FBE Plaquette saison 2011/2012

Avec sa 12e saison, La Ferme de Bel Ébat, théâtre de Guyancourt, est solidement ancrée dans les habitudes de nos concitoyens. Cela ne doit rien au hasard mais à la qualité du travail effectué par l'équipe réunie autour de son nouveau directeur, Yoann Lavabre.

Notre projet culturel souhaite promouvoir un territoire ouvert à la diversité culturelle, au soutien à la création artistique et aux esthétiques innovantes, à la reconnaissance des pratiques artistiques des habitants et des amateurs.La programmation 2011-2012 illustre parfaitement ses grands principes : de Oh Boy !, Molière 2010 du spectacle jeune public, à La Mouette de Tchekhov, en passant par Richard III de Shakespeare, elle allie qualité et pluralité pour toucher et sensibiliser le plus grand nombre.

La Ferme de Bel Ébat s'inscrit dans un réseau complet d'équipements publics à Guyancourt, mais aussi à l'échelle de Saint-Quentin-en-Yvelines.C'est donc une offre culturelle particulièrement riche qui s'ouvre à vous.Bonne saison à toutes et à tous !

François DelignéMaire de Guyancourt

Vice-président de la Communauté d'agglomérationde Saint-Quentin-en-Yvelines

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Les branches se déploient dans le ciel. Leurs rameaux ondoient au gré du vent. Elles montent parfois bien haut chercher de la lumière. Les feuilles absorbent le carbone et produisent de l'oxygène. Les racines s'enfoncent dans la terre. Leurs radicelles contournent les pierres. Elles descendent parfois bien loin puiser l'eau et les sels. Plus les racines sont profondes, moins l'arbre risque de tomber.

Programmation artistique et actions culturelles sont au théâtre ce que les branches et les racines sont à l’arbre, qui est aussi gros en dessous qu’au dessus de la terre. Comme l'arbre réalise la jonction entre la terre et le ciel, le théâtre est un trait d'union. Arbre et théâtre restituent chacun à leur terrain ce qu'ils y ont puisé après l’avoir enrichi.

Théâtre, conte, danse, musique, poésie, marionnette, cirque, etc. Toutes les branches du spectacle vivant sont naturellement représentées dans cette douzième saison de La Ferme de Bel Ébat. Mais si l'éclectisme est nécessaire, il n'est guère suffisant. Il n'a pas de valeur en soi. Sur le fond, le critère indispensable, c'est que les artistes aient quelque chose à nous dire, à nous offrir en partage. Leurs paroles doivent faire du théâtre un outil de compréhension du monde, un espace où les individus se construisent dans l'émergence du collectif et où l'intelligence se développe à travers le plaisir. Un levier démocratique, parfois un refuge pour la résistance. Un repaire et un repère.

Yoann LavabreDirecteur

En couverture : les objets du théâtre :iris de projecteur à découpe. Cet objet sert à limiter les parties externes du faisceau lumineux.

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– –samedi 8 octobre à 19h (poésie – MUsiQUe) LA NUiT De LA poésie p.5jeudi 13 octobre à 20h30 (poésie – DébAT – MUsiQUe) CAbAReT poéLiTiQUe # 16 p.7samedi 15 octobre à 20h30 et dimanche 16 octobre à 16h (ThéâTRe) LA MoUeTTe p.9samedi 22 octobre à 18h (ThéâTRe De MARioNNeTTes dès 10 ans) Le MeUNieR hURLANT p.11

– –vendredi 4 novembre à 20h30 (ThéâTRe) AUTopoRTRAiT AUToFiCTioN AUToFiLMAGe p.13vendredi 11 novembre à 18h (CiRQUe dès 8 ans) Le pARCoURs DU CoMbATTANT p.15vendredi 18 novembre à 20h30 (DANse hip-hop) LA GéoGRAphie DU DANGeR p.17mercredi 23 novembre à 15h, samedi 26 novembre à 18h (ThéâTRe dès 8 ans) p'TiTe MèRe p.19mardi 29 novembre à 20h30 (ThéâTRe) RiChARD iii p.21

– –samedi 3 décembre à 16h (ThéâTRe dès 4 ans) L'œUF eT LA poULe p.23mercredi 7 décembre à 14h, samedi 10 décembre à 18h (ThéâTRe – MUsiQUe) ToMbé DANs L'piANo p.25samedi 10 décembre à 21h (ThéâTRe – ChANsoN) RosA LA RoUGe p.27vendredi 16 décembre à 20h30 (DANse) G CoMMe GRAviTé p.29

– –samedi 7 janvier à 18h (ThéâTRe dès 9 ans) ALiCe poUR Le MoMeNT p.31vendredi 13 janvier à 20h30 (MUsiQUe – poésie) Le CANTiQUe Des CANTiQUes... p.33mercredi 18 janvier à 9h30, 10h30, 14h et 15h (speCTACLe éLeCTRo-pop MARioNNeTTiQUe dès 4 ans) iCebeRG p.35vendredi 20 janvier à 19h30 (CoNFéReNCe – ThéâTRe) À LA ReCheRChe Des CANARDs peRDUs... p.37vendredi 27 janvier à 20h30 (ThéâTRe) MèRe CoURAGe eT ses eNFANTs p.39

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– –vendredi 3 février à 20h30 (ThéâTRe) AU-DehoRs p.41mardi 7 février à 20h30 (poésie – DébAT – MUsiQUe) CAbAReT poéLiTiQUe # 17 p.43jeudi 9 février à 19h30, vendredi 10 février à 20h30 (ThéâTRe) CeTTe Chose-LÀ p.45mardi 14 février à 19h30 (DANse de 3 à 10 ans) [email protected]êves p.47vendredi 17 février à 20h30 (DANse) soLAiRe p.49mercredi 29 février à 20h30 (CiRQUe dès 9 ans) bLUe p.51

– –jeudi 8 mars à 20h30 (ThéâTRe) Top GiRLs p.53mardi 13 mars à 20h30 (ThéâTRe dès 9 ans) oh boY ! p.55vendredi 16 mars à 20h30 (poésie – ChANT – RéCiT – FiLM) LA FLoTTiLLe p.56mardi 20 mars à 20h30 (ThéâTRe – poésie) DARwiCh, DeUx TexTes p.57mercredi 21 mars à 10h et 15h, samedi 24 mars à 11h (CoNTe – ThéâTRe D'objeTs dès 3 ans) À QUoi RêveNT... p.59vendredi 23 mars à 20h30 (ThéâTRe) CoMMeNT j’Ai AppRis À Ne pLUs M’eN FAiRe... p.61vendredi 30 mars à 20h30 (ThéâTRe) 1962 p.63

– –mercredi 4 avril à 20h30 (MUsiQUe – poésie) À L’oMbRe Des MoTs p.65mercredi 4 avril à 10h et 11h, samedi 7 avril à 11h (CoNTe – MUsiQUe dès 2 ans) boUiLLe... p.67samedi 7 avril à 16h (CoNTe – MUsiQUe dès 4 ans) ReFRAiN p.69samedi 7 avril à 19h (CoNTe) véTéRAN(s) & CoRpUs MATeR(s) p.71vendredi 13 avril à 20h30 (DANse) hUsAïs & soLsTiCe (ReMix) p.73jeudi 19 avril à 20h30, vendredi 20 avril à 20h30, samedi 21 avril à 18h (CiRQUe éQUesTRe dès 9 ans) L’AiLLeURs... p.75

– –samedi 5 mai à 20h30 (jAzz) DoDéCAsoNGs p.77vendredi 11 mai à 20h30 (ThéâTRe) ANTiGoNe p.79mardi 15 mai à 20h (poésie – MUsiQUe) CAbAReT poéLiTiQUe #18 p.81

– –vendredi 1er juin à 19h30 (LeCTURe pUbLiQUe) Le GRAND bRUiT p.83samedi 9 juin à 11h (ThéâTRe – MUsiQUe dès 3 ans) opéRA viNYLe p.84jeudi 14 et vendredi 15 juin à 20h30 (ThéâTRe) Le seiGNeUR Des MoUChes p.85

Retrouvez les dates des représentations scolaires au bas des pages propres à chaque spectacle.

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samedi 8 octobre à 19hentrée libre p o é s i e

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Timothée Laine porte en lui 145 poèmes des plus grands auteurs français et étrangers. Il suffit de lui demander celui que vous désirez et il vous l’interprète, comme ça, sur le champ.

jacques bertin, 45 ans de chansons, à la marge. Les gens se serrent dans une salle. Un projecteur et le silence. Cette géométrie génère comme une grâce, un état miraculeux qui fait qu'ils peuvent alors entendre des choses terriblement émouvantes, douloureuses parfois, et s'en trouver pourtant pacifiés, apaisés.

La comédienne Mireille perrier, accompagnée de la harpiste de jazz isabelle olivier, lira des extraits du recueil du 8e lauréat du Prix PoésYvelines, dont le nom sera dévoilé au cours de la soirée. Ce duo inédit deviendra trio quand la poète syrienne Maram al-Masri, lauréate du 1er Prix PoésYvelines des collégiens, ajoutera sa voix pour dire ses poèmes en arabe. Ces deux prix sont dotés par le Conseil général des Yvelines.

Prométhée, poème électrique interroge notre époque à travers le thème du progrès alors que jamais l’homme n’a autant confondu la connaissance et le pouvoir. Dans les pulsations d’une poésie électrique et mal élevée, la voix de François Chaffin se tresse dans les cordes de la guitare aux mille sonorités de benjamin Coursier, formant en elle un dit poétique et combustible, une pulsation verbale et mélodique…

La soirée s'achèvera par une scène ouverte, où chacun pourra bien lire ou dire ses propres poèmes ou ceux des autres, s'il préfère, accompagnée à la harpe par Isabelle Olivier.Dans le cadre de la 8e édition de poésYvelines – la semaine des poètes, organisée par la Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines, avec le soutien du Conseil général des Yvelines.

Un buffet dinatoire sera organisé par le lycée d'hôtellerie et de tourisme de saint-Quentin-en-Yvelines.

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jeudi 13 octobre à 20h30 à la Maison de l'environnementà Magny-les-Hameauxentrée libre

"La chimie est essentielle à notre compréhension du monde et du cosmos". C’est par ces termes que commence la résolution adoptée pour annoncer l’Année internationale de la Chimie. Remplacez "chimie" par "amour" et vous aurez compris pourquoi nous avons décidé d’organiser, pour la Fête de la science, un cabaret poélitique sur "la chimie de l’amour". Qu’est-ce qui gouvernent nos sentiments ? Notre tête ? Notre corps ? Nos hormones ? Et les mots d’amour ? Comment naissent-ils en nous pour l’autre ? Quelle est la part de la chimie dans tout cela ?

Marcel hibert, professeur et directeur du département de pharmacochimie de la communication cellulaire à la faculté de pharmacie de Strasbourg.

bruno Doucey, poète, ancien directeur des éditions Seghers, directeur des Éditions Bruno Doucey, auteur de La neuvaine d’amour, coédition L’Amandier (France) et Écrits des forges (Québec), 2010.

Denis Colin, jazzman reconnu pour son jeu unique à la clarinette basse, arpente les scènes du monde entier depuis la fin des années 80. Subject to change, Denis Colin et la Société des arpenteurs, Le Chant du monde – Harmonia Mundi, 2009.

Débat animé par Catherine pont-humbert, productrice à France Culture.

en partenariat avec la Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines et la Maison de l’environnement, des sciences et du développement durable de saint-Quentin-en-Yvelines, dans le cadre de la Fête de la science et de l’Année internationale de la chimie.

Apportez un plat à partager et nous vous servirons à boire !

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samedi 15 octobre à 20h30dimanche 16 octobre à 16htarif A

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Ces gens-là sont en vacances loin de Moscou dans la maison de campagne. Le décor est frugal et le discours explose entre des jeunes gens qui veulent l’absolu (de l’art, de la reconnaissance, de l’amour) et des vieux qui rient trop, qui boivent trop. La lucidité augmente avec l’alcool et le spectateur voit tout de l’en-dessous, de l’à-côté des êtres qui parlent vite pour ne pas se poser ; penser et pleurer. Treplev rapporte une mouette qu’il vient d’abattre. Trigorine, écrivain reconnu, imagine comment il pourrait en faire le sujet d’une nouvelle : “Une jeune fille passe toute sa vie sur le rivage d’un lac. Elle aime le lac, comme une mouette, et elle est heureuse et libre, comme une mouette. Mais un homme (…) la fait périr. Comme cette mouette”. Nina, la jeune voisine que Treplev vénère, sera cette mouette.Trente-deux ans après avoir mis en scène La Mouette à la sortie du Conservatoire national auprès d’Antoine Vitez, Christian Benedetti revient sur ce texte. “Aujourd’hui tout a changé, j’ai grandi, j’ai monté des spectacles, rencontré des gens, aimé, pleuré et ri beaucoup plus”. Et voici donc ce qui reste, des acteurs vibrants, droits et drôles qui vont à l’essentiel. La pulsation du vrai.

Et ils sont éblouissants de sincérité, les acteurs de Benedetti […] Il faut se précipiter voir La Mouette. — Télérama.

Texte Anton Tchekov. Traduction André Markowicz et Françoise Morvan. Mise en scène Christian Benedetti. Avec Brigitte Barilley, Marie-Laudes Emond, Florence Janas, Nina Renaux, Christian Benedetti, Christophe Caustier, Philippe Crubézy, Laurent Huon, Xavier Legrand, Jean Lescot. Assistant à la mise en scène Christophe Carotenuto. Lumière Dominique Fortin.

Coproduction Théâtre-Studio / Compagnie Christian Benedetti, Théâtre du Beauvaisis et Pôle Culturel d’Alfortville. Avec le soutien de l’ADAMI et de la Copie privée.

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samedi 22 octobre à 18htarif B

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Gunnar Huttunen, meunier de son état, s’installe dans un petit village de Finlande. Quand vient la nuit, il sort dans la fraîcheur du soir et hurle à la lune. Son attitude singulière provoque le rejet de sa nouvelle communauté. On le chasse. Il se retrouve dans la forêt, livré à sa liberté. Commence alors un parcours initiatique pour cet homme, qui tous les soirs rompt la pesanteur du silence finlandais.Martial Anton adapte le roman profond et subtil d' Arto Paasilinna ; il joue sur différents points de vue, mêle acteurs, vidéo et marionnettes manipulées à vue et fait percevoir aux spectateurs le risque que l’on prend à ne pas s’affranchir des modèles uniques de comportements.

Une petite merveille d’imagination, d’ingéniosité, de poésie et d’intelligence… Les trois acteurs de la compagnie Tro-héol développent une imagerie fabuleuse mêlant allégrement les genres : marionnettes, vidéo, théâtre… Le résultat est merveilleux de fraîcheur et de créativité. Impossible de ne pas partir sur les traces du meunier au si bel accent d’ailleurs. — La Montagne.

Texte Martial Anton d'après Le Meunier hurlant de Arto Paasilinna. Mise en scène Martial Anton. Avec Daniel Calvo-Funes, Christophe Derrien et Sara Fernández-Ahava. scénographie Martial Anton. Fabrication Michel Fagon. Création vidéo Martial Anton, avec le concours de Stéphane Philippe. Marionnettes et accessoires Alexandra-Shiva Melis et Daniel Calvo Funes, avec le concours de Sara Fernández-Ahava, Maurice Le Meec et Jérémie Couasnon. Musique D.E.F.Coproduction Cie Tro-héol, L’Arche-Béthoncourt, CCAS EDF, Grand Théâtre-Lorient. Avec le soutien de la DRAC Bretagne, du Conseil général du Finistère, du Conseil régional de Bretagne et de l’ADAMI. Avec l’aide de Très Tôt Théâtre-Quimper, Cultures France.

séances scolaires : vendredi 21 octobre à 9h45 et 14h.

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vendredi 4 novembre à 20h30tarif B

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Au début, il s‘agit d’une commande particulière faite à un type réputé particulièrement drôle. Créer son autoportrait scénique de façon comique. Mais l’acteur n’est plus si gai quand remontent les relents de l’introspection, des ambitions et des utopies anciennes. Il s’adjoint une jeune comédienne pour construire un spectacle qui n’arrête jamais d’être en train de se faire. Elle brise ses certitudes. Il traverse sa vie, donc l’art, le théâtre, l’identité, soi, les autres, et rend sa peau de chagrin subtilement universelle. Quel est l’intérêt d’aller voir l’autoportrait d’un type que personne ne connaît ? Peut-être parce que c'est en parlant de soi, qu'on parle le mieux des autres.

C’est un des clous du festival d’Avignon, un clou et un bijou, écrit, joué et mis en scène par Bruno Buffoli. (…) il raconte la déglingue de la quarantaine : c’est l’histoire d’un mec, “misérable petit tas de secrets”, au milieu des décombres de sa propre vie, sur fond de vidéo et de séquences sonore. Avant le prochain Buffoli dans dix ans, avec la crise de la cinquantaine. En attendant, on meurt de rire. — Le Point.

Texte, mise en scène, réalisation vidéo et scénographie Bruno Buffoli. Avec Bruno Buffoli, Tiphaine Raffier et Martin Hennart. Création lumière David Laurie. Cadre Quentin Jansenn. Montage, étalonnage et effets Antoine Morau. Création sonore BRK. Costumes Sophie Lecomte. Masques Anne Breton.

Coproduction BVZK / Anyone Else But You, le Centre Jean Effel à Carvin et l’Escapade à Hénin-Beaumont. Coréalisation Théâtre de la Verrière à Lille. soutiens Le Channel – Scène nationale de Calais, le Théâtre du Nord – Centre dramatique national de Lille Tourcoing Région du Nord-Pas-de-Calais, le Théâtre des Poissons à Frocourt, La Comédie de Picardie – scène conventionnée et Reebok France. Subventionné par le Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, le Conseil général du Pas-de-Calais, le Centre de ressources audiovisuelles du Nord-Pas-de-Calais.

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vendredi 11 novembre à 18htarif B C i R Q U e

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Peut-être parce qu’il est né par là-bas, dans l’Est, l’Alsace ou la Lorraine, là où, dans le temps, la guerre a frappé. Le circassien Jean-Charles Gaume se saisit de la figure du soldat de 14. Les sons d’un violoncelliste et d’un pianiste soutiennent cet homme suspendu au-dessus du trop plein. Sa silhouette hésitante se découpe sur un fond de vidéo mouvant, nimbé de bleu. Le soldat regarde en l’air pour ne pas tomber. Un Don Quichotte mal assuré, aux prises avec le déséquilibre et l’espoir illusoire que les champs de bataille puissent se consumer dans les fêtes foraines ; là où l’on découpe en morceaux des femmes pour de faux, alors qu’au loin il a sa guerre à faire. Au gré de missions absurdes, c’est la mythologie du héros, du masculin, du soldat, qui est débarrassée de ses oripeaux.

Auteur, fildefériste Jean-Charles Gaume. pianiste et musiques originales Alexandre Javaud. violoncelliste Marina Ribalkof / Pauline Warnier. Collaborations artistiques Véronique Caye, Marion Collé. Lumière Mélissandre Halbert. Collaboration lumière Sophie Merlin. vidéo Véronique Caye, Léa Cohen. Regard extérieur Vimala Pons.

Coproduction Compagnie Inhérence, Les Transversales, scène conventionnée cirque – Verdun, La Ferme de Bel Ébat, théâtre de Guyancourt. Avec le soutien de la DRAC Champagne-Ardenne, le Conseil régional de Franche-Comté, la Ville de Besançon, Émergences, le Conseil général de la Marne, l’Académie de Reims, le Défi jeune Franche-Comté, la Fondation de France, Bourse Déclic jeune, le CNAC.

Atelier d’initiation au fil pour les enfants, à partir de 9 ans, durant les vacances d’automne. voir p.93.

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vendredi 18 novembre à 20h30tarif B D A N s e

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Sûrement s’agissait-il au départ d’un homme venu chercher une vie meilleure dans un autre pays que le sien. Le chorégraphe Hamid Ben Mahi saisit le moment où ce pays ne l’accueille plus, ne le tolère plus, le refuse. On s’apprête à expulser celui qui est devenu un “problème”, un criminel. Les mots d’Hamid Skif racontent l’errance d’un sans-papier, sans issue, entre les quatre murs d’une chambre de bonne. Il attend un secours qui ne vient pas. Cet artiste danse un cri d’alarme sur les plus grandes scènes internationales. Il nous alerte par ce spectacle de rage et d’espoir mêlés.

Homme en colère, il se dresse contre la domestication du hip-hop et n’a de cesse de l’ouvrir à d’autres influences, tout en veillant à conserver le sens et l’urgence de sa danse. — Le Monde.

Chorégraphie et mise en scène Hamid Ben Mahi. Avec Hamid Ben Mahi. Assistant à la mise en scène Hassan Razak. environnement sonore Benjamin Jaussaud. scénographie Camille Duchemin. Création lumière Antoine Auger. Régie générale Pierre Martigne.Coproduction Compagnie Hors série, L’Office Artistique Régional d’Aquitaine (OARA), le Centre chorégraphique national de La Rochelle / Poitou-Charentes, Kader Attou / Cie Accrorap dans le cadre d’une résidence en partage, le TnBA – Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine, le Théâtre Louis Aragon – Scène conventionnée pour la danse à Tremblay-en-France. Avec l’aide à la diffusion d’Arcadi et le soutien de La Place des Arts de Montréal (Québec-Canada). L’ensemble de cette recherche est soutenu par la Caisse des Dépôts et Consignations. La compagnie Hors Série est subventionnée par la DRAC Aquitaine, la Région Aquitaine, le Conseil général de la Gironde et soutenue par la Ville de Floirac.

en partenariat avec le service jeunesse de la ville de Guyancourt, dans le cadre d'un projet partagé sur les cultures urbaines au sein de la Communauté d'agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines.

battle le samedi 12 novembre à 14h au pavillon waldeck Rousseau – Guyancourt.

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mercredi 23 novembre à 15hsamedi 26 novembre à 18htarif B

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Laëtitia est une petite fille de grande section de maternelle. Elle a un survêtement sous ses vêtements de ville. Elle dort toute habillée avec sa maman et son frère Kévin, pour se tenir bien chaud. Elle sait préparer le café avant que maman ne se réveille, faire les courses, s’occuper de son frère. Mais ce qu’elle ne sait pas faire, c’est sourire. Dans son parcours d’instituteur, Dominique Sampiero a rencontré Laëtitia. Il a eu "envie d’écrire son histoire et que cette Princesse aux courants d’air réchauffe son cœur un jour sur les étagères d’une bibliothèque entre Blanche-Neige et Alice au pays des merveilles". Un spectacle qui rend grâce à toute l’humanité d’une vie minuscule.

Les rencontres ne sont jamais fortuites. Celles de Sampiero et Lajara étaient évidentes – attendues ? Leurs talents conjugués ont donné un spectacle rare et précieux (…) De remarquables comédiens donnent force aux personnages et à l’histoire. — L’echo du Pas-de-Calais.

Texte Dominique Sampiero. Mise en scène Bruno Lajara. Avec Perrine Fovez et Sylvain Pottiez. son Christophe Demarthe. Costumes Dominique Louis. Lumière Jean-Louis Vandervliet. Coproduction compagnie Vies à vies, avec le soutien du Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais et du Conseil général du Pas-de-Calais, La Ferme de Bel Ébat, théâtre de Guyancourt, l'Espace culturel Ronny Coutteure – Ville de Grenay.

Dans le cadre des 10 ans de l’école des parents de Guyancourt.et en partenariat avec la Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines.

Débat avec l’auteur et Harry Ifergan, psychologue spécialiste du développement de l’enfant, à l’issue de la représentation du 26 novembre.Atelier d’écriture les 19 et 20 novembre. voir p.92.séances scolaires : mardi 22 novembre à 9h45 et 14h, jeudi 24 novembre à 9h45 et 14h,vendredi 25 novembre à 9h45 et 14h.

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Richard III devient roi et fait de son royaume un chaos. Ne cherchez pas l'humain, il n'y en a pas. Allégorie du mal, Richard III détruit tout sur son passage. C'est un homme contre-nature, qui apporte et incarne le désordre à travers un règne absolu dénué de toute compassion. Bafouant amitié, religion, amour, respect, nature, loyauté et conscience, il ne recule devant rien, jamais, pas même devant le fratricide et l'infanticide. David Gauchard réalise un spectacle tonitruant et radical, mêlant les riffs rock de la guitare électrique au flux d'un rappeur, les comédiens en chair et en os et les acteurs filmés aux images projetées. Richard III devient un personnage choral, doté de trois interprètes. Un choc.

Une adaptation de Richard III dérangeante, magnifique. La mise en scène est intense, elle ne laisse pas une seconde de répit. Elle valorise les comédiens dont le jeu s’avère subtil et vivant. — La Montagne.

Texte William Shakespeare. Traduction André Markowicz. Réalisation et mise en scène David Gauchard. Avec Vincent Mourlon, Hélène Lina Bosch, Emmanuelle Hiron et Nicolas Petisoff. Création musicale et guitariste Olivier Mellano. Rappeur Arm (Psykick Lyrikah). vidéo David Moreau. effets spéciaux Robert le Magnifique. Lumière Mika Cousin. son Klaus Löhmann. Costumes Josette Rocheron. scénographie Christophe Delaugeas. Construction Mégabo.

Coproduction L’unijambiste, Festival National de Bellac, Théâtre du Cloître – scène conventionnée de Bellac, Théâtre de l’Union – Centre dramatique national du Limousin, Théâtre de la Renaissance – Oullins – Grand Lyon, Théâtre du pays de Morlaix, Théâtre Jean Lurçat – Scène nationale d’Aubusson, Grand Logis – Bruz, Château Rouge – Annemasse, Centre culturel Jean-Pierre Fabrègue – St Yrieix la Perche. soutien Espace de l’Ecluse – La Souterraine.

mardi 29 novembre à 20h30tarif A T h é â T R e

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samedi 3 décembre à 16htarif B

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Antonin attend avec curiosité la naissance de son petit frère. La question tant redoutée, "Comment on fait les bébés ?" est clairement posée au père désemparé. Il s’évertue à répondre, par des images. Antonin prend tout au pied de la lettre et ils s’entrainent l’un l’autre dans une réalité de plus en plus farfelue. Sensible, tendre, sincère, le texte de Catherine Verlaguet s’adresse aux tout-petits qui attendent des réponses, aux plus grands qui se délectent de l’impuissance des parents à répondre à une "simple" question, et auxdits parents qui se retrouvent dans les maladresses et subterfuges de l’art délicat des métaphores.

Les trois comédiens jouent parfaitement ces moments du quotidien où la difficulté de dire rend complexes les relations familiales. — Télérama.

Texte Catherine Verlaguet. Mise en scène Bénédicte Guichardon. Avec Caroline Darchen, Dominique Langlais, Julie André. scénographie Céline Perrigon. Costumes Fabienne Desflêches. Film d’animation Flavie Darchen. Lumière François Poppe. son Renaud Armanet.

Coproduction Compagnie le Bel après Minuit, Théâtre Romain Rolland de Villejuif, Théâtre Paul Éluard de Choisy le Roi, Théâtre André Malraux de Chevilly-Larue, Espace culturel André Malraux du Kremlin Bicêtre, Théâtre de Cachan et Espace 1789 à Saint Ouen. Soutiens Théâtre Paul Eluard de Bezons, Théâtre Rive Gauche de Saint-Etienne-du-Rouvray, Fondation La Ferthé, Fondation Pomaret, Conseil général du Val de Marne, Association Beaumarchais-SACD, Adami, Le moulin Fondu. Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et des Théâtrales Charles Dullin.

Dans le cadre des 10 ans de l’école des parents de Guyancourt.

Atelier d’écriture pour parents et enfants à partir de 5 ans le samedi matin. voir p.92.

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mercredi 7 décembre à 14h à l’auditorium de l’École de musiquesamedi 10 décembre à 18h à La Ferme de Bel Ébattarif C

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C'est la rencontre burlesque entre un homme et un monolithe noir laqué : le piano droit Sauter R2 n°78612. Entre lutte et caresse, l'homme parviendra à en faire son compagnon de jeu, dévoilant au fur et à mesure la véritable intimité de cet instrument familier mais fascinant. Xavier Ferran joue ici avec son propre piano, celui de ses études. Il déconstruit l'instrument, en le débarrassant du superflu pour en magnifier l'essentiel. Il achève le piano décoratif des salons bourgeois pour faire apparaître l'instrument dans toute sa complexité et sa richesse sonore. Il le démonte littéralement, pièce par pièce, pour présenter le cadre aux 220 cordes tendues, comme une lyre antique, tandis que sur le parterre sont étalés les 88 touches et le mécanisme.

Le démontage intégral du piano est vraiment source d’émerveillement et produit des images qui resteront j’en suis sûre gravées longtemps dans la mémoire des enfants. Une belle découverte. — Anne Torrent, directrice artistique des Jeunesses Musicales de France.

Conception, réalisation et interprétation Xavier Ferran. Lumière Flore Dupont.production Compagnie Danse-Musique. Remerciements à Dominique Chevallier, Thomas Chopin, Vera Noltenius, David El-Kaïm, Michaël Kawiecki, Laurent Carrier, le studio de l’Ermitage, le studio du Regard du Cygne et le Centre d’Animation de la Place des Fêtes.

en partenariat avec la batterie – pôle musiques de Guyancourt.

séances scolaires : mardi 6 décembre à 9h45 et 14h à l’auditorium de l’ecole de musique,jeudi 8 décembre à 9h45 et 14h et vendredi 9 décembre à 9h45 et 14h à La Ferme de bel ébat.

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samedi 10 décembre 21h au Prismetarif SQY T h é â T R e

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Étonnante rencontre de ces deux artistes autour de la figure révolutionnaire de Rosa Luxembourg, pacifiste radicale, fougueuse combattante et amoureuse passionnée, qui passa des années en prison et fut assassinée à Berlin en 1919, Rosa la Rouge est une épopée musicale qui rompt les clivages entre musique, images et théâtre. Un portrait salutaire, optimiste, magnifié par une voix incandescente, une énergie rageuse et un formidable travail vidéo.

Un spectacle qui dynamise, une idée qui secoue la scène, une grande histoire d’amour et de résistance. — Mouvement.

Composition, guitare, voix Claire Diterzi. Conception, réalisation Martial di Fonzo Bo. images Patrick Volve. Dramaturgie Leslie Kaplan. Conception réalisation de la kalachguitare Michal Batory. Costumes ASKA. Avec l’aimable participation – en images – de Lambert Wilson, Alexandra Naudet et Cyrille Mussy. percussions et machines Etienne Bonhomme. Cor Baptiste Germser. hautbois Cédric Chatelain. vidéo Benoît Simon. Lumière Bruno Marsol. Régie générale Cédric Grouhan. son François Gouverneur. Régie lumière Stéphane Loirat. Régie vidéo Stéphane Bellenger. Régie plateau et retours son Arnaud Viala.

en partenariat avec le prisme à élancourt.

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vendredi 16 décembre à 20h30tarif C D A N s e

FAbRiCe LAMbeRT

Fabrice Lambert, danseur et chorégraphe, a construit un abécédaire constitué de 26 pièces chorégraphiques. Quand arrive la lettre G, c’est la Gravité qu’il explore. Dans la continuité de son travail sur l’influence réciproque du corps et de son environnement, il construit ici une expérience troublante pour le spectateur. Un corps est appuyé sur un plan d’eau, la direction de la lumière extrêmement précise sur celui-ci permet sa réverbération sur un écran blanc. Les infimes mouvements du corps et de l’eau s’accordent jusqu’à ne former qu’une seule et même unité. La rêverie gestuelle du chorégraphe provoque une sensation d’hypnose déroutante.

Une plongée virtuelle singulièrement réussie. — Le Monde.

Conception, dispositif, chorégraphie et interprétation Fabrice Lambert. Dispositif et lumière Guillaume Cousin.

production déléguée L’Expérience Harmaat. Coproduction Le Manège – Scène nationale de la Roche sur Yon, Le Manège – Scène nationale de Reims, Festival Uzès Danse. soutiens Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis et DRAC Ile-de-France, Ministère de la culture et de la communication.

La Ferme de bel ébat reçoit le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication pour la diffusion et l'accueil en résidence de la compagnie L'expérience harmaat.

Atelier de danse contemporaine les 10 et 11 décembre 2011 de 14h à 17h, voir p.93.

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C’est une vie qui se dessine. Alice a 30 ans et se souvient de l’adolescente qu’elle fut. Alice, à 13 ans, est bringuebalée par les choses de la vie, celles qu’ont vécues ses parents, réfugiés politiques ; celles qu’elle vit au présent, les amitiés interrompues parce qu’on bourre la Mercedes et on quitte la ville dès que papa trouve du travail. "N'habite plus à l'adresse indiquée, telle serait notre épitaphe sur notre tombeau de famille". Telle est la parole du père et le ton est donné. Nulle dénonciation tapageuse, pas d'effet de manche, pas de brûlot polémique… Rien ne s’appesantit, simplement la fugacité des sentiments et les tracas de la vie qui se parent d’humour et de poésie.

C'est une pièce où la tristesse ressemblerait à un éclat de rire, parce que la vie est la plus forte, et qu'il est nécessaire de raconter les petites histoires de tous les jours en les parant d'un regard tendre et en invitant la poésie au quotidien pour supporter la violence du monde. — Le Matricule des anges.

Texte Sylvain Levey. Mise en scène Anne Courel. Assistante de tournée Marijke Bedleem. Avec Claire Cathy, Charlotte Ligneau, Gilles Najean, Sébastien Valignat, Jeanne Vimal. Direction technique Jean-Pierre Naudet. scénographie Caroline Oriot, Anne Courel et Jean-Pierre Naudet. Lumière Hubert Arnaud. Création son Patrick Najean. Régie son Maurizio Priod. Costumes Cara Marsol. vidéo Pierre Grange.

Coproduction Compagnie Ariadne, ADAMI, Conseil général de l’Isère et Région Rhône-Alpes dans le cadre du Réseau des villes. Théâtre Nouvelle Génération – Centre dramatique national de Lyon, l’ABC à Dijon, la Maison des Arts Thonon-Evian et d’Aneth.

séances scolaires : vendredi 6 janvier à 9h45 et 14h.

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vendredi 13 janvier à 20h30tarif SQY M U s i Q U e

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En 2001, pour le mariage d’Alain Bashung et Chloé Mons, Rodolphe Burger met en musique Le Cantique des cantiques traduit par Olivier Cadiot. Puis Elias Sanbar, traducteur de Mahmoud Darwich, lui fait connaître S’envolent les colombes. Comme un contre point contemporain, un reflet du cantique charnel composé par le poète palestinien. Une promesse de fraternité, sur scène les langues se mêlent : Ruth Rosenthal dit le texte biblique dans sa langue originelle, en hébreu ; le slameur libanais Rayess Bek livre le texte de Darwich en arabe ; Rodolphe Burger crée le lien en français. Les mots et les instruments tissent un poème immémorial. "Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Éternité." écrivait Arthur Rimbaud.

Nous sommes envoutés. Le son est parfait. Tout est parfait d’ailleurs. La magie est au rendez-vous. — La Libre Belgique.

Textes Le Cantique des cantiques, La Bible, anonyme, (traduction d'Olivier Cadiot et Michel Berder – Bayard). S’envolent les colombes Mahmoud Darwich (traduction d'Elias Sanbar – Actes Sud). Composition, guitare et chant Rodolphe Burger. Chant Ruth Rosenthal et Rayess Bek. Clarinette et électronique Yves Dormoy. oud Mehdi Haddab. basse, clavier Julien Perraudeau. Lumière Jérémie Cusenier. son Philippe Dubich. Retours son Julien Hulard. backline Ludovic Millet. Régie Muriel Morvan.

Coproduction Compagnie Rodolphe Burger, Scène nationale de Sète et du bassin de Thau, Wart.

Ce spectacle est la première étape du parcours consacré au poète palestinien Mahmoud Darwich, organisé par La Ferme de bel ébat, théâtre de Guyancourt, La Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines et le Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale. voir p.43, 57, 65 et 79.

en partenariat avec la batterie – pôle musiques de Guyancourt.

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mercredi 18 janvier à 9h30, 10h30, 14h et 15htarif C

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Un tout jeune fennec polaire s’interroge un jour sur cette masse mystérieuse qu’il entrevoit sous ses pieds, l’immense iceberg. Cécile Fraysse invente un dispositif particulier de projection de marionnettes et de sons autour et au cœur du public ; elle invite à la contemplation. La légèreté d’un nuage, la subtilité d’un fil rouge nous guident dans cette rêverie née de l’étonnement innocent du petit fennec. La promenade initiatique ouvre sur le plaisir de grandir au rythme de ce que l’on perçoit du monde.

Cécile Fraysse, metteur en scène et plasticienne, offre aux tout-petits un voyage sensoriel et intérieur à partager, tout simplement. — Télérama.

L’univers très singulier de Cécile Fraysse est à la frontière de deux mondes, ni uniquement jeune public, ni exactement pour adultes. (…) Elle interroge des codes de relation possibles entre le théâtre et les arts plastiques, la scène et la vie, le tout-petit et l’adulte. — Ubu.

Mise en scène, scénographie, vidéo Cécile Fraysse. Comédienne manipulatrice Agnès Oudot. Musique, son Alexandre Levy. Lumière Olivier Foy.Coproduction Compagnie AMK et DRAC Ile-de-France. Résidences de création Ligue de L'enseignement de Paris et le Centre d'Animation des Amandiers (Paris 20e), La Métive – Moutier d'Ahun, La Ferme des Mousseaux – Élancourt, La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt, Le Scarabée – La Verrière, Le Prisme – Elancourt, La Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène nationale.

Avec le soutien au projet de la Communauté d'agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines.

séances scolaires : mardi 17 janvier à 9h30, 10h30, 14h et 15h,jeudi 19 janvier à 9h30, 10h30, 14h et 15h.

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vendredi 20 janvier à 19h30tarif B

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L’homme de théâtre est agrégé de géographie. Spécialiste des frontières, il crée un frottement entre le théâtre et ses questions de contemporain, comme : Quel est le monde que nous laissons à ceux que nous mettons au monde ? Il attire l’attention sur ces fameux détails qui ont toute leur importance. En 2008 la Nasa lance 90 canards jaunes dans un glacier du Groenland. Ils ne sont jamais revenus. Que sont donc les canards devenus ? Puis deuxième matière à intrigue, en 981 Erik le Rouge, chef viking, arrive sur une terre et la baptise "terre verte". Est-ce une facétie, ou devenons-nous le prendre au mot ? Se peut-il que le Groenland eût été une terre de miel ?

À sa manière, ironique et poétique, Frédéric Ferrer contribue à l'éclosion d'un genre d'art, plus réflexif que directement politique. Un peu à la manière des "jeux sérieux" qui se répandent sur internet, des œuvres en miroir du réel, qui mêlent raison et dérision. — Mediapart.

Conception et jeu Frédéric Ferrer.

Coproduction Compagnie Vertical Détour, Domaine d’O (Montpellier), La Chartreuse – CNES, Observatoire de l’Espace du Centre National d’Etudes spatiales, Conseil régional d’Ile-de-France, Conseil général de la Seine-Saint-Denis. Avec le soutien de l’Hôpital psychiatrique de Ville-Evrard.


Un buffet dinatoire nordique sera organisé par le lycée d'hôtellerie et de tourisme de saint-Quentin-en-Yvelines entre les deux conférences théâtrales.

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vendredi 27 janvier à 20h30tarif A

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Mère Courage s'est installée dans la guerre, elle court les champs de bataille pour récupérer et vendre tout ce qu’elle trouve. Elle fait du commerce pour être une bonne mère mais elle ne peut pas être une bonne mère en faisant du commerce. Brecht écrivait : "Étudiant Mère Courage d’un bout à l’autre, je vois avec quelque satisfaction la guerre apparaître comme un champ gigantesque, non sans ressemblance avec les champs de la physique nouvelle, dans lesquels les corps connaissent de curieuses déviations. Tous les modes de calcul de l’individu, tirés des expériences de la paix s’avèrent défaillants." Jean Boillot traite le théâtre épique, avec une vitalité brute propre à éclairer les crises de notre monde moderne.

Pour moi, le théâtre, c'est une fenêtre sur le monde, tel un miroir, qui nous permet de suivre une histoire, un voyage imaginaire, une expérience tant pour le public que pour les acteurs. On vit les choses ensemble. Et comme le dit un certain philosophe : se sentir ensemble dans la différence. Je compte développer le théâtre de Thionville comme un lieu où l'on fabrique des pièces de théâtre pour un public et non des publics. Faire découvrir le théâtre à tous. — Jean Boillot.

Texte Bertolt Brecht. Traduction Irène Bonnaud et Christophe Triau. Mise en scène Jean Boillot. Assistante Cécile Arthus. Dramaturgie Christophe Triau. Musique Paul Dessau / Jonathan Pontier. scénographie et costumes Laurence Villerot. Lumière Ivan Mathis. sonographie Sébastien Naves. Avec Isabelle Ronayette, distribution en cours.

production NEST – Centre dramatique national de Thionville-Lorraine.

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vendredi 3 février à 20h30tarif B

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Les dix minutes qui ont changé la vie d’un homme. Cet homme avait un travail, une place, un statut. Mais dix minutes de retard et le voici licencié, désœuvré, exclu. Alain Ubaldi pointe la fragilité du socle social sur lequel on tient, qui peut s’évanouir presque comme une réalité parallèle, mouvante, fantasque. L’ailleurs secourable est évacué, on entre dans le réel. Il crée autour du monologue intérieur un environnement de sons et de projections qui plongent le spectateur au centre d’un univers mental. Il n’envisage l’esthétique que comme politique et offre au spectateur une réflexion pour induire une nécessité d’action.

Coup de cœur France Culture du festival Avignon off 2010

Plongés dans la pénombre, estomaqués par le jeu de Stéphane Schoukroun, on reste bouche bée. Ce devrait être désagréable de se retrouver à l’intérieur du désespoir de ce mec. Pourquoi reste-t-on ? Parce que les phrases sont parfaitement sculptées, parfaitement scandées. Si tous les cadres au bout du rouleau pouvaient écrire comme Ubaldi, la vie serait un festival d’Avignon et on se ferait moins chier. — Charlie Hebdo.

Texte et mise en scène Alain Ubaldi. Comédien Stéphane Schoukroun. scénographie Wilfrid Roche. Lumières Thomas Falinower. bande son Lionel Garcin vidéo Jean-Pierre Lenoir. Décor David Hanse. Collaboration artistique Estelle Gapp. Regard chorégraphique Catherine Vernerie.production Compagnie Kapitalistic Interrelation Théâtre. Coproduction Compagnie les Balbucioles. Avec le soutien de la municipalité de Villes-sur-Auzon, le Conseil général de Vaucluse et le Conseil régional PACA ; le GECKO (groupement d’employeurs vauclusien de compagnies et d’artistes).

Représentation précédée à 19h30 de la restitution de l’atelier théâtral dirigé par Alain Ubaldi voir p.91.

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mardi 7 février à 20h30 à la Maison de la Poésiede Saint-Quentin-en-Yvelinesentrée libre

"Ouvrage de maçonnerie qui s’élève verticalement ou obliquement sur une certaine longueur et qui sert à enclore, à séparer des espaces ou à supporter une poussée", selon le Petit Robert. Vieux comme le monde, le mur a été remis au goût du jour cette dernière décennie. Du mur d’Hadrien au "grillage de séparation" de Cisjordanie, en passant par la muraille de Chine, le mur de Berlin et le mur-frontière entre les États-Unis et le Mexique, par définition, le mur sépare, isole, prétend protéger. Mais par esprit de contradiction et sens aigu de la liberté, l’artiste cherche à l’abattre. Pour ne plus se taper la tête contre les murs. Il le peint, le dessine, le détourne, l’écrit,…

L’invité(e) "politique" sera déterminé(e) plus tard dans la saison.

bluma Finkelstein. Née en Roumanie, elle vit en Israël. Professeur émérite de l’Université de Haifa et poète. Dernier titre paru : La petite fille au fond du jardin, éditions Diabase, 2010.

Mehdi haddab, oud électrique. Après s'être illustré aux côtés de Rodolphe Burger, Erik Marchand, Rachid Taha, Jacques Higelin ou Alain Bashung, après avoir cofondé Ekova et DuOud, Mehdi Haddad fonde en 2005 Speed Caravan, groupe mêlant rock, musique arabo-andalouse, Chaâbi et musique électronique, avec Pascal Teillet à la basse et Hermione Frank aux percussion électroniques.


projection d'extraits du film After the silence, réalisé par Steffi Bürger et Jule Ott (produit par Marcus Vetter.).

Cette soirée est la deuxième étape du parcours consacré au poète palestinien Mahmoud Darwich, organisé par La Ferme de bel ébat, théâtre de Guyancourt, La Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines et le Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale. voir p.33, 57, 65 et 79.


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jeudi 9 février à 19h30vendredi 10 février à 20h30tarif B

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Dinko, responsable d’un passage à niveau, entend un bruit bizarre dans son grenier. La nuit cette chose-là l’empêche de dormir et le jour de travailler. Mais quand il monte voir, il ne trouve rien ni personne. Les personnages rassemblés dans ce lieu vont s’attacher à inventer tous les moyens possibles et imaginables pour capturer la chose... Hristo Boytchev, auteur contemporain bulgare, signe une comédie effrénée qui nous propulse dans le domaine de la farce, dans un mélange chaotique d’absurde et de grotesque, de dérision et de tendresse.

(Les) comédiens, dont chaque rôle est taillé finement sur mesure, évoluent avec aisance et nous transmettent bien la texture de cette pièce. — Encres Vagabondes.

Interprété avec vigueur par des comédiens engagés, Cette chose-là mérite une carrière au-delà de la Maison d’Europe et d’Orient. — Édith Rappoport.

Texte Hristo Boytchev. Traduction Iana-Maria Dontcheva. Mise en scène Dominique Dolmieu. Avec Céline Barcq, Laurent Grappe, Franck Lacroix, Salomé Richez, Christophe Sigognault et Federico Uguccioni.

production Théâtre national de Syldavie – Maison d’Europe et d’Orient, avec l’aide à la création du Centre National du Théâtre et de la Ville de Paris. Le texte est publié aux éditions l’Espace d’un instant.

jeudi 9 février, spectacle précédé de lectures de poèmes dans le hall du théâtre dans le cadre des 10 ans de la Maison de la poésie.

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mardi 14 février à 19h30tarif B D A N s e

CoLLeCTiF CDANsC

Ils sont trois. Issus de trois parcours différents. Ils font l'habile démonstration du mélange des genres. La danse contemporaine, le hip-hop, l’acrobatie, la danse classique et le burlesque constituent le langage de ce trio subtil et drôle, qui s'adresse au jeune public avec énergie et créativité chorégraphique. À goûter la fraîcheur de leurs jeux, l'enfance n'est pas loin. "Au début il y avait moi, j’étais le rythme, la vie…" Une petite étoile commence par écrire cette phrase, puis le trait se dessine, la couleur envahit la toile, une animation vidéo projette le décor en fond de scène et entraîne les spectateurs dans l’imaginaire d’une petite fille, Lun@. Son lapin en peluche fait le moonwalk, des épouvantails prennent vie… Le rêve parfois menaçant se transforme, en quelques étincelles, et se fait magique et exaltant.

Création et interprétation Chloé Hernandez, Amala Dianor et Orin Camus. Lumière Sylvie Debare. Composition et montage musical Marc Baronian, SC-studio. Création vidéo Mikaël Arnal Costumes Madame J et Elisabeth Hernandez. Résidence Cours de danse LYDIA. Accueils studios Association Arabesque (Ville de Masseube), Pop Circus, CIRCUITS scène conventionnée Auch. Espace Créno.

production Collectif CdansC.

séances scolaires : lundi 13 février à 14h et mardi 14 février à 14h.

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vendredi 17 février à 20h30tarif A

FAbRiCe LAMbeRT

Fabrice Lambert parvient à rendre sensible ce qu’il perçoit de la lumière comme flux de particules qui dessinent et tracent les contours des corps. De sa collaboration avec le vidéaste Philippe Gladieux naît un dispositif qui transcrit en temps réel et en lumière le réseau de la mémoire. Au départ le plateau est dans une pénombre lointaine puis progressivement les cinq danseurs élargissent l’espace au gré de jets de lumière, dans un ensemble organique et vivant. Les danseurs offrent un engagement et une énergie physique. Ils ont l’air de jouir des dernières chaleurs du soleil… La lumière est le pigment de leur peau. Et chacun de percevoir une impression, une attitude appartenant à la mémoire longue de notre humanité.

Fabrice Lambert a mis au point une partition spécifique, qui croise les mouvements des danseurs et des lumières pour le plus stimulant des dialogues. — Télérama.

Conception et chorégraphie Fabrice Lambert. Assistante à la chorégraphie Hanna Hedman. Avec Madeleine Fournier, Clémence Galliard ou Hanna Hedman, Fabrice Lambert, Ivan Mathis, Stephen Thompson. Création lumière Philippe Gladieux. interprétation lumière Mehdi Toutain-Lopez. son Frédéric Laügt, avec la participation d’Alexandre Meyer. Costumes Alexandra Bertaut. Coproduction L'expérience Harmaat, Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, Le Manège de Reims – Scène nationale, La Scène nationale d’Orléans, Centre national de danse contemporaine Angers, Chateauvallon Centre national de création et de diffusion culturelles. soutiens et résidences Focus on art and science in the performing arts, dans le cadre du programme "Culture" – DG Education et culture, CCN de Franche-Comté à Belfort, Centre national de la danse – Pantin, Centre national de danse contemporaine Angers, Théâtre Le Vanves et le Conseil général des Hauts-de-Seine dans le cadre de l’accueil de la compagnie en résidence. Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France – Ministère de la culture et de la communication, de l’Adami et du DICRéAM.

La Ferme de bel ébat reçoit le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication pour la diffusion et l'accueil en résidence de la compagnie L'expérience harmaat.

Atelier de danse contemporaine les 10 et 11 décembre 2011 de 14h à 17h, voir p.93.

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mercredi 29 février à 20h30tarif B C i R Q U e

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La fildefériste Marion Collé a choisi le bleu pour habiller son monde du dedans de ciel, d’enfance et d’espérance. Le bleu profond déborde et se répand comme l’encre sur le monde du dehors. Elle écrit sur ce fil "dangereux", qui "fait mal, arrache la peau, écorche les tibias, râpe, scalpe, marque, entaille." Cependant, 12 mm de diamètre où elle se découvre, où elle exprime son furieux désir d’être là. Comment trouver l'équilibre entre le dedans et le dehors ? Si le fil est son chemin, sur sa route, elle nous demande avec poésie quel chemin est le nôtre.

Toujours en équilibre, cette fildefériste hors norme utilise des matières dures ou en tension comme le métal, le papier et même les cailloux. Des capteurs spécifiques ont été inventés et posés sur le fil pour enregistrer et retransmettre des sons très bruts. — L’Union.

Auteur et fildefériste Marion Collé. son Alexis Auffray. vidéo Véronique Caye. Lumière Sylvie Melis. scénographie Suzanne Sebö avec la collaboration artistique de Valérie Lamielle.

Coproduction Compagnie Marionka, La Comète à Chalon-en-Champagne, la Ville de Chalon-en-Champagne, le Conseil général de la Marne, Cirk’ Eole à Montigny-lès-Metz, le Centre national des arts du cirque, la Grange Dîmière à Fresnes, la Salamandre à Vitry-le-François, Défi Jeune de la région Champagne-Ardennes, la Fondation Beaumarchais (SACD).

Atelier d’initiation au fil pour les enfants, à partir de 9 ans, durant les vacances de février. voir p.93.

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jeudi 8 mars à 20h30tarif B

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Une peinture de femmes. La meilleure pièce des vingt dernières années selon le dramaturge britannique Mark Ravenhill. Il est question de Marlène, jeune promue et de son avenir, qui se dessine brillamment au sein de l’agence de placement Top Girls. Le pouvoir de trouver du travail aux autres, de les guider. Mais qu'a-t-elle donc dû laisser d'elle-même au bord du chemin pour parvenir à ses fins ? Il est alors aussi question de son passé, dans un bled paumé, un coin gris d'Angleterre où vivotent sa sœur et sa nièce, qu’elle préférerait peut-être bien oublier parce que cette nièce est sa fille, enfant laissé sur un bas-côté de sa voie royale. Il est alors encore question d’ici et maintenant. De son présent. Dans le Londres des années 80. Dans un monde où il faut lutter.

Un spectacle quasiment parfait, fluide et formidablement bien mis en scène, où l’on apprécie un vrai travail de groupe et une recherche esthétique réussie. (…) L’ensemble est porté par des comédiennes toutes sensationnelles qui passent d’un rôle à un autre avec une belle aisance… — Froggy’s Delight.

Texte Caryl Churchill. Traduction Anika Scherrer (éditions l'Arche). Mise en scène Aurélie Van Den Daele. scénographie Antoine Milian. Avec Dahlia Baruchel, Aurélie Charbonnier, Aurore Erguy, Julie Le Lagadec, Marie Quiquempois et Sol Espeche. Costumes Maëlle de La Forge. Coiffures Amélie Lépilliet. Musique Federica Zamboni. Conception visuelle Marjolaine Moulin.Spectacle créé dans le cadre du dispositif "Carte Blanche à la jeune création" de l’Espace Icare d’Issy-les-Moulineaux. Avec le dispositif Aides Paris Jeunes Talents. production Compagnie Bricole.


Dans le cadre du Temps des femmes. spectacle précédé de la restitution d’atelier à 19h30. voir p.91.

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mardi 13 mars à 20h30tarif B

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Quand Barthélémy Morlevent, 26 ans, reçoit une convocation de la juge des tutelles, il se demande ce qu’il a fait. Quand il y retrouve sa demi-sœur, il se demande de quoi elle va encore l’accuser. Lorsqu’il découvre qu’il a un demi-frère et deux demi-sœurs, orphelins, il se dit que ce n’est pas la première fois que son père abandonne des gosses. Et quand la juge lui apprend qu’il doit être leur tuteur, il se demande où est la porte. Les responsabilités, c'est pas sa tasse de thé. Il prendra pourtant son rôle à cœur. A cœur et à cri ! Catherine Verlaguet adapte le roman de Marie-Aude Murail ; elles nous mettent avec humour sur la voie de ce que devenir adulte représente.

Molière 2010 du spectacle jeune public

Le décor dépouillé, la mise en scène parfois étonnante, intimiste, surfant sur les symboles, n’en rendent que plus intense l’interprétation qui se fait touchante, émouvante mais aussi drolatique avec le renfort d’un théâtre d’objet. Oh Boy ! est une belle partition sans fausse note : la musique, la lumière s’accordant parfaitement, renforçant même la justesse, la force du jeu du comédien. Au final, c’est (étonnamment) sur scène une pluie d’étoiles, étoiles que l’on retrouvait dans les yeux des spectateurs qui ne pouvaient, emballés, que s’exclamer : Oh Boy ! — Le Télégramme.

Texte Catherine Verlaguet, d'après Oh boy ! de Marie-Aude Murail. Mise en scène Olivier Letellier. interprétation Lionel Erdogan. Lumière Lionel Mahé. son Mikaël Plunian. production Compagnie du Phare.Coproduction Le Théâtre du Phare, Espace Culturel André Malraux – Le Kremlin-Bicêtre, Centre Jean Vilar - Ville de Champigny-sur-Marne, Théâtre Le Strapontin – Scène des Arts de la Parole – Pont Scorff.soutien Festival "Ce soir, je sors mes parents", Théâtre La Paillette – Rennes.

séances scolaires : lundi 12 mars à 14h et mardi 13 mars à 14h.

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vendredi 16 mars à 20h30tarif B p o é s i e

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CoMpAGNie eRiNNA

Evoquant l'entreprise citoyenne de la Flottille de la liberté – aventure humaine où les petites histoires ont sans cesse croisé la grande – qui tentera de briser le blocus maritime imposé à Gaza par Israël, la compagnie Erinna propose une soirée pluridisciplinaire. Poésie, chant, récit et film documentaire viennent alimenter la réflexion sur ce que peut être l’engagement internationaliste aujourd’hui alors que semble s’imposer partout l’idéologie du "choc des civilisations".

Dans la démarche d'Anastassia Politi, le pari est celui du risque de la recherche au lieu d'une sécurité stérile. Le poème ressort comme l'expression la plus naturelle, la plus vivante de l'être humain. — Thomas Hahn.

Textes La Flottille de Thomas Sommer-Houdeville, éditions la Découverte, 2011 (extraits) et Poèmes de Mahmoud Darwich, Yiannis Ritsos et Constantin Cavafy. Film Gaza we are coming, documentaire de Yiannis Karypidis et Yorgos Avgeropoulos (2010). Conception et direction artistique Anastassia Politi. Avec Amina Hammoutène, Etienne Bartholomeus et Anastassia Politi. piano Yiannis Plastiras. Création acousmatique Philippe Blanchard.production compagnie Erinna, avec le soutien du Conseil régional d’Ile-de-France en partenariat avec la Mairie de Paris 2e. Coproduction Théâtre des Quartiers d’Ivry / Centre dramatique national et La Ferme de Bel Ébat, théâtre de Guyancourt.

soirée clôturée par un débat avec Thomas sommer-houdeville, auteur, chercheur en sciences politiques, coordinateur de la Campagne civile internationale pour la protection du peuple palestinien et Un bateau français pour Gaza, et le Docteur vangélis pissias, professeur à l’institut supérieur Technologique d’Athènes, coordinateur de la campagne ship to Gaza-Greece, tous deux membres du comité de pilotage international de la Flottille de la Liberté.

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MAhMoUD DARwiCh MohAMeD RoUAbhi

Rouabhi est assis digne, bien en face pour dire le discours des origines. Puis il est seul allongé sur le lit d’une chambre d’un 8è étage. C’est Beyrouth qu’on bombarde à l’extérieur, et à l’intérieur une solitude ébranlée par la voix d’une femme. La langue est concrète, vive, sobre, comme un café que l’on prend au petit matin d’une ville détruite.

C’est simple, bouleversant. — Télérama.

Texte Mahmoud Darwich. Traductions Elias Sanbar pour Discours de l’Indien rouge ; Yves Gonzalez-Quijano et Farouk Mardam-Bey pour Une Mémoire pour l’oubli (éditions Actes Sud). Mise en scène, scénographie et interprétation Mohamed Rouabhi. Assistante à la mise en scène Jeanne Louvard. Lumière Nathalie Lerat. Langue des signes Béatrice Blondeau. Avec la voix de Claire Lasne.

production Compagnie conventionnée Les Acharnés – Mohamed Rouabhi. Coréalisation Maison de la Poésie de Paris. soutien DRAC Ile-de-France, Ministère de la Culture (DMDTS)

Ce spectacle est la troisième étape du parcours consacré au poète palestinien Mahmoud Darwich, organisé par La Ferme de bel ébat, théâtre de Guyancourt, La Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines et le Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale. voir p.33, 43, 65 et 79.

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mardi 20 mars à 20h30 à la Maison de la Poésiede Saint-Quentin-en-Yvelinestarif C

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mercredi 21 mars à 10h et 15h à l'espace Yves Montandsamedi 24 mars à 11h à la Maison de quartier Théodore Monodtarif C

vALéRie bRiFFoD LAUReNCe GARCiA

Voici un poulailler qui rêve à voix haute sa vie de poule : Odile et ses idylles embrassent tous les crapauds qui passent ; Linette se croit à l’opérette ; Zoé est toute cabossée à force d’essayer de voler mais c'est pas grave il faut recommencer ; Aurore cherche de l'or ; Cocktambule est coq de basse extraction… Et puis Albert, petit poussin tout frais, qui se demande ce qu’il fait là et pourquoi il est né. C'est lui, le petit, qui sauvera toute la basse-cour des griffes d’un renard affamé… Valérie Briffod fait caqueter les boîtes en fer de son enfance, les empile, les emboîte et parfume de merveilleux le plus familier des poulaillers.

À travers un récit, dans lequel s’entremêle souvenirs, comptines, et théâtre visuel, le spectacle touche à des questionnements multiples : comment grandir, s’affirmer, découvrir l’autre. Une expérience poétique à en perdre la tête. — Guide Spectacle Métier de la Petite Enfance.

Texte Valérie Briffod. Mise en scène Valérie Briffod et Laurence Garcia, avec la complicité de Serge Bagdassarian. Avec Valérie Briffod. exploration sonore Jean-François Vrod. Lumière et scénographie Sam Mary.

production Compagnie Les EMUS, avec le soutien du Théâtre Jean Arp de Clamart, du Théâtre André Malraux de Chevilly-Larue et de la Maison du Conte.

séances scolaires : lundi 19 mars à 9h30 et 10h30 à la Maison de quartier jean Renoir,mardi 20 mars à 9h30 et 10h30 à la Maison de quartier jean Renoir,jeudi 22 mars à 9h30 et 10h30 à l'espace Yves Montand,vendredi 23 mars à 9h30 et 10h30 à la Maison de quartier Théodore Monod.

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vendredi 23 mars à 20h30tarif A

FRéDéRiC FeRReR

La destination est fascinante. Elle a le charme de son extinction. Le Grand Nord. Le Pôle ! Ainsi fond, fond, fond… Mais qui sont les marionnettes ? Après Mauvais temps et Kyoto for ever, Frédéric Ferrer s'attaque au troisième volet de ses chroniques du réchauffement climatique. Il met en scène un bateau de croisière touristique en route pour le Pôle Nord. "En touristes de fin du monde" nous verrons ses lignes, ses flux, ses tensions, ses seuils, ses frontières, sa dynamique interne, grâce à différents instruments tels que la mise à distance, la délimitation, le franchissement, l’emplacement et le globe. L’objectif de ce spectacle est d’expérimenter la possibilité de passer d’un espace à un autre sans (trop) se cogner.

Impossible de résister à la dimension pédagogique de l’entreprise et à son esprit de sérieux traversés de part en part par une ironie et un humour irrésistibles, servis par une interprétation très juste. Parfois on se dit qu’il nous mène en bateau, de croisière bien sûr, mais non, point besoin d’être docte pour informer et instruire. Son voyage au cœur des glaces mérite de s’y inscrire sans détour. — JDD.fr.

Texte et mise en scène Frédéric Ferrer. Avec Pascal Bricard, Astrid Cathala, Frédéric Ferrer, Pierre Grammont, Catherine Lenne, Benjamin Nicolas, Karen Ramage, Stéphane Schoukroun. scénographie Anne Buguet, Olivier Crochet et Frédéric Ferrer. Lumière Olivier Crochet. Costumes Anne Buguet. Musique et son Pascal Bricard. Assistanat à la mise en scène Lila Fondrat.Coproduction Compagnie Vertical Detour, Domaine d’O (Montpellier), La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt. Avec le soutien du Conseil régional d’Ile-de-France, du Conseil général de la Seine-Saint-Denis, de l’ADAMI, de La Chartreuse – CNES, l’Observatoire de l’Espace du Centre National d’Etudes Spatiales et de l’hôpital de Ville-Evrard.

en partenariat avec la Maison de l’environnement, des sciences et du développement durable de saint-Quentin-en-Yvelines. Avec le soutien au projet de la Communauté d'agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines.

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vendredi 30 mars à 20h30tarif B

MohAMeD kACiMi vALéRie GRAiL

Sur le port de Marseille, Nadia attend un bateau et retrouve Gharib. Ils ont partagé leurs enfances aux portes du désert algérien, bercés par l’attente émerveillée de "l’indépendance". Mais 1962 est une désillusion. Le jeune Gharib croule sous le poids de l’arme transmise par son père, Nadia s’ensanglante les mains à hisser le drapeau algérien. L'instituteur français en blouse grise est resté. Il a simplement troqué sa règle en bois contre une règle en fer. Quand ils veulent s’aimer, les adolescents sont enfermés. Gharib s’exile. Valérie Grail revient sans nostalgie ni culpabilité sur ces faits d’histoire, dont on ne parlait pas. Mohamed Kacimi nous parle de son pays aride, l’Algérie, comme d’un "être cher que l’on retrouve le visage brûlé."

Un voyage sur le fil de l’émotion, d’une indicible beauté. – L'Humanité Hebdo.

Un spectacle sobre, loyal, sensible à l’heure où les blessures, ici et là, restent béantes. La voix d’un poète pour surmonter les cruelles réalités… Un texte débordant de tendresse... – Le Figaro.

Texte Mohamed Kacimi. Mise en scène Valérie Grail. Avec Luc Ducros ou Zakariya Gouram et Valérie Grail. Compagnon musicien Stefano Genovese. Musique originale Stefano Genovese. Lumière Martial Rozé. Régie Thierry Alexandre. Assistante à la mise en scène Julie Ménard. peinture du "Mur" Hamid Tibouchi. Réalisation de la toile Erol Gülgönen et Marion Lefèvre.Coproduction Compagnie Italique, la Scène nationale de Petit-Quevilly/Mont-Saint-Aignan, le Théâtre de Chelles, la Région Haute-Normandie, le Centre culturel Canadien, la CCAS, la DRAC Ile-de-France, ARCADI, la Fondation Beaumarchais SACD, l’Adami, la Spedidam, l’ONDA, Fip, Télérama.

Du 7 au 31 mars : exposition d'œuvres du peintre algérien hamid Tibouchi par la Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines.17 mars : soirée poésie algérienne à la Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines.

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mercredi 4 avril à 20h30tarif SQY

TRio joUbRAN eT MAhMoUD DARwiCh

Le Trio Joubran – trois frères joueurs de oud – rend hommage au poète palestinien Mahmoud Darwich, ultime conclusion d’un compagnonnage artistique au long cours. Avant de disparaître en 2008, Mahmoud Darwich travaillait avec le Trio Joubran à un projet de récital avec la volonté que les notes et les mots partagent à égalité le même espace. La voix du poète est alors immortalisée en vue de l’enregistrement d’un album avec les frères Joubran. Une occasion rare d’entendre la voix de ce magicien du verbe dont la poésie, enracinée au cœur de sa terre natale, la Palestine, touche à l’universel.

L’oud est la voix du sublime et les frères Joubran en usent avec subtilité, alternant pièces musicales et élan poétique. Dans une unité de gravité, de densité et d’extrême attention à l’harmonie, ils offrent ici un album qui rend l’homme plus grand, plus juste, plus enclin à faire de la vie et de sa préservation, son essentiel. Nul ne peut être indifférent à tant de force des mots et des notes. — La Savoie.

Texte Mahmoud Darwich. Composition Trio Joubran. Avec Samir Joubran (oud), Wissam Joubran (oud), Adnan Joubran (oud), Youssef Hbeisch (percussions) et la voix de Mahmoud Darwich. Ce spectacle est la quatrième étape du parcours consacré au poète palestinien Mahmoud Darwich, organisé par La Ferme de bel ébat, théâtre de Guyancourt, La Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines et le Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale. voir p.33, 43, 57 et 79.

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mercredi 4 avril à 10h et 11h à la Maison de quartier Joseph Kosmasamedi 7 avril à 11h à La ferme de Bel Ébattarif C

FLoReNCe DesNoUveAUx ALAiN pRioUL

Bouille est une petite fille née d’un œuf rouge qu’une vieille dame trouve sur la fenêtre de son immeuble triste. La petite Bouille a faim. Laissée seule, elle dévore tous ceux qu’elle rencontre dans l’immeuble triste. Bouille mange, grossit et finit par devenir énorme. À son retour, la vieille dame dessine une porte sur son ventre pour libérer les habitants avalés. Bouille s’allège, monte au ciel où elle devient soleil rouge. La musique, la flûte et la viole de gambe accompagnent le conte et cette ascension. Florence Desnouveaux a observé les comportements des bébés, insatiables, toujours à goûter pour connaître et comprendre. Elle propose un spectacle sensoriel sur cette expérience particulière du monde. Elle s’adresse aux plus petits et parle d’eux. Ils sont les héros de cette histoire.

Dans Bouille, Florence embarque les plus petits et les plus grands dans un univers où le quotidien et le merveilleux se tissent délicatement. La musique, le texte, la lumière et les objets donnent à voir, à écouter et à rêver. Un régal pour les plus petites et les plus grandes personnes. — Praline Gay-Para, conteuse.

Texte Florence Desnouveaux. Mise en scène Alain Prioul. Avec Ruth Unger (viole, flûte et objets sonores) et Florence Desnouveaux. Lumière Alain Seigneuret.Coproduction Compagnie des Epices, la Maison du Conte en collaboration avec le Théâtre André Malraux de Chevilly-Larue.

Dans le cadre de RaConte-moi une histoire, la Fête du conte.

séances scolaires : lundi 2 avril à 9h30 et 10h30 à la Maison de quartier joseph kosma,mardi 3 avril à 9h30 et 10h30 à la Maison de quartier joseph kosma,jeudi 5 avril à 9h30 et 10h30 à La Ferme de bel ébat,vendredi 6 avril à 9h30 et 10h30à La Ferme de bel ébat.

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samedi 7 avril à 16htarif C

ChRisTiAN TARDiF pRALiNe GAY-pARA

Tout d’abord, le violoncelle de Rebecca Handley installe l’atmosphère paisible. Puis les histoires de Christian Tardif viennent mêler leurs refrains d’animaux, de grand-mères et de fermes. Les enfants participent ; ils répètent les mots, les mâchent, les ingèrent dans le plaisir du rythme et du "parlé chanté". Écoutons le conteur : "Le conte ne berce pas, il éveille, il condense. Il donne place au silence, et du poids aux mots. Le conte, acte de parole, pour appréhender le monde et gagner la liberté d’y agir."

Christian Tardif fait preuve d’un art du récit très solide lui permettant de tenir son auditoire sous le charme et, porté par les belles et complices modulations au violoncelle de Rebecca Handley, il construit un univers qui garde toute sa fraîcheur d’inspiration et son innocente jeunesse parce qu’elle vient du fond des âges... et du cœur. — theatreennormandie.com.

Texte Christian Tardif. Mise en scène Praline Gay-Para. Avec Rebecca Handley et Christian Tardif. Lumière Grégoire Desforges.

Coproduction Compagnie Métalepse. soutien Ville du Havre et Conseil régional de Haute-Normandie.


séances scolaires : mardi 3 avril à 14h, jeudi 5 avril à 14h et vendredi 6 avril à 14h.

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samedi 7 avril à 19htarif A

jACQUes CoMbe

Jacques Combe met en forme ses archives de l’intime et recompose des paysages qui semblent familiers, parce que traversés de contes et de mythes fondateurs de notre histoire collective. Pour s’affranchir de ses guerres intestines, le conteur revient aux origines et démêle la toile tissée par les générations précédentes. Il raccommode ses bouts de lui et s’inscrit dans l’universel. "Il faut encore porter du chaos en soi avant de devenir une étoile dansante", écrivait Nietzsche. Vétéran(s) raconte un père qui a fait trois guerres dans sa courte vie. Il en est à chaque fois revenu, sans plaie ouverte mais avec un silence inviolable au-dedans. Et tellement de violence à offrir au fils, qui l'attendait. Dans Corpus Mater(s), ce même fils part à la recherche de la sépulture de sa mère biologique. Ces deux histoires écrites au scalpel entrent en résonnance, pour la première fois dans une même soirée.

Corpus mater(s) : équipe de création Greg Desforges et Jacques Combe. Coproduction La Compagnie des Or(p)ailleurs. L’Iliade – Maison des Arts du récit (Le Havre).vétéran(s) : de et par Jacques Combe. Collaboration lumière Alain Seigneuret, Fred Houguet, Sam Mary. Remerciements au conteur Marien Tillet pour le chant final. production La Compagnie des Or(p)ailleurs.


buffet dînatoire organisé par le lycée d'hôtellerie et de tourisme de saint-Quentin-en-Yvelines entre les deux spectacles.

Atelier d'initiation au conte les 31 mars et 1er avril, de 10h à 13h et de 14h à 17h. voir p.93.

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vendredi 13 avril à 20h30tarif B

héLA FATToUMi – éRiC LAMoUReUx

Héla Fattoumi et Éric Lamoureux, directeurs du Centre chorégraphique national de Caen, transmettent à deux nouveaux danseurs les clés de Husaïs et Solstice, deux duos pour un homme et une femme. Husaïs les a consacrés au prestigieux concours de Bagnolet qui a révélé, entre autres, Bagouet, Preljocaj, Brumachon ; Solstice développe cette obsession qui sous-tend leur travail : que se joue-t-il entre deux êtres ? Ils éclatent les mises en forme hâtives rassurantes et libèrent les bribes de vie de ces "deux solitudes que [ils doivent] parfaire pour qu’elles puissent encore mieux s’approcher."

C’est une danse de couple et ça ne l’est pas. C’est une danse qui encercle mais qui se déploie. Une danse qui joue la fulgurance, étrange, ombrageuse, coupante comme une lame. — La Croix.

Chorégraphie Héla Fattoumi – Éric Lamoureux. Créé par Héla Fattoumi et Éric Lamoureux. Avec Marine Chesnais et Moustapha Ziane. Musique Éric Lamoureux. Lumière Husaïs Yves Gaudin. Lumière Solstice Xavier Lazarini. Costumes Marilyne Lafay.

production Centre chorégraphique national de Caen/Basse-Normandie (CCNC/BN).

Atelier de danse contemporaine les 7 et 8 avril. voir p. 93.

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jeudi 19 avril à 20h30vendredi 20 avril à 20h30samedi 21 avril à 18hà la Base de Loisirstarif SQY

CiRQUe MeLeM

Dans le cercle, arrivent deux personnages accidentés par la vie. Nous sommes dans un ailleurs, peuplé d’inquiétant et de majestueux, un ailleurs où tout commence. Il n’y a pas d’alternative au cercle, les cavaliers, les acrobates l’exploitent dans la cadence enivrante d’un cheval lancé au galop. Ils créent un manège périlleux, fantasque, vivant d’animalité. La compagnie Melem s’est créée en 2003, avide de chercher une expression corporelle en lien avec le cheval (et d’autres animaux, dont l’homme).

en piste Angélique Rebolledo (portés acrobatiques, corde, voltige équestre), Toma Stringat (voltige équestre, portés acrobatiques), Isabelle Soos (voltige équestre), Catherine "Bebop" (accordéon, chant), Antoine Bocquet (création sonore, piano) – Les chevaux Lilo, Doc Hochkard, Nalo, Grock, Caillou, Pepito. Régie plateau et comédien-photographe Fabien Gruau. Régie générale et lumière Gautier Gravelle. Régie chevaux Hélène Garcia.

production Cirque Melem. soutien Le Sirque – pôle Cirque de Nexon en Limousin, la Ville de Villejuif, la Ville de Tarbes, la Communauté de communes de Montesquieu.

en partenariat avec La Merise et la base de Loisirs de saint-Quentin-en-Yvelines.

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samedi 5 mai à 20h30tarif A

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20 ans que la harpiste Isabelle Olivier associe la présence à l’instant du spectacle vivant et la prise de risque permanente du jazz. Sur 12 scènes, elle invente un concert toujours différent, fait de rencontres de textes de David Linx, Jacques Dor, Norma Winstone, Shakespeare et Aragon, et de musiciens. Chaque escale a été enregistrée en live, pour créer au terme du parcours un album de 12 chansons. Après 5 albums studio, la nécessité et le plaisir d'enregistrer toutes ces étapes en prise directe ont permis de garder l'authenticité et l'unicité des rencontres vécues sur scène. Suite à l’enregistrement du premier concert en trio à La Ferme de Bel Ébat en janvier 2011, Isabelle Olivier vient fêter la sortie du disque Dodécasongs sur le label ENJA, distribué par Harmonia Mundi : mélodies envoûtantes, rythmes ébouriffants, harmonies audacieuses, voyage sensoriel.

Nous tombons sous le charme de cette harpe (…), proposant un répertoire original et novateur. Une musique belle, sauvage et libre comme l’océan, ouverte à toutes les directions et à tous les climats, pour laquelle chacun compose et insuffle sa propre poésie à l’ensemble. — Jazzman.

Composition et harpe Isabelle Olivier. Chant Monica Passos. Contrebasse Marc Buronfosse. batterie Fabrice Moreau.

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vendredi 11 mai à 20h30tarif A

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L’Antigone d’Adel Hakim est palestinienne. Parce que la pièce parle de la relation entre l'être humain et la terre. Parce que Créon, aveuglé, interdit qu'un mort soit enterré dans le sol qui l'a vu naître. Et parce qu'il condamne sa nièce Antigone à être emmurée. Parce que, après la mort de son propre fils, Créon voit le jour nouveau et veut réparer l'injustice commise. Les acteurs du Théâtre National Palestinien de Jérusalem prennent en charge cette tragédie universelle ; l’enfer du conflit entre les morts et les vivants. Pris entre un ciel sans limites vers lequel ils voudraient voir s’envoler leur âme et un sol lunaire fissuré qui – ils le savent – est toujours prêt à engloutir leur chair, les personnages de Sophocle, perdus au milieu d’un univers trop grand pour eux, se débattent désespérément pour découvrir la vérité du monde et le sens de la vie. Le seul recours pouvant guider leur recherche aveugle, c’est leur volonté associée à des convictions intimes, charnelles, inexplicables, éloignées de toute rationalité. Et c’est peut-être cela qu’on appelle le destin.

spectacle en arabe surtitré en français.

Texte Sophocle. Traduction en arabe Abdel Rahman Badawi. Traduction en français (surtitres) Adel Hakim. Mise en scène Adel Hakim. scénographie et lumière Yves Collet. Musiques Trio Joubran. Costumes Shaden Salim. Avec les acteurs du Théâtre National Palestinien (Jérusalem) : Hussam Abu Eisheh, Alaa Abu Garbieh, Kamel Al Basha, Mahmoud Awad, Yasmin Hamaar, Shaden Salim, Daoud Toutah.Coproduction Théâtre National Palestinien, Théâtre des Quartiers d’Ivry, avec le soutien de l’Ambassade de France en Israël. Avec l’aide du Groupe des 20 théâtres en Ile-de-France.

Ce spectacle est la cinquième étape du parcours consacré au poète palestinien Mahmoud Darwich, organisé par La Ferme de bel ébat, théâtre de Guyancourt, La Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines et le Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale. voir p.33, 43, 57 et 65.

T h é â T R e

Les bals clandestins étaient de véritables actes de résistance pendant la seconde Guerre mondiale. Le concert d'Un bal clandestin est, plus modestement, une invitation à la résistance, à l’exclusion, à l’injustice et à la monotonie. Le jazz manouche est la seule tradition française de jazz. Il est issu de la rencontre de trois influences : l’Europe centrale (la musique "tsigane"), le "musette" (et particulièrement l’accordéon) et le jazz d’outre-Atlantique. Cette synthèse est l’œuvre de Django Reinhardt qui a disparu il y a un peu plus de 50 ans.

en partenariat avec la Maison de la poésie de saint-Quentin-en-Yvelines.

(Alexandre Romanès)

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mardi 15 mai à 20hentrée libre

Peuples voyageurs, langues en errance, poètes nomades. Ils sont nombreux sur les routes, voyageurs volontaires ou forcés, par goût, par nécessité, par obligation, par contrainte. Qu’est-ce qui pousse un peuple à préférer la route à la demeure fixe ? Qu’est-ce qui incite l’artiste à prendre les chemins de traverse plutôt que les lignes toutes tracées ? Et quels sont les fondements de cette haine que certains sédentaires éprouvent trop souvent à l’encontre des nomades ? Pourquoi la France a-t-elle mis en œuvre durant l'été 2010 une politique aussi répressive à l’égard des communautés rroms réfugiées sur la terre des Droits de l'homme ?Et parce que nous espérons que cette triste page sera tournée au soir de ce dernier cabaret poélitique de la saison, il sera suivi d'un bal manouche avec un repas convivial, sur le principe de l'auberge espagnole. Et ensemble nous danserons !

L’invité(e) "politique" sera déterminé(e) plus tard dans la saison.

Alexandre Romanès (sous réserve), circassien, poète. Dernier titre paru : Sur l’épaule de l’ange, Gallimard, 2010.

Un bal clandestin Bruno Girard (violon), Théo Girard (contrebasse), Norbert Aboudarham (accordéon et accordina), Max Robin (guitare) et Jean Philippe Watremez (guitare).


projection du film Nuage (version courte) de Norbert Aboudarham. Ce documentaire laisse parler d’elles-mêmes de vivantes séquences musicales et des images de la vie quotidienne qui soulignent le sens de la fête et de la famille prévalant chez les Manouches. La mémoire de Django Reinhardt (1910-1953) reste fortement présente. La musique, jouée à la guitare en particulier, est comme un ciment de la communauté.


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vendredi 1er juin à 19h30entrée libre

Comme les petits ruisseaux font les grandes rivières, les Bruissements de la langue font le Grand bruit. Tout au long de la saison, et à l’initiative de la compagnie Théâtre Suivant depuis 2009, des comités de lecture vibrionnent dans les médiathèques du territoire saint-quentinois, à la recherche de la perle rare : le manuscrit de la pièce de théâtre dont ils rêvent. Choisir celle que l'on fera connaître au public lors du Grand bruit... Ce soir-là, habitants, comédiens, bibliothécaires et musiciens se retrouvent sur scène et font entendre les nouvelles écritures théâtrales de France et d'Europe.

production Compagnie Théâtre Suivant. Les Bruissements de la langue sont menés dans le cadre d’une résidence territoriale à Saint-Quentin-en-Yvelines. Le Grand bruit reçoit le soutien de la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et de La Ferme de Bel Ébat, théâtre de Guyancourt.

* formule empruntée à Roland Barthes, Le bruissement de la langue, éditions Points Seuil.

Un repas convivial, sur le principe de l'auberge espagnole, sera organisé en fin de soirée. Apportez un plat à partager, nous vous servirons à boire.

vous pouvez faire partie de l'aventure, en participant aux choix des œuvres (3 séances dans l'année), en vous initiant à la lecture à voix haute (stage au printemps). inscription gratuite auprès de la compagnie Théâtre suivant, [email protected].

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samedi 9 juin à 11htarif C

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Le grain particulier, vibrant, du vinyle puis les voix de Carmen la bohémienne, de Madame Butterfly, de la cruelle Princesse Turandot. Pascal Vergnault crée un opéra des grands arias, avec machinerie véritable et décors monumentaux dans l’espace minimaliste du théâtre de marionnettes. Il invente un voyage en 33 tours autour du monde. Chaque escale, au Japon, à Séville et en Chine, enrichit ce Drama Giocoso. Les marionnettes vivent les joyeuses intrigues sentimentales des cantatrices.

Texte et mise en scène François Parmentier. Direction artistique, scénographie et jeu Pascal Vergnault. orchestration musicale Luc Saint Loubert Bié. Lumière François Poppe. Construction décor et marionnettes François Poppe et Pascal Vergnault. Régie générale François Poppe ou Erwan Tassel.

Coproduction Théâtre pour Deux Mains, Piano’cktail de Bouguenais, Scène nationale de Narbonne, Espace culturel Les Ulis.

séances scolaires : jeudi 7 juin à 9h45 et 14h,vendredi 8 juin à 9h45 et 14h.

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jeudi 14 et vendredi 15 juin à 20h30entrée libre

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Londres est bombardée. La haute société veut préserver ses enfants et les envoie en avion vers l’étranger. Mais l’avion s’écrase sur une île déserte. Les adultes sont morts. Les enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes. Les schémas sociaux qui leur ont été inculqués ne tiennent pas longtemps dans ce nouvel environnement. La démocratie est balayée. Une organisation tribale se met en place, sauvage et violente, bâtie autour d’un chef charismatique et d’une religion rudimentaire fondée sur la peur. De sacrifices humains en chasse à l'homme, la civilisation disparaît face à la sauvagerie. Avec de jeunes Guyancourtois, Godefroy Ségal met en scène l'adaptation par Yoann Lavabre du célèbre roman de William Golding.

Texte Yoann Lavabre, d'après Lord of the Flies de William Golding. Mise en scène Godefroy Ségal. Distribution en cours. voir p.90.production La Ferme de Bel Ébat, théâtre de Guyancourt, Compagnie In Cauda.

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Les NoMs De LA viLLeExclure le poète de la cité ? Pardon mais Platon s'est planté ! À Guyancourt, les poètes ont droit de citer. À l'occasion des Journées du Patrimoines, nous vous convions à une lecture déambulatoire, en autobus, du recueil Les Noms de la ville, dans lequel le poète Roland Nadaus raconte comment et pourquoi il a donné des noms à divers lieux de Guyancourt quand il en était le Maire. Un parcours poélitique !samedi 17 septembre à 15h et à 18h, départ de la place de bel ébat. Réservations indispensables au 01 30 48 33 44.

bAs Les MAsQUesÀ l’occasion de l’exposition Bas les masques du 5 octobre au 20 novembre 2011 organisée par le service d’action culturelle, la compagnie Maria Mendy proposera une déambulation chorégraphique pour 12 danseurs qui investiront la Maison de quartier Théodore Monod. Duos, trios et pièce de groupe seront accompagnés de musiciens ou de poètes africains, invités par la Maison de la Poésie dans le cadre du festival PoésYvelines.jeudi 5 et vendredi 6 octobre 2011 au soir, Maison de quartier Théodore Monod.

À LA ReCheRChe Des CANARDs peRDUs & Les vikiNGs eT Les sATeLLiTes6 conférences théâtrales de Frédéric Ferrer sont programmées entre septembre et février à l'université de Versailles / Saint-Quentin-en-Yvelines, à l'espace Albert Camus de Maurepas, à la Maison de l'environnement de Saint-Quentin-en-Yvelines, etc. Avec le soutien au projet de la Communauté d'agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines.

épisoDes De Top GiRLsLes comédiennes de la Cie Bricole sillonnent les routes et font naitre débats et discussions autour de deux thèmes de Top Girls : la femme et le monde du travail ; la femme et la cellule familiale. Les spectateurs sont ainsi conviés à des séances de trente minutes, durant lesquelles le texte de Top Girls entre en résonnance avec des matériaux associés, qui font appel à l’improvisation et à la transdisciplinarité (photographie, cinéma, etc.). Un moment d’échange est ensuite organisé. Avec le soutien au projet de la Communauté d'agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines.

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La Ferme de Bel Ébat vous conseille quelques spectacles chez ses voisins saint-quentinois. Les détenteurs de la carte de La Ferme de Bel Ébat bénéficient d'un tarif réduit !

Le CRepUsCULe DU Che de José Pablo Feinmann, mise en scène par Gérard Gelas, le jeudi 10 novembre 2011 à 20h30 au scarabée, La Verrière : Dans une société qui se mondialise en semblant perdre toutes valeurs, Che Guevara nous interroge. Icône romantique ou bourreau sanguinaire ? Héros de la jeunesse, quel idéal trouve-t-elle en lui, et sait-elle seulement vraiment qui il est ? Révolutionnaire utopiste mais au prix de quels sacrifices ? Le Che redevient un homme de chair et de sang, interrogé à vif, quelques heures avant sa mort...

hoLD oN, conception et mise en scène Anne Astolfe, vendredi 2 décembre à 20h30 à la Merise, Trappes : 3 personnes employées dans un Centre d’Appels, où tout le monde s’appelle Dominique. On se tutoie, c’est la règle. On est observé, écouté et noté. Il faut répéter les mêmes gestes, les mêmes mots toute la journée, se battre pour la prime, accélérer la cadence…

FANFAReRie NATioNALe, Cie Circa Tsuïca, Cirque à partir de 10 ans, samedi 21 janvier à 20h30 à la Merise, Trappes : Comment parler de la Grande Guerre quand on est circassien ? En fanfare mais aussi en virevoltes, voltiges, tableaux cocasses et dérisoires, incongrus, burlesques, qui retracent à leur façon le grand désordre de la guerre...

AU FiL D'œDipe… TeNTATive De DéMêLAGe DU MYThe, Cie les Anges au plafond, mardi 24 janvier à 20h30 au prisme, Élancourt : Les marionnettistes ont pris le parti d’une approche originale mêlant récit et musique en direct, manipulation à vue et proximité avec le public sur un radeau environné de cordages au-dessus duquel pendent les chrysalides de toile d’où sortiront les impressionnantes marionnettes de papier.

Le TARoT DU FoU de et par Benoît Lepecq, samedi 28 janvier 20h30, à la Maison de la poésie : Benoît Lepecq a créé Le fou en avril 2011 à la Maison de la Poésie. Il revient avec son personnage peut-être "fou" mais qui porte sur nos us et coutumes un regard plein d'acuité.

(bLAise CeNDRARs)

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bRiTA bAUMAN – Les CADoUiN 2 de Gaëtan Peau et Quentin Defalt, mise en scène de Quentin Defalt, samedi 11 février 2011 à 20h30 à la Ferme du Mousseau, Élancourt : La jeune Allemande Brita est envoyée en séjour linguistique dans une famille bretonne. Ne parlant pas un mot de français, elle sera témoin et victime de la désagrégation de cette famille qui s’enfonce avec humour et en chanson dans la souffrance et la solitude.

ThANks To MY eYes d'Oscar Bianchi et Joël Pommerat, vendredi 16 mars 2012 à 20h30 au Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale : Joël Pommerat crée l’événement en signant sa première mise en scène pour l’opéra. En tandem avec le jeune compositeur Oscar Bianchi, il écrit un livret à partir de sa pièce Grâce à mes yeux, joué à La Ferme de Bel Ebat en 2002, épopée intérieure d’un fils qui déçoit les espoirs de son père.

LA CoMéDie Des eRReURs de William Shakespeare, adaptation et mise en scène de Dann Jemmet, mardi 27 mars 2012 à 20h30 au prisme, Élancourt : Deux gentilshommes jumeaux prennent pour valets des serviteurs qui sont eux aussi jumeaux. À travers la mise en abyme de ce jeu de miroir, Shakespeare est un maître en illusions qui fait bien plus que seulement nous faire rire.

Le seiGNeUR Des éCRehoU de Samuel Corto, mis en scène par Godefroy Ségal, jeudi 3 mai 2012 à 20h30 à L'estaminet, Magny-les-Hameaux : Accusé, conspué, livré à la vindicte populaire, un homme se retire plus de 14 années sur un morceau de cailloux battu par les flots hargneux de la Manche. Le froid, l'eau glacé, le vent qui fait gonfler les chairs, le sel, l'iode, le silence...

L'AUGMeNTATioN de Georges Perec, Théâtre de la Boderie, jeudi 24 mai à 20h30 à la Maison de la poésie : un modeste sous-chef employé dans une vaste entreprise souhaite obtenir un réajustement de son salaire. C'est drôle, caustique, ça frise l'absurde, mais ce n'est peut-être pas si éloigné que cela d'une certaine réalité...

Le soCLe Des veRTiGes de et par Dieudonné Niangouna, du 4 au 6 avril 2012 à 20h30 au Théâtre de saint-Quentin-en-Yvelines, scène nationale : Le dramaturge congolais Dieudonné Niangouna revient sur l’histoire de son pays, l’héritage colonial, la guerre civile, les années rouges. Un texte engagé, incisif et poétique, qui jaillit comme un corps tendu, hors de lui-même.

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oh QUAND Les sAiNTs ! : Sous la direction d'Aurélie van den Daele et de Yoann Lavabre, dix comédiens amateurs recrutés sur audition interpréteront la comédie Oh quand les saints ! de Roland Nadaus : "Réunis par le Préfet du Seigneur dans une île, plusieurs saints sont chargés de réaliser les plans d’une sorte de ‘Jérusalem Nouvelle’ pour les hommes qui, eux, semblent avoir failli. L’annonce de la mort de Dieu les prend de court et leur fait révéler leur vérité ambiguë – tout autant que celle des humains…". Ce texte revêt un intérêt tout particulier à l'occasion des 40 ans de la Communauté d’Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, au regard du parcours singulier que son auteur y a mené depuis l’origine. Maire de Guyancourt de 1983 à 2003, président du SAN de Saint-Quentin-en-Yvelines de 1989 à 1998, Roland Nadaus est en effet l'un des principaux bâtisseurs de la ville nouvelle.

Auditions entre septembre et novembre 2011. Répétitions de décembre 2011 à novembre 2012. plusieurs stages seront organisés en soirée durant les vacances. 2 représentations sont prévues en novembre 2012 à La Ferme de bel ébat. Texte disponible en version électronique sur simple demande. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

Le seiGNeUR Des MoUChes : ouvert aux enfants de 10 à 16 ans, sur audition, cet atelier sera dirigé par Godefroy ségal (compagnie In cauda). Il aboutira à la création du spectacle Le Seigneur des Mouches, adaptation théâtrale par Yoann Lavabre du célèbre roman de william Golding Sa Majesté des Mouches, présenté les 14 et 15 juin 2012 à La Ferme de Bel Ébat.

Les mercredis (hors vacances) de 16h à 18h avec un stage durant les vacances de printemps, du 5 octobre 2011 au 15 juin 2012. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

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Le TeMps Des FeMMes : destiné à un public féminin adulte, cet atelier dirigé par Aurélie van den Daele se fondera sur de nombreux supports. II abordera des thèmes liés à la situation de la femme au travail, dans la société d’ici ou d’ailleurs, d’avant, de maintenant et peut-être de demain. Restitution publique en première partie de Top Girls le 8 mars.

Les mardis (hors vacances) de 19h à 22h, du 4 octobre 2011 au 8 mars 2012 à la Maison de quartier Auguste Renoir. Avec le soutien au projet de la Communauté d’agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines. Renseignements et inscription au 01 30 43 45 44.

ATeLieR De ReDYNAMisATioN : destiné des personnes en rupture avec le monde du travail, cet atelier vise à redonner assurance et confiance en soi grâce aux outils du théâtre : travail corporel, technique vocale, improvisation… Animé par Alain Ubaldi. Restitution publique en première partie de Au-dehors le 3 février.

Du lundi au vendredi de 9h à 13h, du 23 janvier au 3 février 2012. en partenariat avec le service emploi de la ville. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 62.

ATeLieR ThéâTRe De LA FeRMe De beL ébAT : cet atelier destiné à tous à partir de 18 ans poursuivra son parcours autour des écritures contemporaines. Animé par etienne Guichard, il mettra en voix quelques uns des textes découverts par les comités de lecture des Bruissements de la langue lors du Grand Bruit le 2 juin 2012.

Les mardis (hors vacances) de 19h30 à 22h30 à partir du 11 octobre. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

YoNDRiCeN : destiné aux enfants de 8 à 10 ans, cet atelier dirigé par elsa Granat abordera la perception de la femme dans les contes traditionnels en inversant les rôles. Yondricen, c'est Cendrillon à l'envers : l'histoire d'un jeune homme qui vit avec son méchant beau-père… Représentation le 4 mars 2012 à l'espace Yves Montand dans le cadre du Temps des Femmes.

Tous les jours de 14h à 17h, du 27 février au 4 mars 2012, en partenariat avec le Centre social pasteur, à l'espace Yves Montand. Renseignements et inscription au 01 30 43 00 35.

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ATeLieR D’éCRiTURe ThéâTRALe : cet atelier se déroulera sur toute la saison sous forme de mini stages intensifs. Dirigé par Frédéric Ferrer, auteur entre autres de Mauvais temps, Kyoto for ever et Comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer le réchauffement climatique, il aboutira à la finalisation d'un texte qui sera mis en scène la saison suivante par l'auteur lui-même. Le spectacle qui en résultera sera représenté à La Ferme de Bel Ébat en juin 2013. Ceux qui participeront à l'écriture pourront jouer dans le spectacle mais sans obligation. Le thème est "les espaces de l'intime".

Avec le soutien au projet de la Communauté d’agglomération de saint-Quentin-en-Yvelines. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

ATeLieR D'éCRiTURe : Dominique sampiero, auteur de P'tite mère, animera cet atelier autour de la résurgence de l'enfance. Les textes seront lus par les comédiens de P'tite mère à la Maison de la Poésie à l'occasion d'une soirée consacrée à Dominique Sampiero le vendredi 25 novembre 2011. Le groupe déjeunera ensemble selon le principe de l'auberge espagnole.

samedi 19 et dimanche 20 novembre 2011 de 10h à 12h30 et de 14h à 16h30 à la Maison de la poésie. Dans le cadre des 10 ans de l'école des parents et en partenariat avec la Maison de la poésie. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

ATeLieR D'éCRiTURe FAMiLiALe : Animé par Catherine verlaguet (auteur de L'œuf et la poule et de l'adaptation de Oh boy !) et bénédicte Guichardon (metteur en scène de L'œuf et la poule), cet atelier proposera aux enfants dès 5 ans et à leurs parents de partager un moment ludique et créatif à travers une initiation au théâtre et à l'écriture.

samedi 3 décembre 2011 de 9h30 à 12h30. Dans le cadre des 10 ans de l'école des parents. Renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

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iNiTiATioN AU CoNTepar jacques Combe autour de Vétéran(s) et de Corpus Mater(s).Samedi 31 mars et dimanche 1er avril, de 10h à 13h et de 14h à 17h. Public adulte. Le groupe déjeunera ensemble selon le principe de l'auberge espagnole.

iNiTiATioN AU FiLpar jean-Charles Gaume, Le Parcours du combattant, durant les vacances d'automne 2011 et par Marion Collé, Blue, durant les vacances de février 2012. De 9 à 14 ans.

iNiTiATioNs À LA DANse hip-hople 11 novembre de 14h à 17h (2 ateliers simultanés sur l'agglomération).À partir de 15 ans.

MAsTeR CLAsse De DANse hip-hople 13 novembre de 11h à 13h et de 14h à 17h. Danseurs confirmés.

DANse CoNTeMpoRAiNeavec Fabrice Lambert autour de Gravité et de Solaire présentés à La Ferme de Bel Ébat, les 10 et 11 décembre 2011 de 14h à 17h. Pour danseurs confirmés.

DANse CoNTeMpoRAiNeavec la Cie Fattoumi-Lamoureux autour de Husaïs et Solstice (remix)les samedi 7 avril et dimanche 8 avril de 14h à 17h. Danseurs confirmés.

Renseignements et inscription aux stages au 01 30 48 33 44.

Les actions culturelles sont gratuites. Les détenteurs de la carte sont néanmoins prioritaires. Les ateliers impliquent l’achat d’une place de spectacle auquel il se rapporte.

Des rencontres entre le public et les artistes seront organisées à l'issue des représentations à chaque fois que cela sera possible.

L’ART AiLLeURsLa Ferme de bel ébat se dirige vers ceux qui ne peuvent pas se déplacer au théâtre. Chaque mois de l'année, car la solitude et l’isolement ne partent pas en vacances, un artiste de la saison ira à la rencontre de personnes isolées physiquement, psychologiquement ou socialement.

AvRiL eN DANseLa 3e édition du Festival de Danse de l’Université de versailles st-Quentin-en-Yvelines fera vivre l’université pendant 4 jours au rythme de la danse, en collaboration avec La Ferme de Bel Ébat. 70 étudiants danseurs amateurs et semi-professionnels, de tous styles, seront regroupés pour vous présenter leur spectacle de clôture Paris, le temps d’une chanson, mis en scène par Myriam Blanc, à La Ferme de Bel Ébat le mercredi 11 avril 2012 à 20h30.

Les ARTs À L’éCoLeLa semaine des arts à l’école constitue la face visible du travail conséquent accompli toute l’année en faveur de l’éducation artistique en relation avec les artistes qui jalonnent nos saisons et les enseignants qui nous accordent leur confiance. La Ferme de Bel Ébat organise en effet de nombreux ateliers de pratique artistique dans les établissements scolaires de la maternelle au lycée, les établissements médicaux éducatifs ou les centres de loisirs... En mai, le théâtre de Guyancourt offre l’opportunité aux élèves de répéter sur sa scène afin de proposer des restitutions dans des conditions professionnelles. Cette visibilité a lieu sur le temps scolaire à destination des élèves des autres classes et en soirée à destination des familles. La Ferme de bel ébat bénéficie pour ces différents ateliers du soutien de l’inspection académique, du rectorat de versailles et de la DRAC ile-de-France.

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L'éQUipe Direction & programmation Yoann Lavabre. Direction technique Pascal Caffé. Communication & relations publiques Sandrine Bila. Action culturelle & programmation danse Richard Le Normand. Administration Martine Pello. Accueil du public & billetterie Maria Thuillier.

pour l'accueil des spectacles l'équipe permanente est accompagnée des régisseurs et techniciens intermittents et du personnel d'accueil vacataire.

Conception graphique Alice Gazio. écriture des textes Elsa Granat.impression Imprimerie Moderne de l’Est.

poUR veNiR par les transports en commun : RER C direction Saint-Quentin-en-Yvelines, ou train depuis Montparnasse ou La Défense, jusqu’à Saint-Quentin-en-Yvelines. Bus APTR SQYBUS n°467, arrêt Guyancourt Village. Prendre la rue du Grand Noyer (3e à gauche).

par l’autoroute A86 : A86 direction Versailles, sortie Saint-Quentin-en-Yvelines. Prendre la D127 direction Guyancourt Centre, sortie Centre Ville.

De paris, porte d’Auteuil : A13 direction Rouen, A12 direction Saint-Quentin-en-Yvelines, N286 direction Evry-Versailles. Sortie Guyancourt. Direction Guyancourt Centre, sortie Centre Ville.

La Ferme de bel ébat se trouve sur la place derrière l’hôtel de ville.

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sUR pLACeRéservations et retraits des billets du lundi au vendredi (hors périodede vacances scolaires) et les samedis jour de spectacle de 14h à 18h

ou deux heures avant la représentation à l’endroit où a lieu le spectacle._

sUR Le siTe iNTeRNeTwww.lafermedebelebat.fr

Paiement en ligne sécurisé. Surcoût de 1D par transaction._

pAR TéLéphoNeau 01 30 48 33 44

Réservations du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 18h.(hors période de vacances scolaires).

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pAR [email protected]

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pAR CoURRieRRéservations accompagnées du chèque à l’ordre du Trésor Public,

à La Ferme de Bel Ébat, Mairie de Guyancourt, BP 32, 78041 Guyancourt Cedex. _

Dans tous les cas, les billets sont à retirer sur place. Le règlement devra intervenir dans les 3 jours suivant la réservation. Les billets achetés ne sont ni repris ni échangés. Un justificatif récent devra obligatoirement être présenté au guichet pour les tarifs réduits et spéciaux. Le placement est libre.(Conditions générales de vente sur le site www.lafermedebelebat.fr).La salle est accessible aux personnes à mobilité réduite.Le bar ouvre 1 heure avant le début des spectacles.

RéDUiT : étudiants, jeunes de 18 à 26 ans, plus de 65 ans, demandeurs d'emploi, familles nombreuses, groupe de 8 et plus, carte d’invalidité.spéCiAL : moins de 18 ans, bénéficiaires du RSA, groupes scolaires.TARiF pARTiCULieR : carte DAC : 6D

sCoLAiRes eT CeNTRes De LoisiRs : CA-sQY : 3D / hors CA-sQY : 4D

CARTe De LA FeRMe De beL ébATPRIX DE LA CARTE : NoRMAL : 20J RéDUiT : 15J spéCiAL : 10J

L'achat de la carte vous donne ensuite droit à un tarif particulièrement réduit quel que soit le nombre de spectacles auxquels vous assistez.

Les pLACes soNT GRATUiTes AU-DeLÀ De LA 12e ACheTée !La carte est strictement nominative. Pour l'établir, pensez à venir avec une photographie d'identité.

Licence d'entrepreneur de spectacle : 781064 / 781070 / 781071Les informations publiées dans cette plaquette sont fournies à titre indicatif et sont susceptibles d'être modifiées sans préavis.

A b C sQYNoRMAL

RéDUiT

spéCiAL

20D 10D 5D

15D 7,50D 5D

10D 5D 5D

16D

13D

13D

A et sQY b CNoRMAL

RéDUiT

spéCiAL

7,50D

5D

2,50D

5D

2,50D

2,50D

2,50D

2,50D

2,50D

LA FeRMe De beL ébATThéâtre de Guyancourt

1 place de Bel Ébat78280 Guyancourt

[email protected]

FBE Plaquette saison 2011/2012

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Transcript of FBE Plaquette saison 2011/2012