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Concours National de la Commercialisation Epreuves écrites : Reportage à l’EGC de Valence ORGANISATION PAR LES DCF 26/07 Le 29 Mars, l’EGC Valence a participé au Concours National de la Commercialisation de l’association des Dirigeants Commerciaux de France. Pendant 4 heures les élèves de deuxième année ont utilisé leur expérience et les connaissances acquises en cours au profit de l’Ile de La Réunion. Jean Baptiste, EGC 2 nous raconte plus en détails son opinion sur ce concours pas tout à fait comme les autres : Jean-Baptiste, quelle est ta première impression à la sortie de ce concours DCF ? Je ne sais pas trop, on vient de passer 4h à réfléchir sur un sujet plutôt complexe. A l’EGC on n’a pas l’habitude de travailler sur le secteur du tourisme. Le CNC m’a permis d’exprimer mes idées et de proposer des solutions tout en utilisant les connaissances acquises à l’école. Qu’as-tu pensé du sujet de ce 51° concours DCF ? Les 20 premières minutes je me suis demandé ce que j’allais bien pouvoir écrire, je ne connais pas La Réunion. Heureusement les annexes étaient nombreuses et très bien documentées, ça m’a donné une bonne vue d’ensemble et je crois qu’après c’est notre imagination qui fait le reste ! Que penses-tu de l’industrie du tourisme ? Après réflexion il n’y a rien d’anodin à ce que le sujet soit basé sur le tourisme. C’est un secteur d’activité en pleine expansion et La Réunion est très tributaire du tourisme pour son développement économique. De plus le tourisme reste une industrie d’avenir, avec le développement des classes moyennes dans les pays émergents, la France en tant que première destination touristique au monde a vraiment une belle carte à jouer.

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Concours National de la Commercialisation

Epreuves écrites : Reportage à l’EGC de Valence

ORGANISATION PAR LES DCF 26/07

Le 29 Mars, l’EGC Valence a participé au Concours National de la Commercialisation de

l’association des Dirigeants Commerciaux de

France. Pendant 4 heures les élèves de deuxième

année ont utilisé leur expérience et les

connaissances acquises en cours au profit de l’Ile

de La Réunion. Jean Baptiste, EGC 2 nous raconte

plus en détails son opinion sur ce concours pas

tout à fait comme les autres :

Jean-Baptiste, quelle est ta première impression à la sortie de ce concours DCF ?

Je ne sais pas trop, on vient de passer 4h à réfléchir sur un sujet plutôt complexe. A l’EGC on n’a

pas l’habitude de travailler sur le secteur du tourisme. Le CNC m’a permis d’exprimer mes idées

et de proposer des solutions tout en utilisant les connaissances acquises à l’école.

Qu’as-tu pensé du sujet de ce 51° concours DCF ?

Les 20 premières minutes je me suis demandé ce que j’allais bien pouvoir écrire, je ne connais

pas La Réunion. Heureusement les annexes étaient

nombreuses et très bien documentées, ça m’a donné une

bonne vue d’ensemble et je crois qu’après c’est notre

imagination qui fait le reste !

Que penses-tu de l’industrie du tourisme ?

Après réflexion il n’y a rien d’anodin à ce que le sujet soit basé sur le tourisme. C’est un secteur

d’activité en pleine expansion et La Réunion est très tributaire du tourisme pour son

développement économique. De plus le tourisme reste une industrie d’avenir, avec le

développement des classes moyennes dans les pays émergents, la France en tant que première

destination touristique au monde a vraiment une belle carte à jouer.

Quel a été le fil conducteur de ta réflexion pour ce 51° CNC ?

L’Ile de La Réunion a de sérieux atouts pour être une destination phare dans l’Océan Indien

malgré la présence de sérieux concurrents comme l’Ile Maurice ou Les Seychelles. Il y a un cadre

naturel magnifique, des infrastructures importantes et des habitants chaleureux et

accueillants… Pour ma part j’ai développé une idée forte : la diversification de l’offre touristique

vers une clientèle d’affaires et aisée. Le principal problème, aujourd’hui, c’est l’éloignement des

principales zones de concentration des touristes et la cherté des billets d’avions. De plus, le

niveau de vie est plus élevé à La Réunion qu’ailleurs ce qui pose un grave problème de

compétitivité-prix. Attirer une clientèle d’affaire permettra à mon avis d’exploiter pleinement le

potentiel de l’île tout en correspondant aux prix pratiqués.

Justement, à ton avis l’EGC, prépare-t-elle bien via son programme à ce type de concours ?

En tant qu’école de commerce c’est évident. Mais l’EGC a des atouts supplémentaires. En 2 ans,

déjà, on a eu l’occasion, très souvent, de travailler sur des cas concrets en parallèle de nos

cours, via nos défis ou des concours internes en

marketing, ce qui nous permet d’avoir une méthodologie

bien précise qui nous aide dans ce genre d’épreuve.

Pour toi quel est l’intérêt d’un tel concours ?

Je crois qu’un tel concours permet de nous mettre dans

des situations réelles, c’est un peu un avant-goût de ce qui nous attends en entreprise, où l’on

doit gérer une équipe, un budget, respecter des délais… De plus, le CNC nous permet de mettre

en avant nos idées, notre créativité, c’est tout de même un plaisir de voir notre travail être

utilisé pour la réalisation d’un tel projet ! D’autant que l’on peut être facilement repéré par des

entreprises par le biais du CNC.

Quels conseils donnerais-tu aux élèves qui passeront le CNC en 2013 ?

La première chose est de ne pas paniquer malgré le flot important d’informations diverses et

variées. Evidemment un brin de confiance en soi est nécessaire ! Les informations données sont

pertinentes et logiques, il faut s’en servir comme base mais après ce sont nos connaissances

personnelles et notre créativité qui prennent naturellement le relais.

Depuis maintenant 50 ans les Dirigeants Commerciaux de France utilisent, à bon escient,

les idées et la vitalité des futurs jeunes actifs pour établir de vraies stratégies marketing et

commerciales. Nombres de projets issus de ces élèves ont vu le jour et ont été adaptés par les

entreprises partenaires du concours. De plus, le CNC permet de repérer de futurs jeunes talents

qui sauront exploiter leur potentiel au sein du monde de l’entreprise.