s chambr

    es

    n S

    1

    et

    2

    nont jamais et ne pour

    raient jamais tre utilises comme chambres gaz dexcution. Aucune

    des installations de Majdanek n est utili

    sa

    ble ou a jamais t utilise des

    fins d excution.

    3

    2

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    27/96

    LE

    FASCI

    NANT HITL ER 1

    Le lec teur, apr

    s

    avoir dcortiqu chaque terme du constat am

    rica in, tirera lui-mme ses

    co

    nclusions.

    Si l'on

    s e

    n

    ti

    ent aux multiplications opres, pendant quaran

    te

    an

    s,

    par

    un

    e lg ion de tranche-mont

    ag

    n

    es

    , les cha

    mbr

    es

    gaz

    avaient t gorges de quantit

    s

    gigantesqu

    es

    de victimes, repr

    se

    ntant , lors de chaque fo

    urn

    e, de six ce nts

    plusie

    ur

    s milliers

    d I sralites .

    Le spcia

    li

    ste Leuchter

    nou

    s apporte dans son

    ra

    pport d

    es

    hot

    tes de prcisions, tout fait surprenantes, s

    ur

    l'

    imp

    ossibilit ma

    trielle de tels gazages

    ma

    ssifs

    et homi

    cid es

    dan

    s l

    es

    ca mps de la

    zo

    ne polaco-sovitique.

    Que

    ce

    ft

    Birkenau, complme

    nt

    d 'Au

    sc

    hwitz :

    16.00)

    Le

    s prsum es chambres gaz dans cha cun des Kremas et avaient

    un

    e surface de 2 5 pieds c

    arr

    s, soit 2

    3

    Ceci permettrait dy faire

    entrer

    278

    personnes s

    ur

    la base de 9 pieds carrs par perso nn

    e.

    Ou

    que

    ce

    ft

    Majdanek,

    la zone

    d

    pouilla

    ge

    o, explique

    t-on, s'taient

    ef

    fec tus des super-gazages :

    7

    0

    )

    Si

    cet endro it ta

    it

    utilis, ainsi quon le prs

    um

    e,

    comm

    e chambre d ex

    cutio

    n

    il contiend r it 90

    per

    sonn es au plu s et ncess iterait l utilisation

    de 2

    li

    vr

    es

    de gaz

    Zy

    klon B Le

    temp

    s n

    cessair

    e

    la

    ve

    ntilation sera

    it

    au

    moi ns d une semaine. Usage maximum d excutio

    n:

    90 perso nnes

    par

    se

    ma

    in e.

    17-0 7

    La

    chambre n' 1 a

    un

    e surface de

    480 pi

    eds

    ca rr

    s, un vo lume de

    4

    40

    pieds cubes; elle peut

    co

    nteni r 54 personnes et requ ie rt une l

    iv

    re de gaz

    Zyklon

    B.

    La cha

    mb re

    n'

    2

    a une surfa

    ce

    de

    2

    09

    pieds ca rrs

    ,

    un vo lum

    e

    de

    18)0

    pieds cub es; elle

    pe

    ut contenir 4 per

    so

    nn

    es

    [ ..J.

    On

    ve

    rra plus loin

    quels chiffr

    es

    globaux

    F.

    Leuchter

    es

    t a

    r

    r v.

    De toute faon, en cas de gazag e homicide, il et fallu encore, si

    on

    voulait liminer tous ces cadavres,

    le

    s faire passe r par d

    es

    fours

    33

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    28/96

    LE FASCINANT

    HITLER

    crmatoires.

    Ou

    bien les rduire en cendres dans des tranches

    l extrieur.

    Qyelles

    ont

    t,

    e

    propos, les constatations des investigateurs

    . .

    amenC31flS

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    29/96

    C HAPITRE IV

    LES

    FOURS

    CRMATO IRE S

    LA

    propagande juive, dans son ampleur bablique, avait apport au

    public des chiffres vertigineux, atteignant ju squ

    24

    cadavres

    incinrs Au schwitz en

    un

    seul jour .

    I:Amricain Fred A. Leuchter est,

    l

    aussi, all jusqu au

    bout

    de

    son travail scientifique.

    Il a

    dans son rapport, consacr de nom

    breuses pages

    la

    question, dressant une comparaison d

    un vif

    in

    trt entre

    les

    possibilits des fours allemands de

    la

    Seconde Guerre

    mondiale, tous de type ancien et

    d une

    activit relativement r

    -

    duite, et celles des fours crmatoires de nos cits actuelles.

    On

    sait que ceux-ci travaillent, en gnral, une cadence qui

    va

    d une

    heure et demie trois heures par corps, selon la puissa nce

    de l installation .

    Quel tait

    le

    rendement possible des crmatoires des camps al

    lemands?

    5 Commission gnrale d 'enqute sur les crimes hitlriens en Pologne,

    Le

    amp

    de concentration d Oswiecim-Brzezinka (Auschwitz-Birkenau), par Jan Sehn,

    docteur en droit. Varsovie, Wydawnictwo Prawnicze,

    19f 1, p

    Jan Sehn, juge

    d'instruction, instruisit no tamment le cas de Rudolf Hss, J'un des trois com

    mandants success ifs du camp d'Auschwitz. Dans le mme ouvrage, il ne craignit

    pas d'crire que le

    re

    nd ement des chambres gaz de Birkenau ta it peu prs

    de 60000 personnes

    par

    24 heures (p. 1}2).

    6. Un four moderne, fonctionnant au gaz, brle un maximum de cinq co rps

    par jou r bien que chaque crmation ne dure e

    ll

    e-mme qu'un peu plus d'une

    heure. Il faut, en effet, chaque matin une dure de prchauffage d'environ une

    heure et demie.

    De

    plu

    s,

    avant chaque nouvelle intro mission d'un nouveau cer

    cueil, il faut une priode de tem ps o o n laisse retomber

    la

    temprature. Aucun

    four crmatoire ne peut fonctionner jour et nuit. Auchwitz-Birkenau, les fou rs

    fonctionnaient

    au

    coke rai son de 12 heures par jour et ncessi taient un impor-

    tant travail de dgrillage Les pannes taient frquentes.

    35

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    30/96

    LE

    FASCINANT

    HITLER

    Rponse de

    l ingni

    e

    ur

    Leuchter:

    lJ.oo6

    Les

    crmatoires utiliss dans les installati

    ons

    allemandes que nous avons

    visites taient de type ancien. Ils taient construits en brique rouge lie

    au mortier et tapisss de brique rfractaire. Tous les fours avaient plu

    sieur

    s moufles, dont quelques-uns taient ventils

    mai

    s

    aucun

    n tait

    combustion directe) ; aucun n avait de dispositif de post-combustion et

    tous foncti onnaient

    au

    coke lexception, Majdanek, d une

    in sta

    llation

    qui n existe plus aujourd hui. Aucun des moufles que nous avons exami

    ns dans la totalit des crmatoires nta

    it onu

    pour l incinration de

    plusieurs corps

    en

    mme temps.

    Malgr les

    Z4

    fours et leurs 69 moufles, le nombre total des

    morts

    incinrs Auschwitz, Birkenau et Majdanek, tel

    qu il

    ressort de l enqute amricaine, ne concorde ni de prs ni de

    loin,

    ni mme de trs lo

    in

    , avec les chiffres imposs jusqu prsent

    par

    les propagandistes d aprs 1945 :

    lJ.

    oo

    5

    Les anciens fourneaux au charbon ou au oke, avec une ventilation for

    ce (mais

    sa

    ns application directe de la flamme), prenaient normalement

    de },5

    4

    heures pour chaque corps. Ceci permet thoriquement de brler

    6,8 corps

    au

    maximum dans une priode de

    Z4

    heures. [ .. ] Ces estima-

    tions ont pour base un ca davre par moufle et par crmation.

    On

    verra,

    dans

    la

    nudit

    des chiffres

    du

    tableau

    VIII

    dress

    par

    Fred Leuchter, quelle

    pouvait tre

    l activit maximum de tous les

    fours crmatoires

    d Auschwitz, de

    Birkenau et de Majdanek. Ma-

    triellement, ces fours ne sont

    point

    parvenus, en trois ans, in-

    cinrer plus de 106512 corps d interns dcds, soit quarante fois

    moins que

    ce qu ont

    expliqu au public berlu cent auteurs mlo-

    dramatiques.

    Scrutez avec soin ce tableau VIII: il rcapitule,

    Krema par

    Krema,

    camp

    par camp,

    face des fictions d hypothtiques gazages 123976

    personnes), les possibilits thoriques d incinration (242176) (r-

    duite

    par

    de longs arrts

    pour

    rparation)

    et

    les incinrations re lles

    (I06jl2 corps au total).

    3

    6

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    31/96

    LE FASCINANT

    HITLER

    1

    Mme les fosses extrieures crmation de

    Birkenau,

    dcrites

    comme ruisselantes

    de

    feu, censes avoir ananti des milliers

    de

    cadavres

    de Juifs

    chaque fois, n ont

    pas

    rsist

    davantage aux

    in

    vestigations

    scientifiques

    de

    l ingnieur en chef

    Leuchter.

    Lisez:

    14-

    008

    Lauteur veut aussi

    pa rler

    ici des prtendues fosses de crmation.

    L auteur

    a personnellement inspect et photographi l

    es

    fosses de crmation

    Birkenau. Ce q

    ui

    es

    t tout fait remarquable propos de ces fosses est la

    hauteur de la nappe phratique, qui se trouve seulement

    40

    cm de la

    surface. Les historiens dcrivent ces fosses comme ayant eu 6 mtres de

    profondeur. l n'est pas possible de brler des corps sous l'eau mme en

    usant d un moyen artificiel d acc lration (essence). Toutes les fosses qui

    se trouvent officiellement sur les cartes du muse ont t inspectes, et,

    com

    me o n pouvait s y attendre tant

    donn

    que Birkenau est construit

    sur un marais, tous ces emplacements avaient de leau environ 60 cm de

    la surface. L opinion de l auteu r de ce rapport est qu il ny a jamais eu de

    fosses de crmation Birkenau.

    Non seulement les chambres gaz , les fours crmatoires, les

    tranc

    h

    es

    combustion

    ava ient

    t

    , comme on l'a vu, exam ins

    visuellement avec la plus s

    tricte rigueur

    par les experts amricains,

    mais des dizai

    ne

    s

    de prlvements de

    m atriau x avaient

    t

    effec

    tus,

    qui furent emports aux

    tats-Unis

    et

    analyss

    dans des labo

    ratoires spc ialiss (cotes

    14.000,

    14.001,

    4 4 et 14.006

    :

    14 000

    [

    ..

    ] des chantillons

    ont

    t prlevs

    des fins d'analyse md ico-lga le

    dans les briques, le mortier, les c ments et les sdiments de plusieurs en

    droits en Pologne. [ ..]

    14-

    01

    3

    chant

    ill

    ons

    ont t slectionns et pris dans les prsumes chambres

    gaz des Kremas l, Il ,

    III

    , IV et v. Un chantillon de con tr le a t pris

    dans l' insta

    ll

    ation d'pouillage n

    1

    de Birkenau. [

    ..

    ]

    14.

    4

    l es

    t remarquable que presque tous l

    es

    chantillons taie

    nt

    ngatifs et

    que les quelques-uns d entre eux qui taient positifs se trouvaient trs

    37

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    32/96

    LE FASCINANT HITLER

    prs de la limite de dtection possible 1 mg/kg) : 6,7 mg /kg au Krema Ill ,

    7,9 mg / kg au Krema

    1.

    I:absen

    ce

    de toute l

    ec

    ture significa tive dans

    les

    diffrents endroits ana lyss compar

    e

    avec la l

    ec

    tu re de l'chantillon de

    ontrle 1 050 mg / kg) est un lment de preuve de

    ce

    que ces in stalla-

    tions n'taient pas des chambres

    gaz d'excution. Les petites quantits

    qu'on peut dtecter semblent indiquer qu' un moment donn ces b-

    tim

    e

    nt

    s o

    nt

    t dsinfects avec du Zyk lon B, comme taie

    nt

    tous les

    btiments de to us ces ca mps.

    Ces

    petites quantits

    reprsentaient cent trente-trois fois

    moin

    s

    que

    les mille cinquante

    mg

    / kg,

    indispens

    ables

    des fins ho-

    micides. Elles avaient tout juste servi basse dose dsinfecter des

    locaux ou raliser les pouillages, comme tout souci

    d'hygine,

    dans

    tous les

    camps,

    le rclamait rguli

    rement.

    '4.

    006

    On aurait pu s'attendre

    la

    dtec tion d'un

    taux

    plus lev de cyanure

    dans l

    es c

    hantillons prlevs dans les pr

    s

    umes chambres gaz

    (e

    n rai-

    son

    de

    la plu s grande

    quan tit

    de gaz utilis, d

    prs les sources, dans ces

    endro

    its)

    que dans l'chantillon de contrle. Comme c'est le contraire qui

    est

    vra

    i, force est de nclure que, lorsqu'on associe ce fait avec d'autres

    lments de

    pr

    euve recueillis sur place au urs de notre inspection, ces

    in

    stallations

    n

    taie

    nt pas de

    s chambres

    gaz dexcution.

    Mme l'

    examen

    des cendres dposes au

    Mmorial

    de Maj

    dan

    ek a

    provoqu chez

    l'expert

    amricain une

    sor te d 'a

    pitoiement

    car, pour en

    augmenter

    le volume, du sable, pense-t-il, oui du

    sable y

    aurait

    t ajout 1

    Leuchter s'explique:

    '4007

    Il nex iste p

    as

    d'lment matriel pour juger du fonctionnement des Kr

    e-

    m

    as pu isque

    le

    four du Krema

    a

    t

    co

    mpl

    teme

    nt

    reconstruit, que l

    es

    Krema

    s

    l

    et

    ont t

    en

    pa

    rtie

    dtruits,

    qu

    e

    ce

    rtains de le

    ur

    s co

    mpo-

    sants manquent et que les Kremas V et Vont disparu. Majdanek, l'un

    des Krema s a compltement disparu

    t l

    second

    Kr

    erna a t reconstruit

    l'exception des fours. Un regard jet

    sur

    le tas

    de ce

    ndres quon trouve

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    33/96

    LE

    FASCINANT HITLER

    au

    mmorial Majdanek montre

    des cend res

    d une couleur

    tra

    nge,

    beige. Les cendres des restes humains (d'aprs les enqutes personnelles

    de

    l'auteur

    de ce

    rapport) sont gris-ca

    ille. Il

    se peut qu'il y ait du sab le

    dans le m lange du mmorial

    de

    Majdanek.

    Quant

    aux autres ca

    mp

    s de Pologne dont certains romanciers

    nous ont dcrit thtralement le spectacle sinistre, les Amricains

    n'y ont mme rien eu observer. Et pour ca u

    se.

    [ .. ] d'autres installations qui n'auraient utilis que le monoxyde de

    ca rb

    one en tant que gaz d excution se se raient trou ves Bel zee, Sa

    bibo

    r,

    Treblinka et Chelmno (camions

    gaz . Ces autr

    es

    installations

    qui

    auraient t dtruites

    so it

    pendant la seco

    nd

    e

    guerre

    mondiale,

    soit

    ensuite, [ .. ].

    Ensuite . ? ... Oui, ensuite? . .. Q i les a dtruites ensuite et

    pourquoi?

    Q 'en pensent l

    es

    juges, cumulant l

    es

    fonc tions de bi ologistes et

    d'experts en matriaux?

    On

    ne

    peut

    plus rien observer, en tout cas, a

    ujourd'hui

    , en ces

    li

    eux, ni

    un

    morceau de brique de four, ni,

    moin

    s encore,

    un

    poi

    gnard de S5 L'abandon est total. Toute enqute dans ces gtines

    es

    t vaine.

    Le

    spcialiste amricain Leuchter, pragmatique

    com

    me tout

    ex-

    pert, sait que rien n'est rien. llui importait peu d'tudier s

    ur

    ces

    lieux dserts des gramines, ou le passage d '

    un

    lapin.

    Il

    prfra

    s e

    n tenir

    au

    re

    l,

    c est--dire

    ce qui, selon ses examens, s tait

    pass, ou

    ce qui ne s'tait pas pass

    Ausc hwitz,

    Birkenau et

    Majdanek.

    On a vu quels r

    s

    ultats ngati fs l'enqute amenca ine avait

    abouti: des mouches devenant des lphants, puis redevenant des

    mouches.

    Ce

    n'tait pas tout.

    Arrivait le

    moment

    de l'addition finale.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    34/96

    CHAPITRE

    V

    COMBIEN DE MORTS '

    O en arr

    iv

    e ainsi, automatiquement, la toute grande question

    - question longtemps h

    ypo

    th tique - qu'eurent

    se

    poser en

    1

    988

    l

    es

    experts amrica ins. Au cas o les gazages hitlriens eussent pu

    avoir

    li

    eu dans les camps de concentration d'Au

    sc

    hwit

    z,

    de Birke

    nau et de Majdanek,

    comb

    ien et pu s'lever le

    nombr

    e total des

    victimes?

    Le rapport de l'Amricain Leuchter n

    a

    pu que dcevoir au plus

    haut point l

    es

    proclamateurs des Six Mill ions de morts, devenus

    chez certains de leurs propagandistes

    le

    s plus gnreux huit mil

    lions, puis ne

    uf

    millions, puis dix millions chez l'

    aff

    te

    ur

    viennois

    Wiesenthal et mme dix-sept millions chez le jsuite Pre Riquet,

    pour

    dg ringoler en cascade, d anne en anne, quatre millions,

    puis

    un

    million, voire

    800000,

    pour

    arriver,

    en

    1991,

    Ausch

    witz,

    peut-tre

    150000 si

    l on s en tient aux

    r gi

    str s mortuaires

    du ca

    mp dont

    l

    es

    Soviets s'taient empars en

    1945

    et

    qu

    'avec qua

    rante-cinq ans de retard M. Gorbatchev a lai

    ss

    enfin s'entr'ouvrir:

    ces

    46

    r

    eg

    istres ( raison

    d une

    page par dcs)

    comprennent 74000

    dcs pour l

    es

    priodes considres; nous doublons

    ce

    chiffre afin

    de tenir co

    mpt

    e des priodes

    pour

    lesquelles on n'a p

    as

    encore

    re-

    trouv les registres manquants.

    Ajoutons que dans ces registres, rce

    mm

    ent rvls par les So

    viets, toute allusi

    on

    un gazage homicide quelconque es t in

    ex

    is

    tante. Une telle possibilit n'est mme pas voque.

    Finalement la confusion est devenue telle

    qu

    il a

    fa

    llu, co

    m-

    me

    pour l insc

    ription commmorative de l'entre du camp de

    D

    ac

    hau, qui indiquait 238000 morts l o il y

    en

    avait eu }2000,

    enleve r Au

    sc

    hwitz les grandes dall

    es

    qui, en diverses langues,

    faisaient tat, pour les touristes bats, de 4 d 'assassins my-

    thiqu

    es,

    chi

    ff

    re inou ne reposant que s

    ur

    des bull

    es

    d 'air que J

    ea

    n-

    4

    '

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    35/96

    LE

    FASCINANT HITLER

    Paul II, malgr mes averti ssements (voir ma

    ellre

    au Pape au sujel

    d Auschwitz), avait en '987, navement ou non, repris son compte

    lors de

    sa

    visite, sinistrement publicitaire, ce thtre funbre .

    . Nous ne voudrions pas manquer au respect d aux morts,

    quelle qu'et t leur nationalit ou leur race, ni aliner l

    es

    esprits

    des lecteurs de

    bonne

    foi. Mais, les chiffres sont les chiffres et

    il

    faut bien les citer, qu'ils plaisent ou non, tel s qu'ils ont t rendus

    publics au Canada, aux tats-Unis et en Europe, en conclusion de

    leurs travaux, par Fred Leuchter et son quipe, venus ce t effet en

    mission technique dans les camps allemands de Pologn

    e,

    en fvrier

    et en mars 988, puis dans les camps de Dachau, de Mauthausen et

    de

    Hartheim

    l'anne suivante, en avri

    l.

    Tenter de rfuter scientifiquement leurs rapports mthodiques et

    dpassionns et t digne de considration et de respect. On s'est

    abstenu de le faire, remplaant les arguments par un flot d'outrages

    tardifs et tumultueux.

    On

    a essay, pour finir, d 'touffer ces r-

    vlations capita les sous une accumulation d'impratifs judiciaires,

    en recourant

    la complaisance dmocratique d'un Parlement

    franais anesthsi par le montage de Carpentras et dont l'into

    lrance

    et

    l'ignorance

    se

    manifestrent en

    '990

    avec une brutalit si

    grotesque et si fanatique qu'e lle en devient mme risible.

    Tant de ripostes tortueuses n'ont fait qu'ajouter au discrdit des

    auteurs de ces oprations de retardement. Tt ou tard, l'Histoire,

    qui est toujours la dernire prendre la parole et trancher, se

    chargera de montrer l'inanit de tels procds, si mdiocres intel

    lectuellement, et si piteux moralement.

    Les conclusions des investigateurs amricains, fuyant

    le

    s effets

    de rhtorique, sont nettes et implacables:

    000

    RSUM T CONCLUSIONS

    Aprs t

    ud e

    de la

    documentation disponible,

    aprs

    examen et valua

    tion

    des

    in

    sta

    llati

    o

    ns

    exis

    tant

    Auschwitz,

    Birk

    e

    nau

    et

    Majdanek en

    s appuyant s

    ur

    les connaissances techniques des

    ca

    ractristiques de

    construction ncessaires au fonctionnement des chambres gaz, aprs

    une

    re

    cherche

    sur

    les techniques

    de

    crma

    ti

    on et une inspection de cr-

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    36/96

    LE

    FASCINANT

    HITLER

    matoires modernes le rapporteur ne trouve

    auc

    une preuve qu aucune des

    installations normalement prsumes tre des chambres gaz homicides

    ait jamais

    t

    utilise en tant que telle; en outre,

    il co

    nclut qu en raison

    de la conception et de la ralisation de ces installations, ce

    ll

    es-ci n

    o nt

    pas

    pu

    se rvir

    de chambres

    gaz homicides.

    4

    001

    De plus, une tude d

    es

    installations de crmation inflige, de manire

    dfinitive et probatoire, un dmenti au nom

    bre

    prsum de cadavres

    incinrs dans le laps de temps gnralement avanc.

    En co

    nsquence

    l

    auteur estime, au mieux de ses connaissances techniques, qu aucune des

    installations examines n a jamais servi excuter des tres humains et

    que

    le

    s crmatoires n

    aura

    ient jamais

    pu

    accomplir

    la

    t

    che qu on leur

    attribue gnralement.

    La fin du rapport amricain est spcialement frappante:

    19 000 CONC

    LUSIO

    N

    Aprs avoir pass en revue tout

    le

    matriel de documentation et inspect

    tous

    le

    s emplacements

    Auschwitz, Birkenau et Majdanek, lau

    teur

    trouve que les preuves sont crasantes: EN AUCUN DE CES LIEUX IL N Y A EU

    DE CHAMB

    RE

    A GAZ D EXCUTION.

    L auteur

    estime,

    au

    mieux de ses connais

    sances techniques, qu on ne peut pas s rieusement considrer qu aux em

    placements inspects l

    es

    prsumes chambres gaz aient t autrefois

    utilises ou puissent aujourd hui fonctionner comme des chambres

    gaz

    dexcution.

    Fait Malden, Mas sachusetts, le 5avril 1988.

    ce dictum, si impressionnant, du grand spcialiste amricain

    des chambres gaz, nul adversaire,

    on le

    sait, n a rpondu correc

    tement, c est--dire scientifiquement. Chaque propagandiste

    jui

    a

    bu en silence

    la

    lie de

    ce

    vin.

    Pa

    s

    un

    n a sonn

    mot

    sa

    u

    Georges

    Wellers, dj nomm, dans un article du onde ui

    Le seul commentaire valable que l on ait pu noter a t une

    dclaration du clbre historien anglais David Irving, l auteur

    fa-

    43

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    37/96

    LE

    FASCINANT HITLER

    meux de La estruction de Dresde. Celui-ci s'tait distingu, pour

    tant, pendant des annes, en reprenant la fa

    bl

    e des Six Millions de

    morts, tout en ajoutant qu'Hitler avait t sur

    ce

    point tenu dans

    l' ignorance par

    Himml

    er Aprs avoir lu l

    es

    193

    pages du rapport de

    F

    Leuchter, Irvi ng a t positif, formel, catgo

    ri

    que:

    Il s agit l d'un document accab lant [ bal/ering] appel devenir essentiel

    pour tout historien de la Seco

    e Guerre mondiale

    Fred Leuchter, avec une quipe de chercheurs, a tenu

    rpter

    ses examens et analyses, en avril 1989, aux camps de D

    ac

    hau, de

    Mauthausen et de Hartheim, avec de s r

    s

    ultats aussi spectac ulaire

    ment affirmat ifs.

    La balle est retombe dans

    le

    ca

    mp

    des mathmaticiens isra

    lites qui, avec leurs millions de gazs, sans cesse rptai

    li

    s et tou

    jo

    ur

    s accrus, avaient abasourdi si longtemps

    le

    s foules et barbaris

    les esprits.

    Quant

    Fred Leuchter, le technicien calme entre tous,

    ceux

    qui lui demandaient

    s

    il ne craignait pas quelques suites dange

    reuses ",

    il

    ava it rpondu tout simplement,

    sa

    ns

    se

    distiller la cer

    velle: Un fait est

    un

    fait. "

    des faits il ne suffit pas d'opposer des grands c

    ris

    et des pa

    tauge

    ages. Il

    faut,

    sa

    ns dport, leur opposer d'autres faits. Sinon,

    qu'on soit propagandi ste ou magistrat, on finit par n'avoir pas plus

    de crdit qu'un chien la boucherie.

  • 7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler

    38/96

    CHAP

    I

    TRE

    VI

    DE S SICLES

    D'EXAGRA

    TION

    DA S

    le cas des six dix-sept mi

    lli

    ons de Juifs

    pr

    s

    um

    s gazs par

    Hitler, comme dans d

    a

    utres cas o fi rent merveille

    le

    s mmo

    ri

    a

    li

    stes jui fs de la Seconde Guerre mondi ale,

    l

    ne s'est pas agi du

    tout dun mau

    va

    is to

    ur

    de la mmo

    ir

    e, mais

    bi

    en, on va le vo

    ir

    ,

    d ' habitudes millnai

    res.

    Il

    y a plusieurs milliers d

    a

    nn

    es

    que de te

    lles

    erreurs " -

    to

    uj

    ours dans le

    se

    ns de l'exagration -

    se

    s

    ont

    produites, un e

    che

    ll

    e digne de

    ce ll

    e de Jacob. Les Jui fs des temps abrahamiques

    taie

    nt

    - ch

    ac

    un le sait - d

    es

    nomad

    es

    peu nombreux,

    men

    s

    par

    quelques chefs de bande, qui

    se

    chourinaient

    pour

    un ne ou pour

    un figuier, dans des dser

    ts

    peu accue

    ill

    ants.

    Dans les rc its, l

    a

    mpleur es t tout a

    utr

    e. Une simple empoignade

    e

    ntr

    e Abija et Jroboam

    (Il

    Chroniques, XIII , 3) avait vu - mer

    ve ille

    1 -

    s'affronter en bataille

    4

    0000

    0

    hommes d'lite cont

    re

    8

    ho

    mn1 es

    , c es

    t-

    -di re

    pas moins

    de

    12

    0

    ( gue

    rri

    ers

    va leureu

    x

    Q\lant Asa, autre hros, l avait emmen avec lui

    un e bagate

    ll

    e de

    580000

    Jui

    fs

    ba

    ndant

    l'ar

    c

    En face , son en

    nemi l

    't

    hio

    pi

    en Zera

    ph

    ,

    s a

    menait avec

    ri

    en moins qu'une arme

    de mille milliers d 'h

    om

    m

    es

    et trois

    ce