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M. Khalidy 1

CHAPITRE 8 – COMMENT FEDERER LES ACTEURS DE L’ORGANISATION ?

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THEME 2 LES ORGANISATIONS ET LES ACTEURS

Question de gestion Comment fédérer les acteurs de l’organisation ?

Notions à construire

- Intérêts et attentes divergents et convergents des acteurs internes.

- Culture de l’organisation

- Style de direction

- Dynamique de groupe : leadership, cohésion, décision de groupe

- Coopération. Les modes d’action coopératifs : groupes de projet, réunions, techniques de créativité,

outils collaboratifs, réseaux sociaux d’entreprises, communautés de pratiques. - Facteurs de motivation : facteurs internes et externes. Dispositions favorisant la motivation et

l’implication dans le travail.

- Qualité de vie au travail

Indications

complémentaires

Au sein des organisations, il existe une diversité d’acteurs, notamment salariés et actionnaires,

auxquels le management doit porter une attention constante. Cette question vise à montrer que les

intérêts des acteurs sont tantôt convergents tantôt divergents et générateurs de conflits. La culture de l’organisation permet d’assurer la cohésion de ses membres autour de valeurs partagées. Elle favorise

l’implication des acteurs au sein de l’organisation. Parallèlement au(x) style(s) de direction adopté(s)

par les dirigeants, existent des styles de leadership au sein des groupes d’acteurs dans l’organisation. Le travail en groupe n’est pas, en lui-même, une garantie de plus grande efficacité ni même de

cohésion. La qualité du groupe se construit à partir de la dynamique et des relations qui s’y

développent. La coopération ne se décrète pas et n’est pas toujours spontanée ; ce sont les processus qui créent naturellement des interdépendances dans le travail. La mobilisation des ressources

humaines consiste, pour l’organisation, à rassembler ses membres afin qu’ils conjuguent leurs énergies

pour atteindre des objectifs dans une logique de performance. Mobiliser ne suffit pas, encore faut-il que chacun soit motivé. La qualité de vie au travail (amélioration des conditions de travail, prévention des

risques majeurs, des risques psychosociaux, hygiène, sécurité) est un élément déterminant du bien-être

au travail et une source de performance.

MISE EN SITUATION

La société Jean Moulin Mécanique SA fabrique et distribue des pièces mécaniques de précision (vis,

écrous, rotules…) en matière plastique et métallique. La clientèle est principalement composée de

professionnels.

Mme Ilona dirige cette PME de 25 salariés. Elle est à l’écoute de ses collaborateurs. Une fois les

décisions stratégiques prises, elle compte sur les salariés pour les mettre en œuvre.

La production de l’entreprise est décomposée en :

- Activité destinée aux équipementiers automobiles (en crise, du fait du ralentissement du

marché des véhicules fonctionnant au carburant, face aux véhicules électriques en plein

développement)

- Activité destinée à l’industrie aéronautique (encore à ses débuts, mais en développement avec

l’arrivée de nouvelles nations capables de se doter de compagnies aériennes)

- Autres activités pour des clients professionnels variés (distributeurs spécialisés tels que Brico-

Dépôt, Castorama, qui ne souffre d’aucun ralentissement économique…).

Les deux premières activités sont donc incertaines, ce qui inquiète les salariés. Afin de renforcer la

cohésion du groupe, la direction générale souhaite développer la culture d’entreprise de Jean Moulin

Mécanique SA. En effet, fédérer les acteurs internes de l’organisation autour de valeurs communes

permettrait de traverser cette période difficile.

https://youtu.be/5YytzFQDHrA

Travail à faire :

1. Identifiez les composantes de la culture d’entreprise ?

2. Peut-on retrouver la même culture d’entreprise dans plusieurs

entreprises ?

3. Démontrez l’utilité de la culture d’entreprise pour Jean Moulin

Mécaniques SA ?

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MISSION 1 – DIVERGENCE ET CONVERGENCE D’INTERETS DANS LES

ORGANISATIONS

Contexte : La situation économique et sociale de Jean Moulin Mécanique SA est difficile. Les

parties prenantes internes sont sous tension.

Annexe 1 – La théorie des parties prenantes de Freeman

https://youtu.be/Eklt710Zb4U

Annexe 2 – les attentes de quelques parties prenantes

Annexe 3–Extrait de l’entretien entre la direction générale et les représentants du personnel

[…]

Mme Ilona : « je comprends que vous soyez inquiets par la situation économique dans les domaines

d’activité « équipementiers automobiles » et « industrie aéronautique », mais nous devons rester

mobilisés ensemble, ne pas lutter les uns contre les autres ! »

M. Ferret : « le souci, c’est que vous n’avez pas anticipé le déclin du moteur à combustion, face à

l’arrivée des voitures électriques, vous en portez la responsabilité ! Il y a des risques de licenciements

maintenant, avec la baisse des ventes dans cette activité … »

Mme Ilona : « Nous n’en sommes pas encore là ! Et nos équipes marketing et ingénierie travaillent

pour proposer de nouveaux produits aux fabricants de véhicules électriques tels que Tesla, mais la

concurrence est rude… nous travaillons tous pour assurer la pérennité de Jean Moulin Mécanique ! »

[…]

R. Edward Freeman est un philosophe. Ses travaux

s’inscrivent dans le champ de la philosophie morale et plus

précisément de l’éthique des affaires. Il se fait connaître en

1984, par son livre fondateur qui popularise l’expression

parties prenantes (stakeholder en anglais).

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Annexe 4 - Poids de la valeur ajoutée de la branche industrie manufacturière en Europe

MISSION 2 – LES STYLES DE DIRECTION ET LA DYNAMIQUE DES GROUPES DANS

LES ORGANISATIONS

Contexte : Mme Ilona a réuni le comité de direction, composé des responsables de services. Afin

de trouver de nouveaux débouchés, l’équipe doit trouver de nouvelles activités.

Annexe 5 – Extrait d’une nouvelle réunion de direction concernant le lancement d’une nouvelle

activité afin de surmonter les difficultés de l’entreprise

Mme Ilona (Pdg) : « Je vous propose d’utiliser le paperboard afin de réaliser un brain storming [remue-méninges] sur les possibilités que nous offrent les nouvelles technologies, que l’on peut marier à notre métier traditionnel, la production de pièces mécaniques en plastique ou

en métal. Je vous demanderai de prendre la parole dans l’ordre que je vous soumets, afin d’éviter la cacophonie, merci.»[…] [1 heure plus tard] Mme Ilona (Pdg) : « Bien, cette heure a été riche en idées nouvelles et originales ! Mais je dois en présélectionner une en particulier, qui

me semble-t-il, est la plus cohérente avec notre métier. Selon vous M. Théo, une innovation de rupture est en cours dans la plupart des secteurs d’activité et nous devrions la mettre à profit pour nous développer : l’impression 3D. Pouvez-vous nous en dire davantage »

M. Théo (responsable de la production) : « Comme je lis régulièrement la presse spécialisée, je dois avouer que ce qui revient souvent,

c’est cette innovation de procédé, c’est-à-dire imprimer en couches successives, un produit issu d’un cahier des charges précis et formalisé dans un logiciel de conception assistée par ordinateur, lequel est relié à une imprimante 3D. La plupart des matériaux peuvent être utilisés !

Nous avons déjà des machines qui produisent des pièces en matière plastique, que nous revendons normalement à des distributeurs

spécialisés tels que Castorama ou encore PointP… » M. Timothy (Responsable marketing) : « Nous pourrions carrément mettre en place une plateforme internet (via notre site web), qui

permettrait aux particuliers, de compléter directement le cahier des charges correspondant à leur pièce en plastique, et nous la produirons

et livrerons rapidement ! Nous allons faire du B to C, c’est-à-dire de la vente directe de produits sur mesure aux particuliers ! » M. Lukas (Directeur administratif et financier) :« C’est vrai que nous pourrons marger un peu plus sur ces articles en plastique, puisque

nous garderons pour nous la marge que se font nos distributeurs spécialisés ! Il faudrait que l’on fasse un chiffrage des investissements

nécessaires pour en déterminer la viabilité économique : le coût de deux ou trois imprimantes 3D, le coût d’une plateforme internet … » Mme Ilona (Pdg) : « Bien, je vous ai bien entendu, je vais clore cette réunion de consultation et je prendrais ma décision définitive sur le

lancement de l’activité Impression 3D. Pour l’instant, nous n’en parlons pas aux salariés, je prévois pour cela de réunir leurs représentants, si je décide de lancer cette nouvelle activité » […]

Annexe 6 – Typologie des styles de direction de Rensis Likert

1. Caractérisez les parties prenantes en conflit dans l’extrait

de l’annexe 3 ?

2. Discutez de l’éventuelle convergence de leurs intérêts.

3. Présentez la tendance de l’industrie dans la création de

valeur ajoutée en France ?

4. Analysez l’impact possible de cette tendance sur l’activité

de Jean Moulin Mécanique SA, qui appartient à

l’industrie manufacturière ?

Rensis Likert (1903-1981) est

un psychologue américain

connu pour son apport à la

psychométrie et à la mesure des

attitudes.

Il a aussi atteint la renommée

dans les milieux du

management pour son travail

sur les styles de direction

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5. Caractérisez le style de direction de Mme Ilona, la dirigeante de Jean Moulin Mécanique

SA. Justifiez

6. Démontrez que le comité de direction est un groupe au sens de Kurt Lewin.

7. En utilisant l’analyse de Lewin, identifiez les deux orientations / directions du comité de

direction de l’entreprise Jean Moulin Mécanique SA.

Annexe 8 – Le leadership

https://youtu.be/Ej9M-U1EiGY?t=116

MISSION 3 – LA MOTIVATION ET LA QUALITE DE VIE AU TRAVAIL DANS LES

ORGANISATIONS

Contexte : Les salariés de Jean Moulin Mécanique SA, constatent que l’activité est en phase de

ralentissement et n’ont plus beaucoup de perspectives d’avenir. Ils regrettent que la direction ne

les ai pas mis au courant sur la situation difficile de l’entreprise, ni qu’elle les ait écartés des

nouvelles orientations dans l’impression 3D. Les rémunérations satisfaisantes, offertes depuis

plusieurs années, ne semblent pas diminuer leur ressentiment !

Annexe 9 – Les facteurs d’hygiène de génèrent pas de motivation

10. Distinguez les facteurs générant de la satisfaction au travail des autres facteurs.

11. Caractérisez le salaire dans la typologie de Herzberg.

12. Finalement, devons-nous être surpris de l’attitude des salariés de Jean Moulin Mécanique

SA ? Justifiez

Annexe 7 – La dynamique de groupe selon Kurt Lewin

8. Définissez le leadership.

9. Analysez le comportement de Mme Ilona, en déduire si elle correspond

à cette définition du leadership.

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Annexe 10 – Les besoins à satisfaire selon Maslow

13. Caractérisez, le type de besoin satisfait dans la typologie de Maslow, à partir des éléments de

contexte suivants, empruntés à la situation de Jean Moulin Mécanique SA :

Salaire satisfaisant

Ne pas être mis au courant sur le projet d’activité « Impression 3D »

Les perspectives d’avenir qui semblent s’assombrir au sein de l’entreprise

Contexte : Mme Ilona, PDG de Jean Moulin Mécanique, réfléchit à l’amélioration matérielle des

conditions de travail du futur atelier qui sera dédié à l’activité « Impression 3D ». Elle a sollicité

l’ARACT Auvergne-Rhône-Alpes pour l’aider à réaliser cet objectif.

Annexe 11 – La Qualité de vie au travail

Annexe 12 - Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail (ARACT)

Association gérée par les partenaires sociaux régionaux et

membre du réseau Anact-Aract, l’Aract Auvergne-Rhône-

Alpes (Association régionale pour l’amélioration des

conditions de travail) aide les PME à améliorer les conditions de travail par des démarches participatives.

Faire progresser les conditions de travail, concilier la qualité

de vie au travail et la performance, mieux prendre en compte

les femmes et les hommes au travail… Ce sont des objectifs

en soi ! Ce sont aussi des leviers pour…

Fidéliser les salariés,

Développer leur engagement, lutter contre l’absentéisme,

Faciliter les projets de modernisation,

Relancer la capacité d’innovation interne,

Et gagner en performance globale !

https://auvergnerhonealpes.aract.fr/laract

14. Définissez la qualité de vie au travail

15. Caractérisez, en utilisant la typologie de Herzberg, les effets attendus de cet objectif

d’amélioration des conditions de travail.

16. Selon vous, le fait que la direction de Jean Moulin Mécanique souhaite réellement améliorer

la qualité de vie au travail n’aura aucune incidence sur la motivation des salariés ? Argumentez.

Abraham Harold

Maslow (1908-1970) est

un psychologue américain

connu pour son

explication de

la motivation par

la hiérarchie des besoins

humains, souvent

représentée par la suite

sous la forme d'une

pyramide.

Fac

teurs

de

moti

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d’h

yg

iène

La notion de qualité de vie au travail (QVT) correspond à un

sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et

individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de

l’entreprise, l’intérêt au travail, les conditions de travail, le

sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de

responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun,

une reconnaissance et une valorisation du travail effectué.

https://www.editions-tissot.fr/droit-travail/

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MISSION 4 – LA COLLABORATION ET LA COOPERATION DANS LES

ORGANISATIONS

Contexte : Les travaux avec l’ARACT Auvergne-Rhône-Alpes ont été très fructueux. Mme Ilona

est maintenant convaincue qu’il faut associer davantage les salariés dans la prise de décision,

afin de renforcer leur motivation. En effet, elle considère que des salariés davantage conscients

des difficultés de l’entreprise dans son ensemble, et non plus seulement attentifs aux seules

routines liées à leur service ou équipe de travail, seront davantage coopératifs, ce qui permettra

sans doute de mieux affronter la période que traverse l’entreprise.

Annexe 13 – Les conflits dans les organisations

17. Présentez l’apport de Mary Follett concernant les conflits dans les organisations.

Annexe 14 – Collaborer ou coopérer dans les organisations ?

Contexte : L’entreprise Jean Moulin Mécanique SA souhaite mettre en place des outils de

travail collaboratif afin de faciliter le travail des salariés. L’entreprise utilise notamment la suite

Office de Microsoft 365 et souhaite l’intégrer dans les outils de travail collaboratif.

Annexe 15 – Quelques outils de travail collaboratif

Google Drive est spécialisé dans le stockage, le partage et l'édition de fichiers

dans le cloud. Doté d'une interface extrêmement simplifiée permettant une

navigation fluide, Google Drive est très facile d'utilisation et possède une

capacité de stockage conséquente […]

Pionnier de la sauvegarde en ligne automatique, Dropbox propose des

fonctionnalités similaires à Google Drive, la création et l'édition de documents

s'effectuant notamment via Dropbox Paper. […]

Microsoft Teams est une application de communication interne. Elle permet

à la fois de :

Envoyer des messages rapides en discussion instantanée, concurrençant

ainsi le mail.

Organiser des visioconférences.

Partager des documents grâce à SharePoint.

Prendre des notes avec OneNote. Intégré dans Office 365.

Coéditer simultanément des documents sur Word ou Excel.

D’utiliser les fonctionnalités de OneDrive […]

Trello est un outil de gestion de projet en ligne inspiré de la méthode

Kanban de Toyota. Il se présente sous forme de tableaux de bord, pour

chaque projet, eux-mêmes constitués de listes divisées en cartes. Le tableau de

bord peut être collaboratif, partagé par l'ensemble des membres de l’équipe

projet, ou individuel, pour gérer ses propres tâches au sein d'un projet. […]

Slack est un outil collaboratif visant à rendre la collaboration en ligne aussi

aisée et efficace que si elle avait lieu en face à face. Véritable espace de travail

collaboratif, Slack permet d'envoyer des messages, de partager des fichiers et

de passer des appels vocaux et vidéos avec des collaborateurs partageant le

même canal de conversation. […]

https://blog.hubspot.fr/

21. Présentez quelques avantages liés aux outils de travail collaboratif.

Annexe 16 – Teams, la plateforme collaborative de Microsoft

Mary Parker Follett (1868-

1933) était une

conseillère en management et

pionnière de la théorie des

organisations du point

de vue des ressources humaines

https://youtu.be/0E51cDPdLAY

18. Proposez une définition de la collaboration. Illustrez avec un exemple

lié à Jean Moulin Mécanique.

19. Définissez la coopération. Illustrez votre propos avec notre entreprise

Jean Moulin Mécanique.

20. Mettez en relation ces deux concepts.

https://youtu.be/aw92RyKKmM8

22. Listez les principales fonctionnalités de la plateforme collaborative

Teams.

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APPLICATIONS POUR CONSOLIDER LES NOTIONS

APPLICATION 1 – TESTER SES CONNAISSANCES - KAHOOT

Cocher la (ou les) bonne(s) réponses

1. Parmi les affirmations ci-dessous concernant les éléments de la culture d’entreprise, l’une

est fausse, laquelle ? :

La culture contient des éléments liés aux valeurs

La culture contient des éléments liés aux rites et rituels

La culture contient des éléments liés aux systèmes d’information

La culture contient des éléments liés aux symboles et aux mythes

2. Parmi les affirmations ci-dessous concernant les parties prenantes, l’une est fausse,

laquelle ? :

Les syndicats représentent les intérêts des dirigeants de l’entreprise

Les actionnaires habituels sont principalement rémunérés grâce aux dividendes

En principe, les salariés préfèrent une rémunération convenable à une distribution élevée des

dividendes

3. Parmi les affirmations ci-dessous concernant les styles de direction, l’une est fausse,

laquelle ? :

Le style participatif centralise la prise de décision par les dirigeants

Le style autoritaire ne laisse pas de liberté d’action aux salariés

Le style paternaliste accorde rarement de la confiance aux salariés

4. Parmi les affirmations ci-dessous concernant les besoins, l’une est fausse, laquelle ? :

Satisfaire les besoins de sécurité relève des facteurs d’hygiène

Satisfaire les besoins d’épanouissement relève des facteurs de motivation

Satisfaire les besoins d’estime relève des facteurs d'hygiène

5. La coopération est plus ambitieuse que la collaboration dans les organisations :

C’est vrai

C’est faux

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APPLICATION 2 – ANALYSER UNE SITUATION D’ENTREPRISE – LE CAS BLABLACAR

Travail à faire (à partir des annexes ci-dessus) :

1. Caractérisez la culture d’entreprise de Blablacar (valeurs, mythes, rituels et symboles

notamment).

2. Expliquez comment cette culture permet de renforcer la cohésion des membres du groupe

Blablacar.

3. Présentez le style de direction de Blablacar.

https://youtu.be/FBG26zeNesU