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BAB’s Galerie La Galerie d’une Galeriste

Benjamin Gozlan / Calme et tourments

Du 13 au 24 Octobre 2015 à la BAB’s Galerie

Un artiste que la BAB’s Galerie aime et expose. Travail de la matière, du mouvement violent, de l’épaisseur de l’huile qui accompagne le mouve-ment de la figure jusqu’en dehors du tableau, vers le spectateur et déborde outrageusement des seuils au-delà desquels elle n’a plus sa place.La galeriste Elisabeth Ndala le collectionne depuis maintenant plus de 10 ans.

BanGoulap 3.0 Du 30 octobre au 1er novembre 2015

La BAB’s Galerie, sur invitation de Monsieur Wandji, présentera Bangoulap 3.0, une exposi-tion artistique et collective qui se tiendra dans le cadre du Bangoulap Tour 15 à Bangoulap, village «connecté» qui regarde vers l’avenir, en s’appuyant sur les bases de son histoire. L’événement artis-tique a pour but de mettre en lumière de jeunes talents camerounais qui véhiculent à travers leur art les valeurs du Bangoulap Tour, à savoir l’innova-tion, le partage et la référence à la tradition, socle de projet Bangoulap Tour. Plusieurs disciplines, comme la peinture, la sculpture et la photo, se-ront au rendez-vous. Le vernissage aura lieu le 31 octobre 2015 à partir de 19h30 en présence des artistes.

Versa Versa in the mood for street By BaB’s Galerie

Du 4 au 8 novembre 2015

«Versa Versa in the Mood for Street, by BAB’s Galerie» c’est l’histoire d’une collaboration iné-dite entre une jeune galerie d’art parisienne qui monte : la BAB’s Galerie et une jeune marque de sac de Luxe : Versa Versa.

Début novembre 2015, les deux enseignes vous dévoilent le fruit de leur partenariat autour d’un ac-cessoire indispensable à la Femme : le sac à main. En effet, avec «Versa Versa in the Mood for Street, by BAB’s Galerie» le sac à main de luxe sort des sentiers battus, pour offrir un objet artistique, ten-dance et exclusif.

L’exposition sera aussi l’occasion de découvrir leur talent sur grand format, puisque chaque artiste présentera son travail sur toile.

Elisabeth Ndala, fondatrice de la galerie

Les projets de cette fin d’année

Dimbeng

Valentin Caro

Milan ‘Portrait de l’homme cochon’

Vernissage de l’exposition ‘Le premier Homme était une Femme’ avec Valentin Caro et Dimbeng

La BAB’s Galerie est avant tout un rêve, celui de sa fondatrice Elisabeth Ndala, celui de travailler avec des artistes et de les accom-pagner dans leur Développement.Art contemporain, moderne et Street Art : la ligne artistique de la galerie est avant tout basée sur le questionnement que suscite les oeuvres exposées chez le public. l’émotion, voilà ce qui préoc-cupe Elisabeth Ndala dans ses choix artistiques.

L’espace d’exposition La BAB’s Galerie est située au 27, rue Casimir Périer dans le 7e arrondissement de Paris. Sa vocation est de promouvoir des artistes, qu’ils soient confirmés ou émergents. L’espace d’exposition est réparti sur deux salles : le RDC (28 m2) et le sous-sol (cave voutée de 26 m2), aménagé de façon à accueillir des œuvres. La BAB’s Galerie est aussi coutumière des exposition hors les murs, puisqu’elle a participé à des évènements tels que le Salon Ddessin 14 et 15, ou encore aux Salon Art Shopping, Art3F Paris et à dés évène-ments plus alternatifs tels que les portes ouvertes du Chêne, entre autre.

Pour la BAB’s Galerie «L’art est inutile mais indispensable!»

Chris Riggs ‘Love’

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More on www.oceanamagazine.fr Art Des artistes Résidents

hassan mimouni«Les œuvres présentées par le plasticien Hassan Mimouni, évoquent subtilement, un au-delà, son au-delà, pour mieux nous rap-peler la beauté de la vie. Ses pein-tures, sculptures et installations sont le fruit du regard que l’artiste pose sur le monde et sur l’homme. A travers ses expositions dé-couvrez le travail sensible d’Has-san Mimouni et embarquez pour un voyage artistique où les formes et les matières questionnent notre conscience.» - BAB’s Galerie

stéphane théVenonCo-fondateur en octobre 2011 du collectif Street-Art Shooteurs, avec le-quel il développe sa vision du monde urbain, de la culture alternative.Stéphane Thévenon, travaille aussi la scénographie, mais là encore, la spontanéité et les surprises des séances, telles que les moments dits de «back-stage» tiennent une grande place dans son travail.Avec l’utilisation du «fish eye», il immerge le spectateur dans l’environ-nement du sujet «shooter». Ainsi, la photographie semble se mettre en mouvement, comme dans un vidéo clips, médium, dont il est friand.

Djalouz

djalouzPlasticien et street artist, Djalouz est né en 1985.Parallèlement à l’obtention de son diplôme de dessinateur maquettiste, il débute le graffiti en 2003, inspiré directement par la jeune scène montante du graffiti hexagonal et européen (Marko 93, Dire, Daim, Vesod, Dran, Gris One, Inti, Vhils, No art, etc.) mais aussi par le monde de la bande dessinée (Enki Bilal, Frank Miller).La bombe de peinture est son outil de prédilec-tion car il est le médium idéal pour la peinture en grand format et surtout lui laisse une grande liberté quant au choix des supports.

milanSa démarche artistique se veut avant tout proche des gens. Il aime décrire les comportements déviants ou or-dinaires, liés à notre existence dans les sociétés «hyperindustrialisées» et excessives que peuvent être les sociétés occidentales. L’objectif est de confronter le spectateur à ses comportements devenus banals et de le faire réfléchir à ces derniers.

GinoLe pochoir est son pinceau, la femme sa muse, la rue sa maîtresse, le suréalisme sa frontière. Gino artiste peintre manipule, experimente et provoque, et la BAB’s Galerie aime ça!

Milan ‘L’opéra qu’il fréquentait’

Hassan Mimouni, ‘Lampedusa’ (détail)

Gino ‘Miss BH’

L’art : un engagement influence africaines

L’exposition pluridisciplinaire Influences Africaines présentait le travail d’artistes affirmant une inspiration afri-caine dans leur processus de création, quelles que soient leurs origines. Le public avait eut l’occasion d’observer le travail photographique de Steven Lebras, la qualité de dessinateur de Tarek, les gravures de Flore Brondeau, les peintures de Gino, Dimbeng, Kouka et celles de Montalvan qui avait également exposé des sculptures. La BAB’s Galerie a eut la chance d’accueillir deux performances : l’une de Désiré Amani et l’autre de Ernesto Novo.

art Business

Pour sa 7ème exposition, la BAB’s Galerie invitait les artistes à s’exprimer sur le lien complexe qui existe entre l’Art et l’Argent, avec pour fil rouge, le billet de banque.

street Girls etc et le premier homme était une femme : deux expositions qui célèbrent la Femme, sujet qui est cher à Elisabeth Ndala. L’exposition réunissait le travail de deux artistes : Dimbeng et Valentin Caro. C’était donc deux sensibilités, deux regards qui étaient mis en parallèle . A travers leurs oeuvres, Dimbeng et Valentin Caro ont magnifiés les corps et âmes, afin de nous ramener aux origines, où «Le Premier Homme était une Femme».

en corps

La BAB’s Galerie conviait le spectateur à un voyage, à travers le corps. Peinture, sculpture, photo et danse, des corps sujets, des corps objets,... objets de désirs.L’exposition a été le prétexte à des échanges sur la représentation du corps et des interdits et limites de celle-ci que chacun pouvait avoir. Une censure des réseaux sociaux est même venue enrichir le débat durant la période de promotion de l’exposition.

Stéphane Thévenon ‘Start up’

Exposition «Fragments» mai 2015 à la BAB’s galerie

Exposition «Introspection» janvier 2015 à la BAB’s Galerie

Stéphane Thévenon ‘CONNECTED’

Collaboration BZT22 pour «Musicônes»

Elisabeth Ndala, directrice de la BAB’s Galerie