COuLisses et NOuveLLes Des...

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NEWSLETTER N°3 /AVRIL-MAI 2014 DE CORNAVIN À … ANNEMASSE 2 Edito 3 Et demain? 4-5 Challenge relevé 6 Remis au jour près! 7 Nouveau départ 8 Dernières nouvelles COULISSES ET NOUVELLES DES CHANTIERS UN MAILLON DU CEVA

Transcript of COuLisses et NOuveLLes Des...

NewsLetter N°3 /AvriL-mAi 2014

De COrNAviN À … ANNemAsse

2 Edito • 3 Et demain? • 4-5 Challenge relevé

6 Remis au jour près! • 7 Nouveau départ • 8 Dernières nouvelles

COuLisses

et NOuveLLes Des ChANtiers

uN mAiLLON Du CevA

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eDitO et DemAiN?

Sylvy JOLYConsultante RH au cabinet ADECOMI

Historique et perspective

La réalisation du CEVA, que l’on nomme «Le chantier du siècle», avance à bon rythme et dans les délais pour le Consortium SGC; un véritable exploit lorsque l’on connaît les contraintes logistiques sur les quatre sites.Aujourd’hui, où en est-on et quels sont les nouveaux challenges à relever pour les équipes?

Le toit du cevA se construit De la rue Frank-Thomas jusqu’à Chêne-Bougeries, les travaux effectués dans le secteur Trois-Chêne apporteront une grande plus-value aux usagers grâce à la création d’une voie verte. Les cyclistes et les piétons passeront au-dessus de la ligne du CEVA, enterrée à cet endroit, et donc sans nuisance sonore.L’équipe qui travaille sur ce secteur est en train de réaliser la plus longue tranchée couverte du chantier, soit 1,5 km en prolonge-ment de la gare Genève – Eaux-Vives. Le tunnel Frank-Thomas ayant été démoli, les travaux de réalisation de la dalle de couver-ture en béton pour le toit du CEVA sont sous les feux de la rampe. «Nous attaquons des deux côtés (Frank Thomas et Grange-Fal-quet), pour nous retrouver à Grange-Canal, qui est le point névral-gique de notre chantier», explique Guillaume Cornali, ingénieur en génie civil et chef de lot. Les contraintes? L’obligation de couler du béton au milieu du chantier, ce qui interrompt la circulation interne et pose une contrainte logistique importante. Le point positif? «Nous pouvons creuser afin de circuler sur le toit tandis que les machines continuent leurs travaux en taupe pour se retrouver aussi à Grange-Canal». Les travaux de surfaces vont se poursuivre jusqu’à cet automne, quant aux travaux souterrains, ils vont durer un peu moins de 2 ans.

24.14 en transitLe chantier 24.14 vient de terminer la première de ses deux phases et, depuis septembre 2013, l’équipe travaille sur le chan-tier 37.10 (voir page 7). La mise à disposition de la tranchée couverte pour le lot du tunnel de Pinchat a été faite. «Le grand défi de la phase 2, explique Julien Piaux, est prévue début 2016: lorsque le Tunnel de Champel sera terminé ainsi que le pont de l’Arve. C’est alors que notre équipe va

réaliser la jonction finale du tunnel de Pinchat. Cette phase durera entre six mois et un an, mais le trafic ne sera pas perturbé.Ainsi les équipes transitent d’un chantier à l’autre et d’un défi au suivant: «Les collaborateurs bougent beaucoup et sont sous pression, mais ils apprécient et recherchent l’action. C’est un monde de passionnés, et il faut vraiment l’être», conclut le chef de lot.

Jonction finaleLa mise à disposition de la tranchée couverte pour le marinage du tunnel de Pinchat a été faite. «Le grand défi de la phase 2, explique Julien Piaux, est prévue début 2016: lorsque le Tunnel de Pinchat sera terminé ainsi que le pont sur l’Arve, qui se prolonge par le tunnel de Champel. C’est alors que SGC va réaliser la jonction finale de tous ces ouvrages. Cette phase durera entre 8 et 10 mois, mais le trafic ne sera pas perturbé.

26.20 Livré au jour près!Le 21 février dernier, le lot 26.20 a été remis. «C’était le gros délai du chantier, reconnaît Nicho-las Bergeal, chef de lot. Aujourd’hui, nous avons mis à disposition les deux-tiers de la galerie afin que le tunnel de Champel puisse démarrer de ce coté. Sachant que cet ouvrage est le plus critique du CEVA et qu’en plus il a démarré sur son autre front en retard, il était très important de livrer cette attaque à l’entreprise dans les temps et ainsi permettre au CEVA d’être dans les meil-leures conditions. C’était une grande pression avec des enjeux politiques et financiers impor-tants. Peu de gens y croyaient, mais nous l’avons fait grâce au travail de toutes les équipes: belle performance!

(A)Live oN site Au cevA à GeNève

C ‘est par une belle journée ensoleillée de février que nous débarquions Fabrice Emin et moi-même caméra au poing pour tourner notre deuxième film sur le chantier du consortium SGC aux Eaux-Vives. L’aventure avait commencé en juillet 2013 pour un premier film tourné sur les ouvriers en direct sur leur chantier (d’où le titre: «(A)live on site»). Ils avaient suivi deux sessions de 5 journées de formation, en juillet et en août 2013, auxquelles partici-paient des ouvriers et des cadres afin de réfléchir ensemble sur cette difficile question: «Comment atteindre petit à petit l’ambitieux objectif du 0 accident mentionné par Vinci, en accompagnant les participants sur le chemin du changement d’attitude et de l’alternative à la prise de risque». La projection pendant ces journées d’un film bienveillant de 15 min monté d’après les séquences tournées in situ et illustrant le quotidien des ouvriers et de leurs encadrants a permis de dresser un bilan des bonnes pratiques et des situations à risques à améliorer. La deuxième période de tournage, 7 mois après, sur une nouvelle tranche de travaux, a constaté la progression des bonnes pratiques et de celles qui restaient à faire évoluer. Ce concept créé par VCGP se développe partout dans le monde et dans de nombreuses langues. La particularité du travail effectué à Genève au Consortium SGC est que nous avons travaillé dans les meilleures conditions possibles. Le Chef de projet, Emma-nuel Robert, très porteur du projet était en lien quotidien avec notre action et son évolution. Il a su prendre temps d’introduire tous les matins chaque journée de formation, expliquant pourquoi ce travail était essentiel, se montrant très accessible aux ouvriers et faisant le point chaque soir pour savoir comment la journée s’était passée. Les deux responsables de sécurité furent également très présents: Fabrice Emin pour le tournage et le montage puis en co-animation avec moi chaque jour et Harry Helfenstein passant et participant très régu-lièrement pendant la journée. Il pourrait sembler évident que les responsables QSE parti-cipent à l’opération, ce n’est malheureusement pas toujours le cas.L’intérêt majeur c’est de découvrir le rôle exact de ces responsables qui passent plus sou-vent pour des «policiers» que pour des alliés, alors que c’est en travaillant main dans la main que les choses progresseront. C’est pourquoi je souhaite vraiment que cette aventure genevoise porte ses fruits et que petit à petit chaque ouvrier, chaque encadrant partage la même conviction que ça n’est que tous ensemble que l’objectif sera atteint.Alors oui, dans ces conditions, au Consortium SGC pour le projet CEVA, le «YES YOU CAN» semble réalisable.Merci à tous pour votre chaleureux accueil et à bientôt pour de nouvelles aventures.

Sylvy JOLYConsultante RH au cabinet ADECOMI

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ChALLeNge reLevé

ceNtrALe à bétoN - uN cHALLeNGe reLevé

Gilles Ernault et son équipe ont monté l’ensemble du système technique et logistique de la centrale à béton et en ont fait une des unités de production les plus importantes de Genève.

Un challenge relevé, bien qu’il ne fût pas gagné d’avance: «La principale crainte était la logistique, explique Gilles Ernault. Nous avions conçu la centrale pour réaliser 14 000 m3 de béton par mois et nous avons eu des pics à 1000 m3 par jour. Cela représente le passage de plus de 200 camions par jour soit, en moyenne, un toutes les 2 minutes».

une production importanteDans le giron de la tour de contrôle, ça turbine; Nicolas Buridant, chef centraliste est aux commandes. Pas question de lambiner; la production a démarré fin 2012 et il reste encore plus de 100 000 m3 de béton à produire sur les 4 lots du Consortium jusqu’à la fin 2015. «La production a été en progression constante, relève Gilles Ernault, passant de 2000 m3, puis très vite à 4000, 8000, pour se stabiliser à 10 000 m3, après un pic de pro-duction de 13 000 m3 par mois durant l’été 2013, lors du boom des lots 26.20 et 27.20. Avec le démarrage du chantier 37.10, le rythme va se stabiliser entre 10 et 13 000 m3 par mois, puis passer entre 5 et 7000 m3 à partir du 2e semestre».

Nicolas Buridant, chef centraliste pour les 2 unités de production béton. Il assure entre 70 et 130 livraisons par jour sur l’ensemble des 2 centrales, pour produire jusqu’à 1000 m3 en pointe. «A ce jour,

nous avons effectué près de 20’000 livraisons de béton».Il est là depuis le début, monté la centrale, puis supervisé la production sur le 26.20 et le 27.20. Avec le début du 37.10, beaucoup plus éloigné, «la difficulté sera logistique: l’achemine-ment du béton et le manque de stockage. Aucun retour négatif à ce jour, tout a été réalisé dans les règles de l’art: c’est notre fierté!».Son dada: sa famille et le tir sportif.

(Camion n°1) Patrick Denervaud, chauffeur toupie à béton et parfois machiniste. La force tranquille dont une équipe a besoin. «Nous sommes hyper sollicités et nous devons être

continuellement vigilants», d’où l’idée de calme inhérente à la bonne marche d’une horloge dont chaque rouage s’imbrique l’un dans l’autre.Son dada: voir jouer ses fils au foot.

Elodie Chorier, centraliste a déjà effectué différentes missions au sein de l’organisation: aide au montage des centrales, responsable qualité, planning, logistique, etc. Après avoir

travaillé aux parois moulées et dans d’autres secteurs du groupe, elle regrette un peu de ne plus être sur le terrain, en plein air, dans l’action. Ce qu’elle aime dans son job: l’ambiance franche au sein de l’équipe. Son dada: les voyages et la moto.

(Camion n°6) Patrice Charmont, il connaît parfaitement les chemins, rues et avenues dans la ville de Genève. La conduite de camions de toutes sortes dans le canton n’a plus de secret pour lui! Il est aussi à l’aise avec un camion citerne de lait qu’avec un camion toupie béton!Son data: Sa famille, la montagne… et le sauna!

(Camion n°3) Jérémy Boisseau, chauffeur, a grandi dans un camion, celui de son père qui travaille aussi sur le chantier. «J’ai ma propre expérience, souligne Jérémy, mais je sais aussi profiter de la sienne». Ce qu’il aime? Etre sur le terrain, dehors. Son dada: il vient d’être papa d’un petit.

(Camion n°7) Yassin Messaadi, achemine le béton sur les différents ateliers du chantier. Pour lui, le challenge c’est la sécurité. Tout change tout le temps, il ne faut pas garder d’habitudes mais être constamment vigilant et concentré. «Je pense que le stress est un vrai facteur risque. En étant calme, je rentre aussi chez moi beaucoup moins fatigué et mieux disposé pour ma soirée».Son dada: sa femme et ses enfants.

(Camion pompe béton) Sébastien Mérandon, pompiste à béton, va là où les malaxeurs ne peuvent accéder et où aucun camion ne peut aller. Il aime «manier la flèche dans des endroits inaccessibles» et surtout l’indépendance avec laquelle il peut gérer son temps. Son dada: le ski.

Ludovic Hervouin, responsable qualité, en charge de contrôler les bétons produits dans le respect des normes en vigueur et du plan de contrôle interne. Si Ludovic aime le travail et les

responsabilités, il avoue que le plus grand défi reste le maintien d’une qualité constante. C’est une exigence de chaque instant mais cela donne du rythme à la journée.Son dada: la montagne.

Olivier Cartigny, centraliste a suivi le montage des centrales depuis l’origine. La fabrication du béton… il connaît! Il était déjà centraliste avant d’arriver sur le projet.

(Camion n°2) Jean Luc Boisseau, chauffeur, a passé la plus grande partie de sa vie dans un camion pour livrer du béton.Son data: Les voyages à travers le monde.

Découvrir de nouveaux pays lointains… en globetrotteur.

Filipe Barroso, aide centraliste et maintenance a été formé par le Consortium pour monter les centrales. Il connaît la charpente, la mécanique et la serrurerie, c’est une corde de plus à son arc. «Ici, chacun connaît son job et on s’entend bien, c’est très important».Son dada: sa famille et les sports de combat.

«Il reste encore plus de 100 000 m3 de béton à produire sur les 4 lots du CEVA d’ici à 2015» Gilles Ernault, Responsable béton-logistique et fournitures sensibles

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26.20

terrAssemeNt: uN esprit d’équipe

Le 21 février dernier, le lot 26.20 a été remis dans les délais. Une performance digne d’une équipe efficace et soudée. «Depuis 10 ans que je suis dans le métier, s’étonne Aurélien Bois, chef de service travaux et res-ponsable terrassement, c’est la première fois que je vois un chantier arriver au jour près après 19 mois de travaux, sans compter un an et demi de préparation. Malgré les aléas, et ils étaient nombreux, nous avons réussi!»

point chaudNœud stratégique du projet CEVA, le chantier Weber – Gare des Eaux-Vives a en effet été l’un des grands challenges de ces deux dernières années. De par sa situation au cœur de la ville, ce secteur est très solli-cité; il s’étend de l’avenue Théodore-Weber au chemin, Frank-Thomas en passant par le tunnel de Champel et la gare des Eaux-Vives. Une densité qui laisse peu de place pour manœuvrer. Ainsi, afin d’évacuer une partie des matériaux d’excavation, il a fallu réaliser une tranchée couverte en prolongement du portail de la sortie du tunnel, de même qu’après la future gare en direction de Frank-Thomas.

en plein terrassementActuellement plus des 2/3 du terrassement ont été effectués. «Le tiers restant est assez compliqué, explique Aurélien Bois, car nous sommes dans des argiles un peu délicates à travailler et différentes de ce qui a été utilisé jusqu’à ce jour. Les travaux de terrassement se termineront au mois de juin pour parve-nir à 750 m de l’ensemble du lot 26.20. Plus de 200 000 m3 de matériaux auront alors été manipulés depuis octobre 2012. Un chiffre qui n’impres-sionne pas du tout Aurélien Bois: «Pour nous terrassiers, ce n’est pas énorme. Aujourd’hui, c’est ce que l’on fait normalement en trois mois. Par contre, la particularité ici, c’est que le travail s’effectue à la fois en taupe et en site urbain, d’où la difficulté de «mettre en musique» le transit de ces matériaux dans un espace aussi exigu».

«sortir le chantier»Pour parler du bon côté de ce lot, Aurélien Bois a apprécié de travailler sur la déviation du tram et le puits Weber: «des mouchoirs de poche dans lesquels on apprend beaucoup de choses! Dont la nécessité de la consultation et de la prise en compte des contraintes de chacun, sou-ligne le responsable. Avec le chevauchement entre les deux chantiers au niveau du chemin Frank-Thomas, qui a débuté fin février, la gestion et la mise en commun des ressources entre les deux entreprises est d’au-tant plus essentielle; parce que nous travaillons pour le même but: par-venir à «sortir le chantier».

Pelle caméléon bras déplié.

NOuveAu DépArt

oN ApprocHe de LA GAre des eAux-vives

L’évènement de ce printemps, c’est aussi le démar-rage du lot 37.10. Les travaux vont bon train et ont commencé par la préparation de la plateforme qui va servir à la réalisation de la paroi moulée au départ de la rue de la Gravière et jusqu’au chemin de Grange-Fal-quet à l’autre bout. Là, le lot rejoint le 27.20 qui a rendu la zone dans les délais en février dernier.

défi n° 1: La rivièreLe premier défi avec lequel l’équipe doit composer est lié à la logistique autour de la rivière. «Nous avons ici un nœud de travaux et de trafic extrêmement dense, et nous avons des phasages très précis, explique le chef du lot, François Rapinat. Etant donné qu’il est impératif de ne pas toucher au lit de la rivière pour des raisons écologiques; nous avons décidé de construire un pont de chantier provisoire. Par ailleurs, cela facilitera grandement le trafic interne des poids lourds et allégera la cir-culation sur la voie publique».

travail au grand air«Du fait de l’impossibilité de passer sous la rivière, et pour faire la tran-sition entre les parois moulées et le pont, nous allons construire une zone entièrement en béton armé «classique». Ce cadre est nécessaire car la tranchée couverte est complètement enterrée tandis que le pont est à ciel ouvert. Ainsi, cette tranchée couverte en béton armé va nous permettre de travailler «au grand air», tout en restant enterré pour l’ou-vrage final qui accueillera les rails du CEVA. La deuxième phase des travaux consistera à construire «l’habillage» de la gare: «l’enveloppe en quelque sorte, explique François Rapinat, ainsi que les quais, les escaliers et les murs. Puis une autre entreprise viendra poser les rails, réaliser les aménagements et équipements et... en voiture!

«C’est la première fois que je vois un chantier arriver au jour près, après 19 mois de travaux!» Aurélien Bois, chef de service travaux et responsable terrassementet fournitures sensibles

Un caméléon qui a du coffreEt ce caméléon, comment se porte-t-il? Nous avons posé la question à Aurélien Bois qui a pu tester les capacités de la «bête» depuis l’automne dernier et pour deux ans encore. «Ça faisait un moment que je l’attendais. Je ne suis peut-être pas objectif, c’est un peu mon bébé. J’ai proposé cette machine à la direction et je me suis engagé à ce qu’elle soit efficace; et je pense qu’elle donne entière satisfaction. Les rende-ments sont même supérieurs à ce que nous attendions. Par contre, nous n’avons pas encore pu la tes-ter sur des hauteurs maximales, nous sommes allés à 20 mètres, alors qu’elle peut descendre jusqu’à 25 mètres. Mais nous n’aurons pas besoin d’aller jusque-là».

défi n° 2: La Halte de chêne-bourgLe deuxième défi consiste à réaliser un ouvrage par-ticulier au niveau de la gare. Ce qui est spécial, c’est que ce genre de travail à ciel ouvert est contraire à ce qui se fait ailleurs. «Sur le reste du chantier du CEVA, on fait les parois et on descend, explique l’ingénieur, là l’ouvrage est construit en partant du bas et en remontant vers la surface».

une équipe soudéeActuellement, une cinquantaine de collaborateurs et une dizaine de collaborateurs extérieurs travaillent sur le lot. En effectif total, c’est un chantier qui va tourner autour de 120 personnes; nous prévoyons un pic de production à partir de juin et jusqu’en octobre.

News

Lot 37.10Deux routes sont coupées autour du chantier: le chemin de la Mon-tagne, depuis le mois de mars et pour six mois, et l’avenue Bel-Air qui sera déviée dès le mois de mai et pour 6 mois également. Une signalisation provisoire sera mise en place.

Lot 27.20Les travaux impliquent également la déviation de la circulation du che-min de Grange-Canal au niveau du croisement avec le chemin Frank-Thomas mais le trafic n’est pas interrompu.

un pont à Grange-canalAvril signifie aussi la fin de la démo-lition du tunnel Frank-Thomas, et en particulier sous la route de Grange-Canal. Pour ce faire, tous les services, ainsi que la route ont été déviés depuis le 6 mars et pour une année. Un pont sera construit pendant l’année de déviation de la route et il pourra être emprunté par les véhicules utilisant le chemin Grange-Canal. Quant à la voie verte, elle passera à 4.50 m sous le pont, le CEVA étant toujours enterré.

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News

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Directeur de la publication Emmanuel RobertCoordination Caroline BoutryPhotographe Cédric HelslyInfographies CEVA, ShutterstockRédactrice en chef Magaly MaviliaCorrection Anne DebétazConception graphique et mise en pages Atema Communication SA

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