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YOUSSEF BEN HAYOUN SADAFI VENDREDI 25 JUILLET 2014 - LES ÉCO WEEK-END 17 WEEKEND P.20 CHEVALIER DE L’ÉCRAN CULTURE Le monde «Zaz» de Morabit P. 18 CULTURE Attijariwafa Bank fait la promo de la culture hassanie P. 21 TENDANCES & SHOPPING Plus de vie à vos vacances ! P. 2 2

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YOUSSEFBEN HAYOUN

SADAFI

VENDREDI 25 JUILLET 2014 - LES ÉCO WEEK-END 17

WEEKEND

P.20

CHEVALIERDE L’ÉCRAN

CULTURELe monde «Zaz» de Morabit P. 1 8

CULTUREAttijariwafa Bank fait la promo de la culturehassanie P. 2 1

TENDANCES & SHOPPINGPlus de vie à vos vacances ! P. 22

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LES ÉCO WEEK-END - VENDREDI 25 JUILLET 2014

CULTURE

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C’est logique, c’est ainsique cela devrait sepasser dans toutes lesmanifestations cultu-

relles, et pourtant ce n’est pas lecas. Heureusement que la série deconcerts que propose l’Institutfrançais durant les Nuits du rama-dan sauve la mise et montre le bonexemple. Pour voir des artistescomme Souad Massi, FlaviaCoelho, Idir ou Nabila Mâan, il suffitd’arriver avant l’heure pour se voirproposer la place VIP, quitte à rece-voir les postillons de l’artiste enquestion. Ces places privilégiéessont généralement réservées auxsponsors et distribuées à des per-sonnes qui, dans la plupart des cas,ne connaissent même pas le «per-former» et viennent uniquementpour se donner un genre. Résultat,aucune interactivité avec l’artiste,une certaine amertume des pas-sionnés et un spectacle altéré. Pen-dant les Nuits du ramadan, les fansétaient au rendez-vous, les mélo-manes (en général) aussi, ceux quipeuvent chanter avec l’artistepuisqu’ils connaissent les parolespar cœur. La magie a opéré, et lesartistes l’ont ressenti. La culture de-vrait être accessible à ceux qui larespectent et l’aiment vraiment.Gratuité ou tarifs préférentiels pourles étudiants ou les artistes enherbe serait déjà un bon point dedépart. En effet, le constat est fla-grant : la population qui s’est massi-vement déplacée à ces concertsest relativement jeune. C’est ce pu-blic-là qui mettait l’ambiance. C’estce public-là qui n’est jamais en re-tard et jamais irrespectueux. C’estdonc ce public-là qui devrait êtreprivilégié… Penser à un endroit sur-élevé pour leur donner l’impor-tance qu’ils recherchent tout enrespectant l’art et son artisan… ●

Premier arrivé,premier assis

Jihane [email protected]

BILLET

explique le désigner dont la cou-ture est une histoire de famille.Issu d’un père couturier, il a tou-

jours nourrit l’envie de dessiner etde créer. «C'est la mode qui atten-dait ma naissance, je suis né dansun milieu où la règle et les ciseauxsont des atouts indispensables».Inspiré par le quotidien et des faits

Ses photos font un tabacsur le net et sont parta-gées sur plusieurs mursde réseaux so-

ciaux et comme le mura des oreilles, tout lemonde a déjà entenduparler de Yassine Mora-bit, créateur de «ZazLouz», une marque quimet en vedette des per-sonnalités, dessinéessur des tee-shirts, maisretravaillés à la saucemarocaine. Tout le monde y passede Chaplin à Oum Keltoum enpassant par Stromae ou AliciaKeys. «Chaque personnage repré-sente une petite histoire particu-lière, le choix se base sur le vécu»,

de tous les jours, Yassine Morabitn’a pas forcément un personnageen tête, c’est l’inspiration du mo-ment qui le régit, que ce soit unejournée ensoleillée ou un momentqui peut sembler insignifiant pourcertains, ces derniers ne le sontpas pour lui. Sans oublier satouche personnelle. «J’ai toujourseu l’envie de dessiner mais avec letemps je trouvais qu’il était plus lo-gique de rajouter une touche par-ticulière à mes artistes préférés, cequi a donné une touche maro-caine aux dessins». Aujourd’hui, lejeune designer continue à nourrirsa créativité en préparant unenouvelle collection de «Zaz Louz»en parallèle à des collaborationsqui verront bientôt le jour. ●

LE MONDE «ZAZ»DE MORABIT● Yassine Morabit est un personnage excentrique qui ne passe pas inaperçu et cetteexcentricité, il la met au service de la mode à travers une ligne originale de vêtements,basée sur des personnages revisités à la sauce marocaine. C’est l’histoire de Zaz Louz…

● Le jeune designer, Yassine Morabit, continue à nourrir sa créativité en préparant une nouvelle collection de «Zaz Louz» en parallèle à des col-laborations qui verront bientôt le jour.

«Je suis né dans un milieu ou la règle et les ciseaux sont des atouts indispensables».

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Culture

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classe». Elle décide donc d’opterpour une école d’arts plastiquesen France, à Grenoble, afin des’orienter vers l’infographie. Ledestin en décide autrement. «Enrevenant au Maroc, je voulais plu-tôt travailler dans la créa' «infogra-phique», mais le destin m'a fait

Une sensibilité à fleur depeau au service d’unpassé jamais oublié,même sans avoir vécu

celui-ci. Yasmine Tahiri, peintre etphotographe, recherche leconcret dans l’abstrait pour ré-pondre à ses questions existen-tielles. Elle choisit donc de com-biner la peinture, chose qui luipermet l’abstraction totale, avantde compléter son travail par laphotographie qui saisit des mo-ments réels. Un combat perpé-tuel entre le réel et l’imaginaire.«Dans ma peinture (l’abstrait) jem’échappe complètement et to-talement, je laisse libre cours àmon imagination même si peinsprincipalement des carrées. Pourmoi, le carré est une forme par-faite, et je pense que je suis in-consciemment en perpétuelle re-cherche de perfection», expliquel’artiste qui avoue n’avoir aucunattrait pour les études, elle quipréférait «griffonner des dessinsdans mes cahiers de cours en

Un monde entre le réel et l’imaginaire ● Entre la photographie et la peinture, Yasmine Tahiri puise son inspiration dans le Maroc qu’elleaime, sa manière à elle de l'immortaliser. Tantôt dans l'abstrait, tantôt dans le figuratif (portraits),l’artiste se ballade dans deux mondes qu’elle fait coexister. Rencontre avec une artiste rêveuse quiexpose en ce moment même son travail, intitulé «Casa sur chêne», au Chester’s de Casablanca.

rencontrer un photographe aprèsmes études, et j’ai su à ce mo-ment-là que je voulais faire de laphoto mon métier». J’ai fais mespremiers pas dans la presse en

tant que photographe, ensuite j’aicommence à peindre et à expo-ser. Aujourd’hui, je travaille à moncompte, je continue à peindre,mais il s'agit plus de commandeset, depuis un an, je me suis asso-ciée à un ami avec qui je fais de ladécoration d’intérieur». Au-jourd’hui, elle expose sont travail,intitulé «Casa sur chêne» auChester’s de Casablanca, unemanière d'immortaliser les ra-cines de la ville blanche. «Il en vade notre conscience de mainte-

nir en l’état ce patrimoine qui par-fois s’éteint dans l’indifférence.Casablanca est un arbre cente-naire, et «Casa sur chêne» est l’ex-pression à la fois de sa fragilité etde sa puissance». Inspirée parl’humain et les regards qui en di-sent long, elle explore ses pas-sions. «Ce qui m’inspire le plus,c’est la nature humaine (le regard)et j’aime travailler sur les portraits,surtout les personnes âgées quiont un vécu qu’on peut lire entreles lignes de leurs rides, sur leurvisage et surtout dans le regard.La femme marocaine m’inspirebeaucoup, de par sa force et sadétermination». Une force et unedétermination dont elle jouedans des formes de collages etdans sa méthode de travail engénéral : «Mes travaux collagephoto sur toile/peinture sont unmélange de mes deux passions,et pouvoir travailler les deux estune façon de les faire coexistersur un même support. Une façonde donner vie à un portrait en noiret blanc avec un fond de peinturequi reprend souvent les couleursdu Maroc, «le cuivre [sa couleurpréférée], l'or et l'argent». Unvoyage entre le réel et l’irréel à en-treprendre de toute urgence… ●

«Ce qui m’inspire le plus, c’est la nature humaine».

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PORTRAIT

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séparer, détectant un talent à sui-vre et un charisme qui allait ap-porter beaucoup à la série.«C’était assez facile car c’est unpersonnage nouveau, que j’ai puadapter à ma sauce. Il me ressem-ble à plusieurs égards: il est bagar-reur, plein d’énergie… Avec l’aidede l’équipe, j’ai pu sortir le meilleur

de moi-même!». Ce n’était pour-tant pas gagné pour ce novice enla matière. En effet, Youssef BenHayoun fait tout juste ses pre-miers pas dans la comédie. Fami-lier des flashs des photographes,il fait la connaissance de la ca-méra à travers une expérience defiguration, qui a abouti à des pe-tits rôles par-ci par-là. «La comé-

comédie sans le vouloir. Je m’ysuis préparé toute ma vie sans lesavoir», avoue Youssef BenHayoun qui se considère au-jourd’hui comme comédien. «Jecontinue à apprendre sur les tour-nages et à me former auprès d’ac-teurs que j’admire. Younès Bouabest un exemple pour moi, j’adoreson jeu et sa façon d’être». Unsens du fair-play que l’apprenti ac-teur puise sûrement dans sa pra-tique du Jiu-jitsu brésilien (il estchampion dans cette discipline)et des arts martiaux, disciplinedans laquelle il a décroché plu-sieurs médailles d'or. Des res-sources qui lui ont sûrement servipendant le tournage où il a dû ap-prendre à monter à cheval, à ma-nier les armes et à apprendre lecombat. «Le tournage était génial.L’ambiance était familiale, c’étaitune chance». Après avoir fait sespreuves dans cette épopée histo-rique, Youssef Ben Hayoun Sadafiprépare doucement son avenir.Doucement mais sûrement… Àsuivre. ●

die est venue à moi. Alors que jene m’y attendais pas, j’ai étécontacté pour jouer dans un filmallemand. J’ai commencé avec dela figuration mais on a fini par medonner un rôle. J’ai joué dans unfilm avec Alain Chabat, «Les ga-mins». Ensuite, tout s’est enchaînérapidement, la production des

Mille et une nuits a priscontact avec moi». Né àAgadir et ayant vécu delongues années à Mar-rakech, d’où ce petit ac-cent qu’on décèle chezlui dans la série, l’acteur-mannequin de 23 ansest issu d’un père maro-cain et d’une mère ita-

lienne. À l’âge de 18 ans, il quitte laMaroc pour l’Italie afin d’obtenirune attestation de baccalauréat.Ensuite, il jongle entre l’Hexagoneet le royaume pour mener à biensa carrière de mannequin, jusqu’àce que la comédie le rattrape. «Lacomédie est présente depuis tou-jours. Je n’en avais pas forcémentconscience. Petit, je faisais de la

Tel un jeune premier àl’écran, il séduit par un re-gard perçant et un sourirequi rappellent beaucoup

ceux d’un certain Gaspard Ulliel.La caméra l’aime et les filles aussi,et pour cause: Youssef BenHayoun ne laisse pas insensible.Découvert dans la série «Les Milleet une nuits», qui passe sur Medi 1Tv en prime-time pendant le moisde ramadan, le jeune comédiendevait jouer le rôle de Shahrayar,rôle principal de la série qui est re-venu à Younès Bouab par la suite.«J’avais tourné l’épisode pilote. Ona vu des photos de moi, et on m’acontacté pour la série», expliquel’acteur mannequin qui a com-mencé par figurer dans des publi-cités et poser pour Femmes duMaroc, l’Officiel ou encore Cita-dine. «Le rôle de Farès a été pensépour moi par Anouar Moatassim,c’est un rôle écrit pour moi parceque je n’ai pas eu le premier rôle».Une belle opportunité et une jolievitrine pour ce nouveau visagedont le réalisateur n’a pas voulu se

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«Avec l’aidede l’équipe,j’ai pu sortirle meilleur demoi-même !».

Chevalier de l’écran● Repéré comme mannequin, Youssef Ben Hayoun Sadafi, que lacaméra dévore, devient comédien presque malgré lui. Un destin qu’ilaccueille à bras ouverts en campant le rôle de Farès, dans la série lesMille et une nuits. Le comédien n’a eu de cesse de faire parler de lui.Révélation.

YOUSSEFBEN HAYOUNSADAFIActeur et mannequin

L’acteur a commencépar figurer dans despublicités et poserpour des magazines.

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CULTURE

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Le nouveau mondeméditerranéen

Le monde s'orga-nise en grandes ré-gions Nord-Sud.L'Asie orientale l'acompris, les Amé-riques l'ont com-pris, l'Europe et le

Sud de la Méditerranée ont pris duretard dans leur ancrage réci-proque : c'est la «verticale» Europe-Méditerranée-Afrique. Un nouveaucycle économique se met en placetiré par l'informatisation et la transi-tion énergétique, or l'espace euro-méditerranéen est à la taille perti-nente pour négocier les bonnescomplémentarités. Ces trente ansqui viennent vont être décisifs cars'y conjuguent des révolutions dé-mographique, climatique, indus-trielle et politique (révolutionsarabes au Sud, nouveau projet eu-ropéen au Nord).

Jean-Louis Guigou, ÉditionsDescartes & Cie / Casa

Express, 100 DH.

L’accomplissementde soi

Les études d'Abra-ham Maslow ontporté sur la satisfac-tion des besoins etles motivationspour mettre en lu-mière une hiérar-chie de ces besoins

: physiologiques, de sécurité,d'amour et d'estime et d'accomplis-sement de soi. Abraham Maslow aconsacré l'essentiel de ses re-cherches à comprendre en quoiconsiste cet accomplissement desoi, ce qui l'a conduit à accorderune place essentielle aux expé-riences mystiques, une des mani-festations de la plénitude de l'esprit.Par l'étendue des sujets abordés, celivre intéressera toute personne enrecherche d'accomplissement.

Abraham Maslow,Editions Eyrolles, 130 DH.

LECTURE

ces mêmes provinces. L’experterappelle donc les importants ef-forts déployés par l’État, la mise enplace d’infrastructures de qualité,l’accès aux services de base, les in-dicateurs au-dessus de lamoyenne en ce qui concerne lasanté et l’éducation, ainsi que la vo-lonté d’accompagnement des PMI

et PME. Dans une volonté de pas-ser d’une économie de rente à uneéconomie de marché, ZoubeirHajbouha a insisté à la fin de saprésentation sur la nécessité etson souhait de voir des investis-seurs dans la région car, selon elle,«l’État a fait sa part du travail». Desprémices économiques pourplanter le décor, avant de céder laplace au musicologue Ahmed Ay-doun et au poète et chercheurAhmed Bouya Laatig. Le premier

Au cœur du Sheraton deCasablanca, l’ambiance,à la fois musicale et poé-tique, était empreinte

d'un air du Sud. Dans le cadre deson cycle de conférences, Attijari-wafa bank a cette fois-ci misé sur laculture, et non la moindre: la cul-ture hassani. Outre les artistes, desintervenants culturels et écono-miques étaient présents pournourrir le débat autour de cette ré-gion riche, aux clichés bien ancrés,à travers deux grands axes: sa ri-chesse économique et sa diversitéculturelle. Deux leviers qui font decette région une région à fort po-tentiel que les investisseurs n’ontpas encore saisi. L’experte auprèsdu Conseil économique, social etenvironnemental, Zoubeir Haj-bouha, a insisté sur les grandes op-portunités d’investissements qu’of-frait la région. Celle-ci rappelle lediscours royal du 37e anniversairede la Marche verte (novembre2012) qui insistait sur la réflexionsur la mixité des cultures hassanie,amazighe et arabe qui composentl'identité des provinces du Sud etqui ont donné lieu à un nouveaumodèle de développement pour

Attijariwafa bank mise surla culture hassanie● Attijariwafa bank a organisé, mercredi soir, un ftour-débat autour de la musique etde la poésie hassanies avec la troupe Mnat Aichata, dans le cadre de son cycle dedébats «Échanger pour mieux comprendre». Des festivités qui ont permis de discuteren profondeur de différents aspects liés à la région. Entre culture et développementéconomique, voyage au cœur des provinces du Sud.

explique le sens du mot hassani,qui au sens strict, fait référence àune tribu (Bani Hassan), et, au senslarge, renvoie à des tribus maures.Le passionné de la région revientsur l'histoire avant d’insister sur l’im-portance de balayer les clichésque les gens ont sur la région jadisverdoyante, peuplée, constituant

un important carrefour.«Les gens s’imaginent unterritoire vide et pauvreen paysages, mais c’esttout le contraire», conti-nue Ahmed Aydoun. «LeSahara, c’est la rareté del’eau et la profusion de lalumière». Il rappelle aussiles symboles de la ré-

gion, notamment le dromadairequi est presque considéré commeun membre de la famille. Symbolede fidélité et d’endurance, l’animalest primordial dans la région.Ahmed Bouya Laatig lui dédiramême un poème. Un débat su-blimé par la jolie troupe Mnat Ai-chata qui, entre rythmes ensorce-lants, chants habités et dansespleines de grâce, ont fait voyagerl'auditoire dans le Sud, au cœur dupatrimoine hassani. ●

«Le Sahara, c’estla rareté de l’eauet la profusionde la lumière».

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TENDANCES & SHOPPING

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haute définition, un stabilisateurd’image optique (OIS) et un affi-chage HD 1080p. «Grâce à cestechnologies, la définition de vosimages est toujours excellente,même en cas de faible lumino-sité». Avec ses dernières innova-tions en termes d’imagerie et lemeilleur de Microsoft, les utilisa-teurs peuvent non seulementcapturer le monde qui les en-toure mais aussi faire beaucoupplus pendant leurs déplace-ments. Le Nokia Lumia 1520 dis-pose ainsi d’un écran d’accueilavec une troisième colonne de«live tiles» qui vous permet d’at-teindre rapidement vos applica-tions préférées avec un mini-mum de défilement. Parfait

pour les loisirs, le Nokia Lumia1520 est également un excellentoutil pour vos sessions de tra-vail. Son écran large rend ainsil’utilisation de Microsoft Officeplus facile, même lorsque vousvous déplacez! Si vous souhai-tez délaisser les images fixespour les vidéos, le résultat seratout aussi surprenant. La ca-méra du Nokia Lumia 1520 cap-ture en effet des vidéos full HDavec un son pur. L’appareil intè-gre aussi la fonction Nokia RichRecording avec quatre micros,ce qui vous offre un son stéréosans distorsion pour une meil-leure précision sonore. Le tout,histoire de capter la magie dumoment en toute sérénité… ●

Considéré comme le«must have» de cetété, le smartphonefashion Nokia Lumia

1520 a une qualité d’image desplus intéressantes. Avec songrand écran, cet appareil ultramoderne promet de saisir lesmeilleurs moments de vos va-cances, à la plage ou à la mon-tagne, en famille ou entre amis!Avec son écran 6 pouces et lesplus récentes avancées logi-cielles pour Windows Phone, leNokia Lumia 1520 offre lestoutes dernières innovations deNokia en termes d’imagerie. Lapreuve: son appareil photo Pu-reView 20 MP est équipé d’unobjectif Carl Zeiss avec un zoom

Plus de vie à vos vacances !● Le Nokia Lumia 1520 propose des vacances placées sous le signe du design etde la technologie. Le design avant-gardiste, les fonctions évoluées de l’appareilphoto et les applications originales constituent un cocktail des plus détonnants,pour des vacances colorées !

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«Grâce à cestechnologies,la définitionde vos imagesest toujoursexcellente,même en casde faibleluminosité».

Mubawab Maroccartographieses annoncesimmobilièresLe site immobilier a cartographiéles grandes villes du Maroc, quar-tier par quartier, pour référencertoutes ses annonces immobilières.Dès le lancement de la recherched'un type de biens sur la page d’ac-cueil, l’internaute tombe sur la

carte du Maroc avecses 16 régions. «Les Ma-rocains auront droit àune expérience uniqueau Maroc pour trouverleur bien immobilier.Les versions françaiseet arabe du site ontprofité de cette re-

fonte unique au Maroc. Il a fallu desmois à toute l’équipe technique et ànos Google Maps Makers pour of-frir ce service aux internautes», dé-clare les fondateurs de Mubawab,lequel marque une nouvelle étapedans le développement du mar-ché marocain des annonces im-mobilières à travers le lancementde cette innovation. Les cartes ai-deront l’internaute à définir sa zonede recherche et ainsi consulter lesannonces sur la localité qui l'inté-resse. «Nous désirons optimiser etfaciliter la recherche des bonnes af-faires présentes sur Mubawab.Même si statistiquement noussommes n°1 au Maroc, nous vou-lons continuer sur notre lancée etapporter des nouveautés encontinu», annoncent les dirigeantsde Mubawab. ●

La rentrée selon VogueFourruresexcentriquesRéinterprété chez Alexan-der McQueen, Fendi,Chloé, Pucci ou Versace,cet indispensable clas-sique de l’hiver se mue enun arc-en-ciel de couleurset de motifs délirants.

Total look mailleC’est l’un des fils conducteurde l’hiver. Tel un halo duveteuxet réconfortant, la maille por-tée en all-over se dévoile cettesaison chez Stella McCartney,Marc Jacobs et Céline. Côtécouleurs, seuls le beige clair etl'ocre minéral seront de mise.

FASHIONSweet sixties«Ex-fan des sixties, petite babydoll»… Cette saison, Gucci, YvesSaint Laurent et Louis Vuittonrendent hommage au styleyéyé. Mini-jupes, robes trapèzeet motifs teintés de couleursguimauves… Des influencestrès «Swinging London».

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