GUIDE PRATIQUE DE L'ENSEIGNEMENT

ASSISTE PAR ORDINATEUR

ISBN 2-7124-0546-3

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<9 CEDIC 1984 CEDIC, 32, boulevard Saint-Germain, 75005 PARIS

GUIDE PRATIQUE DE L'ENSEIGNEMENT

ASSISTÉ PAR ORDINATEUR

Jean-Michell Lefèvre |

cedic/nathan

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Table des matières

I n t r o d u c t i o n 13

Première partie : connaître PE.A.O.

1. Sur les trois lettres E, A et O 18

2. L'E.A.O. et les utilisations pédagogiques de l'ordinateur 20

2.1 L'E.A.O. n'est pas le jeu 20

2.2 L'E.A.O. n'est pas la simulation 21

2.3 L'E.A.O. n'est pas l'utilisation des «cas pédagogiques» 22

2.4 L'E.A.O. n'est pas la gestion de la formation 23

3. L'E.A.O. : qu'est-ce que c'est? 25

3.1 Utiliser un matériel 25

3.1.1 Les gros systèmes 25

3.1.2 Les micro-ordinateurs 27

3.1.3 Bientôt : les micros connectés 30

3.2 Utiliser des logiciels didactiques 31

3.2.1 Les trois niveaux de logiciel 32

32.2 Les logiciels pédagogiques 34

3.3 Pour assurer tout ou partie d'un processus de formation .. 35

3.3.1 La grande peur des enseignants 35

3.3.2 La place de l'informatique dans un processus de formation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

3.3.3. Comment déterminer cette place ? 39

3.3.4 L'informatique: un élément dans un système de formation 40

4. A quoi sert l'E.A.O.? ? 42

4.1 L'E. A.O. et ceux qui se forment 42

4.1.1 L'E.A.O. pour être acteur de sa formation 42

4.1.2 L'E.A.O. pour laisser à chacun son rythme de travail 43

4.1.3 L'E.A.O. pour une utilisation constructive des erreurs 43

4.1.4 L'E.A.O. pour disposer d'outils originaux 44

4.1.5 L'E.A.O. pour une organisation plus souple de la formation 45

4.1.6 L'E.A.O. pour une formation adaptée aux besoins réels 45

4.2 L'E.A.O. et les formateurs 46

4.2.1 L'E.A.O. pour éviter les tâches répétitives 46

4.2.2 L'E.A.O. pour éviter les tâches fastidieuses 47

4.2.3 L'E.A.O. pour prendre en charge une partie des tâches administratives 47

4.2.4 L'E.A.O. pour améliorer la qualité de la forma- tion 48

4.3 L'E.A.O. et les institutions 48

4.3.1 L'E.A.O. pour faire baisser les coûts de la formation 49

4.3.2 L'E.A.O. pour un meilleur contrôle de la forma- tion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

4.3.3 L'E.A.O. pour organiser plus facilement la forma- tion 51

4.4 Les effets pervers de l'E.A.O 52

4.4.1 Les dangers de l'individualisation 52

4.4.2 Les dangers d'une médiatisation excessive . . . . . . . 52

4.4.3 L'antidote des effets pervers 53

Deuxième partie : utiliser l'E.A.O.

1. Des didacticiels en « prêt-à-porter » 56

2. D'abord : choisir et préparer 57

2.1 Choisir un matériel 57

2.1.1 Des critères logiciels 57

2.1.2 Critères liés aux applications d 'E .A.0 58

2.2 Choisir un didacticiel 65

2.2.1 Les moyens de choisir 65

2.2.2 Des critères pour guider le choix 67

2.3 Informer et préparer les utilisateurs 71

2.3.1 Mettre les didacticiels à leur place dans un système de formation 71

2.3.2 Expliquer comment fonctionnent les systèmes . . . 72

2.3.3 Assurer la sécurité de l'utilisateur 72

2.3.4 Le problème des pré-requis 72

2.3.5 Le problème du « reporting » . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

3. Utiliser un didacticiel : une nouvelle façon d'apprendre 73

3.1 La situation pédagogique non médiatisée 74

3.1.1 Rôle et statut des partenaires 74

3.1.2 La relation pédagogique 76

3.2 La situation pédagogique médiatisée 78

3.2.1 Rôle et statut des partenaires 79

3.2.2 La relation pédagogique 81

3.3 La situation pédagogique d'auto-formation assistée par ordinateur 82

3.3.1 L'auto-formation telle qu'elle apparaît 83

3.3.2 L'auto-formation telle qu'elle est réellement 86

3.3.3 Un didacticiel d'auto-formation : c'est du cinéma ! 89

4. Quelques bonnes questions 90

4.1 L'E.A.O. et l'enseignement programmé 90

4.1.1 L'E. A.O. et l'interactivité 91

4.1.2 La souplesse de l'E. A .0 91

4.1.3 La rigueur pédagogique imposée 92

4.1.4 L'E. A.O. plus agréable à utiliser 92

4.2 Pourquoi l'E. A. O. n'est-il pas plus utilisé ? 93

4.2.1 Les freins au développement de l'E. A.O 93

4.2.2 Une situation favorable au démarrage 94

4.3 Peut-on tout enseigner en E. A.O. ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96

4.3.1 On pourrait tout enseigner en E.A.O 96

4.3.2 Est-il opportun de tout enseigner enE.A.O.? . . . 98

Troisième partie : réaliser des didacticiels

1. De l'autre côté de l'ordinateur 102

2. Deux questions préalables 102

2.1 Qui réalise le didacticiel ? 103

2.1.1 L'informaticien auteur 103

2.1.2 Le spécialiste de la matière auteur 103

2.1.3 Le formateur auteur 103

2.1.4 Constituer une équipe multi-compétences 104

2.1.5 Assurer la formation du réalisateur 105

2.2 Faut-il une méthode de travail ? 106

3. Démarche de production d'un didacticiel 107

3.1 La conception du didacticiel 107

3.1.1 Les études pédagogiques 109

3.1.2 La « création » du didacticiel 114 Structuration 115 Choix pédagogiques et structure 115 Le graphe du didacticiel 126 La création des items 129 Le dialogue et ses composants 129 Question, réponse et analyse de réponse 137

3.2 La fabrication du didacticiel 157

3.2.1 Utiliser un langage informatique . . . . . . . . . . . . . . . 158

3.2.2 Utiliser un système-auteur 164

3.2.3 La qualification logique 170

3.2.4 La qualification formelle 170

3.3 La qualification pédagogique 174

3.3.1 Stratégie d'évaluation et moyens disponibles . . . . . 174

3.3.2 Les points-clés à examiner 175

3.4 Maintenance et modifications 176

3.4.1 Maintenance des didacticiels 176

3.4.2 Adaptation d'un didacticiel 177

C o u p d ' œ i l s u r d e m a i n

1. Développement et banalisation de l'E. A.O 179

2. Les nouveaux outils de l'E. A. O 181

2.1 Évolution des matériels 181

2.2 Les nouveaux logiciels - 181

2.3 Le mariage de l'informatique et de la vidéo 182

3. Vers l'intelligence artificielle 182

3.1 Les systèmes dits « experts » 183

3.2 Structure d'un système expert 183

3.3 Les systèmes experts et la formation 185

3.4 Les premières applications pédagogiques . . . . . . . . . . . . . . 186

4. Faut-il attendre la « cinquième génération »? . . . . . . . . . . . . . . . 186

Annexes

Annexe 1 : Les systèmes-auteurs disponibles en France et aux U.S.A 189

Annexe 2 : LOGO et son mythe 193

Annexe 3: Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 197

Introduction Des outils pour apprendre

Personne n'a encore trouvé le bon moyen pour empêcher quelqu'un d'apprendre — pour peu, bien sûr, qu'il en ait simplement envie... Il n'est besoin dans ce cas, ni d'outils sophistiqués, ni même d'enseignant. Toute une tradition d'autodidaxie montre bien qu'on peut apprendre seul, progresser seul, découvrir seul.

Une autre tradition pédagogique, elle aussi fort ancienne, fait de l'enseignant, ou du précepteur, le partenaire essentiel de la formation : tout repose alors sur la connaissance, la qualité et la méthode de celui qui aide à apprendre. Dès que l'on quitte la relation privilégiée du précepteur à son élève pour mettre en présence un professeur et sa classe, la formation pose des problèmes de communication : livres, cahiers, cartes murales, tableaux noirs, lanternes magiques, mappemondes sont des outils d'aide à la communication entre le maître et tous les élèves de sa classe. Les diapositives, les films, les « transparents » de rétro-projecteur ne sont que des avatars technologiques de ces premiers outils : ils restent toujours au service de la communication maître-élèves.

Il faut attendre la vidéo pour constater une première rupture : imposant le travail par petits groupes, excluant le maître pendant leur utilisation, les vidéogrammes permettent le contact direct entre celui qui apprend et la «matière» qu'il doit s'approprier. Et l'on découvre, essentiellement dans les milieux de la formation des adultes en entreprise, que ce mode d'appren- tissage fonctionne très bien, que les outils qui permettent d'apprendre «autrement» aident aussi à apprendre «mieux », c'est-à-dire plus rapi- dement, plus librement, plus efficacement (1).

C'est très récemment que l'explosion intellectuelle, technique et industrielle de la micro-informatique a ramené au premier plan un outil de formation quelque peu délaissé depuis une dizaine d'années : l'ordinateur.

Rendant la puissance de l'ordinateur financièrement accessible, et faisant voler en éclats la mainmise des informaticiens sur les outils, la micro- informatique permet aux formateurs et aux élèves d' «essayer» l'E.A.O.

(1) On peut signaler à ce propos le travail de recherche et de réalisation mené au Service de Formation de la Compagnie Bull, par l'équipe de Michel Berthier.

Avec des budgets modestes, beaucoup de rigueur en même temps que de créativité, le prix « pour voir » reste abordable. Mais l'E. A.O. n'est pas chose très facile : on doit et maintenant on peut commencer par essayer.

« TRY IT; FIX IT; DO IT... »

Comme, en bonne pédagogie, c'est en faisant que l'on apprend, ce livre est une invitation à commencer très vite l'E.A.O. Prenez à votre compte cette maxime des industriels de la Silicone Valley : essayez d'abord, puis figez ce qui fonctionne et faites-le !

Intégrez dans les formations que vous faites, que vous organisez ou que vous suivez, des phases d'E.A.O. Étudiez-les bien, mettez-les au point, mesurez-les. Vous apprendrez beaucoup sur la matière manipulée, sur la pédagogie et sur la communication. Vous verrez que l'E.A.O. est d'abord un outil de formation... pour les formateurs. Soyez à la fois modeste et serein : si la pédagogie était une science exacte, nous serions tous à Polytechnique ! Mais quand vous aurez atteint ou même bien approché votre objectif, votre «didacticiel» sera validé: utilisez-le régulièrement.

Voilà l'ambition de ce livre : vous amener et vous aider à faire de l'E.A.O. simplement, avec rigueur et méthode. Vous verrez : ça marche bien !

Plutôt que de passer des heures à lire des traités savants de psycho-socio- pédagogie ou d'informatique fondamentale, soyez gens de terrain et de création. Construisez quelques didacticiels simples, puis mettez-vous au clavier de votre Goupil, de votre Apple, de votre PC ou de votre TO 7. C'est en écrivant qu'on apprend à écrire !

Ce livre peut aussi vous aider à éviter quelques erreurs (celles que nous avons faites avant vous), à suivre une méthode qui est davantage un garde-fou que le garant d'une réussite. Il veut en même temps vous amener à réfléchir sur ce que vous faites : c'est bien d'utiliser l'ordinateur, mais en quoi permet-il de faire mieux que les moyens dont nous disposons déjà ?

UN LIVRE EN «ACCÈS DIRECT » (1)

Par rapport à l'E.A.O., on peut avoir des préoccupations très différentes et toutes aussi légitimes : on peut d'abord souhaiter avoir une information. L'informatique pédagogique est une idée très actuelle. Elle fait l'objet de

(1) «Accès direct»: c'est un terme qui concerne les fichiers informatiques. Contrairement à l'accès «séquentiel», l'accès direct permet une utilisation sélective de toutes les données.

rapports et de débats techniques, économiques et politiques aux plus hauts niveaux. Les médias en parlent abondamment. Que l'on soit sceptique, terrorisé ou enthousiaste, il est toujours bon de savoir de quoi l'on parle.

Qu'est-ce exactement que l'E.A.O. ? A quoi sert-il? Quelles sont ses conséquences immédiates et à plus long terme? Voilà l'objet de la première partie.

On peut, ensuite, vouloir utiliser des didacticiels dans un processus de formation. Intégrer l'E.A.O. dans une formation en choisissant des programmes édités ou réalisés par d'autres est chose courante. Il y a cependant quelques questions à poser pour éviter des erreurs :

Comment choisir les matériels, systèmes et didacticiels? Comment préparer et accompagner leur utilisation? Que se passe-t-il pendant leur utilisation en termes de pédagogie ? Quelques réponses plausibles à ces questions classiques des formateurs : voilà l'objet de la deuxième partie.

Enfin, on ne découvre vraiment la richesse et la puissance pédagogiques de l'E.A.O. qu'en en faisant, c'est-à-dire en étant «auteur» de didacticiel. Se posent alors des problèmes de méthode, de conception, de réalisation, d'évaluation. Éviter de faire n'importe quoi, aller lentement pour ne pas perdre de temps... Ne jamais perdre de vue les objectifs définis... L'efficacité de l'E.A.O. est proportionnelle à la rigueur et à la créativité des auteurs !

Quelle méthode choisir? Comment établir un «cahier des charges» pertinent et utile ? Comment structurer un didacticiel en fonction de choix pédagogiques identifiés ? Comment construire le « dialogue » ? Comment mettre au point les questions et l'analyse des réponses ? En fonction de quoi choisir un langage informatique classique, un langage-auteur ou un système-auteur? Comment assurer la qualité formelle du didacticiel? Comment mener sa validation pédagogique? Comment adapter, faire évoluer un didacticiel? Voilà l'objet de la troisième partie.

Vous trouverez en annexe :

— la liste des systèmes-auteurs disponibles sur le marché français et américain ;

— des informations sur LOGO ; — une bibliographie.

POUR COMMENCER !

Vous avez deux possibilités :

e Vous voulez connaître tous les aspects de l'E.A.O. : dans ce cas, parcourez dans l'ordre les trois parties. Elles sont progressives et complémentaires.

a Vous êtes intéressé par un des trois points de vue : — pour avoir une information, travaillez avec la lre partie ; — pour mieux utiliser les didacticiels, travaillez avec la 2e partie ; — pour commencer à réaliser un didacticiel, travaillez avec la 3e partie.

Connaître l'E.A.O.

Connaître l'E.A.O. : Quatre chapitres pour savoir un peu mieux de quoi l'on parle.

1. Sur les trois lettres «E», «A» et «O». . .

Les sigles ont toujours un côté publicitaire : ils participent à un courant de pensée et réalisent sur des expressions quelque peu « auberge espagnole » un consensus de fait qui permet de progresser. C'est le cas de tous les « X ». A.O. Conception assistée par ordinateur, fabrication assistée par ordinateur et, bien sûr, E.A.O. : l'Enseignement assisté par ordinateur. Le sigle est passé dans les mœurs. Heureusement, puisque c'est maintenant un état de fait ; malheureusement, parce que ces initiales traduisent un choix malencontreux de mots :

— Le mot « Enseignement » est généralement réservé à la formation initiale, qu'elle soit primaire, secondaire ou supérieure. On parle plus volontiers de «formation» pour les adultes.

— «Assisté» est un terme bien triste... On assiste ceux qui ne sont pas capables de se prendre en charge !

La connotation «geignarde» de ce mot va à l'encontre de la liberté et du dynamisme pédagogiques que permet cette nouvelle approche technologique de la formation.

— Enfin, l' «Ordinateur» semble s'imposer en dernier ressort. C'est regrettable pour deux raisons : d'abord, parce que ce mot met l'accent sur le matériel alors que les vraies questions, les vraies difficultés, concernent plutôt les logiciels ; ensuite, parce que, ponctuant le sigle sur une note technicienne, il semble rejeter ceux qui ne sont pas initiés à la technique. Il est toujours difficile de revenir sur des habitudes, mais il y aurait tout à gagner à trouver un autre sigle plus ouvert, plus dynamique et plus conforme à la réalité... Pourquoi pas :

— apprentissage, pédagogie, monitorat, formation — dynamisé, monitoré, enrichi... — par l'informatique...

Le tableau de la figure 1 résume les termes plus précis utilisés par les Anglo-Saxons.

En attendant, comme tout le monde, nous parlerons d'E.A.O. !

Figure 1 - L'E.A.O. aux U.S.A.

2. Périodiques de langue anglaise

EDUCATIONAL TECHNOLOGY « The magazine for managers of change in education » EDUCATIONAL TECHNOLOGY PUBLICATIONS 104 Sylvan Avenue ENGLEWOOD CLIFFS NEW JERSEY 07632

Mensuel consacré à toutes les technologies éducatives et à leurs applications. Il fait une très large part à l'E.A.O. en présentant de nombreux rapports d'expériences. Il propose une bonne information et une excellente documentation:

COMPUTER AND EDUCATION «An International Journal» (Ed. Pergamon Press) PERGAMON PRESS LTD (Europe) Headington Hill Hall OXFORD OX3 OBW England

Quatre livraisons par an en langue anglaise. Cette revue publie des communications internationales très «savantes» et souvent très techniques. Les applications d'E.A.O. décrites sont essentiellement de disciplines scientifiques et de niveau universitaire.

3. Périodiques informatiques

Tous les périodiques informatiques parlent plus ou moins régulièrement d'E.A.O. Plusieurs ont une rubrique régulière consacrée à l'éducation informatique. On peut citer en autres:

— L'Ordinateur Individuel ; — Décision Informatique ; — Télé Soft ; — Sciences et Vie - Micro, etc.

Il faut citer aussi la revue américaine BYTE. Ce mensuel, publié par le groupe MacGraw Hill, consacre des numéros spéciaux à des sujets proches de l'E.A.O. (LOGO ou le vidéo-disque interactif, par exemple).

BYTE SUSCRIPTION PO BOX 590 Martinsville NY 08836 U.S.A.

4. Ouvrages publiés en langue française

VERS L'ENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR de M.-O. HOUZIAUX Presses Universitaires de France PUF - L'ÉDUCATEUR

L'ENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR de Guy BARBEY CASTERMAN/POCHE Collection E3

ENSEIGNEMENT ET ORDINATEUR de Hélène BESTOUGEFF et Jean-Pierre FARBETTE CEDIC/FERNAND NATHAN

L'INFORMATIQUE ET L'ÉDUCATION Rapport de Bertrand SCHWARTZ Agence de l'Informatique Publié par le DOCUMENTATION FRANÇAISE

ÉDUCATION ET INFORMATISATION DE LA SOCIÉTÉ Rapport de Jean-Claude SIMON Publié par la DOCUMENTATION FRANÇAISE (Voir aussi les «annexes» du rapport).

LA CINQUIÈME GÉNÉRATION de E. FEINGENBAUM et P. McCORDUCK Inter ÉDITIONS

5. Ouvrages publiés en langue anglaise

LEARNING WITH COMPUTERS de BORK Alfred

Maynard MA Digital Equipment Corp. 1981

MICROCOMPUTERS AND THE 3 R's - A GUIDE FOR TEACHERS de DOEN Christine Rochelle Park, NJ: Hayden Book Co. 1980

A COMPUTER PERSPECTIVE de EAMES Charles and EAMES R. Cambridge, MA MIT Press 1973

INSTRUCTIONAL COMPUTING... TEN CASE STUDIES de HARGAN Carol and HUNTER B. Alexandria VA: Human Resources research Organization 1978