1) Une douleur articulaire(hanches,genou,épaule)

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Une douleur articulaire (hanches, genou, épaule) Parmi les signes suivants lequel ou lesquels s'observe(nt) dans un syndrome fémoro-rotulien: A. Douleur à la descente des escaliers B. Tiroir antérieur C. Signe du rabot D. Douleur à la station assise prolongée E. Blocage du genou en demi-flexion B: lésion ligamentaire. E: évoque une lésion méniscale. Un homme âgé de 53 ans se plaint d'une douleur inguino- crurale antérieure, évoluant depuis un mois. Cette topographie douloureuse est compatible avec: A. Névralgie crurale B. Névralgie sciatique C. Sacro-iliite D. Coxarthrose E. Coxite L'horaire de la douleur oriente entre (D) et (E). Parmi les cinq signes radiologiques suivants, l'un ne s'applique pas aux rhumatismes inflammatoires; lequel? A. Pincement localisé de l'interligne B. Déminéralisation sous-chondrale C. Pincement total de l'interligne D. Tuméfaction des parties molles péri-articulaires E. Encoches péri-chondrales 1

Transcript of 1) Une douleur articulaire(hanches,genou,épaule)

Une douleur articulaire (hanches, genou, épaule)

Parmi les signes suivants lequel ou lesquels s'observe(nt) dans un syndrome fémoro-rotulien:

A. Douleur à la descente des escaliers

  B. Tiroir antérieur

C. Signe du rabot

D. Douleur à la station assise prolongée

  E. Blocage du genou en demi-flexion

B: lésion ligamentaire. E: évoque une lésion méniscale.

Un homme âgé de 53 ans se plaint d'une douleur inguino-crurale antérieure, évoluant depuis un mois. Cette topographie douloureuse est compatible avec:

A. Névralgie crurale

  B. Névralgie sciatique

  C. Sacro-iliite

D. Coxarthrose

E. Coxite

L'horaire de la douleur oriente entre (D) et (E).

Parmi les cinq signes radiologiques suivants, l'un ne s'applique pas aux rhumatismes inflammatoires; lequel?

A. Pincement localisé de l'interligne

  B. Déminéralisation sous-chondrale

  C. Pincement total de l'interligne

  D. Tuméfaction des parties molles péri-articulaires

  E. Encoches péri-chondrales

A: évoque une arthrose. Le pincement de l'interligne est global dans une arthrite.

Les gonalgies accentuées par la montée ou la descente des escaliers, et réveillées par une position assise prolongée font évoquer une pathologie. Indiquez celle de ces

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affirmations qui est exacte:

  A. Des ménisques

B. De l'articulation fémoro-patellaire

  C. Des ligaments latéraux du genou

  D. Des articulations fémoro-tibiales

  E. Des ligaments croisés

On recherchera un signe du rabot.

Chez un malade présentant une douleur du pli de l'aine irradiant à la face antérieure de la cuisse et ne dépassant pas le genou, on peut évoquer:

A. Une cruralgie

B. Une coxarthrose

C. Une lésion osseuse d'une branche pubienne

  D. Une méralgie paresthésique

  E. Une tendinite du moyen fessier

B: toute atteinte coxo-fémorale peut entraîner une douleur irradiant à la face antérieure de la cuisse.

L'examen clinique d'une épaule douloureuse par tendinite simple du sus épineux montre:

  A. Une limitation de l'abduction active

  B. Une limitation de l'abduction passive

  C. Une limitation de l'abduction active et passive

D. Une douleur à l'abduction contrariée

E. Une douleur en antepulsion et rotation interne

A: elle est néanmoins douloureuse.

Parmi les signes suivants lequel ou lesquels s'observe(nt) dans un syndrome fémoro-rotulien:

A. Douleur à la descente des escaliers

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  B. Tiroir antérieur

C. Signe du rabot

D. Douleur à la station assise prolongée

  E. Blocages élastiques du genou en demi-flexion

B: traduirait une lésion du ligament croisé. E: traduirait une lésion méniscale.

Indiquez la ou les anomalie(s) radiologique(s) rencontrée(s) dans une hanche arthrosique:

A. Les ostéophytes

  B. La décalcification sous-chondrale

C. Le pincement articulaire

D. Les géodes osseuses

E. La condensation de l'os sous-chondral

B: se voit dans une coxite. C: localisé.

Un homme âgé de 53 ans, se plaint d'une douleur inguino-crurale antérieure, évoluant depuis un mois. Cette topographie douloureuse est compatible avec:

A. Névralgie crurale

  B. Névralgie sciatique

  C. Sacro-iliite

D. Ostéonécrose de la tête fémorale

E. Coxite

L'atteinte de l'articulation coxo-fémorale donne volontiers des douleurs à irradiation antérieure. B: douleur postérieure.

La nécrose de la tête fémorale après fracture cervicale vraie du fémur:

A. Peut être due à un retard thérapeutique

  B. Se révèle toujours avant le 6ème mois

C. Est due à une lésion des branches de l'artère circonflexe postérieure

  D. Ne se voit qu'après une fracture à grand déplacement

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  E. Est lié au siège intra capsulaire de la fracture

Toutes les affections articulaires suivantes entraînent des douleurs à la mobilisation sauf une. Indiquez laquelle?

A. L'arthropathie diabétique

  B. L'accès de goutte

  C. L'arthrose

  D. La polyarthrite rhumatoïde

  E. L'accès de pseudo-goutte

La déformation tibiale la plus fréquemment en cause dans la génèse d'une gonarthrose douloureuse est:

  A. En valgus

B. En varus

  C. En flessum

  D. En recurvatum

  E. En torsion interne

Le genu varum est responsable d'arthrose fémoro-tibiale interne.

Un patient souffre depuis 3 mois d'une hanche, dont la mobilité apparaît limitée à l'examen clinique. Les radiographies et tomographies sont normales. Une seule des affections suivantes peut être en cause. Laquelle?

  A. Coxarthrose

  B. Coxite staphylococcique

  C. Coxite tuberculeuse

  D. Ostéonécrose aseptique de la tête fémorale

E. Chondromatose synoviale

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Un homme de 40 ans se plaint depuis 15 jours d'une douleur de hanche, irradiant à la face antérieure de la cuisse. La mobilité de la hanche est limitée, l'appui monopodal est douloureux. Quel(s) diagnostic(s) envisagez-vous?

A. Algodystrophie de hanche

B. Coxite infectieuse

C. Nécrose de la tête fémorale

  D. Névralgie crurale

E. Coxarthrose

Ce tableau est évocateur d'une atteinte de l'articulation coxo-fémorale.

Chez un malade présentant des douleurs de la hanche - sans lésions radiologiques évidentes - la scintigraphie:

A. Peut révèler une tumeur osseuse de voisinage

B. Peut révèler une ostéonécrose débutante

C. Peut révèler une algodystrophie débutante

  D. Permet de faire à elle seule le diagnostic de coxite

  E. Ne montre une hyperfixation que s'il s'agit d'une coxarthrose

La scintigraphie permet de détecter des anomalies plus précocément que les radiographies.

Chez un malade présentant une douleur du pli de l'aine irradiant à la face antérieure de la cuisse et ne dépassant pas le genou, on peut évoquer:

A. Une cruralgie

B. Une coxarthrose

C. Une lésion osseuse d'une branche pubienne

  D. Une méralgie paresthésique

  E. Une tendinite du moyen fessier

L'interrogatoire recherchera l'horaire mécanique ou inflammatoire de la douleur, son mode d'installation, l'impotence fonctionnelle.

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Quel est le siège le plus évocateur de l'origine coxofémorale d'une douleur?

A. Le milieu du pli de l'aine

  B. Le genou, à sa face antérieure

  C. La partie supéro-externe de la fesse

  D. La région trochantérienne

  E. La face interne de la cuisse

Un adolescent présente brutalement, en dehors de tout traumatisme et de tout contexte infectieux, le tableau clinique suivant: douleur aiguë de la hanche, impotence fonctionnelle, abduction et rotation externe du membre inférieur homolatéral. Diagnostic?

  A. Ostéomyélite de l'extrémité supérieure du fémur

B. Epiphysiolyse de hanche

  C. Fracture du col fémoral

  D. Ostéochondrite de hanche

  E. Rhumatisme articulaire aigu

Le tableau est dû au glissement du noyau épiphysaire en bas, en dedans et en arrière. L'épiphysiolyse est source de coxarthrose secondaire.

Une gonarthrose sur genu varum chez un homme de la quarantaine avec pincement débutant de l'interligne interne justifie:

  A. Une arthroscopie avec lavage articulaire

  B. Une arthroplastie unicompartimentaire

  C. Une ostéotomie fémorale de valgisation

D. Une ostéotomie de valgisation

  E. Un traitement médical d'attente et une arthroplastie le plus tard possible

Parmi les affections suivantes, la(les)quelle(s) est(sont) responsable(s) d'ostéonécrose de la tête fémorale:

  A. L'insuffisance rénale chronique avant greffe rénale

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B. La corticothérapie par voie générale

C. La maladie de Gaucher

D. La drépanocytose

E. Les barotraumatismes

Parmi les circonstances suivantes, laquelle n'entraîne pas de syndrome épaule-main (algodystrophie du membre supérieur)?

  A. Chute sur l'épaule au cours d'une crise comitiale

  B. Prise régulière de GARDENAL*

  C. Ablation neuro-chirurgicale d'un meningiome intracrânien

  D. Exploration thyroïdienne par iode radioactif

E. Prise quotidienne de MOGADON* pour insomnies

Une douleur de l'épaule déclenchée par l'abduction du bras, réveillée par la pression sur un point sous-acromial, sans aucun signe clinique associé, sans signe radiologique, ni biologique évoque:

A. Tendinite simple

  B. Bursite sous-deltoïdienne

  C. Capsulite rétractile

  D. Arthrose omo-humérale

  E. Rupture de la coiffe des rotateurs

Quelle(s) est (sont) parmi les affections suivantes, celle(s) dont le diagnostic peut être affirmé par un simple cliché radiographique de l'articulation douloureuse lors d'une crise fluxionnaire aiguë?

A. Chondrocalcinose articulaire

  B. Crise aiguë de goutte

C. Rhumatisme à hydroxyapatite

  D. Arthrite réactionnelle

  E. Rhumatisme articulaire aigu

A: on y observe des lisérés calciques cartilagineux.

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Toutes les propositions suivantes concernant l'épiphysiolyse de hanche sont exactes sauf une. Indiquez laquelle:

  A. La coxite laminaire est une complication grave de l'épiphysiolyse

B. La nécrose de la tête fémorale ne complique jamais l'épiphysiolyse

  C. L'épiphysiolyse évolue volontiers à long terme vers la coxarthrose

  D. L'épiphysiolyse progressive est plus fréquente que l'épiphysiolyse aiguë

  E. L'épiphysiolyse survient volontiers entre 11 et 16 ans

Quel diagnostic évoquer chez un adolescent de 13 ans qui présente brutalement, en dehors de tout contexte traumatique ou infectieux, des douleurs aigues d'une hanche, une impotence fonctionnelle, une abduction et rotation externe du membre inférieur?

  A. Ostéomyélite aiguë

B. Epiphysiolyse de hanche

  C. Fracture du col fémoral

  D. Ostéochondrite de hanche

  E. Rhumatisme articulaire aigu

D: survient plus tôt dans l'enfance.

Toutes les propositions suivantes concernant l'ostéochrondrite primitive de la hanche de l'enfant sont exactes sauf une. Indiquez laquelle:

  A. L'ostéochrondrite touche le plus souvent le garçon

  B. La condensation de la tête fémorale à la radiographie précède sa fragmentation

C. La scintigraphie montre une hyperfixation au niveau de la tête fémorale au début

  D. Au début, l'examen de la hanche montre une diminution de l'abduction-rotation interne

  E. L'évolution de l'ostéochondrite se fait souvent vers la coxarthrose à long terme

C: hypofixation à la scintigraphie au début.

L'ankylose se définit par:

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  A. La sensation de manque de souplesse matinale

B. La fusion osseuse entre deux surfaces articulaires

  C. La diminution d'amplitude des mouvements au niveau d'une articulation

  D. La disparition de tout mouvement d'une articulation donnée

  E. L'existence d'une raideur en fin de journée

Une épaule douloureuse aiguë fébrile peut correspondre à:

A. Une arthrite infectieuse

B. Une crise de chondrocalcinose

C. Une périarthrite scapulo-humérale calcifiante

  D. Une rétraction capsulaire algodystrophique

  E. Une rupture de coiffe des rotateurs

D,E: pas de contexte fébrile.

Dans l'arthrose fémoro-tibiale, le traitement fait appel:

A. Réduction d'un excès pondéral

B. Tonification musculaire (muscles stabilisateurs du genou)

C. Physiothérapie sédative

D. Prescription d'AINS lors des poussées

  E. Infiltration intra-articulaire au rythme de trois par mois

E: uniquement en cas de douleurs ne cédant pas au traitement.

Un greffé rénal de 28 ans, corticothérapé au long cours, vient consulter pour une douleur mécanique de hanche, unilatérale et d'installation progressive. Quel diagnostic doit être envisagé en premier lieu?

  A. Chondrocalcinose

  B. Désinsertion du bourrelet cotyloïdien

C. Ostéonécrose aseptique de la tête fémorale

  D. Coxarthrose primitive

  E. Spondylarthrite ankylosante

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Devant une prothèse totale de hanche scellée, implantée depuis plusieurs années et qui devient douloureuse, il faut évoquer:

A. Un sepsis

B. Un descellement

  C. Un syndrome d'adaptation de l'os aux contraintes

  D. Une subluxation récidivante de la prothèse

  E. Des ossifications péri-articulaires

Une douleur de hanche avec radiographie strictement normale et hyperfixation scintigraphique peut correspondre à :

A. Une ostéonécrose de la tête fémorale

B. Une algodystrophie de hanche

  C. Une coxarthrose débutante sur dysplasie

  D. Une maladie de Paget

E. Une coxite débutante au cours de la polyarthrite rhumatoïde

L'aspect scintigraphique n'est pas du tout spécifique; l'hyperfixation indique un remodelage local

Parmi les caractères énoncés, le(s) quel(s) évoque(nt) l'origine fémoro-patellaire d'une douleur?

A. Douleurs à la descente des escaliers

B. Douleurs à la position assise prolongée

C. Signe du rabot

  D. Douleurs lors d'un varus forcé du genou

  E. Signe de Lachman

E: évoque une pathologie ligamentaire.

Chez une femme de 62 ans, l'apparition de douleurs inflammatoires progressives des épaules, avec enraidissement douloureux, associées à des radiographies normales, doit faire évoquer deux diagnostics parmi les suivants :

  A. Une goutte

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  B. Une spondylarthrite ankylosante

  C. Une tendinopathie

D. Une polyarthrite rhumatoïde

E. Une pseudo-polyarthrite rhizomélique

D,E: terrain compatible (femme âgée). Les douleurs aux ceintures évoquent plus particulièrement une PPR.

Une femme de 50 ans vient pour douleur de l'aine droite, la radiographie révèle un pincement discret de l'interligne coxo-fémoral, un angle cervico-diaphysaire de 160° et une tête fémorale insuffisamment couverte par le cotyle. Quel diagnostic évoquer ?

  A. Ostéonécrose de la tête fémorale droite

  B. Chondro-calcinose

  C. Coxarthrose postérieure

D. Coxarthrose sur dysplasie subluxante

  E. Algodystrophie

D: l'angle cervico-diaphysaire doit normalement être < à 135°. Son ouverture évoque une dysplasie.

Un homme âgé de 53 ans, se plaint d'une douleur du pli de l'aine et de la face antérieure de la cuisse, évoluant depuis un mois. Cette topographie douloureuse est compatible avec :

A. Névralgie crurale

  B. Névralgie sciatique

  C. Sacro-iliite

D. Ostéonécrose de la tête fémorale

E. Coxite

B: douleur à la face postérieure de la cuisse. C: douleurs lombaires basses.

Parmi les signes suivants lequel ou lesquels s'observe(nt) dans un syndrome fémoro-rotulien :

A. Douleur à la descente des escaliers

  B. Tiroir antérieur

C. Signe du rabot

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D. Douleur à la station assise prolongée

  E. Blocages élastiques du genou en demi-flexion

B: évoque une lésion du ligament croisé antérieur. E: évocateur d'une pathologie méniscale.

Quel premier diagnostic évoquer chez un adolescent qui présente brutalement, sans traumatisme ni contexte infectieux, le tableau clinique suivant: douleur aiguë de hanche, impotence fonctionnelle, abduction et rotation externe du membre inférieur ?

  A. Ostéomyélite de l'extrémité supérieure du fémur

B. Epiphysiolyse de hanche

  C. Ostéoarthrite bactérienne

  D. Ostéochondrite de hanche

  E. Rhumatisme articulaire aigu

Annales: 88/7, 89/4 et 92/8.

Une oligoarthrite peut révéler:

A. Goutte

B. Endocardite bactérienne

C. Maladie de Crohn

D. Polyarthrite rhumatoïde

E. Chondrocalcinose

Quel est ou quels sont le(les) signe(s) qui est (sont) compatible(s)avec le diagnostic de lésion méniscale ?

A. Un dérobement inopiné

B. Un blocage élastique en flexion

  C. Un tiroir antérieur en extension

D. Un ressaut en valgus rotation interne

E. Une hydarthrose à répétition

C: évoque une rupture du ligament croisé antérieur.

Chez un malade présentant une douleur du pli du l'aine irradiant à la face antérieure de

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la cuisse et ne dépassant pas le genou, on peut évoquer :

A. Une cruralgie

B. Une coxarthrose

C. Une lésion osseuse d'une branche pubienne

  D. Une méralgie paresthésique

  E. Une tendinite du moyen fessier

D: atteinte du nerf fémoro-cutané. (Annales 86/1 et 88/5).

Une femme se plaint de douleurs osseuses diffuses. Le bilan biologique révèle : -Calcémie = 2,00 millimoles (80 mg/l) -Phosphorémie = 0,60 millimoles (19 mg/l) -Phophatases alcalines = 5 fois le taux normal. Le diagnostic probable est :

  A. Ostéoporose

B. Ostéomalacie

  C. Maladie osseuse de Paget

  D. Cancer secondaire des os

  E. Myélome multiple des os

Annales: 87/5.

Une douleur de hanche avec radiographie strictement normale et hyperfixation scintigraphique peut correspondre à :

A. Une ostéonécrose de la tête fémorale

B. Une algodystrophie de hanche

  C. Une coxarthrose débutante sur dysplasie

  D. Une maladie de Paget

E. Une coxite débutante au cours de la polyarthrite rhumatoïde

Intérêt ici de l'IRM. (Annales: 90/2).

Chez un femme de 62 ans, l'apparition de douleurs inflammatoires progressives des épaules, avec enraidissment douloureux et amaigrissement, associées à des radiographies normales, fait évoquer en priorité:

  A. Une goutte

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  B. Une spondylarthrite ankylosante

  C. Une tendinopathie

  D. Une chondrocalcinose articulaire

E. Une pseudo-polyarthrite rhizomélique

B: touche l'homme jeune, de préférence sur les articulations sacro-iliaques. E: souvent associée avec la maladie de Horton.

Une épaule douloureuse aiguë fébrile peut correspondre à:

A. Une arthrite infectieuse

B. Une crise de chondrocalcinose

  C. Une tendinite calcifiante

  D. Une algodystrophie

  E. Une rupture de la coiffe des rotateurs

L'ostéonécrose aseptique de la tête fémorale peut être secondaire à ces étiologies sauf une :

A. Algodystrophie

  B. Alcoolisme

  C. Corticothérapie

  D. Luxation traumatique de hanche

  E. Maladie des caissons

Les facteurs étiologiques de l'ostéonécrose aseptique de la tête fémorale sont :

A. Alcoolisme

  B. Inégalité de longueur des membres inférieurs

C. Corticothérapie

  D. Insuffisance veineuse des membres inférieurs

  E. Hyperparathyroïdie

Egalement accidents barotraumatiques, diabète, polyglobulie, dyslipidémie, radiothérapie locale, lupus, maladie de Gaucher, pancréatite aiguë, drépanocytose, hyperuricémie.

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