Comité central - FSSTA

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Journal de la Fédération Suisse des SociétésThéâtrales d’Amateurs (F.S.S.T.A.)Bimestriel, distribué à tous les membres descompagnies affiliées, aux théâtres, centres de loisirset culturels

Edition : Marco Polli, secrétaire généralRédaction & Administration : Jacques MaradanAdresse postale:Case postale 36 - 1553 ChâtonnayeTél: 026 658.18.33 - Fax 026 658.18.34Natel: 076 318.08.33 - [email protected]

Rédacteur responsable: Jacques MaradanComité de rédaction: Comité central FSSTAGraphisme (logos): Corinne AndreyComposition & Mise en page:Agence Le Moulin à Poivre, Châtonnaye

Impression: Imprimerie Moser S.A., NeuchâtelExpédition: Dactyle-Service, Vevey

Publicité et annonces:Agence Le Moulin à PoivreCP 36 - 1553 ChâtonnayeTél. 026 658.18.45 - Fax 026 658.18.34(tarifs publicitaires sur simple demande téléphonique)

Délais publicitaires, rédactionnels& dates de parution:3/2004 Juillet 1 1.06 17.06 05.074/2004 Septembre 13.08 16.08 01.095/2004 Octobre 08.10 11.10 27.106/2004 Décembre 26.11 29.11 15.12

Comité centralJean-Paul OBERSONPrésidentRue du Vieux Pont 681630 BULLEtél. + fax: 026 912.31.22e-mail:[email protected]

Marco POLLISecrétaire généralRue Chabrey 371202 GENEVEtél. + fax: 022 734.07.94Portable: 079 745.44.89e-mail: [email protected]

Aline WYSSVice-présidente,Bibliothèque & archivesRue de l’Abbé-Monnin 532854 BASSECOURTTél. + fax : 032 426.65.68e-mail: [email protected]

Janine CONSTANTIN TORREBLANCADéléguée Neuchâtel & Resp. Formation

Rue de l’Evole 17 - 2000 NEUCHATELtél.: 032 724.01.20 - 076 420.84.00

fax: 032 322.75.29 - e-mail: [email protected]

Josiane GILLIOZDéléguée GenèveRue Blanche 41205 GENEVEtél. : 079 240.50.77 - 022 320.85.81e-mail: [email protected]

Francine PIN-MULLERDéléguée Vaud

Combe-Valière - 1268 BEGNINStél. : 022 366.14.90

079 750.54.69e-mail: [email protected]

Secrétariat permanent:

Jacques MARADANCase postale 36

1553 CHATONNAYE026 658.18.33 - 076 318.08.33

fax : 026 658.18.34e-mail: [email protected]

ou [email protected]

Jean-Paul OBERSONDélégué Fribourg(voir ci-dessus)

Aline WYSSDéléguée Jura & Berne(voir ci-dessus)

Les Perd-Vers (Attalens) Coquin de sort (A. Robin-Ligot)L’Arbanel (Treyvaux) La rumeur du bruit... (J. Mazzocato)Le Nouveau Théâtre (Fribourg) Le colonel oiseau (H. Boytchev)Les Baladins (Broc) Le saut du lit (Cooney/Chapman)Théâtre de la Cité (Fribourg) Badinage... (Courteline/Feydeau)L’Echo de Vernier Arsenic & vieilles dentelles ( Kesselring)La Réplique (Satigny) Le saut du lit (Cooney/Chapman)Théâtre de l’Espérance (Genève) La tête à l’envers (S. Thiébaud)La Chancylienne (Chancy) Best club (spect. variétés)J.L.C. (Cologny) La St-Valentin (F. Didier)Groupe Théâtral Le Pâquier Coquin de sort (A. Robin-Ligot)La Boutade (Auvernier) La ballade des planches (Alègre)La Beline (Gorgier) Les têtes à claque (R. Bruneau)Litt. du Cercle de l’Union (Le Locle) Le bal des ventouses (Schaad/Montandon)La Mouette (St-Aubin) L’éventail (Goldoni)Comoedia (Le Locle) Le saut du lit (Cooney/Chapman)La Ramée (Marin-Epagnier) La course à l’héritage (Taburet)Club Littéraire (La Ch.-de-Fonds) Le tombeur (R. Lamoureux)La Claque (Cortaillod) Un ange passe (P. Martin)

Accalmies passagères (X. Daugreilh)Atrac (Le Landeron) Diable d’homme (R. Lamoureux)Compagnons du Bourg (Valangin) La vie de Château (E. delle Piane)Théâtre de la Grappe (Vétroz) L’avare (Molière)

Jean-Marie LACHATDélégué ValaisChemin de la Piscine 71870 MONTHEYtél. : 024 468.22.02 - 079 284.61.20Fax: 024 468.22.22e-mail: [email protected]

Marco POLLIDélégué Genève(voir ci-dessus)

Le Comité central a vu... de janvier à avril 2004

Natacha ASTUTO LAUBSCHERDéléguée Neuchâtel-Jura-Jura bernois

Malvilliers 24 - 2043 BOUDEVILLIERStél. : 032 857.21.11 - 079 214.33.09

e-mail: [email protected]

Marco Alessandro STREBELDélégué Vaud

& Responsable Festivals CP 1540 - 1820 MONTREUX

tél. : 079 637.94.13prof.: 021 315.86.97

e-mail: [email protected]

Patrick FRANCEYTrésorier (& Délégué Vaud)Rte de la Muraz1844 VILLENEUVEtél. : 021 960.17.14fax : 021 967.35.30e-mail: [email protected]

Le Grime (Grimisuat) Le malade imaginaire (Molière)Groupe Théâtral de Salins Sale attente (F. Didier)Amateurs Associés (Riddes) Sale attente (F. Didier)Théâtre du Grü (Chamoson) Un air de famille (Jaoui/Bacri)La Combédie (Martigny-Combes) Soeur Anne... (J. des Marchenelles)Les Comédingues (Grimisuat) JeffL’ouvre-Boîte (Montpreveyres) La perruche et le poulet (R. Thomas)Le Gustave (Vevey) La jeune fille et la mort (Dorfmann)L’Aurore (Antagnes) Auror’Instrum’ (spect. musical)Amis de la Scène (Villeneuve) Hautes études communales (D. Toussaint)Tréteaux de Scapin (Corsier) Chou chéri (J. des Marchenelles)Compagnons de Duin (Bex) La soupière (R. Lamoureux)T.T.T. (Trélex) Oscar (C. Magnier)Groupe Théâtral Avenchois Amadeus (P. Schaffer)L’Espérance (Froideville) Le fantôme de l’opéra (G. Leroux)Les Centsoucis (Vufflens-la-Ville) La St-Valentin (F. Didier)La Dentcreuze (Aubonne) Courts-circuits (Ribes/Topor)L’Arc-en-Ciel (Moudon) Gros Planc (C. Favre-Artéro)A fleur de mots (Lausanne) L’odyssée pour une tasse... (Ribes)

N’oubliez pas d’annoncer vos spectacles, si vous souhaitez recevoir la visite d’unreprésentant du comité central. Pour ce faire, envoyez vos infos à

[email protected] ou par fax au 026 658.18.34.

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2/04

Mai

p. 4-5-66e Festival de théâtre de Chisaz

à Crissier

Photo 1e page:Les têtes à claque de René Bruneau par La Beline

(Gorgier/NE), dans une mise en scène de CédricLaubscher, spectacle sélectionné pour le Festival de

Chisaz 2004 à Crissier (v. p.4-6) (photo La Beline)

Marco Polli,Secrétaire général FSSTA

p. 7Du côté de la SSA

p. 16Votre Agenda des spectacles

p. 14Les P’tits Nouveaux

p. 8Journée mondiale du théâtre

p. 9Biennale 2004

p. 10-11-12Honneur au théâtre (1e partie)

p. 13A votre service: Festivals & Circuit

ECJ 3/04: Parution Lundi 5 juillet 2004Dernier délai pour vos annonces, articles, etc.:

jeudi 17 juin 2004

p. 12Bibliothèque FSSTA

Lorsque je suis entré au comité central de la FSSTA, il y a cinq ans, je ne medoutais pas de ce qui m’attendait et encore moins de l’ampleur du théâtred’amateurs en Suisse. La petite brochure qui me fut remise alors annonçaitfièrement 138 troupes. Aujourd’hui, nous en comptons 167, et le comité vaprochainement préaviser sur quelques nouvelles demandes d’adhésion. Uneassociation en pleine expansion, donc. On pourrait s’interroger sur ce succès ;mais surtout s’en réjouir, alors que partout on déplore le triomphe del’individualisme, la passivité dans cette société vouée à la consommation.Le théâtre amateur est un contre-exemple. Sa particularité, c’est son ancragedans les communes, quartiers et villages, ce qui en fait son caractèreprofondément populaire. Mais cette vertu incontestable pourrait aussi être unvice : l’enfermement dans le «localisme» avec le sourire béat del’autosatisfaction. L’avantage de l’affiliation à la FSSTA, c’est la possibilitéd’ouverture vers l’ailleurs, que ce soit la Romandie, les autres régions de laSuisse et les autres pays. Notre fédération se distingue par sa dimensionnationale et internationale. Partie prenante de ce que les sociologues appellentle phénomène associatif et les politologues la société civile, nous devons avoir àcœur de maintenir ensemble tous ces registres. Notre fédération avec les troisautres fédérations alémanique, tessinoise et romanche matérialisée par leCentre national du théâtre d’amateurs CNSTA, notre adhésion au CIFTA – unregroupement international qui défend l’identité latine -, à l’AITA (Associationinternationale du théâtre amateur) doivent trouver un débouché pratique quitouche nos troupes.C’est par les biais des festivals, des jumelages, de rencontres théâtrales ouconsacrées à la formation que ces intentions se réalisent. L’accès à des festivalsinternationaux est une activité établie depuis longtemps ; le Festival de Chisaz,qui voit concourir tous les deux ans en juin six troupes membres, en est à sasixième édition ; de même pour la Biennale suisse dont l’organisation nouséchoit pour la deuxième fois et qui proposera en un lieu idyllique des bords dulac de Neuchâtel, en septembre, des spectacles dans les quatre languesnationales. Sont venues s’ajouter plus récemment les possibilités d’effectuer destournées dans huit salles réparties en Suisse romande grâce au Circuit dediffusion et de réaliser des spectacles sur mesure résultant de la collaborationd’auteurs romands avec des troupes volontaires (concours Tandem) qui ontconnu un premier succès réjouissant.L’échec de Tandem 2006, néanmoins, dû à un nombre insuffisant de troupescandidates, ne nous préoccupe pas outre mesure : nous sommes convaincus quele renouvellement du concours 2006 avant que le concours 2005 ne soit achevéétait prématuré et que la version 2007 connaîtra le succès. En revanche, lesdifficultés que nous rencontrons pour la deuxième fois d’impliquer lesAlémaniques dans la Biennale suisse nous inquiètent. On sent un repli de laSuisse allemande sur elle-même, sur son dialecte, non seulement à notre niveaumais dans une majorité de manifestations nationales. Nous savons bienl’importance de la compréhension de la langue en matière de théâtre, et ladifficulté de mobiliser un large public pour des événements multilingues. Mais,jusqu’à présent, les Tessinois et les Romands ont toujours répondu présents. Etnous espérons qu’ils continueront envers et contre tout.Mais je n’aimerais pas terminer ce billet sur ce bémol qui ne concerne pas quele théâtre sans dire qu’en cinq ans je n’ai pas regretté une seule minute monengagement pour la FSSTA. Elle en vaut vraiment la peine.

Marco Polli

Le comité de la FSSTA et la rédaction devotre journal s’associent pour adresserleurs félicitations à Aline Wyss, vice-présidente et bibliothécaire, pour la

naissance de

Raphaëlle 22 février 2004

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C’est parti pour la 6 e édition du Festival de théâtre de Chisaz à Crissier ! Al’occasion de son dixième anniversaire, ce rendez-vous biennal du théâ-tre amateur romand vous a concocté une programmation magnifique,représentative aussi bien de la diversité que de la qualité du théâtreamateur en Suisse romande. Du rire, des larmes, de l’émotion, de la ré-flexion : c’est le menu que vous propose le Festival de Chisaz du 4 au 13juin prochains, dans le cadre magnifique de la salle de spectacle de Crissier.

Six spectacles, pas un de plus, poursix jours de festival. Comme à son ha-bitude, le Festival de Chisaz se fait unpoint d’honneur d’offrir à ses troupes par-ticipantes les meilleures conditions pos-sibles, tant au niveau technique que del’accueil. Six élus parmi plus d’une dou-zaine d’inscrits : la sélection fut doncdifficile, et le comité central de la FSSTAa eu beaucoup de peine à faire le trides candidatures. Plusieurs specta-cles, bien que recalés, n’auraient cer-tes pas démérité au sein de la sélec-tion finale. Mais voilà, il n’y avait quesix places…

Ce sont les vaudois du Théâtre de laDernière Minute (Epesses) qui ouvrirontles feux le vendredi 4 juin avec La veuveconvoitée de Victor Haïm, d’après Gol-doni, une comédie légère à la saucecommedia dell’arte. Sujet un peu plussombre le samedi 5 juin avec Le colo-nel oiseau présenté par le NouveauThéâtre de Fribourg ; l’auteur, HristoBoytchev, nous emmène au cœur d’unasile d’aliénés sur fond de conflitbosniaque. Le premier week-end de fes-tivités s’achèvera dimanche 6 juin dansle rire et la bonne humeur, façon Fey-deau, avec un Tailleur pour dames vif etalerte proposé par les Compagnons dela Tulipe Noire de Genève.

Et c’est encore l’humour qui ouvrira ledeuxième week-end, mais un humourparticulier, celui d’Agnès Jaoui et deJean-Pierre Bacri ; Un air de famillenous sera donc joué par le Théâtre duGrü de Chamoson vendredi 11 juin; maisattention, ce sera Un air de famille pascomme les autres… ! Samedi 12 juin,

changement de registre à nouveau, avecle Gustave et sa Jeune fille et la mortd’Ariel Dorfmann ; cette pièce nous ra-mène aux heures sombres de certai-nes dictatures militaires. Trois comé-diens pour un huis-clos haletant… Etle festival se terminera dimanche 13 juincomme il a commencé, c’est-à-dire surle ton de la comédie grâce à nos amisneuchâtelois de La Beline (Gorgier) età leur Têtes à claque, grand classiquedu théâtre de boulevard contemporain.

C’est aussi ce dimanche 13 juin quenous connaîtrons le lauréat du GrandPrix du Festival de Chisaz. Car, commevous le savez certainement, le festivalde Crissier est également l’occasionpour les troupes participantes de con-courir pour le gain de ce prix doté deFr. 2000.—. Outre le Grand Prix, l’as-sociation Théâdrama, partenaire du fes-tival, décerne également son prix, dotéde Fr. 500.— et qui récompense lespectacle qui se sera distingué par l’uneou l’autre qualité artistique.

Bien malin celui qui pourra pronostiquercette année quelles troupes seront pri-mées, mais une chose est sûre cepen-dant : le public assistera à six soiréesde qualité, dans un esprit de fraternitéet de convivialité comme seul peut leproposer le théâtre amateur. Et rien quecela, ça vaut le déplacement !. Rendez-vous donc du 4 au 13 juin à Crissierpour la 6e édition de votre Festival dethéâtre de Chisaz.

(réd.)

Du 4 au 13 juin 2004, Crissier sera à nouveaule rendez-vous du Théâtre amateur romand

Tous au Festivalde théâtre deChisaz!

Organisation:

Société de Développement«Trait d’union», Crissier

Association Théâdrama

Partenaires média:

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Victor Haïm s’est inspiré de la comédiede Goldoni, Le riche assiégé. Plusqu’une adaptation libre de la pièce, c’estune nouvelle comédie qu’il nouspropose.Le comte Orazio est pauvre. Veuf, ilsurvit tant bien que mal face auxtracasseries des vautours auxquels ildoit de l’argent. Sa fidèle servante qu’iltraite comme sa fille adoptive Bigolina,utilise toute la force de son charme ettoutes les roueries de son caractèrepour épargner à son maître un désespoirirrémédiable. Mais un miracle seproduit: le comte hérite.Va-t-il enfin conquérir la jolie veuve qu’ilconvoite? Va-t-il s’entendre avec sademi-sœur qui rêve d’être riche pourattirer les amants? Saura-t-il se défairedes faux amis qui considèrent le comtecomme une vache à lait? Bigolina,Scapin au féminin, va déjouer lesintrigues…..à sa façon.Victor Haïm, avec sa Veuve convoitée,nous convie à une pièce facétieuse etsurtout à un brillant divertissement…

Dans un ancien monastère transforméen asile psychiatrique, isolé de tout, unnouveau médecin arrive. Il découvre unepetite communauté de fous inoffensifs,à l’abandon, égarés dans leur psychoseet terrorisés par les loups.

Une nuit, sont parachutés par erreur,dans la forêt avoisinante, des vivres etdes vêtements militaires envoyés parl’ONU et destinés en réalité auxBosniaques. Tout le monde revêt lesuniformes, et la vie s’en trouve chan-gée…

Pour cacher le début d’une aventureavec une de ses clientes, le docteurMoulineaux est obligé de se lancer dansune cascade de mensonges, pirouet-tes et dissimulations envers sa femme,sa belle-mère, le mari de sa future maî-tresse et l’amante de celui-ci, qui futjadis la sienne. Tout se termine à lasatisfaction générale, chacun retrouvantsa chacune.Toutes les recettes de Feydeau se re-trouvent dans ce spectacle: situationsrocambolesques, coups de théâtre,personnages succulents et quiproquosirrésistibles.Ici, pas de grandes réflexions ni demétaphores sur le monde ; les person-nages se limitent à l’égoïsme de leurexistence.

Vendredi 4 juin - 20h30

La veuve convoitéede Victor Haïm, d’après Goldonipar le Théâtre de la Dernière

Minute (Epesses/VD)Mise en scène: Albert Diringer

Samedi 5 juin - 20h30

Le colonel oiseaude Hristo Boytchev

par le Nouveau Théâtre (Fribourg)Mise en scène: Nicole Michaud

Dimanche 6 juin - 17h00

Tailleur pour damesde Georges Feydeau

par les Compagnons de laTulipe Noire (Genève)

Mise en scène: Yvan Muller

Renseignements pratiquesPrix des placesAdultes Fr. 14.--Etudiants, AVS,chômeurs: Fr. 10.--Enfants (jusqu’à 16 ans): Fr. 8.--Abonnements6 spectacles Fr. 40.--(transmissible)

Réservationswww.festivaldechisaz.ch

Bar - BuvetteRestauration chaudeles vendredis-samedis dès 19h.,

les dimanches après lespectacle.

Accès gratuit aux spectaclesavec la Carte de légitimation

FSSTA!Cette carte vous permet d’accéder gratuite-

ment au festival (2 entrées gratuites parsoirée). N’hésitez donc pas à en faire un large usage. Demandez-la à votre

président de troupe qui en est le dépositaire officiel.

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Une famille française ordinaire, la mère,deux fils mariés, l’un a réussi, l’autremoins, une fille célibataire qui rue dansles brancards. Tous coexistent «norma-lement» depuis longtemps dans un fa-tras de concessions mutuelles, demalentendus, de rancœurs et regretscachés et non-dits omniprésents. Il vasuffire d’un vendredi soir, car le vendredisoir on sort en famille, pour que ce fra-gile édifice vole en éclats.Personne ne sortira indemne de cegrand chambardement ; mais commesouvent, il y aura d’un côté ceux quiont le courage de se remettre en ques-tion et de tenter d’évoluer, et de l’autre,les «rigides», ceux qui refusent toutchangement, emprisonnés dans le car-can de leurs certitudes.Le ton est léger, mais le drame est là,sous-jacent.Sous la conduite d’un metteur en scèneprofessionnel, les comédiens explorentl’univers du masque. «Nous avonsadapté la pièce pour des masques»,explique le metteur en scène. «Avec lesmasques, on peut créer un univers diffé-rent ; ils offrent des possibilités supplé-mentaires dans l’expression, on peut al-ler beaucoup plus loin dans le jeu.».

Quelque part dans un pays du sud, unecontrée sans nom, un pays qui se li-bère avec peine du joug de la dictature,un peuple qui panse ses plaies, recher-che ses disparus.

Paulina Escobar compte parmi les in-nombrables victimes de cette dictature ;emprisonnée, violée, torturée, elle porteencore les stigmates de ces sévices.Son mari, Gerardo est un brillant politi-cien libéral ; il présidera bientôt unecommission chargée d’enquêter sur lesassassinats et les disparitions.

Tombé en panne un soir d’orage, il estpris en stop par un médecin qui le rac-compagne chez lui. Paulina croit recon-naître la voix de celui qui, quinze ansplutôt, lui fit subir les pires tortures lorsde sa captivité. A partir de ce moment,elle ne le lâchera plus.

Mais est-ce vraiment lui le bourreau?La Jeune fille et la mort devient alorsun huis-clos diabolique où les trois per-sonnages passent tantôt du rôle de vic-time à celui de tortionnaire, de juge àcelui d’avocat…

La pièce nous invite à nous plongerdans l’univers calfeutré d’une maisonclose de l’époque 1900, à nous laissersurprendre par les anachronismes glis-sés par l’auteur et cultivés par le met-teur en scène et à nous prendre au jeude l’intrigue en cherchant le traître ; enrésumé, une comédie légère, tout saufvulgaire!1900. L’Alsace est allemande. La ten-sion entre la France et l’Allemagnemonte doucement. Les espions, con-tre-espions et agents doubles mènentle jeu.Au centre de cette partie de bras defer, une maison de passe pour bour-geois. Juliet, Gertrud et Pascaline, lagérante, font tourner la boutique de l’on-cle Edmond. A l’insu de tous, le claquesert de plaque tournante à un trafic dedocuments secrets.1900, Noël. L’oncle décède. Débarqueson héritière, à qui on a dit qu’elle avaitdroit à un orphelinat pour jeunes filles.Débarque le préfet, qui commence às’intéresser sérieusement à l’affaire desdocuments secrets. Ça se complique,mais les clients continuent d’avoir be-soin des services des trois filles.1900, toujours Noël, mais un poil plustard. Pascaline s’évertue à garder leschoses en ordre dans sa boutique. Sesdeux filles sont aussi idiotes que jolies.La bonne, bête et méchante, est im-possible. L’héritière, demoiselle noble,veut sa part. Les clients veulent êtreservis, quand ils ne l’ont pas déjà faittous seuls sans le vouloir. La policefouine partout et pose des questions.2004. Votre mission, si vous l’accep-tez, est de suivre les comédiens danscette intrigue complètement déjantée!

20h00 Remise des Prix19h-24h Animation musicale

Vendredi 11 juin - 20h30

Un air de familled’Agnès Jaoui & J.-P. Bacri

par le Théâtre du Grü(Chamoson/VS)

Mise en scène: Daniel Caran

Samedi 12 juin - 20h30

La jeune fille & la mortd’Ariel Dorfmann

par le Gustave (Vevey/VD)Mise en scène: Patrick Francey

Dimanche 13 juin - 17h00

Les têtes à claquede René Bruneau

par La Beline (Gorgier/NE)Mise en scène: Cédric Laubscher

Jury du FestivalPrésident: Pierre MUHLETHALERMembres:Gilbert BOVAY, Syndic de CrissierJacqueline BURNAND/Guy BOCHUDThéâdramaJean-Luc JAQUIER, SDC “Trait d’union”Marc STREBEL, FSSTANatacha ASTUTO LAUBSCHER, FSSTASandrine AYER, PublicCharlotte ZAHLER,L’Harmonie, choeur mixte de CrissierJacques MARADAN,Représentant de la Presse

Animation des soiréespar l’Atelier-théâtre de

CrissierPour égayer vos moments d’attente,

six jeunes de l’Atelier-Théâtre deCrissier, sous la direction d’Inez

Cierny, animeront le foyer avec dessketches autour de la parabole du fils

prodigue.

Tous les renseignements sur le festival, les spectacles,le programme complet, vos réservations:

www.festivaldechisaz.ch

Page 7: Comité central - FSSTA

Un auteur, une pièce, un style:Léo JoyeL’auteurNé en 1936, Léo Joye a vécu de nom-breuses années à Genève et en France.Après avoir publié plusieurs romans àcompte d’auteur (La mort de la vieilledame, L’assassin du Quai de l’Aube, Lebouillon d’onze heures, Derrière le voile),il a écrit pour le théâtre et avec la compli-cité de son épouse Simone, deux piècescomiques intitulées Allons voir aux archi-ves et Madame fait dire à Monsieur...

L’une des pièces:«Allons voir aux archives»Pierre se morfond dans sa petite agenced’assurance qui bat de l’aile et il se sentbien seul. Il est séparé de sa femme etsa secrétaire est en congé maternité. Ason insu, ses amis demandent à une pé-ripatéticienne de se présenter à l’agencecomme candidate au poste de secrétaireintérimaire afin de raviver...la libido de l’as-sureur. Aussitôt engagée, elle décide desauver l’agence de la débâcle. Elle metau point une stratégie qui fait largementappel à ses compétences premières etc’est aux archives qu’elle les exprime lemieux...Personnages:4 femmes (+ 1 fig.), 10 hommes (+ 1 fig.)et 1 adolescent. Plusieurs rôles peuventêtre interprétés par les mêmes comé-diens.Durée: env. 1 h. 30Décor: unique; le bureau d’une petiteagence d’assurance.

Le style(Extraits de l’entretien d’embauche entrePierre, assureur plutôt naïf, et Julie lajeune prostituée).Pierre: Quel était votre dernier job?Julie: J’étais dans.. .Ies relations publi-ques.Pierre: Et maintenant vous voulez tâterd’une autre activité.Julie: Pour tâter, je peux dire que j’en aitâté! Vivre une nouvelle expérience neserait pas pour me déplaire.Pierre: Vous avez également été mas-seuse?Julie: On peut dire ça comme ça.Pierre: On dit que c’est une activité assezpénible. Vous deviez avoir les mains dou-loureuses à la fin de la journée.Julie: Pas seulement les mains. C’étaitsurtout les pieds qui me faisaient souf-frir.Pierre: Vous massiez avec les pieds?Quelques répliques plus loin:Julie: Où je me mets?Pierre: (en lui désignant son poste de tra-vail et en lui donnant un coussin) : Tenez,ce sera beaucoup plus confortable.Julie: Mon fonds de commerce vous enest reconnaissant.Pierre: Vous avez un fonds de commerce?Je ne le savais pas.Julie: Oui; c’est mon gagne-pain et monseul capital.Pierre :Sans vouloir me montrer indiscret,

vous pouvez me dire où se situe ce hautlieu des affaires?Julie: Si je vous disais, par exemple, queje m’assieds dessus, à quoi penseriez-vous?Pierre: J’en déduirais que vos affairesmarchent sans que vous ayez à vous enoccuper. Mais au fait, vous ne m’avez pasencore dit où vous teniez boutique.Julie: C’est un peu plus loin, sur le grandboulevard.Pierre: Vous avez donc pignon sur rue.Vous avez une arcade, une vitrine d’expo-sition?Julie: J’ai une devanture qui sait vanter leproduit.Ces pièces peuvent être obtenues auprèsde la SSA, rue Centrale 12/14 - CP 3893 -1002 Lausanne - Tél. 021 313.44.45 - Fax021 3134456

Dans le cadre du Concours Tandem 2005, La Mouette, so-ciété théâtrale de St-Aubin, s’est fiancée avec l’auteur gene-vois Michel Tagliabue durant l’été 2003.Le mariage aura lieu au printemps 2005, où il sera con-sommé lors de la première représentation de La Rumeur(titre encore provisoire); œuvre composée spécialement parl’auteur pour la troupe, comme le prévoit le règlement du con-cours.La Mouette apprécie tout particulièrement l’opportunité qu’of-fre le concours de vivre un rapprochement concret entre unauteur et une troupe. Cette collaboration permet de visiter ungenre choisi, d’avoir une certaine flexibilité dans le nombre decomédiens, dans l’essence des personnages, d’être nova-teurs et exclusifs, et surtout de susciter l’intérêt pour le travailde nos auteurs romands.L’avancement du projet est excellent. Après avoir fourni unsynopsis très détaillé qui a été lu et critiqué de manière cons-tructive par les comédiens et le metteur en scène, MichelTagliabue a, de manière tout aussi constructive, tenu comptedes remarques et terminé le texte définitif. La pièce est donc àce jour livrée et l’auteur ravit l’équipe de La Mouette. Non seu-lement parce qu’il travaille de manière efficace et que sonstyle d’écriture est séduisant, mais surtout par la manière

dont il joue parfaitement le jeu en étant toujours ouvert auxremarques et prêt à remanier son texte à tous les stades duprojet.La Mouette ne regrette vraiment pas d’avoir choisi de partici-per à un projet permettant une telle interactivité et se réjouit dedébuter les répétitions en août prochain, ainsi que de montrerdès mars 2005 le petit bijou qu’elle et Michel Tagliabue aurontfignolé.

Natacha Astuto Laubscher

Concours Tandem SSA-FSSTA 2005

La Mouette (St-Aubin):Compte-rendu d’une expérience prometteuse

Tandem 2006 n’aura pas lieuMalgré une prolongation du délai de dépôt des candidatures au 15 avril,seules trois troupes ont manifesté leur intention de créer un tandemface à dix auteurs. Pour un concours doté de deux prix, c’est insuffisant,et c’est d’un commun accord FSSTA – SSA que nous avons décidé dereporter le concours d’une année.Le succès de la première édition nous a peut-être rendus présomptueuxou imprudents : il fallait laisser s’achever d’abord cette premièreexpérience, permettre aux 7 tandems qui vont présenter dès la rentréede septembre 2004 leurs spectacles de nous faire part de ce qu’ils ontvécu, proposer des modifications, en tirer des conclusions.Nous regrettons pour les trois candidats et les dix auteurs, et nousretiendrons bien sûr leur candidature pour la prochaine édition. (MP)

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Le théâtre est le père de tous les arts. Cette vérité, nul ne peut la contester. C’estpourquoi je lui dédie ma seule et unique passion.Je suis convaincue que l’écrivain théâtral se distingue par son sens de la noblessehumaine. Son message peut ainsi aider les gens à s’élever au-dessus d’eux-mêmes, à se libérer de tout ce qui les accable et les exploite, afin de pouvoir leurdonner la possibilité d’acquérir une certaine dignité. Pour que cet écrivain puisse mener à bout sa mission et influencer les gens, il doitmaîtriser son métier à fond, ainsi que le style de son expression artistique. Sansquoi son message s’éparpille au gré du vent sans laisser de traces, sans atteindreson but. Dans toute oeuvre artistique, le message de l’artiste a toujours été de pairavec un sens de justice humaine, de maturité d’expression, et d’authenticité. Aussi,serait-il erroné de croire que l’un de ces facteurs puisse prendre le dessus surl’autre.On dit qu’une pièce de théâtre est un art basé sur une structure solide, dénuée desuperflu, ainsi que sur un dialogue stable et concis, loin de tout babillage. On ditaussi que cela est loin de s’accorder avec la nature de la femme, qui ne peut sedissocier de son moi, et qui est donc incapable de s’exprimer en touteobjectivité. On dit ! A cela je réponds: la femme qui, durant neuf mois, porte en sonsein une vie nouvelle, est tout aussi capable de créer une pièce de théâtre solide etcohérente; à condition, bien sûr, d’être elle-même auteur dramatique.Heureusement, le théâtre moderne s’est libéré de ses formes traditionnelles à lasuite de plusieurs vagues de renouvellement, proposées par Pirandello, BernardShaw, Brecht et tant d’autres qui se sont distingués grâce au théâtre de l’absurde,au théâtre du rejet et à un avant-gardisme expérimental. Il est donc très rare, de nosjours, de voir un grand dramaturge écrire une pièce de théâtre selon la formuletraditionnelle ancienne.Dans ma première pièce (Femmes sans Masques), j’ai opté pour le “théâtre àl’intérieur du théâtre”, une formule devenue familière dans les pièces modernes. Ma pièce commençait par un cri, par une question, car je me sentais porteuse demots enfouis en moi depuis des dizaines, voire même des centaines d’années.Serait-il temps pour que les maux de l’enfantement qui m’étranglaient jusqu’auplus profond de moi-même, projettent ma parole vers l’existence ? Ma parole… mapassion… mon enfance… mon enfant… J’écoute sa voix si éloignée des plaintes etdes soupirs. Une voix accablée, humiliée, dont les échos se répercutent générationaprès génération. L’histoire humaine porte une conscience qui soulève un fardeaulourd de rejet, d’accablement et de persécution.J’ai refusé de mettre sur papier une seule phrase sans qu’elle n’émane du plusprofond de moi-même, et sans qu’elle n’exprime la vérité de la femme, et de sonpouvoir de donner. C’est pourquoi j’ai demandé sous serment à ma plume des’arrêter d’écrire un seul mot s’il devait exprimer la faiblesse ou la frustration. Je luiai demandé sous serment de ne plus m’obéir si elle me sentait devenir lâche faceà la vérité. Je lui ai ensuite demandé de m’aider à faire exister le plus grandnombre de ces femmes dont je partage la vie, pour me rapprocher d’elles et devenirleur porte-parole. Nous pourrions ainsi nous mettre complètement à nu les unesface aux autres, nous débarrasser de toute la rouille accumulée le long des ans, etlancer notre cri de refus envers les circonstances et les situations qui ont privé notrepotentiel humain de son épanouissement.Enfin, je suis convaincue que le théâtre est la lumière qui éclaire la voie de l’être,une lumière qui assure la liaison organique avec le spectateur. Cette communica-tion crée une chaleur entre nous, que nous soyons face à la pièce écrite, ou face àson interprétation sur scène.

F.E.A.

Message internationalde la Journée Mondiale

du Théâtre27 mars 2004par Fathia El Assal

Fathia El AssalOeuvre:120 pièces radiophoniques(première pièce : 1957).57 séries télévisées diffusées à des heu-res de grande écoute.6 pièces de théâtre, toutes diffusées dansdes théâtres égyptiens de grande impor-tance. (première pièce: La Bascule,1969). Beaucoup de ses oeuvres traitent de thè-mes liés aux problèmes sociaux, reli-gieux et politiques de la société égyp-tienne en général, et des femmes en par-ticulier. L’une de ses pièces, La FemmeMuette a été jouée au Caire en 2003.Fathia El Assal a écrit une autobiogra-phie très franche et très audacieuse, in-titulée L’utérus de la vie (4 volumes),dans laquelle elle se penche non seule-ment sur les épreuves qu’elle a subi entant que jeune fille et femme, mais éga-lement sur les difficultés rencontrées parles femmes en général dans son pays,de 1943 à ce jour.Après avoir été retirée de l’école à l’âgede 10 ans, elle a subi le sort de beau-coup de jeunes filles et de femmes dansla société égyptienne conservatrice del’époque (excision, mariage précoce).Mariée à l’écrivain et activiste politiqueAbdallah El Touhi, elle reçut ses encou-ragements et son soutien afin de conti-nuer son éducation. Son talent d’écri-vain et sa lutte déterminée pour amé-liorer le traitement des femmes dansson pays l’ont hissé au rang d’éminencelittéraire et sociale.Emprisonnée en 1982 pour avoir épouséles engagements politiques de son mari,elle écrit une pièce intitulée Prison pourFemmes. Cette pièce a rencontré unsuccès énorme et sert maintenant deréférence dans tout le pays, à la radiocomme à la télévision.Distinctions : Présidente de l’Association des femmesécrivains égyptiennes.Présidente de l’Union Progressiste desFemmes et Membre du Bureau del’Union des femmes cinématographeségyptiennes.

La Journée Mondiale du Théâtre, créée en 1961 par l’Institut International du Théâtre estcélébrée chaque année le 27 mars par les Centres nationaux de l’IIT et la communauté

théâtrale internationale. De nombreuses manifestations théâtrales sont organisées à cetteoccasion, l’une des plus importantes est la diffusion du Message international traditionnelle-ment rédigé par une personnalité théâtrale de renommée mondiale à l’invitation de l’Institut

International du Théâtre.Jean Cocteau (France) a été l’auteur du premier Message International en 1962.

Page 9: Comité central - FSSTA

1. Le site web fait un tabac !

www.biennale2004.ch est en ligne depuis plusieurs se-maines déjà; il a succès fou auprès des internautes quil’ont visité. Le graphisme et le ton plaisent beaucoup. Et lefait que le site soit disponible dans les 4 langues (héoui, même en romanche!) est fortement apprécié. Allez yfaire un tour, ça vaut le détour!

2. Le plan de la Biennalevous permet de visualiser l’étendue desdégâts!

3. Le comité cherche encore ettoujours des troupes pour seproduirePlusieurs propositions sont arrivées aucomité, toutefois des troupes dans toutesles catégories sont encore recherchées.Nous avons besoin de vous pour que lafête soit belle, prenez contact avec nous.

10% de rabais sur les forfaitspayés avant le 15 juillet 2004

Inscriptions également sur le sitewww.biennale2004.chpar téléphone au 079 631 25 90par e-mail à [email protected]

Remarques:Le samedi à midi, possibilité de se restaurersous la tente de la Braderie des commer-çants, tenue par les bénévoles de la Bien-nale.Le Comité d’organisation se réserve le droitde modifier le programme d’ici à la manifesta-tion. Les prix des forfaits ne seront pasmodifiés si 1 ou 2 spectacles de moins sontprévus.

10-11-12 septembre 2004 - St-Aubin/NE

La Biennale? Eh bien, on y va! Quatrepoints c’est tout!

4. Les inscriptions démarrent!

Navette gratuite entre les différents sites. Nuitées prévuesdans les forfaits: petit prix, grand confort et pas de casse-tête pour se loger! Profitez de nos offres intéressantes!

Votre comité d’organisation

BULLETIND’INSCRIPTION

A renvoyer à: Biennale 2004 - Comité d’organisation - Case postale 143 - 2024 St-Aubin-Sauges ou par Fax au 021 691.63.96

A la carte Prix Nombre TotalSpectacle «Les Physiciens» 18.-

Repas 20.-

Nuit au Camp + Petit déj 40.-

Assemblée FSSTA 0.-

Repas de samedi midi 20.-

Spectacle en romanche 18.-

Spectacle en suisse allemand 18.-

Spectacle en italien 18.-

Repas de gala 60.-

Spectacle de nuit en français 18.-

Nuit au Camp + Petit déj 40.-

Spectacle «La Visite de la Vieille Dame» 18.-

Repas convivial dimanche midi 10.-

Total ------ -------

Forfaits Prix Nombre Total

BIENNALE (ve-sa-di) (3 jours – 6 spectacles – 3 repas – Souper de gala – 2 nuits) 250.-

WEEK-END (sa-di) (2 jours – 5 spectacles – 2 repas – Souper de gala – 1 nuit) 200.-

Total ------ -------

Nom - Prénom

Adresse

No. Tél./ e-mail

Page 10: Comité central - FSSTA

Ce sera le théâtreJ’avais pensé un temps, stimulé par descollègues enseignant l’art, à la peintureou à la sculpture. Mais ce sont desdisciplines solitaires, et j’ai besoin decommuniquer, de la parole. Le hasarda pris la forme d’une rencontre dans uncafé, un copain, Jacques Paschali, queje n’avais plus revu depuis des années,qui se plaignait des courbaturesinfligées par les exercices de l’atelierthéâtre qu’il fréquentait. Tiens, lethéâtre, ça pourrait m’intéresser !Jacques se renseigne : l’atelier estcomplet, mais la troupe dans laquelle ilrépète La visite de la vieille damerecherche encore quelques acteurs. Mevoilà une semaine plus tard spectateurd’une première répétition.Inlassablement, Ill redit au Maire sa peur,qui lui répond « Mais personne ne vousmenace, ici » tout en braquant sur luile pistolet qu’il tient à la main. Ça n’al’air de rien, mais conjuguer le gestemenaçant et le ton rassurant n’est passi facile. Le metteur en scènecommente, indique, on reprend, onessaie plusieurs angles. C’est commeça que ça se passe ? C’était la premièrefois que j’assistais à une répétition dethéâtre, j’étais captivé. A la fin, aprèsquelques questions, on m’attribue le rôledu quatrième citoyen. De cette finnovembre au 10 février, jour de lapremière, je vivrai deux à trois soirs par

semaine ce même rituel. Nous sommesune trentaine. Quelques changementsen cours de route. Un premier filagecatastrophique à la rentrée de janvier,une comédienne qui craque et qu’il fautremplacer, puis une autre, lerapprochement des corps et desesprits… Enfin c’est l’attente derrièrele rideau d’où on perçoit le brouhaha dupublic : faire le vide en soi, une tapesur l’épaule « on y va ». Tout çam’emportera vers cet ailleurs quim’enchante aujourd’hui encore.

De magie et de mort, la vie continue

Cette première expérience je l’ai vécuecomme un rêve de magie et de mort,liée, elle, à un événement qui m’a parutout aussi irréel. La vieille dame,porteuse de cette mort omniprésentedans la pièce, était incarnée par unefemme de 82 ans énergique au regardbleu lumineux, la fondatrice et l’âme dela troupe. A une semaine de lapremière, le metteur en scène nousannonce au début de la répétition à lafois sa mort subite dans un accidentde voiture et que c’est sa fille, conteuse,qui reprendra le rôle… qu’elle apprendraen une semaine ! Je n’ai pas le tempsde comprendre que les répétitionsredémarrent, surréalistes. Une semaineplus tard, nous sommes face au publicqui afflue. Bien sûr, on rendra hommageà Monique au début de chacune desonze représentations. Mais the show

must go on. La proximité instantanéedes comédiens entre eux et leur oublitout aussi rapide dès que l’un d’euxnous quitte sera un premierapprentissage. Il y a quelque chosed’impitoyable dans cette communionéphémère. La magie est liée au but quinous réunit, jouer ; en dehors de cela,elle se dissipe.

Couche par couche

A peine le rideau tombé sur la Vieilledame, j’enchaîne avec l’atelier-théâtredu Moulin à danse, une place s’étantlibérée. On y prépare pour début juinLes liaisons dangereuses, d’après leroman par lettres du XVIIIème deChoderlos de Laclos. Outre saparticipation au jeu d’ensemble, chacunse voit impartir une ou plusieurs lettresà traiter en monologues. Lespersonnages principaux sont répartissur plusieurs comédiens. Je suis un desquatre Valmont, et ma lettre consiste ànarrer à Mme de Merteuil sur un tonléger - vexé d’avoir été raillé d’être tombéamoureux de Madame de Tourvel,sommet du ridicule dans cette sociétélivrée au badinage - la fausse-couche,dans mon lit, de ma maîtresse, la petiteSophie Vollange. Cette complexité desintentions de jeu à mettre en œuvredépasse largement mes compétencesactuelles. Mais le groupe estexpérimenté. Je serai porté par lui, etaussi par une mise en scène subtile

Le théâtre s’est imposé à moi à un moment de mon existence où j’étaisprêt à l’accueillir. Le hasard a fait le reste. Je venais d’achever, au passagede la cinquantaine, une année de recherche consacrée à une enquêtesur le multilinguisme suisse. Hors de mon contexte professionnel –l’enseignement secondaire - j’avais partagé un an durant des itinérairesde vie par des interviews au sein d’entreprises nationales éveillant enmoi une curiosité pour l’histoire des gens et, par contrecoup, de la mienne.Homme d’argumentation et de raisonnements plus que de sensibilitéartistique, je pressentais que quelque chose allait changer dans ma viequi me confronterait à moi-même, mettrait en jeu mes émotions.

Honneur au ThéâtreDe l’initiation à la passion, le parcoursd’un comédien amateur (1ère partie)

par Marco Polli,secrétaire général FSSTA

Page 11: Comité central - FSSTA

qui met en valeur la violence et la beautéde cette pièce. Rétrospectivement,j’admire en professionnel del’enseignement le tact et l’habileté donta fait preuve le metteur en scène pourm’amener au niveau le plus élevépossible.

Ce que je découvre, peu à peu, c’estque la construction d’un rôle exige d’enintégrer ses multiples facettes parcouches successives. Il y faut de latechnique, des affinités, du temps etbeaucoup de travail... avec un certaintalent en plus. Les qualificatifs de« superficialité » et de « profondeur »prennent alors tout leur sens. Souvent,au moment des saluts, les comédiensparaissent d’abord un peu perdus,dépouillés. C’est qu’ils sont en train derefaire le chemin inverse qui les avaitconduits au fond d’eux-mêmes où ilssont allés chercher les émotionspropres à leur personnage, dans deszones parfois inexplorées. Parce quele personnage, pour être vrai, passe parsoi. Ce qui frappe, lorsqu’on a leprivilège de travailler avec desprofessionnels, c’est la rapidité aveclaquelle ils intègrent un rôle etobtiennent cette transfiguration. Mais ilne faut pas se faire d’illusions, cerésultat est toujours le fruit d’un travail.

Le rôle et la personne

La même année, en octobre, je meretrouve sur la scène de l’aula de moncollège en Philoctète, un fils de roi grec,dans un extrait d’Œdipe, tragédie deVoltaire dont on célèbre le tricentenaire.L’enseignante chargée de l’atelier théâtre,une comédienne professionnelle, m’avaitassuré en juin : « Tu verras, tu seras avecd’autres profs… » Pieux mensonge, jesuis le seul. Quelques élèves sont unpeu intimidés face à ce professeur ;d’autres m’acceptent d’emblée commeun des leurs. Je laisse venir les choses.Jamais, ceux que je retrouve dans mescours ne confondront les rôles en classe.Se présenter devant un public constituédes élèves, de leurs parents et descollègues de mon école en jupette deguerrier grec, les jambes nues,manifestait une certaine audace. Je nel’ai pas vécu ainsi. J’avais un personnageà incarner, un point c’est tout. Je croisque c’est cette ingénuité qui a triomphéde tous les sarcasmes prévisibles.

Un blanc n’est pas blancJe devais faire une autre expérience,encore, terreur secrète du comédien :le trou de mémoire. Au milieu d’unevéhémente harangue que mon

Philoctète adressait aux dieux, je butaischaque fois sur les mêmes quatre vers.Rien à faire. A la maison je filais montexte sans accroc, mais en situation lesort s’acharnait contre moi. Dix minutesavant la première, ma collègue merecommande : « Tu dis n’importe quoi,mais tu continues. » Ce que je fis.Sensation bizarre, en arrivant au fameuxpassage. Tout me paraît littéralementnoir et j’entrevois une lueur au bout dutunnel, le mot « Alcide » qui, j’en suisconvaincu, lorsque je l’aurai prononcésupprimera lesortilège et meredonnera mamémoire. Enattendant, il fautarriver jusqu’àlui, inventer.Enthousiasmedes comédiens-élèves quim’assaillent àl’entracte, « çaa passé ! » ;personne nes’est renducompte de rien.Le maléfice estd é s o r m a i sconjuré et jesuis libéré...pour cette fois. Mais j’ai compris aussipourquoi beaucoup d’exécutants à lamerci de telles « pannes » sontsuperstitieux.

On enchaîne

Ce troisième spectacle devait memettre le pied à l’étrier par un nouveauhasard. Michel Rossy, comédien etmetteur en scène professionnel, maride la responsable de l’atelier théâtre,était venu nous donner un coup de main.Nous avons fraternisé au point de fonder,un an plus tard, une troupe de théâtreamateur, Théâtre Antigone, dont ilassurera la direction artistique durantcinq ans et que je préside aujourd’huiencore. Etre pris en mains par unprofessionnel qui endosse tout le poidsdu choix de la pièce, de la distribution,du planning des répétitions, descostumes, des décors… quel confort !Il nous transmet sa confiance, sonsavoir-faire, il n’y a qu’à se laisserguider. Ce sera Légende de la forêtviennoise de Horvath, Yvonne,princesse de Bourgogne deGombrowicz, L’Enéïde de DenisGuénoun d’après Virgile, Mistero Buffode Dario Fo, un éventail de pièces

Page 10: L’infâme roi Ignace dans Yvonne,princesse de Bourgogne, de Gombrowicz.En haut: Marco Polli est M. Roimage (à dr.) dansLégende de la forêt viennoise de Horvath.Au centre: Le roi Ignace (au centre) avec sonchambellan et la reine Marguerite dans Yvonne,princesse de BourgogneEn bas: Marco Polli, en détective, mène le bal dansun spectacle d’improvisation au Moulin à Danses deGenève

Page 12: Comité central - FSSTA

splendides et chaque fois des rôles quebien des professionnels pourraient nousenvier. Dans ma boulimie - j’ai desannées à rattraper - je ferai aussiquelques infidélités à ma troupe pourun cabaret Karl Valentin, unShakespeare, un Pirandello et mêmeune figuration au Grand théâtre dansl’opérette Elisir d’amore de Donizetti. Autotal 18 pièces à ce jour peuplées depersonnages plus ou moins importants :Capulet, Monsieur Roimage, le roiIgnace, et aussi d’infâmes spadassins,des soldats sanguinaires et autresconseillers spéciaux. Et d’autresprojets, bien sûr…Dans la foulée, et toujours sur conseilde Jacques Paschali, nous adhérons àla FSSTA en 1998, ce qui nous oblige ànous structurer comme troupe de théâtred’amateurs pour exister dans la durée.

La routine, quoi !Il y aurait beaucoup à dire sur ces 18pièces, des anecdotes, du vécu, les

peurs, les ratages, les succès. Ainsi,lors de la dernière de La visite de lavieille dame où je me présente encitoyen devant Ill exhibant mes souliersjaunes - symbole de notre corruption etde sa mort future - pour le narguer, ilmanque un détail : j’ai oublié de changerde chaussures. Mais le public, lui, n’arien remarqué. Ces anecdotes peuplentles soirées d’anciens combattants. Maiscomment restituer l’émotion du publicqui nous gagne à certains « momentsparfaits », le vécu commun au sein dela troupe fait du meilleur et du pire ? Lemeilleur lorsqu’on atteint l’étatd’« affiatamento » - à savoir qu’onrespire tous d’un même souffle - maisaussi le pire quand le collectif se défait,que ce ou cette camarade, charmantjusqu’à l’an dernier, développe descomportements de diva, que lesjalousies et les rivalités minent la troupe.Pour ma part, et pour l’avoir vécu unefois, je pense qu’il faut se séparerrapidement lorsqu’on en est là en

espérant se retrouver plus tard sousd’autres auspices.C’est ainsi que le théâtre a prispossession d’une partie de ma vie.

M.P.

Fin de la 1ère partie2e partie dans votre ECJ 2/04 de

juillet

Vous aussi vous aimeriez faire lerécit de votre découverte du théâtre,de la manière dont vous vivez votrepassion sur les planches, du plaisir

que vous prenez à partager cesriches expériences avec d’autres

comédiens amateurs? Alors faites-nous parvenir vos textes! Nous nous

ferons un plaisir de publier votrerécit.

Entre Cour & JardinRédaction

Case postale 36 - 1553 Châ[email protected]

La bonniche, terme méprisant et vulgaire désignant la domesti-que. Daniel Besse veut-il nous faire l’apologie de ce «petit»métier peu respecté. Et bien non. Il lui donne ici un sensnouveau: celui du comédien voué aux petits rôles, faire-valoirdes éternelles vedettes. Ce comédien qui n’a droit à aucunégard, qui ne peut de temps à autre faire un caprice de star.Dans cette pièce, pas de vedettes. Trois acteurs en tournéedébarquent dans un hôtel bon marché et situé en zoneindustrielle. Ils découvrent que les autres acteurs sont logésdans un palace du centre ville. Nos pauvres bougres necomprennent pas cette différence de traitement. Est-ce doncle sort réservé aux éternels petits rôles?Ces trois hommes vont ainsi osciller entre fatalisme etrévolte . Survient alors la serveuse de l’hôtel, «la bonniche»,qui, en leur offrant son estime et son admiration, saura leurredonner une dignité et qui sait un espoir...J’avoue que j’aime beaucoup Daniel Besse. Déjà dans LesDirecteurs, j’avais apprécié le texte tragi-comique. Si danscette pièce l’histoire se terminait mal (suicide du jeunehomme) dans celle qui nous occupe, la fin est heureuse,généreuse à l’image de la serveuse. Certains passages sonthilarants. Toutefois, un regret, et qui se multiplie au fil desAvant-Scène: les pièces éditées sont écrites pour trois-quatre comédiens/nes, ce qui ne correspond plus à la réalitéde nos troupes FSSTA.

A.W.

Les Bonnichesde Daniel BesseAvant-Scène 1158, disponible auprès de votre bibliothécaire3 hommes 1 femme

Bibliothèque FSSTA:Les coups de coeur de votre bibliothécaire par Aline Wyss,

Bibliothécaire FSSTA

Page 13: Comité central - FSSTA

PRO PATRIAsoutient

Favorisez Pro Patria lorsde vos achats de timbres

Festivals & échangesde spectacles

En ce printemps 2004, nous avons deux nouvelles proposi-tions de festivals à vous communiquer, ainsi que deuxpossibilités d’échange de spectacles en France voisine.Alors, comme d’habitude, à bon entendeur...

Week-end d’improvisation à Victoriaville(Québec)Rencontre internationale de troupes d’improvisation francophonesDates: du 1er au 4 juillet 2004Délai d’inscription: le plus rapidement possible!Hébergement: assuré par l’organisateur (du 30.6 au 5.7)Voyage: à la charge des troupesRenseignements complémentaires: www.improlive.cjb.netRemarque1: les organisateurs aident volontiers les troupes àprolonger leur séjour au Québec...Remarque2: Festival non agréé par FSSTA, voyage entière-ment à la charge de la (des) troupe(s).

Festiatre 2005 (St-Egrève - Isère/F)Organisateur: A Vence ThéâtreDates: 27-30 janvier 2005Délai d’inscription: 1er octobre 2004Remarque1: dossier d’inscription à demander auprès [email protected]: Festival non agréé par FSSTA, voyage entière-ment à la charge de la (des) troupe(s).

Echanges:Les Amateurs du samedi (St-Egrève - Isère/F)La troupe A Vence Théâtre de St-Egrève propose une formuled’échange de spectacle attractive pour toute troupe souhaitantprésenter son spectacle en d’autres lieux et prête également àfaire l’effort d’accueillir la troupe française ici en Suisse. Si lachose vous intéresse, allez découvrir leur formule d’échangedans le détail sur leur site: www.a-vence-theatre.com

La Compagnie QUOIQUE... de Morteau (Doubs/F) (proche deLa Chaux-de-Fonds) monte une pièce inédite intitulée Pre-mier jet (auteur: Vincent de Chassey) et recherche des dateset des scènes en Suisse francophone, soit en invitation(festivals ou autre), soit en échange de représentations avecdes troupes suisses. Pour tout complément d’information,contactez:

Circuit de diffusionFSSTA 2004-5

A deux pas de l’été, il est temps de songer à vos activités de lasaison prochaine. Votre troupe a monté un spectacle ceprintemps et souhaite prolonger le plaisir de jouer par unetournée? Vous préparez un spectacle pour l’automne etenvisagez déjà de le jouer le plus possible au quatre coins dece pays? Alors la FSSTA a la solution à vos envies: le Circuitde diffusion 2004-5. Huit salles aux quatre coins de Suisseromande sont prêtes à vous accueillir dans de bonnesconditions entre septembre 2004 et juin 2005, pour une ouplusieurs représentations. De plus, cerise sur le gâteau, laFSSTA accorde aux troupes sélectionnées une petite garantiede déficit afin de couvrir d’éventuels surcoûts liés aux frais dedéplacement. Que demander de plus?

Délai d’inscription: 31 mai 2004 .Afin de pouvoir intégrer les spectacles sélectionnés dans leurprogramme de saison, les salles du Circuit souhaitent pouvoir faireleur choix si possible avant l’été. Alors n’hésitez pas à vous inscrire,même si votre dossier n’est pas encore complet.

Documents demandés:- Présentation de l’oeuvre (synopsis, résumé)- Support vidéo (K7, DVD), si spectacle déjà joué *- Dates de représentation, possibilités de visionnement- Fiche technique (éclairage et son) *- Dates de disponibilité du spectacle (entre sept.04 & juin 05)- Autorisation de jouer délivrée par la SSA *Remarque: les éléments marqués d’un (*) peuvent être fournis plus tard.

Inscriptions auprès de:Circuit de diffusion FSSTA - Secrétariat permanentCase postale 36 - 1553 Châ[email protected]

Salles participantes:Café-Théâtre de la Voirie (Pully)Théâtre de l’Odéon (Villeneuve)Théâtre de la Corde (Moudon)Théâtre de la Cité (Fribourg)La Gare aux Sorcières (Moléson-sur-Gruyères)Salle du Collège de ValanginThéâtre du Château (La Tour-de-Peilz)Théâtre de l’Arbanel (Treyvaux)Descriptifs de ces salles sur www.fssta.ch (Espace Membres - Circuitde diffusion). Deux ou trois nouvelles salles sont susceptibles derejoindre les rangs de ce Pool des Théâtres Amateurs Romands d’icil’été. De plus amples renseignements dans votre ECJ 3/04 de juillet.

Bref, en un mot comme en cent,inscrivez-vous!

Jacques MaradanCoordinateur

du Circuit de diffusion FSSTA

Le comité central de la FSSTA

CHERCHEtroupe ou collectif de troupes

pour l’organisation du

CONGRES FSSTA 2005Les troupes vaudoises sont particulièrement visées par cet appel. L’organisa-

tion du Congrès FSSTA constitue une expérience enrichissante et enthousias-mante. C’est une bonne occasion, par exemple, de marquer un anniversaire ou

un événement particulier au sein d’une troupe ou dans une localité.Pour aider les troupes à préparer cet engagement particulier, la FSSTA a édité

un Vademecum pour l’organisation du Congrès FSSTA dans lequel sontexposées les principales attentes du comité central; y sont donnés égalementquelques conseils et recommandations tirés de l’expérience accumulée lors

des précédentes éditions. Ce document est consultable sur notre sitewww.fssta.ch, dans la rubrique «Espace Membres», page «Secrétariat».

Page 14: Comité central - FSSTA

Carte d’identité:

Domicile: La T our-de-Trême/FRNaissance: 2001Adhésion FSSTA: 2002Présidente: Isabelle Gremaud

Préville 351635 La Tour-de-Trême026 [email protected]

Carte d’identité:

Domicile: Versoix/GENaissance: 1991Adhésion FSSTA: 2002Président: Olivier Saillet

Ch. des Avettes 22A1217 Meyrin022 [email protected]

Le Théâtre-Offiez, c’est une petite équiped’amoureux de théâtre qui s’est réunie un jour de

février 1991 et qui, tard dans la nuit, a décidé de fonderune troupe de théâtre. Mais pourquoi donc Théâtre Offiez ?N’allez surtout pas chercher dans ce titre le nom desfondateurs ; il s’agit tout bêtement d’un jeu de mots («t’esatrophié») ! La plupart des comédiens ont acquis une

bonne expérience dansle domaine des revues(chant, théâtre etdanse) en participantaux activités de diver-ses sociétés de larégion de Versoix.

Théâtre-Offiez

La troupe est constituée entièrement d’amateurs qui, au fildu temps, ont formé une véritable équipe d’amis. Depuissa création, la troupe a inscrit de nombreux spectacles àson répertoire, dont notamment :

Les enfants sages de Paul Vendenberghe (1992), L’œuf àla coque de Marcel Franck (1996), Le don d’Adèle deBarillet & Grédy (1997), Il faudrait d’abord qu’il en ait unecomédie musicale en 3 actes en collaboration avec LaRéplique de Satigny (2000), Le Système Ribadier deGeorges Feydeau (2001), Le Tic à Titine de J. DesMarchenelles et G. Bert (2002).

(la troupe / réd.)

Léonie est en avance de Feydeau (1995) L’oeuf à la coque de Marcel Franck (1996)

Mystère & Boulede gomme

L’atelier Mystère et Boule de Gomme est né en septembre 2001,sous l’égide de Marianne Von Kaenel et d’Isabelle Gremaud, toutes deux dési-reuses de partager un peu de leur passion avec des enfants âgés de 9 à 13ans.Les cours se dispensent le vendredi soir à La Tour-de-Trême, et sont structurésde manière à travailler la relaxation, la respiration, la confiance en soi, la cou-leur des émotions, la diction, l’espace scénique, le respect, l’improvisation etbien d’autres approches encore. Tout ceci sous forme de jeux bien évidem-ment.A ce jour, l’atelier à mis sur pied trois spectacles: une création et deux adapta-tions. Hautes en couleur, remplies de clins d’oeils et de jeux de lumières, lesdeux dernières pièces ont fait la joie de nombreux cercles scolaires, invitéspour l’occasion. Elles ont également été jouées en soirées, devant un publicenthousiaste et toujours plus nombreux. Quant à notre création, elle mettaitl’accent sur des faits de sociétés, telle que la violence en milieu urbain, liée àla non communication. Plus neutre, plus vraie, elle plongeait le spectateur dansla réflexion.Pour l’heure, nous allons terminer l’année scolaire en proposant une «classeouverte». Les parents et amis de nos comédiens en herbe pourront assister àl’un de nos cours et ainsi partager en notre compagnie un moment de bonheur.Notre atelier réouvrira ses portes en septembre, avec des enfants légèrementplus âgés. Une participation aux rencontres théâtrales de Bulle en mai 2005,n’est pas à exclure (en discussion).

Isabelle Gremaud, animatrice

Contes à rebours (2002)

Page 15: Comité central - FSSTA

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Page 16: Comité central - FSSTA

VOTRE AGENDA DES SPECTACLES

GENEVENEUCHATELGENEVEVALAIS

GENEVEFRIBOURG

Cercle Littéraire (Ch.-de-Fds)

Le journal d’une femmede chambre

d’O. Mirbeau - m.e.s. B AdatteLa Chaux-de-Fonds - Zap-Théâtre

14-15-21-22-23-28-29 maiVe-Sa 20h30 - Di 17h.

Réservations: 032 931.32.04

Théâtre de la Cité (Fribourg)

Tourandocte,princesse de Chine

conte orientalspectacle des Ateliersm.e.s. Alain Le Coultre

Fribourg - Théâtre de la CitéJe 17 & Sa 19 juin à 20h30

Di 20 juin à 17h.

Les Perd-Vers (Attalens)

Coquin de sortd’Andrée Robin-Ligot

Chardonne - 12 juin à 20h30Villeneuve - Théâtre de l’Odéon

25-26 juin 20h30

Tréteaux du Parvis (St-Maurice)

Cabaret 2004m.e.s. Emmanuelle Es-Borrat

St-Maurice - Salle du RoxyMe 19, Je 20, Ve 21 & 28, Sa 22 &

29 mai à 20h30Réservations: 024 485.40.40

TAP (Prangins)

Les Yanneries de Jeansketches et chansons de J. Yanne

Fribourg - Th. de la Cité21-22 mai à 20h30

Villeneuve - Th. de l’OdéonJe 27, Ve 28, Sa 29 mai à 20h30

Réservations: 021 960.22.86

Atelier B612 (Carouge/GE)

Eclats de Ribestextes de Jean-Michel RibesTroinex - Théâtre du Hangar

12-14-15 mai à 20h.Réservations: 076 455.63.99T.T.T. (Trélex)

Oscarde Claude Magnier

m.e.s. S. Ilona HorvathCully - Salle Davel - 12 mai 20h30Réservations: [email protected]

Th. de la Dernière Minute(Epesses)

La veuve convoitéede V. Haïm, d’après GoldoniVilleneuve - Th. de l’Odéon

14-15 mai à 20h30 - 16 mai à 17h.

Compagnons du Coteau (Yvorne)

Les brumes de Manchesterde Frédéric Dard - m.e.s. Guy BochudYvorne - Salle de la Couronne

13-14-15 mai à 20h30

VAUD

Th. Occurrence (Ch.-de-Fds)

Inventairesde Philippe Minyana

m.e.s. Séverine FavreSt-Aubin - La Tarentule

Je 27, Ve 28, Sa 29 mai 20h30Réservations: 032 835.28.38

La Catillon (Gruyères)

Les cinq dits desclowns au prince

de Jean-Paul Alègrem.e.s. Monique Marmy

Moléson-s-Gruyères - La Gare aux sorcières28-29 mai & 4-5 juin 20h30

30 mai & 6 juin à 17h.Réservations: 026 921.85.00

Les Polyssons (Lausanne)

Les bas-fondsde Gorki - m.e.s. Mirko BacchiniLausanne - Grange de DorignySa 29 mai, 2-3-4-5 juin à 20h30

6 juin à 17h.Réservations: 021 318.71.71

Les Centsoucis (Vufflens-la-Ville)

La Saint-Valentinde F. Didier - m.e.s. M. Gilliéron

Cugy - Théâtre de la Maison18-19 juin à 20h30

Réservations: www.centsoucis.ch

Les Baladins de l’Abbaye(Bevaix)

Mais l’usine...comédie musicale de B. Contesse

m.e.s. Ueli LocherBevaix - Grange du Plan Jacot

14-15-27-28-29 mai 20h3016 mai 17h.

Réservations: 032 846.23.76

La Ramée (Marin-Epagnier)

Huis-closde Sartre - m.e.s. D. Chiffelle

La Tour-de-Peilz - TDC10-11-12 juin à 20h30

Le Croûtion (Vérossaz)

La Grande Dixencetexte d’Alexis Giroud

m.e.s. Olivier DuperrexMusique: M. L. Terrettaz & P. Rinaldi

Vérossaz (en plein air)du 14 juillet au 14 août

Me-Je-Ve-Sa 20h30 - Di 18.7 15h.Réservations: 024 471.13.00

ou www.coulisses.ch

Le Carlaton (Duillier)

J’veux du bonheurde Michel Viala

m.e.s. M. Brodard & F. ZimmermannDuillier - Château

13-14-19-20-21-26-27-28 août& 2-3-4 septembre à 21h.

Réservations: 022 369.55.86

Le Gustave (Vevey)

La jeune fille et la mortd’Ariel Dorfmann

m.e.s. Patrick FranceyFribourg - Théâtre de la CitéVe 14 & Sa 15 mai à 20h30

Treyvaux - L’ArbanelSamedi 19 juin à 20h30

Réservations: 026 350.11.00

GENEVEFESTIVALS6e Festival de théâtre

de Chisaz4-5-6 & 11-12-13 juin 2004

Crissier - Salle de ChisazProgramme & détails en Pages 4-5-6

Renseignements & réservations:www.festivaldechisaz.ch

Festival de Théâtre en HerbeRenens – Du 11 au 13 juin 2004

Dans le cadre de la 19ème édition du Festival deThéâtre en Herbe, vous aurez le plaisir de voiret d’apprécier une quinzaine de spectacles. Auprogramme, bien entendu, du théâtre, mais ausside la danse et des animations. A voir absolu-ment : le vendredi soir 11 juin, Mary Poppins pré-senté par le Théâtre des Jeunes de Pully (TJP)et le samedi soir 12 juin Mistero Buffo joué parles jeunes comédiens du Théâtr’Ouvert de Pon-tarlier.

Pour plus de renseignements :Service Culture-Jeunesse-Sport de RenensTél. : 021/632’75’03/05ou sur le site de la ville : www.renens.ch

Edelweiss-Loisirs (Chalais)

Lapin Lapinde Coline Serreau

m.e.s. Alain BonvinChalais - Cabaret Edelweiss

Ve 21, 28 mai & 4, 11 juin, Sa 22.5& 5.6, Je 3 & 10.6 à 20h30

Di 23, 30 mai & 6, 13 juin à 18h.Réservations: 027 458.28.15

Vous avez un spectacle à annoncer? Vous souhaitez insérer une publicité?Pour tout ce qui concerne votre journal, une seule adresse:

[email protected] - Par la poste: CP 36 - 1553 Châtonnayepar fax: 026 658.18.34 - par tél.: 026 658.18.33

Délai rédactionnel pour ECJ 3/04: 17 juin 2004

GENEVEGENEVE

Th. de l’Espérance (Genève)

Les voisins du dessusde Laurence Jyl - m.e.s. M. Chammartin

Genève - Théâtre Cité Bleuedu 27 mai au 12 juin

Me-Ve-Sa 20h30 - Je 19h.Matinée Sa 29 mai 14h30

Réservations: 022 319.61.11