Georges Bataille Acephale n1 a 5 19361939 Religion Sociologie Philosophie 1

8/17/2019 Georges Bataille Acephale n1 a 5 19361939 Religion Sociologie Philosophie 1

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© épale


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e Piee e Mie ie


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ua d a Cment avo-ns pu dr si logep a paau yt


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biographique font état du ntmen de son éch Il parlea alles avecql

q

u amertme d e insgnan de sa tentatve Les autres cnjués hétent e suve ses dés de« commucaton convusive» a guerre de194 met fn à la onjaon aée ele n'aa ps ft lon

g

fe adéconvenue de Georges Baale bève. Il va tr part de son éce ourse rapper davantge de 'objet de sa receche lesentiel r n st- pas de médter su sa propre r? as Ve n noea myte PatrckWaldberg en 1943 démysife lexpérience mystque de Batale une esc-

u r à ses yeux n ouant Breton cntre Batae même s ne s'agit pasun eu Waldrg oue la vie contre mort 1 veut garder sa tête. Ondevine à la lecre des notes de eorges Bataille qe le fia de a« siétéserète» tient avant tout à imprméabilité des autes njués On t dirde Bataille ce qu Jean Carteret dit du pte qui es homme le

p

us touédu monde Reste quen 93 le eu« faroucement relgex> dAcépaerappele étrangement u autre jeu tiatque: ceu du Gand ]e ente 199et 93 ans le chaos des usios du Front Populaire, e n° 1 de a revueépae intevent mme une soe de«CasseDogme » instenable. Cité

ave Sade et Netzche en épigraphe de «La Conuration sacrée» Kierke gaard annonce la coulur: il y a scrètement du «regex» so le pliti-que Ce que Georges Bataie un u trop se entreprend est une guerre Une gerre ntellecuellement sans mei mais pratiquement sans espr ontretoutes es déooges poltiqs gauche et de drot Nous n'en connaisonsque a parti isible out le este est illsble Ceu qu comme sabelleWaldberg erges Amrosino Patrick Waldbr

, paticpèrent avecGeges Bataie à lélaation du myte de

'apalté da forêt deSantNomaBretèhe en n lieu de« enconte où l'homme fait fae à cqu ifnment e traverse et le ésse, du moi ece a q nous magi-no lsprt du leu n'écvaent ps dans reve un aut côtées conjurés qu colarèrent à evue ne fnt pa nécessaement parte

dugrou

des initis Tout le moe ne uvat pa omme Gerges Batalesesupp

l

ci r

das éure jusqu'à e eni acéphale Présent par s desn dans les nq numéos Anré Msson sest tou-

jours tnu à lécart des actvtés eniee de la sete. Ro

r

Caois ui nonp nentendit pas se per à observance des épreuves

dréalsant s mag-nées par Bataille; l e dira das «Lesprit des sectes» txt repris da in et Socéé Perre Kossows i et Mce Leiris savenurent à aveu gette dans le no mans and déterminable qui sépae qlque part lasublimation de a consumaton bref le Colège de Sociologe de la siétéserète. Au fond cette société pus ou mons mystique lus ou moins gnostique (mas débarrassée dans sa gnose du nonsavo de toute infecton

confessionnee) ça n'a amais été


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présen de la r Et la oie devant a mort veut léternité. Tel arbre foudroyé en est e sgne La pierre ombae de aue « honoée par Bataile etses vestale en sera un autre en 193 Ree l'énigmatique proet dun saci-fice hman, question qu, désorms prvé du témognage de on tiga-teur restera à jamas, snon tout à fat obsu, du mois incertaine ecroraton? écrira Ro

g

r Callos il ut pu fale d touver une vimeoontare quun

sacriat ur

névoe» Rn en out ne prouve que aue, qui se aissea mourir u après, fut cette vtme coenta Cettefoie de vouor fonder une egion sur meut rtel ou s son phan-tasme Georges Bataille en verra ps tard 'arraion Av quelque ul len verra le côté« omqe», l en avouera l'orgi et das sa leture un peutrop exat de 'Htoire des regons et dan atmsphère quasi relgieuseou mme magique du surréaisme enfn

urq

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ds son ésir na-vouabe d'aller eaucu pus lon qu le pa_ l lis surréaste Aprèstout nesti pas plu ptque et pus révouonnae

imagin r

une r lg

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acéphale que de tenter comme Breton de corresnde avec Guénon Nanmois, Georges Bataille prnd vte conscn de la fole de son entprse

: «t pour stufante qu'une tee lubie puisse paraît, je la prssériesement» Comment sa passion politique a vré mons à l'alitmeque par quelque biais«reigex à la

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plu vente, il nee dit pas. A nou de retracer trajecto ns a tue de n œuvre

Revenons en arrère Vaton éterneemen tourner au des prsosans chercher à les enverer ele et en substan la question métaphorique et n pas politiqu qu Georgs Batal se pose en 99 dvant« la grande mpuissance poétique» des intelleues Da Dmen (n° 7, is'nterroge sur notre uvoir e uvonsnous far? aut hrer mme Sade à la Bstille quon ssss les prisonniers ? Georges Bate poe la ueston autrement Il s'nterroge su not eermementdan angue n en sronsus pa prsoe Il a déjà derrère u à

ans un maîtreive érotique LHitoie de Œ Et voc qu se révoltecontre es propes constuctons de note ngene Not tête est noteprison Ce sont les mu d notre esprt qu'l aut d'ard abatte. Tème

uon retrouve dans Aépae: détrsos le bag de not raion Enfermé pus 194 dans e Cabinet s Médales de Bbliothèque Nationale, l yéuvre une empreinte d'intae gnostiqe du � ou I� sièce représen-tant un dieu aéphae dorgne égyptienne Cest ni quapparaît sou aplume e mot «acéphale» En 93 il parlera de a pronnfcaton acéphale du soeil (in «e bas matéralsme et a gnose» Doment n° 1deuxième anée) Dans le n°3 verra dans le soeil «un homme ségor-

geant uimême» ou enre «un être anthopomorphe dépourvu de tête»Le germe de l'acéphalte est das ar l ne deviena cntagieux que six ou

sept ans plus tard ntretemps écarté en 1931 de la vue Dcmen, eorges Batale

collare à a evue du Cerce commte démoatique e oeque dirige Boris Souvarine che

u

i i va renontr Laue Il faut atndre933 pour vor s'affirmer en de

rts rits subvefs sa pesée poitque:«La noion de dépnse»,« roblème de Etat»,«a stcture psychoo gque du fascisme» nnee hétérogènes qu nterroge ('nconscient,la

dé

n mpructive, Hiter Mussolini voen a démesure e sacréla

f

a poése ne se peuvent apprher les unes des auts qu dns lab-solu Gerges Bataile reue de aisser efermr dn un duasme lt


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Avec la mort de Deu, érit Pierre Klossowsk l'homme per son dentié éternelle:« Le mo meurt avec Deu>. Ct ncroyable cirncsion de aconscence n'est pas seulment

né

aive En n'ayant us daure référentquelmême la concience se vo

u même coup et devée du mo et délée de Die a coscienc sans denté est comme un corps san êe Avcle meurre dure», ele écapte de son nom Cez Baaile aéphalé

remonte à a fn de Hiso lŒ où dans Rémnscns écaeune aversion sans brn pur son re aveugle Nes-ce pas l aine de ses orgines qu le ousse à touer vers la mort?a mor écrt- ans é-hal est 'élément émoonnel qu donne une vaeur osédante à lxstenceumaine» Après ou la tête nes jamas

q

u une

des extrémités du orps ecentr es lleurs Che Batae la son u corps aéphae évoqe le corpsde lnt recenré sur a mort Doù cette êe de mor dessée par André

Masson à la pac du sx o es e sexe mois lo la mor esass asate que la nasan Baale va pu on en sant que acéphaleréun dans une même éption la Nassance et la Mor» On rtrouve ila dalectique du Gra ], lle dntité des ontrares. Anré Massonlu auss sest denifié au corps acéphale

Tosa en un pett vlage de pêcheurs une petie masGn frodeCest là ans un éa déllion qu a réaisé ses essns à parr e quelquesndatons de Batale larme e fer ou du safice a grenade ou l cœur efammé le dédale du ventre Pou le res Masn ses fié à auomasme d sa main à s proprs èm à ses phanasmes Q de smlscafés à blanc das cacn de ss dsns Me vaut obsrémen les prcevor dns nore suconsnce

ue

de prétendre eur donnr te ou l nsour ne prenre quun eemple,

le

volcan qu jalt du cou dusup

licé

n aple pas lecure unvoque Son pouor dévotn nos

roblepar sonm

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termn

aton.

Du coup cest nore conscen ellmême qu senrouvrélar dun ntan à lndétermnaton de o ope néan Un von à a

pac e la tê u

ra e exalaon du nnt ces dre qe lneséacéphale est una

de grâce .Enin épha

cest aan ou a reve Batale. Ces lui qui endonne e ton e sens sbversif lorentaon a réédon facsimilé nousreste la sensiblité de sa ygra

he, elle de son format les ulersants dessins dAndré Masn san

eqs

le myhe du corps acépale perdrait eaucup de sa pussance dévocaion es tes des ams ergesBatale les siens prenan ns eur mse en page orgnale un pu epls que ans la réédition s Prmir s où sn per dansle layrnte daures arcles. Ans nous est rndu le sg obséan lomme san têe C signe de vide es nôtre. P nous lrrogonsmie nos prenons conscien du pire acépa no rgarde il ny a

pro en nous eorges Baale merc la relgon de la mort es vva

Mcel CAMS


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RELGION OCOLO PHLOSOP - RVU PARASAT FO PAR A

Ë 2 PAR GORGS BAAL PRR KLOW ANR� MO


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nto déjû e! crmpu, qui ugeusemn ua L ug d guem mohu u n ao u ubln nnd u uou me; déjàd ou/ du m vu '-di du e d u du: m d u n d u �ô

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u a ( e m ê

oue démU" u j me momux.

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Auoudu • u ez é uz u ou u ue u o dégumm or o u u u d de u nî e u mm

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que nous avons entrepris ne doit ête confondu avec rien d'autre, nepeut pas être imité à exprion dune nsée et enc moins à ce uist justement considéé comme art.

I t nécsaire de oduire et de man1er : beaucoup de chses sont néce�-ires qui ne sont encore rien et il en est é1aement ainsi de 'a1itationitique

Qui son1e avant d'avoir lutté jusqu'au bout à laisser la pace à des hommesqui est impossible de re1arder sans prouver e besoin de es dtruire?Mais si rien ne pouvait être trouv au deà de lactivit potiue, 'avidithumaine ne rencontrerait que e vide.

NOUS SOMMES FAROUCHEMENT RELIGIEX et dans la mesure oùnotre eistence est a condamnation de tut ce ui est recnnu aujour-dhui une exi1ence intérieure veut que nous soyns 1ement impérieu

Ce que nous entreprenns est une 1uerre


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et temp dabandonner le mnde es civss et umre. I et tp

tad u tenr à ête asonnale etnstut - e q en à une e narat Seèemnt u nn l e néee de de�nr tut aut u deesr de nde auquel nu ans atenune prp ien à amer en deh deaque nfane nvduelle : nextene e à a oit Unmonde qu ne ut s e a en

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murr - de la e açn uunhome ame une fee - epnte

seeen intr e lgatn· autral es r ave les mdes dars e deu et aaaîtme e plus anu de tuDa le mnde diaru, i a t pose de e de dan l'ea quest pole dan e nde de arit nsruite L avanta de lavlat nt pen la ndnt les mmes en rtent: les hm


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es chiers iustrés seont égulièemen de paes. Le nué est exceineement de pa

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Un e es: 3f Abnnement gFne et Beie 1; Etn z t�s ys i e 'neen e uten, dt (en anv

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RLGO IOOI IP RV ARAIA 4 I AR A

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Un cahie de 16 pages : 3f. Aboeme d'u (4 page) Fe et Belque Etrage P ItS pays f Le px de lonement de ue

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Kmpf rnt st v t ssgs de Nte qu ne rntp he jifs nclut :

. u imp le pl u t te n e P un Juif de plus1 Fe

mon-leur nos po, sutout du c6té del'Et! . c .qu lAllemgne a ageent soncompte de jui, que etom et ng mnd devont peine ontps enco vatvoi i cette de de u "• queous n'

.vons pa dieson uss tive ue

ls Itlen les Frç le nglis qu en1nt venu à bout dune nêe ien plusezpdtve : et note que cet l lexpreionun sentiment ês géné ui ee qunlentende et qu'on gse « Pa un u dpusJ Feoneu no potes sutout du ctéd Et ( cops 'utch) J , VoL ce ue

éc lintnct dun· peuple dont e ctèeft enco ile et s peu qué u'il cou l isque de oi p I énge dune plus énegique

I ne s'git s seuement de ( fumsterie éhoée 'u groère-ment et cnsemmet friqué C tu en et ds deà e e e m § 25) ms opnon qui xrimene p cele de Netzse; c ee dntisémtes rerise Nth en m

e p 1

ni ps encoe enconté d'emand écritif, qu eule du ien u uis; le sges et spoltques ont eu condne tou sns ésee ntiémtie, e qu prv lrsags l li 's, s y rmpe: ps ps t u-ê aiuumt s redouabls déhaî ts aséas huss aisios q c stm n fos dchaé. Ondt tout net que eagne emt etc

Sut tx orté pr le ascste uiu cmte de Nietsche Un eu plus une onus prtque t daers don-née à ces cér : ( On pourrt jrtbin ece te à por esbraards asms. )) Ctt fis c prle en sn nom 'ensemble de'p prle ns de a-mon es juf p s Aemds

N R :RU E E

E- QUE MA VI RN VAI-

SEMBABLE QUE AE PU ME A-SER COUPER ES AES PAR QUIQUE CE SOI? (6)

Le to c lequel Nietzsche réndait den vvnt au nsémt mprtus exut tute ssibité de tr questnlégèremt de cérr trhison dsJuds de Weimr cmme véniele : i y des les cupé >.

Les proches de Netzsche n'nt ren entrepris de moins bas que de réduire à un ser-vage asnt celui qui prétendit runerla morae servle. Estil ssble qul 'y it as des grncemen de ents ns le mode et que cel e deviene ps ue év-dence qui dns désorietat gandss�nte rnde silenceux et vlet? Cmmet, sus le ou de l èe ce ne t- ps une rté vnt qundto

t humnté se rue à l serde, qu'lXSt

queque cho qu e oit ps êre v, q ut êe ?

LA OCRNE DE NIECHE NET AS ETRE ASERVIE

Ele peut seuement êe suve La pcrà t u service de qoi qe c oitd'utre est une trhin qu relève du méprs us ur es chens

ESTCE QUE A VIE DE NIESHREND VRASEMABE QU' PUISE VOIR LES AIES COUPEES PAR QUI QE E SOI ?

Que �e it �nsé�sme fscsme quec

st e o1asme 1 n' a q'tsato

�1tz rt à des es bres,cpbes de ur


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GAUC ET DROINTZSCES

Le muvemt me de de

Netzsche impique ne débâcle d dié-rts odemt pb de queactuelle Les drotes t r action url'atchemt f ssé. L gauchsur des pr rtionel Or ttchemtu pé et pr t (justce éga-lité soiales snt églement reets pretzsche devrit donc êe impsibledutser son esegnement ds un sesquelnque

Ms cet enseigement reprsente ue frcede séducti nprl en cnsquencen ( rce Il tut rt, que les ptcdt êt tntés d'asserir ou tut mins de se coclier u rt de eurs en-repr 'ensegnemet de esce


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nlnt contepter ds aditions et dtout orale, tant parti dévénmnnglants et complexes au prot dune av·dté de vivre qu l dépa lautre assilntent pr tout qu' n et n ouvmnt qu'en paynt peu à pu sipsn priive Dé aux yeux deNiezshe Napoéon apparassait corom-pu par les moyns qui avai été cotatdemployer ; Napoléon (8} Un contrantint pl psnt serce sans aucundoute s les ditatrs mees réd àouvr leur for n s'dnt ut mpulons u Niezh méprit dansl ma en paricr cette adira-ion ensongè d êe que prat-qunt ls racs > ( l y a une déoncorrosiv dans le fait dagnr accrdpsible entre l'nc nietzhénn etn rgn on polqu qui appautlten au omt qu mprneile ou tu tout ce q uait un astoat (o d pit ibrs Cmme s'l nétait ps aveuglant quitzse lorsqui deand un amo àa mur du sacic d a vie cest porla fo > qu'i cmunque, pur ls que a propr ence rend réidet p pour ue pie .

emqu ur s ân écrvt déjàNitzsche luêm crgnant un onfu-sion du mme ord out aus méa-ble

SSOL TZS

as la mesur ù faisme tient à unesoure phiosphiqu c nest pas à Niz-sche mais à Hegl quil raach (2Quon s report à lricle que Mussinimm a né dan lE"cioPedi4t au mouvmnt qu'i a 3) :l vabulaire t plus ncore qu l voca-bulair lespt n ont égélins nonnithéens Musolini put y employr pardux fs lexprssion d volonté d puisan > : as e n pas un hasrd si

tte voonté nest qu ttrut d 'idéqui unie la mltitude (14

'agtate rog a sub lnuen dNitzsche : l dictteur nitaste sest tenuà 'art. réi lmme sest xpriésur a qu n un rle de F-o de jilt 933 Cmmino nie toutliaon idéoogqu ntr Nethe tMusni Seule a vlonté d pussancconsiturait un lien entr ls donsMa volonté de puiance de Muolni n'est p égoïste elle t pré tol Ils dont le du veut faire dsuromm Car, afe lautr quandbien me nous rions tous des surho

mes, nous ne rons ncore ue ds homes ue par aileurs Ntche plaià Musolini, rin de plus natur Nietzschappartendra toujos à tous ls hosdacton t de volonté diérn profonde e Nit et Moii t dnsle fait qu la pusace en tant que volonté,la orce laction sont les prduits d linstinct e drai prsque de la nate physiue Ells peuvent apprtenr aux prson•n pus opposes on peut les mettrau rvi des buts ls pl divers Au con

ae, ldéolgie est Q facter spirtuel,c't ee q it vraimnt ls ommes . > n'est pa ue d'nste sur lidéalisouvt d ce texte qui a méite de 'nteté sil faut le coparr aux textes alemands st pus remarquabe de voir leduc lavé dun acsation poibe dégom nién Les sphèr dgntes dufa mblent en êtr rstés 'ter-prétion sénne d Nihe xprée aux o de 90 par Muniluimêm ()

Pour Ster pou Netzche évait alors leévoutionnaire t pour tou ux que dansson niale Mesch, Turk no ls soph d l'égosme, lEtat st oppresson og·nié au détriment de ldvidu Bt pendtm�me pou les niU% de p il ete unpincip de sidaté. L'istit de sobilité, eon Drwin est inhérnt a nturmme d l'hom Il est imposible de sepréntr un üre human vt hos de lachan infnie d ses smblabe Nietzsch asenti pofondémn la aaté d cete o

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d sodaité unvsel e surhomm nietzhén tnte d'échapp d ontdction: l déhatne t dii ontre la ae téue savoonté d puissane t tragie gandeu deses entprises ouit au poète pour peu detemps encoe une mière digne d�tre hn

ée

On sxplique ains que Mini relevant s uencs non itanns qu ont ercé sur ascsme naisant parde Sorl, de Péguy de agarde et nonde Nietzsche. L fascsme ofci a pu uti-lr en l disposant sur l m ds imes zshéns tonqu ss plitons brta ne lui en paaet pasmons dvo tr tenues 'écar du ondenietscéen trop libr trop oplexe trop

déchrant Ctte prudenc smble reposr est vrai, sur un interprétation surannéede latud d Nietzh : mais cettintpréaon a été poible et e la étéprc qu mouvent d l p dNetzh constue ot undéd cstàdire tout e con ddiciv que les systèmes itiqus ac-tue demadnt à leur nspaturs

D ROSEERG

Cpndant à la pruden du fascsm ta-lien soppose l'afrmation hilérienneNietzsche dans e pnthén racise no-pe pas est vra n pc ofcille.Cmrain a de Lagard ou Wagnerdonnt d tsaco pl ods laprofonde admraon d omêe > qupratique 'Allemage du Troièm RichMis quls que soient ls dangrs de 'opération c nouvl Amagn a d reonna itzsh t lutilisr. représentait op dnsncts mobisé, dpniespo n'impor qul à peu prè nporeque acon olent t la faltionétat nore trop acle pmère idéologi dévloppé du nationalialismtl qu'll st ort du crveau dAlfrdRenberg aommode Nitzsce

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Avant toute c l chauns alenddvaint se débarraer de 'nterprétaionsrnérinn indivduas Alfred n-brg fant ustic du nietzshéie degauche ble avoi avec rage da

raer Nietze aux gi du en Muli ou d mblbl

Frédéi Nietzsch tl da son du è (16) rpésn ri désepéé miions d'oppimés Sa auvag prédicatiodu suhomme était un amplicion puissane de la ve indvdule, subjuguée, anéntip a pession méelle de l'époque Mune époque llonnée depu d génétnne sat puc que cé sub-jecti de grde voné et de l'expéencvtale de etzsch Netsh exigeai paion une personnali ote son egene falifée dvint un appl un déchanent tou le instints Autour d sa bannir serairnt ls batlons rouges t s prophè nomds du mim u sote d'hom dont dotrine enée n'a ais étdénoncée plus irnuement que pàr it-che n son nom, contamination de epa l nges et Syns pgs asqu uim�me s plait dremnt a disc-pin aactéistiqu d notr rae Nitchétat tombé dans e êvs de gigolos en lu, ce qui est pire que tombe dan ls

mains dune bad de gand peupleallemd nentendt plus p que d up-pssion onints, de sujctvm prsonnaité m il n'étt pus qutiond dcipin t d ontuton intérieure. aplu bee paol d Nitsche


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leurs pas êr smpeme teu unetzsésm vulgaire (comme on l'admeparfos omm l'admet Edmod Vemil)e dsple 's pa sulmnt ulgaemais dt le seu fit u' sebegpal d eshe susait à our l

ails ms il semble à u homme de ceeesc qu ds ails t jamais roées Tou ce q n'es pas ordquedot r selo lui goureusement reraché Or seuls les dieux du sont ordiques!

Alors que s deux gres éri (18), étaentles éos de L ure et d e, e dieux delsie Minee non arenne ssmen tousles crares de ere . . Donsos (du onspa son côé non-en) e de de ete

de a Lure de l bae déhanée Pennt deux sèes s'es pouue Linteéton de / Gèe De Winckelmann à Vosen passan les clasue aUemand, onnis sr la Lumère, le egard toé ves lemonde l'negibe e oant romntique se nourt des lux seondaesindis à fin de Iide par l ête dsmots o dn Eschle pa 'action ds Brynnies se viJi ans es ontrediex o·ens du Zeus ompen Prnt de l morte de ses ngms l nèr� es ésses-mèresDeer en te e nemnt s'épat das

e de ds mos : onyss C'es ce see Wecer Ro e etzshe frent de Teemre une gnre eUemême nfoed ve ui pepuement, reoe pr mor en son sen gd romntsme lemand trest ds rmisemen de 'tion et omme de oujors pus sombesvole1 tien tré deant la fe raontedes dex du i s'enonç toors pspoodémen dans 'nstinf linfome, edémonue e sexue Lexe e htoendns le ue de la ère

l y a lieu de raeler i tout daordque Rosenrg n'es s le nseur ocieldu roisièm eich u in entendu naticrstiasme 'a r aucune consécation Mas lorsu il eme sa réu-sion our les deux de a erre et our lstedances romatiQues u non as ourobjet immédiat une comoton de orce,sans l'ombre d'un doute il xe la rulsion du nationalcialisme luimême

L naoaloclsme est moins romantiue lus mauassi qu'on limagie afoe l e fau pas oublir que osebrg n l'expresson délogue la plus prhde iece l urist Ca Scmdt qe lce pas mos réllmet que R

sberg touch de pr à Mauas et, d'oge choque a ouos éé érag l'uc d iche

" RIGN HGNQT PÉDAGGQU " : NÉ·PAGANM AND

C'st le < néopaganisme allemand (9)qui a introdut la légde d'un atioalocasme poétu. C's dans la mesureseulemen où l racisme aoutt ceorme relgeuse excnrique qu'il epmeun cerai courat val ticétde la pnsé alemadel est exact qu'ue oa quelque peuchaotiqu mis organsée rprésn auourd'hui rmt Allemgn ce coura mysqu qu, pr de l gd

époque romntiqu, s'est epmé ds dséi tels qu cu de achoen d Niez-he e plus rcmme de Klags (0 Utel courant n'a amais u la mondre untémais i s dtigu par la valosao dela e cor la raison e par l'oposode orms religieuss prmives au crstasm linériur du ationalcaisme Rosenberg en rrésnte aujodhula endance a plus modérée Des théoriensroès beaucoup lus avenuruxHauer Bergmann) se carget la sue

du comte Rventlow de tenr une organi·sa to cuturele analogu cell des églseste eave nest pas nouvlle Allemagne o une mmunauté de la Foigermniue exista dès 198 t o lemaréchal udendor luimême voulu seair arès 923 le chf d'une égis alle-mad rès la prs du ouvo hilé-nn les dverss organatios exisanteso reconnu en cogr la mmunau de


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leus bus et s st \i pu om le Mouvemet d la oi allemade Ms s'il est u at qu ls prétes del nouvelle relg oppn pas à l'xal-a romaque ls lms éoie eouts ml de Rosebrg,

en

sot pas mos d'accrd sur ce oint ue,l'ancsanism é prclamé, la eét dnsée, lur sul religon es larace, c'estàdre l'Allmag Lmisna protst Hur sécrie :


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à fois trembler � rire ce nétaient pasds larmes d'attendisment, c'étaient delm de jubaon . ll

En rat, ajf(e Beume 'de de eourtee est sns mpotce du nt de vuedu systême Nesche. ous deo consde comme expesson du expence autement pesonnee Ee est sans ppot auun ae a pensée ondente de oontde uissnc et �me pise au seu cettede bseat a cohence de oont depussce

De toutes les reprato dmaququi ont donné à la e de Niethe le caractère d'n déirement et dun combat

haetant de istnce humaine, lidée deretour éternel t rinment la p a-esble Mais de inpaité daccder àla rélution de ps pendre au éreu,e pas anch est le a du re Mni rnnait auefoi qu dnede Nitzshe ne uvait pas ête réduit àlidée de volonté de puisnce A façnM aeumler aué à a rahion et fn-chiant le pas rnnat avec n éatinomparable : émasuant au gnd jour

PAYS DE NFANTS "

La me en sve d Nithe exige toutdabord que tou son epe pathéque oit opée au système et fa laceau sstème Mais n egene s'éend plu

lonBaumlr oppose à compréhnsion de laRévoluion la compréhension du mte la premièe sera lée slon lu à la onsene du t a seconde à u snmentu du passé (22. l va de i u le naonalism implique l'aerviement au passéDans un at nov 94pp. 1908) evinas a donné sr ce ointune expresion phiosphiqu du racismn particulir, plus profonde ue cee dses partisans i nous en itons ici lessen

te loppositon rofonde enre l'enseignement de ietzsce et son nchaementrsortira cette fois peuttre ave une brutalié asse grande :

L'mpotce ct Lens accode à cesentment du cops dont espt occdenta n'aamas ouu se ontente est base dunnouvee concepton bologque de ommeLe booue aec tut ce qu comote de ft deent pus quun ot de a e sptuee en deent e cœu s m;st·eusvox du sn appes de dt et dupas auzques e cops set dnmatquehcue peent eu nature de pobèmes sou à souton dun Mo souenemenbe. Le Mo npote pou soude ques nconnues mmes de ce pobme en

est costtu Lessence de homme nestpus dans bet as dans une espcedenchnement os toute stuctue socae qu annonceun anchssement à 'ad du cos et qune ene pas deent suspecte come unenement comme une tahson. Une soct à bse cosnune dcou mmdatment de cet conctsaton de 'espt Toute ssaton atonnee ou communonmystque ente espts qui ne s'pue pssr une communaut de san est suspecte Ettouteos e nouveau tpe de vt ne sauat

enonceà

a natue fomee de t etcesse d'tre unese L beau tem t au pus ot sens de ce possss- ee dot tende a caton d'un monenoueau Zaatusta ne se cntente pas desa trnsfgion, descend sa montane et appote un ane Comment unesa t estee compatbe aec e racse ? au une modcaton ondamentae dede mme de unesat. p l p c xpasond'une oce psente une toute aute stuctueque popagaton d'une de La oontde uissn de tshe que 'Aemane m

dene eoue et lofe nest ps seuementun noue da cest n da ui po nmme teps sa ome pope dunesaston : a uee a conque

vinas, qui introduit as socuper de justir lidentiation d l'attde nieshéenn à lattiude raciste, en fai, eborn donner sans aor chrhé uneéaan évidnce à lur inmpatbilité etmm à leur aactèr de ontaresLa ommunaué sanguin (23 et lha


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mnt au passé son dans lr onnexonui élonés qu'i est ossible, hors de lavue d'un homme qui revendiquit avebeauup dorue le nom de sanpa-

e t ompréhenion de Niechedoit êe tenue por rmée à ceux nefont pas tote a pa au proond pradoxdun au nom qui nétt ps rvendiquéave mos dorguei, lu dA AI (24 A a cmpréhnsion dumythe ée par Baeumle au sentiment aigudu pass réond le te etzchée e (5 Lavenir e mereux n-nu de lavenir, est le ul objet de fe niechéenne (26 humanité, dnsa penée de ietzshe, a ncore beaucoup

plus d tmps en avant qu'n ière commnt d'une manière généale, l'idéalurraitil e prs dans le pssé? J (27)C'est e don areif et gaut de i àavenir en opositon à larce hau-ve, ehanée au pa$é, q eu eut xerune image ae rande de ihe en ronne de Zarathous exigean dtrerenié s « sanspai l ls déchanésdu passé qui vivent auourdhui, ommentuvn en repos voir nhanr à lamère patotique celui dne eux que

hne de e misère vouait au Pvs DiS FS arathota, qnd gards d autrs nt vés ax pays deeurs pères, à leur paie arathousaOy YS FS 8 En facd c monde uvrt de paé, couvet dees omme un homm t couve deaies, n'existe as d'xprsion pradox, n plus pasionn pusnde

NOUS AUS SANS-AT ..

l y a quu hoe de aiue dan lmple fait que reur de et osble r il sagt sans doute dans e sdne eeur, non d'un paripr Lescontadions dont es hommes meurentapparaissent tout à oup érangement insoubles r les part oppos adoptant

d lutions opposé, ont résolu en apparence ces onaditons i ne s'agit quede smpliatons osère : et es apparenc de olution ne font quéogn lsposbilt d'écappe à a mot

dé

hanés du aé snt les encan à ison; eux que nenhane pa la rnsnt le svs du pasé n d laoliique eige po e produire ds positions aussi ausss et il n'apparat paspoible quees oient changés. Transgresr avec vie les lois de la ran,répndre aux xgnc de vie mmeontre a rain, est en litue pra-qumnt, s don pids et poins sau pas Et cpndant la ie nige pasmoins dêtr délvré du passé que dunsysème de mensuons ratonneles, ad-mistrves.Le mouvement paionné et tmultuuxqui form l e, qui rénd à ulleexge déag d nouvu, d pduapparat parfois prté par latn poliqu : il ne sait que dune ue usion mouvement de la vie ne se conondavec les mouvemts limités des omationspoliqu que dan des cndiions dé-nies () dans dautrs ndions il se

ursui lo au dà, là o préisent seprdait regrd de NietzsheLon au delà là o s simponsadoptés pour un tmps et our un butès urts perdent lur sens là où l'eis·ten là où lunivers qui laporte appa-raissent de nouveau omme un dédae Vers e dédale u ul enme les pssités nombre de la e, non vers despauet mmédat, ne onaditoire de iezhe se dirige au é duneberté ombragus (3 Ee sme mme

échapper seule, das le monde qui estmaintenant au souis pressants qui nousont refuser d'ouvrir les yeu assez loineu ui aperçoivnt déjà le vide dans esslutons proposées par es prs, nevoent mêm plus dans esi susté pare paris quune occasion de u dé-pourvues dune autre odur qu lle de lamort cherchent une foi à la mesure dsonvulsions quis subissent : la pssibiltépo l'homme d rtrouver non pus undrapeau et ls turis san ue au devant


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H É R A C L I T E

DE T�CH

Ce portait d'Héralte t ei de phipie l'éptragique de la Grèe , lun d premier ouvrag ietzcheért en 8 ma pubi aprè sa mort (l n'a p éé raduiten fra}. Parc u'Héralte a la i dan le ombat délémen multipls d le fu jeu innt de lunivers, ildait apparaître Nietche mme on dou, omme un trednt il a éé lumme une ombre Si Héraclite a leé le ieaur le grand de to l pcacles le jeu du temps des·ructeur i sait du spectale mme ui dvenu contemplan et la psio Niee au urs duuel devait luiapparatre i charge droi de létrnel eur haueintant x que dans la mesur ù il a xerminé l'instantpréent père Linconstane tale de tut t unereprntatin terrbl et bueversante : n acon et anueà limpr n de qui dan un remlement de e perdonfian la ere fme pl grand de e ptacles, la pl grande de toue l /ê t mort Dieu Estce ue nu ne tombons pas ans esse? en arèr de côtéen avant de tu les côts? Aini criera plus tard Nieseuand il éprua le ravissemt qu'il a appeé la mort deDu Ga aoir oin au delà des caserneç fasies

Héacl éait e et uand un plosophe en rrie à eté, c'st uende eté Son action ne le pote jms à echce n public » lapplaudsseent des masss ou e chœuraduateu des conteans. Sen aesoitaie pa ls us apptient à a natue du phioophe es dons sont deslus aes et dans un sens, contenatue excss et osties mêe éddes dons sblaes Le u de a atsaction de ie doit êe de daan pou ne pas ompe i s ca tout st en moueent cone uon voae es 'immotalté st peé dostae et dentes u'aucunaute et poutant nul ne peut coe

plus sement que le phiosophe u'ilarivea au but par cete voie - il nesauait où s te snon su es a esdépoyés de tous les tes; nonondértion des choss pésnt et instantanées comosnt esence de grnde natue posophue. Lui a la

été : be à la oue du tems de toune dans lun ou aute ns jamasee n'échappea à la véité. Il poedappende ue de pis hommes onvécu une fois Jmais on n'osit iagner a eé d'Héaclite come uneposiblité ose Tout eo ers laconnaissance paaît de pa s naue,éteellement sait et isatsastAussi nu ne ouda coe sl nst ren

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Le os elle-mme la sodité et à la iité dsuel croi tête étroite de lomme ou delanmal n'nt aune eisene prpre e sont les et l éclairs des épé brandies e scinmen d a ctore dans le mt des quai ontraires onumaon otae da eut satété a saété engendre l cime l'hybr Tute lhore du monde erat- le châtiment lb? mulpl, le résultat dun crime?. feu j se transomnt en u et eterre . l ntrt omme enant d ceaux de sable . il l éiie le dérit et mn le jeu à bu. Un instant de satiété uie e boin l sasit de nouveau e nt l'int du re cest le o du jeu trs à ui appele à v de

NIETE, HPH A âPQU AQU Dl L È PA


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in6 par histoire, à la réalté dueonon de soi aussi royale que cee queconfère la convition d'ête luique etheureux rétendant de la Vérité De parels hommes vvent dans leur rore

sstème solaire : cest quil aut allerles trouver. Un Pthagor un Empédce traitaent leur propre sone aveune surhumaine estime ave ue ratequas reieus; mas e lien de a comasson noué la rande onviton dela mration des âmes et de nté detout e qui est vvant, les ramenat auautres hommes our le salut de ces derniers Quant au sentiment de solituedon était énétré ermte éhésien dutemple d Artemis on nen saurat érouver queque hose quau lieu d sitesaestres es lus désolés Nul sentmentde toute uissante pté, nul dés devenr en aide de guérir ou de sauvernémane de lui Cest un ase atmoshre Son œ dont ardeur esttoute driée vers lnteur na quunregard éteint et glal et omme deue aparenc, our e der Tout

autour de lui ls vagu de la oe et dela erversité battent a oeresse de saeré il sen détourne av dégoût de eur côté les hommes au cœursensble évtent une pareille arve omme ouée de bronze dan un tuaire reculé armi les imaes desdeu à omre dune arhtecturefrode calme et ineabe leistenedun are être se onçot enore arm les hommes, Héalite en tant

uhomme tat inonevae et sl estvrai quon a pu le voir observant aentvement le jeu denants ruants l estvra aussi que e aisant il a ngé àqueque ho à quo nul homme nesonge en are cas au jeu du andenfant unverse Zeus I navat potbeson ds autres hommes, as mmepour ses connasas l ne tat

oint leur osr toutes les questonsque lon eut leur oer celles que esges sétaient eorés de oser avatlu l paait av méris de cs hommes interogateurs, accumulates, bref

de ces homm hstoriques » Cmoi-mme que e erchais et elorais » diitil en se servant dunterme qui dént lapproondiementdun orale tout comme si eût été evéritable et lunique exéuteur de lasentene delhique Connais-toi toimme! »

Quant à ce quil ercevat da cet oracle le tenait our a sagese mmor

telle et éterneement dgne dinterprétaton dun eet ilimté dans e lointaavenir, eeme des dours prophétiques de la Sibe. Il y en a susamment o humnté la us tard venue pourvu quee veuille seulementinterpréter omme une sentene dorae e que u nerime ni ne cache »te le deu delhique t encore quianon as soure, sas oment n arum mais bien put ave

une bouhe écumante il aut quee parvene squau millénaes deaven Car e monde a éteellemenbesoin de la vérité il a don éteelment besoin dHérate quoiquHéralte nen ait on besoin luimême.Que lui imore sa lore?

La glore che es mortes qui scee séouent! » sest-i rié averonie Sa glore intéree sans doute e

umans elle ne lntérese as uimme lmmortaté des humai a sin de lui et non as ui-même de limmortalté de lhomme Héralte equ a vu, a doctrine de a oi dans eeven et du eu dans la nécesié doitdès maintenant être vu éteellement i a levé e rdeau sur le lus gnd detous les sectaes

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P R O P S I T I N SLorque Nietzche epérat 2tre compraè cquante an, il ne pouvat a l'entendre eulement au en ntellectuel Ceur qu l a et et exalt exige que e la je et la mrt ent me en euet nn l'attentn faguée de l'ntellgenceCec dit être noncé imPlement et avec conscnce de engager Ce qu se PaseProndment dan le reneement dealeu dune façon dée cet la trgde elle-�me : l ne reste Pa beaucude Place Pur le re Qu leentelur la e humne oit eactement lobet ds hrreur oudane, que cette eot Prte dan le rre au cmble de

oe ar ce qu arre de Pl gradantde tele tranget Plaent ce u se ped'un à la rface de la T dans lecndton dun comat mortel elles Placent dan nceité de ber ext lenchaînement de la rt reconnueMa l et ain et excédent de adreerà ceu qu ne diPent que dune ttentin einte le combat a tuur té uneentrepre lu exgeante que les autre.Cest dan ce sen qul deient mPssiblede reculer deant une cmPrhenn cnsquente de leneignement de NetscheCec ers un deloement lent ù rienne Peut tre las dans lombre

1 PROPOON E F

x La plus paate rgansan de lUnes peu sappele Dieu n (1). fssm u em la éé à p délémens esans es la fme lapls fmé d rganatin esàelexsenc human la pus po du Duéene.Dans la éun sale (mas non dans salnme aul), la décomon aen au onae sn pn eêmLsn e sue onsammn à lopposé de deu possblés égalemen llu

soes : le st ewge Vegoung undEngoung un éenll néonqu dns (qu rend Deu) et une énll désnégan u anéan eu en-mm La suue soil dérue recompn déloppan lnemen en el une ason pu la démposn nal.a suue ale ecmps u

7

o à sue dun fascsme u éuon négae paalyse e mumen

d esen, u g u dénégaton nstan s gandes cnsutonsunse ne n que es pdom dundéaînemen gu ui enaînra lmumn d la au dlà de la nécssé sle

Le ame, au sns que du ot, dlalaon nzshéenne en de qu désnège la n a poan aumle d la vlné de puane e de

lne2 aaè sucédané d l'nddupa apo à a ommunaué est lun desa édens qu sson ds nesgaons soqus Cs à cmuauéna u la pesonne emprune safr son Ls s les pus ppées on aou sus ns u à la fan de mmunaus unaes semla


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: il n'y ava donc à n dieial ni régrion ls soétés ru-aient leu ode dexistenc fondant,lu sucte de tous l tmps, tee

qul sst ée ou reomée ds lsccnstancs éonomiqu ou htoriu plus dives. potson des ête hui oneun fodete de leu exst neeut éideent avo quune onlité La déatie i sr unque praie re l npute quue fome antoie lenappor suleent ac el lsgandeus ma aussi les pttesses de la

déomon.La pottaon conre l'untaisme na pseu nécsairnt dans sns démoca-iu Ele n't pas nécessaent faiau no du en-deça : le pobt de'extn hua peuent d ait-nat re uées ul de fomaonds éts moocéphs.

3 Rnatre l pu de tée d la lèe docaque en grande pare priée

de ns du fait ue les stalinins la pat-gent) ne signie n aucune msr 'acptation de la ommnauté unitaie Sbtéreate et onfomité à la loi naturll nnfèe n aucn s à une fome que a té d'arêter e ouvetde uine e d céaon de htoir oins de tiae une ois l ecs de la vi Tout au ntrai litneale feée et étou est ondan àa condnstion de fores d'xpli déci

ies ce qui n'st pas éai à lin-riur d' oiété démoatique Mas ceeait un rru grossièe d'agieru'une ous explive ai pou uxlui t mme mpement r butnr ducon de la ête et del structu uiare d' été La maion d'ne tuce nouee, du ordre dévelopant e sint a-vers la tee ene s e a

aoe rél et le se sble a dsc-on éolutioai étt uliretsuie de la ronstiton de structele et de sa tt.

4 La démoate es su une nutra-satio dantgonms elatveen fails libres ele cut tout ndenstionexpive La soété moncéphale ésultedu jeu libre des ois nauees de 'homeas haque fois qule st faon ndae ee e ue apie une st de lee aaatLa su été plie d e et de foca seu1e té libre st la cété bi

PyékJe ui donn aux antagoisfndamentaux d l ie une issue expsie constante s mitée aux fore lesplus iheLa duié ou a plit ds tête tnd éaie dns n êe moueet earatère é de xstce, r lepnp mêm d la têt t duon àé rdcti" du monde Dieu.

< La atière inoranique e atel E déré de e s d-venir ct paaceer Clui oprendrait la ndérerait om unfête d rtoue à posi insen-bl ' (2) Accrd la eptn égae aumond inoganique; ne pon ument là ne véi ! Linrtde e ment a<le ond orgnique » (3)« Pee dans tout spélaon a nat�

sntHiue st natue supéeure Otout vie organu es dé une spécaition e mond inoganiu qui rouve driè ee epte a plusgrande snthèse de forc; po cete son appaa dg du plus rd Là 'eu, la iton nesent in {4Ces tois txt, le pr Nieshe d ae snt p


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de s écits pthums rvlent en mêmetemps l odons de splendeurs et emsère de xst Etre lbre gieêe pas oncon lair enfer e fonion ct asr la esémasr La tte auto teou Deu, reprnte lle d iervi qu s donne et prend lemême

pour e en conséquene lle qui otêre loet e laveion a plu vvace.Ct lmter a poée e ctte avrsion quela doer cmme le prnpe de la uttcone les sstes poitiqu tas

ma sagit dun pc dehors duqulune tle utte n's qu'une cnaictoninteure

POPOON U MO DE D

6 L'acphal expme mythologquementla uveaineté vou�e à la esucon, lmort de Dieu, et e cla lentton à

homme sans tête se mpe et se nonavec lidentcation au surhuma q EStout entier


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Dieu ls ros et eur séquele sonttpss enre les homm et la Tere de même façon que e e devant le st un obstace au viol et à la poon dea Mère hstoe énomique temps

mes est doinée par l tenavepique ais dévante d homme ahrns à arach sa chs à a Terre. Tee a t ventre mais de l'ntéreure son vtre ce que es hommes ontextrait, cest avant tout le fr et e feu avelequel ils ne cessnt pus de svrene eux inandeence intérieure dela Terre n'explose pas seulement das leratre des volcans ele rougeoie et ahe

mort avec ses umées dans la métaurgiede tous es pays a ralit ncadescente du ventre mateel de la Terre ne peut pas être touchéeet sée par ceu qui la mnnaentC'st l monnassance de l erre loub e l'stre sur equel is vivent, 'igoanc de la nature des ichses, 'estàdede 'ineence qu est l an ctase, qui a fait de l'homme une exstenà la merci es marchandis qu' prut

dont la patie la pus mpotnte est na-re à la mor ant que homm oulrt la vritale nature e la vie teestre,qi ege l'vresse eatque et 'éat, eenatue ne poua raper à lattenon omptable et des éonomistes de toutpr qu'en les abandonnant aux résultses plus achevés de leur mptabit et deleur éonome

Les hommes ne savent pas jour lbre-ment et ave prodgalté de a erre et dees produits : la erre et ses produits ne se

NOTES 1) V d c § 712 (Œv mpè Lpzg 1 V p 17 Ade, Nzch v p I 191, 807 et Œ pm Epoqu du '' G savoir 181, § 497et 498 Œv mpè ez 11, t Xp. 2

l

prigent et ne librent sans mesureque pour déue guerre atone telle quela doée onome moderne, ensineau le s e la Tere mais ele 'neà des rga dnt la te e plne de ca-

ul et e onéons ours c'pquoi e lengne avc e abse œur et une rage dépman Dans lea muré et déchrant e a casophe sans but qu'est l guerre ctuele,il nous st pendant pssibe de rconnae lmmenité explosive du temps aeremre est demeurée a vieie divntchtonenne ma avec e! multitudes humaies, ele fat auss sérouler e ieu

u el dans un vacae sans n a recherche de Deu, e labsenc demouvemt, e la tnqu, est la peurqu a ft mbrer toute tentatve de om-munaut universlle L œur de lhomment pas quet seuement juu'au moment o repose en Die : lunversaltée Deu demeue enore ur ui une suediquiéude et l'apaiment ne prdutque Deu isse feer ans 'solement et dans a peranc profondémt

immo e de lstence miltare d'ungoupe exsten univerle t ll-t et là sans repos ee ne refemeps ie ellemême ais louvre et larejee ans l'inqutude de linni exs-tene unvrsee, étellement nachevée,acéphae, un monde semale à une blessure qu igne, ant et déusant sasarêt es êtres particuie n : c'est dansce es que universal vraie et mort eDieu

Georges BATILE

3 Œ pm 183 Œ omè Leipzg 1 t. XUI, p 2); tr. fr.n Œs ohms Mrcu 194, p 140§ 2

( Id mme pag; § 38


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N I E T Z S C H E T O T

NOT A ROPOS U TC JSP )

NCT

I

VOLONTÉ 'NC

Comme des ont philsphé en pésene de divinité Netzshe phiosoph si on peu de, en psn delse de divinié et ' s

doue plus terle. Keegad es devnt Deu Niezche t dvan lede déompos de Dieu Ben plu,tndis qe Kieeard pense qe Dieuvet m mo Nietzhe qehomme doit vouloi sns noveu l mo de Dieu Cee mo npas euement n fat elle t londne voloné Po qe lhomme soiviment nd vidique, éteu ilfau qe Deu soi mot, qe ie oi

u qi soi sen n le pvnt deDeu jappoe lhomme lmmensedon qu la pafaie sotude en mêmeemps que la possit de a gndee de éation'gos devan l mo dispî Cl me end heuex dt Niezshede voi que les hommes ne peuven paspen uquau ou la pense de lamo oe unque eiude la

niude et de vle plus nous soyonss nous et es bn ansi. t il esien assi qe pl notre vie de plnitde e de veu pus nos soyospêts à l donne pou une le enton agéle » homme sinlineves la mo ainde hnves la mor qi est l sienne ien plslide de fêe st ée svent pNethe ldée de mot Fisos êe

l mot, faons de l mot ne fêe

e se enoe la meilee fçon denous vene de thon de l vie

VOLONTÉ NC

T VOLONT TNSCNNC

a phosophie de Niehe t esseelemen nous dit aspe Jfmtiond monde omme pe immneneCes e mondei qi st lête. demême que l yn de iekeades ne oane qi dote, de même

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négation de Nie. L'bsene deDieu nst n eeu ni vété Et estorqoi la pene de labsene de Dieuest pon est volonté, de même qe

hez Kieked pnse de Deu staon et voloné Nieshe vi ettealit de la mo de Die en l volatomme nos lavons e en mêmetemps ns l vouo ve Deu enmême temps quil vet mo de Die.Et l nse de Jbsene de Die nesuppime pas en l l'stint éateude Deu Telle est l exstzielleGotosiei dont ple aspe.

Netzhe est bnlé pis nspeépa l'idée de ette tanendane qinie. le séiex de et abndon de sitel qe Nietzhe la ompi nest-ips demnde sps mme imde l pete et du se de soi sosinuene de la ndne? opsition a povisme e a matilisme he une néai niveselle ne nsasftin limite dean ot sde lêre. t tte pos de lintiaion et de l négon se fi ve une

telle passon ave une telle vooné dee, quelle sme veni de la même pofondeu qe les d elions

•

e l oans ds ophes. moté de Nietzshe e nation lefse mole; de même, nous di spes s nétion de Dieu est son

henique ave lête frmton duu vooné de sbstne n quand est di peut p s pope fo s fénésie s nfome en ele nihilsme nihilisme ds fors e nonplus nhlme d fie en philphie posive. Dns e me qui nsend qui ne êe évèleP la lesse même qu sent en ip douleu de dieu dhé Nietzsheein le fond de êe le temps l

lœil xé l ois su oue de léeneleou et s l lige nenie dplu lointin hoion d shmain Ilui en li Ixon et PoméhéSi nsté e l volonté le pa etven viennent fonde le plsh atalsme vient slon l'expeionmême de Niezshe sidene av lehad et ve l ton v l'avié pls hae si le monde absude et inompe de lintisfton pepteleeevan le seau et la bnédiion deltent devient le monde ompe delteelle isation, nes ps pque denité des opposs est lexpion nsendane de êe en tnt quilne t ête sai dans une atéie ne svonnos ps qe es e et antnomies ne ont que dsmoens pou ouhe de bis et dasome e qi dpass oe loi ote

paoe tote fome

a WAH

(1) K Nietzsch, Einfhrug Vrstad si Ploophir 193. S ug

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ns mode e dm tion, q ge progresvme dans la se ompao e preee de s - donles aes e o e qls ava xde ae orss vee à se rdre - la ox de Nezshe s'éèe a e provoare argée de oe ladoer omme de oue la joe qe Zarahosra pore e l To e q pros es dam à pérr de mormsérable oe vsao os semeaors orr des pssbls novs - avage umane e osmqe q os hare e ree omme a mer r revenr. psee de ezshe s à hageree dspao dfcle e aore deovee ase

droua u à es nges d e labere do oura dans e qà la oe, eshe arahe à 'xse e msqe qu

lreda dne

« ore s ad gre onr xc lexe de De L psmme esare ove e ee déove sse se hage e araonrqe de la e

La mor de e es pas hez Neshee déovere de l'espr mas e révéao e e armaon de a e q sedde, d mode haoqe gaare eexaspr ave eqe l enre oa

S es osqees en so erêmes eese s por homme e des méamrphoes mode e dever er se rsé do e éa eessoparae I e s'ag ps de erher esrass por esqees erle éa eéabeme sr esee


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CRÉATION DU ONDE

Ee grn sgner q porte lépée;clbter lles, ames et emoselles;fare laumône a pares à contonqls renent De, pouer la eveet 'orphen ne compter rentes nettes entetenr es poètes à conton qls cantent le lre es senss peitres capabes e retenr les mo

emens e la olpt, es ngnerspo les plasrs 'n tremblement eterre sr commane, es cmstes poressayer es posons lents et foroynsfoner qelqes masons écatonor y recer n sral cogans etoalses cassr lenfant n, à peo à ceal orr es banqes à laopce sr n trtea porv e rp q englotssnt a rt mass tot nest pas pble,

joer

spctacles tranes are célbrer mess por profaner loste an efae enr le abe, et s tot cela stop ennye à la onge, l'on sétonne qacn aersement vsble etcar ne enne vos arrêter, eyer ese fre per par n atre moyen, sare roer e cops par s ats. Mass le mone tonn vos emane esraons e tot cec afrmer qe De

nexste pas, ma qe par contre Treet Néron ont est, e ln t crcerle Fls e De, qe latre jea a lonses scples et qe lmmoralt elâme tant un lerre l sagt e smmortaler ans e mone par es crmes ptôt qe par es benats areonnassnc tant pasgre et lerssnment teel Bref, accpter ensornt e passr por n poca

pcre o e lêe; sentorer eco e sants et e oètes, arseset acters e bor et e sjetspops à to les capc momt.Cr le moment est tot plen egc car e moment est srmontable

e gan gerlà est ne cosCen st à ne atre qe cgrn er ans n cacot, enavo pls qe es tentons e grnsener et e vo qe cest prsmt po avo e s ntentonslà qelon s oe à prsnt entre qatrem n ee c ont rests s ntenons : songton lement à l raler? Ct à pe s lon a tent le cn

qème e cet amable programme à es sles ntentons tatu pos écrsan et voc qentre cesmrs, eles lvrent ler nsppoleret n beré, on aat g spele se nommer roé » et orantcétt a Damens, a Manrn aCatoce qe le boa rompat lesos. n celle, nobles obge enore s nos avons, nos, e a ace es orts,transesé es los por la protecton

fable, ntat-ce pas en retoant ansnoe popre force contre nos-mmespour en fae utme eprence qeno aons éco Au e e nos passons q olevret contre nos laoont gnale, amons le amae la ploope ectonsnos à enner le mone ne sommesnospas no-mêmes à pls n bserarent Drrère cs mrs, e réo


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tion ronde : les aam d'hier ntes maîtres auourdhu� il faut uechacun ait sn tour : connasent-ls eulement la faim ui nos dévor

dans notre tété nos ls ésdhier : en vérité, nous auron à des nouveaux rep nous au aams d'une nouvele sote! Libre, nousnous condérions comme une fore dela Nature, comme l'agent de ses ten-ions, no aceptions tout l'avantagequ'elle ore de préfrene au fot auxdépens du faible prêt à le lui restituerd quelle le réclamerat. ne les qua

tre murs de notre llule, privé de nosalchimstes et de nos artist de nosavants et de nos poète de nos comé-diens et de n victime nous ensnousmêmes alchimte et poète, aisteet avant ourreau et comédien, coméden et victime Remis en liberté nousnaurons du grnd igeur ue l manières et les oûs nous naurons dugrnd neur ue la mauvai conscien ar nous ne erns pl nsience et nous ons la concenceeUemême

ant et si ben qu'avec cee consence,i est mois possible de joui dne exitene apparemment impunie ue devivre, à titre de punition donnant doitaux ntentions inavouables, de vvreconfondu dans la foule de es contem-poins conateurs ou démocrati

ques tous élement préoccupés daccumuler ds rchesses tout en prétendantorganser le progès socal, lunté ntonale et lEmpre, de vvre pam euxen naant pou sen distnguer que cettenoble mauvaie conscence que nousavons héritée, le seul ben que nousayons hérté sil est va ue phlospher cest obéir aux lo· d'un atavsmed'ordre supéreur cee noble mauvase conence ue norit la consa

taton andleuse que nos avo faite le monde mee s'avilt par suite delabene desav. onston ucote her à celui qui t ul à uppor

ter l conuences qui t ul à tierde sa cotation

Accepter das s conion une chairede philologe à luniverité de Bâe cesprend le plus prdent nconto, à uoi tend l'exerci dune activitéintellectuelle ou scitique sion à stisfae tout dabord la curosté natvede lindivdu ue nous mmes A la

satisare aux dépens même du mlieusocil auquel nous devons nos moyensde connain. Et c'es ains que lonmerat me ladoleent dans laNature et lui montrer partout le rede ses ois puis l lois de la sotéboues t alors ue la ueonne manquerait pas de se faie entende :allat quil en ft ins Et pu à l'adoleent auit esn dhisoie pouapprndre ommen on en vînt à lét

préent Ma en apprnant ainsi lhtoire, il apprendrait au comment luimême et pu deve au Quee esta puiance de l'homme sur les choselle devat ê la uesion nitiale detoute éducaon. Et alos pur monercomment il en pourait êe tout autre-ment en ce monde nous évueionslexemple des Gre pis, lui d Romain, pour montrer comment on envint

où nous en ommes

Mas u prétend ainsi du haut d'unechare de phloloe anéantir l'autortéde deux mile ans, l voit bientôt lesplus sympathisants de ss colues scaer ur son ge il vot n grou- délèves e disperr, l sque de dlapder le meilleur de luimême da levi eor de marquer la eue énér-ton sn propre dtin.

2


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Ca cest suppter u dest né-changeable, et mieux et putêtrevau ne pas être né ue de nt uo que e réateur na pus créé jour comme les jour prédents; quelon nt plus rti de s mains auéveil ue lon nest plus que l'écumedu nant songeur; et e e mondemantenant périclte à vue dœl depuisque ls veines divnes se sont desséchées : tout e que l'on earde, toute qui vous entoure, semble le cadavredu réateur ou ben, fappé de torpur lon éprouve les limites dun ver

éclos sur ce cadavre avec lu le mondeexangue se décompo et lon trouvele bonheur dun ver dans décompostion éteelle de l'ini cadavre deDeu ou ben tourmenté d'une ptiéclairvoyante, on a la forc de se reconnaîre dans lincommensuable chargne et de di : cest mo cest moicest moi qui sure l inju de lavemne

Tele est lmpudence de ux ui ontssé le Créateur en es dee ntnts Tel est auss leu sul remèdeQue leur resttl du monde, ustaità leurs impulsivs investations, oustait à leur nsatable amo, ue lurrestel du monde que décompsentpar le traval cette race de laborieuximpusnt, malad de ne pouvorpoéder le monde à la mesure dumonde? Il leu reste encore la Natureleur propre nature La Nature, diton,est lobet de la eherche scentiquehomme qu consdère comme unprodut de la Natue, en tant ue Savant comprendra donc dans tte rcher-che et il ra atue étudi par de atu et en lui le sernt modant ueue trouvera a atifaion Mi

7

voà ui préisément inquète la Sciété qu naime pas les hommesrpen : au us de uentation de

Natre, le chercheur découvre das

chaue rège d mes exitence etdes modes de joussnce, des modes depusnce et des modes d'adoraton quint autant de sugestions et qu sontautant d'nspirations la Société comptesu le chercheur pour être prévenue :ces suestions ntelles propres àenetenir la vie de la communauté oupuventelles nure au mainten delordre? Pour pouvoir cultver les scen-

ces sns dnger, la Socété exe du Savant de navor pas de cret avec laNture e exige de lu qu se consdère comme Nature étudée par lanature, de bien vouloir respeter la -ne de démration qu spare la Naturedu Savat.

Ma celu qui a até le Créateur ense derne momen, qui a vu les

membre divns en proie à la vermne,i set nti comme la sunce psthume de Deu et ui en envelsantDeu, a rdu le monde, il na plus decome à rendre à la Société, il ne connt plus de lie de démarcation enrela Nare et luimême, il francht cettelgne et, déespérant de créer amais, ilse métamorpho de Savant quil étaten Nature vante, et ce nest u'un der-ner veste de pudeur et de modetie

vrament exagérée ce nest uun égardde rop pour sa mre, s sœur et sescontemporans, sil maintient les dehorsavenant graves e paibles dun prfur.

w


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EX INTEPÉTA NS ÉCENES E NEZSCHE

Kal JAS, Z ·RG DAS VBSTABDS SE SO

PŒE Berli, 16e seul ouage donnant une ePésentationdenemble de a ie et de la Pensée deNietzsche était uuauoud'hui celui deCharles Andler Ande a déterminé dans lescades de sa popre inteligence des chosesle mouement de a pensée nietzschéenne son interPrétation aut à peu Pès ceque aut une tele intelligence ans lamesue où ele est pénétrée Par e hégéla·nisme et la sociologie française elle Poettesu le systme de ietzsche une umère

inhabituelle; dans la mesue où ele est ceed'u Professeur moins poté aux nges deangoisse PhilosoPhique quaux tanquilesexPosés dhistoire littéraire, ee aPlatit Lourage de pes répond un Pan analogue à celui d ndle is il ajoute à cenoueau « manuel tout lintérêt qui touche à la personnaté de asPers lun deceux qui endent ie aujourdhui à agrande Philosphie allende ace qu'ilest philosoPhe de la tagédie, il a étéPosble à JasPes d'entrer dans

Philo

sophie de Nietzsche, d'en suire e muement contradictoie sans jaÎ le réduieà des conceptions toutes faites. Lintelligence ibre de JPers suit me la ieaec une fidélité si constante quelle aboutit à ce ui Peut deen le Pncpe d'uneélusion des conséquences : aux exigencesnietzschéennes fomulées dan a fièveaPes ne réPond uen les eetant despossibilité agues


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tenu de e moement at déj re ne dé-terminaon étatiste opute kich socioogqe ecoe e contenu qu détermine ous e jgements et bien p, chezNtche l'tttude ntégrante " à légard tot de lê, n'est pus seuement de lpoitque et phoophie a moen deauele dan 'abonnc du possble san

pncpe ratonne, e contrare et le contad-tore peuent tre tentés tenttie obssantau eul prncpe de la saation et de gradation de a conditon hmaine u ompaée au grandes constuctons tritonnel de science politques et de l ph-losophie de toire la penée de Nietchedoit par conséent e refser d toute m-thode dédce comme à o détenatonotionnele Cependant encore qe on contenuéchappe à ne inte1·prétaton déterminée, eleprooque créaton dne atmosphre cohérente Tele une tempte cette pensée peut

agte l'me mas ele deent naisisable stt'on a et astreinde à létat de forme etde noton clare et défnitie. an la mesureo la pensée e Netzche tend à créer cette atmophre, ele éite tout ce qu pora! aol'apparence dne doctrne es polté eps derses sont mes à léreue avec uneégale éhémence an �te éunie en un seuut nioque e notonnel ny prétend jma�tre Lepression dne érté deent condi-on existe l emble s'ofrr comm nen d'ne soplee lmitée, au eicedne olonté de pnsée dominace, q n'est

î den e aisat ele attent

la

olaton n mxum de puissance sug-gestie Sel qu sat identfier cett pussnce Lepreon ec La faculté de métorphoe, approprie le sen de cette penée Comme i est mpossble de Jaire de la pensée poitue de Nietsche n ytme tonnel ans que Lon détrise du m�me cop lapensée netzchéenne propreent dite la paticuarté de cette penée c ote ne petdeven ensbe dans a déterminton (dedrection viante et non point notonnelleque par la recherche des facteurs contrdctore , y sont anfestés. ,

Karl LŒWIH NI'ZCS ILSI I WIDRXFT DESLI. Bern 1935.

our en fini une fois Pou toute aec lesmodes dinterPrétation ui nous pésententNietzsche come l'ape de l'individu-is efféné, le créateu dun réame

héoïque ou dune doctine orgas tiue n,with se Popose de caractéser le pincpe fondamental de totlité chée de ladoctne nietzschéenne sou sa foce aPho-rstiquea tuation atuelle de la PhilosoPhieexigeait le établissemen de la nécessité

verbale Elle Poussait ietzsche oPeaec a ieille ystémtisation du dneui, sexPme selon les moyensles Pus immédiats, donc faie eue dumodeisme e pu outancier et ce fai-sant, cette me situation le contrignitsimPlement à un retour à la fome nécessai-rement a Plus fortuite e t Par conséquent pus orinee, a Plus antiue de la pen-sée est donc ue ereu de ne oir, selon cte scentifique uun éangedaperus scientifiques et de ions poét•

ques dans a Phlosophie C'est au critrepréscratique qu faut eenir pou contate ce tait essentiel Nietzsche se ressouenant de oginee uté de la v con ns e ne eneux gs d l'nqt.e Pncipe du essouenir qui se mnifesteusque dans la nécesté d'expression, Pré-side oute lévolûion nietzschéenne etwith nou montera comment lodysséede sa conscience na pou but ue la entrée au Port de

Premire eunesse.

with conace à ce Pncpe du retou usmme a patie centrale de son ouage,ainsi diisée :1) Libéation par raPPot au OIS chétien our atteindre au du upra-nihilisme.

2) ibéaton Par raPPot au JE v pouattende au J SS de la suhumanité danse retour étene

En substituant e JB au U DS,lâme nietzschéenne eectue a dangeeuse

nveson de la foi dans e vieux Deu Pésent mort et dont ee se considère emeurtrier en la volonté du néant ca laberté recourée par la mort de Dieu exigeque lhomme eule e put6t que deenoncer à out vooté Mais Par ce ou-or e néant qui est e nonsens du mondesan but lhomme sumontera ce nonsen,ca i aua simPlement vouu ce qui avat


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toujours été et ce qu touours sera : surmnter le nonsens c'est on lrl'éteel retur qui en absorbant le transtre amènera l'affrmaton du J SSe piot de ce mou1ement cyqu est etéénement terble et mystéeux quest l

mrt e Deu, expéence cale deNietzshe.

Du pont de ue thérque Hegel coneait c mort e Deu comme un endre Sant spéculatif ) Feuerbh é1eloPaitun c athéie pieux tous eu aJOurnaent les cnséquenes un énentqu pur Netzsce aat tute létenuedun ataclysme ncommensurable e lmort e Dieu nassait le surhomm Masnétaitce pas aus la résurretn 'un

11 nu1eau et très ancien Dieu f ANetzsche la mrt de · Dieu se ré1èle dansson exPérence


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düision e la lon qui à l extrme lmitee la lberté Préfère loir le néant Plutôtque de ne P ulr et une nsPiraton enquelle l'être se nne lumme dans leréélé, frnt eemble lcès Probémtique à duble Vété e Netsche, Vété

qui en nt que ctne u nihilise surnté ar luiême, est étblement son Creo qu abrd e


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conodre aec son imae d'éralite sonidée de létel retour aec notion du;u dans la néessté ê o chx ppr è o p comm pnion c n m om jion vni i incnm Mais si éraclite ne con

naU Pa dimprati éthique, si < l obliga-tion de reconnaître le Logos are quéanthomme nexste pas pour lui qullui imorte beaucoup Plus de soir Pour-qu il eiste de l'eau, pourquoi de tere i me loi immnnte axélé�ents régit es ye lhomme le plusnoble cmme le Plus b est quHéralite rePrésente encore 'hom mo qu peut ouloir la nécessité alors que Nietzsc.he est l'homme qui ne itlus que n le onde aliéné par le Chrs-

tianisme et relatisé Par les sciences, etpour qui par conséquent nécessité de0ulor exte atalement comme priipeéthique La osition erdue qui impliquecette ncessté de ouloir est exatementcele quocupe ietsche selon Lth au sommet de la �odeité » n reon-naissant en lant ort de Di ilattend que de cette oloté négatrice res-susite le monde tel qul/ut a"ant de dee-nir lciba par rapport à l'audel Chs-tohe Colob de la hilosophie ietsche

sen la redécouerte de lInde Hel-nique par la route occidentale qua Vetele nihlisme dont a orme etrême enseignée par la doctne de léternel retourreprésnte un bouddhisme européen celu-ci ettnt tute léneie humine à nierque l'eistene ait un but ( Nmympôm c éfvori rno p conoon : upor êr rnc mor o p mof r rnr- q pc r rr pr

p opo v r pnc


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E T Z C H ELA VOLOTÉ D PSSA

dut par G B inquù 25 AS PALAT AATHOSTA

tradut par Maurce Betz 24 sou preeLa Volonté de Puissance Le Gay Savr

+·HIERR ALIE NTZSCH I 5 DE A HELLE SOCALSM FASCST

Chapre • Ntzsch cntre arx 5 E. F DAH 'FFONMNT D

NTZSH . Tradut de falmad parAndhré Vaant e J R Kuckenburg 5

CHAS AND

NIETZSCHE, SA VIE ET SA PENSÉEVo. es Péses e ezsche 3 5f.Vo. La Jenesse de ezsche (jusqu'à

la rpture avec Bayreuth) 4f.Vo Le Pessmse esthétqe e

iezsche ( sa philosophi à lépoque

wagnérnne 3 f.Vo. V La Mart de izshe ( uquàsa mrt ) 0f

Vo. V ietshe e e Tasfose -teee 3 f.

Vo. V La denièePhiosophe de etsce(le reouvelement d toutes les aleurs) 4f.


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PAU EUAD

LES YEUX FERTILESaec portrait et iustrations par Picasso f

ANDÉ BETON PAU ELUAD

TES SU LA PÉSIEavec un dessin de Dali 5 f

PEE COUTHON KUT SELMANN

MÉTIERS des 0 MMES textes 5 eaux-fotes 20 f

PEE JEAN JOUVE

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aec un dessin de Balthus 0

CAIERS . L. cahiers anthologiques paraissant tous es deux mos

es premiers caiers 50 f

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A C E H A L ERevue trimestiell, publée par Gogs Ambono

Gog Batalle et Pr Klwk.

NDN : hier 1 pags: 5f. Abonmt d' (64 g) Frace et Blque I Erge P I 7r y 2f Le rx e ae e e xare m vem ) é G L. M 6 RUE HUYGNS PAIS 4

Le pchan num a onaf'


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et reonn par nou? Se le deu lumme pe nos ddans ete voie elui u engndre le vant dot sgloutr das es profondeus orignelles deme des psances de ve. t lors' rent à la sace y a n éclat de ole dans ses yeux,

pace qe là en deus, a mo ate ave la e mystère orgnel lu-mme t fou le in d déchremente de l'nté déchrée A ce suet, nous n'avon pas eoind appeler au phloopes Lepéece de la vie et lesre de tous les peuples et de tos les emps témogentepériece d peuples parle où na le vvan la mortes prohe Et dans la mesue o l y a ve cela est vival'approhe de l mo gandt, ju'à l'nstant le pls haujusu'à la sorceie d deven nouvea, qand mort e vies euent dans une oe ole e ourbllon et le rsson dela e est proond parce 're-mor ssi souvnt ue la ves'engendre à noveau le mr sépare de la mort souvrepor n nsat onysos p. -) Ce n'ét pas seulemet labondance de ve a féondiéqui aisait du aureau l'ue des formes de Dionysos maisaus folie urese, son caractère dangerex . (Donysp 154) . Sa lasvité sovet menonée dot avor a du bouclun des ama donsiaus . Donysos, p. 5)

NIZCH IONYSS

Un deu ivre un dieu démen . Les ypots ve costites ramèent toe signaon a nvea de

moye n'ont ait e déourner e regard de cee représenaion Mais lhistre témoe de sa force et de sa vértéEe a onné ax Grecs un setime de l'ivresse si randet si ouvert que, des ms d'années après a ruine de leurcvilisaion n Hoderl, n ietzsche povaent eprmeeur deie et ler pls profonde pensée au nom de Dios Hegel représenai la connasace de la vérié laide d'ue mae donysaque, afrmant q'elle état c evertge e la bacchaale dans aee l n'est pas parcpa qi e i pas vre > (TT Donyss p. o) Voà mon unvers dinysi q se crée et se déruitéterneemen li-même ce mode mystérie des vopés

doues voà mon c a-delà du bien e du mal sans bu,à mos que le bner davoir accompli e cycle ne soi unbt sas volor à mons u'un anea n'at la bonne volonéde ourner éeelemet sur soi-même et rien que sr s,das sa propre orbe et unvers q est e mn qui doncest ae ude pr le vo sans soaiter de pedre a vueAssez for por eposer s âme à ce miroir Pour opposero prope mroir au miror de ionysos our prooser sapopre suio à l'énigme de Dionysos t celi qu e seracpae e deait-il pas aire r? Se acr au ccle des ycles >? Jer son propre rr? Accept le cycleo éternellemen l se bénia lumême, s'afrmera lui-même

Avec la voloné de vloir oes choses de nouveau De voirrever oues les coses qui ont éé e voulor aer à toce q dot jamais e? Savezvous à présent ce est lmond our moi? Et ce qe je veux, quand e veu cemond? N ooné de pusnce)


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• de a Fête de l'ne dans aahousa, i st diexpssément ue le merier de ieu nest pas selementupable de la mo de Dieu, aussi de sa résurrecon sune ome uvelle chez l dieux la ot n'st qu'unpéugé; ils ne font que se dépouiller, mas ils ne meuent paset l'on ne saurait amais prévoir combien de nouveaux dieuxseont encore psibles n eet : prè de deux ille ans sont écoués et un sul nouveau dieu ) pap, privéde Dieu pa la mot de ce dernier ent ador le nouvaudeu sou la forme trave d'un âe. Cet âne du fod de sags achée dionysiaque ne dit jas : Nein (on , mastouj I-A a Ou L'Hommleplulaid oe du vnà l'âe r ionysos t u dieu de gnerons; et tous lespersonag du arthoa rassemblt solnelementautour de lâne dvin e même le Voyageur et son mbre,le Pophte du Nihlisme tous homms supérieurs dudésespoir adoen l'e bést; car leur volonté supéeuedu nan se vot déivrée dns lne afrmateur et pavenue

à la orme suprême de l'êe se voulan lumême Zarathous-a, le plus pieux ds athé n deent luimême Zarathous-aDions au nom duu ietsche accompit 'utmesoation qui le ft pa du prncipe hérïque duJ V au prncipe


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dè o�s Ara�e : Je tn late Diony ia vté à où 1 obscur en tant quaptnant lmme à larité dévre a véité t la sumonte parc que e péiéiparadoales d la recerche de a vté s refrment ds ecere du vvat en un être qui alrs seument en Diny

est le vra? Toute cmpréhsin pour tute epérenceproprement dite de ce que Nethe ne dit plu s'rte ic(JASPES, Nietzce, Berlin, 19 p. 012) Quque mbrabes qu'ent été es trait qu'i est -sble de pcvr dans ce mythe, our Nietce i ne sats de mprnde ce myt, n s'at que du c con-ent d'un symbole q paraî ue pour sa prpre plohe. est uquoi Dionyos t ququ co d'essnel-ement aute q le myhe anque quelque ce qui au fnddevent sans jas prndre fomeJioysos est tout d'abord le mbe de l « en laquee estce fê ppre tnsguration « Losque euri-

rent e crp t 'me ecqu naquit ce symble chargé dmytères . Ic st donnée la cmmune meure en regd dequ tut ce qu a pussé deps, fut estimé trp cut ppaure, trp étrit : que n rnnce seuemen 1 mtDnys dvant es meilers et es meileur chssmod devant Gte pr empl, ou devant Bevenou devant Sakre, u deant Rapaë et tut à upnou stons que n meeue cho et no mers tnts ont jé, Dionyo e un juge (6, 38)Dioys est en oue l cnaie du Chris il st la ve ta-gque pposée vie aux ieds de la ix :

'

c Dinys cnl ué >l. Ce contraire n'est Pas : une diérence qnt

au martre ais le ns en t diérent prème quise pse est celUI du sen de la oufrance : u le sns chréienu e sens traique Dans le premier elle era la ve d'u�Hre sanctié; dans le second cas e compte ass de sn-teté p juster une e edouble de urans Lhmmeagque appruve encore la srnce a pl âpr i etae frt plein, diniteur ur cla chrén ne le ltle pl heureux sur tere. L Deu en rix est a malédict su la v, le con de s'en déliver; - Dionys msn morceaux est un juraon de la vie : el renat étel-lement et sn evienda éteelement de a destructn (1,391) .

Devant la ure évanesente de ce Diu a cnceptin ind-tmine de Nietzh sacève cmme précédemment ssée - par ne Tédicée, c'estdir par une appr-tn asolue du mnde mais pur a même raisn pouraquelle on avait désappuvée nauère 16, 37epndant Donyos ne saait jamais êtr un Diu auqu nadrese des pères, auquel n nacre n cute I t en nde compte, l « Diu q ppe (14, 31) l a toute pacurt du nouveau plspe que Nietsce ot vniru qu' ent te lmme être le dieutenatur etle and équivoque l. Nietse a nscence de l'énenuveaut dun pael smble le simpl at que Dinys

est un piph, et que pr cnséquent es Dieux aus phi-spet, m parat un nuvué'autidenticaion de Nietzsche av ionyos ncre cachdans a phras : e suis le denier disipe t initié du dieuDinss ,, lacpit {auent lumême au début dea flie JASPES, Nietsce p 33o33)


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DI ON YSO PHIL O OPHESoyz tnqul: j su Die fa pri dsemet (/)

Netzse est un faoche égsateu sans ct Un crateu d egonq autour de lu ne ot peonneCette cante absence se fat poésedans le Zarathoust

Deu dspos A eu vat Mas euest o I faut donc ser à tte susson acante ne canddatue qsque de péaor étant rétale, a pus gandeeté possble soe à qu est assezpssant po a pende Quon demande aors des optes à e déonet l'on nobtendra en réponse que ee e pus heueu

e pouvor xste abtae C est unegâce q est donné. Le poo et

a foe sac dont ne pet avod asons pusque es ao! sonapès ele, non aant Audessous,non audessus Coe a echerchede a poe aentare o sexuele, aode


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a e privilge diustrer, 1humaié laant i, sau exceptios pou unedue ilit et jusqu à des empsmeieus, dégué ses pouvois

La religion dionysienne organisaionolecive et sacrée de la eherche de extase par léthisme et 1eeves-cene appara à ietzsche commeun éclar à traves la nit des temset sa popre nuit IJ e scute de seseux profonds le reet dans les textessacrs et les ivres savats

est ssibe, i a oujours été possi-be, de proposer une exicaio sysmatiqe de 'eistene huaie à ousses dg en fonction des états donisiaques de a pouste de pareis étatsde a vaable inégaié des hommesdevant eu de la communion dhom-mes en e


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(( Garçns de maasi de 1espt, voageurs de commece de a cuture >>,voià commen e savat professeurFriedich Nietzsche taite es iérateurs l méage moins ee ses saans oègues : is ticoten es basde esprit . es oucheton de la main,is fon involonairement de a oussire autour deux comme des sacs dearne mais qui se dourai que eurpoussière iet du grain et de a goiredorée des champs dé ce sont debons mouvemens de pedue ovu

uon ai soin de es remoter 10 eendan, Nietsche e hiosophequi se nouit de Niezsche e hioogue es c quon u imagier de puséoigné de tou obscuantisme : (( hommeobjecif qi e maudit n n'injuie

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plus comme le fai le pessimise, lesava idéa q repésente 'nstincscienique arvenu à sa peine oai-son est es un instrumen préiex ente tous mais i faut quii dans a mai de us puis-sant que lui 13 >> Ce plus pus-sant que ui » ces e séduceur, Dio-nysos hiosophos naur, mais sa-vane et phiosophae. ( I aut csser de cnfondre es traaieurs phi-osophiques et en généra es hommesde science avec es hiloshes > s

travaileurs phosophiques metent enformues des vales étabes es ( sé-dueurs on pour mission de ( sub-jugur Ze pass Ils son esèdhommes ( q veu risquer aoqe es autres ne veulent rien risquer >>,ce


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Les matrs senqus hassen nrposen les bêes preuse, !esvgéa nouï les mvleuses épis. Ils préparn même l fsn d 'immoral Mas u ansformer ce

fin en un sag de héros de dexil fau bn qu'l ai des hos edes du s « sédueus posèden uls l'nhousasm la oèndignaon le rre sar u du savoir fon e mareau onolase eouau viseeur l plus grandios orhesre

Nshna jamais ass d méprspour ou e qui es invida e

omm l d apès Tane essenimenOn sa quil enend par là e snmen refoulé nfmé ri modu âhé qu agr e enenim as l s un aur sns auourdhu psqu'oublié du mo rssenmn : è de lu qui ne peu pasapr qu ne sa pas se sgner

d la be d ra qu se abre Qur ne peu guère r vo déàogmps qe onre qu exe le suu n sara exsrsans l noble ssnmen a lre sa-

NOES. - 1) Nsche fou pat Anddans Matuté de Nietzhe.(2) del e Be et e M, I 42(3) Id I 44(4) Id., X 5(6 C Roge Calo Le my et t'en Reche Phspque, 93 Je assee dehs la cen orene d my-h (Intdut à éoie de ·fen u a vee)) Geneèe Bans Fat pedt q-tre èe, e eme d Béve égende de d Ju

ré prop au éaions zsh lsai e e d « presqu ou gée onnaî omme un phas de son déeoppmen 'extec ati ar, seni·men de han de vgeane one

ou e ue s déjà Cana la orme pesan de ou Césa (15)Exisen calinare qu es mme lapérode doccuaon ds éos myhues avan que les annés d'épruves ne ommenen

Vm saiell ezsh réaeur de Donos phosophs annonae dun noblesse de mirace enproie au mh nouri de sa popre ie u appara déasée e idéeLorsqu 'un Baudlar ou un Nishseondr un ass ommune mésaenure prnd aors ure exemplairede hâimn divn e 'magnaonhumain ain au vf sog algendes où elui qu voi des hossdéfndus es hangé en perre ou

frappé par la oude Ele peu ongeraussi qu le hâmen u rrmdiabemen ardf e qu vendron lesêes de la résuon

Jus oR.

7) A at Zartta Mee Fne apendce p 48.8 V de ue, Mre de

,II Id II p 2780 Ls e dès ons son x&·s d Zaahout) Œue otu, Mc e r p 1) Ga d Me, II 3(3) delà e e et e Ma, (4 Ns uos mp ttos1) Cue de de, VI, 4.


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C H ·R 0 1 Q U E ( 1 )

s mêm qe ça a hma o e éabm d hs-as

'OGÉE DE CIONET CE

POGE 'NE CIVILIATNEST UN CISE QUI DAGRGE'EXISTENCE SOCAE.

Chaque fos 'u vse veent decitn ' dvep Ep

1&

BEJ Co

dans e mnde gcrin, en Ch dans 'Odt s valers qi avaenassemb es hes à l'arre de cauefementan es pnne ate slex es nms et les o

Georges Bataille Acephale n1 a 5 19361939 Religion Sociologie Philosophie 1

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