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communiqué Picasso et les maîtres 8 octobre 2008 2 février 2009 Galeries nationales du Grand Palais Cette exposition est organisée par la Réunion des rTmsées nationaux, le rmisée national Picasso, le musée du Louvre et le misée d’orsay. Elle est placée sous le haut patronage de Monsieur Nicolas Sarkozy, Président de la République française. Cette exposition est réalisée grâce au soutien de LWOI I Moét Hennessy . Louis Vuitton. Simultanément, deux ensembles thématiques d’oeuvres de Picasso sont regroupés au musée du Louvre, autour des Femmes d’Alger de Gal esna&msJesduG,rdPl, sodobe2005 Oelacroix, et au musée d’orsay, autour du Déjeuner sur l’herbe 2 féeder 2809 de Manet. ø2aRnM IMJI. Pablo Picasso se forme très tât aux règles strictes de la pratique académique auprès de son père, José Ruiz-Blasco, professeur à l’Ecole des Beaux Arts et directeur du musée de Mâlaga, comme durant son cursus (1893-1899) à l’Eoole des Beaux-Arts de la Corùna, à la Lonja (Barcelone) , puis à l’Académie San Fernando (Madrid) . Dessins d’après l’Antique, statuaire et architectonique, copies de toiles des grands maîtres espagnols, étude de l’histoire de l’art européen sont au coeur de cette formation, enrscinée dans la tradition picturale humaniste qui nous rappelle que Picasso est un peintre au X1X siècle (1881) . Académies, peinture d’histoire, scène de genres, compositions épiques ou religieuses, rendu bitumeux, grandes machines, concours, peinture officielle, galerie de peinture, forment le quotidien, la référence et la perepective de son apprentissage. L’oppression ressentie par Picasso, jeune artiste virtuose, qui ne dessina jamais comme un enfant mais eut immédiatement à se confronter à Michel-Ange et Raphaél, nourrira pour longtemps un désir de subversion qui le conduisit à la plus radicale des innovations formelles, le cubisme, comme à la fondation de l’art moderne. A la fois jeune maître académique (médaillé dès l’âge de 19 ans) et acharné destructeur des formes établies, Picasso mena sans discontinuer un dialogue tendu avec la grande tradition de la peinture. Sa posture m’est pas - consue chez d’autres artistes de sa génération - le simple reflet d’une époque en pleine mutation, mais un élément moteur, constitutif de son projet pictural. Il opère depuis sa première grande composition à sujet allégorique, Derniers Moments (1896), jusqu’aux dernières toiles d’après Vèlasquez, Titien et Rembrandt, règnent sous les masques de mousquetaires, musiciens et matadors, le motif d’un autoportrait obsessionnel. La période des variations d’après Delacroix, Vélasquez ou Manet (1950-1962), forme l’épisode le plus conmu et explicite de cette démarche de relecture critique qui traverse l’ensemble de son oeuvre. L’exposition Picasso et les maîtres présentée aux Galeries nationales du Grand Palais se veut un premier bilan. Quelque 210 oeuvres se trouvent rassemblées pour l’occasion, issues des collections les plus prestigieuses, publiques et privées, nationales et internationales. Légende Arnsld Nesman, Patio Picasso, Vaiiasris, 2954. Paris, Musée Picasso Crédit o Arnold Newoan Eatatef Oetty Images. succession Picsass, Paris 200e.

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communiqué

Picasso et les maîtres8 octobre 2008 — 2 février 2009Galeries nationales du Grand Palais

Cette exposition est organisée par la Réunion des rTmsées nationaux,

le rmisée national Picasso, le musée du Louvre et le misée d’orsay.

Elle est placée sous le haut patronage de Monsieur Nicolas Sarkozy,

Président de la République française.

Cette exposition est réalisée grâce au soutien

de LWOI I Moét Hennessy . Louis Vuitton.

Simultanément, deux ensembles thématiques d’oeuvres de Picasso

sont regroupés au musée du Louvre, autour des Femmes d’Alger de

Gal esna&msJesduG,rdPl, sodobe2005 Oelacroix, et au musée d’orsay, autour du Déjeuner sur l’herbe2 féeder 2809

de Manet.ø2aRnM IMJI.

Pablo Picasso se forme très tât aux règles strictes de la pratique académique auprès de son

père, José Ruiz-Blasco, professeur à l’Ecole des Beaux Arts et directeur du musée de Mâlaga,

comme durant son cursus (1893-1899) à l’Eoole des Beaux-Arts de la Corùna, à la Lonja

(Barcelone) , puis à l’Académie San Fernando (Madrid) . Dessins d’après l’Antique, statuaire

et architectonique, copies de toiles des grands maîtres espagnols, étude de l’histoire de

l’art européen sont au coeur de cette formation, enrscinée dans la tradition picturale

humaniste qui nous rappelle que Picasso est un peintre né au X1X siècle (1881) . Académies,

peinture d’histoire, scène de genres, compositions épiques ou religieuses, rendu bitumeux,

grandes machines, concours, peinture officielle, galerie de peinture, forment le quotidien,

la référence et la perepective de son apprentissage.

L’oppression ressentie par Picasso, jeune artiste virtuose, qui ne dessina jamais comme un

enfant mais eut immédiatement à se confronter à Michel-Ange et Raphaél, nourrira pour

longtemps un désir de subversion qui le conduisit à la plus radicale des innovations

formelles, le cubisme, comme à la fondation de l’art moderne.

A la fois jeune maître académique (médaillé dès l’âge de 19 ans) et acharné destructeur des

formes établies, Picasso mena sans discontinuer un dialogue tendu avec la grande tradition

de la peinture. Sa posture m’est pas - consue chez d’autres artistes de sa génération - le

simple reflet d’une époque en pleine mutation, mais un élément moteur, constitutif de son

projet pictural. Il opère depuis sa première grande composition à sujet allégorique,

Derniers Moments (1896), jusqu’aux dernières toiles d’après Vèlasquez, Titien et Rembrandt,

où règnent sous les masques de mousquetaires, musiciens et matadors, le motif d’un

autoportrait obsessionnel. La période des variations d’après Delacroix, Vélasquez ou

Manet (1950-1962), forme l’épisode le plus conmu et explicite de cette démarche de relecture

critique qui traverse l’ensemble de son oeuvre.

L’exposition Picasso et les maîtres présentée aux Galeries nationales du Grand Palais se

veut un premier bilan. Quelque 210 oeuvres se trouvent rassemblées pour l’occasion, issues

des collections les plus prestigieuses, publiques et privées, nationales et internationales.

Légende Arnsld Nesman, Patio Picasso, Vaiiasris, 2954. Paris, Musée PicassoCrédit o Arnold Newoan Eatatef Oetty Images. succession Picsass, Paris 200e.

press release

Picasso and the Masters8 October 2008 — 2 February 2009Galeries nationales du Grand Palais

An exhibition organised by the Réunion des Musées Nationaux,

the Musée National Picasso, the Musée du Louvre and the Musée

d’Orsay

:t takes place under che patronage of Monsieur Nicotas

Sarkozy, the President of tEe French Republic.

Spcnsored by LVNH / Moét Eennessy.Lcuis Vuitton.

concurrently, two theme exhibitions o! Picasso’, works are on

show, one around Delacroix’s Women of Algiers, at the Louvre,

and the other around Manet’s Picnic, at the Muses d’orsay.

Pablo Picasso was trained in the strict ruies 0f academic painting at a very early age,

first by bis father, José Ruiz-Elasco, a teacher at the fine art schoci in Mflaga and

director of the Malaga Museum, and then as a student (1893-1899) at the fine arts school of

La Corûna, at La Lonja (Barcelona) , and then al tEe San Fernando Academy (Madrid) . Drawings

from the antique, statuary and architectonica, copies o! paintings by the great Spanish

masters and the study of the history of European art formed the core of this training,

rooted in the humanist pictoriai tradition which reminda us that Picasso cas born in the

i9th century (1881). Academic drawings, history paintings, genre scenes, epic oc celigious

compositions, sombre effects, large, pretentious canvases, cornpetitions, officiai painting

and art galleries were the daiiy labour, the references and prospects cf his formative

years. —

The oppression feit by tEe virtuoso youth, who neyer drew as a child does but was

irmzediately ronfronted cioh Micheiangelo ar,d Raphaei, long nourished a subversive urge which

drove hin into the most radical formai innovations, Cubisn, and ta the foundation o! modem

art.

simuitaneousiy s brilliant acadenic artist (Es won a nedal at 1g) and a rabid destroyer of

established forns, Picasso kept up an ongoir.g dialogue with the grand tradition in painting.

Mis posture was flot — as it was in many artists of bis generation — nereiy a refiecticn o! a

period in the chroes of change, but tEe driving force shaping his pictorial ambitions. It

operated from bis tirs: major composition on an ailegoricai subject, Science and Chariry

(1596), until tEe laat canvases after Velazquez. Titian and Rembrandt, in which an obsessive

self-portrait lurked beneath the masks of musketeers, musicians and matadors. The period of

“variations’ on Deiacroix, Veiazquec or Manet (1950-1962) forns the best-known and nost

explicit episode in this process of critical revisiting whïch runs throughout his work.

Bringing together 210 works from the most prestigious public and private, French and

international collections, Picasso and the Masters at the Galeries nationales du Grand

Palais takes stock of this process.

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mises en espace

Picasso et les maîtres8 octobre 2008 — 2 février 2009Galeries nationales du Grand Palais

Cette eosition est crgar.isée par la Réunion des isées Nationaux, le

musée national Picasso, le musée du Louvre et le musés d’orsay.

Elle est placée sous le haut patronage de Monsieur Nicoles Sarkozy,

président de la République française.

Cette exposition est réalisée grâce au soutien

de LVI’S1 / Moét Hennessy Louis Vuitton.

Simultanément, deux ensembles thématiques d’oeuvres de Picasso

sont regroupés au musée du Louvre, autour dec Fesses d’Alger de

oelacroix, et au musée d’orsay, autour du Déjeuner sur l’herbe

de Manet.

UNE EXPOSITION, TROIS LIEUX

Cette exposition, dont le sujet avoué est de transgresser les frontières historiques et

institutionnelles, se tien: dans trois lieux majeurs de la culture muséale française.

Le Grand palais où Picasso expose lors de l’ir.auguration du ‘oâtiment dans le cadre de

l’Exposition Universelle de 1900. Agé de 19 ans, il figure dans la sélection officielle

Espagnole et découvre l-ors du voyage effectué alors à Paris, au sein des expositions

décennales et centennalès qui sont organisées au Grand palais, es oeuvres anciennes et

modernes représentatives de tous les grands courants artistiques européens contemporains.

Le musée du Louvre où Picasso, dès ce premier voyage, étudie notamment l’art des écoles

française, flamande, italienne, et découvre l’art ibérique à l’hiver 1905, grâce à

l’exposition des fouilles d’Csuna qui déclencha la recherche le conduisant vers le Cubisme.

c’est là aussi, en 1947, qu’il accrochera aux côtés des oeuvres de Zurbaran, Delacroix et

Courbet, les sept toiles qu’il destinait au nouveau Musée d’art moderne pour vérifier si sa

peinture • tenait • à côté de celle des grands maîtres. En un hommage exceptionnel organisé

en 1971 pour son quatre vingt dixiéme anniversaire, son Arlequin de 1923 Lut accroché dans

la Grande galerie du Louvre en relation avec le Suies de Watteau, le consacrant maître

parmi les rr,altres.

Contact presse laurence.roussellouvre.fr

Le musée d’orsay, enfin, qui s’il n’existait pas du temps de Picasso, conserve aujourd’hui

les oeuvres de !lanet, des impressionnistes et postimpressionnistes dont l’oeuvre bouleversa

ses conceptions picturales et ses ccr.victions en 1900 lors de ce voyage inaugural. Contact

presse anelie.hardivillier€nusee-orsay.fr

AUX GALERIES NATIONALES DU GRAND PALAIS

L’exposition est articulée en une disaine de salles qui déclinent les grands • thèmes

sujets et • notifs • de l’expression artistique autoportraits, nus, portraits virils,

portraits féminins, nature morte, peinture d’histoire. Leur caractère générique est en effet

si nargué qu’il s’efface au profit de la peinture seule, dont le dialogue chromatique et

constructif entrepris avec les maîtres, atteint ici des paroxysmes.

Lgende n muséographic de Jean-Français 50dm, natif mural.

locations

Picasso and the Masters8 October 2008 - 2 February 2009Galeries Nationales of the Grand Palais

An exhibition organised by the Réunion des Musées Nationaux.

the Musée National Picasso, the Musée du Louvre and the Musée

d’orsay.

n takes place under the patronage oC Monsieur Nicolas Sarkozy,

the President of the French Republic.

Sponsored by LVNH / Moét Uennessy.Louis Vuitton.

Concurrently, two theme exhibitions oC Picasso s works are on

show, one around Oeiacroixs Women of Algiers, at the Louvre,

and the other around Manets Picnic, at the Musee d’orsay.

The works in chia exhibition, whose avowed aim is to cross historic and ins:icucicnai

bour.daries, are exhibited in three oC France’s major museums.

Le Grand Palais where Picasso exhibited when the building cper.ed as part oC che ‘Jniversai

Exhibition oC 1900. Ther. c•nly 19, te was one of the officiai Spanish exhibitors and during

the trip ta Paris te disccvered in che decenniai and centenniai exhibitior.s cf che Grand

Palais the works oC che old masters and modem works representing ail the greac contemporary

artistic currenta in Europe.

The Musée du Louvre where Picasso on his first trip studied, in particular, the French,

Fiemish and Italian schools and where lie dïscovered Iberian art in the winter oC 1905 thanks

to the exflibition oC the finds from the Osuna archaeological expedition. This encouraged

research thac lad to bis interest in Cubism. It was there too, in 1947, that ha hung next to

the works oC Zurbaran, Delacroix and Courbet the seven canvases that were destined for the

Musée d’art Moderne to check that lis painting ‘stood up’ next to those of the great

masters. In 1971, for bis ninetieth birchday ana as an exceptional gesture, bis 1923

painting cf Harlequin was hung in the Louvres Grande Galerie by Watteau’s ailles, s gesture

which crcwned hin a master anong Great Masters.

Press contact, 1aurence.rousse11ouvre.Cr

The Musée d’orsay, although it did not exist in the tins cf Picasso, today it houses the

works oC Manet, and the impressionists and posE impressicnists whose work, in 1900, rocked

Picassos artistic sensibilities snd ideas during bis first trip ta Paris.

Press contact, ame1ie.hardivi1liermusee-orsay.fr

AT THE GALERIES NATIONALES 0F TUE GRAND PALAIS

The exhibition is centred around ten rooms chat explore the great chemes, sutjects and

motifs that formed Picasso’s artiscic expression - self portraits, nudes, male and female

portraits, stili-lifes, historical painting. Their generic style is 50 marked that they fade

ana highlighc just the painting, whose chromatic and constructive dialogue with the Great

Masters here reaches new heights.

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parcours de l’exposition

Picasso et les maîtres8 octobre 2008 - 2 février 2009

Cette exocsition est organisée par la Réunion des Musées Nationaux,

le lalsée national Picasso, le misée du louvre et le Tasée d’orsay.

Elle est placée sous le haut patronage de Itnsieur Nicolas Sarkozy,

Président de la République française

Cette exposition est réalisée grâce au soutien

de LVW4 / Moét Hennessy Louis Vuitton.

Simultanément, deux ensembles thématiques d’oeuvres de Picasso

sont regroupés au musée du Louvre, autour des Fassies d’Alger de

Oelacroix, et au musée d’orsay, autour du Déjeuner sur l’herbe

de Manet.

Les salles de l’exposition mettent en exergue l’influence des Maîtres sur l’oeuvre de Picasso.

Salle 1 Peintres t Yo, Picasso s

La première salle de l’exposition évoque à travers une série de portraits et d’autoportraits

le Panthéon artistique de Picasso. Centrée autour du Portrait de José RLis-Blasco, père de

Picasso et son premier maître, elle confronte le jeune peintre â ses artistes de prédilection.

tans des Autoportraits annonciateurs et messianiques du début du siècle, Picasso brandit

pinceaux et pa’ette et affiche insolemment sa concurrence avec les t Têtes s de Greco,

Rembrandt, Goya, Poussin, Ijelacroix, Ingres, comme avec le trio des modernistes subversifs

Cézanne, van Gogh et Gauguin. Ensemble, Picasso et ses maîtres, tous porteurs de la révolution

en peinture, nous défient de leurs regards têtus qui forment le mur de scène devant lequel se

déroule le théâtre cannibale de l’exposition e Picasso & les maitres s.

Salle 2 MODELES, La copie de la copie

Dès l’âge de onze ans, Picasso veut devenir • peintre s. Il s’engage dans la formation

académique dispensée par les écoles des Beaux-arts fondé sur la copie d’après l’antique et la

copie des maîtres.

Pleins de virtuosité, ses dessins et études de jeunesse sont ici réunis pour la première fois,

voisinant avec des piltres et copies d’antiques.

Modales archalques et primitifs traversent tout l’oeuvre de Picasso

- référence aux kouroi et â la statuaire ibérique (époque de GÔsol, 1906)

- thématiques mythologiques (période proto-cubistes, 1907-1908)

- cette tendance s’affirme dans une influence composite statuaire gréco-romaine,

fresques pompéiennes, peinture baroque, nais aussi Ingres (années 20)

Une des constantes de son oeuvre, la thématique des Nus, des Baigneuses, des Grâces, des Ferrnnes

au bord de la mer ou se coiffant, forme une litanie de figures hiératiques empruntant leurs

motifs à Greco, Gauguin, Puvis de Chavannes, Cézanne ou Renoir.

Pablo Picasso, vo Picasso, 1901, Paris, huile sur toile 12.5 X 60,5 cm. collection particulire succession Picasso, 2008

caractérise les bodegones de Zurbarân, Vélasquez ou Melandez, comme les sévères Vanités

peintes par Picasso durant la seconde guerre mondiale. Ecorchés, crânes de mouton, sacrifice

des innocents y sont autant d’homnages douloureux à l’univers sombre, ambigu et furieux décrit

par Goya.

Salles 8 et 9 FIGURES. Le Portrait de la peinture

La défiguration constitue le véritable sujet de la séquence de portraits féminins réunis ici

où Picasso s’affirme comme le plus grand portraitiste du Xxème siècle. De l’un à l’autre,

s’établit le principe des équivalences réglant les rapports entre son oeuvre et les tableaux

emblématiques de Soya, Nanet, tngres, Degas, Douanier Rousseau ou Van Sogh. Fernande à la

mantille. 1905, répond aux grisailles légères comme au thème espagnol de La Comtesse del

Carpio de Soya, 1794-1795. La Buveuse d’absinthe, 1901, évoque la métaphysique toile de Degas,

L’Absinthe, 1875. Les classiques au surréalistes portraits Olga au col de fourrure, 1923, et

Grand Nu au fauteuil rouge, 1929. restituent les déformations des dissonants Portrait de

Mademoiselle Rivière, 1793-1807, cosmie de Madame Moitessier, 1856, d’Ingres. Le kaléidoscope

chromatique des Portraits de Marie-Thérèse ou Dora Maar, 1936-1938, conjuguent les modèles

austères de L’Arlésienne, 1668, de Van Gogh ou da L’Autor,ne (Méry Laurent) , 1581, de Manet.

Plus littéralement, Les Amoureux, 1919, confondent les idiooes picturaux de e carte à jouer

des statures colossales de Nana, 1870, de Manet et Yadwiga, [1595], de Douanier Rousseau. Les

Demoiselles des bords de Seine d’après courber (1857), 1950, d4coupe le natif emmêlé des deux

jeunes filles.

Ainsi, à travers les descriptions atypicues et empathirues de ses ncdèles, Picasso se révèle

un, portraitiste de légende, divaguant à la poursuite irraisor.née d’un portrait de la peinture

que rien n’achève ni n’éteint.

Salle 10 Grands Nus (Vénus, V.aja, Olynpia)

Picasso regarde • les signes • élaborés par les maîtres corroie autant de stratégies pour

résoudre l’énigme fondatrice • dire le nu comme il est . Il regarde la Vénus se divertissant

avec l’Amour et la Musique, peint vers 1548 par Titien, La Femme à la source, 1654, de

Rembrar,dt, La Maja desnuda, 1797-1600, de Soya, L’Odalisque, 1824-1834, d’Ingres, Olympia,

1863, de Manet. Il regarde ces Nus • se dirent dans la peinture comme ils ne l’avaient

jamais fait auparavant et à l’instar de ses prédécesseurs, Picasso va se faire leur héritier

dans un important ensemble de grands nus peints à partir de 1964. Dialoguant avec l’un ou

l’autre de ces tableaux majeurs, parfois avec plusieurs d’entre eux et en pensant à bien

d’autres dont un détail, une posture depuis toujours le hantent, il en commente la couleur,

l’architecture des gestes, les murmures dans ses grands nus alanguis, provocateurs,

accusateurs en rose et noir. Ainsi, • dire le nu conwe il est s incarne pour Picasso une

nissicn bien plus qu’une obsession, dont il nourrit son oeuvre entier car pour lui, le nu se

confond avec la substance mène de la peinture.

room guide

Picasso and the MastersB October 2008 — 2 February 2009Galeries nationales du Grand Palais

An exhibition organised by the Réunion des Musées Nationaux,

the Musée National Picasso, the Musée du Louvre and the Musée

d’orsay.

‘t tekes place under the patror.age cf Monsieur Nicotas

Sarkozy. the Presider.t cf the French Republic.

Sponsored by LVMH / Moét Her.nessy.Louis Vuittcn.

Concurrently, two theme exhibitions cf Picasso’s wcrks are on

show, one around Delacroix’s Women cf Algiers, et the Louvre,

and the other around Manets Picoic, et the Musee d’orsay.

The exhibition highlights the influence cf the Great Masters on the work cf Picasso.

Roon 1 “Vo, Picasso” paintings

The first room in the exhibition, through e series of portraits and self-portraits looks at

Picasso’s artistic hall of fane. Centred around the Portrait cf José Ruiz-Blasco, Picassos

father and his first teacher, it matches the young painter with his favourite artists. In his

self-portraits from the beginning cf the century messianic and harbingers of things to corne,

Picasso brandishes bis brush and palette and insolently announces himself in competition with

the ‘heads’ cf al Grecc, Rembrandt, Goya, Poussin, Delacroix, Ingres as well as the trio cf

modernist subversives Cézanne, Van Gogh and Gauguin. Together Picasso and his masters, each

moving forward the revolution in painting, taunt us with their headstrcng gazes and forrn the

backdrcp in front cf which unfolde the cannibal theatre of the exhibition Picasso and the

Masters

Room 2 MODELS, Copies of copies

From the age cf eleven Picasso wanted te becorne s painter and cas trained in the acadenic

syllabus cf the schools cf Fine Arts based on copying the Great Masters.

Full cf talent bis early drawings and studies are brought together here for the first tine in

conjuncticn with ccpies and models cf antique art.

Archaic ana primitive models are present over the whole swaep cf Picasso’s wcrk

- references cc kouroi and to Iberiar, statuary (Gésol period, 1906)

- rny:hological thenes (proto-Cubist period, 1907-1908)

- this trend was accentuated in composite way: Creco-Rornan statua’, Pompeian frescos,

baroque painting and also Ingres (twenties)

One cf the constants in bis wcrk is the theme cf the Nude, Bathers, the Graces, women by the

ses or con,bing their hair ana these form s litany cf hieratic figures that take their

inspiration frorn el Greco, Gauguin, Puvis de Chavannes, Cézanne ana Renoir.

Roon 3 (flac parts) COLOURS. Indigo nania & black paintingsThe black paintings (1896-98) take their odeurs fron el Greco, Goys and Velasquez. Gecnetric

rigour and plastic asceticisrn cf Zurbaràn or Ribera.

tortured, sheep’s sku]Js, the sacrifice cf the innocents are ail e painful bornage te the dark,

furicus and ambigucus universe described by Goys.

acons s ana 9 FIGURES. The portrait cf painting

Distortion is the real subject cf the sequence cf portraits cf wornen gathered here where

Picasso is revealed te be the greatest portrait painter cf the 2Oth century. Going frcrn one ta

the next, a table cf equivalences regulates the links between bis work and chat cf the major

paintings cf Goya, Manet, Ingres, Degas, Douanier Rousseau and Van Gogh. Ferdinande with s

Mantilla 1905, is a response ta light grisailles like those on che Spanish therne cf La

Countess del Carpio cf Goya, 1794-1795. The Absinthe Drinker, 1901 recai.ls the metaphysical

canvas nf Degas, L’Absinthe, 1875. 11w classical and surrealist portraits of OIga with e fur

ccllar, 1923, and Nude in Red Armchair, 1929, restore the distortions cf the discordant

Portrait off Mademoiselle Rivière, 1793-1807 and Madame Mcitessier, 1856, by Ingres. fle

chroratic kaleidcsccpe cf the portraits cf Marie-Thérèse and Dora Maar, 1936-1938, combine the

austere nodels cf Van Gtgh’s L’Arlésienne, 1808 ar.d Mar.et’s L’Automne (Méry Laurent), 1881.

More literally, Les Amoureux, 1919, combines the pirtorial idicn cf the “playir.g card’ the

colossal stature cf Nana, 1870, cf Manet ar.d Yadwiga, [1095), cf Douanier Rousseau. And Les

Demoiselles des bords de Seine after Courbet (1057), 1950. cuts thrcugh the tangled motif cf

the twc ycung girls.

So thrcugh bis azypical and empathetic descriptions cf bis nodels Picasso reveals hinseif te

be a legendary portrait artist, noving towards the irraticnal pursuit cf a Portrait cf a

Painting that nothing can finish or extinguish.

Roon la Great Nudes (Venus, Maja, 0lyuia)

Picasso sets ‘the sigr.s’ draw-n up by the Masters as se nany strategies for the rescluticn cf

the basic enigma ‘telling the nude as it is’. Me explores Venus delightir.g hernIE with Love

and Music, painted by Titian in about 1540, the Woman bathing in s Stream 1654 by Renbrar.dt,

Goya’s La Naja desnuda, 1797-1800, the odaliscue, 1824-1834, by Ingres and Olympia, 1063, by

Manet. He sees these nudes ‘corununicating’ in painting as they had neyer done before and after

1964, fcllowing on from bis predecesscrs Picasso takes on their nantie with a large r.unber cf

greac pair.tings Entering intc s dialogue with cne or cther cf these major wcrks or sonetines

with several cf then and thinking cf nany others where a detail, s posture bas always haunted

hin, 1w cccuier.ts on colour, the architecture cf the gesture, the nurnurir.g cf these

prnvocative, languid nudes, accusatcry in black and pink. Thus ‘telling the nude how it is’ is

for Picasso a mission rather ncre than an obsession, which feeds ail his work because for him

the nude nerges into the substance itself cf painting.

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t,li

gii

re.c

rip

iecl

ep

làtr

ed’a

prè

sla

itti

qse

,pet

nhii

reel

copi

eda

près

nueu

refo

rmen

tla

base

dete

len

taig

isem

ent.

Dura

nt

ces

anné

esde

prim

e[o

rmat

ioit

,Pi

cass

ose

suut

,tel

sans

grat

ide

oinv

irll

unau

xrè

gles

dela

pra

tique

acad

éusi

triilc

i lia

leiti

elti

aetit

née

site

‘tise

pcit

ruit

eco

nl’

erii

ste.

liii

réal

isni

eIx

eeir

geiu

i..C

titix

psss

ilitin

nIt

islu

nil

ilas

.

aine

ligi

euva

jssi

éeta

legen

re,

seiu

ilit

ielit

aise

.le

iiit

tnei

ise,

gra

ines

ruar

bit

ies

dect

incn

iins

funs

iienl

leel

titi

ttil

ien

etIl

ion

rein

decc

lap

pren

tiss

age

dont

lobte

rlif

asoué

cvi

lape

rpét

uati

ond

uit

art

ofc

ieL

Mai

sce

tte

isté

iiect

lape

intu

rede

sm

allr

eslu

iré

crIe

ntla

nia

it.

lan

incl

inai

ion

pers

aueu

elle

auta

lil

que

par

voea

lion

fant

ita

le.

Pica

sso

tir

vien

tai

nsi—

pein

tre—

tIcs

tant

plus

jeun

eag

e,et

lam

usli

lue

pois

,lu

ile

insu

unun

ern

deré

rére

nce

Ibue

lari

l,ln

ppre

ssio

itre

sset

itie

par

ees

suie

art

iste

Intr

use,

qui

ne

na_

wan

iava

avci

t—.—

.—.d

.W

!.O

zna

n‘e

laqu

rlic

s’u’

labr

sirn

lpt

otnc

ttli

ism

eri

cubi

sme:

•En

sein

iure

,ses

gnal

n.[

alri

t.p

s’s

li’e

i’ie

elu

[eG

rrcn

.Go

ya,

les

Pri

mit

ifs,

clsu

trou

tve

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.gie

s,qi

fli

wpl

aisa

ital

ler

cru

die,

auL

sius

re’.

.II

s’yad

rpa

slie

ude

sesu

qn

.tsd

requ

ecr

isit

scnt

.da

n’se

sae

etie

npt

teai

ogra

phiq

ues.

tirag

esan

cie

ns

àra

D.

mir

wsa

nniu

ssule

scir

inje

pii

iian

ii&

nd

en

aD

ssm

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iislii

lsIe

l,•I

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uni,

tiai

rist

ispi

es,

vign

ette

s1xs

ldic

itai

res,

illa

situ

ilpas

seci

clim

nni

.L

ur,

osai

arcs

tair

esha

raid

sne

dein

nesi

tsa

ssa

hier

arch

iem

uvre

sde

sm

alin

s.cl

icl

ic,

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vp

aph

squ

es.

nu

,ac

aute

nsiq

iws

inta

geri

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qau’

biie

_M

ais

il‘w

,‘ag

sraa

tpa

ssi

topl

erne

tit

bpe

safl

assa

td’

une

,s’e

hrta

tse

dim

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•nut

pren

ante

s•

tel

lue

iegt

aùt

unm

asit

iqse

peur

l’cs

ntis

me

enav

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énel

uitt

ttla

lsra

tislu

ede

puis

led

eja

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duuns

perl

e.

Nui

tll

uiô

ide

sni

eiaz

i’r,i

s.de

sry

thm

esde

I.pe

rss&

repr

ésen

tati

se.d

esdé

funi

ttasi

utss

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figu

ueei

dcl.

Flgu

Tai.o

ts.

Ell

esco

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tuni

itpe

urlu

iun

Ep

ilai

tiri

lela

foli

chon

mig

ran

tepi

aisa

nià

Ihél

éruç

énei

téii

.cu

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anda

tte,

I,,

e.i

ia-n

ustt

iern

.,es.

Ers

cite

ren

nuis

ani

ce,d

uscu

rnen

isail

,éfé

rmic

esca

noni

iqtu

ade

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uie

nuis

ito

pil

ele

hit

,qir

nduc

tiru

ule

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itiu

re

des

maf

litce

.P

mji

esi

ruki

irm

ulti

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ss”

.ia

deli

nte

ipné

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enta

reli

epo

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ptiie

des

susu

rres

sera

iide

sapa

nun

esi

rsie

gie

soit

.hle

peu

‘‘cii

i’lu

neic

iie

cnsi

’eaiu

aii

ses

iisé

nse

,rA

nri

1np

is

manie

lag

racI

epe

iiii

urr

repr

ei,i

i_Ii

i

si.

etdi

flia

seni

leur

subs

iar.

ceic

onog

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ique

com

me

ksar

clIn

,ul

ain

les

plis

nuit

•‘n

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pai

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pru

[unin

léli

tai

tearu

l’is

init

par

l’est

héti

que

itii

;ire

ni

ieai

lson

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aisu

,r.M

iasé

nser

gean

ts.

Ens

embl

e,le

sch

er,

ilit

-tie

re.

le’

coi»

eel

le’

repr

isili

achi

utis

lain

e.ii

iun

syii

tagm

ege

netiq

eie

del’

art

ira

ssie

n.La

grac

ile

cias

iifi

eaii

anle

.be

au,

ails

.si

cii

sisa

lsci

alp

iile

cide

aco

liure

çsnp

nila

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leur

epti

nain

elcl

dit

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beau

etlis

laipà

serr

ueci

reea

iiaa

ssi

pour

biss

ereu

hev

eir

cequ

ida

nsta

nescep

tt,e

ide

lape

intu

nevi

ent

min

erle

terr

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le[t

ien

Iici

e’ni,

’,.

leel

sase

ipàn

.tic

iens

eut

mrn

ipli

nn

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signes

qu

iin

itie

iiil

lill

ilin

uts

itic

sO

ui.

trin

utti

sies

sete

rnon

aiss

eni

àle

urpi

nfni

sdai

r

dera

mil

le;

taxa

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sup

rlic

sei’

sin

flue

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,ccii

leur

sgr

andi

arsê

i,es

qu’i

ls.a

abiu

uenm

:e,

cria

cMIc

i,bi

rr_

Mai

spa

atns

liès

cmen

iC

oya,

ege

utie

jure

idu

ualc

urr,

aa,

Ose

,Pi

cass

o.pa

nek

emia

le.

celu

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it,

dern

ier

‘cii

ul

Oit

dc

md.

tisé

een

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uiie

les

gia

isit

asti

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nia,

iite

infl

uenc

epm

lsaà

sle

Del

aum

ia,

Mar

eslie

ntis

aiiç

atlu

i.qu

ini

eni

unpe

sale

s[s

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.bi

riii

ri.

Van

Cai

gli.

Psuu

.nm

.la

mIn

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aius

stiô

ten

volé

eq

urc

apié

e:n

nv

nii

ttsu

esn

nem

tsti

lem

eni

nela

ma

pas

lais

sele

lois

iren

cave

riese

(ncg

crun

ulyl

epe

r’sa

per

mnr.

alit

ies

tda

nsaiesis

1sutt

epsepit

,ce

int

jurè

ipile

pses

atii

npét

arsn

espss

lan&

.elm

iœnii

eqas

ll’a

pas

nlng

iar

c.ci

qiai

lnxm

itusq

iià

unes

toile

ssa

eyxsr

i,.

0es

sap

ren

iiii

reu

posi

iion

pari

sien

ne,

ais

gal

erie

s

Vnl

lard

ligo,

).Pi

cass

iare

njui

tai

nsi

bicn

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ieFe

iicie

i,Fu

gua

sais

lein

iisi

uge

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liigu

eiarait

des

réFi

ecin

ce.

niu,

liipl

es

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mai

t’es

ancr

isa

nsco

nte

tnpo

rain

’qu

ise

imsa

nile

seea

ija

ns

soit

leurr

e-C

equ

ise

mble

chaq

ue,

est

qu’i

lssu

ae.a

u

cité

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liai

sj

bli

i..

en

dép

itil

..dis

par

it’

clde

sci

rages

d’éc

oles

-O

rsil

est

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ispa

rii

régi

s-

acad

émiq

ue

qu

’il’

icuite

pei

ntr

epuis

eci

tasu

tutc

e,de

se.

iiis

t#cesseii

is1etiir

sefe

rge.

cuitsst

5le

pro

pre

et

sadé

tuar

nise

dans

urne

pers

pect

ive

rd’é

crie

’.il

est

rati

te

[céq

uer.

lde

les

cttn

vnqu

er5M

ai,

anci

ens

etm

oder

nes,

mu

tilt

seh

rtmtis

eun.

Dan

sta

mis

eeu

pet

It‘le

taci

ielit

eR

esu.

blan

che,

[agi

s.cu

lni

aem

nmirs

sle

pres

mie

pres

sess

iirsi

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gie

tout

epi

cass

ienn

ees

isa

per

son

nal

ité

.s’e

upn

-

tuer

ait

cbau

issl’ent

1senteni

mis

àas

sisn

s.i

sins

nusi

tars

i’

men

ttr

iin

luen

ces

appa

svnn

mne

sila

plia

sna

nina

licio

s’er

ses

1sagri

sde,

fran

çais

e.bn

li,ns

lais

as,

Licf

ceta

lysa

,io

sgie

nm

1ts

nio

ssic

iepa

rla

nir

qu

ed’

ailaii

m.

lapi

euse

si,,

cil

r,li

t npro

jet

pic

tiao

ien

ulan

lab

su,t

er.

anua

lise

tci

pies

esus

isre

mur

eb

pein

ture

-C

st

cequ

eco

assa

i.ast

rem

ess

r,,,,

rave

Cas

quai

tcl

ans

t,ca

laIn

grat

del’

est

saii

ni:

•Tsx

siau

tre

est

l’eu

lnsi

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psw

inile

.ab

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ante

.s-

arie

e.‘p

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iens

ie’

siclit

Pals

iitR

uas

Pica

isse

rD

amce

Ind’

ina

vies

,clu

aran

jece

nts,

s’il

n’eO

unm

ysti

que

alu

ngu

tlakj

tie,

pisia

rma

l’es

sec

lesu

,et

qu’i

lal

lect

jmne.

li’.

fille

s,le

sen

tics

iii

ijo

ie,,

les

pays

ages

,de

,ca

[s’s

-nes

cert

s,si

s.

dire

’,ne

bec

aus

cnnt

rsrs

’.aux

bals

pulu

lin.

eV.etc

vttil

àle

sssii

ets

’gé.s

era

lern

eti

tue

1teésesates”..

Unte

lli

get

tnir

ede

esu

tets

.,m

elen

e,le

bpa

rtte

ram

,iste

dia

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.sin

s,n

ils

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tisi

n•u

liet

,cer

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.hi

rass

uati

asse

ati

cri

sicti

s,ts

seti

tein

ent

lam

aniè

re•

des

mai

Ires

assc

ires

etnu

nder

iten,

mai

str

aque

auss

ile

umns

jets

d’él

erti

ssn.

lenu

nmar

,ies

leui

rsm

arr,

ties

defa

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ueU

enco

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ilse

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iide

insu

espo

sssb

lei.

sayt

is’

siq

uein

su*ié

mai,

ques.

pair

‘épale

rle

lxau

rgcc

isu

com

me

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alr,

un,a

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esn

esl

.ea

us’

apti

rnpna,i

tle

sIr

.nyein

deta

isin

tuun

eda

ns‘5

,-sel

stri

dcrc

’csi

ntsa

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suee

c.,a

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aan

is,

mrt

rlak

rim

ieux

prr

nu

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na

,Lst

ance

sar

ecce

sta

lents

e,ee

ansl

csLa

laei

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ea

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aiti

éted

e’et

ades

sjet

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w,v

esu,

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sico

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ela

scliq

use

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prss

qtsi

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inCI

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pein

tre

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.it

rei,s

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aaea

ce’

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issa

inai

sa

liai

tes

saté

gle

pité

slat

,ire,

Dat

aste

pre

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.usR

e,

aai

flaa

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ua

flse

n,a

ci_

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,t

e—

ass

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,.

ssI

elc

ilts

rist

teu

.aci

,ese

ùes

eui.

esss

eu

taii

das

1r-su

rIqsn

-s

—e5

les

lnav

uesc

tels

teui

pbsi

isa

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agsi

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sis,

ttit

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Lau

ltec

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ttsl

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le__r_

lian

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ssss

aia,

ipii

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lege

isie

lisi

itti

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tic

iie

cara

ctèr

e

59

fran

çais

,au

xJa

pona

iset

aies

Chi

nois

,et

Œni

snà

Puni

sde

Cll

asan

ites

.C

’est

art

qui

fait

unit

éva

riée

clconsta

nte

des

race

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des

tièd

es,

l’ar

tqu

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tl’

expr

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dela

nat

ure

.C

’est

l’aii

altc

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u.

e

Mai

sti

rèc

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isn,

ear

tist

iqnt

e,to

nt

l’oe

uvre

com

po

site

de

I’ic

aase

tse

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i’nbta

me,

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jer

des

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iqu

essv

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‘le

Ctt

slas

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iut

tian

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ou

vra

ge

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es,fo

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14.

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ren

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nte

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Ain

sise

scl

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,se

sar

lequ

ins

‘ece

lte

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lle’

otti

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rlsn

léà

d’au

tres

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ttlr

s.4

Au

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tte

ntn

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t,l’

icas

,ou

copi

éP

uvis

tir

Clt

as,r

snes

;je

conn

ais

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si

des

amat

eurs

pour

cett

efr

rinn

le-l

à.M

ais

c’es

tla

pér

iod

e

bleu

e,je

l’as

otae

,qu

iI’

etrp

oti

e.4

Puis

viet

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‘péri

od

e

rntn

rge’

l1C

’esl

aLte

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’il

mort

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tetI

seso

ttp

tltl

etlè

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etq

ue,

d’u

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uttd

,il

sela

ttos

dans

lap

oin

ture

nègr

e.j_

pLe

sam

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rnah

aris

s’ét

t,nn

ent,

sese

cst,

aets

t;ti

ltlk

s’in

lere

s

getl

tenlt

eetl

s.bi

-ce

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ieon

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lufn

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eter

iei

Alo

rs.

vnic

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‘cot

aIqu

iIa

mbe

,Pi

cass

ole

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àpe

ine

lele

nsps

‘lese

ercu

nnal

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etil

leur

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eau

nez

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ubis

me’

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fant

ttela

‘t’a

ipit

renè

gre.

j_IA

ussi

,IP

icas

sesl

song

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jour

d’hu

une

tota

letr

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nrnu

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duna

hisr

ne,

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cum

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oic

par

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devé

rita

bles

mur

ceau

sd’

obje

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jour

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ètnf

re,

clse

veu,

tisa

Id’

ongl

e,et

c.,

etc1

Lidi

atri

l.ede

Coq

uint

àl’

enco

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rde

Pica

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serv

ira

non

seul

emeo

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leau

xfu

turs

détr

acte

urs

del’

artis

tem

ais

Infu

sera

vont

enra

ge

plus

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t.is

site

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fIer

les

redt

ercl

,es

dite

sdu

•cu

bism

edé

sra

tif’

,u

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o’gr

aphi

ques

r.ui

ngre

saju

esn,

cbss

ique

sr.

‘sunra

list

es.

suse

,,gag

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qui

mar

quer

ont

l’en

tre-

dmrs

guer

res.

ksar

clsa

csao

ed’

entr

eel

les,

lefa

isce

aude

soo

çtrc

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infl

uenc

esco

nvoq

uées

pur

tetr

anil

decr

éati

ondi

eul’i

casa

,tse

rade

’tx

rncé

com

me

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d’au

tanl

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s.de

ré’

gres

s’et

tts.s

teti

ahis

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.Et

’l9

Z3

,ta

ns

tne

inte

rvie

wta

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ée

àli

tari

usde

Zay

as.

Pica

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répu

ttdà

rese

tqs

aidé

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enl

alor

sse

sos

cill

atio

nsst

ylis

tiqu

eser

ttre

géem

éltl

smee

tfig

ura

tion

nQ

uand

[ent

ettd

ste

sge

nspa

tter

del’

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utin

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l’ar

tist

e,il

mes

emhte

quec

’es

Icu

mm

es’i

lsle

vvay

aiei

tten

tre

deux

min

sio

plac

ésl’

une,

,fa

cede

l’au

tre.

mim

irn

qui

répè

’se

nt

son

refl

et

un

som

bre

in,m

mtn

able

defu

is,

etco

mm

es’

ilscu

,,sit

léta

ie,it

lasé

rie

nies

inta

ges

‘lin

com

me

son

pass

éet

tes

Imag

esdu

seco

ndtn

imir

rum

Ine

son

aven

ir,u

tors

que

lui-

nsèn

seat

trai

t1st

ure

s.s

tuva

lett

rdu

prés

ant

Ilsn’

ont

pas

l’idé

equ

eten

atce

lace

sonl

Les

n,én

,es

imag

es,

ses,

lem

ent

sIte

‘les

plat

t.dr

ffér

ettt

n”.n

Cet

te‘n

é’ta

phnr

evi

seà

expo

ser

lacn

exis

lenc

edu

osto

noe

uvre

deze

ylea

diam

ésra

Iem

ent

anta

goni

ques

,co

mm

depu

sser

latIL

dIls

t,,s

lie

e,,te

ecry

pta

ge

mrs

ter,

,isl

e.

cuhis

nse

up

ltr.

et

figu

rati

on.

Dot

ant

lapé

riud

et9

,s-1

92o.o

ôs’

oppuse

nt

anti

’cu

bist

eset

prop

agat

sdis

tes

aut

reto

urà

l’or

dre

tdu

clas

sic.

s.ll

eet

titi

glt’

ltanlit

1lte.

t’ic

asso

.qui

s’ess

ay

rite

nec

titre

cttm

plea

eets

onas

’ent

vinl

emna

enti

ntni

qoee

leL

rNai

n,tn

gtes

tel

Rup

ltaêi

,,t&

lure

àso

nal

oi,

l’&

tisa

it,

Gel

lnin

teS

tem

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lisdi

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tqu

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,less

inec

o,ie

usqu

eIt

aphi

aèl

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balt

lete

ent

ils’

aIt

rais

aan

peol-

èlr

eje

dess

ine

n,ie

us.

hiai

ssi

jeel

essi

tteau

ssi

bien

que

Rap

ltaèl

.je

croi

squ

ej’a

iau

ntoi

itste

tIra

itde

choi

sir

oInt

sd,e

mi,

nes

ilsdoiv

enl

me

teco

ntta

iIre

ced

roit

t’..

Dur

ant

les

aris

ées

sgaO

‘94

0.

la.r

ésa

’nce

les

ces

pic

tura

les

dan

sl’

oeuv

repic

assi

engag

ner

aen

forc

e

etet

tés

itld

ire.

ogre

s.R

enoi

r,C

èzan

ne.

Com

t,Se

ntea

t,

I.eN

ain.

hita

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Rap

huèl

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mat

ice,

Va,

tG

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l’tt

eis

deC

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es.

Gri

atse

wat

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oya.

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quet

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turi

lto,

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ien,

Cou

rlte

t.Z

u,b

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po

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rigè

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tusc

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pta

re.t

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ttze

sib

ériq

ues

,tt

écor

atin

isar

abe

oug

rèn

t-rt

rmu

ine

tare

nt.

tnlt

tour

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use

nt

sim

vnlt

aném

ettt

.o

tosu

qu

és

pour

men

erle

sco

mb

ats

dup

ein

tre.

Ilfa

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utle

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les

ann

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tyeo

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viei

lles

sede

l’ar

tist

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ou

rqu

ese

s

déi

ract

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alté

ttvt

ent

leur

sat

raq

ues

contr

el’

aven

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erts

tode

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icet

que,

sytn

étri

quem

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tes

thés

atic

iens

nies

avan

t-g

ard

ests

re]è

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lach

roniq

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ede

ses

sup

pu

tés

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ntr

epa

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eou

tts’

elle

libe

rté

dni

prix

d’u

t,,

soti

luti

eac

croc,

Apar

tir

det y

4,

lasé

tie

des

Voe

iuei

uns

d’ap

rès

esns

altr

es.D

elac

rnin

,V

élas

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itre

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Dav

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Pts

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t..R

emts

ean,

tl,C

tana

chnu

Oeg

as.

sera

safa

çon

deer

retlr

linlu

erer

tlli

cite

nten

ltun

pti.

tcip

epr

o’du

ctif

enne

ntie

lau

tkve

lnpp

emen

tde

son

oeuv

re,

Ain

si,

les

Vud

nlie

,ns

fntt

tni

esui

,utc

esde

lap

ein

ture

.le

tsrs

’uje

tn.

Cet

ted

ern

ière

pér

ind

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conF

ond

arec

laso

tnn

téré

t’té

rée

‘le

l’an

isle

‘te

fuir

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cet

inte

nse

tiiu

iitg

tte

use

rle

stt

tuil

ees

l’es

pace

mêm

ede

nucr

éati

on,

Cnn

irt‘

latin

ta,‘l

ep

ein

soso

ire

les

tuht

eatt

squ

ico

mpte

nt

po

ur

moi

,m

ais

auss

iav

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rtaai

fris

enso

nqta

e5.’

L’e

spo

sili

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uss

oet

tes

hit

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es’

con

stit

ue

defa

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tapre

miè

reré

eval

uat

ion

dece

tte

qu

esti

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cen

tral

ep

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r

lantn

apré

hen

sinn

‘le

l’oe

uvre

pica

ssie

n-D

eux

épis

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genn

lair

es

qiti

sese

ntIt

riér

utit

éset

tsa

rete

rce

antic

ijsen

ttce

tle

cots

feutt

tati

ott

,E.

,94

7,à

tanu

ile

dela

duts

atio

tspa

rPi

cass

oau

lrnt

ttt

lssr

eau

mus

éeoa

ti,,lx

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Art

ost

drn

,ed’

unr

rtrs

entl

tle

dedi

sm

ites

impo

rsan

ies’

°do

nten

den

tgr

att,l

este

aclti

,tes

’ens

tnlé

tnat

iqite

s.L

’Ate

lier

delu

meulé

e

tel

l9a6

j,es

L’e

ilabu

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t9qa

j,te

dir

ette

urd

uto

um

cinn

prn

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,ar

tju

nrd

efe

rmet

ure

duLa

suec

e,le

nrac

ctoc

hage

dans

les

gate

ries

tIti

mlts

s’u’

,1

invi

tePi

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sltp

erri

ver

t’es

teti

e.t

ce:

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nlus

sc’r

ezle

Jlte

ttti

er

art

iste

viv

ant

tIti

les

au

Lo

uv

re’.

•t’

icas

snet

,ar

cett

tele

,lélI

ruts

‘ne

cIl

téet

.ttlg

neic

iP

ratn

çt’

iwG

ilet

:‘E

nar

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aus

saite

sd’

en-

posi

tion

,Pi

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oIn

diqu

a;‘i

brte

u-le

spr

ésdu

Zur

t’ar

an.’

Pinu

sno

mm

espa

rve.

tus

jusq

u’au

Sai

siB

oato

s’es

tsce

ébat

ssu

bièr

e,qu

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pré

ente

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int

eo?n

uré

dece

uxqu

iso

ntlu

ire

netr

ettn

dent

ierh

omm

uge.

j_j

lire

gar

daa

lten

tes

gard

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sso

utcv

erch

acun

ede

ses

toil

esel

les

côté

duZ

urha

ràtt

,Pu

isil

dem

attd

ade

les

fair

eso

isi

ocr

arec

LuhI

ers

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Suet

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e.Le

Mts

ssuc

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Scia

etLe

s&

mnt

endA

igne

deD

elac

roix

.Il

m’a

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souv

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parl

éde

fu’t

leu

tne

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erp

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lin

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létit

esle

sFe

otes

esd’

Alq

ec.

Apt

éscett

ec,

nrt

frrs

ttia

liun

are

cD

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rIn

a,

nous

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ns

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port

er

II

lest

ntt’

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uptè

sde

sC

,rvt

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tent

reLu

ltel

iece

tL

’F,tl

eere

,,tet

tl

àO

csus

txG

cotg

esSa

lles

ttem

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ius’

ilm

etla

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rer

une

dese

sne

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des

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lÈcu

leita

lienl

tte.

lirè

lkcl

,itu

t,iti

stat

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‘l’a

urai

sa’

,t,Ié

soir

une

den’

eslo

ues

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àca’

,téde

LIa

Bne

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deL

utR

rmnt

m,t’

Ucc

rtl,,

.M

ain

osm

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n’us

ons

pas

deto

ile

cobi

stei

ci,

jen

uis

nie

c’es

tas

sez

pour

aujn

ttrnl

loti

’4

lelu

iai

dem

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cequ

’il

pens

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des

Del

ucm

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Ses

pupi

lles

seso

ntr,!

tréc

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‘Le

sala

ud,

dit-

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sel

peit

ttm

e•

Com

nee

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sele

ttt

ces

mol

Rni

and

t’en

rrse

,•

Vt,r

tsvo

yez,

c’es

tla

mêm

ecl

tuse

C’e

stla

tnét

nec

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!n,

t’ic

assu

put

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is’

el,ll

,ous

ias,

oee

tInt

eren

péti

erce

qIt

iitt

ipero

leti

ail

gsss

rlu

pre

llti

ère

Foi

s

deiu

l,tr

toent

tnesl

trer

ses

loue

sau

x,e

ust

esde

sn’

aiIr

es”

ru97,,

t’u

cu

asi

on

In,

qua

tresit

tgt

‘lis

tém

e

sens

uir

e,t

et’

icus

s,t,

,ieun

gtan

nles

e.

pnsi

ti,,tl

stIt

if,

tre,

t

ott

lsacré

es

au

Gra

ndl’a

lain

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l’et

ilN

Iait

.[w

t.aau

vre

frta

lem

en

tu

l.h

om

mag

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tvie

tasm

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rem

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ern

eetn

tlré

scrt

ani

huit

dese

s,r

uvrc

’sis

sues

des

o,11

c’cl

k,os

pu’

l’li

qu

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nta

os

taG

ratte

leG

alr

rie,’

ùsa

’tt

,iefe

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s’

‘le

t9aj

snis

’,n

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are

cle

Ciu

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deW

atl

eau.

Ccl

ére’

ltet

tten

Iq

ui

runsa

erat

’Ilu

reco

nn

ait

snn

ce

•hi

stor

ique

’d

et’

icuss

oos

ait

d’ut

tim

u,et

tse

sucr

éspu

l’lic

.O

nse

pre

ssait

poli

rvoir

dese

spr

upre

sye

usl’

i,sse

stitu

ee,

dean

tIvi

enne

,‘lu

.,urf

eudru

rde

sva

leur

sde

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udit

ion

pict

ural

e,pa

r‘i

duL

ouvr

e.P

te’l

ant

ses

dist

ance

sd’a

rrcn

lte

ilist

itu

nt’

tllt

bien

tard

i*

lere

cont

,ait

re,

iim

oqua

lasi

luat

iun.

•Pa

rle

moi

arec

resp

ect.

jeva

ism

’acc

rodt

erau

louv

re?

Tu

sais

uuju

ntrt

t’tn

tlils

nIe

cont

raie

ntm

ême

au

Pata

tlt&

In”!

Mai

sc’

est

aprè

sla

mor

tle

Pica

sso

que

sesi

tue

l’ut’

tim

eép

isod

ed’

une

c,,n

frtl

ntal

i,,u

sous

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etta

tti

‘lem

t’eu

rnu

imir

Isna

ture

duta

ppes

tlco

mpi

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es.

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,t,tl

ets.

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ait’

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et

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Dan

sL

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dece

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les,

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,tict

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ier

nia

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nuen

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inquan

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unau

ssi.

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liem

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deca

rial

ide,

lin

PICA

SSO

CANN

IBAL

E.D E

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TRUC

T!ON

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ONS

TRVC

TIDN

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TRES

MAR

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AURE

BERN

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la‘e

lali

tic

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rica

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hlel

irri

Ihu

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sasi

cb

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nav

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pei

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eslu

tass

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l.à

lila

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,tilre,erce

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cali

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itis

ili&

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‘bit

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,islo

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dela

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Cm

quan

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su.,

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défm

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lach

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es,e

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pagn

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etse

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laI,

gr,&

dcli

g’an

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reta

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cycl

ede

ssa

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‘les

anne

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nqua

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,i’s

Caria

rni,

s,V

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l.lin

’il

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iec

reai

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leni

coco

teIa

llo

ols

sein

c,,

ssi

,sa

dein

arcb

eso

àcis

des

mai

Ire,

ancu

ensa

,rs’

ie&

edès

91531m

lsie

nros

ssrn

cun

ravaude

Iroi

ftin

tecl

ape

char

nier

,qu

iLe

cord

ait

sb

fin

des

a’os

ées

soix

ante

i‘i

uveu

irion

d’un

eniv

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uiér

ede

jueiu

s’Jre

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Il.’

‘li.

styl

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titi

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n.ni

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ier

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résé

lée

tian

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q’Ja

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ving

tco

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eun

ere

lis

ress

cem

uiss

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esir

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sori

lexopos

rasr

se?T

ssis

sepa

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rum

ine

sice

sn

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rlre

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sl’

éres

’su

cces

sifs

,la

csse

nlen

hin

Lis

tai

dopa

nai,

nlu

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lsan

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rer

Inta

lem

ent,

itsu

liis

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I,fo

rce

deb

teis

uote

.‘L

ape

ulir

ure

est

pauu

fort

equ

eic

i,éc

ril

ilen

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elle

me

tau

lait

ece

qu’e

llesv

ulç

—So

nrap

1ril

—pe

smee

sdu

paus

étr

ot

ptns

duca

r.ni

haJi

smc,

lel’

irn

rsag

ue.

pe

‘lupa

siic

lse

‘ci

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paea

plsr

ast

Ilne

s’ag

itia

slsl

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ense

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’in

.aIl

uirl

ule

lali

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bles

,..

mai

sd’

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pei

ntr

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h’sr

atiu

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cti

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stes

qu’i

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quai

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ip.

issul

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ique

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icas

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ilai

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ece

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lsssle

thes

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sd

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sde

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é,à

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gure

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mai

sau

ssi

auu

oeuv

res

dopa

ssé,

Cet

tesa

nsIl

lecé

dent

ticll

tist

nir

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chronologie

EXTRAITS DE LA CHRONOLOGIE DU CATALOGUE PICASSO ET LES MAITRES

(Etablie par Annela Bessel)

1881. 2E octobre. Naissance à Malaga de Pablo, premier enfant de la famille.

1888-1859. Picasso qui dessine depuis son plus jeune âge coluTience à peindre, sous l’impulsion

de son père.

1895. Juillet. Picasso visite le Prado et découvre les toiles des maîtres espagnols Velâzquez,

Goya, Zurbarân.

15 et 30 septembre. Pablo s’ inscrit à l’Ecole des Beaux-Arts (La Lonja) . Il est brillamment

admis aux épreuves d’entrée du cours supérieur, section art classique et nature morte.

1897. Septembre-octcbre. A Madrid et il réussit le concours d’admission à l’Académie des

Beaux-Arts de San Fernando et s’inscrit aux classes de paysage, de dessin d’après l’antique et

d’étude de draperie. Son ami Francisco Bernareggi Calderôn explique qu’avec Picasso ils

étudiaient et copiaient huit heures par jour au Musée du Prado.

De plus en plus réfractaire â l’enseignement officiel, il abandonne les cours de l’Académie

San Femnando.

1899. Picasso débute un dialogue avec l’artiste El Greco qui se poursuivra toute sa vie. Picasso

s’identifie fortement â l’artiste comme le montre un de ses dessins sur lequel est inscrit • Yo,

el Greco • [Moi, el Grecol . (Barcelone, Museu Picasso)

1900. Octobre. A Paris, il explcre le Louvre, plus particulièrement la section des Antiquités et

le musée du Lxembourg. Il peint Le Moulin de la Galette New York, The Solomon R. Guggenhein

Museum), à la fois ho.,..age à Renoir dont il a sûrement vu Le Moulin de la Galette au Musée du

Luxembourg et à Lautrec et à son sa! du Moulin ouge.

1901. Picasso, alors âgé de dix-neuf ans et demi, inscrit sur son autoportrait • Yo, Picasso

[Moi, Picasso] et pose à la manière de Nicolaa Poussio dans son autoportrait qu’il a admiré au

musée du Louvre.

Mi-janvier, Madrid, Tolède. Picasso réalise durant l’hiver ses premiers portraits bleus et des

maternités.

Septembre-octobre Mort de Toulouse-Lautrec, le 9 septembre. Picasso, alors influencé par son

oeuvre, en est très affecté. Cette année de 1901 marque aussi sa rencontre avec Manet et se

manifeste par un dessin, parodie du chef-d’oeuvre Olympia.

1902. Redéccuverte de l’oeuvre du Greco. Il développe une monochrcmie bleue.

Décenbre Dans Mercure de Francs, Charles Fonce salue sa •précccité effrayante.. Le critique,

ami de Gauguio. lui offre un exemplaire du livre Noa-Noa.

On sent d’ailleurs dès 1902-1903 une première influence de Paul Gauguin dans un dessin de

Picasso intitulé Autoportrait au nu couché s’inspirant de la composition de L’Esprit des morts

veille (Manao tupapau) qu’il a dû voir en 1901 chez Ambroise Vollard.

1921, Juillet-septembre. Picasso séjourne à Fontainebleau. Il peint simultanément les grandes

rocpositions r.éoclassioues des deux versions de Trois Femmes à la fontaine.

1922. Picasso réalise La Danse villageoise (Paris, Musée Picasso) inspiré des danseurs de La

danse la campagne et La danse â la ville Paris. Musée d’orsay) de Pierre Auguste Renoir.

1923. Juillet-septembre. Royan puis au Cap d’k9tibes.

Il y peint La Flûte de Pan (Paris, Vasée Picasso), L’entretien (Genève, Galerie Krugier

Poniatcwski), q-ai reprennent les canons de monumer.talité et de beauté du monde ar.tique e:

nultiplien: les études dessinées de baigneuses.

1927, Janvier. Picasso rencontre Marie-Thérése Malter (1907-1977), âgée de 17 ans.

1931, 25 octobre. Les Métamorphoses d’Ovide sont publiées chez Albert Skira avec 30 eaux-

fortes de Picasso.

1932, Janvier-mars. Figures de femmes inspirées par Marie-Thérèse Le Rêve (collection

particulière), La Lecture (collection particulière) Nu au fauteuil noir, (collection

particulière) Le Miroir, 14 mars (collection particulière), L’aboutissement en est la Jeune

fille devant un miroir datée du 14 mars (New York, The Museum cf Modem Art) . Sur ces images de

Marie-Thérése plane le fantôme d’Ingres et nombreux portraits de femme comme celui de Madame

Moitessier (Londres, The National Gallery) et l’odalisque à l’esclave. (Cambridge, Fogg Art

Museum)

17-30 septembre. Il reprend le thème de la Crucifixion dans une série de dessins à l’encre

d’après le Retable d’Issenheim de Grûnewald (Colmar)

1934. Janvier-février. La présence de Rembrandt dans l’oeuvre de Picasso se nanifeste pour la

première fois dans des gravures de la suite Vollard telles que Rembrandt au “turban’, aux

‘fourrures’ et à l’oeil d’éléphant s, Feuille d’études, Profils de Marie-Thérèse et téte de

Rembrandt au béret et Renbrandt et jeune fille de profil (Paris, Musée Picasso)

1935. Une exposition des chefs-d’oeuvre du musée de Grenoble est organisée au Petit palais à

Paris oè Picasso aurait pu admirer les oeuvres de Zurbarân qu’il cite à Kahnweiler lors de l’un

de ses entretiens. (Daniel-Henry Kahnweiler. • Huit entretiens avec Picasso s, Le Point,

Muihouse, n°XLI! (octobre 1952)

5 septembre. Marie-Thérése donne naissance à une fille. Maria de la Conoepciàn, surnommée Maya.

Noveobre. Picasso est présenté à Dora Maar par Eluard au café des Deux Magots. Dora prcpose à

Picasso de poser pour des portraits.

1936, 18 juillet. L’échec du prcnunciar,ento lancé par le général Franco contre le gouvernenent

républicain déclenche la guerre civile en Espagne

Série d’ Arlésiennes ., dont le Portrait de Les Miller en arlésienne (Paris, Musée Picasso),

inspirées d’oeuvres de Van Gogh telle que L’arlésienne (Madame Ginoux). (Paris, Musée d’orsay)

Il découvre l’antique village de potiers de Vallauris et réalise quelques pièces de céramiques.

19 septembre. Picasso est nommé directeur honoraire du Prado par la République espagnole.

1947. Série de lithographies datées de 1947-1949 (Paris, Musée Picasso), inspirée du tableau de

Cranach intitulé David et Bethsabée. (gerlin, Gemâldegalerie)

Mai. Picasso, sur une suggestion de Georges Salles (Directeur des musées de Frsnce) et Jean Cassou

(Directeur du Musée National d’Art Moderne) consent un dan au Musée National d’Art Moderne de dix

toiles importantes dont L’Atelier de la modiste, 1926, L’Aubade, 1942, La Casserole émaillée,

1945, la Fene assise dans un rocking-chair, 1943 et de plusieurs portraits de Dora Maar.

Avant quelles intègrent le musée d’art derr.e, Georges Salles invite Picasso â faire voisiner ses

toiles avec celle de lurbarân. L’exposition du corps de Saint Eor,aventure, puis avec Le Massacre

de Scio et Les Femmes d’Alger de Delaccoix, avec les toiles de Courber L’Atelier et

L’Enterrement â Ornans.

15 mai. Naissance de Claude.

1949. Diverses gravures d’après l’oeuvre de Cranach Vénus et l’Amour.

19 avril Naissance de paloma.

1950, Février. Il reprend deux tableaux le Portrait d’un artiste de El Greco (Séville, Museo

de Sellas Artes) et les Demoiselles des bords de Seine de Courbet (Paris, Musée d’art moderne de

la ville de pans) qui deviennent Portrait d’un peintre d’après le Greco (Lutecne, Picasso

Armolung der Staaf Luzerni, Donation Rosengart) et Les Demoiselles des bords de Seine d’après

Courbet (gâle, Kunstmuseum).

1954, Juin, Rencontre avec Jacqueline Roque â la galerie Madoura.

1955, Juin. Picasso achète â Cannes, une grande bâtisse Selle Epoque, appelée La Californie.

L’importante rétrospective e Picasso, peintures 1900-1955 — cui se tient de juin au mois

d’octobre au Musée des Arts décoratifs â Paris, présente la série des Fesozes d’Alger d’après

Delacroix.

1957, 17 août-3D décembre. Exaner. approfcndi des Ménines de Velâzouez. (Madrid, Museo del Prado)

Réalisées au dernier étage de La Californie quarante-quatre variations daprès la toile du

maître espagnol. (Sarcelone, Maseu Picasso)

1958. Picasso achète le château de Vauvenargues, construction du X1V siècle, situé près d’Aix

en-Pcovence au pied de la montagne Sainte-Victoire.

1959, AoQt. A Vauvenargues, les variations autour du Déjeuner sur l’herbe d’après Manet. Ce

projet couvrira une disaine de périodes distinctes de travail, échelonnées entre août 1959 et

décembre 1961 et sera nenée dans les trois différents ateliers de Vauvenargues, de La

Californie et de Mougins.

1960, 2 novembre. La lithographie Hommage â Bacchus (Graphikmuseun Pablo Picasso Mûnstec) qui

reprend la composition de la toile Le triomphe de Pan (L,ondres, National Gallery), de Poussin.

1962, Octobre-novembre Nature morte, chat et homard. (Hakone Doen-Air Museus) fait allusion â La

Nature morte au homard de Delacroix (Paris, Musée du Louvre).

Hiver. Diverses versions de L’Enlèvement des Sabines. Son inspiration est triple Le Massacre des

innocents de Poussin (Chantilly, Musée Condé), L’enlèvement des Sabines de Poussin et Les

Sabines de David. Picasso avait demandé â Héléne Parnelin de lui fournir des diapositives des

oeuvres Le Massacre des innocents de Chantilly et des Sabines de David. C’est dans cette

1912. Juin- juillet. Série d’autoportraits oû la tête devient parfois masque de mort aux yeux

exorbités cormne la gravure Tête dhonmie du 4 juillet 1972 à la manière de l’Autoportrait de

Renbrandt au chapeau, bouche ouverte et regardant fixement. (?u,sterdam, Museum het

Rembrandthuis). Il poursuit la peinture àune cadence effrénée jusqu’au 18 août.

1973, 8 avril. Picasso meurt au Mas Notre-Dame-de-Vie à Mougins.

23 mai-22 septembre. Durant cette période a lieu au Palais des Papes â Avignon l’exposition

• Pablo Picasso 1970-1972 ., d’après une idée des époux Zervos, afin de découvrir les dernières

oeuvres sélectionnées par Picasso lui-même en vue de cette manifestation.

dialogues avec les maîtres

PROPOS RAPPORTES DE PICASSO

(stabli par Marie-Laure Bernadac, Anais Sonnai et Claire Barnardi)

picasso et i’Antiqt

- Christian lervos, « ConversatiDn avec Picasso e, in Cahiers d’art, Paris, n’ spécial.1935, p. 173-178.

L’enseignement académique de la beauté est faux. On nous s trompés, maie si bien trompés qu’onne peut plus retrouver pas même l’ombre d’une vérité. Les beautés du Parthénon, les Vénus, lesNymphes, les Narcisses sont autant de mensonges. L’art n’est pas l’application d’un canon debeauté, mais ce que l’instinct et le cerveau peuvent concevoir indépendamment du Canon.

- Felipe Cossjo Bal Ponar, Con las Buscsdores del Camino, Madrid, Ediciones Ulises, 1932, p.109.

Raphaél est un grand maitre. Velasquez est un grand maître. Le Greco est un grand maître, maisle secret de la beauté plastique se trouve plus loin chez les Grecs au temps de Périclès.

- Daniel- Henry ltahnweiler, « Picasso « Ours is tha ooly real painting e, 2’lie Observer,tendres, 8 décembre 1957. p. 8-9. Traduit de l’anglais par sentis Collins.3 novembre 1933Picasso, après une visite au Louvre, fait l’éloge de Rome au détriment de la Grèce ‘ Avec laGrère, il y a toujoure un élément esthétique. Je préfère le réalisme viril de Rome, quin’embellit pas. La véracité de l’art romain - c’est ccrme leurs édifices, utilitaires, naisd’autant plus beaux dans leur authentique simplicité’.

- Daniel- Henry Kahnweiler, « Picasso Ours is the only real painting *, Tbe Observer,Londres. 8 décembre 1957, p. 8-9. Traduit de l’anglais par Damais Colline.

17 novembre 1949Il parla de sculptures chaldéennes et même d’anciens Apollons grecs qu’il trouvait bien plusbeaux. ‘Ces gens-là savaient vraiment ce ruils faisaient. Le reste, c’est simplement letalent du peintre”.

Daniel- Henry Kabnweiler. « Gesprâche mit Picasso e, Jahreering 59/60, Stuttgart, 1959.Traduit de L’allemand par Isabslie Kalinowski.Vallauris, « La Galloise e, 26 juin 2948Ce qui l’intèresee, c’est la “naïveté absolue dans l’art, l’absence de Loure etylisation,qu’elle vienne de l’arr nègre, chaldéen ou gréco-romain.

‘icasso et l’histoire de l’artj

- André Nalraux, La Tête d’obsidienne, Paris, Gallimard, 1974, P. 1243e peins contre les tableaux qui comptent pour moi, mais aussi avec ce qui manque à ce muséelà. [le musée imaginaire] . Faites bien attention c’est tout aussi important. Il faut fairece qui n’y est pas, ce qui n’a jamais été fait.

- Marius de layas, Picasso speaks, interview de Picasso in The Arts. New York, mai 1923,vol.IIX, n°5, p. 315—326.Dii ne demande constamment d’expliquer comment na peinture a évolué. pour roi, il n’y a pas depassé ni d’avenir en art. Si une oeuvre d’art na peut vivre toujours dans le présent, il estimutile de s’y attarder. L’art des Grecs, des Egyptiens et des grands peintres cui ont vécu àd’autres époques n’est pas un art du passé peut-être est-il plus vivant aujourd’hui ru’il nel’a janais été

- André Mairaux, La Tête d’obsidienne. Paris, Gallinard, 1974, p. 110.En peinture, les choses soot des signes nous disions des emblèmes, avant la querre de14...Qu’est-ce que serait, un tableau, si ce n’était pas un signe ? Un tableau vivant ? Ah, biensûr, si or. était artiste-peintre Mais quand on est seulement cézanne, ou le pauvre Van Gogh,ou Goya, alors on peint des signes.

-. Françoise Gilot et Canton Las, Vivre avec Picasso, Paris, Calmann-Lavy, 1965, P. 267.Eh bien, dit-il, Léger a toujours prétendu que la peinture est coirne un verre de grosrouge e, vous savez pourtant comme moi que tous les peintres n’en boivent pas. Ils peignentaussi avec autre choee que cela, naturellement Léonard de Vinci était à mi-chemin de lavérité quand il écrivait que la peinture est chose mentale. Cézanne, lui, osa affirmer,qu’ « on peint avec ses couilles e. personnellement, je crois que la vérité, c’est Léonard deVinci, plus Cézanne. Mais, en tout cas, le gros rouge ne suffit pas.

- Bélène Parnelin, Picasso dit..., Paris, Editions Gonthier, 1966, p. 85.

Le fait que je peigne un si grand nombre d’études fait simplement partie de ma façon detravailler. Je fais cent études en quelques jours, tandis qu’un autre peintre peut passer centjours sur un seul tableau. cor.tinuant j’ouvrirai des fenêtres. Je passerai derrière latoile et peut-être auelaue chose se produira.

icasso et les musées!

- Câline Parmelin, Voyage en Picasso, Paris. éditions flobert Laffont, 1980. p. 62-63.parle-moi avec respect, je vais n’accrocher au Louvre I s p62

‘Tu as vu 7 Quelle idée I... C’est gentil. C’est très gentil pour moi. Mais qu’est-ce que çachange 7.• Tu crois au’ils (les peintres du Louvre) vont ètre furieux 7 Ils vont tous sa lever la nuitpour ne pousser dehors 7 s

“Alors il faut remercier 7 Tu sais aujourd’hui ils ne nettraient même au Panthéor. I’ (p. 63)

- Entretien entre Pablo Picasso et Daniel-Eenry Xabnweiler â l’exposition Lipchitz, à lagalerie Maeght rue Téhéran. puis dans la rue le 22 juin 1946.Version française parue dans le catalogue d’exposition ‘Houmiage à Picasso’, au Centre culturelallemand, Goethe Institut, Paris 1975, p.9-12.Tout ce qui est dans les Musées, c’est du charme. J’étais au Louvre hier, Les Assyriens, oui.Mais la peinture I C’est du charme. Bien sùr, on peut mucher avec une prostituée, et ytrouver grand plaisir, nais il faut se rendre compte que c’est une prostituée. Le vice et lavertu, ce n’est pas la même chose C...) Avant nous, on n’a jamais fait de la peinture,vraiment, sérieusement. Bien sûr, il y a le talent, le génie, mais ce n’est pas ça.

- Hélène Parsielin, Picasso dit., Paris, Editioms Gonthier, 1966, p. 40-41,Quand on était avec Braque, on disait ‘il y s le Louvre, et il y a Dufayel”. Et on jugeaittout avec ça, C’était notre façon de juger la peinture qu’an regardait, On disait ‘ça. non,ça c’est encore le Louvre,... Mais là, là, il y a un tout petit peu de Dufayel I

- Roland Penrose, Picasso, Paris, Flaarion, 1982. Traduction française de Jacques Chavy etPaul Peyrelevade, p.466(Devant les toiles de soya, velasquez et Zurbaran, dans la salle du Louvre où allaient êtreaccrochées ses oeuvres)‘Vous voyez, c’est la même chose I c’est la même chose I”

- Pierre Daix, Picasso créateur, la vie intime et l’auvre, Paris, Seuil, 1987, p. 24;Vélasquez, de premier ordre du Greco, des tètes magnifiques Murillo ne me convainc pasavec tous ses tableaux. Le Titien a une Dolorosa très bonne, van oyck, des portraits et unemise en croix de Jésus, épatants. Rubens a un tableau (le Serpent de feu) qui est un prodige.Teniers. quelques très bons petits tableaux de soQlauds..

Picasso et les Maître

Altdofer

- Daniel-Henry Kahnweiler, « Entretiens avec Picasso au sujet des Fees d’Alger —,Aujourd’hui, art et architecture, Boulogne- sur- Seine, Paris, n°4 (septembre 1955), pp. 12-13.Picasso t C’est pour cela aussi que je préfère les Allemands aux Italiens. Eux, au moins,étaier.t réalistes. Ce peintre sur lequel vous m’avez donné un ouvrage...0.-HIC Altdorfer. Oui, vous avez fait toute une série de copies-des dessins magnifiques-d’après lui.Picasso t Oui, Altdorfer. ce que c’est beau Ça, c’est du réalisme. Tandis que les Italiens,même les plus grands, c’est décoratif. Et ils pensent à l’Antiquité, toujours.

cézanne

- Jaime sabartés, Picasso. Documents iconographiques, Genève Pierre Cailler, Éditeur. 1954.Traduction française de Pélia Leal et Alfred Rosset. p. 72.

Si Cézanne est Cézanne, c’est bien pour cela t quand il est devant un arbre, il regardeattentivement ce qu’il a devant les yeux il le regarde fixement, comme un chasseur qui visel’animal qu’il veut abattre. S’il tient une feuille, il ne la lâche pas. Tenant la feuille, iltient la branche. Et l’arbre ne lui échappera pas. Même s’il n’avait que la feuille, c’estdéjà quelque chose. Un tableau, souvent, ce n’est que cela...Il faut y mettre toute sonattention...Ah (Si seulement tout le monde en était capable I

cranach

- Daniel- Henry Kahnweiler, « Picasso « Ours Sa tha only rosi painting , The Observer,Londras, 8 décembre 1957, p. 8-9. Traduit de l’anglais par Dennis Couina.

9 février 1945À propos d’une photographie d’un tableau de Cranach, je fis remarquer à Picasso que Cranachétait à mon avis le plus grand peintre allemand.• Oui, dit Picasso il est encore meilleur que Grûnewald, et pourtant GrCznewald est bon. Jelui dis que je pensais que le côté • expressionniste • de Grùr,ewald était inférieur à lapureté et à la fermeté de Cranach. Oui et quel dessinateur dit Picasso. On parle toujcursdes dessins de Raphaèl. celui-ci est meilleur. .

Dopas

Pierra cahanne, — sagas chez Picasso s, Connaissance des arts, r.’ 262, décembre 1973.• Attends je vais te montrer queloue chose • dit Picasso à Drassal venu lui rendre visite àMougins en mai 1971. Xl disparaît dans sa caverne, raconte le phctographe. m’en apporte unmonotype de t-egas somptueusement encadré une scène dans une maison close. • C’est la Pète deMadame. Un chef-d’oeuvre. ‘tu ne trouves pas 7 Eh bien Tu vois, je m’en suis inspiré pour unesérie d’eaux-fortes auxquelles je travaille en ce moment.

- John Richardson, • Tha Catch in the Lato Picasso s, The Nsw York Review of sooks, vol.XXXI, n’12, 19 juillet 1984, p. 25.

Les peintures de Degas ne m’ont jamais beaucoup intéressé, mais les monotypes, c’est autrechose, c’est ce qu’il s fait de mieux,

- Pierre Daix, Picasso créateur, la vie intime et l’oeuvre, Paris, Seuil, 1987, p. 375.• Tu crois qu’il vient seulement prendre des notes ? On n’a jamais trés bien su ce qu’ilfaisait avec les femmes s, commente Picasso devant sa gravure du 16 mars 1971 où Degas tientune feuille de papier à la main devant trois filles nues et diversement intriguées, lamaquerelle, en fond, nous toisant Il m’aurait foutu son pied au cul, Uegas, s’il s’étaitvu comme ça s Et Picasso de tout imaginer sur la sexualité de negas, pédéraste qui s’ignore,ou les vices qu’il pouvait vouloir assouvir. Degas, du coup, ne quitte plus le bordel. [..j• Impossible de s’en débarrasser s, conclut Picasso.

Delacroix

- Daniel- Henry Kahnwailar, • tretiems avec Picasso au sujet des Fees d’Alger s,Aujourd’hui, art et architecture, soulogne- sur- Seine, Paris, n’4 (septembre 1955).Pïcasso m’enitène en haut pour voir une grande toile de la série des Ferenes d’Alger qu’il vientde cormrencer .Nous parlons de cette série nouvelle, de sa couleur.Picasso • Je me dis quelquefois que c’est peut-être l’héritage de Matisse. En somme,pourcuci est-ce que l’on n’hériterait pas de ses anis I s

- Daniel- Hsnry Kahnweiler, e tretiens avec Picasso au sujet des Fees d’Alger s,

Aujourd’hui, art et architecture, Boulogne- sur- Saine, Paris, n’4 (septembre 1955), pp. 12.13.Rue des Grands-Augustins. 14 janvier 1955Picasso me fait monter, une fois de plus, au grenier, pour regarder, avec son neveu Fin, lestableaux d’après les Femmes d’Alger de Delacroix, auxquelles il travaille.Picasso • Je me demande ce que Delacroix dirait s’il voyait ces tableaux. sJe lui réponds qu’il me semble qu’il comprendrait.Picasso • Oui, il me semble. Je lui dirais • vous vous pensiez à Rubens et vous faisiez duDelacroix. Ainsi moi, pensant à vous, je fais autre chose. s

- Daniel- Henry Kahnwoilor, « Entretiens avec Picasso au sujet des Femmes d’Alger s,Aujourd’hui, art et architecture, Boulogne- sur- Seine, Paris, n’4 (septembre 1955), pp12—13.

Rue des Grands —Augustins, 29 janvier 1955Picasso, depuis quelques jours, m’avait dit qu’il pensait toujours au tableau des • Femmesd’Alger • du lendemain, en se demandant comment il serait. Il le redit • vous comprenez, cen’est pas le “temps retrouvé’, mais le “temps à découvrir’ s.

- Françoise Gilot et Canton Laite, Vivre avec Picasso, Paris, Calmann-Levy, 1965, p- 193.Je lui ai demandé ce qu’il pensait des Delacroix. Ses pupilles se sont rétrécies e Lesalaud, dit-il, quel peintre

- André Nalraux, La Tête d’obsidienne, Paris, Gallinard, 1974, p. 55.Georges Salles, alors directeur du Louvre, avait proposé à Picasso d’apporter, un jour defermeture, celles de ses toiles qu’il souhaitait étudier en face de tableaux illustres. Ilcommença par faire placer une de ses Nature morte à la bougie près du grand Zurbarandiagonal puis des rennes d’Alger, presque pour jouer, l’Aubade et les tableaux qu’il allaitdonner au Musée dArt Moderne. Il étudia le Delacroix longtemps. • Non de Dieu, quelpeintre! • Ses propres Femmes d’Alger étaient nées ce jour-là.

Manet

- Alexander Liberman, • Picasso », Vogue, Now Yorlç, 1’ novembre 1956, p. 134.La peinture c’est une affaire d’intelligence. On la voit chez Manet. On voit l’intelligencedans chaque coup de pinceaux de Manet 1. .

- Des d’une enveloppe de la Galerie Sinon de Daniel Kabnweiler, 1929 (Archives Picasso)Quand je vois le Déjeuner sur l’herbe de Manet, je me dis, des douleurs pour plus tard.

Hélène Parnelin, Picsso sur la place, Paris, Julliard, 1959, p. 132-133.On ne parle plus que de Lola de Valence, la belle, la magnifique. Picasso et Pignon sont dansl’atelier. Décidément, il n’y a que Manet au monde, ils récitent toutes les toiles de Manet.Ils en parlent pendant une heure. Ils feuillettent un livre où il y n des Manet, en disantplein de choses et en délirant. Cézanne et Van Gogh sortent seuls triomphants de l’arène. Toutle reste est de la merda...pour le moment, le peintce suprème s’appelle Manet... Et quelmerveilleux nom de toile.., e Si on allait chez Lola de Valence 7 • dit Picasso.

Michel-Ango

- Roberto Otero, tejos de Espalia, encuentros y conversaciones con Picasso, Dopesa,Barcelone, 1975. Traduit de l’espagnol par Chriatiane de Montclos, p. 191.

Picasso s’arrête naintenant un noment devant une photographie en couleurs de la chapelleS ix t me• J’y suis allé une fois, C’est Antonello Trombadori, qui m’y a emmené t...] Maintenant que j’ypense, je me demande ce que la chapelle Sixtine a d’extraordinaire, c’est ce que j’aime lemoins chez Michel-Ange...Le Père éternel, l’aile d’un anga ou un esclave sont PAREILS. Tout està la même échelle, tout a la même proportion. La vérité c’est que je ne le comprends pas._ »

oaniel- Henry Kahnweiler, • Picasan « Ours is the only real painting n, rho Observer,Londres, 8 décembre 1957, p. 8-9. Traduit de l’anglais par Dormis collins.

17 novembre 1949Picasso parla de son voyage en Italie, où il avait assisté à un Congrès de la paix à Rome. Ilavait enfin vu la chapelle Sixtine, et l’avait aimée - “mais c’est comme une vaste esquisse deDaumier”.

Monet

- Daniel- Henry Kahnwoiler, « Picasso « Ours is the only real painting s, rho Observer,Londrea, 8 décembre 1957, p. 8-9. Traduit de l’anglais par Dennis Collins.14 mai 1935Un peu plus tard, nous avons évoqué Monet. Picasso en parla en ternes très respectueux,affirmant que son rôle fut peut-être plus important que celui de Cézanne. • Les ombresviolettes, c’était vraiment une grande innovation. s

Piero della Francesca

Daniel- Henry Kabnweiler, « Picasso « Ours is the nnly real painting s, rho Observer,Londres, 8 décembre 1957, p. 8-9, Traduit de l’anglais par Dennis Collins.

Il admirait beaucoup les Piero dalla Francesca à Arezzo. “Tous les mêmes, comme ma périodebleue, pas mieux.’

Poussin

- Brassai, Conversations avec Picasso, Paris, Gallimard, 1964, p. 260.Picasso rit malicieusement et sort la Bacchanale d’un carton « La voici I Je l’ai peinte« d’après Poussin s pendant les journées sanglantes de la Libération, au mois d’aoùt..,On tiraitpartout..Les tanks ébranlaient la maison.., s

- Héléne Parnelin, Picasso dit..., Paris, zditions Gonthier, 1966, p. 57.Qu’est-ce que ces guerriers 7 On sait seulement que Picasso se donne tout entier à sontravail.

Un jour il ditÇa n’est pas du tout Delacrcix. Ça tourne entre Poussin et David. Mais ça n’a aucun rapport.

C’est peut-être les Innocents, et c’est peut-être les Sabines... s

- Héléne Parmelin, voyage en Picasso, Paris, éditions Robert Laffont, 1980, p- 75.« Poussin toujours magnifique. Géant. Mais on y pense pas souvent s, dit Picasso.

- Héléne parnelin, Voyage en Picasso, Paris, éditions Robert Laffont, 1980, p. 94.Si je fais un guerrier dans les Sabines, je lui mets le bonnet phrygien I...

Rubans

- Daniel- Hemry Kahnweiler, • Huit entretiens avec Picasso Le Point, Mulhouae, n°XtII(octobre 1952), pp. 22-30.

29 bis, rue d’Astorg, 10 décembre 1936Daniel-Henry Kahnweiler • J’ai vu l’exposition Rubens. Eh bien I J’avais tort quand jepensais, d’après des photos, que ça me plairait. Et c’est vous qui avie: raison. Ça m’abeaucoup déplu.Picasso • Bien sOc, je vous l’avais dit. Des dons, mais des dons oui servent à faire demauvaises choses, ce n’est rien. Rien n’est raconté chez Rubens. C’est du journalisme, du filmhistoricue. Voyez Poussin, cuar.d il peint Orphée, eh bien I C’est raconté. Tout, la moindrefeuille raconte l’histoire. Tandis que chez Rubens..Ce n’est même pas peint. Tout est pareil.Il croit peindre un gros sein en faisant comme ça (geste circulaire du bras), mais ce n’estpas un sein. Une draperie est comme un sein, chez lui, tout est pareil. .

Tintoret

- oaniel- flenry Kabnweiler, « Picasso e Ours is the only real painting s, fie Observer.tondras, B décembre 1957, p- S-9. Traduit de l’anglais par Permis Collins.5 novembre 2944On parle constarruent de la Renaissance, mais c’est vraiment dramatique. J’ai vu quelquesTintoret réCemment. Ce n’est que du cinéma, du cinéma bon marché. Cela fait de 1’ ‘effet parcequ’il y a beaucoup de gens, beaucoup de mouvement et de gestes grandiloquents. Et puis il esttoujours question de Jésus et de ses apôtres. Mais cone c’est mauvais, conste c’est vulgaire

Titien

Daniel- Henry Kahnwsiler, Gespràche mit Picasso », Jahresring 59/60. Stuttgart, 1959.Traduit de l’allemand par Isabelle KalinowskiCannes, c La Californie ., S juillet 1957« D’ailleurs, tous ces tableaux de musée sont idiots, Un Titien une dame nue sur un lit etun monsieur qui joue de la trompette s- il pense au tableau du Prado, je crois, sur lequel unorganiste est représenté à côté d’un nu- e et pourtant C’est magnifique.

Toulouse-Lautrec

- Gertrude Stem, Picasso, Paris, Floury, 1930, p’ 19.Picasso, après avoir regardé un tableau de Toulouse- Lautrec, dans un noment d’audaces’écria • Tout de méme, je peins mieux que lui. • (p. 20)

Van Gogh

- André Mairaux, La Tète d’obsidienne, Parie, Gallmmard, 1974, p. 132.« Vous souvenez-vous de l’extraordinaire phrase de Van Gogh Je peux bien, dans la vie etdans la peinture, me passer du Bon Dieu. Mais je ne peux pas, moi, souffrant, me passer dequelque chose qui est plus grand que moi, qui est ma vie, c’est,,,

la puissance de créer. Il a raison, Van Gogh, il a bien raison, non 7 Le besoin decréation, c’est une drogue il y a inventer, il y a peindre.

- Hélèno parmelin, Picasso dit,.., Paris, Editions Gonthier, 1966, p’ 02.On s’est mis à parler peinture comme si c’était un concours. C’est à Celui qui ire le plusloin. Mais qu’est-ce que ça veut dire, le plus loin 7 Quand il s’agit de peinture, qu’est-ceque ça veut dire franchir le mur du son, avec une toile 7 Ça veut dire ne rien faire dessusFaire n’importe quoi 7 Du bien ça veut dire être Van Gogh

- ndré Nalraux, La Tête d’obsidienne, Paria, Gallinard, 1974Vous ne trouvez pas que c’est drôle 7 Quand cm commence un tableau, on ne sait janais ce qu’ilva devenir. Quand il est fini, on ne le sait pas non plus. La peinture, on dirait qu’ellemûrit pour devenir bonne à manger. Voyez pour Cézanne, pour Van Gogh. Les gens ne comprennentpas que c’est moi, Van Gogh, non 7’Velâzquez

- Jaime Sabartés, Picasso r « Les Mênines » et la vie, Paris, Éditions Cercle d’Art, 1959,p. 5.

Supposons que l’on veuïlle copier Les Ménines purement et simplement, il arriverait un moneot,si c’était moi qui entreprenais ce travail, où je me dirais qu’est-ce que cela donnerait sije mettais ce personnage-la un peu plus à droite ou un peu plus à gauche 7 Et j’essaierais dele faire, à ma manière, sans plus me préoccuper de Velasquez. Cette tentative n’amèneraitcertainement à modifier la lumière ou à la disposer autrement, du fait que j’aurais changé unpersonnage de place, Ainsi, peu à peu, j’arriverais à faire un tableau Les tlénines qui, pourun peintre spécialiste de la copie, serait détestable ce ne seraient pas les Ménines tellesqu’elles apparaissent pour lui sur la toile de Velasquez ce seraient mes Ménines._

liste des oeuvres

SALLE 1: peintres « Yo, Picasso »

Picasso Pablo Cézanne PaulAutoportrait à la El Greco Portrait de l’artisteperruque Un artiste (Jorge Manuel Vers 1873-10761897 Theotokopulus) Huile sur toileHuile sur toile vers 1600 - 1605 64 X 5355,8 X 46 Huile sur toile Paris, FranceBarcelone, Espagne 75 X 50,5 Musée d’orsayMuseu Picasso Séville, Espagne

Muses de Bellas ArtesMadame Gustave Héquet

.osé Ponce Puente Copie d’après IngresPortrait de José Ruiz Poussin Nicolas Autoportrait 1804fiasco Portrait de l’artiste 1850-1860Vers 1895 1650 Huile sur toileHuile sur toile Huile sur toile 86,4 X 69,979 X 61 90 X 74 New York, Etats-UnisCollection particulière Paris, France The Metropolitan Museuni

Musée du Louvre off Art

Picasso PabloAutoportrait Rembrandt Picasso Pablo1901 Autoportrait au chevalet Yo, PicassoHuile sur carton parqueté, 1660 190154 X 31,8 Huile sur toile Huile sur toileNew York, Etats-Unis 111 X 05 73,5 X 60,5The Museum of Modem Art, Paris, France Collection particulièreCollection Moue John Hay Musée du LouvreWhitney

Gauguin PaulFrancisco de Goya Portrait de Gauguin à la

Picasso Pablo Autoportrait paletteAutoportrait à la palette 1703 hiver 1893-18941906 Huile sur toile Huile sur toileHuile sur toile 86 X 60 92 X 7392 X 73 Agen, France Collection particulièrePhiladelphie Etats-Unis Musée des Beaux-ArtsPhiladelphia Museum ofArt Picasso Pablo

Eugène Delacroix Buste d’homme écrivantAutoportrait 7 juillet 1971

Picasso Pablo 1039 Huile sur toileL’artiste devant sa toile Huile sur toile 100 x 811938 65 x 54.5 Castres, FranceFusain sur toile — Paris, France Musée Goya, Musée d’art130x 94 Musée du Louvre hispanique, dépôt MuséeParis, France PicassoMusée Picasso

SALLE 2 MODELES, La copie de la copie

Picasso Pablo Picasso PabloAcadémie Pablo Picasso Académie. Etude de bras1895-1896 Etude académique de jambe 1894Fusain sur papier 1899 Fusain et crayon sur63 X 47,5 Fusain sur papier papierBarcelone, Espagne Collection particulière 45 X 34Museu Picasso Barcelone, Espagne

Museu Picasso

Picasso PabloPicasso Pablo stude de mainAcadémie 1093-1894 Picasso Pablo1895,

- Fusain sur papier AcadémieFusain, crayon Conte et 23 x 33,5 1095pionb sur papier Collection particulière Fusain, estompe et47,4 x 61 touches de craie surBarcelone, Espagne papierMuseu Picasso 63 X 47,3

SALLE 3 COULEURS. Indigomanie & peintures noires (deux parties)

£1 GrecoLe songe de Philip II1570Huile sur bois5e X 35Royaume-Uni, LondresNational Gallery

Picasso PabloL’enterrement de Casagemas(Evoca tics)1901Huile sur toile150 X 90.5Paris, FranceMusée d’art moderne de laVille de Paris

El GrecoSaint Jérâme en cardinal1590-1600Huile sur toile59 X 48Londres, Royaume-UniNatïcnal Gallery

El GrecoLa visitation1607—1614Huile sur toile97 X 71Washington, Etats-UnisDumbaroon Oaks ResearchLibrary and Collection

£1 GrecoLa Vierge Marie, dit MaterDol orosa1550—1600Huile sur toile53 X 37Strasbourg, FranceMusée des Seaux-ArtsStrasbourg

Picasso PabloPortrait de Senet Scier1503Huile sur toile100 X 71Saint Petersbourg,RussieMusée de l’Ermitage

Henri Rousseau dit LeDouanier RousseauPortrait de l’artiste à lalampe1902-1903Huile sur toileParis, musée nationalPicassoDonation Pablo Picasso,1973

Henri Rousseau dit LeDouar.ier RousseauPortrait de la secondefe de Rousseau1903Huile sur toileParis, musée nationalPicassoDonation Pablo Picasso,1973

Pablo PicassoPortrait d’ambroiseVollardParis, 1910Huile sur toileMoscou, ‘rhe State PushkinMuseum of Fine Arts

osé de RiberaDemocri te1630Huile sur toile125 X 81Madrid, EspagneMuseo del Prado

Picasso PabloPortrait de vieil espagnol1895Huile sur Scile58.5 x 42.8Sarcelone, EspagneKuseu Picasso

Picasso PabloPortrait de Felip IV(copie de Velàzquez)1897-1898Huile sur toile54,2 X 46,7Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Picasso Pabloportrait d’un inconnu1895Huile sur toile47,5 X 35,2Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Edouard ManetCombat de taureaux

huile sur toile90 X 110Paris, PranceMusée d’orsay

Pablo PicassoScène de corrida (Lesvictime,)1901Huile sur oarton nontéesur bois49,5 X 64,3Collection particulière

51 GrecoPortrait d’un gentilhonmie1600-1610Huile sur toile65 X 49Madrid, EspagneMuseo del Prado

Picasso Pablovisage à la manière deGreco1899Huile sur toile34,7 X 31,2Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Velàzquez DiegoFrancisco PachecoHuile sur toile40 X 36Madrid, EspagneMuseo del Prado

Picasso Pabloportrait de Jaime Sabartèsen Grand d’Espagne1939Huïle sur toile46 X 38

Picasso PabloLa famille Saler1903Huile sur toile150 X 200Liège, BelgigueNusée d’Art Moderne etd’Art Contemporain (MANAC)

Picasso PabloPortrait de face deCharles Casagemas1899-1900Huile sur toile55,8 X 46Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Francisco de ZurbarânSaint François d’Assisedans sa tombe163 0—34Huile sur toile204,2 X 113,3Milwaukee, Etats-UnisMilwaukee Art Museum

SALLE E VARIATIONS

Diego Vel&zquezL’infante MarieMargueri teveto 1653Huile Sur toile70 X 58Paris FranceMusée du Louvre

Picasso PaboL’infante MarieMargueri te14 septembre 1957,Huile sur toile100 X BIBarcelone, EspagneMuseu Picasso

Picasso PabloLes Ménines. d’aprèsVelâzquei17 août 1957, CannesHuile sur toile134 X 260sarcelone, EspagneMuseu Picasso

Picasso PabloLes Ménineo, d’aprèsVelSzquez13 septembre 1957, CannesHuile sur toile129 X 161Darcelone, EspagneMuseu Picasso

Picasso PabloLes Ménines3 octobre 1957, cannesHuile sur toile129 X 161Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Picasso PabloL’infante MarieMargueri te21 août ou 21 juillet1957, canr.esHuile sur toile

100 X 81Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Picasso PabloLes Ménines d’aprèsVeldzquez15 septembre 1957, cannesHuile sur toile129 x 161Barrelone. EspagneMuseu Picasso

Pablo PicassoLes Ménints. d’aprèsVelizguez19 septembre 1957, cannesHuile sur toile129 X 161Barcelcne, EspagneMuseu Picasso

Poussin NicolasL’enlèvement des Babines2ème quart du 17èmesiècleHuile sur toile159 X 206Paris, FranceMusée du Louvre

Picasso PabloL’enlèvement des Babines9 janvier - 7 février1963, MouginsHuile sur toile195.4 X 131Boston, Etats-tinisMuseum of Fine Arts

Picasso PabloL’enlèvement des Babines1962, MouginsRuile sur toile161.8 x 130.2Bâle, SuisseFondation Ernst Beyeler

Picasso PabloL’enlèvement des Babines4, 8 novembre 1962,MouginsHuile sur toile97 X 130Paris, FranceMusée National d’ArtModerne, Centre GeorgesPompidou

Picasso PabloL’enlèvement des Babines24 octobre 1962, Mougir.sHuile sur toile46,5 X 55Prague, RépubliqueTchèqueNarodni Galerie

Le NainLouis Le retour dubaptême (la familleheureuse)1642Huile sur toile61 X 78Paris, FranceMusée du Louvre

Picasso PabloLe retour du baptème(la famille heureuse)Autorme 1917, ParisHuile sur toile164 X 118Paris, FranceMusée Picasso

Anonyme (Le Nain)La halte du cavalierHuile sur toileParis, musée nationalPicassoDonation pablo Picasso,1973

SALLE E (vitrine) GRAVURES ALLEMANDES

Crar,ach Lucas LAncier,David et Betbsabée1526Huile sur toile36.8 X 25,7Berlin, AllemagneStaatliche Museen zuBerlin, Gemldega1erie

Picasso PabloDavid et Bethsabée30 cars 1947Lithographie, 1er état(plur.e et lavis sur zinc)64 X 49Paris, FranceMusée Picasso

Picasso PabloDavid et Bethsabée30 mars 1947Lithographie, 2°ètat(plume et lavis sur zinc)64 X 49Paris, FranceMusée Picasso

Cannes

22 X 32Paris, FranceMusée de l’orangerie

Francisco de ZurbarânAgnus Dei1635-1640Huile sur toile38 X 62

65 X 89Espagne, MadridMuseo Nacional Centro deArte Reina Sofia

Chardin Jean BaptisteSiméonLe gobelet d’argentvers 1760Huile sur toile31 X 41Paris, FranceMusée du Louvre

Picasso PabloVase, bol et citronété 1907

Madrid, EspagneMuseo Nacional dcl Prado

Francisco de GcyaNature morte â la tête demou ton1er quart du 19ème siècleHuile sur toile45 X 62Paris, FranceFlusée du Louvre

Picasso PabloNature morte au crâne demouton6 octobre 1939Huile sur toile50, 2x61Collection particulièreMexico, MexiqueCollection Vicky etMarcoe Micha

Huile sur panneau62 X 4DBéle, SuisseFcndation Ernst Beyeler

Picasso PabloVase, bols et compotierEté 1908Huile sur toile81,9 x 65,71952—61—93Philadelphie, Etats-UnisPhiladelphia Museum cfArt

Luis HeléndezNature marte avec citronset oranges1760Huile sur toile48 X 35,5Londres, Royaume -UniNational Gallery

Francisco de ZurbarénNature morte1635 -40Huile sur toile46 X 84Larcelone, Espagne!4useu Nacional d’Art deCatalunys

Chardin Jean BaptisteSiméonTable de cuisine etustensiles avec un carréde moutonVers 1732Huile sur toile34x46Paris FranceMusée Picasso

Picasso PabloCrâne de mouton1er octobre 1939Huile et encre de Chine46,2 X 65Paris, FranceMusée Picasso

Picasso PabloTête de mouton écorchée4 octobre 1939Huile sur toile50X61Lycn, FranceMusée des Eeaux-Arts,dépôt du Musée Picasso

Picasso PabloTrois crânes17 octobre 1939Huile sur toile

Picasso PabloTête de mort â la cruche15 aoflt 1943Huile eur toile65 X 54Londres, Royaume -UniHelly Nahmad Gallery

Cézanr.e PaulTrois crânes1898-1900Huile sur toileOetroit. Etats-UnisPetroit Institute of Arcs

Picasso PabloChat et homard25 octobre - 1er noverbre1962Huile sur toile130 X 162Hakone, JaponHakone Open-Air Museuc

Oelacroix EugèneNature morte aux homards1827Huile sur toile80.5 X 106.5France ParisMusée du Louvre

SALLE 8 FIGURES, Le Portrait de la peinture

Ilegas EdgarL’Absinthe1875 - 1876Huile sur toile92X68Paris, FranceMusée d’orsay

Picasso PabloBuveuse d’absintbe1901Huile sur toile73 X 54

Picasso PabloBuveuse accoudée1901Huile sur carton65,5 X 51collection particulièreSaint Petersbourg, Russie

Musée de l’Ermitage

SALLE 10: GRAEDS NUS (Vénus, Maja, Olympia)

Le TitienVénus se divertissant avecl’amour et la musique1555— 1560Huile sur toile148 X 217Madrid, EspagneMuseo del Prado

Picasso PabloNu couché et honmie jouantde la guitare27 octobre 1970Huile sur toile130 X 195Paris, FranceMusée Picasso

Picasso PabloNu couché au collier

octobre 1968Huile sur toilel13,5,x 1617Lor.dres, Royaume -UniTare

Picasso PabloNu couché10 juillet 1969Huile surParis, FranceMusée Picasso

Goya Francisco deNaja desnuda1797—1800Huile sur toile97 X 190Nadrid, Espagre

Picasso PabloNu à l’oiseau17 janvier 1968Huile sur toile130 X 195Cologne, AllemagneMuseum Ludwig

Picasso PabloNu couché14 juin 1967Huile sur toile195 X 130Paris, FrancsMusée Picasso

Manet EdouardL’olympia1863Huile sur toile130,5x190Paris, Frar.ceMusée d’orsay

Picasso PabloNu couché jouant avec unchat10,11 mai 1964Huile sur toile114x195Bâle, SuisseFondation Ernst Beyelec

Ingras Jean AugusteDoniniqueOdalisque en grisaille

1824 —1834Huile sur toile83.2 X 109,2New York, Etats-UnisThe Metropolitan Museun ofArt

Picasso PabloNu couché2 novembre 1969Huile sur toile130 X 135Collection particulière

Picasso PabloNu couché14-15 novembre 1971Huile sur toile130 X 195Collection particulière

R enb rand t

Fee se baignantHendrickje Stoffels)

1654Huile sur bois61,8 X 47Londres, Royaume-UniNational Gallery

Picasso PabloLa pisseuse16 avril 1965Huile aur toile194.8 X 96,5Paris, Frar.ceMusée National d’ArtModerne. Centre GeorgesPompidou

SALLE 10 (vitrines) RAPHAEL ET LA FORNARINA

Ingres Jean AugusteDominiqueRapheel et La Fornarins1840Huile sur toile35,6 x 27,3Colunbus, Etats-Unis0Mo Columbus Art Museum

Ingres Jean AugusteDominiquePaolo et Francesca1819Huile sur toile50,3 x 40,7Angers, France

Musée des Beaux-ArtsAnge r s

Picasso PabloRaphael et La Fornarina29 août 1968, Mouginseau forte sur cuivre27,9 x 30,9Collection particulière

Picasso PabloRaphael et La Fornarina31 août 1966, Mouginseau forte sur cuivre23,2 X 33,1Collection particulière

Picasso PabloRaphsel et La Fornarina31 août 1968, Mouginseau forte sur cuivre16,7 X 20,8Co1lection particulière

Picasso PabloRaphael et La Fornarina31 août 1968, Mouginseau forte sur cuivre41,4 X 49,5Collection particulière

Picasso PabloRaphael et La Fornarina

Museo del Prado

PICASSO ET LES MAÎTRESOuvrage collectif sous la direction scientifiqued’Anne Baldassari et Marie-Laure Bernadac

Rnn éditions 23350 illustrationsrabats.Prix 45€

Nomenclature EC 10 5524LAN 975-2-711B-5524-7Diffusion Interforum

Essais

1 La Peinture de la peinture

Anne Baldassari

2 Picasso cannibale.

Deconstructicn-recor.structioz des Maîtres

Marie-Laure Becnadac

3 Picasso courtisant sa muse. L’Antiquité

Susan Grace c-alassi

4 Picasso et l’École espagnole

Francisco Calvo Serraller

5 Picasso et la tradition française.

Ur. historique

Pierre Daix

6 Prise de position.

Picasso et ses Maîtres allemands

Carsten-Peter Warncke

Catalogue

1 PEINTRES c Yo, Picasso

Anne Baldassari

2 MOOLES La copie de la copie

Aime Baldessari

3 COULEURS Indigomanie et peintures noires

Aime Baldassari

4 TAROTS Gentilshommes du Siècle d’or

Marie-Laure Bernadac

S VARIATION DEACROIX

Les Femmes d’Alger

Marie-Laure Bernadac

6 VARIATION VELAZQUEZ

Les Ménines

Marie-La-are Bernadac

7 VARIATION MANET

Le Déjeuner sur l’herbe

Marie-Laure Bernadac

B VARIATION DAVID ET POUSSIN

L’Enlèvement des SaLines, Le Massacre des

innocents

Marie-Laure Berr.adac

9 FORMES Natures mortes, vanités et bodegones

Marie-Laure Bernadac

10 FIGURES te portrait de la peinture

Anne Baldassari

11 NUS Vénus, Naja et Ulympia

Anne Baldassari

Annexes

1 chronologie de Picasso et ses Maîtres

Anais Bonnel

2 Liste des oeuvres exposées

3 Bibliographie

Jeanne Sudour

catalogue de l’exposition

X 30,5 rn, 3GB pages,environ, broché avec grands

Sortaire du catalogue

ce.t.et. 44,,nlo,, de. 4’, n,, Eu.,,, Marc,1, 7503’ Paris, c,d.x ci clii.. Pc.iii,t, pr’.... tel 01 40 li •7 Si, gill.s.romiilat(r,rn.rr.

les éditions Rmn pour enfants

Autour de l’exposition

PICASSO ET LES I’MITRES, le livre pour enfantOuvrage de Mua Boutan, auteur de livres pour enfants.

Picasso tout au long de sa vie s’inspira des chefs-d’oeuvre de lagrande peinture Le Greco, Velasquez, Murillo, Rembrandt, Ingres,Delacroix, Manet, Gauguin, van Gogh, Degas. . nais égalementcranach et Grûnewald...Il s’agit de recréer le Panthéon artistique de Picasso qui tout aulong de sa vie s’inspira des chefs d’oeuvre de la peinture enhabitué du Prado en 189G-99 puis du Louvre dés son arrivée à Parisen 1900.

Le livre propose d’initier les enfants à l’oeuvre de Picasso, enmettant l’accent sur les thémes qui le relie aux grands maîtres.

Après une introduction sur les grands maîtres revisités par Picasso, troisséries sont retenues les Ménines, Vélasquez, les Femmes d’Alger, Delacroix,le Déjeuner sur l’herbe, Manet. Pour chacune, est présenté le tableau analysépar Picasso, suivi par des variations peintes par Picasso.Le commentaire oriente les enfants sur les éléments communs à Picasso et à sesinspirateurs, ainsi que sur les points de vue différents dans chacune desvariations.Au fil des pages de nombreuses activités seront proposées.

Parution sept.200824 X 31. Broché 40 pages, 35 illustrationsPrix 13 €

978 2 7118 5572Code RMN lA 10 5572

MON PETIT PICASSOMarie Sellier, auteur de l’ouvrage.

Faisant suite à Mon petit Orsay et Mon petit Louvre, voici... Monpetit Picasso.Toujours sous la forme d’un catalogue à la Prévert, nous découvronsdes oeuvres exposées au nusée Picasso.Sur le même principe que les deux preniers, l’oeuvre se trouvera enpleine page à droite et en page de gauche, un détail servant deprétexte à l’histoire.Le texte de Marie Sellier s’adresse aux enfants de 5 à G ans quidécouvriront 18 des plus belles oeuvres de Picasso.

Parution septembre 2002, Diffusion Seuil22 x 22, Relié 48 Pages. 18 illustrationsprix 8,99 €ISBN 2-7118-4496-XCode RMN Ic 50 4496

Les tableaux de Pablo PicassoSylvie Girardet, claire Nerleau-Ponty et Nestor Salas sont lesauteurs de l’ouvrage.Collection Salut l’artiste (livre-jeu)

Jouer.., avec PicassoRencontrer.. .une drôle de nageuseDécouvrir.. -un matador et un arlequinRegarder...un visage à la fois de face et de profilReconnaître.. - les tableaux de Picasso et de ses anis.

Parution 2000, réédition 200520 x 1G, Relié 40 pages,Prix 9 Euros

n

Communiqué

Etole Mandoline et guitareEtole Bacchanale

Deux étoles colorées inspiréesde l’univers de Picassoen vente dans les boutiques de la Rmn

100% crêpe de soie, 140 X 40 cm, inspirée del’oeuvre de Picasso Mandoline et guitare,conservée au Ouggenheim Museum de New York.La nature morte â l’instrument de musiquereste l’un des thèmes privilégiés del’artiste.

Contact presseSophie Mestiri01 40 13 41 [email protected]

Etole Bacchanale, 85 €

100% crêpe de soie, 156 X 60 cm,inspirée du tableau de PicassoBacchanale conservée au musée Picasso deParis.La Méditerranée a toujours été sourced’inspiration inépuisable pour l’artistedes fiaunes et des bacchanales.

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-J-

Etole Mandoline et guitare, 75 €

auditorium - les films

autour de l’exposition

Picasso et las Maitres

du 08 octobre 2008 au 02 février 2009

Des projections quotidiennes

DOCUMENTAIRES ET FICTIONS

Zurbaran ou la vie des moines etl’amour des choses

Réalisation José Maria Berz:sa, 1986, 58mnLundi à 14h

Le violonRéalisationJeudi à 18 h

d’ IngresCécile Favier, 2005, 52 mn

soyaRéalisationVendredi à 1421

Conditions d’accès Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponiblesAdresse Square Jean Perrin 3, rue du Général Eisenhower 75002 ParisTéléphone 01 44 13 17 17

0’d

-—

• Rembrandt, le miroir desparadoxes Autoportraits

Réalisation Main Jaubert, Palettes,1969, 30 mnLundi à 15h

• Le GrecoRéalisation Jean-Marie Drot, 1959, noiret blanc, 16 mnLundi à 15h30

• Picasso (tous droits réservés)

Réalisation Didisr Baussy. 1966, 1h21Mercredi à 12h30 e: dimanche à 16h

• Edgar Oegas, l’esprit inquiet —

Réalisation D. ‘rhcnnsor. et A. Turner,1960, 1hMercredi à 14h

• Le mystâce PicassoRéalisation Henri-Ceorges clouzot, 1956,1h18Mercredi à 16h et dimanche à 12h30

• Cézaone, conversation avec JoachiaGasque t

Réalisation Jean-Marie Straub et DanièleHuillet, 1965, 52 mnJeudi à 14h

• Picasso érotiqueRéalisation Valéria Manuel, 2001, 52 mnJeudi à 15h

• Dialogue imaginaire avec Picasso latâte d’obsidienne

Réalisation Jean-Marie Drot, 1996, 1h15Jeudi à 16h

• Prenade imaginaire en Espagne avec

Jean Marie Drot, 1978, 55 mn

• Treize Journées dans la vie de PicassoRéalisation Pierre-Àndré floutana, Pierre

Daix et Pierre Ehilippe,

2000, 3hVendredi à 16h

• Au Louvre avec les MaitresRéalisation t Richard Copans, 1993 46 mnSamedi à 15h

• Picasso et la tauromachieRéalisaticn t Jean Marie Del Moral, 1993,26 mnSamedi à 17h30

• VélaequezRéalisation Michel Mitrani, 1960, noiret blanc, 45 mnDimanche à 14h

• Manet, le modêle au chat noirl’olympia

Réalisation Alain Jaabert, Palettes,1995, 29 mnDisanche à 15h

• Picasso, le» couleur» de la passionLe crucifixion

Réalisation Main Jaubert, Palettes,

1993. 32 mnDimanche à 15h30

• Renoir, les beaux dimanches d’été t LeMoulin de la Galette

Réalisation Alain Jaubert, Palettes,1996, 3osix,Dimanche à 17h30

auditorium - 3 lectures, 1 concert

autour de l’exposition

Picasso et les Maîtres

du 08 octobre 2008 au 02 février 2009

les rendez-voua du vendredi à 12h30 (durée 1h)

Vendredi 7 novembre 2000 « Au rendez-vous des poètes»Par Xavier Clément, comédiene Au rendez-vous des poètes ., avait écrit Picasso à la craie bleue sur la porte de sonatelier du Bateau-Lavoir. De fait, de Max Jacob, qui fut son premier ami français, jusqu’àRené char, l’un de ses proches pendant ses dernières années, en passant parApollinaire, André saison, Pierre Reverdy, Jean Cocteau, Paul Eluard ou Francis Pcnge, denombreux poètes l’entourèrent tout au long de son existence. Au-delà de l’amitié, ceux-ci, parleurs écrits, jouèrent un râle important dans la reconnaissance de l’artiste auprès de lacritique et du public. travers des extraits de correspondance, des articles journalistiques, des essais, des poèmes,cette lecture dcnr.e un aperçu des relations de Picasso avec ses amis poètes. Unenregistrement* de la voix d’Apollinaire récitant Le Pont Mirabeau, Marie et Le voyageurouvrira la lecture.‘sonorisation réalisée à partir de documents provenant de la ENF, département audiovisuel

vendredi 20 novembre 2000 Picasso propos sur l’ArtPar Nicolas Stnzve, conédsn• Je ne cherche pas, je trouve... • La formule célèbre de Picasso ne l’a pas empêché deréfléchir sa vie durant sur les fondener.ts, les noyens et les buts du geste esthétique. Il aété amené à de nombreuses rerrises, dans des interviews, des entretiens, des conversationsrapportées par ses proches, à préciser sa pensée sur Ces questions. Et notannent à porter desjugements tcujours tranchés, en bien ou en mal, sur les grands peintres du passé.tu Greco â Cézanne, passage en revue de ses propos sur les e Naitres -

Vendredi 23 janvier 2009 Picasso regards croisésPar Amèlie Prévoat et Rager Miremont, comédiensJaime sabartés connut Picasso très jeune avant de devenir son secrétaire et son premierbiccraphe. Le grand photooraphe Brassai tut 1’ ani du peintre dans sa maturité. Françoise Gilotpartagea un temps sa vie. Tous trois écrivirent sur Picasso des livres en forme de témoignagesdonnant à voir l’homme en mène temps que l’artiste. Une approche à la fois intime etesthétique de Picasso à travers Picasso, portraits et souvenirs (Jaime Sabartès)Conversations avec Picasso (Brassaï) , Picasso et ses amis (Fernande olivier) et Vivre avecPicasso (Françoise Gilot)

* * * ** * ***

Un concert exceptionnel le Vendredi 30 janvier et le Samedi 31 janvier à 20 11 30Musiques pour Picasso soirées Antoine DuhanelLe Quatuor Hélios Christel Rayneau - Flûte, Suzanne Marie - Violon, Sarah Braye - Alto,Pascale Jaupart - Violoncelle et la harpiste Marie Normand.Compositeurs Albert Roussel, Claude Debussy, Arnold Schoenberg et André Jolivet.Plusieurs langages musicaux font écho aux diverses périodes picturales de Picasso et sontréunis dans ce programme où sera interprétée une OEuvre originale d’Antoïne Duhamel, composéespécialement pour ces deux concerts exceptionnels autour de Picasso,

Conditions d’accès Accès gratuit. Entrée prioritaire sur présentation d’unecontremarque à retirer aux comptoirs d’accueil à compter de sept jours avant ladate de la manifestation,Adresse Square Jean Perrin 3, rue du Général Eisenhower 75008 ParisTéléphone t 01 44 13 17 17

auditorium — conférences et rencontres

autour de l’exposition

Picasso et les Maîtres

du 08 octobre 2008 au 02 février 2009

les rendez-vous du mercredi soir à 18h30

Les conférences

Mercredi 15 octobre 2008 Picasso et les maîtres, l’expositionPar Amie Baldassari conservateur du patrimoine, directrice du Musée Picasso et co-cosmiissairsde l’exposition.Comment Picasso, figure de proue des avant-gardes artistiques du Xxème siècle, entretint-ilnéanmoins un dialogue avec les grands maîtres du passé tout au long de sa carrière ? Peut-ondire aujourd’hui, plus de trois décennies après sa disparition, que son oeuvre s’inscrit à sontour dans l’histoire de cette Tradition qu’il a toujours cherché à faire éclater ? Enréunissant une centaine de tableaux célèbres pour les confronter à leurs variationspicassiennes, cette rétrospective exceptionnelle entend rendre sensible la permanence dethèmes et de sujets « classiques • même chez cet artiste de la rupture par excellence qu’étaitPicasso.

L’une des 27 leçons d’histoire européenne, manifestation organisée par les Rendez-vous de l’histoiredans le cadre de la Saison culturelle européenne en France 1er jUillet - 31 décembre 05)Mercredi 29 octobre 2008 L’héritage méditerranéen de la culture européennePar José Enrique Ruiz-nomenec, professeur d’histoire médiévale et directeur de l’Institutd’études médiévales de l’université autonome de Barcelone, membre titulaire de l’Académieroyale des Belles Lettres de Barcelone et de l’Académie royale doctorale de catalogne.Un voyage à la recherche de l’héritage de la civilisation méditerranéenne dans la constructionde l’Europe moderne, à travers ses principales étapes historiques qui ont permis des échangesculturels dans les champs de l’art, la littérature et la pensée.

Mercredi 5 novembre 2008 Rembrandt, Ingres, Degas, Picasso graveur des grands maîtresPar )nnabelle Ténèze, conservateur au Musée PicassoComme Dûrer, Goya, Oegas ou Matisse, Picasso s’inscrit dans la grande tradition des peintres-graveurs. Avec plus de 2 000 oeuvres, il est le graveur le plus prolifique de son siècle. CoToeneeux, il ne considéra pas l’estampe, pourtant le médium traditionnel de diffusion de l’artdepuis la Renaissance, comme un moyen de reproduction nais comme un processus de création àpart entière. Conscient de cette histoire singulière, Picasso fait de la gravure le lieu deson c musée imaginaire • il poursuit dans l’estampe les variations autour de Manet et deOelacroix, ajoute Cranach et Ingres, décompose les chefs-d’oeuvre de la gravure tels que l’EcceHomo de Rembrandt, et rend homsage aux grands maîtres graveurs conne lui- Oegas, Rembrandt -

que, fait rare dans son oeuvre, il met en scène sur la feuille.

Mercredi 12 novembre 2008 La série des taureaux Picasso ou l’histoire de l’art à reboursPar Irving Lavin, historien et écrivain, professeur émérite de PrincetonLa déclaration la plus célèbre et la plus profonde de Picasso au sujet de son art fut .

Auparavant les tableaux s’acheminaient vers leur fin par progression. Chaque jour apportaitquelque chose de nouveau. Un tableau était une sonne d’additions, Chez moi un tableau est unesomme de destructions. Je fais un tableau, ensuite je le détruis. Mais à la fin du compte rienn’est perdu •. Comme pour illustrer cette idée, pendant l’hiver 1945, Picasso fit une série deonze représentations d’un taureau se tenant debout, seul, le tout sur la même pierrelithographique. L’animal sassif, héroïque, y est systématiquement, point par point, décomposé,presque jusqu’à l’annihilation - mais pas tout à fait.Cet exposé a pour anbition de comprendre la généalogie, le processus et la signification de lacorrida graphique de Picasso comme un résumé artistico-historique de destructions.

Les rencontres

rencontres les artistes contemporains et PicassoUn artiste s’entretient avec une personnalité de son choix sur SOn rapport avec les arandesoeuvres du passé. Se reconnaît-il des maîtres et lesquels ? En quoi ceux-ci ont-ils été pourlui une référence ? Toute influence est-elle à proscrire, ou bien peut-elle aider à affirmersa prcpre personnalité

Le Mercredi 26 novembre 2008

Pierre Euraglio et Daniâle cohnPierre Buraglio, né en 1939, travaille à Maisons-Alfort et a enseigné à l’Ecole des Beaux-Artsde Paris depuis les années soixante, cet artiste plasticien proche à ses débuts de la JeunePeinture puis des membres de Supports/Surfaces construit une oeuvre qui, en mettant à nu lesprocédés de la production artistique, ne cesse de s’interroger sur la Tradition.Danièle Cohn est professeur à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) -

Philosophe, spécialiste de l’esthétique, elle est auteur notamment de La Lyre d’orphée, Goetheet l’esthétique et Penser l’art d’aujourd’hui.

Marc Dosgramdchafllps et Marie-Laure BernadacMarc Oesgranchamps, né en 1960, vit et travaille à Lyon souvent qualifié de peintre dutranslucide tu de l’évanescence, cet artiste dont les ttiles peuvent être perçues comme dessurimpressions de souvenirs où figures, objets et paysages se confondent, est l’un desreprésentants majeurs du renouveau actuel de la peinture en France.Marie-Laure Bernadac a été ccnservateur général au musée Picasso et au département d’artsgraphiques du centre Pompidou. Ancienne directrice du musée d’Art contemporain de Bordeaux,actuellement chargée de l’art contemporain au Louvre, elle est cocomnissaire de l’expositionPicasso et les maitres.

Erré et Jean-Paul AmelineErré, né er. Islande en 1932. vit et travaille auourd’hui entre Paris, Bangkok et Fomentera.Excosées dans le monde entier, ses compositions brassent avec ironie des images recycléessouvent issues de l’iconographie populaire t jouant sur des contrastes de styles e: decouleurs vives, elles visent à déclencher un choc visuel tout en portant un regard critiquesur la consommation de masse et tous les types d’impérialisme politique.Jean-Paul Ameline, professeur d’histoire-géographie dans l’enseignement secondaire de 1969 à1982, est conservateur général du patrimoine. Nommé au centre Pompidou en 1984, il s’estparticulièrement attaché à l’étude de l’art des années d’aprésguerre dans le cadre du servicedes collections historiques. Il a été entre autres expositions, le commissaire en 1986 dePicasso et le Rideau de parade.

Conditions d’accès Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponiblesAdresse Square Jean Perrin 3, rue du Général Eisenhower 75008 ParisTéléphone 01 44 13 17 17

ateliers pour enfants

autour de l’exposition

Picasso et les Maîtres

du 08 octobre 2008 au 02 février 2009

du 15 octobre 2008 au 24 janvier 2009

Entrons dans la toile I (8-li ans)

:a visite—atelier dure deux heures et se déroule en deux tecps

- une visite de l’exposition (durée 45 mir.utes)

- un atelier pratique (durée une heure et quart}

La visite et l’atelier sont animés par un conférencier plasticien de la Réunion des musées

nationaux

Après la visite de l’exposition, c’est autour des ?1énines, oeuvre najeure et nystérieuse de

velasquez, retravaillée maintes fois par Picasso, que les enfants vont créer à leur tour,

Que peint l’artiste ? Qui est représenté dans le miroir 7 Qui est spectateur

Après avoir obseté les principaux éléments liés à la composition du tableau et ses

différentes interprétations, les enfants déccnstruisent pour recomposer une oeuvre sensiblement

nouvelle,

Ils découpent dans la toile, ils chanboulent les personnages, ils dévoilent des détails, ils

collent et ccmplètent leur travail avec des éléments dessinés,

A la fin de la séance, les participants se regroupent puis expliquent leurs intentions

Cec atelier est organisé avec le soutien des marques Canson et Pébéo

MODALITE D’ INSCRIPTION

Pour les individuels

Seuls les enfants participent à la visite

Tous les mercredis à 14h et les samedis à 10h et 14h,

Tarif unique 9 C.

Vente à l’avance aux Galeries nationales ou dans le réseau habituel voir guide du visiteur,

Pour les groupes scolaires et les centres de loisirs voir guide du visiteur.

Informations 01 44 13 17 64

visuels presse

VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE (Uniquement pendant la durée de l’exposition)

Les conditions de reproduction des oeuvres de Palo Picasso

La reproduction des oeuvres de Pablo Picasso n’est pas libre de droits. Cependant, pour les reproductions dans la presse,

les droits de reproduction seront exonérés pour les formats inférieurs su oyart de la page dans le cadre d’articles

faisant le cotopte-rendu de l’e,cposicjon et des activités entourant cette manifestation.

Les oeuvres devront être reproduites le plus f idèlenient à l’original aucun changerent de couleur, reproduction intégrale

de l’uvre (ni le détourage de détails, ni le recadrage), aucune suritnçression de texte sur l’image, Les raquettes

peuvent être envoyées par e-mail. O’aque support doit être acconçagné de la rention de copyright suivante

© Succession Picasso 200,.. { millésima de l’année d’édition ( tans tous les cas, il convient de se rapprocher de

O,ristine pinault, PICASSO AnIINISTRATION 9, rue Volney 75002 paris, T 01 47 03 69 70 ou cpinaultpicasso.f r

Contact Réunion des musées nationaux, 49, rue Etienne Marcel, 75039 Paris, cedex 01 Gilles Romillat,

presse, T 01 40 13 47 61, gilles.roinillatsrmn.fr.

r l’a, PicassoPablo Picasso

Paris, 1901Huile sur toile,73,5 x 60,5 cmCollection particulière® Succession Picasso, 2008

Un artiste(Jorge Manuel Theotokopulus)El Grecovers 1600 - 1605Huile sur toile75 X 50,5Séville, Espagne

Museo de Bellas Artes

Portrait de Gauguin à la palettePaul Gauguinhiver 1893-1894Huile sur toile92 X 73

Collection particulière

Democri taJosé de Ribera1630Huile sur toile125 x 81Madrid, EspagneMusec del Prado

Homnw à la guitarePicasso Pablo1911- 19 13Huile sur toile154 x 77,5Paris, FranceMusée Picasso

© Succession Picasso, 2008

Saint Français d’Assise dans sa tombeFrancisco de Zurbarén1630 -34Huile sur toile204,2 X 113,3Milwaukee, Etats-tinisMilwaukee Art Museurn

3

L’infante Maria MargueriteDiego Velàzquezvers 1653Huile sur toile70 saParis, FranceMusée du Louvre

L’infante Marie MargueritePicasso Pablo14 septembre 1957, CannesHuile sur toile100 X 81Barcelone, EspagneMuseu Picasso

Succession Picasso, 2008

Le gobelet d’argentChardin Jean Baptiste Siméonvers 1760Huile sur toile31 X 41Paris, FranceMusée du Louvre

a

Nature morte au crâne de moutonPicasso PabloS octobre 1939Huile sur toile50, 2x61Collection particulièreMexico, MexiqueCollection Vicky et Marcos Micha® Succession Picasso, 2008

Nature morte à la tête de moutonFrancisco de Goya1er quart du 19ème siècleHuile sur toile45 x 62Paris, FranceMusée du Louvre

5

Les visuels de l’exposition sont téléchargeables surle bureau de presse internet de la Rmn.

Voici la marche à suivre

- Aller sur le bureau presse de la Rmnhttp: //www.presse.rmn. fr/phpmyimages/public/index.phpou en cliquant sur “presse” dans la bannière noire de la paged’accueil de rmn.fr

- Cliquer sur “Expositions”

- Choisir l’événement recherché dans la liste des expositionsproposées

- Cliquer à droite de la page sur la mention“afin de pouvoir télécharger les documents réservés, il fauts’inscrire en cliquant ici pour obtenir un mot de passe”

- Remplir le petit formulaire de demande de mot de passe pourrecevoir un nom d’utilisateur (login) et un mot de passe(valables trois mois)

- Aller dans “S’identifier”, sur la page d’accueil du bureaude presse

- Une fois identifié(e) , cliquer sur “Expositions” dans lacolonne de gauche, pour accéder à la liste puis aux visuels etdocuments à télécharger.

renseignements pratiques

Prix d’entrée

• tarif plein 12€ ; tarif réduit $ € (13-25 ans, famille

nombreuse, demandeur d’emploi...)• gratuité pour les moins de 13 ails, les bénéficiaires du P141 et duminimum vieillesse.

Ouverture

Tous les jours de 10 à 22h; de 10 à 20 heures le jeudi. Ferméle mardi.

Période des vacances scolaires tous les jours même le mardi de9h à 23h(dernier accès 45 minutes avant la fermeture)

Réservation et préachat des billets pour les expositions etles visites guidéesLa réservation est conseillée.Les tarifs, les disponibilités et les entrées peuvent varieren fonction de chaque réseau.Les points de vente dans les Fnac, Carrefour, Auchan, Géant,Galeries Lafayette, Bon Marché, BHV, Printemps-Haussmann,Virgin MégastorePar téléphone Fnac : 0 892 684 694 (0,34 €/minute) ouTicketnet O $92 390 100 (0,34 €/minute)Par internet www.rmn.frPar téléphone mobile gallery»digitick.comSur place, aux Galeries nationales en caisse uniquementDepuis l’étrangerFnac +33 1 41 57 32 12 ou 28 ou Ticketnet: +33 1 46 91 57 67Belgiçue Fnac, www.fnac.beLuxembourg Auchan, GalaxieSuisse : Fnac, www.fnac.ch

Ac c ê s

• métro lignes 1, 9 et 13 station Franklin-Roosevelt ouChamps-Élysées-Clemenceau• bus : lignes 28, 32, 42, 49, 72, 73, 80, 83, 93

Audioguides en 23 langues 5€ (dans le cadre de la Saison

culturelle européenne en France)

LVMHMOT HENNESSY. LOUIS VUITTON

LVMH / Moét Hennessy Louis Vuitton,

Mécène de l’exposition « Picasso et les Maîtres »

aux Galeries nationales du Grand Palais,

au Louvre et au Musée d’orsay

I Le mécénat de LVMH 32’’ exposition nationale soutenue par LVME, « Picasso et les Maîtres »

s’inscrit dans une action de mécénat culturel et artistique engagée on Franco et à travers le

monde depuis plus de quinze ans.

Par son mécénat, le groupe s’engage à faire découvrir par le plus large public des artistes

majeurs de l’histoire de l’Art, les artistes dont le talent et la créativité ont construit

notre regard et nourri notre sensibilité.

En soutenant la Réunion des musées nationaux, LVT4H permet la réalisation de e Picasso et les

Maîtres s, l’événement culturel le plus marquant de la rentrée.

I Le mécénat de LVNH comme pour Picasso « il n’y a pas de passé ni d’avenir en art s, LV1

marque son engagement pour la connaissance de l’Art de toutes époques, du classicisme à l’art

moderne et à l’art contemporain

Après avoir permis la réalisation des expositions e Picasso et le portrait s en 1996 puis

Matisse / Picasso s en 2002, cette année à nouveau LVIII! rend hommage à l’artiste majeur du

fle siècle, Pablo Picasso, qui s’est s’inspiré de la grande tradition classique pour la faire

revivre au travers d’une oeuvre d’une modernité éclatante.

Cet hommage à Picasso est l’expression même du soutien qu’ apporte LVI!!! à la création

artistique, sans exclusive, entre patrimoine, nodernité et création contemporaine, et qui a

permis de faire accéder des millions de visiteurs aux oeuvres de Poussin, Cézanne, Dubuffet,

Bonnard, Klein, Gauguin, Richard Serra, Matisse... et de Picasso.

fr Le mécénat de LVME. un engagement pour la jeunesse éveiller, transmettre, former

Parce que Picasso est un exemple pour les vocations artistiques naissantes, LVNH organise à

l’occasion de • Picasso et les Maîtres • le 16ème « Prix LVW! des Saunes Créateurs » doté de

bourses d’étude internationales ainsi que, pour les enfants des classes primaires, les

« Classes LVm — Découverte et Pédagogie » pour l’enseignement de l’art aux plus jeunes.

LVNI! / Moét flennessy . Louis Vuitton www.lvnh.fr

Presse Catherine Dufayet CommunicationTél 01 43 59 05 05 catherine.dufayetswanadoo.fr

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