Annonce de Genève Invest Comment profiter de l’entrée en ... · taux d’intérêt zéro....

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Annonce de Genève Invest Comment profiter de l’entrée en Bourse d’une licorne? Mon ami Paul se considère comme un investisseur inconso- lable. Il a raté toutes les IPO des licornes, ces start-up, princi- palement de la Silicon Valley, valorisées à plus d’un milliard de dollars. Les IPO? Il s’agit des «Initial Public Offering», en anglais, les entrées en Bourse. Il y a 30 ans, il a raté l’IPO de Microsoft qui vaut plusieurs dizaines de milliards de dollars. Et celle d’Apple, qui, après un démarrage en dents de scie, est devenue la plus grosse capita- lisation boursière de l’histoire, avec plus de 300 milliards de dollars. Paul a aussi manqué l’IPO d’Amazon, le commerçant en ligne. Il a raté l’IPO de Google, de Facebook et même celle de Netflix, leader mondial du streaming vidéo, qui a multi- plié sa valeur boursière par 27 passant de 15 dollars en 2002 à plus de 411 dollars à son plus haut en 2018. Si Paul avait acquis pour 1000 francs d’actions de ces géants américains de l’informa- tique ou d’Internet, il trônerait maintenant à la tête d’une fortune de plusieurs dizaines de millions de dollars. «J’au- Savoir déceler les opportunités lorsqu’elles apparaissent sur le marché: tel est le challenge des investisseurs. Photo: iStock gratuitement ou à prix préfé- rentiel, les stock-options. En 2013, Paul a tenté de se rattraper à son niveau en ache- tant des actions Glencore, une société minière zougoise dont il connaissait bien le business mo- del et quelques-uns des collabo- rateurs clés. Peu avant l’IPO, il a passé commande mais n’a en reçu que pour 800 francs. Pas de quoi frimer en Lamborghini Veneno. Que s’est-il passé? C’était la ruée. Paul n’était pas le seul à anticiper une envolée de ce titre dès le premier jour de cotation. L’action Glencore a été sursous- crite. Comme d’habitude, les gros investisseurs – banques, fonds de placement, fonds de pensions – ont été les premiers servis. Les particuliers n’ont eu droit qu’aux miettes du festin. En 2018, Paul a retenté sa chance avec Polyphor, une biotech suisse sans produits commercialisés mais qui semblait dotée d’un potentiel énorme. Le jour de son entrée à la Bourse suisse, Paul a appris que son ordre serait exécuté intégralement. Il a su immédia- tement qu’il y avait un pro- blème. L’IPO a fait un flop. Pour soutenir le cours, les banques invitaient alors les petits poissons à la table des grands. Actuellement, le cours du titre Polyphor stagne en dessous de 10 francs contre 38 francs lors de son IPO. Depuis lors, Paul fait atten- tion. En mai dernier, il a boudé l’entrée à Wall Street d’Uber qui s’est transformée en cauchemar boursier. Alors que les analystes espéraient une capitalisation de 120 milliards de dollars, au deuxième jour de cotation, le leader mondial de la réserva- tion en ligne de voitures avec chauffeur ne valait que 62,1 mil- liards de dollars. Pourtant, tout espoir n’est pas forcément perdu. Potentiellement, le titre Uber pourrait se relever si ses résultats s’améliorent. On s’en souvient: en 2012, Facebook avait aussi raté son entrée en Bourse, entachée d’un bug, et le titre avait perdu 24% de sa valeur en un mois. Aujourd’hui, le cours de l’action Facebook dépasse les 180 dollars, contre 38 dollars lors de l’émission. Entretemps, ce réseau social, consulté par 40% de la population mondiale une fois par mois, a multiplié son chiffre d’affaires par 5 et son bénéfice par 10 à plus de 15 milliards de dollars. Ce schéma en faux départ se produit parfois en cas de «green shoe». Ce terme indique une IPO en deux temps. Si au terme du road show, la tournée des grands investisseurs, les pro- messes d’achat atteignent un milliard de dollars par exemple, les banques peuvent n’émettre que pour 800 millions d’actions dans un premier temps. La demande de titres étant supé- rieure à l’offre, cela crée une rareté artificielle, qui a pour but de faire monter le cours, ce qui permet aux investisseurs à court terme de revendre rapide- ment leurs titres avec une belle plus-value. Dans un deuxième temps, les banques mettent en circula- tion des titres supplémentaires à hauteur de 400 millions. C’est une stratégie risquée. Si l’en- thousiasme du public ne suit pas, l’offre totale (1,2 million) étant supérieure à la demande (1 million), le cours s’effondre. De plus, si, pour limiter les dégâts, les investisseurs à court terme vendent à perte, cela précipite la chute. Sponsorisé Tamedia Commercial Publishing Avec des capitalisations boursières colossales, les Facebook, Google et autre Netflix font rêver les investisseurs. Si ces derniers avaient misé sur ces licornes à leur entrée en Bourse, ils seraient sans doute devenus riches. Du moins en théorie. rais dû émigrer aux Etats-Unis et, même sans diplôme, me faire engager par l’une de ces start-up prometteuses comme technicien de surface ou em- ployé de cafétéria, regrette-t-il. J’aurais eu un petit salaire, je n’aurais pas monté les éche- lons. Mais, lors de l’IPO, j’aurais bénéficié comme tous les collaborateurs d’un programme de stock-options. En quelques jours, mois ou années, je serais devenu millionnaire.» Ce n’est pas qu’une légende. Si de nombreux employés de Microsoft et d’autres licornes sont devenus millionnaires, ce n’est pas grâce à leur salaire, mais plutôt aux actions reçues «Les licornes, ces start-up, principalement de la Silicon Valley, valorisées à plus d’un milliard de dollars.» Ce contenu est une coopération entre le Commercial Publishing de Tamedia et Genève Invest. Genève Invest Lisez cet encadré si vous... … ne voulez plus laisser votre argent sur votre compte d’épargne … disposez de plus de 100 000 francs pour un placement … voulez obtenir un rendement attrayant dans un contexte de taux d’intérêt zéro. Comment les investisseurs peuvent-ils obtenir un revenu en capital sûr, prévisible et attrayant en période de taux d’intérêt très bas ou négatifs? Les gérants de Genève Invest se sont penchés sur cette question et ont trouvé la réponse suivante: grâce à des investissements dans un portefeuille d’obligations soigneusement sélection- nées, émises par des sociétés auditées et saines dans différentes devises. Dans un passé récent, ces titres à revenu fixe ont généré des rendements mensuels qui étaient égaux ou supérieurs aux rendements annuels actuels des autres place- ments. Le groupe Genève Invest est une société de gestion de fortune agréée domiciliée à Genève et au Luxembourg. Elle est au service de clients privés et des entreprises dans plus de 40 pays. En plus d’investir dans des titres à revenu fixe, GI se spécialise dans le «Value Investing», la sélection et l’investissement dans des actions de qualité prometteuse. Depuis 2008, Genève Invest est l’initiateur du fonds Switzerland Invest Fixed Income High Yield, qui a reçu cette année le Lipper et le City-wire Fund Award dans la catégorie «High Yield Bonds Global». Contacter les conseillers de Genève Invest www.geneveinvest.ch/fr Téléphone : (+41) 22 716 43 51

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Annonce de Genève Invest

Comment profiter de l’entrée en Bourse d’une licorne?

Mon ami Paul se considère comme un investisseur inconso-lable. Il a raté toutes les IPO des licornes, ces start-up, princi-palement de la Silicon Valley, valorisées à plus d’un milliard de dollars. Les IPO? Il s’agit des «Initial Public Offering», en anglais, les entrées en Bourse. Il y a 30 ans, il a raté l’IPO de Microsoft qui vaut plusieurs dizaines de milliards de dollars. Et celle d’Apple, qui, après un démarrage en dents de scie, est devenue la plus grosse capita-lisation boursière de l’histoire, avec plus de 300 milliards de dollars.

Paul a aussi manqué l’IPO d’Amazon, le commerçant en ligne. Il a raté l’IPO de Google, de Facebook et même celle de Netflix, leader mondial du streaming vidéo, qui a multi-plié sa valeur boursière par 27 passant de 15 dollars en 2002 à plus de 411 dollars à son plus haut en 2018.

Si Paul avait acquis pour 1000 francs d’actions de ces géants américains de l’informa-tique ou d’Internet, il trônerait maintenant à la tête d’une fortune de plusieurs dizaines de millions de dollars. «J’au-

Savoir déceler les opportunités lorsqu’elles apparaissent sur le marché: tel est le challenge des investisseurs. Photo: iStock

gratuitement ou à prix préfé-rentiel, les stock-options.

En 2013, Paul a tenté de se rattraper à son niveau en ache-tant des actions Glencore, une société minière zougoise dont il connaissait bien le business mo-del et quelques-uns des collabo-rateurs clés. Peu avant l’IPO, il a passé commande mais n’a en reçu que pour 800 francs. Pas de quoi frimer en Lamborghini Veneno.

Que s’est-il passé? C’était la ruée. Paul n’était pas le seul à anticiper une envolée de ce titre dès le premier jour de cotation. L’action Glencore a été sursous-crite. Comme d’habitude, les gros investisseurs – banques, fonds de placement, fonds de pensions – ont été les premiers servis. Les particuliers n’ont eu droit qu’aux miettes du festin.

En 2018, Paul a retenté sa chance avec Polyphor, une biotech suisse sans produits commercialisés mais qui semblait dotée d’un potentiel énorme. Le jour de son entrée à la Bourse suisse, Paul a appris que son ordre serait exécuté intégralement. Il a su immédia-tement qu’il y avait un pro-blème. L’IPO a fait un flop. Pour

soutenir le cours, les banques invitaient alors les petits poissons à la table des grands. Actuellement, le cours du titre Polyphor stagne en dessous de 10 francs contre 38 francs lors de son IPO.

Depuis lors, Paul fait atten-tion. En mai dernier, il a boudé l’entrée à Wall Street d’Uber qui s’est transformée en cauchemar boursier. Alors que les analystes espéraient une capitalisation de 120 milliards de dollars, au deuxième jour de cotation, le leader mondial de la réserva-tion en ligne de voitures avec chauffeur ne valait que 62,1 mil-liards de dollars. Pourtant, tout espoir n’est pas forcément perdu. Potentiellement, le titre Uber pourrait se relever si ses résultats s’améliorent.

On s’en souvient: en 2012, Facebook avait aussi raté son entrée en Bourse, entachée d’un bug, et le titre avait perdu 24% de sa valeur en un mois. Aujourd’hui, le cours de l’action Facebook dépasse les 180 dollars, contre 38 dollars lors de l’émission. Entretemps, ce réseau social, consulté par 40% de la population mondiale une fois par mois, a multiplié

son chiffre d’affaires par 5 et son bénéfice par 10 à plus de 15 milliards de dollars.

Ce schéma en faux départ se produit parfois en cas de «green shoe». Ce terme indique une IPO en deux temps. Si au terme du road show, la tournée des grands investisseurs, les pro-messes d’achat atteignent un milliard de dollars par exemple, les banques peuvent n’émettre que pour 800 millions d’actions dans un premier temps. La demande de titres étant supé-rieure à l’offre, cela crée une rareté artificielle, qui a pour but de faire monter le cours, ce qui permet aux investisseurs à court terme de revendre rapide-ment leurs titres avec une belle plus-value.

Dans un deuxième temps, les banques mettent en circula-tion des titres supplémentaires à hauteur de 400 millions. C’est une stratégie risquée. Si l’en-thousiasme du public ne suit pas, l’offre totale (1,2 million) étant supérieure à la demande (1 million), le cours s’effondre. De plus, si, pour limiter les dégâts, les investisseurs à court terme vendent à perte, cela précipite la chute.

Sponsorisé Tamedia Commercial Publishing

Avec des capitalisations boursières colossales, les Facebook, Google et autre Netflix font rêver les investisseurs. Si ces derniers avaient misé sur ces licornes à leur entrée en Bourse, ils seraient sans doute devenus riches. Du moins en théorie.

rais dû émigrer aux Etats-Unis et, même sans diplôme, me faire engager par l’une de ces start-up prometteuses comme technicien de surface ou em-ployé de cafétéria, regrette-t-il. J’aurais eu un petit salaire, je n’aurais pas monté les éche-lons. Mais, lors de l’IPO, j’aurais bénéficié comme tous les collaborateurs d’un programme de stock-options. En quelques jours, mois ou années, je serais devenu millionnaire.»

Ce n’est pas qu’une légende. Si de nombreux employés de Microsoft et d’autres licornes sont devenus millionnaires, ce n’est pas grâce à leur salaire, mais plutôt aux actions reçues

«Les licornes, ces start-up, principalement de la Silicon Valley, valorisées à plus d’un milliard de dollars.»

Ce contenu est une coopération entre le Commercial Publishing de Tamedia et Genève Invest.

Genève Invest

Lisez cet encadré si vous... • … ne voulez plus laisser

votre argent sur votre compte d’épargne

• … disposez de plus de 100 000 francs pour un placement

• … voulez obtenir un rendement attrayant dans un contexte de taux d’intérêt zéro.

Comment les investisseurs peuvent-ils obtenir un revenu en capital sûr, prévisible et attrayant en période de taux d’intérêt très bas ou négatifs? Les gérants de Genève Invest se sont penchés sur cette question et ont trouvé la réponse suivante: grâce à des investissements dans un portefeuille d’obligations soigneusement sélection-nées, émises par des sociétés auditées et saines dans différentes devises. Dans un passé récent, ces titres à revenu fixe ont généré des rendements mensuels qui étaient égaux ou supérieurs aux rendements annuels actuels des autres place-ments.

Le groupe Genève Invest est une société de gestion de fortune agréée domiciliée à Genève et au Luxembourg. Elle est au service de clients privés et des entreprises dans plus de 40 pays. En plus d’investir dans des titres à revenu fixe, GI se spécialise dans le «Value Investing», la sélection et l’investissement dans des actions de qualité prometteuse. Depuis 2008, Genève Invest est l’initiateur du fonds Switzerland Invest Fixed Income High Yield, qui a reçu cette année le Lipper et le City-wire Fund Award dans la catégorie «High Yield Bonds Global».

Contacter les conseillersde Genève Invest www.geneveinvest.ch/frTéléphone : (+41) 22 716 43 51