DUMÉZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

download DUMÉZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

of 22

Transcript of DUMÉZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    1/22

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    2/22

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    3/22

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    4/22

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    5/22

    Bibliothquedes Sciences humaines

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    6/22

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    7/22

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    8/22

    ditions Gallimard, 1985.

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    9/22

    Ce livre a t conu dans la mme perspectiveque les deuxpremiers recueils d'Esquisses, Apollon sonore(1982), LaCour-

    tisane et les seigneurs colors (1983): chacune pose un pro-blme et prsente ce qui me parat tre le ou les principauxmoyensde solution. Elles ne sont pastoutespoussesau mme

    point. Plusieurs sont rudimentaires, d'autres plus dveloppesetplus nuances, maisaucunen'approchede sonterme etquel-ques-unes trs peu, j'espre conduiront peut-tre desimpasses. L'expriencemontre du moins quece genrelittrairen'est pas inutile. Le thme de l'Esquisse 4 (Apollon sonore,pp.43-50) a intress Daniel Dubuisson qui en a tir d'excel-lentes rflexions sur ce qu'on pourrait appeler la logique destrois fonctions (L'Homme, 93, 1985, pp. 105-121), parall-

    lement la rdaction de son grand livre, issu d'une i^ise dedoctorat, sur le fond mythique du Rmyana. Georges Chara-chidz a clair par l'environnement caucasien, svane notam-ment, la prire osste tudie dans l'Esquisse 37 (La Courti-sane pp. 114-119) et, tendant leproblme,ilainterprtlesgroupementsdegnies invoqus dans d'autres prires et celaparalllement la mise au point de sonPromthegrec et cau-casien, impatiemment attendu. Il y a lieu d'esprer que l'ex-

    gse de lgendes bouddhiques propose dans les Esquisses 26,27, 28 (La Courtisane pp. 17-45) inspirera des recherchespluspousses. Enfin, l'Esquisseavantlalettrequeconstituaient

    les pages 624-628dela conclusionde Mythe et popeI, surlestrois plus vieux hros des bylines russes, a t richementdveloppeet complte dans une thse que M. FrankDwightStephensa soutenue en 1984 (encours de publication). Je sou-

    PRFACE

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    10/22

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    11/22

    Prface

    ques et les extensions, et le secondlivre les dprissements,amputations,dsquilibres, breflapathologie.

    Les trois fonctions ne sont pas, quoi qu'on dise souvent,l'unique objet de ma recherche, pas plus que la machineriecomparativen'en estl'unique instrument. Surchaqueprovincedumonde indo-europen, quantitd'nigmesou,plus humble-ment, d'incertitudes particulires subsistent. J'en ai rencontrouctoy chaque tape de ma dmarche et, mettant profit

    l'expriencedela pensemythiqueacquisesurledomaineprin-cipal, j'ai entrepris de les clairer, ft-ce, comme dans l'Es-quisse 63, contre une explication trifonctionnelle propose pard'autres auteurs. Ainsi sont prsentes cinq Esquisses propre-mentromaines(61-65), uneindienne(66), deuxscythiques(67,68) et quatre iraniennes (69-72). L'intrt des Esquisses 61, 66et 69-72 dbordecependant la solution qu'elles donnent desproblmes prciset posent desquestions sinon de mthode, du

    moins de discipline intellectuelle.

    La troisime partie introduit dans les Esquisses un typed'critsdontj'aid beaucoupuserjadis et nagure, maisquejene pensais pasd'abord y mler. Dans peude temps,je ne seraipluslpourrtablirlavrit contre descritiquesqui, dirait-on,s'appliquent dfigurer, ridiculiser mon travail pour sedbarrasser plus facilement de rsultats qui les gnent dansleurs propresconstructions. Le jeu alors s'amplifiera, bien que

    je sois sr que de bons esprits feront obstacle l'opration. Jeprfre donc, de mon vivant, donner quelques exemples decetteescrimencessaire,quinem'estd'ailleurspasdsagrable.C'estpourquoi troisEsquissesmettent nules procdsde dis-cussion d'un germaniste amricain (73, 74) et d'un historienitaliende Rome (75).

    La conclusion reporte le lecteur sept lustres en arrire. Iltrouvera, inchang, clairseulementdequelques notes,leplai-doyer par lequel, en 1949, j'ai termin L'Hritage indo-euro-penRome bienpauvre hritageencomparaisondecequ'ilestdevenu, mais qui dj rencontrait les mmes formes d'op-positionque celles,toutesrcentes,quelesEsquisses73-75exa-minent. Cette constance demes adversaires dans ce qu'mileMeyerson recommandait d'appeler manque de bonne vo-

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    12/22

    Prface

    lont plutt que manque de bonne foi (v. ci-dessous,p. 335) resteracommeun destraits caractristiquesde lapetitehistoire de notre discipline, dans ses dbuts, mais sans aucundoute aussi dans ses prochains dveloppements, etjusqu' lamanuelisation complte des principaux rsultats. Bon cou-rage mescontubernales

    Paris, 4 mars 1984.

    GEORGES DUMZIL

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    13/22

    TRIFUNCTIONALIA

    (51 60)

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    14/22

    MANIBVS STIGI WIKANDERI AMICI

    CVIVS INGENIVM

    IN COMMVNIBVS STVDIIS

    MVLTA CONCEPIT PERFECIT DEFENDIT

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    15/22

    La Grcen'estpas gnreuse envers nosdossiers. M. BernardSergent a fait un bilan critique des expressionsde la structuredestrois fonctions, laplupartdu tempsisoles, envoie de fossili-sation, qu'on a proposd'y reconnatre c'est peudechose, com-

    par aux richesses qu'offrent l'Inde et l'Italie. Raison de pluspour pousserles fouillesl oellesont trelativement producti-ves etdeprospecterd'autres chantiers.

    LeJugementdePris, commecausemythique de laguerredeTroie, atrsttattir l'attention. Mais onn'en a pasbien mesu-rle rapportavec lercitde/Iliade. Or.ilse trouvequ'ilenjus-tifie une singularit de composition (Esq. 51). Cette rechercheengage regarder, de notrepoint de vue, d'autres lgendes de

    Troie celledeLaomdon, un autreresponsablemythiquedesaruine (Esq. 52), celle de safondation (Esq. 53), cette dernireappelantunetudesur unautrerapportentrelesenceinteset lestrois fonctions (Esq. 54).

    Ledialogue deCrsus et de Solon a aussi t trs tt analysselon le schma trifonctionnel. Mais le pch d'orgueil du roilydien ne doit pastre dtachdel'ensemble lgendaireauquelilappartient ila desconsquences, qui sedveloppent ellesaussi

    selon les trois fonctions(Esq. 55).Il a t montr, ds 1956, que le cadre leplus gnral de la

    foisonnante geste d'Hracls tait construit sur le thme, bienattest aussi dans l Inde, en Scandinavie et ailleurs, des trois

    pchs du hros. Il semble que c'est la mme idologie quiexpliquel'articulation du rcit desa mort (Esq. 56).

    Deuxautres traditionsgrecques, l'unepique, l'autrethologi-

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    16/22

    Trifunctionalia

    que, s'clairentdans la mme perspective, lapremirearticulantles trois niveaux d'une manire remarquable (Esq. 57, 58).

    Un texteclbrede laplusvieillelittraturegalloise, leMabi-nogi de Mathfils de Mathonwy, se dcouvre tre, dans sa pre-miremoiti, un originalexposd'une thologietrifonctionnelle(Esq. 59).

    Desdiscussions rcemment renouveles conduisent regrou-perles attestationsquelespotes latinsdugrandsicle fournis-sentd'une longuesurvivancede la triadeprcapitoline ou, plusabstraitement, de lastructure destrois fonctions (Esq. 60).

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    17/22

    Homerus uindicatus

    (le troisime chantde Ylliade)

    Undesservicesquela philologie compare peutrendreaux philologies spares est de les protger contre leur proprelibertconcernantdes origines , de les orientervers unedci-sionraisonne, positive oungative, qu'undossier purement grec

    ou romainouindienou scandinavene peutquelaisserdansl'in-dtermination etparconsquent livre l'arbitraire. Quant lamatirede Troade, ce services'estjusqu' prsent rduit ceci,quiest important lacomptitiondestroisdesseset le jugementde Prisprolongent, de faon originale, mais fidle, un schmadecontetrifonctionnel, bienattest horsde Grce, o un choix seproposeou s'imposeentretrois objets, ou conduites, ou destins,dontchacun comporteles chances et les risques d'unedes fonc-tions la puissance souveraine(ousacre), la force guerrire etlaprosprit(avectoussesaspectsetprolongements). La dmons-tration, commence en 1954, a t complte dans Mythe et

    pope I4, 1981, pp. 581-585 Lechoix).Tant qu'on nesort pasdeslimitesde la Grce, tantqu'on ne

    replacepas ce rcit grec dans la collection o il n'est qu'unevariante, onpeut naturellement penserqu'ila timagin par

    unpote inconnu, en Ionie ou quelque partentre la Thessalieet la Crte, etle considrer comme un ajout secondaire, litt-raire, deplus vieilles traditions sur la ruine de Troie. C'estainsi qu'on a t amen trs tt, dans le cercle des ruditsalexandrins eux-mmes, souligner que /Iliade ne contientqu'une seule et brve mention explicite du Jugement, et, enconsquence, contester l'anciennetdes vers qui la contien-nent. Les arguments d'Aristarque, puisqu'il s'agit de lui, ne

    51

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    18/22

    Trifunctionalia

    sont pasconvaincants. Aprs AlbertSeveryns,jeles aidiscutsdans Mythe et pope.

    Je mepropose ici de montrer que, si l'on admet au contrairequ'Homre, bien qu'il en parltpeu, ou, sil'on suitAristarque,n'en parlt pas, connaissait la querelle des trois desses et yvoyait, comme la tradition ultrieure, l'originedes malheursdeTroie, plusieurs aspects de /Iliadeprennent un intrt nouveauet, surtout, une singularit de composition, dont les adversairesdel'unitdu pome tirentvolontiersargument, se justifie pleine-ment.

    La scnedu XXIe chant, laquelleje viens de faire allusion,n'est qu'un paroxysme. On vrifie aisment que d'un bout l'autre du pome chacune destrois desses se prsente exacte-ment, dans ses rapports avec les autres, comme elles s'taientprsentes au berger Pris. Hr manifeste constamment son

    rang de souveraine, sur et pouse de Zeus, et Athn lui estconstamment subordonne, comme le veut l'articulation de ladeuximefonction lapremire Hrlui donnedes missions,des ordres, gnralementguerriers, qu'elle excute sansdiscus-sion. Leurcoalition opre merveille, mais sur deux niveauxc'est de haut que Hr regarde et contrle la bataille, tandisqu'Athns'ymle, avecle sang-froidd'unspcialiste, animantcelui-ci, dsarmant celui-l, sauvant tel autre, inspirant des

    plansetdesruses auxcombattants. Danslaseule scne o Hrdescend avec Athn sur le champ de bataille pour aider lesArgiens contre les Troyens que soutient Aphrodite (V 778-863), la diffrence des comportements est frappante Hr,empruntant l'aspect et lavoix de Stentor, aussi fortequecin-quante autres runies, se borne faire honte la foule desGrecs branls, alors qu'Athn s'adresse directement Dio-mde, le dlivrede son scrupuleet, se faisant le cocher de son

    char, l'entraneau dueldanslequel ilvablesserArs. L'opposi-tion des rles a d'ailleurs t mise en formule, avant cet pi-sode, par Zeus lui-mme. Quand Hr lui a demand (762-763)

    Zeus pre, te mettras-tu en colre si, tiappant durementArs,je le fais sortir du combat ?

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    19/22

    Homerus uindicatus

    Zeus a rpondu (765-766)

    Ehbien, pousse donc contre lui Athn, la dessedu butin,qui, plus que tous, a l'habitude d'approcher de lui les mauvaisesdouleurs.

    Ainsi Hrdcide etdirige, Athn, dans le charde combat,excute.

    Quant aux sentiments des deux desses l'gard d'Aphrodite,

    ils se rduisent au mpris et la haine avec une violence quiassure qu'ils'agitbiend'unequerellepersonnelle Hre injurie,Athnfaitplus dansle mme pisode,pours'excuserauprsd'elle parce qu'il hsite attaquerAres, Diomde luidit (819-821)

    Tunem'aspas permisde combattrefacefaceaveclesautresdieux bienheureux. Seule, silafillede Zeus, Aphrodite, entraitdansla guerre,je devais lablesser, elle, de monbronze aigu.

    Il fait allusion la scne qui prcde immdiatement

    Aphrodites'tantjete danslabataillepoursauverlesTroyens,Diomde, fort du mandat d'Athn, s'est lanc contre elle(331-333):

    Il sait, ditHomre, quela desseestsansforce,qu'ellen'estpasdeces desses quiprsident la guerre des hommes,qu'elle n'est

    ni Athn ni Eny destructrice de villes.

    Et c'est bien ce que Diomdelui-mme lui crie, tandis qu'ellefuit, perdue, blesse aubrasparle bronze sans piti (348-351)

    Recule, fillede Zeus, quitte lecombatetle carnage. N'est-cepas assez que tu sduises les femmes sans force, et veux-tu, telleque tu es (cr je), courir la guerre ? Je pense que dsormais tufrissonneras au seul nom d'une guerre mme lointaine

    Mais c'est surtout au dbut du pome que le jeu des troisfonctions clate travers lejeu destrois desses.

    L'lliade, si l'on peut dire, dmarre lentement et comporte,jusqu' la fin du quatrime chant, une succession d'pisodesdont l'ajustement, deux deux et de chacun l'ensemble, adonn aux commentateurs l'occasion de quelques-uns de ces

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    20/22

    Trifunctionalia

    dcrets de dislocation, premptoirement couverts du nomd'vidences. On y a constat des maladresses, voire desinconsquences , et l'on a suppos une pluralit d'auteurs,uneliassede petits pomes indpendants auxfinalitsdiverses,qui auraient t runis plus ou moins adroitement par l'au-teur (tardif) de Y Iliade et dont on veut bien attribuer quel-ques-uns Homre . Or cette longue et multiple introduc-tiondupomesejustifie au contrairedansunprojetunitaire, sil'on tient compte de l'importance qu'a le jugement de Pris

    dans l'conomie de la guerre de Troie.

    Dans les deux premiers chants, tout, saufla fin du secondlesCatalogues desdeux armes prparede faon continuecequi sera le sujet vritable, limit, du pome la Colred'Achille, son origine et ses premiers effets jusqu' la mortd'Hector. Mais, l'arrire-plan de la Colre, par-del lesconduites etlessentimentsindividuels, comment Homre pou-

    vait-ilne pas voquerla vaste matiredontelle n'estquel'pi-sode dcisifet qui en fait la grandeur humaine le sort mmed'Ilion ?Or ce sort rsulte du conflit destrois desses et, tra-

    verselles, du dsaccord destrois fonctions dont l'harmonieconditionne la dure des socits. En consquence, aprs l'in-

    troduction troite qui ouvre la Colre, et suspendant l'actionainsicommence, Homre ena placune seconde oil dcou-vrelejeudesdesses, lasouveraine etla guerrired'unepart, lavoluptueuse d'autre part. Bien entendu, ilne fait pasla thoriedesfonctions pourquoi, pote, prendrait-il l'outil du politiqueoudu thologien ? Il les met en scne dans le scandale de leurdislocation. Et il les met en scne deux tages dans les per-sonnages divins qui les incarnent et dans les personnages hu-mains dont les caractres ou les places dans la socit en fontlesinstruments. Les acteurssonten hautlestrois desseset, sur

    terre, un souverain, un guerrier, un voluptueux.C'est Troie, socit normale et complte, qui fournit cettetriade humaine, dans les personnes du roi Priam, qui n'inter-vient que dans un acte religieux etpar unesorte de prsidencedsole des vnements d'Hector, le chefde guerre reconnu

    commetel par les deux armes de Pris, pantin aux mains desadesse. Les Grecs sont autre chose unearme encampagne,non une socit cette arme"ne met donc en valeur, par le

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    21/22

    Raymond Aron,

    Raymond Aron,Raymond Aron,

    MarcAuge,tienneBalzs,Jean Baudrillard,

    mileBenveniste,

    Jacques Berque,

    Jacques Berque,

    Roger Caillois,

    Roger Caillois,

    Roger Caillois et

    G.-E. von Grunebaum,Genevive

    Calame-Griaule,Elias Canetti,

    JacquelineDelange,MarcelDetienne,Georges Devereux,Hubert Dreyfuset

    PaulRabinow,

    GeorgesDumzil,

    Georges Dumzil,Georges Dumzil,

    GeorgesDumzil,

    Georges Dumzil,

    GeorgesDumzil,

    Louis Dumont,

    Louis Dumont,

    A. P. Elkin,

    DES SCIENCES HUMAINES

    BIBLIOTHQUE

    Djpublis

    LES TAPES DE LA PENSESOCIOLOGIQUE

    TUDES POLITIQUESPENSER LA GUERRE, CLAUSEWITZ,1 ET II

    GNIE DU PAGANISME

    LA BUREAUCRATIE CLESTE

    L'CHANGE SYMBOLIQUE ET LA MORT

    PROBLMES DE LINGUISTIQUE GNRALE, IET II

    L'GYPTE IMPRIALISME ET RVOLUTION

    LANGAGES ARABES DU PRSENT

    APPROCHES DE L'IMAGINAIRE

    APPROCHES DE LA POSIE

    LE RVE ET LES SOCITS HUMAINES

    ETHNOLOGIE ET LANGAGE LA PAROLE CHEZ

    LES DOGON

    MASSE ET PUISSANCE

    ARTS ET PEUPLES DE L'AFRIQUE NOIRE

    L'INVENTION DE LA MYTHOLOGIE

    ESSAIS D'ETHNOPSYCHIATRIE GNRALE

    MICHEL FOUCAULT. UN PARCOURS PHILOSO-

    PHIQUE

    IDES ROMAINES

    MYTHE ET POPE, I, II ET IIIFTES ROMAINES D'T ET D'AUTOMNE, Suivi

    de DIX QUESTIONS ROMAINES

    LES DIEUX SOUVERAINS DES INDO-EURO-PENSAPOLLON SONORE et autres essais

    LA COURTISANE ET LES SEIGNEURS COLORS

    et autres essais

    HOMO HIERARCHICUS

    HOMO AEQUALIS, I

    LES ABORIGNES AUSTRALIENS

    Extrait de la publication

  • 8/12/2019 DUMZIL, L'Oubli de l'Homme (preface)

    22/22

    E. E. Evans-Pritchard,

    E. E. Evans-Pritchard,

    Jeanne Favret-Saada,

    Michel Foucault,

    Michel Foucault,

    Pierre Francastel,

    NorthropFrye,

    J. K. Galbraith,

    J. K. Galbraith,

    Marcel Gauchet et

    Clifford C. Geertz,

    E. H. Gombrich,Luc de Heusch,

    GeraldHolton,

    SirJulian Huxley,

    M. Izard et P. Smith,

    Franois Jacob,Pierre Jacob,

    Abram Kardiner,

    Robert Klein,

    PaulLazarsfeld,Edmund Leach,

    Claude Lefort,

    Michel Leiris,

    Iouri Lotman,

    Ernesto deMartino,Henri Mendras et alii,

    AlfredMtraux,

    AlfredMtraux,Wilhelm E. Mlhmann,

    GunnarMyrdal,

    Gladys Swain,

    LES NUER

    SORCELLERIE, ORACLES ET MAGIE CHEZ LES

    AZAND

    LES MOTS, LA MORT, LES SORTS

    LES MOTS ET LES CHOSES

    L'ARCHOLOGIE DU SAVOIR

    LA FIGURE ET LE LIEU

    ANATOMIE DE LA CRITIQUE

    LE NOUVEL TAT INDUSTRIEL (nouvelle di-tion)

    LA SCIENCE CONOMIQUE ET L'INTRT G-NRAL

    LA PRATIQUE DE L'ESPRIT HUMAIN. L'INSTI-

    TUTION ASILAIRE ET LA RVOLUTION D-

    MOCRATIQUE

    BALI. Interprtation d'une cultureL'ART ET L'ILLUSION

    POURQUOI l'pouser ? et autres essais

    L'IMAGINATION SCIENTIFIQUE

    LE COMPORTEMENT RITUEL CHEZ L'HOMME

    ET L'ANIMAL

    LA FONCTION SYMBOLIQUE, essais d'anthro-

    pologieLA LOGIQUE DU VIVANT

    DE VIENNE CAMBRIDGE

    L'INDIVIDU DANS SA SOCITLA FORME ET L'INTELLIGIBLE

    PHILOSOPHIE DES SCIENCES SOCIALES

    L'unit DE L'HOMME et autres essais

    LES FORMES DE L'HISTOIRE Essais d'anthro-

    pologie politiqueL'AFRIQUEFANTMELA STRUCTURE DU TEXTE ARTISTIQUE

    LA TERRE DU REMORDS

    LA SAGESSE ET LE DSORDRE FRANCE 1980RELIGIONET MAGIES INDIENNES D'AMRIQUE

    DU SUD

    LE VAUDOU HATIEN

    MESSIANISMES RVOLUTIONNAIRES DU TIERS

    MONDE

    LE DFI DU MONDE PAUVRE