Gazette N 1

La Gazette du cousinage de la famille LAJEUNESSE-POTIN et LOISEAU-PROISY n° 1 page 1

Déclarée et régie par les dispositions de la loi du 1er

juillet 1901 Association n° 0273009999 du 2 novembre 2004

J.0. 20040049 du 4 décembre 2004

La Gazette du cousinage N° 1 de décembre 2004 ISSN : 1777-1633

Semestriel édité par les membres du bureau et bénévoles de l’Association

Siège de l’Association : domicile de Claude LAJEUNESSE

Résidence des Petits prés Apt. 114 B 1, rue de la Barre 02400 CHÂTEAU-THIERRY Tél. portable : 06 80 57 81 29

Blog Association : http://claudelajeunesse.canalblog.com/ E-Mail : [email protected]

Claude est adhérent du Cercle Généalogique de l’Aisne - n° 1392

SOMMAIRE

- Editorial de Claude

- Retour en arrière, l’empreinte

de Jean

- L’Association, quoi ? et qui ?

- Des relais dans chaque

famille, appel à candidatures

- Les couples de l’année

- De bonnes nouvelles

- Bienvenue à notre cousine

Claude GAUTREAU

- James LEBON, création PME

- Les 75 ans de Marthe

- Gisèle et Jean LOISEAU

fêtent leurs 63 ans de mariage

- Une nouvelle installation pour

Jeanine LOISEAU

- Joris BOCQUET au KOSOVO et

en COTE D’IVOIRE - Ancrages familiaux au

Boujon-Buironfosse, le

mariage religieux de Béatrice

et de Loïc PERNET, le

baptême de Typhaine

- La disparition de René LAJEUNESSE

- Adrienne MASCART – MARA

nous quitte

- Souvenons-nous d’Yvette

- André PACCOU de LERZY en

1996

- La mort du patronyme

- Poésie

- Informations diverses.

EDITORIAL

Tiens … une Association de généalogie …

Puis … une gazette familiale ! …

Mais … pour quoi faire ?

Alors que l’on mondialise, nous prenons soudain

conscience que les grandes mutations technologiques

ont entraîné dans nos provinces, des appauvrissement

ici, des enrichissement là-bas, et par voie de conséquence l’éloignement de

beaucoup de cousines et de cousins, d’où l’éclatement du noyau familial.

Les jeunes parents ont-ils en mémoire « le bonheur » d’un entourage grand-

père et grand-mère, tantes et oncles, tout un monde dans nos villages d’antan,

d’apparence rude et cependant d’une extrême douceur où, petits, nous aimions

nous réfugier et manger la tarte à la rhubarbe.

Nos enfants et petits-enfants auront-ils la « chance » de se souvenir de leurs

racines, ces liens qui donnent des bases fortes, qui forgent, qui trempent !

Il nous appartient à nous, générations quadra et quinquagénaires, avec l’aide de

nos aînés qui le voudront bien, d’apporter à nos jeunes la connaissance de la

généalogie et de la sociologie familiale et notamment celle du sens du travail,

de la témérité, de l’engagement, de l’honneur et de l’humilité, toutes ces vertus

qui se perpétuent depuis des siècles au sein de nos admirables familles.

Fort de cette conviction, comment ne pas aller à votre rencontre, jusque chez

vous et vous faire partager, découvrir, redécouvrir, une famille immensément

agrandie, dispersée, mais Ô combien sympathique et vivifiante !

C’est ce que nous vous proposons au travers d’une dynamique d’échanges, et

par l’intermédiaire de ce modeste support.

Alors belle famille ! … pour votre plaisir, pour notre plaisir à tous et celui de

nos enfants, à vos écritures, informez-nous, donnez-nous des nouvelles de vos

proches, que nous les partagions. Nous comptons sur vous.

Affectueusement à vous tous.

Claude

http://blogs.aol.fr/claudlajeunesse/Genealogie%20LAJEUNESSE/

mailto:[email protected]


Retour en arrière, l’empreinte de Jean …

Qu’il était heureux mon père, ce géant au cœur énorme pour toute

sa famille, lorsqu’il m’aidait dans mes recherches de généalogie.

Nous avions ensemble élaboré des projets pour exposer les travaux

à la famille. Au mois de mars de l’année de son décès (1996) nous

avons passé une semaine complète sur ce sujet, en visitant ça et là

oncles et cousins de Buironfosse, de Lerzy, en passant par Sorbais.

Papa connaissait cet attachement à cette passion, et n’était pas

avare de raconter la vie d’autrefois, toute cette sociologie autour

des gens, des villages, des métiers. Il est parti trop tôt, beaucoup

trop tôt et c’est une perte cruelle aussi pour la mémoire qu’il était :

il avait encore tant de souvenirs à dire, tant d’explications sociologiques essentielles à fournir.

Il connaissait mon intention d’Association dans le but de donner du relief à la dynamique en cours et

m’encourageait en ce sens. En pensant à lui, notre plaisir à la réaliser en est grandi et notre intention

renforcée.

Dans les éditions futures de cette gazette, nous reviendrons sur cette tournée de mars 1996, sur nos visites, et

particulièrement chez ceux qui, hélas, depuis nous ont quittés. Nous gardons d’eux un réel beau souvenir et

de belles photos que nous publierons. Nous précisons à cette occasion que tous les documents publiés sont

numérisés et que nous pouvons les envoyer gratuitement par le Net et sur participation par la Poste. Il vous

suffit de nous le demander.

Claude

L’Association, quoi ? et qui ?

A la faveur de ma pré-retraite et de ma nouvelle

installation à Evreux, j’ai sorti ce projet d’association de

ses cartons. Sa mise à jour au niveau des membres

fondateurs et de ses statuts a été rapidement effectuée et

le dossier déposé en Préfecture de l’Eure à Evreux. C’est

là une logique liée au lieu d’habitation du principal fondateur et ceci ne gène en rien les travaux

principalement dirigés vers la Thiérache.

Les statuts sont disponibles pour tous ceux qui s’interrogent et souhaitent en connaître très précisément le

contenu et les intentions. Ces statuts seront toutefois systématiquement envoyés à tous ceux qui proposeront

leur adhésion. Cette adhésion, non obligatoire, leur permettra de recevoir toutes les informations concernant

les activités en cours et les différents numéros de cette gazette. Nous précisons que le montant de l’adhésion

comprend uniquement les frais de papier, d’encre et postaux. Le reste, c’est le plaisir que je me fais, je

prends donc en charge tous les frais afférents aux investissements informatiques et divers déplacements en

famille et en archives à Laon, à Soissons et à Paris.

Une précision importante pour tous : Le généalogiste, dans sa démarche et dans ses écrits, fait totalement

abstraction de la notion d’appréciation ou de jugement des situations ou des personnes. Son rôle et sa

motivation sont liés uniquement à l’histoire et à la sociologie des êtres, des familles et de leur

environnement.

Les membres fondateurs :

- Claude LAJEUNESSE, Directeur Adjoint, chef de service recouvrement et contentieux judiciaire en pré-retraite

- Marie-France BEHRA-MERCAY, Secrétaire cadre B de la Fonction Publique DDASS Evreux

- Thierry LAJEUNESSE, Bibliothécaire, fonctionnaire Ville de Paris

- Weihong LAJEUNESSE, Professeur en microbiologie

- Isabelle FOUCHARD née LAJEUNESSE, Secrétaire

- Olivier FOUCHARD, Chef d’entreprise, technicien en signalétique industrielle

- Anne VITRANT née LAJEUNESSE, de Cambes 47350

- Gilbert VITRANT, Major de Gendarmerie en retraite à Cambes 47350

- Daniel LAJEUNESSE, Gardien-chef de copropriété

Des relais dans chaque famille :

Dans une famille aussi importante, en souche LOISEAU comme en souche LAJEUNESSE, chacun

comprendra que l’information est difficile et que des relais sont nécessaires. Nous vous remercions donc de

bien vouloir devenir (occasionnellement ou en « permanent ») ces relais de l’information. Ceci nous

permettra une bonne information de la vie de la famille, ses unions, ses naissances, ses difficultés de santé, et

hélas, ses disparitions. Nous pourrons aussi mettre en évidence tous les bonheurs que nous procurent les


divers engagements des uns et des autres dans la vie politique, associative, sportive, artistique, les savoir-

faire particuliers et les participations diverses, nous permettant ainsi de prendre toute la mesure de la

connaissance et du dynamisme de ces acteurs mis en exergue.

Ecrivez-nous, nous conviendrons ensemble du contenu des publications.

Les couples de l’année 2004 :

Le 27 mars 2004 à la Mairie de GONESSE 95 puis en l’Eglise St THOMAS de SARCELLES :

Monsieur David GENART a épousé Mademoiselle Hediye DOMAN.

Fils de Thérèse GENART née LAJEUNESSE, et de Paul

GENART, de BUIRONFOSSE 02, David est le dernier

de cette génération de cousins, petit-fils de Man-Jeanne,

à prétendre au mariage.

Cette cérémonie et la fête qui s’en est suivie ont revêtu

un caractère très familial et bien dans la lignée des

LAJEUNESSE du Boujon.

L’annonce du mariage par un faire-part particulièrement

éloquent nous a toutes et tous émus. Le déroulement de

la cérémonie et des festivités, bien calé dans la suite

logique de l’annonce, a confirmé la belle union des deux

familles et leur exemplarité. Elles ont eu plaisir à se

connaître et à se reconnaître. Ceci a conforté

l’impression que nous avions déjà de cette jolie jeune

femme, douce et agréable à souhait, qui s’était présentée

à nous au bras de notre très cher cousin David.

Bienvenue chère Hediye et un grand merci de nous tous

pour toute ta tendresse et ton immense gentillesse. Un

coucou affectueux à l’exquise famille DOMAN qui fait

partie de la nôtre désormais.

Nous renouvelons aux jeunes mariés, tous nos vœux

d’immense bonheur et de prospérité.

Hediye et David GENART habitent, 2 Place Jean Jaurès à 95500 GONESSE

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Le 19 juin 2004 à la Mairie et l’Eglise de GARGES LES GONESSE Val d’Oise,

Monsieur Christophe LAJEUNESSE a épousé Mademoiselle Laetitia COULON

Christophe est le fils de Raymonde

MASCART et de Jean-Marie

LAJEUNESSE, petit-fils de Thérèse et

Jean LAJEUNESSE.

Les jeunes mariés sont ici entourés de la

grand-mère de la jeune mariée, à sa

gauche, mais aussi des deux grands-

mères de Christophe pour lesquelles il a

une tendresse toute particulière, Thérèse

LAJEUNESSE née LOISEAU (83 ans)

et immédiatement près de lui, Adrienne

MASCART (85 ans) .

Nous souhaitons aux jeunes mariés

beaucoup de bonheur.

Laetitia et Christophe habitent 5bis rue des Mûres 95470 FOSSES


Le 2 octobre 2004, Monsieur Thierry LAJEUNESSE a épousé madame Weihong ZHOU

Thierry LAJEUNESSE, fils de Claude,

a épousé à NANTERRE le 2 octobre

2004, Weihong ZHOU, Française

d’origine chinoise.

Tous deux habitent 23 rue Rouget de

l’Isle à 92000 NANTERRE

La cérémonie civile s’est poursuivie à

St VALERY EN CAUX où Jeanine, la

maman de Thierry avait organisé une

soirée gastronomique en musique au

restaurant du Casino.

Agé de 40 ans, Thierry précise avoir

pris tout son temps et fait le bon choix,

ce que confirme Claude qui ne tarit pas

d’éloges sur son admirable belle-fille,

particulièrement douce, tendre et

attentive.

Nous renouvelons tous nos vœux de bonheur aux jeunes mariés.

De bonnes nouvelles :

A quand la Star'Ac … ?

Yohann LECAT … une vedette en herbe … !

Dans le cadre d’une reconstitution de scène de vie en forêt pour les

besoins d’un livre sur les métiers du bois de Buironfosse, Yohann a été

choisi pour son aisance et son naturel heureux. Habillé chaudement

comme à l’époque hivernale des années 50, il tiendra le rôle d’un

garçon de son âge devant un feu de forêt à l’heure du repas et de la

traditionnelle soupe aux chapons, attendant que le Papy lui coupe une

large tranche de miche de pain.

Pour la circonstance, son bonheur sera complet, car le Papy pour la

photo sera aussi son vrai Papy Emile du Boujon.

….. Attention Yohann … on tourne !!

Changement d’adresse :

Jeannine et Daniel ORDON ont quitté l’Ile de France pour la province. Ils habitent maintenant à :

10, rue Marie-Noël 89430 TANLAY

Ils gouttent aux joies provinciales, à la pelouse devant la porte, au chant des oiseaux et surtout à la

sérénité d’un secteur plus paisible. Vive la retraite ! Nous leur souhaitons d’en profiter très

longtemps.

Du grand bonheur :

Nous apprenons que nos jeunes mariés de mars, Hediye et David GENART, sont en attente d’un

heureux évènement. Nous nous réjouissons de la pérennisation de la lignée GENART.

Hediye porte merveilleusement bien sa grossesse, elle a gardé cette belle et bonne humeur qui la

caractérise. Le futur papa heureux et très fier, s’impatiente un peu, ce qui est bien naturel !


Isabelle ( fille de Claude) et Olivier FOUCHARD vous annoncent la venue en avril prochain de leur

deuxième enfant.

Leur petite fille Coline âgée de 33 mois souhaite simplement un bébé. Papy Claude est plus précis,

c’est un petit-fils qu’il désire … pour jouer avec sa collection de « chars militaires » !!!

Bienvenue à une Cousine : Claude GAUTREAU - LAJEUNESSE

Une bien belle histoire !

Louisette et Albert LAJEUNESSE

coulent des journées paisibles

de retraités dans leur petite,

maison de Charleville

lorsqu’en deuxième semestre

2002, le téléphone sonne.

Louisette, l’appareil à l’oreille,

s’entend demander si elle est

bien la mère de Patrick ?

Naturellement elle répond

« Oui ! »

A l’autre bout du fil, un avocat

Angevin lui demande si elle

sait que Patrick avait été lié à

Evelyne et qu’ensemble ils

avaient eu une petite fille ?

Louisette sursaute … elle sait

en effet qu’il y a eu Evelyne

dans la vie de Patrick, que cet

Amour s’est éloigné, et qu’une

petite fille est née de cette liaison… elle accepte le

cœur battant l’échange avec cet homme posé. Celui-ci

l’informe qu’il est mandaté par cette petite fille âgée

maintenant de 16 ans, qui veut à tout prix retrouver ses

racines paternelles.

La gamine (comme dit Louisette ! … les termes de

Charleville, vous savez bien … !) chemin faisant, dans

ses recherches, a découvert la mort brutale et bien trop

tôt de son papa à Caen. Décidée, c’est donc en

direction de ses grands-parents paternels qu’elle

continue ses recherches. Chacun comprendra la parfaite

normalité de cette démarche : c’est existentiel, même

dans la vie d’un enfant.

Nous sommes quelques-uns à avoir entendu ce récit de

Louisette et d’Albert qui, les yeux pleins de larmes,

s’émerveillaient de ce bonheur qui leur arrivait.

Mis en relation par cet avocat,

Louisette et Albert ont eu

l’immense joie d’un premier

contact avec leur petite fille

Claude, puis peu de temps après

d’une visite de celle-ci avec

Evelyne sa maman.

En votre nom à tous, le

généalogiste que je suis, s’est mis

en contact par le Net avec Claude et

Evelyne, et j’ai eu la grande joie

d’aller les rencontrer à ANGERS

en mars 2003. Un accueil

particulièrement chaleureux.

Evelyne et Claude sont venues tout

spécialement à Charleville pendant

une semaine lors de l’opération

cardiaque de Louisette. Elles ont

passé toutes leurs journées à son

chevet, une attitude qui en dit long

sur les sentiments et l’attachement

de nos Angevines.

Claude a eu 18 ans le 5 mars dernier, elle étudie, à 17

ans elle avait eu son BAC, et se destine aujourd’hui au

journalisme.

Nous l’accueillons avec bonheur au sein de notre

famille et souhaitons sa visite sur les terres de ses

ancêtres que sont LERZY et BUIRONFOSSE – LE

BOUJON.

Elle sait que petite-fille de Louisette et d’Albert,

maintenant connue et reconnue, elle est la

bienvenue chez nous tous, tout comme Evelyne sa

tendre et dévouée maman que nous apprécions.

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Blanche et Michel LEBON – LOISEAU ont gardé

des liens étroits avec Buironfosse.

Leur fils James LEBON fait l’objet d’une annonce

sur les Infos municipales de la commune, dans le

n° 241 de novembre 2004 il est écrit : « Le Conseil Municipal décide de louer le bâtiment

communal 12 ter route nationale, à compter du 1er

janvier

2005, à Monsieur James LEBON pour une création

d’entreprise de : chauffage, sanitaire, peinture, rénovation

intérieure et extérieure, transport de marchandises de moins

de 3T5 »

Nous souhaitons à James toute la prospérité

attendue dans cette stratégie professionnelle

courageuse.


Les 75 ans de Marthe :

Née un 15 avril, pour fêter dignement ses 75 ans, Marthe avait choisi le samedi 22 mai et Marly

Gomont pour réunir ses frère et sœurs, et ses proches.

Une journée animée, où comme au bon

vieux temps, l’on a chanté en famille.

Thérèse, Jeanine et Simone se sont

particulièrement distinguées.

Après un déjeuner pantagruélique, les

hommes se sont abandonnés aux joies

d’une bonne partie de boules et le beau

sexe a profité du bon air frais et d’un

peu de soleil.

Ici la photo frère et sœurs du clan Lajeunesse.

De G. à D. Simone – Thérèse – Marthe –

Jacques – Fernande – Jeanine – Jacqueline.

Marthe est en admiration devant

sa pièce montée.

Les petits plats dans les grands, un dîner

copieux fut à nouveau servi.

Le lendemain Ô surprise, la balance bavarde

nous indiquait que nous n’avions pas perdu un

seul gramme … c’est fou ce que l’on peut

avoir faim en Thiérache … ! !

En conclusion une bien belle journée, un

grand merci et bravo à Marthe. ---------------------------------------------------

63 ans de mariage le 11 octobre

dernier pour

Gisèle et Jean LOISEAU

Nous sommes allés les visiter et les

photographier pour vous le 18 novembre à

leur domicile de LESCHELLE, sur la RN.

Ils avaient passé l’après midi à jouer aux

cartes au club de la commune. Comme à

l’accoutumée, Jean a fait rigoler toute la

compagnie !

Ce boute-en-train de 84 ans n’a pas fini de

nous étonner … et cette photo en dit long sur

les liens qui les unissent et puis … n’ont-ils

pas fière allure avec ce regard droit ? … c’est

tout un symbole et une belle démonstration

sur laquelle nous pouvons méditer.

A Gisèle et Jean nous souhaitons

naturellement bonne santé et encore et encore bien des joies et du plaisir.


Un changement d’adresse Oh ! combien salutaire …

Merci ! … Monsieur le Maire de Buironfosse …

Cet été, Madame Jeanine

LOISEAU a quitté le quartier des

Charmilles pour s’installer en

RdC gauche, au 7, rue de la

Mairie à Buironfosse.

Un tour de force que nous devons

à Monsieur Jean-Luc

GOULARD, Maire de

Buironfosse, au sens social

particulièrement éloquent.

Ce changement donne toute

satisfaction à Jeanine. En fauteuil

roulant depuis plus de 40 ans,

elle accède maintenant très

facilement à toutes les pièces, en

particulier à une salle de bains.

De plus, l’orientation plein soleil

de son appartement lui apporte la luminosité et les rayons solaires utiles à sa condition, ce qu’elle

n’avait pas aux Charmilles. Depuis sa nouvelle installation elle manifeste sa joie. A 75 ans c’est

une heureuse situation et une nouvelle vie. De ses fenêtres elle a une belle vue sur la place, c’est

tout de même plus agréable et elle en profite pleinement.

Quand nos enfants s’engagent pour défendre la République et la

représenter dans le monde :

Descendant de l’illustre famille BOCQUET du Boujon qui s’est engagée

politiquement dans chacune de ses générations, Joris BURY, fils de Gaby

BURY et de Maryse née BOCQUET, de Saint-Quentin, fait carrière dans

l’armée.

Après un long séjour de formation, nommé Sous-Officier d’Active lors de sa

sortie le 28 septembre 2OOO de l’école militaire de St MAIXENT (ENSOA),

et sa réussite aux examens, Joris a rejoint son corps d’armée. Gilbert

VITRANT était son parrain de promotion.

Ses états de service, malgré sa jeunesse, nous démontrent son engagement. Il

s’est en effet illustré sur les théâtres d’opération du KOSOVO et de COTE

D’IVOIRE.

Nous lui souhaitons une longue et brillante carrière.

Pour ceux qui se passionnent aussi pour la généalogie :

La 4ème

Biennale de Généalogie et d’histoire des Familles se déroulera les

10 – 11 – 12 décembre 2004 à l’Espace Champerret à PARIS ( Porte Champerret 17ème

)

Une exposition de plus de 100 exposants, des conférences passionnantes, des animations, des visites

guidées notamment celle des Archives Nationales.

Claude y sera pendant deux jours, les 10 et 11 …. Pour vous y rendre et recevoir le programme :

tél. : 01 49 09 68 68 E-mail : [email protected]

Pour recevoir uniquement cette gazette :

La demander directement à Claude, adresse en première page, en joignant 8 € en timbre poste. Un bulletin

d’adhésion à l’Association pour l’année 2005, accompagnera la deuxième gazette.



Buironfosse – le Boujon, les ancrages familiaux ! A quoi bon gesticuler à Paris ou ailleurs si nous ne savons pas dire à nos enfants de qui et de quoi

nous sommes réellement faits ?

Que nous le voulions ou non, la mémoire est inscrite dans nos gênes, et tôt ou tard nous la

décryptons.

Alors … bonheur … bonheur … à celles et ceux qui anticipent et communiquent à leurs petits ces

ancrages et leur démontrent l’attachement familial et régional.

Béatrice ORDON, fille de Jeanine

LAJEUNESSE et de Daniel ORDON, s’est

illustrée dans ce sens.

Finement taillée, mignonne à regarder,

parisienne jusqu’au bout des ongles, Assistante

de programmation à TF1, elle a souhaité son

mariage religieux au Boujon.

Béatrice et Loïc PERNET se sont mariés

civilement le 2 décembre 2000 à Meudon 92.

Quelques semaines après, leur première fille

Typhaine naissait ( le 21/12/2000 à 8h55) à la

clinique de Meudon la Forêt.

Typhaine en 07/2001

Le 15 juin 2002, après-midi, entourés de la grande famille,

les mariés civils se présentaient à l’église Saint Cyrille du

Boujon. En même temps, et comme pour donner plus

d’éclat à la fête, a eu lieu le baptême de Typhaine.

Ce regard, tourné vers la Thiérache Picarde, mérite un bravo de notre part, car nous sommes

sensibles à toute démonstration de l’attachement à nos racines.

Depuis, Emelyn est née à la clinique de Meudon la

Forêt, (le 01/09/2003 à 16h55).

Emelyn en 05/2004

Le 01/11/2003, Béatrice et Loïc ont quitté Meudon

pour s’installer à Plaisir 78370, au 362 rue Jacques

Tati.

Nous leur adressons tous nos vœux de plénitude.


Nos malheurs, nos disparus :

Tiot René comme le disait avec tant de tendresse Man-Jeanne, nous a quitté des suites d’une

longue maladie le 10 mars 2004.

Cette photo numérique a été prise le 13 janvier

2004 à son domicile. C’était un jour où il était

un peu mieux qu’à l’habitude, car épuisé et en

grand danger depuis des mois.

Lui, l’humble serviteur de Dieu et de ses

apôtres, a jusqu’au bout de ses forces assisté et

participé activement à la messe. Lors des

enterrements, il a en maintes occasions

accompagné le défunt et les familles au

cimetière, pour la cérémonie d’adieu devant le

tombeau.

Cet homme chaleureux nous laisse un bien

souvenir ému, nos pensées et nos prières vont

vers lui.

Qu’il repose en paix !

Nous embrassons Tante Paulette et l’assurons de

toute notre affection.

Nous avons une pensée émue pour nos cousines

et cousins qui nous le savons étaient attachés à

leur père.

+ + + + + + Adrienne MASCART née MARA s’est éteinte le 11 août dernier dans sa 85

ème année.

Beaucoup d’entre-nous de la famille LOISEAU et LAJEUNESSE la connaissent bien. En effet, Adrienne et

Jean MASCART, originaires de Marly Gomont, étaient ces quincailliers de talent installés au beau milieu de

la rue principale de Wignehies. Beaux-parents de Jean-Marie, fils aîné de feu Jean LAJEUNESSE, parents

de Raymonde, ils ont partagé très souvent nos fêtes familiales, dans lesquelles Adrienne, le gaufrier en main,

manifestait inlassablement sa joie et sa bonne humeur. Boute-en-train renommé dans tous les clubs 3ème

âge

du canton, elle s’était illustrée lors des 80 ans de Thérèse avec son récit que tout le monde s’arrache

aujourd’hui encore « C’est pas marrant d’avoir 80 ans ».

C’est cette image-là que nous gardons d’elle précieusement. Mais il y en a tant d’autres aussi, dans nos

souvenirs, toujours heureux en la compagnie d’Adrienne et Jean.

Nous présentons à toute la famille l’expression de nos sentiments attristés et nos plus sincères condoléances,

en particulier à Christophe qui s’est marié le 19 juin entouré de ses deux grands-mères, c’était son vœu le

plus cher.

+ + + + + +

Souvenons-nous :

Voici trois ans déjà en cette fin décembre, qu’Yvette CARLIER

- LAJEUNESSE nous a quitté.

Après une longue et terrible maladie Yvette est partie sans

jamais se plaindre en aucune façon. Malgré la dureté de sa vie

s’est-elle un jour plainte d’ailleurs ? Remarquable dans son

amour et sa tendresse pour « mes tiots ! » comme elle disait à la

manière de Man-Jeanne, elle a été toute sa vie ce bel exemple

maternel qui lui vaut une reconnaissance sans faille de tous ses

enfants et petits-enfants.

Nous aurons en cette fin d’année, une pensée émue pour elle.


Etude de généalogie chez André PACCOU à LERZY le 25 mars 1996 : Nous l’avons annoncé en préambule, nous reviendrons sur cette période où Jean

accompagnait Claude et où les rencontres étaient particulièrement riches et attachantes.

En cet après-midi du 25 mars 1996 nous visitons Antoinette et André et voici ce que nous

écrivions alors :

« Un accueil chaleureux ce 25 mars 1996 à Lerzy chez André, un ton calme, agréable et empathique, qui reconnaît l’autre et le considère. Pas étonnant que son image reste gravée dans notre mémoire depuis que nous sommes gamins, il a toujours été cette nature simple et admirable. André n’est pas en excellente santé, ses opérations aux bras le font encore beaucoup souffrir. Il fait face comme toujours avec le courage qui le caractérise. Nous avons eu plaisir à l’écouter nous parler de tante Angèle, sa mère née POTIN, de Joseph PACOU son père et de toute la descendance. Quelle mémoire chez André. Qui mieux qu’André pouvait se rappeler et nous conter que « Pagène » Eugène POTIN, le père de Man-Jeanne, né le 1er mars 1864, marié à Georgina CARPENTIER, était parti de Sorbais pour le tirage au sort de la conscription. Marié et père de famille le voilà qui tire un mauvais numéro. Il partira pour le TONKIN et pour 7 ans. Heureusement, chargé de famille il sera rapatrié plus tôt, au bout de deux ans et échappera au typhus qui décimait tout le régiment, grâce à sa consommation de rhum. C’était sa version forte et immuable ! Pendant tout le reste de sa vie il s’immunisera chaque jour en consommant certes modérément mais sûrement sa petite dose de rhum !! Savez-vous qu’André fut Conseiller municipal pendant 45 ans, de 1944 à 1989. Il a été 3 fois médaillé par la municipalité. Il a participé aux commissions scolaires, fêtes et aides sociales. Voilà un engagement qui mérite « un coup de chapeau » familial, bravo André pour cet exemple. Depuis 22 ans, Antoinette, compagne d’André, veille sur lui. Merci à toi chère Cousine de prendre autant soin de lui. Pendant cette visite, 4 pages de prise de notes et quelques photos, de quoi satisfaire notre étude » .

Photo CL du 25/03/1996.

Hélas, Antoinette et André ne sont plus de ce monde, mais nous gardons d’eux de bien belles

images de cousins exemplaires en tout point.


DOSSIER « NotreFamille.com » :

LA MORT DU PATRONYME

Au premier janvier 2005, une loi entre en vigueur qui remet en cause des siècles de tradition

du patronyme.

Une tradition millénaire « La femme donne la vie, l’homme donne son nom » et ce principe trouve sa source dans une tradition féodale liée à

la transmission des biens aux générations suivantes par le mâle ou le patriarche.

Jusqu’à présent en France, le droit accordait et accorde encore une priorité au patronyme (pater = père). Dans le cas

d’une filiation légitime (dans le mariage), l’enfant né de parents mariés reçoit systématiquement le nom du père.

Dans le cas d’une filiation naturelle (hors mariage), l’enfant reçoit et prend le nom de celui qui le reconnaît, avec

une priorité donnée au nom du père si les deux parents reconnaissent l’enfant.

Nom d’usage et état civil Depuis 1985, la loi donne la possibilité à toute personne d’accoler à son nom celui de son parents qui ne lui avait pas

transmis le sien Les enfants qu’ils soient légitimes ou naturels peuvent accoler le nom de leur mère à celui de leur père

ou inversement. Mais dans tous les cas il ne s’agit que d’un simple usage qui ne modifie en rien l’état civil. Ce nom

d’usage ne peut donc pas être transmis aux héritiers.

Un accouchement difficile La loi remonte à l’ère Jospin. Le député PS Gérard Gouze avait fait voter à l’Assemblée Nationale en février 2002, en

fin de législature, une proposition de loi à peine relue par le ministre de la famille d’alors, Ségolène Royal, qui n’avait

pas caché ses réticences. Le ministre suivant, Christian Jacob, ne poussa pas les choses et la loi allait rester trois ans

dans les cartons. On peut comprendre son embarras face à une loi, d’une telle portée symbolique, qui met à mal la

toute-puissance du nom patronymique, sans compter sa mise en œuvre !

En mai 2003, les députés votent le report de l’application de la loi sur le patronyme à janvier 2005. La seule chose

acquise entre temps fut la loi du 4 mars 2002 relative au nom de famille. Cette nouvelle loi remplace le mot

« patronyme » par les mots : « nom de famille » dans les textes de loi concernés.

La nouvelle loi Parents, préparez-vous à débattre ! A partir du 1

er janvier prochain, les enfants nouveau-nés pourront porter comme

« nom de famille », au choix, le nom de la mère, celui du père, ou les deux accolés, dans un sens ou dans l’autre.

Les parents devront trancher ce dilemme à la naissance de leur aîné, et ils traceront ainsi la voie pour l’ensemble de la

fratrie : le choix de ce nom sera irrévocable et il concernera tous les enfants à venir nés du même père et de la même

mère.

Mais tout n’est pas simple. Comment en effet juxtaposer deux noms, tout en leur gardant une certaine autonomie pour

qu’aux générations suivantes on puisse encore les distinguer ? Un simple trait d’union ne suffit pas. En mettre deux

alors ?

La chancellerie envisage d’utiliser un double trait d’union (--).

Exemple : Si M. Lajeunesse-Loiseau fonde une famille avec madame Behra, les enfants pourront s’appeler (notamment)

« Lajeunesse-Loiseau-Behra » . Ainsi, lorsque ces enfants eux-mêmes auront une descendance, on pourra choisir de

transmettre le nom (simple ou double) du père, celui de la mère, ou un mixte des noms des grands-parents paternels

ou maternels… même si la limite est fixée à deux noms accolés au maximum, cela laisse beaucoup de possibilités.

Société et tradition Les circulaires explicatives circulent dans l’administration, les formulaires ont été revus afin de pouvoir accueillir des

noms à rallonge, et les psychologues prévoient, si ce n’est une « remise en cause de la place du père », du moins

quelques débats familiaux houleux. D’un autre côté, ce n’est pas parce que la loi le permet que les parents useront de

ces nouvelles possibilités. Comme le montre l’exemple récent de l’Allemagne, la tradition est bien ancrée et les

comportements ne changeront pas du jour au lendemain.

Texte : Olivier Hergault ( sources : NotreFamille.com – Le Figaro 8/10/2004)

Nota de CL. : Des généalogistes pétitionnaires dont nous sommes, ont tenté en 2002 de faire

entendre leur désaccord sur cette remise en cause fondamentale de principes bien ancrés mais aussi

et surtout sur la reconnaissance du père dans la société, que constituait le don du nom dans la

filiation. Nous espérons maintenant que l’application de ces mesures ne causera pas de heurts et de

contentieux graves dans notre société à l’héritage gaulois vif et rude.


Poésie : ( publiée dans La Revue française de généalogie n° 99)

Généalogistes Que vont-ils donc chercher au sein de ces poussières, Parmi ces parchemins aux encres sans couleur ? Dans ces papiers froissés, ces actes séculaires, A peine réveillés de leur longue torpeur ? Ils veulent découvrir un nom, un patronyme, Plongeant au fond des temps qu’ils s’en vont explorer. Que d’ancêtres divers sous leurs plumes s’animent ! Tandis que chaque jour, d’un arbre desséché, Ils ressuscitent l’âme et sans cesse rappellent Des coins les plus obscurs quelque aïeul égaré. Patiemment, sûrement, mille feuilles nouvelles, Garnissent de rameaux plus verts leurs espérances, Et les échos d’antan leur ont livré Les secrets oubliés des vieilles souvenances. Gabriel Carteron de Civray.

Au sommaire de la prochaine Gazette du cousinage :

Toutes vos informations ….. dans « La parole est à vous. »

Un nouveau retour sur mars 1996 et un reportage de l’époque chez Emile et Gabrielle

LECAT – PROISY avec des photos.

Une photo de 1952, « Construction de la salle des fêtes du Boujon » des visages à découvrir

ou à redécouvrir, une précision des personnages présents et de la date que nous devons à

Raymond et Roger BOCQUET, Paul GENART, Jacques LAJEUNESSE et Marie-Louise

« dite Thérèse » LAJEUNESSE-LOISEAU.

Une photo que nous a prêtée le collectionneur bien connu de La Capelle, Monsieur Alain

MENET, que nous remercions vivement.

Une information sur nos écritures du moment et qui concernent Buironfosse.

Des nouvelles de la famille à partir de nos visites.

Information technique pour les éventuels échanges de documents de généalogie :

Claude travaille sur PC et il est équipé du logiciel spécialisé de généalogie HEREDIS PRO 8

de BSD CONCEPT, documentation et info au 04 67 20 40 40.

Nos lectures de références, nos abonnements : Généalogie Magazine, une revue mensuelle que vous pouvez trouver chez votre marchand

de journaux et qui est éditée par les Editions CHRISTIAN, 14 rue Littré 75006 Paris

La revue française de Généalogie, revue (6 n° par an) que vous pouvez trouver également

chez votre marchand de journaux et qui est éditée par RFG, 10 rue Victor-Hugo 55800

Revigny.

AXONA, le bulletin particulièrement riche du Cercle de Généalogie de l’Aisne, que vous ne

pouvez trouver qu’à l’adresse du Cercle, BP. 263 02406 CHÂTEAU-THIERRY

CEDEX, E-mail : [email protected] Site internet : WWW.cg.aisne.org Antenne de Vervins : Mme Andrée LAURENT, 6 rue de Longchamp 02120 Noyales


http://www.cg.aisne.org/


LA THIERACHE, Journal régional tous les jeudis chez votre marchand de journaux.

Abonnement annuel, 52 numéros pour 50 euros :

6 place du Général De GAULLE 02140 VERVINS tél. : 03 23 98 01 31

GENEANET : Un site riche, incontournable pour tout généalogiste, « www.généanet.org »

nous vous invitons à le découvrir … vous ne serez pas déçu.

TERASCIA.COM, le site de la Grande Thiérache. Une information régionale riche. Tous ces organismes, sont destinataires de cette gazette.

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Vive le Net : Bienvenue en famille à notre cousin Antoine MAURIN de SURESNES 92 .

Généanet informe Claude de tout mouvement de souche LAJEUNESSE. Ces derniers jours la

présence d’Antoine MAURIN nous est formulée avec indication de son arbre. Depuis des années

nous cherchons un lien entre les LAJEUNESSE de Thiérache et les LAJEUNESSE de Lorraine car

c’est en effet en Lorraine, à SANCY vers l’an 1500, que nous retrouvons la plus ancienne écriture

autour de ce patronyme. Information que nous devons à un LAJEUNESSE de Lyon.

Notre cousin Antoine MAURIN, nous apporte une information précise sur la lignée Lajeunesse

(Charles Nicolas né en 1744 à METZ) de Lorraine, venue se marier à La Fère 02, le 11 février

1776, avec Reine Louise MARTIN de VRAINE de LONGPRE.

Reine Louise est fille d’Etienne-Firmin MARTIN de VRAINE de LONGPRE, Duc, Pair de France

et seigneur de Landouzy en Thiérache.

Charles Nicolas LAJEUNESSE, Capitaine puis Colonel d’Artillerie devient LAJEUNESSE de

VARENNES. Il conviendra de rechercher le pourquoi de cette évolution mais cela justifie son

mariage. Nous ne sommes pas en lien direct descendant, mais certainement ascendant. Charles

Nicolas est le fils de Pierre François Romain LAJEUNESSE et de Marie LECOMTE. Fin 2005,

nous irons fouiller les archives et nous vous apporterons les réponses sur le lien entre les

LAJEUNESSE de Thiérache notamment de BUIRONFOSSE - LERZY, de l’Aisne en général, puis

de Lorraine.

Un grand merci à Antoine MAURIN.

Le saviez-vous ? Le patronyme LOISEAU au Canada est une référence. En effet, c’est un porteur

de ce nom qui a mis au point la technique employée aujourd’hui pour dynamiter et faire écrouler sur

sa base toute tour en démolition.

Joyeux Noël Et

Bonne Année !

Tous les membres de l’Association

vous présentent

leurs souhaits de

Joyeuse fête de Noël

et

leurs vœux les meilleurs pour 2005.

Que cette nouvelle année

vous apporte la santé, la paix,

toutes les joies et les bonheurs attendus.


Si vous ne connaissez pas l’air de cette chanson, passez dire un petit bonjour à Simone BOCQUET,

au Boujon, elle la chante magnifiquement.

PS : N’oubliez pas la magistrale fête de la Saint Nicolas à Buironfosse les 11 et 12

décembre, notre village renoue cette année avec cette belle tradition.

Dépôt légal du 8 septembre 2005, BNF Paris

Gazette N 1

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