Paroisse Saint-Martin de Palaiseau : 5, impasse de la Terrasse �01.60.14.01.83 – � 01.69.31.27.85 stmartinpalaiseau@wanadoo.fr - http://secteurpalaiseau.free.fr

Paroisse Saint-Michel de Palaiseau : 45, rue de l’Effort Mutuel �01.60.14.11.44

SOMMAIRE

Page 1

Edito.

Page 2 A.G de St-Martin.

Page 3

Pèlerinage à Chartres.

Page 4

Le linceul de Turin est-il authentique ? Au delà de l’expo...

Page 5 et 6

La messe chrismale.

Page 6

Deux nouveaux baptisés

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Dire Lire Brèves. Page 8

L’aumônerie et le Rabbin. Page 9

Mois de Mai, mois de Marie. Prière. Page 10

Calendrier.

Il y a dans ce nouveau numéro de Paroisses’Infos quelques témoignages permettant de revenir sur les grands moments de vie en Eglise autour de Pâques. Semaine Sainte, Messe chrismale, exposition sur le Linceul de Turin, baptêmes de la Vigile Pascale, pèlerinage à Chartres, assemblée générale de la paroisse, etc. Et ce n’est là que la partie visible de l’iceberg : combien plus l’action du Seigneur s’est-elle déployée dans les cœurs dans des confessions, inspirations, décisions, et autres situations qui ont connu un heureux dénouement tous ces Saints Jours ? La liturgie nous conduit maintenant, durant les cinquante jours du Temps Pascal, à redécouvrir telle ou telle facette de la grâce baptismale. Comme j’aimerai que nous puissions tous nous édifier mutuellement par le témoignage de foi, d’espérance et d’amour que nous pourrions partager, pourvu que nous ayons le regard bienveillant et le cœur ouvert à ce que l’autre – mon frère, ma sœur en Christ par le baptême – pourrait dire de son expérience chrétienne. Être chrétien, c’est toujours être en relation. On n’imagine pas qu’un solitaire sur son île déserte puisse devenir un authentique chrétien tant qu’il reste seul. Il lui faut recevoir d’un autre un témoignage, et qu’il ait accès à une bible, et qu’il puisse à son tour transmettre sa découverte et son expérience d’une relation à Dieu. On ne se baptise pas soi-même. Pourtant, tous les baptisés se sentent-ils vraiment concernés par le témoignage à donner de leur foi ? J’admets volontiers que certains le fassent spontanément, et sans s’en rendre compte. C’est peut-être mieux pour leur sainteté personnelle. Bien d’autres le font humblement, attentifs aux circonstances favorables. Et d’autres

«««« Baptisé pour témoignerBaptisé pour témoignerBaptisé pour témoignerBaptisé pour témoigner »»»»

encore le font à temps et à contretemps, (je ne dis pas à tort et à travers !), mais plutôt par appel particulier de Dieu, dans cette grâce spéciale du martyre. Heureux sont-ils ! Mais certains ne sont-ils pas trop timorés ? La paroisse devrait être une école du témoignage, pour que déjà entre nous, dans la confiance, puissent s’exercer ceux qui pourront ensuite proposer l’évangile autour d’eux, plus loin. Je lisais récemment que « dans notre société au long passé chrétien, la paroisse demeure l’origine et la fin de la Mission ». C’est à partir de communautés ferventes où se vit authentiquement l’évangile que partent des missionnaires. En effet, c’est vers des assemblées accueillantes et attirantes que reviennent ceux et celles qui ont accueilli leur message. « Les attitudes les plus traditionnelles demeurent d’actualité : d’abord l’attention aux autres et l’accueil bienveillant, la mission comprise comme une manifestation publique de la foi – louange et prières gratuites dans la cité, la transmission de la culture religieuse et de la spiritualité à travers le catéchisme, l’adoration eucharistique, le soin des plus faibles. La nouvelle diversité de la société et des cultures qui y cohabitent, exige une charité toujours plus inventive et délicate ». Il me revient ce refrain : Peuple de lumière, baptisé pour témoigner, Peuple d’Évangile, appelé pour annoncer

Les merveilles de Dieu pour tous les vivants.

Vous êtes l’Évangile pour vos frères ! « Osons parler de Dieu ! » nous lançait notre évêque à la Pentecôte au grand Dôme de Villebon.

Père Jean-Christophe LEURENT

Les messes de semaine

sont désormais

célébrées à l’église.

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Assemblée générale de la Paroisse

Saint- Martin

Le mercredi 2 avril dernier s’est tenue l’assemblée générale de la paroisse, en présence d’un petit nombre de personnes (nous n’étions que 23 !), ce qui a permis pourtant de bons échanges constructifs avec l’équipe animatrice qui voulait rendre compte de son action depuis la dernière AG (10/02/2007), et faire état de la consultation des fidèles présents au cours de la messe du dimanche précédent (30 mars).

L’information donnée aux annonces ou dans le numéro précédent de Paroisses-Infos pouvait, pensait-on à l’EA, tenir lieu d’invitation, mais visiblement, malgré le « sondage » à la messe, bien des paroissiens ne se sont pas déplacés 3 jours après. J’ai donc donné quelque éléments de nos travaux au cours de l’homélie du dimanche suivant (6 avril).

Après un temps de prière à partir du texte de la profession de foi de Pierre (Mt 16) en écho à la consultation des paroissiens (« D’après les gens, qui est le fils de l’homme ? Pour vous, qui suis-je ? »), nous avons abordé quelques domaines de la vie paroissiale : convivialité, liturgie, catéchèse, vie en secteur, prière, visibilité, communication. Les participants étaient invités par l’EA à se souvenir de ce qui a pu se vivre, et on complétait, si nécessaire, par les expressions de paroissiens grâce au questionnaire, et par ce qui a été relu dans les comptes-rendus de réunion de l’EA depuis 1 an. Cela a permis de prendre un peu plus la mesure de l’activité paroissiale, et de retenir tel ou tel point d’attention. J’en citerai dans ces lignes quelques-uns :

Dans nos assemblées du dimanche, les présentations de tel ou tel mouvement ou service sont appréciées, et permettent de mieux nous connaître. Il y a toujours, du fait d’un nombre important de fidèles, le risque de laisser certains participants isolés dans l’anonymat. Veillons à nous saluer davantage, à nous sourire, à aller vers les autres ! La diversité de style des animations liturgiques, et la beauté de la décoration sont aussi saluées (servants d’autel, fleurs). On retiendra les souhaits exprimés d’organiser une garderie pour les petits enfants (parfois un peu bruyants), de soigner et faciliter l’affichage et la communication (courriel, site Internet, municipalité), de développer des réseaux de proximité par quartiers, et d’appeler des paroissiens à rejoindre tel ou tel service où il y a des successions à trouver : liturgie, catéchèse, bricolage, pour n’en citer que quelques-uns.

Je retiens enfin que les liens avec les autres paroisses ou services du secteur nous ouvrent à d’autres réalités de la vie en Eglise, ce que Paroisses-Infos notamment permet de connaître : l’aumônerie par exemple. L’organisation en secteur, qui suppose un gros travail de communication, permet de mutualiser nos efforts et de stimuler une certaine créativité.

Je pense qu’une nouvelle réunion de l’EA, avec tous les mouvements et services de la paroisse, sera programmée avant l’été, si possible en présence de mon successeur, pour nous présenter à lui et organiser la rentrée prochaine. D’ici là, je verrai en équipe animatrice si (et comment) nous donnerons plus de développement à tout ce qui a été exprimé dans ces deux occasions d’échange avec les paroissiens. Je remercie Josette, Elizabeth, Sergio et Dominique pour le gros travail de dépouillement et de synthèse accompli pour cette consultation et cette assemblée générale.

Père Jean-Christophe LEURENT

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Nous sommes partis vers 9 heures… le plus grand nombre en car, quelques uns en voiture….Le car a déposé les marcheurs à VOISE… Nous étions une petite trentaine à rejoindre CHANDRES à pied, distant de 9 Km, par des chemins le plus souvent boueux… la veille, la pluie était tombée en abondance… Les haltes de réflexion proposées par le Père Jean-Christophe, la prière, les échanges ont permis aux marcheurs de vivre de façon intense ces deux heures. Nous avons repris le car jusqu’à Chartres où nous avons retrouvé les autres pèlerins pour le déjeuner fraternel avant de nous rendre à l’église St-Aignan pour la messe concélébrée par les prêtres responsables de nos trois sous-secteurs. A 15 heures 30, rejoints par une dizaine de paroissiens qui n’avaient pu se libérer plus tôt, nous nous séparons en 2 groupes pour la visite guidée de la cathédrale… Dans un premier temps, en raison de la célébration d’un mariage, nous admirons l’extérieur avec : - la façade ouest qui date du 12ème siècle… son portail royal, ses grandes baies, son clocher sud (haut de 103 m) et la partie basse du clocher nord. - la façade nord avec son portail de l’alliance et ses nombreuses statues qui permettent de mesurer la finesse du travail des sculpteurs. Quand nous pouvons pénétrer à l’intérieur de la cathédrale nous sommes impressionnés par sa taille (130,20 m de long, nef large de 16,40 m et haute de 37,50 m, chœur et transept large de 64 m). La guide, remarquable par sa connaissance de l’art sacré, par son érudition de l’ancien et du nouveau testament, par sa foi nous fait découvrir cette cathédrale de lumière : • la rosace qui date du 13ème siècle. • le labyrinthe, situé au milieu de la nef, très visible en raison de la dureté de la pierre

Pèlerinage du secteur à Chartres le 29 mars

utilisée pour la construction, a un diamètre de 12,88 mètres et un parcours de 261 mètres. Au moyen-âge, les pèlerins le parcouraient en priant, comme un chemin de pèlerinage. Il n’a jamais eu à subir de restauration.

• les vitraux, étincelants de couleur… Ils constituent la plus riche collection d’Europe par leur ancienneté et leur beauté. Ils illustrent la Bible, la vie de la Vierge Marie (représentée plus de 175 fois), des saints et portent la marque de leurs donateurs, blasons pour les grandes familles ou scènes de métiers pour les corporations. La couleur bleue est dominante avec un bleu lumineux pour le vitrail de Notre-Dame de la Belle Verrière qui a été obtenu en colorant la pâte de verre avec de l’oxyde de cobalt.

• la célèbre relique le ‘’Voile de la Vierge‘’ exposé dans la chapelle Saint-Cœur de Marie.

• Et bien d’autres richesses, qui font de cette cathédrale un ‘’catéchisme en images, une bible de pierre…’’.

Nous reprenons le car pour rentrer à Palaiseau, éblouis, heureux de cette journée, malgré un peu de fatigue.

Jeannine et Michel Descaves

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Le linceul de Turin est-il authentique ?

Après avoir entendu Mr Bara, chercheur au CNRS, et visité l’exposition présentée à Saint-Martin à l’initiative des élèves du lycée professionnel Saint-Eugène pendant la semaine sainte, il est bien difficile d’être scientifiquement totalement convaincu de l’authenticité du linceul (et non pas suaire qui ne concerne que la face).

Quelques arguments pour.

Les tenants de l’authenticité montrent que ce ne peut être l’œuvre d’un faussaire du moyen-âge. Ils citent, entre autres, la présence de marques laissées par un casque d’épines plutôt que par une couronne comme le représentaient les tableaux de l’époque, de marques de flagellation qui ne pourraient provenir que d’un fouet romain, de clous enfoncés dans les poignets (et non pas de cordes). Les traces de meurtrissures relevées sur le haut du dos sont dues au transport de la poutre transversale de la croix. Des analyses ont révélé la présence de pollens que l’on ne trouve qu’en Palestine, de lettres grecques et romaines prouvant ainsi l’ancienneté du drap de lin. Et ils avancent un phénomène encore inexpliqué : le négatif de la photo prise en 1898 fait apparaître une image positive, démontrant ainsi que le linceul n’est pas une peinture, mais une empreinte. Par ailleurs, aucune fibre pourtant collée au corps par le sang n’a été déchirée ni distendue. Quelques arguments contre.

Les tenants de l’opinion adverse bien sûr réfutent la plupart de ces arguments. Il faut dire qu’ils ont pour eux la datation au carbone 14 faite par trois laboratoires indépendants (Arizona, Oxford et Zurich) en 1988 : le linceul serait composé de lin récolté entre 1260 et 1390. Cette datation a depuis lors été critiquée, mais pas très sérieusement. Pour ce qui est de l’origine, une chose est sûre : il est connu depuis 1357 où il apparaît à Lirey (Champagne). Il est ensuite vendu au château de Chambéry (où il subit un incendie en 1532), puis transféré à Turin, nouvelle capitale des ducs de Savoie. Son identification avec le mandylion d’Edesse (qui est un suaire) n’est pas soutenable. Mr Bara, si j’ai bien compris, tiendrait le linceul pour authentique. Comme le rappelle Mgr Saldarini, évêque de Turin « Le suaire n’est pas une donnée de foi. Chacun est libre de se former une opinion … La bonne attitude est de ne pas s’arrêter à l’image gravée sur la toile, mais de remonter par l’esprit et par le cœur vers la Personne que l’image rappelle ».

Bernard COUTIN

PI a tenu à mieux connaître les « coulisses » de l’expo. Nous avons donc rencontré au lycée Saint-Eugène, Mr Martin, le Directeur, et plus particuliè-rement Mmes Nguyen et Montillet, les professeurs qui ont encadré quotidiennement ce projet. En ces temps où le culte des reliques fait parfois sourire, des paroissiens se sont étonnés de l’exposition sur le linceul de Turin. Quelle est l’origine du projet ? C’est un projet qui a été mené par les élèves de terminale BEP (comptabilité) du lycée Saint-Eugène, dans le cadre obligatoire de leur Projet Pluridisciplinaire à Caractère Professionnel (PPCP). Le thème initial qui était le tourisme industriel à Turin, avec ses grands sites, a été élargi. Le sujet du linceul intriguait et intéressait les élèves, car il allie la science à la foi, deux domaines qui leur semblent généralement distincts. C’est une exposition qui fait le tour du monde. Des contacts avaient été pris avec Mgr Zambelli de Lisieux, puis avec Mme Garde de l’association La Sainte Face, qui parmi toutes ses activités a choisi d’accompagner les élèves et dont la foi et la conviction ne sont pas étrangères au succès de l’expo. Quel a été le rôle « technique » des élèves ? Ils ont assumé entièrement la partie « technique » de l’exposition. Outre l’installation proprement dite dans l’église, le choix et l’impression des textes bibliques et commentaires, ils ont eux-mêmes établi les plannings des permanences (du lundi au vendredi) et assuré les visites pilotées pour toutes les classes du lycée. Ils n’ont pas oublié le financement (entre autres le chauffage de l’église) en réalisant différentes actions dans et hors du lycée. Et le vendredi saint, a eu lieu une rencontre « bol de riz ». Ils tiennent aussi à récompenser

tous ceux qui ont participé au succès de leur projet. Au cours de la réalisation de ce projet, avez-vous senti une dimension« spirituelle » ? Certains au début étaient réticents, les jeunes craignent souvent d’être embrigadés, d’entrer dans des sectes ou même dans des églises. Mais avec l’avancement du projet et le succès de l’expo, nous avons noté une véritable évolution, une grande soif de spiritualité. Toutes les visites guidées des différentes classes (45 minutes) étaient suivies d’un quart d’heure de méditation et de prière, animées par deux jeunes filles venant de la direction diocésaine (les « deux petites Marie »). Les élèves qui le désiraient ont rédigé anonymement des intentions de prière. Une douzaine de jeunes ont également eu un entretien avec le Père Jean-Christophe. Et vous, comment avez-vous vécu ce projet ? Nous sommes ravies que ce projet ait permis aux jeunes d’exprimer des qualités d’altruisme, et de sérieux dans l’organisation des différents plannings. Nous avons également ressenti la fierté et le plaisir des élèves de voir leur travail « officiellement » reconnu par des dizaines et des dizaines de personnes extérieures au milieu scolaire. Certains élèves ont même été aperçus hors journées scolaires rôdant « par hasard » pour évaluer le nombre de visiteurs. Nous les avons vus se poser des questions : « je vois, je ne peux nier les faits, mais qu’en penser ? » Pour certains, cela a été l’occasion de rentrer pour la première fois dans une église, et c’est avec joie que nous avons pu en présenter les symboles. Et personnellement, nous nous sommes senties littéralement portées par les élèves et leur plaisir à mener à bien ce projet. Propos recueillis par B. Coutin.

Au-delà de l’expo...

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Notre secteur a animé cette année la Messe chrismale...

Une organisatrice... Pour cette messe chrismale, j’étais chargée de l’organisation de la procession des offrandes, aller et retour. La préparation dans la rigueur et le détail fut un réel plaisir : celui de rencontrer des personnes de tout le secteur, mais aussi les enfants du centre des orphelins d’Auteuil et leurs accompagnatrices. Chacun avec grand soin et dans un ordre bien défini ont porté au Père évêque les amphores des trois huiles, ainsi que les offrandes pour l’Eucharistie. Et tous sont restés dans le chœur, impressionnés d’être si proches des célébrants, face à une assemblée priante et recueillie. Un profond témoignage pour tous et quel tableau que tous ces enfants priant avec le Notre Père autour de notre évêque.

Josette Philippon

Témoignages

Un choriste... Belle cérémonie, et les chanteurs avaient la

chance d’être privilégiés et bien placés en haut à gauche de la nef. On devait être là une heure d’avance pour répéter- et avec le parking cela n’a pas été facile ! Mais pourquoi les cathédrales ne sont-elles pas à la campagne ?

Nous étions 39 choristes de la Schola, et une douzaine du Pileu. Et c’était bien, vu la taille du lieu. En plus, une dizaine de musiciens dirigés par Bernard Larrouturou jouaient juste devant nous. Et jouaient juste. Avec des micros, les petits chœurs et solistes devaient faire attention à ne pas bousculer tout ce matériel qui a fort bien fonctionné (merci Jean-Claude).

Dani de Guibert dirigeait les chants de Sylvanès. Quelques problèmes pour la voir parfois depuis les basses, comme toujours brimées et à l’arrière, mais elle levait les bras aussi haut que possible. En alternance Geneviève Piccino et Hugues de Tailly dirigeaient des chants d’Emmanuel ou Akepsimas. Mais tout le monde chantait tout, et l’assemblée souvent participait.

On a chanté par exemple, comme prévu tout de même, un Souffle imprévisible plein d’entrain Et le psaume 88 je chanterai ta force, tu es le Dieu de mon amour, à 4 voix en alternance avec notre soliste favorite. Et un Veni Creator en français, mais les basses qui ne savaient pas bien leur difficile partie ont dû se contenter d’accompagner à bouche fermée- eh oui, je vous avoue tout, on n’est pas là pour se vanter !

Tout s’est bien déroulé, et pourtant ce n’est pas si simple de planifier une telle cérémonie. On a bien coupé par nos chants à la fin la parole à Monseigneur et au Père Bobière, mais c’était involontaire. Et tout de même, c’était beau, enfin on le croit et on nous l’a même dit. Et on a prié et aidé à prier en chantant. Notre souffle mêlé à celui de l’Esprit, quand on y pense, c’est indicible !

Jean-Noël Lhuillier

De l’équipe catéchuménat... Au cours de la célébration, le Père évêque a consacré trois amphores. L’une contenait huile pour l’onction des malades, l’autre celle des catéchumènes et la troisième le saint-chrême pour l’onction lors du baptême, de la confirmation et de l’ordination. Il les a ensuite remises solennellement à des fidèles du diocèse. C’est avec respect et une grande joie intérieure qu’avec Alain-Marie Manzana*, nous avons reçu l’amphore qui contenait le saint-chrême. Descendre l’allée centrale de la cathédrale pour la porter jusqu’à l’oratoire où son contenu a été réparti entre toutes les paroisses du diocèse m’a fait prendre conscience de mon appartenance à l’Eglise une, sainte, universelle et apostolique. Un grand moment dans ma vie de chrétienne.

Danielle Belin. *Le séminariste qui loge au presbytère et qui sert la messe le dimanche à Saint-Martin.

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Des servants d’autel Quand j’étais à la messe chrismale, je me suis senti impressionné parce que c’était la première fois. Quand je portais la croix, je regardais le Seigneur en disant « accompagne-moi car c’est une messe importante ». Mais sinon je me suis senti à l’aise et aussi concentré. Quand j’ai regardé le saint-chrême, ça m’a fait penser que j’allais recevoir l’Esprit-Saint. Et puis je me demande s’il y aura d’autres messes comme celle-ci. Ça s’est bien fini et c’était un jour grandiose que je n’oublierai pas. Steven Ramassamy. Nous avons été contents de rencontrer l’Évêque, de pouvoir assister à la messe comme servant d’autel où les prêtres fêtaient leur jubilé, et où les huiles furent consacrées. Nous avons appris le rite de la messe chrismale. Ce fut un temps fort et de recueillement. Jean-Charles, Marie et Constant.

On m'avait dit que le baptême était un moment très fort en émotions. Bien sûr j'y avais cru, mais pas assez. J'ai vécu le baptême comme un moment plein de paradoxes : Ça a été la fin de quelque chose et le début d'une autre. Ça a été la fin d'une période de cheminement et de questionnement, mais c'est aussi le début d'une nouvelle vie et d'un nouveau chemin. Du coup, c'est aussi un passage d'un cheminement à l'autre : je reste moi-même, mais je change. Le baptême a été un moment charnière où je me suis sentie tantôt très forte, tantôt très faible. Toute la communauté était là, toute ma famille était là, je me sentais soutenue et accueillie. Et pourtant j'étais seule face à Dieu lorsqu'en mon esprit je lui ai demandé de m'accueillir et de m'aider. J'avais l'impression de redevenir un petit enfant. Dans les yeux de tous j'ai vu de la joie et de l'amour. J'aurais voulu pouvoir serrer chaque personne présente, tant mon coeur était plein de reconnaissance et d'amour. J'étais heureuse comme un jour d'anniversaire d'enfant, où tout n'est que simplicité et bonheur. J'ai vu Gunther (qui recevait le baptême en même temps que moi) comme un frère, avant de me tourner vers l'assemblée pour contempler ma nouvelle famille. J'ai pensé aussi à ceux qui n'étaient pas là, avec qui j'avais partagé la préparation au baptême et qui devaient le recevoir aussi ce soir là. Et finalement quand j'ai reçu le corps et le sang du Christ pour la première fois, c'est comme si des murs s'écroulaient, comme si une muraille s'était fissurée en moi. J'ai pleuré. J'ai pleuré de joie. Merci à ma famille qui s'est rassemblée autour de moi pour cet évènement. Merci à mes accompagnateurs Danielle et Bernard. Merci à tous et à toutes qui étaient présents. Ce que j'ai reçu, je le donnerai au centuple, à vous et à vos amis.

Anne-Sophie

Chers frères et soeurs, Baptisé devant vous à Pâques, je tiens à vous adresser ma plus chaleureuse et sincère gratitude pour l'accueil que vous nous avez réservé, à Anne-Sophie et à moi-même, au sein de votre -désormais notre- communauté, en cette soirée mémorable où chacun a pu ressentir la communion qui nous unissait. Il n'y a pas si longtemps de cela, les églises n'étaient pour moi que des monuments historico-touristiques, certes chargés d'une atmosphère de recueillement, mais guère plus. Néanmoins, je n'imaginais pas me marier ailleurs qu'à l'église, et la foi de ma femme a été la porte par laquelle j'ai pénétré dans la maison du Christ, la voie par laquelle j'ai entamé le suivi de Son chemin. C'est ainsi au fil de plus de deux années de catéchuménat, accompagné et soutenu par Claude et Nicole Blondel, tous deux merveilleux par leur écoute, la profondeur toujours pertinente de leur témoignage chrétien, leur ouverture d'esprit et nombre d'autres de leurs qualités humaines, que j'ai peu à peu découvert les Écritures, le sens d'une vie chrétienne, le pardon et la rédemption, pour finalement désirer librement le baptême en Jésus-Christ, cette renaissance devenue nécessaire à l'accomplissement de ma vie d'homme. Je les en remercie vivement, ainsi que chacune de ces personnes chères qui m'ont accompagné, ou parfois seulement croisé sur ce chemin. Il s'agit naturellement de ma femme, Xhensila, des Pères Jean-Christophe Leurent et Benoît Laude, de l'ensemble des catéchumènes et accompagnateurs, mais aussi peut-être de vous qui me lisez, pour votre présence à l'église, un sourire avant, pendant ou après une messe, une embrassade ou une poignée de main, un service rendu ou accompli, que sais-je encore. Tous ces petits gestes anodins mais chaleureux, les uns envers les autres, qui font de vous ces témoins de la présence du Christ parmi les hommes ; autant de lampions qui balisent la route d'un catéchumène en chemin, et que j'ai retrouvés réunis en ce soir de veillée pascale. Merci donc à chacun de vous qui m'êtes devenus chers, et dont je suis heureux de faire désormais gracieusement partie. Je souhaite vous revoir bientôt. Fraternellement,

Gunther Lachambre

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DIREDIREDIREDIRE−−−−LIRELIRELIRELIRE…. pour ne plus être . pour ne plus être . pour ne plus être . pour ne plus être

étranger au françaisétranger au françaisétranger au françaisétranger au français

Étudier le français à Palaiseau, c’est possible ! Apprendre à lire et à écrire à l’âge adulte lorsque l’on n’a pas eu la chance d’aller à l’école dans son pays d’origine, c’est possible ! Depuis plus de 10 ans, l’association DIRE-LIRE accueille en divers lieux de la commune des étrangers de tous les pays, habitant Palaiseau ou les environs, et propose des cours de Français de tous niveaux. Ces cours sont assurés par des bénévoles formés aux méthodes très spécifiques de l’alphabétisation et de l’enseignement du français aux étrangers ; l’an dernier, l’association a inscrit plus de 100 élèves de 38 pays différents. «Je veux apprendre très vite l’impératif» est venue nous demander une mère de famille, originaire du Sri-Lanka ; «Je veux pouvoir faire obéir mes enfants».

Car savoir parler le français, c’est bien sûr, un gage d’insertion, c’est une aide pour la recherche d’un travail, mais c’est aussi une nécessité pour préserver son autorité de parents . Les enfants apprennent le français avec une rapidité déconcertante lorsque les parents, eux, mettent plusieurs années à parler correctement ; les rôles sont renversés et l’enfant sollicité trop souvent pour aider à remplir des papiers administratifs, y gagne un sentiment de supériorité qui tend à discréditer quelque peu l’autorité parentale. Ils l’ont bien compris, ces papas maliens, brésiliens, congolais, ivoiriens qui après une bonne journée de travail se transforment courageusement en écoliers studieux. Même s’ils restent toujours hésitants devant l’emploi d’un subjonctif ils n’auront plus peur au moins de rencontrer l’institutrice de leur enfant et sauront rédiger un mot d’excuse sur le cahier de correspondance. Mais, il y a aussi ces enfants qui, arrivés à l’âge adulte, sont conscients d’avoir eu le privilège de pouvoir accéder à la culture et qui viennent nous trouver amenant leur mère intimidée : «Elle a passé sa vie à blanchir, cuisiner, porter, consoler, nous voulons

que maintenant, elle pense un peu à elle».

Alors, Farida, Djida, Fatima, Amal découvrent émerveillées le bonheur d’assembler des lettres et de former des mots, les mots de la vie courante, les mots de tous les jours.

Marie-Odile Lhuillier Pour en savoir plus sur l’Association DIRE-LIRE, vous pouvez consulter le site :

direlire.asso. free.fr

Associations d’entraide

Des nouvelles du Père Roberto... Chers amis de A-SARES,

Je vous embrasse tous en ce beau temps de Pâques.

Après la rentrée en Amazonie les petites affaires de l'administration

ne me lâchent pas. C'est le prix pour rester deux mois hors du devoir

local!!! Je voudrais saluer votre réunion aujourd'hui. Je suis en

communion de cœur et de pensée avec vous. Ici la pluie ne s'arrête pas et

les météorologistes nous disent qu'il y aura de la pluie jusqu'au mois de

juin. Donc... tout ralentit un peu et l'humidité est parfois pesante .

Au SARES les travaux vont très bien.

On a besoin maintenant de faire une manutention générale de la maison;

elle est empruntée et il faut en tenir bien compte; sauf que l'humidité n'aide

pas beaucoup. Il va falloir ramasser 10.000 euros pour cette affaire (un

abacaxi - problème- de plus pour moi !)... Cette semaine j'ai une réunion

avec le comité directeur pour voir qu'est ce qu'on va faire.

Roberto.

Pèlerinage du monde du travail

MARCHER - PARTAGER - PRIER

La 61° route du pèlerinage du monde du travail à N.D. de Chartres,

du vendredi 9 mai à 18 h 30 au dimanche 11 mai à 20 h

Renseignements et inscriptions M.F. Doré � 01 48 28 77 44 mariefrancoise.dore@free.fr http://pelechartres.free.fr

Une Kermesse…pour qui ?… pour quoi ? … Pour le plaisir de nous retrouver, dans une fête amicale et conviviale, entre générations, entre Bièvrois de tous horizons, entre voisins, entre familles…et participer ainsi à la vie associative de Bièvres, en organisant une journée festive dans un cadre agréable. …Pour assurer la vie matérielle de la paroisse et subvenir à ses frais de fonctionnement. C’est le bénéfice de la kermesse qui, pour une large part, permet de régler les charges diverses de la vie paroissiale et des bâtiments : frais administratifs, chauffage et éclairage, entretien des locaux pour l’exercice du culte et les réunions, etc… …Pour que finalement la paroisse reste vivante et poursuive sa mission auprès de tous ceux qui s’adressent à elle pour le catéchisme, les baptêmes, mariages, funérailles, voire des concerts… ou qui aiment simplement trouver l’église ouverte quand ils veulent y prier. L’association paroissiale « Étoile de Bièvres »

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Nos joies , nos peines, en MARS/AVRIL

Baptêmes : Gunther LACHAMBRE Anne-Sophie LUYPAERTS, Lucas COLOMA Clara LELU, Diane et Louis LE TYRAN Gaspard FRANCOIS, Maud THAUVIN Thomas ARCHILLA, ,Sarah HAUDECOEUR.

Décès : Gérard LE FLOHIC, Michel HOIZEY, Mathilde MARZORATI Pierre CARQUIN, Josie GYPS AGUIAR, Marguerite BOURDERIOUX, Michel DISTIGNY, Louise RABILLON.

Après la séance matinale d’aumônerie du mois de janvier et un pique-nique par sous-secteur, les jeunes de sixièmes ont eu la chance de se rendre en car à la synagogue des Ulis afin de rencontrer le Rabbin, Philippe Haddad.

En préparation à cette visite, ils avaient réfléchi avec leurs animateurs(trices) aux questions qu’ils se posaient concernant cette religion qu’ils ne connaissaient pas ou peu. Le Rabbin, après une présentation des principaux éléments propres à la religion juive ainsi que des similitudes avec le christianisme, s’est très volontiers prêté au jeu des questions-réponses. Les jeunes ont ainsi retenu entre autre, que la synagogue

possède moins de vitraux qu’une église et que le Rabbin ne porte pas de tenue spéciale, mais une kippa et un châle (ou talit), lors des offices (ou téfilas) qui se déroulent le samedi matin de 9h à 11h30. Le livre de référence, la Torah, se présente sous forme de rouleaux écrits à la main avec une plume d’oie ou une pointe de roseau et de l’encre végétale sur des rectangles de peau de bête cousus entre eux par du nerf de bœuf. Il faut être très concentré pour écrire la Torah, c’est pourquoi l’homme qui voue sa vie à cette

tâche, se purifie chaque matin en prenant un bain avant de se mettre à écrire. La Torah ne fait référence qu’à l’Ancien Testament. Les rouleaux de la Torah sont rangés dans une armoire cachée par un rideau brodé sur lequel figurent les 7 symboles que l’on retrouve souvent dans la religion juive : le blé, les olives, l’orge, les dattes, le raisin, la grenade et la figue. Le jour de leurs 13 ans, les enfants acquièrent leur majorité

religieuse et font l’équivalent de la profession de foi : la barmitsva pour les garçons, la batmitsva pour les filles. Enfin, les juifs ne mangent que des aliments provenant des animaux qui ont les sabots fendus et des poissons à écailles et nageoires : on dit qu’ils mangent cachère. A la sortie de ce formidable échange entre communautés religieuses, le rabbin nous a offert des pâtisseries préparées par

les femmes de la communauté. Nous lui avons offert un livre. Les jeunes, ainsi que leurs accompagnateurs(trices) gardent un excellent souvenir de cette rencontre. En leur nom, je tiens à remercier vivement Bernard Gougis grâce à qui ce projet a pu voir le jour, ainsi que le Rabbin, Philippe Haddad, qui

nous a réservé un accueil formidable et qui a su si bien captiver son auditoire pendant les 2 heures de cet échange.

Catherine Brissaud

L’aumônerie et le Rabbin

L’AFC de la Vallée de l’Yvette vous invite à

une conférence sur le thème :

Quelle éducation Quelle éducation Quelle éducation Quelle éducation sexuelle et affective poursexuelle et affective poursexuelle et affective poursexuelle et affective pour

nos enfantsnos enfantsnos enfantsnos enfants ????

Avec Olivier FLORANT,Avec Olivier FLORANT,Avec Olivier FLORANT,Avec Olivier FLORANT, Conseiller conjugal et sexologue,Conseiller conjugal et sexologue,Conseiller conjugal et sexologue,Conseiller conjugal et sexologue,

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Salle de la BouvêchSalle de la BouvêchSalle de la BouvêchSalle de la Bouvêcheeee 63, rue de Paris ( centre ville d’ORSAY)

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ENTREE LIBRE et GRATUITE

ASSOCIATION FAMILALE

CATHOLIQUE

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MMMMarie, j'aime vous regarder dans votre humanité quotidienne, jeune fille et femme, inconnue de tous, mère attentive, épouse soigneuse, femme semblable à toutes les femmes,

et toujours disponible quand Dieu lui demande : "Où es-tu ?"

J'aime aussi vous voir au tympan des cathédrales, la femme aux douze étoiles,

la Vierge des icônes au manteau de pourpre royale. Mais, avec Thérèse de l'Enfant Jésus

s'exprimant sans mots superflus, je m'émerveille : "Elle est plus mère que reine." Oui, tout le reste est fioritures

devant les trois mots : "Mère de Dieu". "Mère de Dieu", ces trois mots,

je n'aurais jamais trop d'heures de silence pour les contempler.

Comme ces plantes du désert qui attendent des jours, des années peut-être,

une pluie pour germer, il nous faut les redire

jusqu'à ce que votre Fils les féconde en nous. Cette phrase, pour moi,

est souverainement essentielle : "Femme, voilà ton fils, Fils, voilà ta mère", ces ultimes paroles que dit Jésus en croix aujourd'hui me sont dites, à moi :

déjà réalisées à l'instant de l'Annonciation... C'est pourquoi avec la Tradition entière,

ajoutant ma voix à la multitude qui accomplit votre prophétie : "Oui, désormais, tous les âges me diront bienheureuse"

(et nul ne vous connaissait alors), je redis sans me lasser

la prière des pécheurs et des saints : "Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort."

Jacques Loew,

extraits d'une prière tirée de "Mon Dieu dont je suis sûr", (Editions Bayard, 1983)

Prière

Mois de Mai, Mois de Mai, Mois de Mai, Mois de Mai,

mois de Marie.mois de Marie.mois de Marie.mois de Marie.

A partir de la messe du jeudi 1er mai, fête de l’ascension (à 11h15), l’icône Notre-Dame du Rosaire circulera de nouveau de maison en maison, au bon vouloir de ceux et celles qui voudront l’accueillir. J’invite particulièrement les familles à faire bon accueil à cette proposition, ainsi qu’aux animateurs d’équipe de catéchisme ou d’aumônerie. Les mois qui viennent seront pour certains enfants et jeunes l’occasion de vivre des démarches importantes de leur vie chrétienne : baptêmes d’enfants d’âge scolaire le 11 mai, professions de foi le 25 mai, et le samedi 31 mai à Longpont pour l’école Jeanne d’Arc (à 10h30), premières communions les 7 et 8 juin (et le samedi 14 juin à 10h30 pour l’école Jeanne d’Arc), avec toutes les retraites de préparation qui précèdent. C’est toute la communauté paroissiale qui porte dans sa prière ces démarches de certains d’entre nous ! Pensons aussi aux petits enfants qui sont baptisés tous ces jours prochains, et à leurs familles, et aux jeunes couples qui célèbrent leur mariage. Que Marie les aide tous à dire OUI avec confiance et détermination, en prenant exemple sur sa disponibilité à l’Esprit Saint. Notons aussi la fête de ND de Fatima le mardi 13 mai (messe à 9h à l’église). Dans cette même perspective, la messe du dimanche 1er juin à 10h30 sera franco-portugaise, et nous aurons la joie de célébrer avec le P. Michel Forgeot d’Arc, de passage en France (Il est actuellement en mission en Guyane !)

Père Jean-Christophe Leurent

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PAROISSES-INFOS SAINT-MARTIN et SAINT-MICHEL: Responsable : Père Jean-Chr LEURENT

avec les équipes animatrices.

AVRIL

Samedi 12 et dimanche 13 Week-end annuel du groupe Dominique Savio (Scouts et Guides de France) Dimanche 13 Quête de la journée mondiale des vocations. Mardi 15 20 h 30 Réunion de préparation de la profession de foi à St-Michel du Pileu. Mercredi 16 20 h 30 Réunion de l’équipe animatrice de St-Martin au centre pastoral. 20 h 30 Formation Initiale faite par le service diocésain de la catéchèse, salle St-Vincent. 21 h Cercle biblique œcuménique à St-Marc de Massy. Jeudi 17 20 h 30 Soirée Espérance à St-Martin. Vendredi 18 et samedi 19 Retraite des équipes animatrices St-Martin et St-Michel à Etiolles. Vendredi 18 20 h 30 Débat « Notre Terre a-t-elle de l’avenir ?... » au centre pastoral. (voir p 8) Samedi 19 14 h 30 Réunion de préparation au baptême, salle Warodius. 16 h 30 Mariage de Philippe NICOLAS et Anne-Laure TUPIN. Dimanche 20 ATTENTION HORAIRES DE VACANCES du 19 avril au 5 mai

11 h 15 Messe à St-Martin. 15 h Dimanche ouvert de la vie re-traitée, salle Voltaire. Lundi 21 20 h 30 Prière de Taizé à N.D. de Lozère. Du mardi 22 au dimanche 27 avril FRAT DE LOURDES pour les jeunes du second cycle. Mercredi 30 18 h 30 Messe anticipée de l’Ascension à N.D. de Lozère.

MAI

Jeudi 1er mai Fête de l’Ascension. 9 h 45 Messe à Saint-Michel du Pileu. 11 h 15 Messe à St-Martin. Lundi 5 20 h 30 Prière de Taizé à N.D. de Lozère. Mardi 6 15 h Comité de rédaction du Paroisses-Infos. Mercredi 7 20 h 45 Réunion de l’équipe liturgique, salle St-Vincent. Jeudi 8 9 h Messe avec les anciens combattants à St-Martin. Retraite de Profession de Foi à la Clarté-Dieu à Orsay. Samedi 10 14 h 30 Préparation au baptême, salle Warodius.

Dimanche 11 Fête de la Pentecôte. 10 h 30 Messe et baptême des enfants en âge scolaire à St-Martin. Lundi 12 Retraite de préparation de la première communion à l ‘abbaye de Limon. Mardi 13 20 h 30 1° réunion du parcours Découverte pour les fiancés, salle paroissiale de Lozère. Jeudi 15 20 h 30 Soirée Espérance à St-Martin. Vendredi 16 20 h 45 Réunion de préparation au mariage, salle St-Germain. Samedi 17 9 h 30 KTD des 3 années de catéchisme au centre pastoral. 16 h Mariage de Laurent GIARRIZZO et Aurélie WOLFF 18 h 30 Messe animée par l’aumônerie à St-Michel du Pileu. Dimanche 18 Quête pour la Journée mondiale de la communication. Kermesse de la paroisse Saint-Martin de Bièvres (voir p 7) 15 h Dimanche ouvert de la vie re-traitée, salle Voltaire. 18 h Partage et prière à Saint-Martin. Lundi 19 20 h 30 Prière de Taizé à N.D. de Lozère. Mardi 20 20 h 30 2° réunion du parcours Découverte pour les fiancés, salle paroissiale de Lozère. Mercredi 21 20 h 45 Réunion de l’AOECP au centre pastoral. 21 h Cercle biblique œcuménique à St-Marc de Massy. Jeudi 22 20 h 30 Réunion de l’équipe animatrice de St-Martin, salle St-Germain. Vendredi 23 20 h 30 Atelier biblique « le cycle d’Abraham », salle St-Germain. 20 h 45 Réunion du CPAE au centre pastoral. Samedi 24 14 h 30 Réunion de préparation au baptême, salle Warodius. 16 h Mariage de Benoît JIZUKA et Marianne ANDRÉ. 16 h 45 Éveil à la foi au centre pastoral. Fête de la foi de l’aumônerie. Dimanche 25 10 h 30 Messe de profession de foi à St-Martin. 17 h Concert de musique de chambre donné par le conservatoire, à St-Martin.

Et pour l’été prochain, quel programme ? Les tracts avec les dates des sessions de Paray le Monial (Bourgogne), organisées par la Communauté de l’Emmanuel, sont disponibles dans les églises ou à l’accueil. Le P. JC LEURENT participera à celle du 26 au 31 juillet. Des paroissiens se sont aussi inscrits à ces dates-là. Si vous voulez vivre ces 5 jours ensemble, il est temps de s’organiser. Cf. le site Internet : www.paray.org

Accueil au centre pastoral Ste-Geneviève Permanences du Père Jean-Christophe LEURENT le jeudi de 18 h à 19 h 30 et le samedi de 10 h à 12 h. Secrétariat : du lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 h à 16 h FERMÉ PENDANT LES VACANCES DE PRINTEMPS (du 21 avril au 2 mai inclus)