3ème EMD 2007

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1 3 ème année pharmacie – Faculté d’Alger 3 ème EMD 2007/2008 PHARMACIE GALENIQUE 1. vecteurs médicamenteux : principe et avantages. 2. quel est le principe des comprimés matrices. 3. soie chirurgical. 4. crins de Florence BIOCHIMIE 1. facteurs de terminaison de la transcription chez les procaryotes et leurs localisations. 2. ADN minisatellite : localisation et rôles 3. inhibiteurs de la traduction : 2 pour les eucaryotes et 2 pour les procaryotes. 4. Tm : définition, 2 facteurs qui augmentent Tm et 2 facteurs qui la diminuent. 5. le bleu de dépôt est composé de 3 réactifs lesquelles et quelle est le rôle de chacun ? 6. que donne une mutation au niveau du site donneur pour un intron. 7. que signifie : g 76 A>T c 76 A>T m c ins 76-77 T p 76 lys –pro 8. méthylation des C : mise en évidence, où sont trouvées, que signifie une hyperméthylation de l’ADN Humaine. 9. expliquer pourquoi les interactions protéine –ADN ne se font que sur un sillon. TD La DHPLC 1. quelle est la précaution à prendre par le manipulateur ? 5pts 2. interpréter les 4 figures d’élution à 4 températures différentes 5pts 3. quelle est la température idéale ? 5pts 4. quelle est la configuration de l’ADN dans la figure 4 ? 5pts PHARMACOGNOSIE 1. les ochrosias 2. propriétés physiologiques des quinquinas MICROBIOLOGIE 1. différents types de génomes viraux 2. applications des cultures cellulaires 3. schéma légendé d’un bactériophage 4. diagnostic direct : définition cité les méthodes utilisées 5. la biologie moléculaire dans l’analyse fine des génomes viraux : définition technique de référence intérêts 6. cinétique des effecteurs antiviraux au cours d’une infection 7. conséquences cliniques de la multiplication virale 8. séroneutralisation : principe exemple

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Examens de pharmacie en Algérie

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3ème année pharmacie – Faculté d’Alger3ème EMD 2007/2008

PHARMACIE GALENIQUE1. vecteurs médicamenteux : principe et avantages.2. quel est le principe des comprimés matrices.3. soie chirurgical.4. crins de Florence

BIOCHIMIE1. facteurs de terminaison de la transcription chez les procaryotes et leurs localisations.2. ADN minisatellite : localisation et rôles3. inhibiteurs de la traduction : 2 pour les eucaryotes et 2 pour les procaryotes.4. Tm : définition, 2 facteurs qui augmentent Tm et 2 facteurs qui la diminuent.5. le bleu de dépôt est composé de 3 réactifs lesquelles et quelle est le rôle de chacun ?6. que donne une mutation au niveau du site donneur pour un intron.7. que signifie :

• g 76 A>T• c 76 A>T• m c ins 76-77 T• p 76 lys –pro

8. méthylation des C : mise en évidence, où sont trouvées, que signifie une hyperméthylation del’ADN Humaine.

9. expliquer pourquoi les interactions protéine –ADN ne se font que sur un sillon.TD

La DHPLC1. quelle est la précaution à prendre par le manipulateur ? 5pts2. interpréter les 4 figures d’élution à 4 températures différentes 5pts3. quelle est la température idéale ? 5pts4. quelle est la configuration de l’ADN dans la figure 4 ? 5pts

PHARMACOGNOSIE1. les ochrosias2. propriétés physiologiques des quinquinas

MICROBIOLOGIE1. différents types de génomes viraux2. applications des cultures cellulaires3. schéma légendé d’un bactériophage4. diagnostic direct :

• définition• cité les méthodes utilisées

5. la biologie moléculaire dans l’analyse fine des génomes viraux :• définition• technique de référence• intérêts

6. cinétique des effecteurs antiviraux au cours d’une infection7. conséquences cliniques de la multiplication virale8. séroneutralisation :

• principe• exemple

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PHARMACOLOGIE1.un essai clinique est

le seul essai qui permet d’évaluer la valeur thérapeutique d’un médicament tout essai réalisé chez l’homme un essai permettant l’évaluation de l’effet thérapeutique d’un médicament un essai indispensable à l’étude du mécanisme d’action d’un médicament

2. les méthodes d’essai clinique sont méthode du simple aveugle chez des volontaires sains méthode de double aveugle chez des volontaires malades méthode de triple aveugle chez des volontaires malades méthode des essais ouverts en milieu contrôlé

3. un essai de bioéquivalence est un essai clinique un essai thérapeutique un essai pharmacocinétique d’équivalence un essai de dissolution

4 .la bioéquivalence de deux médicaments est déterminée par : un essai thérapeutique d’une préparation topique un essai de dissolution in vitro un essai pharmacodynamique chez l’homme un essai comparatif des biodisponibilités des deux médicaments

5. l’étude de bioéquivalence est recommandée pour : les médicaments injectables utilisés par voie intraveineuse certains médicaments injectables utilisés par voie intramusculaire les médicaments présentés sous formes de comprimés et gélules les médicaments présentés sous forme d’aérosols pour inhalation

6. l’étude de bioéquivalence n’est pas recommandée pour : les médicaments antiacides tous les médicaments présentés sous forme de sirops certains médicaments présentés sous forme de suppositoires les médicaments anticancéreux

7. les paramètres pharmacocinétique étudiés lors d’une étude de bioéquivalence sont la concentration plasmatique maximale le volume apparent de distribution la clairance rénale l’air sous la courbe délimitée par le profil des concentrations plasmatiques en fonction du temps

8. un effet indésirable mentionner au niveau des référentiels (ex : VIDAL) : a une incidence très faible au sein de la population traitée est inévitable est un effet apparu pendant les essais clinique du médicament est un effet apparu pendant les essais pré clinique du médicament

9. les effets indésirables dus à un médicament : sont identiques pour les médicaments de la même classe thérapeutique ont une apparition plus probable pour les médicaments a marge thérapeutique importante apparaissent d’autant plus qu’il y a une prédisposition particulière chez le patient apparaissent d’autant plus que le médicament est réintroduit après un certain temps

10. l’effet pharmacologique associé ou secondaire : est un effet autre que l’effet pharmacologique recherché peut être un effet indésirable est parfois la conséquence d’une non spécificité d’action du médicament est parfois la conséquence d’une non spécificité d’organe du médicament

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11. les essais en pharmacologie expérimentale : ne font jamais appelle à des modèles animaux génétiquement modifiés peuvent faite appelle à des modèles animaux naturellement pathologique peuvent faire appelle à des organe isolés ou à des cultures cellulaires sont facile à interpréter lorsqu’il s’agit de médicaments à tropisme psychique

12. les essais de toxicologie pré- requis : peuvent se faire avant les essais cliniques doivent se faire avant les essais cliniques englobent les essais dont durée de réalisation est courte not pour outil principal le criblage orienté

13. le test d’AMES : a pour objectif la détermination de la génotoxicité d’un produit fait intervenir une souche de Vibrio cholerea s’effectue toujours par rapport à un témoin positif se pratique parallèlement aux essais chez l’Homme

14. la DL50 : est la dose qui réduit de moitié la mortalité dans une population animale de la même espèce

soumise à des conditions expérimentales identiques est la dose qui réduit de moitié l’espérance de vie dans une population animale de la même

espèce soumise à des conditions identiques permet de calculer l’index thérapeutique d’une molécule est variable pour une même molécule est pour une même espèce animale

15. l’essai de toxicité aiguë : utilise un lot témoin a pour principe deux administrations à14 j d’intervalle lorsqu’il existe d signe de morbidité nécessite un examen minutieux des animaux soumis à l’essai. donne des informations précieuses quant au potentiel toxique de la substance

16. essais cancérogenèse : ne présentent pas d’intérêts lorsque le produit est destiné à une administration unique s’effectuent pour certains produits tels que les antidiabétiques aboutissent à la détermination d’une dose pour laquelle un produit est dit fortement cancérigène utilisent toujours un rongeur et un primate

17. l’allergie médicamenteuse de l’idiosyncrasie : apparaissent dé le premier contacte avec le médicament en cause ne dépendent pas de la dose administrée sont de nature immunologique sont des réactions d’hypersensibilité

18. la pharmacovigilance : est la 2ème étape des études de pharmacocinétique est entreprit après la commercialisation d’un nouveau médicament commence après les essais sur les organes isolés présente la 4ème étape des essais clinique

19. cochez la ou les réponses justes la pharmacovigilance étudie les liens de causalité des effets indésirables et le médicament les effets latéraux d’un médicament sont des effets inattendus et imprévisibles l’imputabilité est un effet indésirable imprévisible le délai d’apparition et le type d’effet indésirable sont les outils de l’imputabilité

20. en pharmacovigilance la détection des effets indésirables se fait : par enquête spontanée dirigée par des centres vers la population suit à une détection d’un effet indésirable connue suit à une détection d’un effet indésirable inconnue par la collaboration des centres de pharmacovigilance nationaux et internationaux

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IMMUNOLOGIELes tests suivants sont utilisés pour explorer l’immunité à médiation cellulaire (indiquer la ou lesréponses exactes) :

a) Numération des lymphocytes T par cytométrie de flux guidée par le choix d’un CD.b) Dosage des immunoglobulines sériques par néphélométrie.c) Intradermoréaction cutanée à un antigène de rappel bactérien ou viral.d) Réaction lymphocytaire mixte (MLR) utilisant des cellules spléniques ou ganglionnaires.e) Dosage de l’IFNã.

Le test de transformation lymphoblastique (indiquer la ou les réponses exactes) :

a) Explore l’activation, la prolifération et la différentiation des lymphocytes T périphériques enprésence de phytohémagglutinine.

b) Explore l’activation, la prolifération et la différentiation des lymphocytes T périphériques enprésence d’un Ag protéique en contacte primaire.

c) Explore l’activation, la prolifération et la différentiation des lymphocytes T périphériques enprésence d’un Ag protéique en contacte secondaire.

d) Est négatif par l’élimination des lymphocytes T CD4+.e) Est négatif par l’élimination des lymphocytes T CD8+

Les réactions d’immunofluorescence en double marquage utilisent (indiquer la ou les réponsesinexactes) :a) un Ac monoclonal primaire en technique directe.b) Deux Ac polyclonaux primaires en technique indirecte.c) Deux Ac primaires provenant de la même espèce en technique indirect.d) Deux conjugués de marquage et de spécificité différents en technique indirecte.e) Deux conjugué provenant de deux espèces différentes marqués par me même fluorochrome.

Les réaction d’immuno- agglutination permettent (indiquer la ou les réponses exactes) :a) Le titrage d’antigènes solublesb) Le titrage d’antigène particulaires.c) La mise en évidence des Ac préfixés sur des cellules en cas d’agglutinine irrégulière.d) La mise en évidence des Ac préfixés sur des cellules encas d’agglutinine régulièrese) La détermination d’auto- anticorps anti- globules rouges au cours des anémie hémolytique

auto- immune.

Dans un dosage immuno- enzymatique de type ELISA (indiquer la ou les réponses inexactes) :a) L’enzyme permet de quantifier la réaction immunologique.b) L’intensité de la coloration est inversement proportionnelle à la concentration de l’antigène

à doserc) La séparation du marquage se fait par des Ac fixés sur un support solide.d) Les anticorps spécifiques sont utilisés en excès.e) Les anticorps spécifiques sont utilisés en défaut.

L’immuno- diffusion- double d’Ouchterlony (indiquer la ou les réponses inexactes) :a) Utilise un immun sérum monospécifique ou polyspécifiques.b) Est basée sur une diffusion radiale des molécule d’Ag et d’Ac diffusant de façon radial à partir

des réservoirs de dépôt.c) Permet d’établir une réaction d’identité entre deux Agd) Donne une double ligne de précipitation en cas de réaction croisée.e) Donne une ligne de précipitation dont l’épaisseur renseigne sur la concentration des réactifs.

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L’électro- immuno- quantification de Laurell (indiquer la ou les réponses inexactes) :a) Utilise un gel d’agarose à courent d’électro- endosmose élevé.b) Est basée sur la diffusion de l’Ag et de l’Ac dans le sens du courent électrique.c) Permet l’utilisation de plusieurs dépôts d’immun sérums dans les réservoirs.d) Permet de tester plusieurs échantillons d’Ag sur la même plaque de gel.e) Détecte un phénomène de zone sous forme d’une déformation de la ligne de précipitation.

Les paramètres suivants sont importants dans les technique d’immuno précipitation (indiquer la oules réponses inexactes) :a) Nature de gelb) Distance entre les réservoirs de dépôt.c) Nature de l’Agd) Nature polyclonale ou monoclonale des Ac.e) Nature du support : lame ou plaque enverre.

Les techniques immuno- enzymatiques utilisent (indiquer la ou les réponse inexactes) :a) Des conjugués simples dans les techniques directes.b) Des conjugués simples dans les techniques indirectesc) Des conjugués enzyme- anticorps anti- enzyme dans des techniques directes.d) Des conjugués simples dans les techniques au PAAPAe) Des conjugués en excès dans les techniques de PAP

Les réactions d’immunofluorescence (indiquer la ou les réponses inexactes) :a) Mettent toujours en jeu des Ag figurésb) Font intervenir dans la méthode directe des Ag marqués par un fluorophore.c) Font intervenir dans la méthode indirecte de Ac spécifiques marqués par un fluorophore.d) Font intervenir dans la méthode de double marquage deux Ag marqués par un fluorophore.e) Représentent la technique de référence pour la recherche des Ac anti- nucléaires (ANN).