Bases de la réusssite en élevage de reproducteurs chair

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Les Bases de la Réussite en Elevage de Reproducteurs Chair Dakar 19 avril 2011 JFH

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Les Bases de la Réussite en Elevage de Reproducteurs Chair

Dakar

19 avril 2011

JFH

2 2

DETERMINANTS GENERAUX DE LA PERFORMANCE D’ELEVAGE

ELEVEUR

•Disponibilité

•Compétence

•Maîtrise des

technologies

•Motivation (s)

ELEVAGE

•Structure de bilan

•Structure

•Conception

•Automatisation

•Antécédents

ENVIRONNEMENT

SANITAIRE

•Concentration locale

•Contexte local

POUSSIN

•Qualité génétique

•Qualité

technologique

•Qualité sanitaire

ALIMENT

•Equilibre et

concentration

•Taille particules

•Présentation

SUIVI TECHNIQUE

•Disponibilité

•Compétence

•Pédagogie

•Moyens

ORGANISATION

DE PRODUCTION

•Planification

•Contrat

PERFORMANCE

D’ELEVAGE

3 3

Objectifs à atteindre en élevage

Quelle que soit la souche, les objectifs suivants sont à atteindre :

Une croissance, régulière avec un poids optimal à l’entrée en ponte.

Une homogénéité la meilleure possible.

Une consommation alimentaire bien programmée et adaptée.

Un sujet sain, bien immunisé contre les maladies à craindre en période de

production.

Une maturité sexuelle adaptée à la souche.

Un sujet vigoureux en parfaite forme physique à l’entrée en ponte.

Une très bonne ossature – un bon développement musculaire – de bons

aplombs.

Une absence de graisse.

Un plumage lisse, homogène et brillant – l’œil vif et bien rond – bec bien jaune

La crête et les barbillons suffisamment bien développés et colorés.

Les os pelviens souples mais non encore écartés.

Un prix de revient maîtrisé.

4 4

Facteurs de réussite des Objectifs fixés

REPRODUCTEURS

BATIMENT

ALIMENTATION

PERSONNEL

PROPHYLAXIE TECHNIQUES

D’ELEVAGE

5 5

LES REPRODUCTEURS

Potentiel

génétique Statuts sanitaire

et immunitaire

Qualité à l’entrée

en ponte

Mode de

reproduction

Homogénéité – conformation

– aplombs - épointage

Concordance de maturité

sexuelle entre les deux sexes

6 6

LE BATIMENT

Type de bâtiment Implantation

Orientation

Conception

Système de

ventilation

Isolation et étanchéité

Protection

sanitaire

Aménagement

extérieur

Aménagement

intérieur

7 7

ALIMENTATION

ALIMENT

EAU

Qualité des

matières

premières

Programme

alimentaire

Maîtrise de la

croissance et des

poids

Qualité et

contrôle des

consommations

Présentation

de l’aliment Formulation

8 8

LA PROPHYLAXIE

SANITAIRE

MEDICALE

Programme de

vaccination

Suivi et

contrôles

sanitaires

Adhésion à la

charte sanitaire

Protocole de

décontamination Barrières sanitaires

9 9

LE PERSONNEL

Motivation et sens du

contact

Compétences et

méthodes de travail

Disponibilité

Capacité à gérer

son outil de travail

Sens de

l’observation

Sens de

l’hygiène

Respect du bien-être

et de l’environnement

Sens du contrôle –

relevés et

enregistrements

10 10

TECHNIQUES D’ELEVAGE

Densité Litière Lumière et maturité sexuelle

Qualité de

l’air

Croissance -

homogénéité

Relevés et

enregistrements

Vaccinations et surveillance

sanitaire

11 11

Préparation du bâtiment

Décontamination du bâtiment et du matériel d’élevage.

Vide sanitaire d’au moins 15 jours avec dératisation.

Contrôle du bon fonctionnement de tout le matériel.

Mise en place de la litière bien légalisée sur un sol bien sec.

Mise en place du matériel de démarrage.

Désinfection complémentaire par Thermonébulisation .

Contrôle de décontamination – recherche salmonelles.

Mise en chauffe du bâtiment 30 à 48 heures avant l’arrivée des reproducteurs.

Mise en place de l’abreuvement et de l’aliment.

Mise en place des documents d’élevage.

Un bon démarrage des 3 ères semaines de vie s’avère un

facteur déterminant pour la réussite d’une bande.

12 12

Intérêt du temps de chauffage / confort de

l’animal

Temps

de

préchauffage

Températures de

la litière à la

mise en place

% Pattes froides

à + 3h00

% Jabot plein

à + 3h00

2 heures

18°C

90%

65%

18 heures

26°C

2%

96%

Mortalité à 7 jours = + 46 %

Avril 1989 - S.E.A. Ploufragan

13 13

Fournir aux poussins la chaleur, la ventilation, l’accès à l’alimentation et à l’eau appropriés pour obtenir la meilleure croissance.

Bien répondre

aux exigences et aux

équipements

Litière

Aliment

Abreuvement

Densité

Perchoirs

14 14

Exigences et équipement des futurs reproducteurs

Rôles : Isoler les sujets du contact avec le sol

Absorber une fraction importante de l’humidité des déjections

Assurer une source de chaleur et de confort

Eviter les lésions sur les animaux

Maintenir les plumages propres

Contribuer au bien-être des oiseaux et à l’expression de leur

potentiel génétique

Qualités d’une bonne litière : Sèche, non moisie, saine

Isolante, absorbante, propre

Souple, chaude et aérée

Constituée d’un matériau volumineux et non poussiéreux

La litière

15 15

Démarrage : 1 point d’aliment pour 50 sujets

Bien veiller à la vitesse de la distribution, au temps de

distribution et à la durée de consommation.

chaînes linéaires : 13 à 15 cm/sujet

système à assiette : 1 assiette / 15 à 20 sujets

coqs

chaîne linéaire : 15 à 20 cm/sujet

trémie suspendue : 1 trémie/10 à 12 sujets

poulettes

Elevage :

Exigences et équipement des futurs reproducteurs

Normes d’alimentation :

16 16

Démarrage : 500 sujets/radiant

Elevage : poulettes 7 à 8 voire 10-12/m2 et coqs : 4 à 5/m2

Fonction de l’équipement, du matériel d’alimentation, de la

capacité à l’éleveur à gérer son outil

Plus on charge et plus on prend de risques

Exigences et équipement des futurs reproducteurs

Densité :

17 17

Démarrage : 1 point d’abreuvement pour 80 sujets

1 pipette pour 10 sujets

poulettes : 1 abreuvoir rond suspendu pour 80 poulettes

1 pipette pour 10 sujets

coqs : 1 abreuvoir rond suspendu pour 50 – 75 coqs

Elevage

Exigences et équipement des futurs reproducteurs

Normes d’abreuvement :

18 18

Rôles

250 mètres de perchoirs pour

8000 poulettes à partir d’1 jour

Instinct naturel de la poule à se percher

Eviter le nervosisme

Inciter les poules à monter aux pondoirs et

limiter ainsi la ponte au sol

Bien-être des animaux

Soit environ 3 cm/sujet

Présence de perchoirs :

19 19

20 20

CRITERES D’APPRECIATION D’UNE LIVRAISON DE

REPRODUCTEURS

CONTROLES PHYSIQUES :

Poids et homogénéité

Pattes chaudes et bien rosées.

Ombilic bien cicatrisé, sec et propre (absence de fil, boutons noirs).

Duvet sec, long, soyeux, homogène et coloré.

Abdomen souple et non gonflé.

Vigoureux – œil bien vif, bons aplombs.

Absence de malformations (pattes, bec, yeux).

Absence de mortalité dans les caisses.

Absence de diarrhées (fonds de boîte secs).

CONTROLES SANITAIRES :

en fonction de votre plan de contrôle

21 21

Démarrage localisé : agrandir les parcs à temps

0 à 3 jours : 25 sujets/m2

4 à 6 jours : 12 sujets/m2

A partir de 7 jours : 9 sujets/m2

22 22

Températures chez les reproducteurs

Ages en

jours Températures

sous radiant

Température

Ambiante Evolution du plumage

0 à 3 33 à 31°C 25 – 27°C duvet

3 à 7 32 à 30°C 25 – 27°C duvet + début des ailes

7 à 14 30 à 28°C 25 – 27°C duvet + ailes

14 à 21 23 - 25°C ailes + dos

21 à 28 23 - 25°C ailes + dos + bréchet

28 à 35 23 - 25°C ailes + dos + bréchet + cou

+ 35 20 - 22°C emplument complet

23 23

..

Température trop élevée Température correcte

Température trop basse Courants d’air

Répartition des poussins sous les radiants

24 24

PASSER dans le bâtiment pour quoi faire ?

LE DEMARRAGE: TRAVAUX A REALISER LES 1ers JOURS

25 25

• CONTROLER l'ambiance du bâtiment :

Température-Humidité Chauffage-Ventilation

• CONTROLER la consommation d ’eau (compteur).

• ENLEVER les poussins morts, malades, faibles

• RENOUVELER l'aliment et l'eau

• NETTOYER abreuvoirs (1 fois par jour au démarrage puis 2 fois

par semaine) et mangeoires.

• ADAPTER l'éclairement.

LE DEMARRAGE: TRAVAUX A REALISER LES 1ers JOURS

26 26

Démarrage Transfert

0 jour 3 semaines

Période décisive

* Soins attentifs - rigoureux

* Normes de matériel respectées

* Transitions très progressives du matériel.

Avoir le sens de l'observation .

Conduite d’élevage

Croissance - élevage

21 semaines

27 27

Le facteur de risque en élevage le stress

28 28

LE STRESS

L’effet que produit sur un être vivant:

- toute nouveauté

- tout imprévu

- tout inattendu

Surgissant dans son environnement

29 29

FACTEURS DE RISQUES EN ELEVAGE

Souche

Age des

animaux

Surdensité Dégradation

de la litière

Dégradation

de l’ambiance

Problème

d’éclairement

Présences de :

- réservoirs

- vecteurs

Présence

d’autres

élevages Déficience

immunitaire

des animaux

Problèmes

d’alimentation

eau + aliment

Non respect

des règles

d’hygiène

stress

30 30

Ce Bonhomme

m’énerve! Il ne fait jamais la même chose

deux jours de suite!

Changement de décor journalier

31 31

de plumage ébouriffé.

de plumage sale.

de pattes sales, irritées.

de becs ouverts.

de zones inoccupées.

de l’inactivité.

de l’agressivité

Dans le bâtiment, il ne doit pas être observé :

32 32

Chaque sujet a sa limite de résistance…

1 stress, ça va

2 stress, bonjour

les dégâts !!!

33 33

MATURITE SEXUELLE ET PROGRAMME LUMINEUX

OBJECTIFS:

En élevage:

Favoriser un bon démarrage.

Limiter le nervosisme, avec toutes ses conséquences.

Maîtriser la croissance

Obtenir le poids corporel recommandé à l’entrée en ponte.

Contrôler la maturité sexuelle, c’est à dire, l’âge de l’entrée en ponte

en fonction de la souche.

34 34

PROGRAMME ALIMENTAIRE

35 35

âge

Développement harmonieux des différents tissus

Système nerveux os musclesgraisse

36 36

Le Programme alimentaire But: obtenir des animaux réguliers et homogènes.

Le programme alimentaire adopté dépendra de plusieurs facteurs:

La souche

Le sexe

L’âge

Le poids des sujets

Les caractéristiques de l’aliment

Les conditions d’élevage

et plus particulièrement la température

L’état sanitaire et les interventions

L’âge à l’entrée en ponte (maturité sexuelle)

Il est nécessaire d’éviter que

les oiseaux aient une

croissance trop rapide, sinon la

quantité de graisse abdominale

qui se déposerait serait

préjudiciable à la ponte. Il s’en

suivrait une augmentation des

coûts de production

(accroissement du prix de la

poulette, réduction du nombre

d’œufs, augmentation du taux

de mortalité par accidents de

ponte, par mort subite…)

A l’inverse, il faut éviter

également que les oiseaux

soient trop légers car les

conséquences sur la

production serait aussi

néfastes.

37 37

Avantages du rationnement alimentaire

Meilleure maîtrise du poids des animaux

Moins de dépôt de graisse, ennemi de la ponte et de la

fertilité

Meilleur état de santé du foie

Moins de mortalité

Meilleure efficacité alimentaire

Economie d’aliment

Prix de revient abaissé

Performances améliorées

38 38

Modes de rationnement

Le rationnement Quantitatif

Distribution journalière

Distribution d’1 jour sur 2

Distribution 4 jours sur 7

Distribution 5 jours sur 7 ou encore 6 jours sur 7

Objectifs

Courbe de croissance régulière conforme au standard (pas en dents de scie)

Bonne homogénéité

Absence de pathologie

Fonction du matériel d’alimentation, de la souche, du temps de

distribution (optimum 4 minutes), du temps de consommation

(objectif : 30 à 60 minutes) et du comportement des animaux à la

mangeoire.

Différentes techniques de rationnement.

39 39

Quelle que soit la technique de rationnement adoptée, il faut que tous les sujets

aient accès en même temps à la même quantité d’aliment de même qualité.

L’aviculteur prévoyant procure le confort

nécessaire à ses animaux

40 40

Exigences du rationnement alimentaire

Respect des normes d’élevage, de la densité.

Contrôle de la croissance et de l’homogénéité.

Pesées individuelles et hebdomadaires.

Bâtiment bien équipé en matériel de distribution.

Matériel adapté.

Accessibilité aux mangeoires.

Vitesse de la distribution.

Temps de consommation.

Qualité de la présentation de l’aliment.

Contrôle de la consommation d’eau.

Surveillance de la litière et des paramètres d’ambiance.

Observation et contrôle

41 41

Les animaux ont beaucoup à nous apprendre. Le temps passé

dans le bâtiment doit être considéré comme un temps productif.

42 42

Le rationnement en eau

Le rationnement alimentaire peut entraîner une augmentation de la

consommation d’eau avec toutes ses conséquences :

Une moins bonne assimilation des aliments

Des litières humides

Une augmentation des coûts

Et pour ces raisons, on-est amené à rationner en eau les poulettes et les coqs soumis à un rationnement alimentaire

A savoir que plusieurs règles sont à respecter :

La consommation d’eau correspond environ de 1,6 à 1,8 fois celle de l’aliment (fonction des souches).

Ouverture de l’eau, 1/4h avant la distribution de l’aliment

Ne jamais rationner durant les repas, que 3 à 4 heures après la distribution de l’aliment.

En programme 1j/2, 6j/7, 5j/7, 4j/7 le jour sans aliment, distribuer l’eau pendant 1 à 2 heures.

Relever tous les jours et à la même heure les

consommations d’eau et vérifier le rapport eau/aliment.

43 43

Vous constatez à la lecture de votre compteur d’eau

une consommation anormale.

1er cas : surconsommation

Présence de fuites

Gaspillage

Problèmes sanitaires

Températures élevées

Aliment riche en sel, en potassium,

magnésium

Système d’abreuvement

Présentation de l’aliment

Sous-consommation d’aliment

Composition de l’eau

2ème cas : sous-consommation

Manque d’eau

Chute de la consommation

d’aliment

Débit insuffisant

Mauvais réglage du matériel

Problèmes sanitaires

Eau inappétente

Eau trop chaude trop froide

Quelles peuvent être les causes?

44 44

Le contrôle de croissance

L’objectif principal est de s’assurer que la croissance et

l’homogénéité évoluent selon le standard que l’on s’est fixé.

Pour que les pesées soient fiables, il faut :

Les réaliser chaque semaine, et dès la première semaine. Les 4ères semaines peuvent être collectives. Par la suite, les pesées seront individuelles.

Peser un nombre suffisant d’animaux (1 – 2%)

Peser le même jour de semaine et à heure fixe.

Peser à jeun.

A l’aide d’un parc dans 2 ou 3 endroits du poulailler et peser individuellement

la totalité des sujets présents dans le parc.

Avec un matériel suffisamment précis, et adapté au poids des animaux.

Toute évolution anormale de la courbe de croissance ou de l’homogénéité doit

immédiatement alerter le salarié et le technicien.

45 45

Le résultat obtenu décide de la ration à distribuer pour la semaine

Toute déviation de la courbe de croissance optimale conduit à

l’observation des animaux et à l’analyse des résultats immédiats.

46 46

Le résultat obtenu décide de la ration à distribuer pour la semaine

Toute déviation de la courbe de croissance optimale conduit à

l’observation des animaux et à l’analyse des résultats immédiats.

47 47

Quelles peuvent être les causes d’une

chute de la croissance?

décrochage

48 48

Vous constatez une chute de la croissance

Quelles peuvent être les causes?

Problème de densité

Problème de distribution de l’aliment

Accessibilité

Vitesse de distribution

Temps de consommation

Problème alimentaire

Qualité de l’aliment

Changement d’aliment

Qualité de l’eau

Problème sanitaire

Problème d’ambiance

Comportement des animaux

Eleveur - savoir faire – autres…

49 49

Problèmes de croissance et leurs

conséquences

Poids corporel trop faible Un retard d’entrée en ponte.

Un faible poids initial des œufs.

Une augmentation de l’incidence

des œufs fragiles.

Une réduction de la fertilité.

Une augmentation de la couvaison.

Une perte de l’homogénéité et de la

maturité sexuelle. Poids corporel trop élevé

Une entrée en ponte précoce.

Une augmentation du poids des

œufs et des double jaune.

Une réduction du pic de ponte.

Une réduction du nombre d’œufs.

Une réduction de la fertilité.

Une réduction de l’éclosabilité.

Une augmentation des besoins

alimentaires.

Une augmentation de la mortalité.

50 50

Le contrôle de l’homogénéité

Lorsque l’homogénéité n’est pas suffisante, il est nécessaire de séparer les plus

légers et les plus lourds dans des parcs. L’essentiel est la prévention. Les

éléments suivants jouent un rôle important dans l’obtention et le maintien de

l’homogénéité.

L’état sanitaire du troupeau.

L’accès à l’eau et à l’aliment.

Le chauffage – les conditions d’ambiance.

Le rationnement en eau.

Le temps de distribution de l’aliment – en moins de 4 - 5 minutes.

Le temps de consommation – 30 à 60 minutes.

En cas de problème d’hétérogénéité être réactif et prendre toutes les

dispositions nécessaires pour y remédier. Il y va de l’avenir du lot.

51 51

Elevage des coqs

Objectifs :

Mâles bien conformés avec le bon poids

Bonne correspondance de maturité sexuelle avec les femelles

Bon comportement

Nombre suffisant pour permettre d’avoir, une fois les tris

effectués, 9 à 10 bons coqs pour 100 femelles à 24 semaines

52 52

Critères de tri des coqs

Erreurs de sexage

Poids

Conformation – dos large-plat-musclé

Aplombs – articulations – démarche

Doigts bien formés, bien droits

Œil vif

Bon emplument

Crête – barbillons

Bec bien formé

Pas trop agressif

IDENTIFICATIONS

53 53

Un mâle qui arrive à maturité sans trop de

graisse avec une faible carcasse mais une

bonne musculature aura une fécondité

meilleure et une éclosabilité supérieure à ses

frères.

Chaque coq ayant en moyenne pour

descendance : 1500 poussins, la qualité

de cette progéniture dépendra en partie

du bon choix des mâles reproducteurs.

54 54

L’abreuvement

55 55

Rôles essentiels de l’eau

Rapport eau aliment 1,8

Support de vaccins,

d’éléments nutritifs et

de médicaments

Utilisation pour la décontamination

Indicateur de l’état

sanitaire du lot

56 56

57 57

Comment nettoyer les canalisations?

Nettoyer avec une base forte pour éliminer les dépôts

organiques

Rincer

Nettoyer avec un acide fort pour éliminer les dépôts

minéraux

Rincer

Désinfecter

Au vide sanitaire

Pour éliminer les dépôts qui se sont formés en cours

d’élevage, il faut dans un circuit bouclé :

58 58

Le transfert en bâtiment production

L’âge : en général 3 - 4 semaines avant l’entrée en ponte (5% de ponte).

Application des mesures d’hygiène rigoureuses (personnel, véhicules à air

filtré, matériel)

Ne transférer que des animaux aptes à la reproduction

Précautions dans les manipulations. Limiter le stress

Respect de la mise à jeun

Le transfert est une opération délicate, à risques, et auquel il faut

apporter beaucoup de soins, d’autant plus que les reproducteurs,

proches de leur maturité sexuelle, se trouvent à un stade

physiologique fragile.

59 59

• Entrée en ponte groupée

• Pic de ponte optimal

• Bonne persistance de la courbe de ponte

• Calibre d’œuf homogène

• Alimentation plus facile à gérer

• Meilleure viabilité

• Facilité de travail pour le personnel

• Meilleures fertilité et éclosabilité

• Meilleure qualité de poussins

• Clientèle satisfaite

Conséquences d’un bon programme en élevage

sur les performances en période de production.

60 60

Plus on observe les sujets et plus on réalise ce

que l’on doit faire pour obtenir de bons résultats.

Il s’intéresse

vraiment à

notre petite vie

61 61

S’informer des

résultats du lot en

production

Les premières semaines de

ponte dépendent en partie

de la qualité des

reproducteurs au transfert.

62 62

Après la théorie la pratique car les deux sont complémentaires et indissociables.

Merci de votre attention

JF HAMON

63 63

Information available on the regularly updated Hubbard website

64 64

Disclaimer

The performance data contained in this document was obtained from results and experience from our own

research flocks and flocks of our customers. In no way does the data contained in this document constitute a warranty

or guarantee of the same performance under different conditions of nutrition, density or physical or biological environment. In particular (but without limitation of the foregoing) we do not grant any warranties regarding the

fitness for purpose, performance, use, nature or quality of the flocks. HUBBARD makes no representation as to the accuracy or completeness of the information contained in

this document.