CHOC ANAPHYLACTIQUE 2015 SL -...
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27/04/2015
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Mécanismes de l’anaphylaxie:
Anaphylaxie: réaction d’hypersensibilité systémique sévère avec un risque vital.
Hypersensibilité allergique:La voie classique médiée par les IgE, mastocytes et l’histamine
1 voie alternative médiée par les basophiles et les IgGavec libération de PAF
Hypersensibilité non allergique:effet pharmacologique ou toxicité directe sur les cellules sanguines – endothéliales, effet - dose
Mécanismes de l’anaphylaxie:
Mécanismes non différentiables par les signes cliniquesLibération des médiateurs: Histamine, Tryptase, cytokines, PAF, prostaglandines, leucotriènes
Augmentation de la perméabilité vasculaireEffets bronchoconstricteurs
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Un cocktail explosif:Molécules libérées Effets
Histamine Augmente la perméabilité vasculaireContraction des muscles lisses
Enzymes (tryptase, chymase, carboxypeptidase, hydrolases acides) Digèrent les protéines de la matrice extracellulaire
CytokinesTNFα - Activation de l’endothélium, stimulation de la
production de cytokines par d’autres cellules
IL4, IL13 - Stimulation de l’orientation Th2
IL3, IL5, GM-CSF - Production et activation des éosinophiles
Protéoglycanes (héparine, chondroïtine sulfates)
- Structure des granulations, liaison à l’histamine et aux protéases neutres
Leucotriènes (C4)- Puissants bronchoconstricteurs- Vasoconstriction pulmonaire et coronaire, augmentation de la perméabilité vasculaire
Prostaglandines (PGD2 surtout) - Puissants bronchoconstricteurs- Vasodilatation cutanée
PAF (Platelet Activating Factor)
- Effet chimiotactique et activateur des polynucléaires neutrophiles et éosinophiles- Agrégation plaquettaire- Vasodilatateur puissant- Contraction des muscles lisses (autres que vasculaires)
Les signes cliniques des HSI en France (2516 patients de 1997 à 2004):
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Circonstances de survenue
Les signes cliniques apparaissent quelques minutes à quelques heures après l’exposition à l’allergène
Médicaments IV: 2 – 3 minutes; IM: 30 minutesMédicaments per os: 30 minutes – 2 heuresLatex: 15 – 30 minutesAliments: 2 – 3 heures
Cofacteurs: effort, prise d’alcool, AINS, infection virale
Classification (Ring et Messmer 1977)
GRADE I Signes cutanéomuqueux généralisés.
GRADE II Atteinte multiviscérale modérée (au moins 2 fonctions atteintes): signes cutanéo muqueux, hypotension (PA < 30%), tachycardie (Fc > 30%), hyperréactivité bronchique
GRADE III Atteinte multiviscérale sévère menaçant la vie et imposant un traitement spécifique: collapsus cardio vasculaire, tachycardie/bradycardie, bronchospasme
GRADE IV Arrêt circulatoire et/ou respiratoires
Les signes cutanés peuvent être absents ou n’apparaître qu’après la remontée tensionnelle
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Etat de choc:
Vasodilatation: hypovolémie, phase hyperkinétique puis hypokinétique (chute du débit cardiaque, effet inotrope et chronotrope négatif des médiateurs)
incapacité du système cardio-vasculaire à assurer débit sanguin et transport d’oxygène adéquats
hypoperfusion tissulaire avec dysfonctionnement cellulaire puis d’organe
Grade 3 ou 4
retard thérapeutique: facteur de risque de mauvais pronostic
Prise en charge initiale
Demander de l’aide (infirmière, réanimateurs, SAMU…)
Arrêt de tout drogue en cours, y compris solutés colloïdes
Oxygène
Remplissage: Surélévation des membres inférieurs
Cristalloides
Voie veineuse de gros débit si possible
Préparer seringue d’adrénaline
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Grade 2: atteinte multiviscérale modérée
Pas de menace vitaleRassurer le patientExpansion volémiqueCrise d’asthme isolée: Ventoline, Corticoïde+/- Adrénaline: 0,01 – 0,02 mg IVD toutes les 1 à 2 minutes
signes cutanéo muqueux, hypotension (PA < 30%), tachycardie (Fc > 30%), hyperréactivité bronchique
Grade 3: atteinte multiviscéralesévère
Collapsus cardio vasculaireExpansion volémiqueAdrénaline: 0,1 – 0,2 mg IVD toutes les 1 à 2 minutes +/- perfusion adrénaline IV continu 5 – 20 µg/
minute pour la restauration de la PAMContrôle rapide des voies aériennes: ventilation contrôlée en O2 pur – intubationSi persistance de bronchospasme: Salbutamol aérosol
hypoTA ++++tachycardie/bradycardie, bronchospasme
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Grade 4: arrêt cardiaque
Appel aide +++Remplissage: surélévation MI, perfusion cristalloideMassage cardiaque: 30 MCE / 2 insufflationsAdrénaline 1 mg IVD toutes les minutes, 5 mg après le 3e bolus à 1 mg
Grade 1: signes cutanée muqueuxprurit, érythème, urticaire, angiooedème
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Grade 1: pas de menace vitale
JAMAIS D’ADRENALINEAnti H1 per os si prurit+/- corticoïde si angiooedèmeRassurer le patient
Adrénaline:
Risques:Poussée hypertensive
AVC
Trouble du rythme ventriculaire
Ischémie myocardique
Effets secondaires liés aux doses inappropriées
Etiqueter les seringues
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Cas particuliers:Hypotension réfractaire
Noradrénaline en IVSE avec un débit initial de 0,1µg/kg/min
Patient traité par bêta – bloquant:Doses d’adrénaline nécessaires peuvent être élevées
Si bradycardie: atropine
GLUCAGON 1 mg IVD ( 20 – 30µg/ kg) à renouveler toutes les 5 minutes puis 0,3 à 1 mg/h
Cas particuliers:Femme enceinte
Décubitus latéral gaucheRemplissage précoceEphédrine: effets moins délétères sur la circulation utérine, bolus de 10 mg Passer à l’adrénaline après 30 mg d’EphédrineExtraction fœtale dès la 25 SA après 5 minutes d’inefficacité circulatoire
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Cas particuliers:Absence de vvp
Adrénaline en IM : 0,3 – 0,5 mg / 5 minutesAdrénaline en intra trachéal: dose IV x3 (dans NaCl 0,9% 10 ml)
Cas particuliers:Enfant
Remplissage vasculaire: 10 – 20 ml/kg
Grade 2 et 3: Adrénaline 1µg/ kg de poids
Grade 4: arrêt circulatoireMassage cardiaque 15 MCE/ 1 insufflation (30 MCE / 2 insufflations si 1 seul sauveteur)
Adrénaline 10µg/kg +/- IVSE 0,1 µg/kg/min
Choc électrique externe: 4J/ kg
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Prise en charge secondaire:Traitement secondaire dans les formes graves: Hydrocortisone 200 mg / 6h IVSurveillance après arrêt du traitement: instabilité tensionnelle possible pendant 24 hBilan biologique pour le diagnostic: histaminémie, tryptasémie, igE spécifiques…Information écrite sur le type d’accidentConsultation allergologique 4-6 semaines après l’accident+/- prescription du kit allergique avec stylo d’adrénalineDéclarer à la Pharmacovigilance (médicaments) et à la Matériovigilance (latex…)
Diagnostic différentiel
Malaise vagal: pas de signe cutané ou respiratoire
Choc hémorragique
Choc septique: fièvre, frissons
Choc cardiogénique: facteurs de risque cardio vasculaire
Flush syndrome:Ménopause
Carcinoïde
Syndrome du restaurant: flush, céphalées, HTA, vomissements
Œdème angioneurotique
Formes psychiatriques
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L’anesthésie et hypersensibilité immédiate:
Australie: 1/10000 à 1/20000 (1993)UK: 1/3500 (1985)Espagne: 1/10263 (2002)France: 1/13000 (1996)
Mortalité liée à l’anesthésie
France : 3% (Lienhart, Anesthesiology 2006)Grande Bretagne: 9% (Harper, Anaesthesia 2009)Australia: 0-1,5% de 2000 à 2009 (Gibbs, BJA 2013)
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GERAP (Groupe des Etudes des Réactions Anaphylactiques Peranesthésiques)
Médicaments impliqués dans les réactions d’HSI à IgE:
9e enquête GERAP 2005 – 2007 (1253 cas):
CURARES = 47% (Célocurine : 61% )
rocuronium (1/ 5100) Allergie croisée : 63%suxamethonium (1/ 5500) 12 patients + aux 6 curaresvecuronium (1/ 13 000) 12 patients IgE + et Tests cut –mivacurium (1/ 38 000) 15% allergie curare / 1ère AGatracurium (1 / 53 000)cisatracurium (1 / 150 000)
1/22,451 : atracurium1/2,080 : succinylcholine Anaphylaxis (Anesthesiology 2015)
1/2,499 : rocuronium
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Les curares et HSI en France:
CURARES 47 %Parts de marché
- rocuronium 4 % 1 %- succinylcholine 61 % 12 %- atracurium 19 % 45 %- (vecuronium 5 % 5 %)- (pancuronium 3 % 3 %)- mivacurium 1 % 4 %- cis-atracurium 6% 30 %
Sensibilisation: relation entre les IgE spécifiques et la Pholcodine
O H
ON
O
Reported anaphyla
xis(per mill)
PHOconsumpt
(kg/mill)
PHO%pos
MOR%pos
SUX%pos
1970-1974
13 (1.6) 111 (13.5) nt nt nt
1975-1979
24 (2.9) 77 (9.2)
1980-1984
11 (1.3) 51 (6.1)5.8 7.2 6.8
1985-1989
4 (0.5) 9.5 (1.1)
1990-1994
0 00.9 1.8 0.9
1995-1999
0 0
1999-2004
5 (0.6) 0 0 0.5 0
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Entre 1997 et 2004 en France (1816 patients – 1851 substances):
Entre 1997 et 2004 en France (1816 patients – 1851 substances):
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Entre 1997 et 2004 en France (1816 patients – 1851 substances):
Entre 2005 -2007 (1253 patients) en France:
Anaphylaxie (786)
Non IgE médié (467)
CV hypotensioncollapsusbradycardiearrêt card.
268 (34 %)309 (40 %)7 (1 %)46 (6 %)
87 (19 %)51 (11 %)2 (0,7 %)
0/2
Bronchospasme 280 (40 %) 103 (22 %)
Signes cutanés 551 (71%) 438 (94 %)
Oedème 64 (1 % ) 21 (4%)
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Bilans biologiques:
Au moment du choc : Histoire clinique Prélèvements biologiques (pour dosage ultérieur)
. Histamine et tryptase. IgE spécifiques (ou plus tard)
Etablir l’existence d’une réaction allergique
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Bilans biologiques:
Histamine plasmatique (basophile et mastocyte)
– Demi-vie courte : prélèvement <30 mn après le choc
– Faux négatifs (catabolisme par diamine oxydase) : – femme enceinte
– CEC (héparine)
– Faux positifs : conditions de prélèvement (hémolyse)
– Stabilité 12h à 4°C
– Tube EDTA 7ml
Bilans biologiques:Tryptase plasmatique (mastocytes +++) Pic : 1-2 heuresDétectable pendant 6 heures Cinétique de prélèvements : Faux négatifs : chocs peu sévères (taux de base variable selon les sujets) Faux positifs : Mastocytose systémique (risque ++ anaphylaxie, Brockow 2008)
Prélèvements post-mortem - Ponction intra cardiaque Taux > 12 μg/l - Dégranulation des seuls mastocytes (tissulaires)
Taux > 25 μg/l - Mécanisme immunologique, le plus souvent IgE-médiée
Valeur de base à mesurer à distance de la réaction
En expertise : chymase, carboxypeptidase 3, PAF, PAF acetylhydrolase
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Bilans biologiques:
IgE spécifiques circulantes:demi-vie sérique des IgE : 2 à 3 jours
demi-vie à la surface des cellules (récepteurs) : plusieurs semaines
Probablement moins sensibles que les tests cutanés, mais simples et spécifiques
La disponibilité des tests est croissante
Méthodes immuno-enzymatiques disponibles pour un nombre encore limité de médicaments : certaines b lactamines, rocuronium, suxamethonium, insuline, mepivacaine…
IgE spécifiques : bon outil diagnostique, à associer aux tests cutanés et à l’étude des basophiles
. bonne spécificité, sensibilité à améliorer
Curares: épitope allergénique partagé
NN
H3CO
H3CO
OCH3
OCH3
OCH3
H3CO
OCH3
OCH3
O OCH
3H
3C
+ +
O O
Atracurium
Ion ammonium quaternaire: responsable de l’activité de blocage de la transmission neuro musculaire et responsable des propriétés allergéniques
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Un patient avec des joues rouges….CE N’EST PAS TOUJOURS UNE ALLERGIE!
Histaminolibération non spécifique:
Réaction au 1er contact
Pas d’anticorps
Facteurs favorisants:Atopie, allergie alimentaire, médicamenteuse
Stress
Produit hyperosmolaire
Vitesse d’injection
Hypomagnésémie
Ex:famille des benzylisoquinolones (atracurium, mivacurium), la morphine, la mépéridine, le propofol, le thiopental à forte concentration, les gélatines, les produits de contraste iodés
Un évènement cardio vasculaire ou respiratoire n’est pas forcément une allergie:
Changement de position: hypotension à la mise en position assise ou genupectorale
Changement des pressions abdominales (coelioscopie) et désamorcage
Bronchospasme: terrain asthmatique? Déplacement de la sonde d’intubation? Problème du respirateur?
Induction et effet dose - vasodilatation
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HSI et le moment de survenue:
Avant l’induction anesthésique:Antibiotiques
Produits de remplissage
Latex
Pendant l’induction anesthésique:Curares
Rarement: hypnotiques, morphiniques
HSI et le moment de survenue:
Pendant la chirurgie:Latex
Produit de remplissage
Désinfection: chlorhexidine, povidone
Produits de contraste iodés
Colorants
En post opératoires ou à la fin de la chirurgie:AINS
Morphine
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Rien ne vaut une belle feuille d’anesthésie:
Tests cutanés:
A distance d’un choc anaphylactique(4 à 6 semaines)
A distance de prise d’antihistaminique (1 semaine à 15 j pour Kétotiféne)
A distance pour corticothérapie ( 4 jours à 1 semaine si dose > 15 mg/jour)
A distance de prise d’antidépresseur tricyclique (4 jours) phénothiazines (2 semaines)
Contrôle positif (histamine – codéine) et contrôle négatif (diluant)
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Tests cutanés:
Faux positif:
Dilution de la solution trop élevée
Allergènes toxiques , irritants
Dermographisme
Contamination de la solution à tester
Test trop proche avec un tests positif
Concentration normalement non réactive des agents anesthésiques pour les tests cutanés:
Solutions commerciales Prick-tests Tests intradermiques
DCI Nom commercial
C mg/mL Dilution CM mg/mL Dilution CM µg/mL
atracurium cis-atracurium mivacurium pancuronium rocuronium suxaméthonium vécuronium
Tracrium Nimbex Mivacron Pavulon Esméron Célocurine Norcuron
10 2 2 2 10 50 4
1/10 Non dilué 1/10 Non dilué Non dilué 1/5 Non dilué
1 2 0,2 2 10 10 4
1/1000 1/100 1/1000 1/10 1/100 1/500 1/10
10 20 2 200 100 100 400
etomidate
midazolam propofol thiopental
Hypnomidate /Etomidate Lipuro Hypnovel Diprivan Nesdonal
2
5 10 25
Non dilué
Non dilué Non dilué Non dilué
2
5 10 25
1/10
1/10 1/10 1/10
200
500 1000 2500
alfentanil fentanyl morphine remifentanil sufentanil
Rapifen Fentanyl Morphine Ultiva Sufenta
0,5 0,05 10 0,05 0,005
Non dilué Non dilué 1/10 Non dilué Non dilué
0,5 0,05 1 0,05 0,005
1/10 1/10 1/1000 1/10 1/10
50 5
10 5 0,5
bupivacaïne lidocaïne mépivacaïne ropivacaïne
Marcaïne Xylocaïne Carbocaïne Naropeine
2,5 10 10 2
Non dilué Non dilué Non dilué Non dilué
2,5 10 10 2
1/10 1/10 1/10 1/10
250 1000 1000 200
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Test d’activation des basophiles:
Identification des basophiles en cytométrie en flux:Marquage CRTH2/CD3-
Marquage CCR3
Marqueur de l’activation des basophiles:Expression du CD63 (surface cellulaire) associée à la libération des médiateurs
Sur expression du CD203c
Etude de plusieurs médicaments simultanément, recherche des réactions croisées, identifier les molécules autorisées.
Curares: SE = 54-79%, SP=93-100%
L’association des tests cutanés et le TAB a une valeur prédictive négative excellente pour les curares (Leysenet al, Clinical &Experimental Allergy 2014 sur 272 patients avec 100 patients ayant une 2e anesthésie)
Stratégie en allergo anesthésie:
Anesthésie générale:Tests cutanés (Prick et IDR)
+/- TAB
Recherche de sensibilisation croisée si curare
Utilisation de curare si IDR et TAB négatif
Anesthésie locale:Tests cutanés
Réintroduction si TC négatifs
Produits de contraste iodés:Tests cutanés +/- TAB
Réintroduction
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Les anesthésiques locaux:
2 – 3% des réactions au cours des anesthésies locales
Souvent ce sont des réactions non allergiques (vagales, hyperventilation (paresthésies), toxiques (vasoconstricteurs ou toxicité des AL)
Réactions allergiques:Sulfites (AL adrénalinés)
Parabens
Latex
Absence de réactivité croisée allergique entre les familles ester et amide
RC fréquente entre esters et possible entre amides (cycle phényl)
esters : benzocaine, oxybuprocaine, tétracaine
amides : lidocaïne, prilocaïne, mépivacaïne, bupivacaïne, articaïne, ropivacaïne.
Quel patient à adresser à l’allergoanesthésiste?
Allergie prouvée à un produit susceptible d’être administré pour ou pendant l’anesthésie
Réaction d’hypersensibilité lors d’une précédente anesthésie
Signes d’allergie lors d’une exposition au latex
Enfants multiopérés (spina bifida)
Allergie avocat, banane, kiwi…
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Ne pas adresser!pas de bilan prédictif pas de bilan chez l’atopiquepas de bilan si allergie médicamenteuse à un produit qui ne sera pas utilisé
Pour les produits de contraste iodés:Asthme
Allergie aux poissons, crustacés, mollusques
Allergie aux pollens, acariens etc...
Allergie médicamenteuse
Allergie à la povidone iodée (Bétadine)
→ Bilan allergologique prédictif non justifié