clconnect business media - décembre 2011

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clc onnect business media Décembre 2011 le luxembourg en crise, les priorités de la clc Dossier spécial clc, première a.s.b.l. labellisée InDR

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04| Dossier spécial clc, première a.s.b.l. labellisée INDR 06| Dossier spécial Le Luxembourg en crise, les priorités de la clc 12| Actualités La CIGDL a fêté ses 40 ans ! 22| Actualités Comment gérer une réunion ?

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clconnectbusiness media

Décembre2011

le luxembourg en crise, les priorités de la clc

Dossier spécial

clc, première a.s.b.l. labellisée InDR

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Edito

04| Dossier spécial

clc, première a.s.b.l. labellisée INDR

06| Dossier spécial

Le Luxembourg en crise, les priorités de la clc

12| Actualités

La CIGDL a fêté ses 40 ans !

22| Actualités

Comment gérer une réunion ?So

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Depuis peu la clc est labellisée « ESR » par l’INDR, l’Institut National pour le Développement durable et la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). La clc est fière d’être la première organisation patronale à avoir obtenu ce label. Son attribution récompense un travail en profondeur qui a mis la notion de durabilité au sein de nos préoccupations, ne serait-ce qu’en tant qu’initiatrice de Valorlux, d’Ecotrel, Ecobatterien, et ne l’oublions pas, de l’initiative RSE au sein du patronat luxembourgeois.

« La crise ne se fait pas sentir, les luxembourgeois sont gâtés » entend-on souvent dire ces derniers temps au sein du petit cosmos politique local. Cela permet-il de se dédouaner d’un immobilisme navrant, cachant une absence de volonté politique ?  Faut-il qu’on nous sorte brutalement de nos rêves pour enfin comprendre ?

Alors socialement responsable dites-vous ? Les forces syndicales diabolisent le patronat, mais n’en déplaise, nous plaçons  également l’homme et son devenir social au sein de nos préoccupations. Nous ne comprenons pas comment l’on peut admettre 

que d’année en année une large dizaine de postes de travail  soit créée alors que le niveau de chômage croît dans des sphères que l’on n’a jamais vécues au Luxembourg, et qu’il devienne  structurelle. Nous plaidons pour un moratoire de l’indexation,  suivi d’une réflexion sur une désindexation complète  de notre économie, accompagné par une redistribution  nouvelle des transferts sociaux afin de compenser les effets  

d’une inflation qui d’ailleurs est largement poussée par nos prix administrés galopants et le coût de l’énergie fossile.  Agir ainsi donnerait aux exclus du travail une chance réelle vis-à-vis d’une concurrence transfrontalière, souvent mieux armée,  tout en leur garantissant par les transferts sociaux un niveau de vie adéquat, et surtout, en leur redonnant une nouvelle  dignité par le travail. 

Peut-être devrions-nous conseiller aux responsables politiques et syndicaux de se faire labelliser socialement responsable ? Préparer les audits ad hoc est un exercice sain qui permet de réfléchir aux responsabilités et engagements qu’on prend, face à la société et de voir plus loin que le lendemain. Les jugements de l’histoire sont implacables.

Quoi qu’il en soit, après la pluie vient le soleil, reste à savoir combien de temps il pleuvra. Et les météos économiques  sont bien incertaines ces derniers temps.

Nous ne pouvons qu’une chose, toute l’équipe de la clc, c’est de vous souhaiter de tout cœur de joyeuses fêtes de fin d’année et de garder le moral, car le beau temps revendra d’une manière ou d’une autre.

Socialement responsable ?

Gary Kneip Président de la clc

« La crise ne se fait pas sentir, les luxembourgeois sont gâtés »...

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Obtenir

le label ESRLe Processus de

labellisation

1ère étape : Auto-évaluation

L’entreprise contacte l ’ INDR ( indr@indr. lu) afin

d’obtenir le référentiel d’auto-évaluation. L’entreprise

renvoie le fichier complété à l’INDR.

2e étape : Résultats de l’auto-

évaluation

Selon les résultats de l’auto-évaluation, deux possibilités se

présentent à l’entreprise.

3e étape : Vérification des résultats

L’expert agréé vérifie les résultats positifs de l’auto-évaluation

en entreprise.

4e étape : Attribution du label

L’INDR valide les conditions d’obtention du label de l’en-

treprise candidate. Une fois certifiée, l’entreprise obtient

le label.

INDR p.a. UEL

7, rue Alcide de Gasperi B.P. 3024

L - 1030 Luxembourg-Kirchberg

Tél. + 352 27 33 0 - 1 Fax : + 352 27 33 0 - 888

Email : [email protected] www.indr.lu

Le présent label est soutenu par le programme

communautaire pour l’emploi et la solidarité

sociale (2007-2013), le Ministère de la Famille et

de l’Intégration et a été rédigé en collaboration

avec Deloitte.

Pour plus d’informations, veuillez contacter votre

Fédération/Chambre professionnelle ou l’INDR :

L’entreprise a atteint le

niveau requis lors de

l’évaluation.

L’entreprise choisit un

expert agréé par l’INDR

pour vérifier ses résultats.

L’entreprise n’a pas atteint

le niveau requis lors de

l’évaluation.

L’INDR lui communique

un plan d’action qui lui

permettra d’améliorer

ses performances, en vue

de réussir une nouvelle

évaluation.

INSTITUT NATIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES

INSTITUT NATIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES

CLCoNNeCt04

Dossier spécial

La clc est la première a.s.b.l. luxembourgeoise labellisée INDR à s’engager dans une démarche  de responsabilité sociétale tant envers ses  collaborateurs qu’envers ses membres. En entrant 

dans cette démarche la clc considère les impacts sociaux et  environnementaux  de son activité  et adopte les meilleures 

pratiques possibles en contribuant ainsi à l’amélio-ration de la société et à la protection de l’environne-ment. Elle intègre désormais les trois piliers environ-nementaux, sociaux et économiques du modèle RSE et les place comme valeurs fondamentales de  son positionnement. 

Notre vision de la RSE et son développement au sein de la clcL’objectif principal d’une organisation telle que la clc est de servir au mieux les intérêts de ses fédérations membres. Pour ce faire, la clc adopte une nouvelle philosophie se basant sur des principes fondamen-

clc, première a.s.b.l. labellisée INDR Mercredi 23 novembre 2011 a eu lieu dans les locaux de la Chambre de Commerce la troisième remise officielle du label INDR décerné à 8 entreprises et a.s.b.l. Les labellisés ont été : Centre Hospitalier de Luxembourg, Dussmann Group Luxembourg, Légère Premium Hôtel Luxembourg S.A., Linklaters, P.M.C. Agence Textile S.à r.l., Société Electrique de l’Our S.A., Vectis PSF S.A. ainsi que la clc.

Rédaction : Diane Susilo clc, INDR I Photos : Sven Becker clc

...servir au mieux les intérêts de ses fédérations...

taux tels que la cohésion et le bien-être. Partant du principe que la satisfaction des membres passe avant tout par une cohésion et un bien-être  du personnel à leur service, la clc a, dans cette perspective, mis en place le programme « Well-fit ».  Ce programme a pour objectif de dresser un bilan  sur le comportement et les attitudes des  collaborateurs dans leur travail quotidien.  Ainsi, des séances de team building ont été mises  en place pour développer l’esprit d’équipe  et la cohésion de groupe. A ce programme s’ajoute une politique de flexibilité permettant au personnel de concilier au mieux  vie de famille et travail. Celle-ci se traduit par  des horaires aménagés dans un souci  de satisfaction de chacune des parties.  Voilà pourquoi la clc se définit comme un acteur du changement et a fait sienne la devise qui dit: « Entreprendre, c’est avancer ensemble ». 

La clc et le développement durableLa clc a toujours soutenu et initié de nombreux projets visant à l’amélioration de l’environnement tels  

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Obtenir

le label ESRLe Processus de

labellisation

1ère étape : Auto-évaluation

L’entreprise contacte l ’ INDR ( indr@indr. lu) afin

d’obtenir le référentiel d’auto-évaluation. L’entreprise

renvoie le fichier complété à l’INDR.

2e étape : Résultats de l’auto-

évaluation

Selon les résultats de l’auto-évaluation, deux possibilités se

présentent à l’entreprise.

3e étape : Vérification des résultats

L’expert agréé vérifie les résultats positifs de l’auto-évaluation

en entreprise.

4e étape : Attribution du label

L’INDR valide les conditions d’obtention du label de l’en-

treprise candidate. Une fois certifiée, l’entreprise obtient

le label.

INDR p.a. UEL

7, rue Alcide de Gasperi B.P. 3024

L - 1030 Luxembourg-Kirchberg

Tél. + 352 27 33 0 - 1 Fax : + 352 27 33 0 - 888

Email : [email protected] www.indr.lu

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sociale (2007-2013), le Ministère de la Famille et

de l’Intégration et a été rédigé en collaboration

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Fédération/Chambre professionnelle ou l’INDR :

L’entreprise a atteint le

niveau requis lors de

l’évaluation.

L’entreprise choisit un

expert agréé par l’INDR

pour vérifier ses résultats.

L’entreprise n’a pas atteint

le niveau requis lors de

l’évaluation.

L’INDR lui communique

un plan d’action qui lui

permettra d’améliorer

ses performances, en vue

de réussir une nouvelle

évaluation.

INSTITUT NATIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES

INSTITUT NATIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES

Décembre 05

que Valorlux, Ecotrel et Ecobaterrien. Chacun de  ses projets s’inscrit dans une dynamique positive  vis-à-vis de l’environnement et est un vecteur  vers une prise de conscience tant de l’entrepreneur  que du consommateur. 

La clc entreprend afin de susciter l’adhésion de ses membresConsciente de l’importance de la responsabilité sociétale des entreprises dans le futur, la clc a souhaité s’investir dans ce processus afin de promouvoir cette attitude auprès de ses membres. 

Démarche à suivre pour obtenir le label ESRLa démarche à suivre par les entreprises intéressées  par le label peut être résumée comme suit :L’entreprise procède à une auto-évaluation de  son comportement en matière de responsabilité  sociale en utilisant l’outil électronique prévu  à cet effet sur le site de l’INDR.

L’INDR informe ensuite l’entreprise du résultat  de cette auto-évaluation. Deux hypothèses s’ouvrent alors à l’entreprise; soit elle est invitée à solliciter  un audit/une vérification par un expert agréé  en vue d’obtenir le label, soit elle se voit communiquer un plan d’action visant à parfaire ses performances  pour suffire au référentiel.  

Ce plan d’action peut, le cas échéant, être mis  en œuvre avec l’aide d’un professionnel dûment  agréé à ce titre par l’INDR.

L’UEL et l’INDRL’Union des Entreprises Luxembourgeoises (UEL) a signé en date du 31 octobre 2003 une charte portant sur le développement durable. Ce faisant, elle adhère aux 

principes du développement durable tel que défini par l’ONU comme étant la capacité des générations  présentes à satisfaire leurs besoins tout en permettant aux générations futures de satisfaire les leurs.  Le développement durable nécessiteune approche  globale qui vise à mettre en cohérence tant  les stratégies économiques et sociales qu’environne-mentales. Dans le cadre de cet engagement,  l’UEL promeut le concept de la responsabilité  sociale des entreprises (RSE) afin d’aider  les entreprises à renforcer leur compétitivité et  à assurer leur pérennité. Pour ce faire, elle a créé  l’Institut national pour le développement durable  et la responsabilité des entreprises (INDR).

L’UEL s’attribue ainsi, à travers son institut INDR,  un double rôle de facilitateur et d’acteur en matière  de responsabilité sociale des entreprises : facilitateur,  en offrant une plate-forme d’échanges et  de promotion de bonnes pratiques aux entreprises actives dans le domaine de la RSE ou désirant  le devenir ; acteur, en promouvant des concepts  transversaux du développement durable dans  la gestion des entreprises, dont la mise en pratique  tient à la mise en œuvre d’un label national  de qualité.

Les entreprises souhaitant évaluer leur état d’avance-ment en matière de RSE peuvent consulter le site  www.indr.lu. Elles y trouveront une information  complémentaire leur proposant un outil  d’auto-évaluation sous forme d’un référentiel  adapté à leur secteur et à leur taille.

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LES ENTREPRISES LUXEMBOURGEOISES S’ENGAGENT. ET VOUS ?

L’Union des Entreprises Luxembourgeoises, à travers son institut INDR, se propose d’accompagner les entreprises dans leur développement de Responsabilité Sociale des Entreprises dans les 3 domaines d’intervention qui sont le social, l’environnement et la gouvernance.

Pour ce faire, l’INDR a créé le label ESR – Entreprise Socialement Responsable - qui permet aux entreprises de formaliser leurs efforts en la matière et de communiquer leurs réussites vis-à-vis de leurs salariés etdu monde extérieur. Suivez le mouvement de la responsabilité sociale des entreprises ! Pour plus d’informations : www.indr.lu

Le présent label est soutenu par le programme communautaire pour l’emploi et la solidarité sociale (2007-2013), le Ministère de la Famille et de l’Intégration et a été réalisé en collaboration avec Deloitte.

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ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES

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CLCoNNeCt08

Dossier spécial

Rédaction : clc I Photos : Sven Becker clc

Le Luxembourg en crise, les priorités de la clcGary Kneip, président de la clc, entouré de Marianne Welter, Laurent Schonckert et Bob Walté, vice-présidents, de Thierry Nothum, directeur, et de Claudine Speltz, présidente du CEPI (Conseil Européen des Professions Immobilières) et de la CIGDL (Chambre Immobilière du Grand-Duché de Luxembourg) a analysé la situation des services marchands et de l’immobilier au Luxembourg face à une Europe en crise et exposé les priorités politiques de l’organisation professionnelle.

En introduction, Thierry Nothum a fait une analyse  de la situation déprimée de la demande au Luxembourg, et ceci malgré un pouvoir d’achat  des résidents en augmentation et une fuite du 

pouvoir d’achat vers l’étran-ger qui baisse. L’ambiance de crise économique gagne du terrain en affectant directement  la consommation   

des résidents, dont le budget est de plus en  plus fortement amputé par des dépenses obligatoires comme un coût du logement en nette progression et des prix administrés (eau, électricité, fuel, taxes… ) qui s’envolent.  Cette perte de confiance des consommateurs  est fortement corrélée à un chiffre d’affaires  

du commerce qui diminue alors que ses frais  ne cessent de grimper. De l’avis de la clc,  il est indispensable de dresser un agenda politique qui vise à  : •  réduire le chômage, notamment en subventionnant    le travail plutôt que l’inactivité  •  établir un moratoire de deux ans pour l’indexation    automatique des salaires, rentes et pensions    et entamer une réflexion sur la désindexation de    l’économie  •  mener une politique budgétaire pluriannuelle,    équilibrée et prudente  •  baisser énergiquement le coût du logement  •  réformer le droit de la faillite  •  sortir de la logique du « taylorisme » dans notre    législation sociale et économique   (période de référence, heures d’ouverture, …)   

...un moratoire de deux ans pour l’indexation...

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2011Décembre 09

1998 2008/2010 1998-2010

Dépenses au total 43674 100,0 % 56247 100,0 % 0 %

alimentaire 4403 10,1 % 4904 8,7 % -1,4 %

équipement personne 2593 5,9 % 3468 6,2 % 0,2 %

équipement maison 3592 8,2 % 3449 6,1 % -2,1 %

logement 11944 27,3 % 19358 34,4 % 7,1 %

transports 6767 15,5 % 7878 14 % -1,5 %

loisirs et culture 3799 8,7 % 4161 7,4 % -1,3 %

restaurants et hôtels 4196 9,6 % 4351 7,7 % -1,9 %

assurances 1376 3,2 % 1967 3,5 % 0,3 %

communication 923 2,1 % 1152 2,0 % -0,1 %

santé 1037 2,4 % 1348 2,4 % 0,0 %

Le poids du logement dans les budgets des ménages

Source : Statec

Les coûts salariaux – illustration de l’indexation par l’exemple de la grande distribution Masse salariale 2012 par rapport à 2011 : • s’il y avait une tranche en avril 2012 : +12,7 millions • s’il y avait une tranche en octobre 2012 : +8,3 millions  pour compenser 12,7 millions : + chiffre d’affaires de 51 millions  ce qui correspond à :   + 5,2 % des dépenses des ménages par rapport à 2010, or en 2011 : on est à - 1,6 % par rapport à 2010 !   Un moratoire de deux ans s’impose afin de récupérer le retard !

La fuite du pouvoir d’achat annuel baisse Chida en volume du commerce de détailsans carburant, ni vente à distance - 8 mois

Corrélation chiffre d’affaires et confiance Baisse de la dépense annuelle des résidents

En guise de conclusion, Claudine Speltz, présidente  du CEPI et de la CIGDL, a analysé le parc privatif immobilier au Luxembourg en constatant que  l’accession à la propriété est devenue de plus  en plus difficile dû au fait des coûts exorbitants.  

A cette fin, elle préconise la mise en place  d’une politique visant à la création d’un parc  de logement social locatif suffisamment important afin de faire face à une demande croissante.

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CLCoNNeCt010

Dossier spécial

Publication de l’annuaire de la compétitivité 2011Union des Entreprises Luxembourgeoises

ANNUAIRE DE LA COMPéTITIVITé 2011

Contribution de l'union des entreprises luxembourgeoises au débat national sur la Compétitivité

L’UEL vient de publier l’annuaire de la compétitivité 2011. Il s’inscrit dans l’analyse comparative à laquelle l’UEL procède tous les ans à la suite de la présentation du rapport « Une paille dans l’acier » par le professeur Fontagné en 2004, étude consacrée au modèle de développement de l’économie luxembourgeoise.

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L’annuaire de la compétitivité offre un panorama clair et synthétique de la situation compétitive du Luxembourg, à travers 23 indicateurs repris largement dudit rapport Fontagné (9 indicateurs de compétitivité-coût, 7 indica-teurs de compétitivité hors coût et 7 indicateurs de niveau de vie/cohésion sociale). 

Ce rapport renseigne ainsi sur les aspects économiques  et financiers du pays en comparaison européenne,  il développe par ailleurs des indicateurs sociaux portant sur la protection sociale, l’emploi et le non-emploi et apprécie le coût et la performance du système  d’éducation et de la recherche, bref il présente  une image synoptique qui permet de se faire  une opinion sur l’évolution du Luxembourg en  Europe.   Tout comme la Banque centrale du Luxembourg et le Statec, l’UEL conclut à une sérieuse dégradation de la situation économique pour la plupart des secteurs. Au-delà des causes conjoncturelles et internationales (crise de la dette, crise de l’euro, etc.), des facteurs aggravants sont purement internes et augmentent la vulnérabilité économique du Luxembourg : inflation structurellement plus élevée, dégradation spectaculaire du coût salarial  unitaire par rapport à nos pays voisins, réduction continue de l’excédent de notre balance des paiements, déficit structurel du budget de l’Etat, hausse continue  du chômage (nombre total, longue durée, jeunes,  seniors), chute de la rentabilité des principaux  secteurs traditionnels, etc.  L’annuaire de la compétitivité de l’UEL a également voulu tenir compte des développements économiques et sociaux récents et a ajouté des projections, pour 

autant que celles-ci étaient disponibles, pour l’année 2011. En effet, la crise de confiance qui sévit aux niveaux mondial et européen et les incertitudes sur les marchés financiers annoncent une longue période de difficultés  économiques dans les pays développés et auront forcément des répercussions importantes sur le Luxembourg. 

Cette situation est particulièrement préoccupante pour  le secteur financier ainsi que pour les entreprises à activités exportatrices et pour toutes celles qui évoluent dans  le contexte concurrentiel de la grande région.  

Face aux incertitudes planant sur la zone euro et à  l’aggravation de la situation économique, selon la mise en garde toute récente de l’OCDE, il est indispensable pour l’UEL que des réformes structurelles d’envergure soient  engagées sans plus tarder afin de revigorer de façon  durable l’économie nationale, d’assainir ainsi les finances publiques et de pérenniser nos systèmes sociaux dans  un souci de maintien de la cohésion sociale.  L’annuaire est téléchargeable du site www.uel.lu sous  la rubrique « Publications » et peut être commandé  sans frais auprès de l’UEL à l’adresse e-mail  [email protected] . 

L’UEL regroupe les organisations suivantes : Association des Banques et Banquiers, Luxembourg · Association des Compagnies d’Assurances · Chambre de Commerce du Grand-Duché de Luxembourg · Chambre des Métiers du Grand-Duché de Luxembourg · Confédération Luxembourgeoise du Commerce · Fédération des Artisans · Fedil – Business · Fédération Luxembourg · Fédération Nationale des Hôteliers, Restaurateurs et Cafetiers

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12 CLCoNNeCt12 CLCoNNeCt

Dossier spécial

Rédaction : Silvia Teixeira clc I Photos : Shutterstock

Fit4commerce – vers une politique de l’emploi dynamiséeLe projet Fit4commerce a officiellement reçu le soutien financier du Ministère du Travail et du Fonds social européen pour les années 2012-2013.

Ce projet répond à une revendication de longue date des membres de la clc. En effet, ce projet permettra une politique d’emploi plus efficace et dynamique dans la mesure où il facilitera l’assignation des demandeurs dont le profil correspond au mieux  aux exigences du poste, et il tiendra compte  de l’évolution des secteurs et des besoins en  qualifications futures pour renforcer ainsi l’employabilité des demandeurs d’emploi.

Le secteur commerce est l’un des seuls domaines d’activité qui continue à recruter. Le comble  de la situation étant que le commerce a de réelles  difficultés à recruter du personnel qualifié alors  que le chômage est en augmentation constante.  Pour pallier à ce manquement, le projet Fit4commerce a été conçu en 2010 par la clc et ses partenaires LSC (Luxembourg School for Commerce), l’IUIL (Institut Universitaire International Luxembourg) ainsi que le Ministère du Travail  et de l’Emploi.

En bref, le projet Fit4commerce se déroulera en quatre étapes :-   L’analyse des compétences requises par    les entreprises. Dans ce contexte, les partenaires    du projet sont en train d’établir des répertoires de    fonctions (jobdescriptions). -   Des bilans de compétences seront réalisés    et permettront une orientation plus efficace du    demandeur d’emploi. -   L’élaboration de formations sectorielles sur mesure    par la LSC et la clc afin d’augmenter l’employabilité    des demandeurs d’emploi.-   Le « matching » informatisé entre les profils    des demandeurs d’emploi de l’ADEM et les offres    du secteur. 

La clc et ses partenaires sont confiants qu’avec ce pro-jet qui installera une collaboration plus étroite entre l’ADEM et les entreprises du secteur commerce, ils contribueront à une diminution du chômage tout en augmentant la productivité des entreprises.   

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#384E99

#152E71

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www.cigdl.luL’immobiLier, une question de confianceLes membres de la chambre immobilière s’engagent à offrir un service à l’entière satisfaction de leur

clientèle. ils respectent la charte de qualité, disponible auprès de tous les membres et sur www.cigdl.lu

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14 CLCoNNeCt

Pôle services marchands&immobiliers

Rédaction : Lucia Seda clc I Photos : Sven Becker clc

La CIGDL a fêté ses 40 ans !Fondée en 1971, la Chambre immobilière du Grand-Duché de Luxembourg (CIGDL) est une association luxembourgeoise sans but lucratif, représentant les différents métiers du secteur immobilier, à savoir l’agent immobilier, le promoteur, l’administrateur de biens/syndic de copropriété, et oeuvrant  dans l’intérêt de ses membres et des professions représentées.

Il faut souligner que la CIGDL est actuellement particulièrement active dans la promotion de la « Charte Qualité » à laquelle tous ses membres adhèrent et qui prend ses sources dans un code de déontologie consultable sur le site www.cigdl.lu. L’actuelle présidente de la CIGDL est Mme Claudine Speltz, qui a toujours été particulièrement active dans le secteur de l’immobilier et qui, dans ce sens, a souhaité célébrer, avec l’appui de son conseil d’administration, les 40 ans de la CIGDL afin de marquer son importance dans le pano-rama luxembourgeois. C’est ainsi que le jeudi 24 novembre 2011, dans une ambiance collégiale et festive, les membres de la CIGDL, en présence d’une partie des fondateurs  de l’association comme M. Pierre Wagner, M. Rolph Reding et  M. Raymond Becker, se sont réunis pour fêter 

dignement cet anniversaire. M. Willy Hein, excusé, a été remercié par ses pairs pour son rôle dans la création de l’association. A noter également la présence de M. Xavier Bettel, bourgmestre de la Ville de Luxembourg fraîchement assermenté, qui a fait l’honneur de sa présence afin de  souhaiter personnellement les meilleurs vœux  à  la Chambre immobilière. 

Dans l’optique de soutenir ses membres dans l’échange intense entre les professionnels du secteur immobilier, la CIGDL est affiliée à la FIABCI (la Fédération internationale des profes-sions immobilières) et au CEPI (Conseil euro-péen des professions immobilières) dont récem-ment Mme Speltz a été élue présidente à partir du 1er janvier 2012.

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2011 15Décembre

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16 CLCoNNeCt

LËTZEBUERGER BUCHPRÄIS 2011

BEAUX LIVRES

Raymond ClementÖewersauer & Our | Editions Schortgen

Liewenshaff MerscheidChoix de vie | Editions Saint-Paul

Marianne Majerus | Françoise MaasDie geheimen Gärten LuxemburgsEditions Guy Binsfeld

Bibi Wintersdorf Lëtzebuerg an de 70er JoerenEditions Schortgen

LITERATUR

Georges HausemerCon Dao | Editions Guy Binsfeld

Guy HelmingerLibellenterz | Editions PHI

Jhemp HoscheitMondelia | Editions Guy Binsfeld

Anise KoltzLa muraille de l’Alphabet | Editions PHI

SACHBICHER

Alain AttenDe Sproochmates | Editions Schortgen

H. Bressler & F. Thill Die Geschichte des Luxemburger RadsportsEditions Schortgen

Pierre MarsonVun der Sauer bis bei den Nil | Editions PHI

Laurent MoyseDu rejet à l’intégration | Editions Saint-Paul

KANNER- A JUGENDBICHER

D’Hänsch | Edition Jeanny Friederich

Gast GroeberDe Griss | Op der Lay

Patricia PetruccioliDem Lila säi Laachen | Editions Schortgen

Mireille Weiten-de Waha | Marco Weiten | Roll Rossi Starallüren um Krautmaart | Editions Saint-Paul

PRÄISSER

• 1 WEEKEND ZU LEIPZIG OP DER BUCHMESSE MAT 2 IWWERNUECHTUNGENFIR 2 PERSOUNEN

• 1 E-BOOK-READER

20102010

Roman fir Jonker

Gast Groeber

De Griss

Op der Lay

Pôle services marchands&immobiliers

Le 17 novembre la 5ème édition du « Lëtzebuerger Buchpräis » a eu lieu au prélude des 17èmes « Walfer Bicherdeeg ». La présentatrice de  RTL  Christiane  Kremer  accompagnait  les  invités  à  travers  la soirée pendant que « Patrick Hartert and Friends » s’occupaient du programme musical.

Le  «  Lëtzebuerger  Buchpräis  »  est  remis  chaque  année  par  les « Lëtzebuerger Bicherediteuren » à la base d’un vote du public via les librairies et Internet. Cette année, plus de1000 lecteurs ont voté pour les 16 titres nominés dans les catégories livres d’enfant et jeu-nesse, littérature, livres scientifiques et de référence et beaux livres. 

Les lauréats du « Lëtzebuerger Buchpräis 2011 » sont :Catégorie livre d’enfant et jeunesse : Starallüren um Krautmaart, Mireille Weiten-de Waha/Roll Rossi/Marco Weiten, Editions Saint-PaulCatégorie Littérature : Mondelia, Jhemp Hoscheit, Editions Guy BinsfeldCatégorie Livres scientifiques et de référence : De Sproochmates, Alain Atten, Editions SchortgenCatégorie Beaux Livres :  Die geheimen Gärten Luxemburgs, Marianne Majerus/Françoise Maas, Editions Guy Binsfeld

Martine Eicher

Remise des prix pour le « Lëtzebuerger Buchpräis 2011 » dans le cadre des « Walfer Bicherdeeg »

Récompense

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Récompense Collection automne/hiveriPhone 4S

(1) Abonnement iPhone XL à 75€/mois sur 12 mois incluant appels, SMS, MMS, data et WiFi sur les hotspots HotCity illimités en national. Fair usage policy fixée à 25GB par mois, au-delà du fair usage policy, en cas de dépassement à hauteur de cent euros et plus, le client sera facturé un montant forfaitaire de cent euros. Voir conditions détaillées sur iphone.luxgsm.lu ou en boutique. (2) Prix valable uniquement pour l’iPhone 4S 16GB noir ou blanc avec souscription simultanée à l’abonnement iPhone XL sur 12 mois, dans la limite des stocks disponibles.

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192011Décembre

L’ idée de cette association sans but lucratif est de promou-voir les intérêts de gens présentant un handicap au niveau de l’audition en vue d’améliorer leur situation tant au niveau professionnel que social, et de soutenir la compréhension réciproque des besoins individuels des personnes présen-tant ce handicap face à des personnes entendantes (www.daaflux.lu).

La générosité des membres du GSPL a permis d’offrir un chèque d’un montant de 1500 € à DAAFLUX afin de soutenir ses actions.

Lucia Seda

DoN De FIN D’ANNÉe GSPL 2011 - DAAFLUXGSPL Entreprise

Vendredi 25 novembre 2011, le GSPL, qui récolte chaque année des fonds pour aider certaines associations, a voulu soutenir l’a.s.b.l. DAAFLUX qui depuis 2003 défend les intérêts des personnes sourdes et malentendantes.

EnergieSalon myenergy days en mars 2012 2ème édition

myenergy, la structure nationale pour le conseil en énergie, a le plaisir d’annoncer la réédition des myenergy days, le salon dédié à la rénovation énergétique, suite à un lancement remarquable en mai 2011. La deuxième édition des myenergy days, rendez-vous qui s’adresse aux professionnels et aux particuliers, se tiendra du 2 au 4 mars 2012 à Luxexpo / Kirchberg sur une surface d’exposition revue à la hausse de 5.000 m2.

Le salon myenergy days est une initiative née de la volonté de créer une nouvelle plate-forme d’échanges pour les professionnels et le grand public sur le thème de la rénovation énergétique, qui a été mise sur pied  par myenergy avec le soutien d’un grand nombre de partenaires, comme la CDM, l’OAI, la FDA, la CDC, la CLC, la FEDIL, le Service des Sites et Monuments Nationaux et le Ministère du Logement. Cette formule semble avoir fait recette lors de la première édition  en attirant une cinquantaine d’exposants et environ 2.500 visiteurs sur deux journées et demie. 

Cela s’explique sans doute par une tendance croissante à vouloir s’investir davantage dans un mode de vie plus durable et soucieux de l’environnement. Les économies d’énergies représentent une démarche fondamentale  en ce sens et l’initiative de sensibilisation et d’information menée par myenergy a pour but de mettre en lumière  le potentiel d’économies réalisable dans le secteur  de l’habitation. En parallèle ce salon souhaite présenter les opportunités et le potentiel d’innovation offert  aux professionnels actifs dans le secteur de la rénovation.  L’ édition 2012 débutera le vendredi matin 2 mars 2012 

avec un programme de conférences thématiques  adressées aux professionnels, avant d’ouvrir ses portes  au grand public l’après-midi. L’ espace principal du salon sera dédié aux stands d’exposition des participants  et sera agencé en 3 domaines thématiques: l’enveloppe du bâtiment, la technique du bâtiment et les services. myenergy proposera par ailleurs un programme  de présentations thématiques venant compléter le volet exposition, apportant ainsi une plus-value au salon en termes de contenu informatif.   L’ aspect concret de différentes techniques de la réno-vation énergétique sera illustré par des démonstrations pratiques opérées par des artisans et producteurs. Les visi-teurs moins âgés seront accueillis dans l’espace jeunes, où ils pourront participer à tout un programme d’expériences, de bricolages et de jeux sur le thème de l’énergie.   myenergy days est donc un événement principalement axé sur la promotion des prestations spécialisées des PME artisanales actives dans le domaine de la rénovation  énergétique et du secteur commercial y afférent.  

L’ appel aux entreprises désireuses de participer en tant  qu’ exposants est donc lancé ; toutes les informations  pratiques peuvent être consultées sur le site  www.myenergydays.lu et les formulaires d’inscription  sont également téléchargeables dans l’espace exposants. Le délai d’inscription est fixé au 20 janvier 2012.

Daniela Arede

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CLCoNNeCt20

Santé-social

Rédaction : Dr. Nicole Majery Chargé de direction STM, I Photos : Schutterstock

Surveillance des chauffeurs poids lourds et bus en médecine du travail et prévention du risque d’accident D’après les études internationales, la somnolence et la fatigue sont les premiers facteurs d’accident sur autoroute et un accident sur trois serait lié à la somnolence et à la fatigue (AFSA, prof Philip, CHU Bordeaux)

Risque d’accidents lié à une somnolence diurne des chauffeursD’après les études internationales, la somnolence  et la fatigue sont les premiers facteurs d’accident  sur autoroutes et un accident sur trois serait lié  à la  somnolence et à la fatigue (AFSA, prof Philip,  CHU Bordeaux). En 2006 dans une étude française 

d’AXA, ont été calcu-lés les coûts directs et indirects (premiers soins, coûts médi-caux, absentéisme,  coût du remplaçant, 

invalidité et décès, coûts administratifs, perte de chiffre d’affaires, etc) des accidents de circulation. Pour 30 % d’accidents potentiellement liés à une somnolence le coût est estimé à 550 millions  d’euros par an pour ce type de risque.

Risque estimé sur la base des examens en méde-cine du travailUne étude pilote réalisée au Service de Santé au Travail Multisectoriel (STM) par le Dr D. Knauf-Hübel  en 2007 estimait la prévalence du syndrome d’apnée du sommeil à 10,3 % pour la population concernée alors que les études internationales estiment  la prévalence à 4 % dans la population générale  masculine.

Sur base de l’examen clinique fait au STM, les chauf-feurs de bus et de camions présentent un risque d’être porteurs du syndrome d’apnée du sommeil. En effet, sur 6566 chauffeurs poids-lourds examinés, 19,8 %  présentaient soit une obésité morbide, soit une  hypertension, c’est-à dire au moins des critères  de suspicion. Sur 1682 chauffeurs de bus 19,2 % étaient concernés par un de ces facteurs.

...une prise en charge plus rigoureuse...

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2011Décembre 21

Surveillance proposée par le STMLors des consultations, les chauffeurs hésitent à signaler les problèmes de fatigue diurne qu’ils éprouvent lors de l’exercice de leur profession,  car ils ont une certaine crainte d’être déclarés inaptes et de perdre leur emploi. Or un traitement adapté permet d’exercer les métiers en question  et de réduire substantiellement le risque d’accident de circulation.

Compte tenu des facteurs de risque retrouvés chez les chauffeurs et du lien entre la somnolence diurne ou la fatigue et les accidents, le STM propose une prise en charge plus rigoureuse pour ce type de population.

Les chauffeurs sont priés de remplir un question-naire de façon à estimer le risque et lorsque sur la 

base de celui-ci et des résultats de l’examen clinique, il y a une suspicion, alors une prise en charge est demandée dans les laboratoires du sommeil.

Vu que le surpoids, voire l’obésité ainsi que l’hyperten-sion artérielle sont des causes, une sensibilisation est entamée dès que la personne est concernée par un de ces facteurs. Un test rapide de dépistage d’hyper-cholestérolémie et de glycémie leur est proposé afin de calculer le risque potentiel de développement  de pathologies cardio-vasculaires ainsi qu’un  électrocardiogramme à partir de 50 ans.

Avec cette initiative, les médecins du STM estiment pouvoir vous aider de façon efficace dans la préven-tion des accidents de circulation. 

Actualités

C’est pourquoi la clc a répondu présente pour la seconde année consécutive à l’invitation de la LSC (Luxembourg School for Commerce) pour participer à la Foire de  l’Etudiant qui s’est tenue les 10 et 11 novembre derniers  à la Luxexpo. Ainsi, nous avons pu renseigner  les étudiants qui quittent l’enseignement secondaire  ou supérieur sur les diverses opportunités profession-nelles qui existent dans le secteur privé.  

Please enter « PRIVAte SeCtoR » - « D’Lëtzebuerger economie bitt vill, wann s du eppes kanns! »

Foire de l’Etudiant 2011

Que faire après le bac ? Quelle université choisir ? Quel métier ? Ces questions, beaucoup de lycéens se les posent alors que l’économie luxembourgeoise cherche des collaborateurs motivés et bien formés.

Sur un stand flambant neuf, de nombreuses actions ont été proposées pour faire découvrir le monde de l’économie luxembourgeoise. Les élèves et étudiants ont eu  la possibilité de faire analyser leur CV ou encore de passer des simulations d’entretiens d’embauche avec  des professionnels du recrutement. Une bourse de « stages en entreprises » ainsi que des tests de compétences sociales leur ont été également offerts.

De plus, pendant deux jours les étudiants ont pu se confronter au monde du travail en rencontrant  des professionnels de tous secteurs confondus.  Pas moins d’une dizaine de DRH et de chefs d’entreprises ont répondu aux questions des étudiants quant aux fonctions et qualifications recherchées dans les différents domaines d’activité.  Les piliers de la clc ont été représentés par ses membres, à savoir : la Provençale, Cetrel, Cactus, Felten-Stein et Dechmann Communications.  La clc les remercie vivement pour cette participation active.  

Silvia Teixeira

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CLCoNNeCt22

Actualités

1. Rappeler les règles de conduite de la réunion (Instruction)

Pour les participants :Demander la parole, qui est donnée par l’animateur, ne pas couper la parole aux autres et ne pas faire d’apartés

Pour l’animateur : •   Avoir été officiellement choisi / désigné pour      cette fonction, être garant du bon déroulement de    la réunion, il doit avoir le droit de couper la parole    si la personne ne respecte pas les règles.•   Etre responsable du respect des personnes :    l’animateur demande à reformuler les jugements    en ressentis, il est vigilant sur les mécanismes de    dévalorisation et de culpabilisation.•   L’animateur doit être directif sur la forme mais pas    sur le fond.

Comment gérer une réunion ?Etant dirigeant d’entreprise, directeur ou toute autre fonction à responsabilité, vous êtes souvent appelé à faire des réunions avec votre personnel, des clients, des fournisseurs, cela ne s’improvise pas. La gestion d’une réunion au sein d’une entreprise est primordiale pour une bonne collaboration entre parties, c’est pourquoi il est important de désigner un responsable qui gérera la réunion. Il y a 8 étapes importantes dans une réunion. Nous développerons les 6 premières dans cet article, les deux autres seront développée dans le prochain article.

Rédaction : Jean-Marc WANT Directeur Horetcom S.A. I Photos : Schutterstock

•   Lever la main avant de s’inscrire sur la liste des prises    de parole, pour signifier que l’animateur va  s’exprimer en tant que participant (et non en tant    qu’animateur).

Pour tout le monde•   Les jugements de personnes sont proscrits.   Chaque personne est responsable de ce qu’elle dit ;    chacun s’exprime en « je » et non pas en « on ». •   Les portables sont éteints sauf exception ; dans ce    cas demander ou prévenir.

   2. Présenter l’objectif et préciser la durée de la réu-nion (Instruction) 

•   Définir la durée maximum de la réunion, vérifier    les contraintes de chaque personne.•   Prévoir les pauses, les annoncer au début.

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2011 23Décembre

3. Distribuer un support papier reprenant l’ordre du jour ou utiliser un visuel (Instruction)

•   S’il n’a pas été préparé à l’avance, collecter tous    les points à discuter.•   Prévenir que lors de tous les points à aborder à    cette réunion doivent être annoncés à ce    moment là et qu’ils ne pourront être rajoutés après.•   Distinguer les points d’information des points    de décision.•   Définir un temps pour chaque point à l’ordre du jour.•   Intégrer un temps de bilan en fin de réunion.

4. Demander aux participants s’ils souhaitent rajouter d’autres points à l’ordre du jour (Instruction)

Pour les points d’information:•   Donner la parole aux personnes qui ont l’information.•   S’il y a débat, le limiter au temps prévu.•   Vérifier que l’on reste bien dans le cadre de    l’information et non de la décision.•   Donner la possibilité d’exprimer les « ressentis ».

Pour les points de décision:•   Vérifier qui est directement concerné par la décision    (une personne, un groupe).•   Rappeler les modalités de la décision, vote, consensus,    unanimité.•   Formuler les étapes qui vont suivre pour arriver    à la prise de décision.•   Donner ou faire donner les informations liées à la prise    de décision, sans débats.•   Organiser un tour de table : chacun exprime    son ressenti, son opinion sur le sujet, et son avis sur    la décision à prendre ; pas de débat général pendant    le tour de table.•   Laisser un temps de débat.•   Faire le point sur les accords et les désaccords ;    négocier et reformuler.

•   Proposer la prise de décision en fonction    des modalités définies au préalable.•   Reformuler la décision prise et la faire écrire.•   Si la décision ne peut pas être prise, définir quand et    par qui elle sera ré-abordée.

5. Définir une personne volontaire pour la prise de note (secrétaire) (Instruction)

•   En direct sur l’ordinateur si possible sinon sur papier.

6. Poser les règles de prise de parole (Instruction)

•   Echanges: noter les questions et les réponses    de chacun.•   Chaque participant doit demander la parole,    on ne se coupe pas la parole, la parole est distribuée  dans l’ordre où elle est demandée, on veillera    à l’équilibre des temps de parole.

Dans le prochain article, nous détaillerons les 2 dernières étapes, à savoir : •  Animer la réunion•  Conclure

Pour terminer, je citerai  Raymond Devos : « Quand en réunion, un homme ne dit rien et que tout le monde parle, on n’entend plus que lui ».

 

Comptabilité généraleConseil et assistance en organisation et en gestion d’entreprisesSpécialiste des secteurs commerce, horeca, services et transport

Contact : Jean-Marc WANT, directeurTél : +352 26.47.42.1 Fax : +352 26.47.42.50Email : [email protected]

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Rédaction : Yves Gordet clc I Photos : Sven Becker clc

Networking avec les acteurs des télécomsLe 17 novembre dernier Cegecom et Artelis recevaient les membres de la clc au restaurant « Schéiss » à Luxembourg. Le cadre entièrement rénové de ce site exceptionnel à Belair aura permis aux membres de la clc de découvrir les avantages que peuvent apporter les télécommunications en matière de business

Le mot de bienvenue a été prononcé par Thierry Nothum, directeur de la clc. Claude Bizjak, conseiller à la clc et un des responsables du pôle « société de l’information » a fait une présentation succincte des activités de la clc en la matière. 

Georges Muller, directeur d’ Artelis s.a. ainsi que Lutz Uebelgünn, manager services IN chez Artelis s.a. et Didier Wasilewski, responsable des ventes chez Cegecom s.a. ont démontré aux invités  l’ utilité des divers services offerts par leurs socié-tés. Un accent particulier a été mis sur une analyse spécifique de la situation luxembourgeoise où les opérateurs non historiques, malgré un dynamisme aigu, peinent à s’imposer sur un marché  problématique. Les invités et leurs hôtes ont  terminé la soirée autour d’un cocktail dinatoire.

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Rédaction : Diane Susilo clc I Photos : Sven Becker clc

« L’art à tout prix »Le 12 décembre, ING a, pour la seconde année consécutive, convié les membres de la clc a une visite en avant-première de la nouvelle exposition présente à la Villa Vauban : « L’ art à tout prix ».

Les membres de la clc ont débuté la soirée par une visite guidée de l’ensemble des œuvres de l’exposition. Les tableaux du célèbre collection-neur luxembourgeois Jean-Pierre Pescatore ont été le fil conducteur de l’exposition qui fut agré-mentée de tableaux prestigieux signés Gustave Courbet, Eugène Delacroix et Jean-François Millet. 

C’ est dans une ambiance festive que les visites se sont achevées pour faire place au discours de l’hôte de la soirée, Rik Vandenberghe, CEO d’ING Luxembourg, puis il a été suivi de celui de Gary Kneip, Président de la clc.

La soirée s’est prolongée par un coktail dinatoire permettant aux participants de se rencontrer et d’approfondir leur contact.

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Actualités

Refonte du droit d’établissement, et donc abrogation de la loi du 28 décembre 1988 telle que modifiée:  La nouvelle loi n’est pas une énième modification du texte de base existant – la loi d’établissement du 28 décembre 1988 – mais une refonte complète, cohé-rente et novatrice. La loi apporte des changements tant fonctionnels que sur le fond, destinés à stimuler, à faciliter et à accompagner la volonté d’entreprendre, qui en constitue le véritable fil rouge. En matière commerciale, la loi prévoit de revaloriser la formation de base CATP/DAP qui suffit à l’accès à la profession. Il en va de même d’une pratique pro-fessionnelle de trois années, quelque soit la nature de cette occupation, ou, comme auparavant,  

Loi d’établissementLe 8 décembre dernier, Madame la Ministre des Classes Moyennes Françoise Hetto-Gaasch a présenté le nouveau texte de loi concernant le droit d’établissement ainsi que le guichet unique permettant d’effectuer les demandes d’autorisation en ligne. Elle était accompagnée de Monsieur Baumann Emmanuel, Premier Conseiller de Gouvernement et de Monsieur Scholtus Gilles, Attaché de Gouvernement 1er en rang.

Rédaction : Communiqué de presse du Ministère des Classes Moyennes, du Tourisme et du Logement I Photos : Schutterstock

de l’accomplissement avec succès de la formation accélérée organisée par la Chambre de commerce ou toute formation considérée comme équivalente. Les professions de l’HORECA devront accomplir, en plus des conditions d’accès à une activité commer-ciale, une formation portant sur les règles d’hygiène des denrées alimentaires. En matière artisanale, il est prévu de maintenir l’exi-gence d’un brevet de maîtrise pour les activités « liste A » / métiers principaux, mais de nouvelles passerelles d’équivalence sont créées : -  pour les titulaires d’un DAP/CATP qui ont travaillé    au moins six années dans des fonctions dirigeantes    dans l’activité artisanale de liste A pour laquelle    l’autorisation est sollicitée, ou dans une partie      essentielle de celle-ci,-   pour les artisans qui possèdent une autorisation    d’établissement pour l’exercice d’une activité  

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  nécessitant un brevet de maîtrise, s’ils ont travaillé    dans une partie essentielle d’une activité artisanale    connexe pendant trois années. L’accès aux activités « liste B »/métiers secondaires pour les personnes dépourvues de DAP/CATP est facilité : l’expérience professionnelle de 3 années dans la branche concernée ne doit plus obligatoirement être effectuée, comme auparavant, dans des fonctions dirigeantes. Pour les professions libérales, la loi prévoit d’intégrer les notions de grades du processus de Bologna, les anciens diplômes étant acceptés s’ils peuvent être considérés comme équivalents. La loi intègre ainsi la profession d’urbaniste/aménageur (loi du 19/07/05 sur l’aménagement communal et le développement urbain) et en soumet l’accès à un mas-ter en urbanisme/aménagement du territoire, plus une pratique de 2 ans auprès d’un professionnel. La loi crée en outre la profession libérale des « conseils en … », qui concerne toutes les activités libérales non autrement réglementées (« conseil en informatique », « conseil en environnement »), et qui consiste à fournir des prestations et des conseils relevant d’un secteur d’activité spécifique à haute qualification, d’essence libérale. En matière de grandes surfaces commerciales, la loi tient compte des exigences de la directive « services »: -  la composition de la commission de l’équipement    commercial est adaptée afin d’écarter    les représentants des chambres et organisations    professionnelles,-   l’étude de marché est abrogée, et l’enquête    administrative consiste désormais à vérifier que le    développement urbain et territorial harmonieux,    au sens de la législation relative à l’aménagement du    territoire, n’est pas compromis. Afin de favoriser la transmission d’entreprise, la loi  regroupe les anciens régimes des artisans et des com-merçants pour n’en faire plus qu’un seul qui se trouve, de ce fait, légèrement plus avantageux pour l’ensemble des entreprises.

Quant à l’instruction des demandes et à la simplification administrative, la loi ne prévoit plus de commission consultative chargée d’émettre un avis pour chaque demande d’autorisation.Par contre, elle  met en place un système d’échange et de transmission d’informations entre le Ministère des Classes moyennes et les autres administrations et autorités concernées indirectement par l’instruction des demandes d’autorisation d’établissement. Pour ce qui est des obligations professionnelles, la loi prévoit qu’une autorisation d’établissement ne pourra être délivrée que si les créanciers publics certifient au Ministre des Classes moyennes que le dirigeant n’a pas accumulé, ni en nom personnel, ni au nom d’une autre entreprise qu’il dirige, des dettes auprès d’eux. En ce qui concerne l’établissement effectif, la loi pose l’exigence d’une installation matérielle. Une domicilia-tion ne peut en aucun cas constituer un établissement approprié et suffisant. Les prestations de services transfrontalières artisanales vers le Luxembourg sont soumises à déclaration pré-alable afin de vérifier que le prestataire de services est établi dans son pays de provenance. La définition  de la prestation de services proposée par la directive européenne est reprise.

Pour certains métiers touchant particulièrement à la santé et à la sécurité, la qualification professionnelle requise en cas d’établissement sera en outre exigée.  Finalement en matière de taxe administrative, une  réévaluation est  fort logiquement prévue après un  status quo de plus de 20 ans. En particulier, la taxe administrative pour les grandes surfaces commerciales – dont le traitement administratif est fastidieux et  donc coûteux pour l’administration – est désormais fixée en relation avec la surface projetée en m2.

Les prestataires de services seraient  également soumis à taxe, comme chez nos voisins allemands.

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News

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Abonnement annuel : 15 EUR.Parution : bimestrielle.ISBN : 1025-6822

clc connectEdition - Rédaction clc.rue Alcide de Gasperi, 7.L-1615 Luxembourg.B.P. 482.L-2014 Luxembourg.Tél. : 439 444-1.Fax : 439 [email protected] .www.clc.lu / Conception & Layout : clc - Publishing Saint-Paul, [email protected], [email protected], [email protected] / Publicité - Publishing Saint-Paul : [email protected], [email protected] Hogenberg, 4.L-2988 Luxembourg.B.P. 1355 – L-1013 Luxembourg.Tél. : (352) 4993-9002/9507.Fax : (352) 4993-9534.www.saint-paul.lu

Projets clc networking 2012PROGRAMME VISITES 19 janvier 2012 / Esch Belval 8 mars 2012 / Orange 10 mai 2012 / Voyages Emile Weber à Canach 6 septembre 2012 / Domaine Thermal à Mondorf-les-Bains 8 novembre 2012 / Auchan Kirchberg

Nouvelle collaboratrice à la clc

Perrine SchulerDepuis septembre 2011, Perrine Schuler a rejoint la clc en tant que secrétaire de direction. Diplômée d’un BTS d’assistante de direction, Perrine a débuté son parcours professionnel au CHRU de Lille puis a poursuivi sa carrière dans le cabinet d’avocats Linklaters à Luxembourg. Ses compétences renforcent le secrétariat administratif de la clc.

Jours fériés 2012

* Jours fériés en 2012Jour de l’An : dimanche 1er janvier 2012Si un jour férié légal tombe un dimanche le salarié a droit à un jour de congé compensatoire à prendre individuellement dans un délai de 3 mois à partir de la date du jour férié en question; [conformément à l’article L.232-3, paragraphe (1)].Le jour de congé compensatoire doit obligatoirement être pris en nature et ne peut pas être remboursé par une compensation financière; [conformé-ment à l’article L.232-3, paragraphe (1)].Fête nationale : samedi 23 juin 2012Si un jour férié légal ou un jour férié de rechange coïncide avec un jour de semaine pendant lequel le salarié n’aurait pas travaillé, conformément aux stipulations de son contrat de travail, ce salarié a droit à un jour de congé compensatoire qui devra être accordé dans un délai de 3 mois prenant cours le lendemain du jour férié considéré ; [conformément à l’article L.232-6, paragraphe (2)]. Toutefois, si le fonctionnement de l’entreprise ou de l’entreprise ne le permet pas, le jour de congé compensatoire devra être accordé avant l’expiration de l’année calendrier, à l’exception des jours fériés légaux tombant les mois de novembre et de décembre, lesquels pourront être récupérés dans les 3 premiers mois de l’année suivante.

Jour de l’An * 1er janvier 2012 dimanche

Lundi de Pâques 9 avril 2012 lundi

Fête du Travail 1er mai 2012 mardi

Ascension 17 mai 2012 jeudi

Lundi de Pentecôte 28 mai 2012 lundi

Fête Nationale * 23 juin 2012 samedi

Assomption 15 août 2012 mercredi

Toussaint 1er novembre 2012 jeudi

Noël 25 décembre 2012 mardi

Saint Etienne 26 décembre 2012 mercredi

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«Au bon moment, au bon endroit» Little Smets sàrl tisse des liens étroits entre mode, luxe, design et art.Regards croisés sur cette entreprise familiale, véritable success story, en compagnie de Carine et Thierry Smets, respectivement CEO et administrateur-directeur.

De formation scientifique, rien ne vous

prédestinait au monde de l’entreprise et

de la mode ? Comment l’aventure a-t-elle

commencé ?

Carine Smets : J’ai suivi mon mari au Luxem-

bourg pays qui, il y a 25 ans, était presque

une «page blanche». On est arrivé au bon

moment, au bon endroit. Une opportunité

s’est présentée, on l’a saisie. C’est le moteur

de développement de toute notre entreprise.

Je me suis lancée dans l’aventure avec un

1er magasin pour enfants. Très vite, nous nous

sommes rendu compte qu’il fallait se position-

ner au centre-ville. La marque Donaldson

nous a propulsés. Puis, il y a eu l’ouverture

du City Concorde et celle d’Auchan.

Il y a 10 ans, Smets Concept Store ouvrait

ses portes à Strassen. Il y a 3 ans, vous

vous installiez au Kirchberg et aujourd’hui

à Belval Plaza...

Thierry Smets : L’an dernier, nous avons

aussi ouvert l’Outlet de Bertrange et cette

année «Rue de la paix» dans la Grand-Rue.

Suite à l’ouverture en 2010 de «Superdry»

en ville, nous avons été sollicités pour ouvrir

cette enseigne à Belval. J’ai été frappé par

le dynamisme qui s’y profilait mais ouvrir un

seul magasin risquait d’être ennuyeux. Avec

mon épouse et Pascaline, ma fille, nous nous

sommes engagés pour l’implantation de plu-

sieurs boutiques, projet bien négocié afin qu’il

ait une viabilité et une crédibilité. Et la BIL a

réagi favorablement.

voyage de plus en plus et qui a accès à toutes

les données sur Internet. Il faut travailler en

multimarques. Les consommateurs se lassent

d’arriver dans des métropoles où les grandes

marques sont collées les unes à côté des autres

sans véritable identité. Il faut leur donner envie

de revenir dans un lieu. C’est aussi pour cela

que nous créons des événements comme les

conférences avec des designers et architectes.

Quelle est l’actualité de Smets ?

T.S. : Début décembre, un Smets Concept

Store revisité ouvrira ses portes à Bruxelles.

C.S. : Cela nous permettra de voir ce que

notre concept donne dans un pays qui

compte plus de 10 millions d’habitants.

En dépit des risques que cela représente,

la BIL nous suit à nouveau…

Dexia Banque Internationale à Luxembourg, société anonyme Tél. : +352 4590-2981 Fax : +352 4590-2086 [email protected] www.bil.lu

La BIL est votre partenaire depuis

longtemps …

T.S. : Depuis 11 ans. Notre relation a débuté

avec Smets Concept Store et depuis elle est

notre partenaire privilégié.

C.S. : Les banques sont un peu frileuses à

cause de la crise mais avec la BIL, il y a une

vraie confiance réciproque…

Quel regard portez-vous sur votre

success story ?

C.S. : Nous avons développé un bon outil

mais il n’en est qu’à ses débuts. Maintenant

il faut se positionner à l’international et en

termes de communication (Internet et réseaux

sociaux). Notre mérite c’est d’avoir une

grande puissance de travail, d’être toujours

aux aguets et de savoir motiver nos collabora-

teurs car sans les équipes qui nous entourent,

nous ne serions rien.

Y a-t-il eu des remises en question ?

C.S. : Nous n’avons pas renouvelé le contrat à

Auchan et nous avons fermé le magasin de la

place Guillaume. Ces emplacements n’étaient

plus stratégiques. Pour garder des exclusivités,

il faut se remettre en question. Et pour rester

en position de leader de marché, il faut

pouvoir compter sur l’appui des banques.

Quels sont les nouveaux défis ?

C.S. : Notre rôle est plus que jamais d’anti-

ciper les tendances vis-à-vis d’un public qui

Communiqué commercial

Une banque à visage humain

Nous nous engageons à concevoir

des produits élaborés et à développer

des solutions novatrices répondant

aux besoins des Corporates, PME,

professions libérales et indépendants.

Nathalie Welbes, Conseiller PME

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